Le Musée Prive - Art Magazine

Sebastien Lecca Nous avons demandé au créateur Sébastien Lecca de nous donner quelques pistes de compréhension de son concept symbolique du fœtus.
Voici mes réflexions au sujet de la question sur les origines en lien avec mon projet où je propage sur plusieurs supports artistiques le symbole d'un fœtus.

En quelques mots ce projet vise en "la multiplication pluridisciplinaire du symbole d'un fœtus.

 Il invite chacun à se poser la question "D'où venons-nous ? Que faisons-nous ? Où allons-nous ?".

(Titre célèbre d'une œuvre de Gauguin)

Mon projet se fonde sur 2 sources...que je développe à la suite, je pourrais les résumer ainsi :

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Le groupe de recherche MnemoArt, fondé par Tamara Landau et Jean-Pierre Landau, se propose de penser l’art et la psychanalyse en relation avec la science, comme une écriture contre l’oubli. MnemoArt fonde son action en produisant des événements artistiques éphémères créés par des psychanalystes-artistes autour de réflexions sur l’acte de (pro)création, la mémoire, le temps et la trace. Ces actes poétiques créent une transmission inédite de concepts psychanalytiques à travers la figuration plastique sous toutes ses formes (peinture, sculpture, vidéo, photos et installations) et des perfomances poético-musicales qui font la singularité du mouvement MnemoArt.

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ENSEMBLE DE L'INSTALLATION DE VLADIMIR SKODA MONTPELLIER MARS 2011Jean-Pierre Luminet (texte), Vladimir Skoda, « Cercles noirs Couronnes lumineuses », Collection Liber, Editions m é r i d i a n e s, 14 rue Aristide Ollivier, 34000 Montpellier.

Mettant en scène le cosmique dans ce qu’il a de plus noir, Skoda rend paradoxalement la peinture intime. En celle-ci il accorde à la douleur ce qui lui faut pour être mais pas plus. Il ne cherche jamais à lui faire trop honneur. Pour le peintre – et le texte de Luminet à la fois poétique et savant en fait écho - il ne faut pas que souffrir pour exister sinon à croire à l’éternité. On est hors de toujours et de jamais. Il faut en rester là. Par la patience de la patience. Otages. Otages irremplaçables. Dans la passivité au nom d’un événement non du passé mais immémorial. Vécu dans le présent comme revenant au sein de l’immensité.

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MYSTICA PERDITA : BERNARD DUFOUR par Jean-Paul Gavard-Perret

Bernard Dufour, Martine,  Editions Chez Higgins, coll. Erotica, Paris.


Noir. Noir de l’absence originelle ou de l’abîme universel. Blanc. Blanc de la nuit sexuelle qui n’a su renoncer à son empire d’assourdissement, à son désir d’engloutissement. Pour le dire - ou plutôt pour le montrer Bernard Dufour ne cherche jamais l'émotion  pseudo évocatrice du souvenir mais la force de l'instant, de l'instantané. C'est lui dans ses mises en scène à qui il est demandé de recomposer l'histoire. Ou des histoires.

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CORPS ACCORDS

Catherine Millet, "D'Art-Press à Catherine Millet", Gallimard,
"Le Corps exposé", Editions Nouvelles Cécile Defaut.

L ‘approche du « Corps Exposé se poursuit et se complète par « D’Art-Press à Catherine M » à travers  un récit de vie sous forme d’entretien. Catherine Millet explore un monde subjectif où la connaissance se construit sur l'expérience  personnelle acquise par son histoire intime et ses connaissances esthétiques. Il n'est pas question  ici d'élaborer de grandes théories philosophiques,  psychanalytiques ou esthétiques. Mais le livre permet lui aussi d’envisager corps, le masculin et féminin  inter-reliés et co-dépendants. Le corps, le symbolisme et l'action littéraire  participent chez Catherine Millet de la même sacralisation de la  vie. Et toute son œuvre tente de percer ce mystère dans un processus d’analyse de l'objet d'art et d’exposition littéraire corps qui place son travail très haut et bien au delà du scandale qu’il a pu générer.

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Johanna Diehl Borgo FazioJohanna Diehl, « Displace », Galerie Wilma Tolksdorf, Berlin, 2011.

Johanna Diehl est une des photographes les plus intéressantes de sa génération. Elle a fait sa première exposition solo à la Galerie Wilma Tolksdorf de Berlin où elle a présenté des oeuvres tirées de sa série "Displace". Le livre tiré de cette exposition vient de paraître. Cette série montre le vide plus que le plein au sein de lieux de culte désaffectés : mosquées ou églises en ruines. Cette série a été réalisée en 2008 et 2009. La photographe allemande était à Chypre pour un projet de la « German Academic Exchange Service ». Ces œuvres racontent l’histoire du conflit qui depuis 35 a divisé l’île et sa capitale Nicosie en deux parties. Même si la frontière a été récemment ouverte, les deux côtés de l’île gardent les traces de décades du conflit : villages abandonnés, maisons détruites, lieux de cultes où traînent encore parfois des tapis de prière.

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Natasha Krenbol La loi du tricheur acrylique sur toile 38 x 46 cm

DU DERISOIRE A LA GRAVITE : NATASHA KRENBOL

Natasha Krenbol, "Esprits Animaux », Orangerie, Domaine du Château, 26760 Montéléger, du 2 au 24  Juillet 2011.

Les créatures de Natasha Krenbol semblent détachées du monde : graffitées et maculées elles traversent les cultures pour retourner à une sorte de force première, primitive qui évite à l’art de tourner bien huilé sur ses gonds. Silhouettes d’hommes et d’animaux entrent dans un étrange ballet faussement sommaire. Par la convergence, la mixité du bestial et de l’humain l’artiste devient la plus étrange des derviches « tourneuses » . Ses figures tutélaires se confrontent à la trace brûlante d’un  graphisme iconoclaste.

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NOIRE SŒUR
JO VARGAS ou le silence Habité des images
« Jo Vargas » par Hugo Lacroix, coll. “Les Irréguliers”, Editions de la Différence, Paris.

Les portraits de Jo Vargas semblent parfois des visages marqués de veines noires  pour arracher aux corps son marbre. Ces visages sont beaux à voir. Leur regard grave fait signe. Chacun de nous est proche de l’un d'eux. L’artiste est proche ainsi d'elle-même. Pourtant dans tous ces assemblages on se demande encore qui est proche de qui.  Eurydice peut-être. On ne sait pas. Lumière sur des traces de cendres. Seul le feu peut les lire.

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SANS TICS NI TOCS par Jean-Paul Gavard-Perret

Miss Van, « Twingles », galerie Magda Danysz, Paris 11ème, 19 mars, 30 avril.

Née en 1973 à Toulouse Miss Van (Vanessa Alice Bensimon) se fit d’abord connaître comme taggeuse des murs de la ville rose. Issue du mouvement du graffiti,  elle a donc choisi la rue comme lieu d'exposition permanent. De façon exceptionnelle, elle expose en galerie ses poupées qui furent d’abord des autoportraits sublimés : « Le graffiti a un côté très mégalomane, à la place d'écrire mon nom, je me représentais sous les traits de mes poupées. J'avais un vrai besoin de marquer mon identité, peut-être parce que j'ai une sœur jumelle et qu'il fallait que je me démarque." précisait-elle.

 

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LE MUSEE PRIVE

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Patrick Reynolds
 

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