ORLAN Vernissage le samedi 20 novembre à 18h, en présence de l'artiste. du 24 novembre 2021 au 15 janvier 2022. La galerie Eva Vautier a le plaisir de présenter l'artiste ORLAN avec la série, Les femmes qui pleurent sont en colère, commencée en 2019. ORLAN, avec ses oeuvres engagées et politiques, interroge sur le statut de la femme dans la société contemporaine. Elle n'est pas assujettie à un matériau, à une technologie ou à une pratique artistique. Elle utilise la sculpture, la photo- graphie, la performance, la vidéo, la 3D, les jeux vidéo, la réalité augmentée, l'intelligence artificielle et la robotique (elle a créé un robot à son image qui parle avec sa voix) ainsi que les techniques scientifiques et médicales comme la chirurgie et les biotechnologies... pour interroger les phé- nomènes de société de notre époque). Parmi ses oeuvres majeures, on compte le Baiser de l'artiste, qu'elle présente à la FIAC, en 1977 ou encore L'Origine de la guerre en 1989, reprenant L'Origine du monde de Gustave Courbet. Dans les années 1990, elle démarre une série d'opérations-chirurgicales-performances qu'elle met en scène. À partir de 1998, elle crée les premières Self-Hybridations, utilisant les technologies numériques pour mixer son por- trait avec celui de Précolombiennes, d'Amérindiennes, d'Africaines, ou encore des masques de l'Opéra de Pékin et des Self-Hybridations sur commande telle que celle d'Agatha Ruiz de la Prada. Les œuvres de la série Les femmes qui pleurent sont en colère sont inspirées des portraits de Picasso peignant sa compagne de l'époque, Dora Maar, en train de pleurer. Dans cette série, ORLAN hybride des fragments de son visage aux portraits de Dora Maar. |
Le Musée Prive - Art Magazine
Patrick REYNOLDS Le Musée Privé, Interview David ROCHE Président de RocheGrup Softwares société d’informatique sur la blockchain et les NFT’s.
Patrick REYNOLDS Le Musée Privé, Interview David ROCHE CEO of RocheGrup Softwares computer company on blockchain and NFT’s. PR: Que signifie le terme blockchain ? What does the term blockchain mean? DR : Une blockchain est une base de données qui contient l'historique de tous les échanges qui sont effectués sur son réseau. Elle est un tiers de confiance qui garantit la traçabilité des opérations et des transactions. Chaque transaction est enregistrée sous la forme d'un « bloc » de données et chaque bloc est relié à ceux qui le précèdent et le suivent. DR: A blockchain is a database that contains the history of all the exchanges that are carried out on its network. It is a trusted third party who guarantees the traceability of operations & transactions. Each transaction is recorded as a "block" of data and each block is linked to those that precede and follow it. PR: Qu’est-ce qu’un NFT ? What is an NFT? DR : NFT (Non fongible token) signifie : jeton non fongible. Il s’agit d’un élément numérique unique dont la propriété et la sécurité sont assurées par la blockchain, ce qui le rend infalsifiable. Ce NFT peut-être vendu, acheté et revendu à l’infini. Ce jeton virtuel unique sert de certificat numérique pour garantir à l’acheteur son authenticité. DR: NFT (Non fungible token), It is a unique digital element whose ownership & safety is ensured by the blockchain, making it tamper-proof. This NFT can be sold, bought and resold endlessly. This unique virtual token serves as a digital certificate to guarantee the authenticity of the buyer. PR: Est que le propriétaire du NFT devient également par son investissement propriétaire de l'œuvre d'Art physique?
PR: Does the owner of the NFT’s also become the owner of the physical work of art through his investment? DR: La vente d'un NFT est unique et exclusive pour son acheteur numérique et totalement distinct de l'œuvre physique.
Le collectionneur ou l'artiste d'une œuvre d'Art physique reste le propriétaire exclusif. La transformation en une image numérique de cette œuvre permet légalement la présence de 2 propriétaires distincts, l'un de l'œuvre d'Art physique et l'autre de l'œuvre d'Art numérique. L'un comme l'autre peuvent conserver ou revendre comme ils le souhaitent leur propriété respective.
DR: The sale of an NFT is unique and exclusive for its digital buyer and totally separate from the physical work. The collector or artist of a physical work of Art remains the exclusive owner. The transformation into a digital image of this work legally allows the presence of 2 separate owners, one of the physical work of art and the other of the digital work of art. Both can keep or resell their respective property as they wish. |
Opera Gallery presents Chu Teh-Chun and Georges Mathieu
Opera Gallery is delighted to present Chu Teh-Chun in Hong Kong Explore the symphonic dialogue between both artists through our online viewing rooms. |
Chu Teh-Chun, Apaisement du réel, 2005, oil on canvas, 73 x 100 cm I 28.7 x 39.4 in Opera Gallery Hong Kong |
CHU TEH-CHUN |
Chu Teh-Chun (1920 - 2014) is widely considered one of the most significant Chinese artists. He started his career in Hangzhou, China in the 1930s and eventually moved to Paris in 1955. Throughout the 20th century, his abstract paintings were exhibited all over the world, charming critics and art lovers with his ingenious blend of Chinese and French cultural elements and symbols. Gracefully pushing back the limits of the real and the unreal, his paintings, which are vibrant and full of movement, have a profound sense of depth, poetry and musicality. Although his work demonstrates the stylistic freedom of mid-century movements such as art informel and abstract expressionism, Chu always retained the rigorous technical brushwork he learned as a student in mainland China. "I came to Paris in the spring of 1955 to find the answer to a profound aspiration. I had to discover my own way, through my knowledge and practice of Western painting" |
MARY REYNOLDS. ARTISTE SURREALISTE ET AMANTE DE MARCEL DUCHAMP PAR CHRISTINE ODDO
Opera Gallery Paris présente Jean Dubuffet
Biographie Karl Lagasse
Artiste renommé, Karl Lagasse s’est fait connaître en 2009 grâce à ses sculptures One Dollar. La même année, Artprice le classait parmi les dix meilleurs sculpteurs du monde de moins de 30 ans. En 2012, la publication new-yorkaise Farameh le citait parmi les cinquante meilleurs artistes contemporains qui tiraient leur inspiration des icônes américaines traditionnelles dans son ouvrage FOR WHICH IT STANDS: Americana in Contemporary Art. Plus récemment, lors de l’Art Paris Art Fair 2016, le président de la république française a personnellement félicité Karl pour le succès de son One Dollar de bronze de 2 mètres exposé au Grand Palais. Karl a commencé son parcours artistique par des collages, à l’âge de 7 ans. Cette année-là, sa rencontre avec le sculpteur français César Baldaccini l’a poussé à poursuivre dans cette voie. Plus tard, il s’est aventuré dans le métro parisien, le tag et le graffiti devenant son mode d’expression de prédilection. Malgré tout, les collages restaient sa vraie passion. C’est l’artiste Yvaral Vasarely qui lui a suggéré d’intégrer ses tags à ses collages. En 2003, Karl préparait sa première exposition à Paris. Sa première exposition personnelle présentant ses Buildings s’est tenue en 2006, à la galerie Isy Brachot, à Bruxelles. Deux ans plus tard, Karl était de retour à Paris à l’Espace Pierre Cardin pour sa première exposition personnelle de peintures et de sculptures comportant des éléments vidéo et photographiques. |
Par-dessus tout, Karl aime dévoiler ses nouvelles oeuvres lors d’expositions internationales : en 2011, au salon Art Monaco, il était représenté par la galerie Bel Air Fine Art, avec sa création Cryptogram One ; en 2012, il a présenté des One Dollar sur le thème « In God We Trust » lors d’une exposition personnelle à la galerie Artco France ; en 2016, son exposition personnelle à la galerie Atrium, à Marbella (Espagne), a été inaugurée par le maire de la ville qui a parlé de ses oeuvres à la presse internationale. En 2010, Karl a été choisi pour représenter la ville de Deauville (Normandie) à l’occasion du championnat du monde équestre Horsemania, à Lexington (États-Unis), pour lequel il a réalisé une sculpture représentant un cheval en l’honneur de cette manifestation. De retour à Deauville, en 2012, Karl a offert à la ville Cryptogram One, bronze porteur d’un message de paix et d’amour, qui a été installé à l’entrée de la ville et inauguré par le maire, Philippe Augier. La même année, c’est en collaboration avec Corbis qu’il a réalisé une sculpture monumentale pour le soixante-cinquième festival de Cannes, en utilisant des photographies datant de 1945 à 2011 pour réaliser cette oeuvre qui a été exposée à l’hôtel Carlton, où les artistes présents au festival pouvaient la signer. C’est ce qu’ont fait notamment Alexandra Lamy, Gad Elmaleh, Bérénice Bejo, Marie Gilain, Michael Youn, José Garcia, Michel Hazanavicius, Nadine Labaki, Cuba Gooding Jr., Tim Roth, Matthew McConaughey et Zac Efron. |
Un dimanche à la galerie 7ème édition Dimanche 7 novembre 2021
Journée d’ouverture commune des galeries d’art sur l’ensemble du territoire français, la 7ème édition d’Un Dimanche à la galerie poursuit l’objectif initial de toucher un nouveau public, – ou trop rarement présent dans les galeries ; de rendre compte de la diversité des propositions artistiques des galeries en France ; et de faire connaître le rôle indispensable du galeriste dans la valorisation du travail des artistes. Ce public élargi est notamment celui qui, avide de contact avec les œuvres d’art et des émotions qu’elles suscitent, s’était rendu dans les galeries lors des périodes de fermeture des musées. A travers cet évènement, le CPGA veut rappeler que les galeries contribuent toute l’année à l’offre culturelle française, et sont complémentaires des musées et centres d’art. Cette édition 2021 sera relayée pour la première fois directement sur le nouveau site Internet du Comité professionnel des galeries d’art lancé pour l’occasion, grâce à une carte digitale des galeries participantes. Désireux de revenir au caractère festif de ce Dimanche d’unité, et d’attirer le plus grand nombre, les galeries ont été invitées à organiser un moment privilégié (rencontre avec un artiste, performance, goûter, etc.) dans le respect des mesures sanitaires. Témoignage du dynamisme des galeries françaises, Un Dimanche à la galerie avait mobilisé l’année dernière 160 galeries du CPGA en septembre 2021 dans 20 villes de 10 régions. Cette participation exceptionnelle témoignait déjà, entre deux confinements, du message résolument optimiste des galeries aux côtés des artistes qu’elles représentent ; des milliers de visiteurs avaient répondu à l’invitation. L’événement entre en résonance avec le Paris Gallery Weekend désormais piloté par le CPGA et qui se tiendra sur quatre jours en mai 2022. https://www.comitedesgaleriesdart.com/actualites/un-dimanche-a-la-galerie/ |
EXPOSITION PHOTOS GRECO À LA LOUISIANE SAINT GERMAIN DES PRES
Eduardo Carvalho un jeune artiste brésilien invité à exposer au Louvre ! par Martine Manfré itzinger
Gustave Caillebotte FONDATION PIERRE GIANADDA MARTIGNY SUISSE
Felicien Rops Guy Pieters Gallery
FÉLICIEN ROPS Carnet mondain (mars) aquarel op papier 13,7 x 9,6 cm 1883 | FÉLICIEN ROPS Carnet mondain (décembre) aqarel op papier 13,5 x 9,5 cm 1883 |
FÉLICIEN ROPS
208 DRAWINGS, WATERCOLORS AND ENGRAVINGS FROM A PRIVATE COLLECTION
Linda and Guy Pieters are pleased to invite you to the private view of the exhibition
Friday 6 August from 11 AM until 7 PM
Saturday 7 August from 11 AM until 7 PM
Sunday 8 August from 11 AM until 1 PM
MODIFIED PROGRAM DUE TO NEW COVID RESTRICTIONS
The Office at Guy Pieters Gallery
Zeedijk - Het Zoute 755
8300 Knokke-Heist
exhibition from 6 August until 12 September
Closed on Tuesday and Wednesday
T. +32 50 80 00 15 - knokke(at)guypietersgallery.com site : https://www.guypietersgallery.com/en/home
Franz Priking Femme ailée 116 x 81 cm
CRJL1997 N°03 CATALOGUE RAISONNE JOHN LEVEE
John Harrison Levee (1924-2017) Technique mixte, laque et collage de 1997 signé en bas à droite du monogramme JL et daté 97 John Harrison Levee (1924-2017) Mixed technique, lacquer and collage from 1997 signed on the right side with the monogram JL and dated 97 PRIX : 1000 EUR |
John Harrison Levee (1924-2017) Technique mixte laque et collage de 1997
John Harrison Levee (1924-2017) Technique mixte, laque et collage de 1997 signé en bas à droite du monogramme JL et daté 97 John Harrison Levee (1924-2017) Mixed technique, lacquer and collage from 1997 signed on the right side with the monogram JL and dated 97 PRIX : 1500 EURVOIR D'AUTRES TABLEAUX DE JOHN LEVEE A VENDRE : https://www.le-musee-prive.com/vente-oeuvres-art/vente-oeuvres-de-john-levee.html |
Journées Juridiques du Patrimoine
Pour cette 21ème édition, les Journées Juridiques du Patrimoine reviennent le 15 novembre 2021 à la Maison du Barreau.Reconnue formation continue obligatoire (FCO), la journée se déroule en deux temps, afin de réaliser une rétrospective de l'année juridique écoulée avant de se concentrer sur un thème précis. Sur chaque sujet interviennent successivement parlementaires, avocats, élus, représentants des administrations et des grandes associations concernées, tout en favorisant des échanges avec la salle. Les conférences du matin seront consacrées à l'actualité législative récente qui touche au patrimoine et au paysage. Seront notamment discutés la loi Climat et résilience et le projet de loi 3DS. De plus, le sujet des éoliennes sera approfondi. Cette année encore, nous organiserons la 5ème édition du prix Pierre-Laurent Frier. Le prix, remis en fin de matinée, vise à récompenser les meilleurs mémoires des étudiants de Master 2 en droit du patrimoine matériel et immatériel, culturel et paysager, évalués par un jury composé d'universitaires. Quant au thème de l'après-midi, nos intervenants essaieront de répondre à la question suivante : « le droit pénal au secours du patrimoine et de l'environnement ? » afin de préciser la manière dont le droit pénal peut être utilisé pour faire respecter le droit du patrimoine et de l'environnement. Nous évoquerons également la question centrale du volontarisme du maire en amont et en aval de la sanction. |
L'interview de François Pinault
Centre Pompidou Elles font l'abstraction
Elles font l'abstraction Commissaire générale : L’exposition « Elles font l’abstraction » présentée au Centre Pompidou de la réouverture jusqu'au 23 août 2021, propose une relecture inédite de l’histoire de l’abstraction depuis ses origines jusqu’aux années 1980, articulant les apports spécifiques de près de cent dix « artistes femmes ». La commissaire générale Christine Macel et la commissaire associée pour la photographie, Karolina Lewandowska, revisitent cette histoire, tout en mettant en évidence le processus d’invisibilisation qui a marqué le travail des «artistes femmes», à travers un parcours chronologique mêlant arts plastiques, danse, photographie, film et arts décoratifs. Les artistes y sont présentées, selon les termes choisis pour le titre, comme actrices et cocréatrices à part entière du modernisme et de ses suites. L’exposition présente les tournants décisifs qui ont marqué l’histoire de l’abstraction tout en remettant en cause ses canons esthétiques, sans pour autant en redéfinir un. Il s’agit aussi de dépasser l’idée d’une histoire de l’art conçue comme une succession de pratiques pionnières. En redonnant une place aux « artistes femmes » au sein de cette histoire, l’exposition en démontre la complexité et la diversité. Elle opère tout d’abord une incursion inédite dans le 19e siècle avec la redécouverte de l’oeuvre de Georgiana Houghton datant des années 1860, bouleversant la chronologie des origines de l’abstraction à partir de ses racines spiritualistes. Elle valorise ensuite des figures phares par de mini-monographies mettant en avant des artistes peu montrées en Europe ou injustement éclipsées. Une attention toute particulière est donnée aux contextes spécifiques qui ont entouré, favorisé ou au contraire limité la reconnaissance des « artistes femmes » – des contextes à la fois éducationnels, Reférence Image : Saloua Raouda Choucair, |
John Harrison Levee (1924-2017) un peintre insuffisamment reconnu - Un texte par Martine Manfré Itzinger
A quand une exposition consacrée à John Levee dans nos institutions, qui pourrait être comprise comme un réveil ou, tout du moins,comme la réparation d'une injustice tardive faite à une grande figure de l'abstraction. La question est : pourquoi sa fortune critique n'est elle toujours pas à la hauteur de celle de ses contemporains? La reconnaissance de cet artiste majeur de l'abstraction semble toujours aussi discrète, bien en deçà de la renommée des artistes américains de sa génération tels que Rothko,Stella, de Kooning et consorts. Il serait peut être temps de rendre hommage à un artiste qui est venu et a vécu en France et dont les qualités créatrices, jamais remises en cause, justifieraient largement qu'une rétrospective lui soit consacrée en France et pourquoi pas à Paris dans sa ville d'adoption. Il semblerait que son indépendance d'esprit l'ait desservi car il est resté fidèle à une forme de liberté artistique jugée rebelle et a accordé plus d'importance à son art qu'au marché de l'art. Les protagonistes du théâtre artistique international lui en ont a apparemment tenu rigueur.
(2) - New York University, University of Southern California de Los Angeles, Washington University (3) - Patrick Reynolds, L'Expressionnisme Abstrait, Editions Le Musée Privé, 2007 |