Le Musée Prive - Art Magazine
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Baudelaire Les paradis artificiels Lithographies couleur de Michèle Salmon
Lettres persanes de MONTESQUIEU avec des illustrations d'André Hubert Tome 1
Inauguration de la Fondation Hartung-Bergman le 7 mai 2022
Par Martine Manfré Itzinger L’art est-il sexué ?
Depuis l’accrochage « Elles » de 2009 à Beaubourg, dédié aux femmes artistes (il s’agissait bien d’un accrochage des collections permanentes et non d’une exposition temporaire) je ne cesse de m’interroger : pourquoi distinguer les artistes ‘’femmes’’ et les singulariser par leur sexe ? L’artiste est avant tout artiste au travers de son art et non de son genre et il me semble que désigner les artistes par leur appartenance à un genre, en l’occurence parce qu’il est féminin et non masculin, plutôt que par leur art seul, est plus réducteur que valorisant. On se doit de remarquer que personne ne se sent obligé de préciser qu’il s’agit d’un artiste ‘’homme’’ lorsque l’on parle d’un artiste de sexe masculin. Alors pourquoi une telle sexualisation de l’art lorsqu’il s’agit d’oeuvres produites par une femme? Cette distinction n’est-elle pas une forme de stigmatisation? Si une oeuvre nous plait, nous plait-elle parce qu’elle a été produite par un homme? Par une femme? Ou par l’artiste qui a su nous émouvoir? Il faut faire beaucoup d’effort pour relever les noms des femmes peintres reconnues comme telles avant le XVIIème siècle. Dans les documents officiels du XIV au XVIIème siècles, il est possible de trouver des noms de femmes mais elles sont répertoriées comme «épouse d’artiste ou d’artisan parisien» mais non en tant qu’artiste. Au XIVème siècle, Boccace fait exception (1) et cite trois femmes, Martia, Timarète et Irène, pour leur activité artistique remarquée. Il faut ensuite attendre le XVIème siècle pour que Giorgio Vasari (2) fasse mention de Properzia de Rossi de Bologne comme une artiste remarquable (1490-1530), sculptrice de son état. On peut ensuite mentionner Artemisia Gentileschi (1593-1656) brillante peintre caravagesque comme artiste qui a largement marqué les esprits puis Rosalba Carriera (1675-1757), peintre vénitienne qui introduisit la mode du portrait au pastel en France. Deux femmes sont parvenues à passer le seuil de la prestigieuse Académie : Rosalba Carriera, reçue en 1720 sur demande de Louis XV et Elisabeth Vigée-Lebrun, admise en 1783. Properzia da Rossi, Joseph et la femme de Putiphar, |
Le dessin dans tous ses états par Julia Cserba
« Le dessin est père des trois arts… » -disait Giorgio Vasari. Pourtant pendant très longtemps il n’était considéré que comme une étape préparatoire, comme esquisse. Il n’y a pas longtemps même les grands collectionneurs des œuvres contemporaines, ainsi que les grands musées préféraient voir dans leurs collections des peintures, des sculptures et des installations au détriment des dessins. Heureusement il y avait toujours des amateurs d’art professionnels et particuliers avisés qui malgré le contre-courant ont défendu avec détermination et avec constance le dessin en le considérant comme art majeur. A nos jours grâce à eux l’attention de plus en plus de galeristes, muséologues et commissaires d’exposition se tourne vers cette magnifique discipline artistique. Après plusieurs expositions préalable La Halle Saint-Pierre en collaboration avec la revue Hey ! et sous le commissariat de Anne Richard récidive avec le Hey! Le dessin. A travers les œuvres de soixante participants venus de trente pays le visiteur peut découvrir la diversité du dessin dans le domaine technique, matériaux, style et motivation. Des dessins sur des feuilles d’arbre des soldats inconnus de la Grande Guerre, en passant par des dessins sur porcelaine de Sergei Isupov jusqu’aux œuvres à l’encre de chine rappelant à l’expressionisme allemande de Marcos Carrasquer ou des soucoupes volantes (OVNI ?) de couleurs vives en feutre de Ionel Talpazan, un large éventail montre la complexité et la diversité de ce moyen d’expression aussi ancien que l’humanité. A côté des dessins faits par des artistes formés dans des écoles des arts sont présents des œuvres des incarcérés japonais condamnées à mort, des malades dépressifs, des tatoueurs et des tagueurs. Ce qui m’a interpellé le plus c’étaient les dessins de Laurie Lipton dont j’ai jamais eu l’occasion de voir qu’en reproduction. Ils sont inspirés par les grands maîtres comme Dürer, Memling, Van Eyck Rembrandt et Goya, mais traitent les sujets contemporains. Laurie Lipton est née aux Etats Unis, où elle obtenu son diplôme des beaux-arts en dessin à l'Université Carnegie-Mellon en Pennsylvanie. Après avoir passé trente-six ans en Europe, notamment aux Pays-Bas, en Belgique, en Allemagne, au Royaume-Uni et en France, elle a retourné dans son pays natal. Avec un regard d’un quasi-étranger elle est devenue très critique envers la société américaine. |
EXPOSITION ERRÓ GALERIE LAURENT STROUK
GUDMUNDUR ERRO Pionnier du mouvement de la Figuration Narrative Erro est à la fois pop et baroque, il désire jouer avec les images, les détourner de leur quotidienneté banale pour les insérer dans un contexte méticuleusement préparé. En 1963 il arrive à New York et initie la série des Scapes, un flux ininterrompu d'images qui saturent la surface du tableau. Ainsi une narration infiniment complexe se met en place et laisse au spectateur sa liberté d'interprétation. « La peinture est un moyen de tenter de découvrir la signification d'un monde confus » nous dit Erro. A bientôt 90 ans, Erro investit la Galerie Strouk en reprenant ses sujets de prédilections : les supers héros de la pop culture américaine, les mangas japonais et toujours ses hommages à Fernand Léger et Pablo Picasso. Voir Biographie ERRO sur WIKIPEDIA: |
Madame Cardin de Sylvana Lorenz Editions Archipel
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L’âme primitive s’expose au Musée Zadkine Par Martine Manfré Itzinger
Keith Haring, Art in action Opera Gallery Miami
' "Art is nothing if you don't reach every segment of the people" 27 Nov. - 19 Dec. 2021 Opera Gallery is delighted to present ‘Keith Haring: Art in Action’, an immersive solo exhibition that celebrates Haring and his legacy, by remembering the spaces and places made special by Haring and his iconic drawings. Undeniably one of the most influential artists of his time, Haring shook up the art world one street drawing at a time and the buzz never really went away. This is remembrance, an ode to an 80s New York full of possibilities, dreams and unstoppable creativity. Right in the center of this booming street culture was a group of artists who believed in art as a response to life itself, as a means of representing its grandness and intricacies in the frenetic rhythm of the time. Keith Haring was an integral part of this movement by occupying and engaging with underground scenes, creating art for causes that were close to humanity. The streets and subway stations were Haring’s canvases, as he started devoting himself to lining the walls with his unmissable imageries and universal line-work, alive with playful kinetic energy. The idea was simple - to bring art closer to people, to create a pictorial vocabulary that can be comprehended by all, regardless of age, language and background. Beyond just drawings, Haring’s art symbolised his stance on post-modern currents of the time and opened dialogues on love, sexuality, war, politics, AIDS and drug-awareness - conversations that continued through his prolific art career. The result was like a light in darker times, inspiring a whole generation of people to believe in art, life, and how both intertwined. |
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