Défi relevé et un immense succès pour Art Paris 2020 Première foire d’art post-confinement dans le monde Tous les regards étaient rivés sur Art Paris, la foire d’art moderne et contemporain qui s’est close dans un enthousiasme général dimanche 13 septembre sous la voute solaire du Grand Palais. Une fréquentation qualitative malgré la situation sanitaire Le chiffre global de fréquentation est de 56 931 visiteurs. L’application stricte des mesures sanitaires a conduit à un abaissement volontaire de la jauge visiteurs à 3 000 personnes à l’instant T au lieu des 5 000 autorisées dans le Grand Palais et à une modification des flux du vernissage lissés sur toute l’étendue de la foire lors d’ouvertures privatives le matin de 10h à 12h afin de garantir un haut niveau de sécurité aux exposants et visiteurs en évitant tout bain de foules. Si le nombre de visiteurs grand public a baissé de 10% par rapport à 2019 (qui a accueilli 63 257 personnes), en revanche la fréquentation des collectionneurs et responsables d’institutions bondit à +25% par rapport à 2019 avec un cumul total de 23 218 invités professionnels et VIP. |
Le Musée Prive - Art Magazine
YANG WANG 1831 Art Gallery Paris
NOT ALONE IN QUARANTINE Je suis, tu es, il est, nous sommes, vous êtes, ils sont confinés… A l’heure où l’ensemble des galeries et lieux culturels ont fermé à nouveau leurs portes au public, 1831 Gallery choisi de présenter, dans une version en ligne, la dernière série réalisée par le jeune photographe franco-chinois Yang Wang intitulée « Not Alone in Quarantine ». "Une semaine seulement après le début du confinement en mars, j'ai commencé à devenir fou. Il n'y a rien de pire que la solitude pour un être humain. Mes amis, ma famille me manquaient. Je voulais voir des gens, les toucher. Puis, j'ai eu l'idée de regrouper les différents "moi" durant la quarantaine : le "moi" qui regarde la télé, le "moi" qui fait du sport, le "moi" qui lit, le "moi" qui boit, le "moi" qui s'amuse...Tous ces "moi" réunis en une seule photo. Lorsque je me sentais vraiment seul, je me prenais en photo. C'est bon ! |
Lee Krasner Museo Guggenheim Bilbao
Lee Krasner Combat, 1965 Oil on canvas 179 × 410.4 cm National Gallery of Victoria, Melbourne, Felton Bequest, 1992 (IC1-1992) © The Pollock-Krasner Foundation |
September 18, 2020 - January 10, 2021 Museo Guggenheim Bilbao Lee Krasner (b. 1908; d. 1984) was a pioneer of Abstract Expressionism, the movement that made New York a thriving center for modern art in the postwar period. Born in Brooklyn, in an Orthodox Jewish, Russian émigré family, she decided to become an artist at 14. She applied to the only school in New York that offered an art course for girls and would later study at the Cooper Union, the National Academy of Design, and the Hans Hofmann School of Fine Arts. Krasner was one of the first artists in New York to adopt an entirely abstract approach, and in 1942 she was included in the exhibition American and French Paintings at the McMillen Inc., alongside her friends Willem de Kooning and Stuart Davis. The one fellow exhibitor that she had not met before was Jackson Pollock, so she decided to visit his studio. In 1945 they married and moved to Springs, Long Island. Unlike many of her contemporaries, Krasner refused to develop a 'signature image,' which she considered to be too rigid. Working in cycles, she sought out new means for authentic expression, even during the most tumultuous of times, including Pollock's sudden death in a car crash in 1956. Krasner's formidable spirit is felt throughout the body of work that she created over more than fifty years in the studio. |
Lee Krasner Icarus, 1964 Oil on canvas 116.8 x 175.3 cm |
Réflections sur la Paix Red Cross Museum Geneve
Imagine Réflexions sur la paix Reflections on peace 16.9.2020 photo © Gary Knight / |
À quoi ressemble la paix, au-delà des images qu’on s’en fait ? |
Nous sommes très heureux de vous présenter notre nouvelle exposition temporaire «Imagine. Réflexions sur la paix», qui ouvrira ses portes le mardi 15 septembre 2020. Des grands noms de la photographie retournent sur les lieux où ils ont réalisé, pour certains d’entre eux, leurs premiers reportages, il y a plus de 20 ans, afin d’examiner les conditions et conséquences des processus de paix au Liban, en Irlande du Nord, en Bosnie-Herzégovine, au Rwanda, au Cambodge et en Colombie, pays qui ont connu des conflits de longue durée. Sorties pour la plupart du contexte brûlant qui les a fait naître et présentées en tableaux parfois denses, ces 160 photographies rendent compte d’un processus fragile, d’une réalité complexe faite de succès, d’échecs, d’espoir et d’hésitations. Liste des photographes : Stephen Ferry, Ron Haviv, Gary Knight, Don McCullin, Roland Neveu, Gilles Peress, Jack Picone et Nichole Sobecki. |
JACQUES MONORY FONDATION MAEGHT SAINT PAUL DE VENCE
La Fondation Marguerite et Aimé Maeght rouvre au public le 1er juillet 2020. Les conditions nécessaires pour recevoir les visiteurs en toute sécurité seront mises en place. L’exposition consacrée à Jacques Monory, initialement prévue du 28 mars au 14 juin, sera présentée au public durant l’été et jusqu’au 22 novembre 2020. La Fondation Maeght a choisi de repenser sa programmation, en présentant cette exposition qui devait ouvrir ses portes au printemps. Cette exposition sera accompagnée d’un choix d’œuvres de la collection de la Fondation Maeght. L’exposition Les Giacometti : une famille de créateurs est reportée à l’été 2021. Première exposition monographique de Jacques Monory depuis sa disparition en 2018, l’exposition proposée par la Fondation Maeght retrace soixante ans de carrière et revisite l’œuvre d’un artiste majeur de la Figuration Narrative constamment tendu par la modernité et la singularité de ce bleu qui l’a rendu célèbre. Cette exposition propose un parcours non chronologique tentant de faire jouer à plein, d’une salle à une autre, les échos et les écarts de cette œuvre singulière. Forte d’une collection de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght propose également cet été une sélection de quelques œuvres majeures de sa collection pour permettre au public de retrouver les artistes tels que Joan Miró, Alberto Giacometti, Alexander Calder, Marc Chagall, Pierre Bonnard, Fernand Léger, … |
Portrait de Jacques Monory |
Ben Vautier L'art est un virus Fondation Linda et Guy Pieters Saint Tropez
L'ART EST UN VIRUS - Exposition Ben Vautier du 4 juin - 11 octobre 2020 Fondation Linda et Guy Pieters Ben, de son vrai nom Benjamin Vautier, est un artiste français d’origine suisse, né le 18 juillet 1935, à Naples (Italie), de mère irlandaise et occitane, et de père suisse francophone. Il est le petit-fils de Marc Louis Benjamin Vautier, peintre suisse du XIXe siècle. Il vit ses cinq premières années à Naples. Après la déclaration de guerre, en 1939, Ben et sa mère vont multiplier les voyages : Suisse, Turquie, Égypte, Italie…, pour enfin s’installer à Nice en 1949. Il étudie à l’école du Parc-Impérial et à la pension du collège Stanislas. Sa mère lui trouve un travail à la librairie Le Nain bleu en tant que garçon de course, puis lui achète une librairie-papeterie. À la fin des années 1950, il la vend pour ouvrir une petite boutique, dont il transforme la façade en accumulant quantité d’objets et dans laquelle il vend des disques d’occasion. Rapidement, sa boutique devient un lieu de rencontres et d’expositions où se retrouvent les principaux membres de ce qui deviendra l’école de Nice : César, Arman, Martial Raysse, etc. Proche d’Yves Klein et séduit par le Nouveau Réalisme, il est convaincu que « l’art doit être nouveau et apporter un choc ». |
Kandinsky Museo Guggenheim Bilbao
Kandinsky Museo Guggenheim Bilbao As a pioneer of abstraction and a renowned aesthetic theorist, Vasily Kandinsky (b. 1866, Moscow; d. 1944, Neuilly-sur-Seine, France) is among the foremost artistic innovators of the early twentieth century. He endeavored to free painting from its ties to the natural world, and in so doing he discovered a new subject matter based solely on the artist’s “inner necessity” that would occupy him throughout his life. Drawn primarily from the Solomon R. Guggenheim Foundation’s rich holdings, this comprehensive exhibition of paintings and works on paper traces Kandinsky’s aesthetic evolution and spans his entire oeuvre. |
Vasily Kandinsky Black Lines (Schwarze Linien), December 1913 Oil on canvas 129.4 x 131.1 cm Solomon R. Guggenheim Museum, New York Solomon R. Guggenheim Foundation Collection, By gift © Vasily Kandinsky, VEGAP, Bilbao 2020 |
8 mai 1945 - 8 mai 2020 Le Baiser de la Victoire de Roger Schall Galerie Argentic
8 mai 1945 - 8 mai 2020 Cette photo est en vente : Galerie ARGENTIC Le 8 mai 1945, à 15 heures, les cloches sonnent pour marquer la fin de la Seconde Guerre Mondiale en Europe. Le général de Gaulle annonce lui-même la capitulation allemande dans une allocution radiophonique. Partout en France, des scènes de joie célèbrent la défaite du nazisme. En ce 8 mai 2020, nous voulons, à notre manière, fêter ce retour de la liberté en vous proposant d'acquérir ce morceau de notre histoire. Cette photographie est tirée en tirage argentique traditionnel sur papier baryté, à l'agrandisseur, à partir du négatif originel, par Thomas Consani du laboratoire Dupon et est authentifiée par le timbre à sec de Roger Schall dans la marge. Le cadre est en aluminium brossé noir, au format 30 x 30 cm. À titre exceptionnel, ce tirage vous est proposé au prix de 250€ et nous vous offrons l'encadrement et les frais de port pour la France métropolitaine (merci de nous contacter pour d'autres destinations). Si cette offre vous intéresse ou si vous souhaitez d'autres formats ou des informations complémentaires, merci de nous écrire à : argentic(at)argentic.fr ou simplememnt de répondre à ce message. Prenez soin de vous et de vos proches et à très bientôt. |
Lygia Clark Museo Guggenheim Bilbao
Lygia Clark: Painting as an Experimental Field, 1948–1958 Museo Guggenheim Bilbao Following the recommendations issued by health authorities and the directions of the Basque Government and the Provincial Council of Biscay, the Guggenheim Museum Bilbao will close temporarily to visitors effective March 14 until further notice as a way to contribute to contain the spread of COVID-19. For the Museum, the safety of our visitors, our staff, and our collaborators is a top priority. In this context and as a precaution, all programs and activities have already been canceled. The Museum’s website offers timely information of any changes that may occur While the Museum is closed to visitors, staff members continue working internally in order to accompany the public in these challenging times, increasing the content about the art program and offering it through our web and social media. A pioneer in abstraction, Lygia Clark (b. 1920, Belo Horizonte, Brazil; d. 1988, Rio de Janeiro, Brazil) was a major artist of the second half of the twentieth century. Lygia Clark: Painting as an Experimental Field, 1948–1958 presents a reexamination of Clark’s crucial formative years from 1948 to 1958, when she was experimenting between figuration and abstraction to articulate the compelling visual language that defined her mature production. Along with a pertinent representation of her early figurative work, this exhibition assembles paintings from major series created during this early period to provide a fundamental overview of the first decade of Clark’s artistic career. Viewing painting as an “experimental field,” a phrase from a keynote lecture given by the artist in 1956, Clark sought to redefine the medium by pushing the boundaries of traditional painting. Dedicating herself to art without formal training, she embedded herself within the artistic milieu of Rio de Janeiro in the late 1940s and participated in seminal artistic movements, such as Concrete art and geometric abstraction, throughout the 1950s. This focused exhibition traces Clark’s artistic evolution in three structured historical sections: “The Early Years, 1948–1952;” “Geometric Abstraction, 1953–1956;” and “Variation of Form: Modulating Space, 1957–1958.” Each chapter addresses Clark’s most significant ideas and provides an in-depth representation of her artistic development through a concise selection of works. This presentation of Lygia Clark’s early practice debuts on the centenary anniversary of the artist’s birth, bringing a renewed attention at an international level to a significant postwar Latin American female artist. The museum is thankful to the Lygia Clark Cultural Association, Rio de Janeiro, and the artist’s heirs for their tremendous support of the exhibition. Curator: Geaninne Gutiérrez-Guimarães |
Lygia Clark |
THE MENIL COLLECTION PRESENTS PHOTOGRAPHY AND THE SURREAL IMAGINATION
THE MENIL COLLECTION PRESENTS PHOTOGRAPHY AND THE SURREAL IMAGINATION Events During Houston’s FotoFest Biennial 2020 Include Talks by Artist Allison Janae HOUSTON, TEXAS, February 24, 2020 – Drawn from the Menil Collection’s renowned holdings of Surrealist art and from extraordinary loans from Houston collections, the exhibition Photography and the Surreal Imagination is on view at the Menil Collection now through June 14, 2020. Tirée des collections renommées d’art surréaliste de la collection Menil et des prêts extraordinaires des collections de Houston, l’exposition Photography and the Surreal Imagination est à l’affiche à la collection Menil jusqu’au 14 juin 2020. Présentant 62 œuvres qui couvrent les années de l’éruption du surréalisme dans des années 1920 à nos jours, l’exposition révèle comment les photographes pendant et après le mouvement surréaliste ont exploré et déformé la forme humaine, manipulé la surface photographique et utilisé l’appareil photo pour transformer le familier en inquiétant. La tension inhérente à la photographie entre documentation et invention émerge dans l’exposition comme la force génératrice qui a rendu ce médium si productif pour les artistes travaillant dans le sillage du surréalisme. |
George Platt Lynes, Untitled, 1941. Gelatin silver print, |
Richard Artschwager The Guggenheim Museum Bilbao
Dates: 29 February – 10 May, 2020 Museo Guggenheim Bilbao Following the recommendations issued by health authorities and the directions of the Basque Government and the Provincial Council of Biscay, the Guggenheim Museum Bilbao will close temporarily to visitors effective March 14 until further notice as a way to contribute to contain the spread of COVID-19. For the Museum, the safety of our visitors, our staff, and our collaborators is a top priority. In this context and as a precaution, all programs and activities have already been canceled. The Museum’s website offers timely information of any changes that may occur While the Museum is closed to visitors, staff members continue working internally in order to accompany the public in these challenging times, increasing the content about the art program and offering it through our web and social media. Halfway between painting and sculpture, Artschwager develops a unique language using the new domestic materials of his time, always working toward the fusion of figuration and abstraction, artistic innovation and design, and ironically seeks to combine the functional and the useless. Designed as an open labyrinth, the exhibition features a comprehensive selection of paintings and sculptures dating from the early 1960s to the first decade of this century. Artschwager represents places, scenes from everyday life, and common objects such as tables, chairs, and dressers, interpreting them in ordinary, standardized industrial materials such as Formica, Celotex, acrylic paint, and rubberized horsehair. Artschwager’s work continually questions appearance and essence, offering us a delicate and realistic, humorous yet monumental interpretation of the world. |
Richard Artschwager Door } , 1983-84 |
FEMMES ANNÉES 50 MUSÉE SOULAGES RODEZ
FEMMES ANNÉES 50 Du 14 décembre au 10 mai 2020, le musée Soulages consacrera une exposition à la création abstraite des femmes dans les années 50 à Paris : Femmes années 50. Au fil de l’abstraction, peinture et sculpture. Déjà aux Etats-Unis se tenait en 1951 l’exposition fondatrice « Ninth Street Show », une manifestation d’avant-garde dans laquelle figurait 4 femmes : Joan Mitchell, Grace Hartigan, Elaine de Kooning et Helen Frankenthaler. Dans L’autre moitié de l’avant-garde 1910/1940, éditions des femmes, publication doublée d’une exposition en 1980 en Italie, Lea Vergine parle de découvrir la « moitié suicidée du génie créateur de ce siècle ». En 2009, le Centre Pompidou offrait une importante exposition d’artistes femmes, «Elles» qui réunissait plus de 3 millions de visiteurs. |
Genevieve Claisse - Slalom 1960 162x130 cm |
Picasso Through the Lens of David Douglas Duncan GALERIE HAUSER & WIRTH
Picasso Through the Lens of David Douglas Duncan 3 February – 28 February 2020 Opening reception: Sunday 2 February 2020 2 – 5 pm Opening at Vieux Chalet in Gstaad on the 2 February 2020, ‘Picasso Through the Lens of David Douglas Duncan’ gives a remarkable insight into the work and life of Picasso. Ceramics and paintings by the artist are presented in tandem with vintage photographs taken by the legendary photographer David Douglas Duncan during a period of unprecedented access to the artist’s studio. The works on view, created concurrently with the photographs, can be encountered as an ‘intervention’ throughout the domestic spaces of the chalet. The photographs, some of which have never been exhibited before, give an intimate portrait of the artist at work and at home. The project has been organised in close collaboration with the artist’s son, Claude Picasso, and James Koch, Partner at Hauser & Wirth. David Douglas Duncan was a renowned war photographer, photojournalist, and a self-described nomad. He was among the most influential photographers of the last century, capturing World War II, the Vietnam War, and photo essays for Life magazine which enabled him to roam the world. The resulting images filled more than 25 books, including eight on Picasso. Duncan’s first encounter with Picasso happened in February 1956 when he infamously rang the doorbell of La Californie, Picasso’s home in Cannes. The artist’s wife, Jacqueline, led him upstairs and he met Picasso in his bathtub, who allowed Duncan to photograph him. From that starting point, the photographer developed a lasting friendship with Picasso over the course of 17 years during which time he captured an astounding visual archive of the artist’s life at La Californie. |
David Douglas Duncan |
Hans Hartung La Fabrique du geste Musée d'Art Moderne de Paris
|
Du 11 octobre 2019 au 01 mars 2020, le Musée d’Art Moderne présente à l’occasion de sa réouverture, une rétrospective du peintre Hans Hartung (1904-1989). Hans Hartung |
Interview de Christo chez Guy Pieters
A l'occasion d'une exposition d'oeuvres préparatoires de l'artiste Christo dans la galerie Guy Pieters qui se trouvait à l'époque avenue Matignon à Paris, Patrick Reynolds, Directeur du Magazine Le Musée Privé, et Sébastien Lecca, plasticien et performer, ont eu l'opportunité de poser quelques questions à l'un des artistes les plus monumentaux et influents de notre époque. Une interview réalisée et préparée par André-Charles Idier Remerciements à Christo, Guy Pieters et Isabelle Lelievre. Guy Pieters Gallery Guy Pieters Gallery Zeedijk Guy Pieters Gallery Offices |
Christo Javacheff - photo de Patrick H. Reynolds |
Rétrospective Gérard Garouste National Gallery of Modern Art (NGMA) de New Delhi
20.01.2020 Gérard Garouste exposera à la National Gallery of Modern Art (NGMA) de New Delhi en Inde du 28 janvier au 29 mars 2020. Cette rétrospective réunira une soixantaine de tableaux couvrant 40 ans de création de 1980 à 2019. On y retrouvera toutes les différentes séries développées depuis le début : le Classique et l’Indien, les Indiennes, Dante (la Divine Comédie), Rabelais (la Dive Bacbuc), Cervantès (Don Quixotte), les Portraits, Goethe (Faust), Diane et Actéon, la Bible, le Talmud. Sous le patronage du Ministère de la Culture, de l’Institut français et avec le soutien de mécènes privés, cette exposition permettra au public indien de découvrir une œuvre complexe où se mêlent cultures chrétienne et hébraïque, mythes et légendes.Jean-Jacques Aillagon, qui fut successivement Président du Centre Pompidou, Ministre de la Culture et Président de Versailles sera le commissaire de cette importante manifestation. |
Sylvie Blum Naked Beauty MOCA BANGKOK
Sylvie Blum : Naked Beauty (1st time in Asia) Jan. 25 – 25 Mar. 2020 at MOCA BANGKOK From Muse to Master into the Museum MOCA Museum of Contemporary Art The Museum of Contemporary Art (MOCABANGKOK) will be showing Sylvie Blum’s work titled “Naked Beauty” with a grand opening on January 25th, 2020. Public viewing is open until March 2020. Sylvie Blum’s Photography exhibition is the very first of it’s kind in Thailand. Austrian-born Sylvie Blum started her career as a model prior to taking the helm as a photographer. Sylvie has worked for 16 years in front of the camera with photographers such as Helmut Newton, Jeanloup Sieff and many more. She has published five books. Her 5th book “Naked Beauty” by TeNeues was followed by a joint exhibition with Herb Ritts at the Fahey Klein Gallery in Los Angeles. Since 2005 Sylvie Blum works and lives in Los Angeles. Sylvie Blum is an exceptional photographer driven by passion and the love for photography. Sylvie Blum is at the forefront of the female force. She is the Ansel Adams of the female form. |
Sylvie Blum daily walk 2 - 2008 © Sylvie Blum |
Dora Maar Tate Modern London
Dora Maar Tate Modern presents the first UK retrospective of the work of Dora Maar (1907–97) whose provocative photographs and photomontages became celebrated icons of surrealism. Featuring over 200 works from a career spanning more than six decades, this exhibition shows how Maar’s eye for the unusual also translated to her commercial commissions, social documentary photographs, and paintings – key aspects of her practice which have, until now, remained little known. Born Henriette Théodora Markovitch, Dora Maar grew up between Argentina and Paris and studied decorative arts and painting before switching her focus to photography. In doing so, Maar became part of a generation of women who seized the new professional opportunities offered by advertising and the illustrated press. Tate Modern’s exhibition opens with the most important examples of these commissioned works. Around 1931, Maar set up a studio with film set designer Pierre Kéfer specialising in portraiture, fashion photography and advertising. Works such as The years lie in wait for you c.1935 – believed to be an advertising project for face cream that Maar made by overlaying two negatives – reveal Maar’s innovative approach to constructing images through staging, photomontage and collage. Striking nude studies such as that of famed model Assia Granatouroff also reveal how women photographers like Maar were beginning to infiltrate relatively taboo genres such as erotica and nude photography. |
Dora Maar, 1907-1997 |