Du 19 avril au 13 Juin 2018 HANGAR ART CENTER GALLERY 18, place du Châtelain 1050 Brussels Belgium General information Tel. + 32 (0)2 538 00 85 Mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. FR - Hangar dévoile là partir du 19 avril 2018, l’œuvre magistrale de l’artiste japonais Aki Kuroda. Dans cette première exposition monographique de l’artiste en Belgique (depuis 1995), le visiteur pourra découvrir une série d’œuvres inédites (2016/2017) ainsi que plusieurs tableaux emblématiques. Au travers de ses œuvres, Aki Kuroda nous transporte dans un univers empreint/s à la fois de mythes antiques et d’histoires de son pays, le Japon. Il crée des « passages » entre des mondes divers : le modernisme et l’art contemporain, l’Orient et l’Occident, le corps et le cosmos, la mythologie et l’avenir. De très grandes toiles colorées investissent les espaces de Hangar sur le thème du Cosmogarden (jardin intérieur et extérieur/tout se mêle en une jungle onirique). Une fois encore et comme à diverses reprises au Japon, Aki Kuroda a souhaité collaborer avec des architectes. Hangar a proposé une collaboration avec les étudiants en architecture d’intérieur de l’école supérieure des arts de Mons, Arts2, pour la construction d’une maison de thé éphémère. Cette réalisation, conforme à l’univers et aux dessins d’Aki, s’intègre à la scénographie de l’exposition. Proche de la jeune scène artistique contemporaine, Aki Kuroda a souhaité associer à son exposition un plus jeune artiste, Marcin Sobolev (belgo russe). Aki et Marcin réaliseront ensemble une installation composée de fleurs et de créations artistiques communes. Un Cosmogarden grandeur nature… Hangar saisit l’occasion de cette exposition monumentale pour mettre en place une série d’événements liés au Japon et à l’œuvre d’Aki Kuroda. Les informations à ce sujet suivront. |
Aki Kuroda ©Photo by Yukishima Yuki, Aki in his workshop |
Le Musée Prive - Art Magazine
OPERA GALLERY AMERICAN ICONS
AMERICAN ICONS PREFACE Opera Gallery Paris est heureuse de présenter sa première exposition de 2018 consacrée aux icônes de l’art américain. « American Icons » est l’occasion de mettre en lumière l’effervescence de l’après-guerre qui caractérise l’avant-garde et définit « l’American Dream ». Nombreux sont les artistes d’Europe, d’Asie et d’ailleurs, à migrer aux États-Unis, dans une volonté d’émancipation culturelle et de galvanisation créatrice et humaine. Artistes d’origine ou d’adoption américaine, aujourd’hui acclamés et reconnus par le grand public et les institutions, tous ont bénéficié de l’expérience du Nouveau Monde. Dans un idéal de découverte de l’autre et de soi, de Donald Judd à Keith Haring en passant par Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat ou George Condo, tous ont marqué l’histoire de l’art et le marché de l’art contemporain à travers leurs créations inédites inscrites dans une société vouée à l’hégémonie. À la manière d’un voyage entre New York et Paris, cette exposition est l’occasion pour nous de revenir sur les artistes qui font partie de l’histoire d’Opera Gallery depuis plus de vingt ans. À travers cette sélection d’oeuvres, cet événement invite à redécouvrir les principaux instigateurs d’un territoire d’expérimentation, ces artistes visionnaires d’un monde en pleine reconstruction, au travers de créations emblématiques ou plus intimes ; études, dessins ou thématiques étonnantes. Nous sommes heureux de partager avec vous cette parenthèse représentative des prémices et fondements de l’art contemporain que nous avons hérités. Gilles Dyan |
Robert Indiana |
Art Cloche Mouvement précurseur du Street-Art par Lolochka
Témoignage de Lolochka, artiste résidente du collectif Art Cloche L’art Cloche ou comment créer, vivre, exposer diffuser ses oeuvres par des réseaux alternatifs montés dans des squats artistiques / 11 septembre 2009 L’ART CLOCHE bateau lavoir des années 80 Art Cloche, à l’origine Cloche Art est né dans le 14ème arrondissement de Paris aux confins du 13ème arrondissement, rue d’Arcueil, face à la Cité Universitaire Internationale, ombragé par le Parc Montsouris, dans les années quatre vingt. C’était un ancien dépôt de bombes occupé par des clochards, ferrailleurs, vagabonds, déchus de tout poils et des artistes purs et durs bohèmes ainsi que des dissidents de l’ex URSS… Pour ma part, j’ai rejoins le groupe fin 85, diplômée des beaux arts de Venise fin 1981, j’avais dans le cinquième monté, aidée par ma famille et des amis un atelier-galerie, librairie de fabrication, création de masques que je démarrai artisan puis en association puis faillit faute de fonds. Pour la petite histoire, je suis née en 1957, rue de l’Amiral Mouchez, à un pas de la rue d’Arcueil dans la maison du poète René Arcos qui y avait créé au début du siècle dernier les Editions du Sablier avec le peintre et graveur Franz Masereel, membre du mouvement pacifiste, il était un des fondateurs du cénacle des poètes de l’Abbaye de Créteil et ami de Romain Rolland. Juste pour rappeler qu’à l’époque ce qui permis à de nombreux artistes de s’installer à Paris et d’en faire la Capitale de l’Art était le prix dérisoire de l’immobilier, on pouvait se loger sans être aussitôt tenu de travailler 7h par jour (et donc d’abandonner la création faute d’avoir le don d’ubiquité…) pour payer un loyer exorbitant; je suis née dans la maison d’un poète à Paris, mais je doute qu’il y ait encore beaucoup de poètes vivants à Paris aujourd’hui… |
Lolochka huile sur toile de 1989 Maternité 116 x 89 cm Collection Privée PHR |
Centre Pompidou Jim Dine exposition Paris Reconnaissance
Jim DINE - Paris : Reconnaissance Artiste et poète américain de renommée mondiale, Jim Dine, né en 1935, rejoint New York en 1958. Il délaisse alors le happening pour la peinture, ses sujets mêlant expressionnisme abstrait et pop, sans se réclamer du mouvement. À l’occasion de l’importante donation faite par l’artiste au Musée national d’art moderne, le Centre Pompidou consacre une exposition inédite à son œuvre. Jeudi 15 mars à 19h : House of Words, lecture performance par Jim Dine dans le cadre du cycle In Vivo (Cinéma 2) Commissaire : Mnam/Cci, Bernard Blistène, Annalisa Rimmaudo |
Jim DINE A Child in Winter Sings, 2011-2012 |
CLAUDE GILLI POP LOVE GALERIE LOFT
EXPOSITION GALERIE LOFT http://www.galerieloft.com/ Symbole universel de la vie et du sentiment amoureux dans l’imaginaire populaire, le cœur possède une force visuelle et émotionnelle unique. Dans la série des « Feux de l’amour », Claude Gilli le décline sous la forme de compositions en relief, brillantes et lisses, aux couleurs intenses. Jeux de mots, jeux de lumière, jeux de mise en abîme. Vivants et vibrants, ses coeurs découpés dans du bois induisent une notion de profondeur de l’espace pictural, renforcée par la lumière des flammes qui viennent les caresser. Le caractère joyeux et énergique de ces œuvres souligne l’importance des plaisirs simples et de l’amour, tandis que l’humour omniprésent nous rappelle à quel point Gilli aimait la vie. Malgré les difficultés auxquelles il dû faire face toute sa vie, il ne cessa jamais de créer avec une certaine magie, des sujets assemblés et les paysages décalés qui caractérisent son oeuvre, dans une quête impérissable d’un idéal du bonheur. |
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Fondation Beyeler Paul Klee La dimension abstraite
Paul Klee – La dimension abstraite Du 1er octobre 2017 jusqu’au 21 janvier 2018, la Fondation Beyeler présentera une exposition complète sur l’artiste Paul Klee, l’un des peintres les plus importants du XXe siècle. Pour la première fois dans le cadre d’une exposition sera mise en lumière la relation de l’artiste à l’abstraction, exploit majeur de la peinture moderne. Comme bien d’autres artistes européens, Paul Klee releva le défi de l’abstraction. Sa riche production compte de magnifiques exemples de renoncement à la figuration jusqu’à l’élaboration d’univers iconographiques abstraits, aussi bien dans ses travaux de jeunesse que ses oeuvres tardives. Nature, architecture, musique et signes graphiques sont, chez lui, des thèmes majeurs et récurrents. À travers les 110 oeuvres issues de 12 pays, l’exposition se concentre sur cet aspect du travail de Klee, jusqu’alors ignoré. L’exposition rétrospective présente divers groupes d’oeuvres chronologiques à partir de 1912, permettant de suivre les étapes déterminantes du développement de l’artiste: l’exposition se déploie sur sept salles et s’ouvre sur les débuts de Klee en tant que peintre dans les années 1910 à Munich puis sur son célèbre voyage à Tunis en 1914, aborde ensuite le thème de la Première Guerre mondiale et s’intéresse à la décennie du Bauhaus de 1921 à 1931 avec ses célèbres compositions en damiers, aquarelles en couches ainsi que des oeuvres qui font référence à l’abstraction géométrique, thème dominant des années 1930. Les peintures réalisées suite aux voyages en Italie et en Égypte à la fin des années 1920 et au début des années 1930 préfigurent les signes picturaux présents dans les travaux tardifs du peintre ainsi que ses conceptions picturales qui mèneront à l’art de l’après-guerre. |
Paul Klee Park bei Lu, 1938, 129 Parc près de Lu Huile et peinture à la colle sur papier journal sur jute, 100 x 70 cm Centre Paul Klee, Berne, Courtesy Fondation Beyeler |
CÉSAR LA RÉTROSPECTIVE CENTRE POMPIDOU
CÉSAR LA RÉTROSPECTIVE 13 DÉCEMBRE 2017 – 26 MARS 2018 GALERIE 1, NIVEAU 6 La rétrospective de l’oeuvre de César présentée par le Centre Pompidou coïncide avec le vingtième anniversaire de la mort de l’artiste. Illustre dès l’âge de 25 ans, César a vécu plus de cinquante années de création. Il est la dernière figure majeure du Nouveau Réalisme dont l’oeuvre n’a pas encore fait l’objet d’une rétrospective au Centre Pompidou. À travers une centaine d’oeuvres présentées dans la plus vaste de ses galeries d’expositions, le Centre Pompidou propose de découvrir, dans toute son intégrité et sa richesse, le parcours de l’un des plus grands sculpteurs de son temps. Avec les oeuvres majeures les plus célèbres, comme à travers certains cycles plus méconnus, cette rétrospective présente un ensemble inédit à ce jour. Né à Marseille en 1921, César commence un apprentissage qui le conduit à Paris à l'École nationale supérieure des Beaux-arts. À Paris, il croise entre autres, Alberto Giacometti, Germaine Richier, Pablo Picasso et se mêle à la scène artistique d'alors, côtoyant les artistes de Saint-Germain-des-Prés et de Montparnasse. Très tôt, il se fait remarquer par une technique qui lui est propre et lui apporte la célébrité : ce sont les « Fers soudés », les figures humaines et autres « Vénus » ainsi que le bestiaire qu'il invente, peuplé d'insectes et d'animaux de toutes sortes qui l'amènent à sa première exposition personnelle, galerie Lucien Durand en 1954. Bientôt célèbre, son oeuvre est exposée de Londres à New York. |
CESAR Blu Francia 490, 1998 |
Sotheby's New York The Collection of Edward Albee
The Collection of Edward Albee
For many, Sotheby’s September auction will offer a new window into Edward Albee’s life and creative mind. Sourced from artists, friends and galleries over several decades, the majority of the 100+ works on offer adorned the walls of Albee’s Tribeca loft, which he rehung often to explore new artistic connections. In keeping with his constant experimentation as a playwright, the collection focuses on the birth and evolution of Abstraction in 20th century art, and a highly-personal intellectual pursuit of the ephemeral and the elusive – from a stunning figural work by Milton Avery, to a whimsical relief by Jean Arp, a Bauhaus work by Wassily Kandinsky, and a group of geometric abstractions by John McLaughlin. |
Wassily Kandinsky (1866-1944) |
Le douanier, l'oiseau et le verdict ou comment définir une œuvre d'art
François MORELLET correspondances amicales
François MORELLET Galerie Catherine Issert Le jeudi 28 septembre à la Galerie ZLOTOWSKI 20, rue de Seine 75006 PARIS Les galeries Catherine Issert, Saint-Paul-de-Vence et Zlotowski, Paris s’associent durant l’été - automne 2017 pour présenter simultanément deux expositions autour de François Morellet et de l’abstraction géométrique : du 26 août au 18 novembre à la galerie Catherine Issert et du 29 septembre au 31 octobre à la galerie Zlotowski. Le commissariat de cette double exposition est confié à Serge Lemoine, professeur émérite à l’Université de La Sorbonne, Paris. Elle fera l’objet d’un catalogue réalisé conjointement par les deux galeries pour lequel Serge Lemoine écrira un texte introductif. The Galerie Catherine Issert, Saint-Paul-de-Vence, and Galerie Zlotowski, Paris, are teaming up for summer-autumn 2017 to present simultaneously two exhibitions focusing on François Morellet and geometric abstraction: from August 26th to November 18th at the Galerie Catherine Issert, and from September 29th to October 31st at the Galerie Zlotowski. Mettant en jeu l’exploration des possibilités de la géométrie dans l’art, ces deux propositions se définissent selon l’axe de travail de chacune des galeries : l’artcontemporain pour la galerie Catherine Issert, l’art moderne et les avant-gardes du vingtième siècle pour la galerie Zlotowski. Ainsi se crée un aller-retourentre passé et présent, qui met en résonance plus d’un siècle de création artistique, plaçant en son centre cet artiste majeur que fut François Morellet. Pursuing the exploration of possibilities for geometry in art, two proposals have been defined reflecting the type of work presented by each gallery: contemporary art for the Galerie Catherine Issert, modern art and 20th-century avant-garde artists for the Galerie Zlotowski. A round-trip is thus created between past and present, echoing over a century of artistic creation, and placing the major artist that was François Morellet at its centre. |
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Mark Rothko at the Museum of Fine Arts Boston
Immersive Display of 11 Mark Rothko Paintings on View at The Museum of Fine Arts Boston Major Loans from National Gallery of Art, Washington, Make New England Debut BOSTON (September 8, 2017)—In a career that spanned five decades, Mark Rothko (1903–1970) created some of the 20th century’s most evocative and iconic masterpieces. “A painting is not a picture of an experience,” he once remarked; “it is an experience.” This fall, 11 major works by the artist travel to the Museum of Fine Arts, Boston (MFA), from the National Gallery of Art, Washington, for an immersive exhibition that invites visitors to become enveloped by Rothko’s large-scale paintings and encounter them as he had originally intended—to experience something more intimate and awe-inspiring than simply viewing. Mark Rothko: Reflection, on view from September 24, 2017 through July 1, 2018, is the first focused display of the artist’s works at the MFA, showcasing the full sweep of his career—from early surrealist compositions; to the luminous, colorful canvases of his maturity; to the large, enigmatic “black paintings” made late in his life. Together, they trace the development of Rothko’s singular artistic vision and his quest to create works that produce emotional, even spiritual, responses. Additionally, the exhibition features a juxtaposition of Thru the Window (1938–39), an early Rothko painting on public view in the U.S. for the first time, and Artist in his Studio (about 1628), a masterpiece by Rembrandt Harmensz. van Rijn (1606–1669) from the MFA’s collection—both portraits of artists reflecting on the act of painting. Contrary to notions that Rothko’s works represented a dramatic break from the past, the side-by-side comparison underscores the modern artist’s view of his own paintings as part of a much longer tradition, rooted in his deep appreciation for the Old Masters. Mark Rothko: Reflection is on view in the John F. Cogan, Jr. and Mary L. Cornille Gallery. Presented with generous support from the Robert and Jane Burke Fund for Exhibitions. Additional support provided by an anonymous foundation and The Bruce and Laura Monrad Fund for Exhibitions. |
Mark Rothko, Untitled, 1955. Oil on canvas. National Gallery of Art, Washington, Collection of Mrs. Paul Mellon, in Honor of the 50th Anniversary of the National Gallery of Art. © 1998 Kate Rothko Prizel & Christopher Rothko/Artists Rights Society (ARS), New York. |