Exposition Balthus FONDATION BEYELER Avec l’exposition Balthus, la Fondation Beyeler présente l’un des derniers grands maîtres de l’art du 20ème siècle, également l’un des artistes les plus singuliers et les plus controversés de l’art moderne. Dans son travail aux facettes et aux lectures multiples, vénéré par certains et rejeté par d’autres, Balthus, de son vrai nom Balthasar Klossowski de Rola (1908–2001), trace une voie artistique alternative, voire opposée aux courants des avant-gardes modernes et des représentations que l’on peut s’en faire. Dans cette voie solitaire, le peintre excentrique se réfère à un large éventail de prédécesseurs et de traditions artistiques allant de Piero della Francesca à Poussin, Füssli, Courbet et Cézanne. Mais un examen plus attentif révèle aussi les impulsions de certains courants artistiques modernes, notamment la Nouvelle Objectivité ou le Surréalisme, qui offrent un contexte aux stratégies parfois provocatrices de mise en scène picturale de Balthus et aux dimensions abyssales et insondables de son art. Sa distanciation fondamentale du modernisme, démarche que l’on peut presque qualifier de postmoderne, mène pourtant Balthus à développer une forme toute personnelle d’avant-garde, qui apparaît d’autant plus pertinente aujourd’hui. |
BALTHUS, THÉRÈSE, 1938 |
Le Musée Prive - Art Magazine
Solomon R. Guggenheim Museum Hilma af Klint Paintings for the Future
Solomon R. Guggenheim Museum (NEW YORK, NY— November 20, 2018)—The Solomon R. Guggenheim Museum will extend its hours until 8 pm during the holiday season, providing an additional opportunity for audiences to experience exhibitions on view, such as the groundbreaking Hilma af Klint: Paintings for the Future. From December 26, 2018, to January 6, 2019, the museum will be open every day from 10 am to 8 pm, with the exception of New Year’s Day, Tuesday, January 1, when the museum will open at 11 am. On Christmas Eve, Monday, December 24, museum hours will be from 10 am to 4 pm, and the museum will be closed on Christmas Day, Tuesday, December 25. The Guggenheim Store will be open for an additional half hour before and after museum hours. From December 26, 2018, to January 6, 2019, The Wright restaurant will be open from 11 am to 3:30 pm and will open at 11:30 am on Christmas Eve and New Year’s Day. For more information, visit guggenheim.org/plan-your-visit. Visitors to the Guggenheim may also view new paintings by contemporary artist R. H. Quaytman in the exhibition R. H. Quaytman: + x, Chapter 34, presented in conjunction with Hilma af Klint: Paintings for the Future, as well as modern masterpieces from the Guggenheim’s collection in the Thannhauser Collection galleries, and sculptures by Constantin Brancusi on Tower Level 2. |
Bidding Battle for KAWS SpongeBob Breaks Record
Experience the lively auction room atmosphere as bidders at Sotheby’s Contemporary Art Evening Sale in London drove the selling price of KAWS’ “Again and Again” to a record price for the artist. Eventually selling for £1.03 million, the depiction of one of America’s best loved cartoon characters was expected to fetch between £250,000–300,000. Download The Sotheby’s - FOR MORE NEWS FROM SOTHEBY’S Instagram: https://www.instagram.com/sothebys/ Facebook: https://www.facebook.com/sothebys Twitter: https://twitter.com/sothebys Pinterest: https://www.pinterest.com/ Weibo: https://www.weibo.com/sothebyshongkong WeChat: sothebyshongkong Snapchat: Sothebys |
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KAWS, the Brooklyn-based artist also known as Brian Donnelly, is recognized for his appropriations of animations from popular culture; one of his most notable characters is COMPANION – a dark twist on Mickey Mouse. Composed of vibrant colors, an eerie grin and KAWS’ classic X-eyes, this portrait of SpongeBob offers a poignant social commentary on an image-saturated and media-obsessed contemporary society. “[I] found it weird how infused a cartoon could become in people's lives; the impact it could have, compared to regular politics,” the artist explains. Nostalgic to some, humorous to others, take a glimpse into the sale room as bidding goes back and forth for this iconic, record-setting work. |
Criticized beauty of Jan Saudek JM Art Management
Bacon Giacometti Fondation BEYELER Suisse
Bacon – Giacometti 29 avril – 2 septembre 2018 Avec Alberto Giacometti et Francis Bacon, la Fondation Beyeler présente à partir du 29 avril 2018 deux protagonistes d’exception de l’art moderne, tant amis que rivaux, dont la vision a fortement influencé l’art de la deuxième moitié du 20ème siècle à aujourd’hui. C’est la toute première fois qu’un musée consacre une exposition conjointe à ces deux artistes, éclairant leurs rapports et leurs relations. Aussi différentes que leurs oeuvres puissent sembler à première vue, ce face-à-face inattendu fait apparaître des correspondances surprenantes. L’exposition comprend des oeuvres célèbres des deux artistes, complétées par des oeuvres rarement exposées. A noter plus particulièrement, une série de plâtres originaux en provenance de la succession de Giacometti jamais encore dévoilés au grand public, ainsi que quatre grands triptyques de Bacon. Une salle multimédia propose des aperçus spectaculaires des ateliers des deux artistes. L’exposition est organisée par la Fondation Beyeler en collaboration avec la Fondation Giacometti, Paris. Le peintre britannique et le sculpteur suisse se sont rencontrés au début des années 1960 au travers d’une amie commune, l’artiste Isabel Rawsthorne. En 1965, leur relation était déjà telle que Bacon avait rendu visite à Giacometti à la Tate Gallery à Londres lorsque ce dernier y installait son exposition. Une série de clichés du photographe anglais Graham Keen documente cette rencontre, montrant les deux artistes en intense conversation. Plus d’un demi-siècle plus tard, les deux artistes sont réunis à la Fondation Beyeler et ce double portrait photographique ouvre l’exposition. |
Alberto Giacometti und Francis Bacon, 1965 Tirage gélatino-argentique © Graham Keen |
Gérard Fromanger De toutes les couleurs Jeanne Bucher Jaeger Paris Saint-Germain
GÉRARD FROMANGER Giacometti ne regardait jamais ce qu’il peignait parce que dès que tu regardes, c’est foutu. Tu deviens maniéré, tu commences à aimer ton trait ou à vouloir le corriger, tu te dis : ce serait mieux comme ci ou comme ça. Non ! Je ne rééquilibre pas, je combats. C’est une bataille. Ce sont tout le temps des batailles. -les couleurs se battent ? Gérard Fromanger et Laurent Greilsamer Fromanger De toutes les couleurs, Entretiens avec Laurent Greilsamer, Editions Gallimard, 3 mai 2018 A l’occasion de la parution du livre de Laurent Greilsamer aux Editions Gallimard Fromanger - De toutes les couleurs, la galerie organise une exposition consacrée à l’artiste, présentant des oeuvres de 1962 à 2017. Cetteexposition se déroule plus de quarante ans après sa dernière exposition personnelle à la galerie, en 1977, autourde la série Questions. L’exposition s’ouvre par l’Autoportrait de 1962, emblématique de la période « grise », dans le sillage d’AlbertoGiacometti, son premier maître, lequel, avec Jacques Prévert, le fait alors entrer chez Aimé Maeght. L’incendie de l’atelier en 1964 et la disparition dans les flammes de 80 tableaux marqueront la fin de cette période. Dans le gris de ces cendres, en s’en allant, le feu avait laissé une petite lueur pourpre...qui bien vite sera flamme et viendra lécher ses toiles. (Jacques Prévert). |
LA GALERIE EVA HOBER EXPOSE PETER KLASEN MAÎTRE DE LA FIGURATION NARRATIVE
EXPOSITION PETER KLASEN Peter Klasen, artiste majeur et pionnier de la Nouvelle Figuration et du mouvement de la Figuration Narrative au début des années 60, est exposé du 14 mars au 11 mai 2018 par la galerie Eva Hober. Sera présentée une série d’oeuvres récentes en hommage à Kasimir Malevitch, Piet Mondrian et Kurt Schwitters. Installée depuis octobre dans le 8e arrondissement de Paris, Eva Hober a le plaisir d’annoncer sa première exposition de Peter Klasen. Peter Klasen (né à Lubeck le 18 août 1935) vit et travaille à Paris depuis1959. L’artiste, engagé, est connu pour ses « tableaux-rencontres» : collages et photographies - matériau de prédilection de l’artiste qu’il tire d’affiches publicitaires, de cinéma et de magazines - réinterprétées à l’aérographie et inspirées de la réalité urbaine et de ses codes. Avec ses oeuvres, Peter Klasen dénonce les dangers des médias et leur impact sur le monde. Les thématiques telles que la société de consommation, l’obsession, la folie, les relations de pouvoir, l’enfermement, les faits divers, le corps et le cinéma sont récurrentes dans l’oeuvre de Peter Klasen qui a ouvert avec force la voie aux artistes qui interrogent aujourd’hui la société. Peter Klasen commence en 2010 la série des hommages aux grands maîtres : des oeuvres dialoguant avec les artistes tels que Duchamp, Friedrich, Léger, Mondrian, Picasso, Schwitters, de Vinci, El Gréco ou encore Le Tintoret. Dans ses compositions picturales tout comme dans les thématiques abordées, l’influence des grands maîtres sur l’oeuvre de Peter Klasen est omniprésente et l’artiste leur rend une nouvelle fois hommage avec une série d’oeuvres inédites dédiée à Malevitch, Mondrian et Schwitters. |
Portrait Peter Klasen 2016 © Sydney Klasen |
Museum Of Modern Art New-York Exhibition of TARSILA DO AMARAL
THE FIRST MAJOR U.S. MUSEUM EXHIBITION OF TARSILA DO AMARAL Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil With Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil, The Museum of Modern Art presents the first monographic exhibition in the United States exclusively devoted to the pioneering work of Tarsila do Amaral (Brazilian, 1886–1973), a founding figure of Brazilian modernism. On view February 11 through June 3, 2018, the exhibition focuses on the artist’s production from the 1920s, tracing the path of her |
Tarsila do Amaral. Abaporu, 1928. Oil on canvas. |
Tate Modern London The EY Exhibition Picasso 1932
The EY Exhibition Picasso 1932 – Love, Fame, Tragedy In March 2018 Tate Modern will stage its first ever solo exhibition of Pablo Picasso’s work, one of the most significant shows the gallery has ever staged. The EY Exhibition: Picasso 1932 – Love, Fame, Tragedy will take visitors on a month-by-month journey through 1932, a time so pivotal in Picasso’s life and work that it has been called his ‘year of wonders’. More than 100 outstanding paintings, sculptures and works on paper will demonstrate his prolific and restlessly inventive character. They will strip away common myths to reveal the man and the artist in his full complexity and richness. 1932 was an extraordinary year for Picasso, even by his own standards. His paintings reached a new level of sensuality and he cemented his celebrity status as the most influential artist of the early 20th century. Over the course of this year he created some of his best loved works, including Nude Woman in a Red Armchair, an anchor point of Tate’s collection, confident colour-saturated portraits and Surrealist experiments, including thirteen seminal ink drawings of the Crucifixion. His virtuoso paintings also riffed on the voluptuous sculptures he had produced some months before at his new country estate. In his personal life, throughout 1932, Picasso kept a delicate balance between tending to his wife Olga Khokhlova and their 11-year-old son Paulo, and his passionate love affair with Marie-Thérèse Walter, 28 years his junior. The exhibition will bring these complex artistic and personal dynamics to life with an unprecedented range of loans from collections around the world, including many record-breaking works held in private hands. Highlights will include Girl before a Mirror, a signature painting that rarely leaves The Museum of Modern Art, and the legendary The Dream, a virtuoso masterpiece depicting the artist’s muse in dreamy abandon, which has never been exhibited in the UK before. |
Pablo Picasso The Dream (Le Rêve) 1932, |
Découvrez les nouveaux carnets de voyage Louis Vuitton
Louis Vuitton publie quatre nouveaux titres dans sa collection de carnets de voyage illustrés par des artistes du monde entier. Ouverte à tous les arts, peinture, collage, illustration, manga, bande dessinée, cette collection répond à une exigence de diversité et propose un autre regard sur l’ailleurs. Artistes de renom et jeunes talents racontent les villes et pays parcourus à travers des dessins entièrement inédits. Cette année, le dessinateur chinois Li Kunwu fait escale à Cuba, le plasticien russe Pavel Pepperstein dépeint Prague, l’illustrateur américain Miles Hyman met en scène Rome et le graveur suisse Thomas Ott sillonne la Route 66. Ces nouveaux carnets de voyage s’accompagneront d’expositions des dessins originaux dans des galeries et des musées du monde entier ainsi que de signatures en magasin et en librairie. Pour chaque titre, une édition grand format numérotée à trente exemplaires est disponible dans une sélection de magasins Louis Vuitton. Prolongez le voyage et découvrez la collection ici. |
EXPOSITION AKI KURODA HANGAR ART CENTER GALLERY BRUXELLES
Du 19 avril au 13 Juin 2018 HANGAR ART CENTER GALLERY 18, place du Châtelain 1050 Brussels Belgium General information Tel. + 32 (0)2 538 00 85 Mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. FR - Hangar dévoile là partir du 19 avril 2018, l’œuvre magistrale de l’artiste japonais Aki Kuroda. Dans cette première exposition monographique de l’artiste en Belgique (depuis 1995), le visiteur pourra découvrir une série d’œuvres inédites (2016/2017) ainsi que plusieurs tableaux emblématiques. Au travers de ses œuvres, Aki Kuroda nous transporte dans un univers empreint/s à la fois de mythes antiques et d’histoires de son pays, le Japon. Il crée des « passages » entre des mondes divers : le modernisme et l’art contemporain, l’Orient et l’Occident, le corps et le cosmos, la mythologie et l’avenir. De très grandes toiles colorées investissent les espaces de Hangar sur le thème du Cosmogarden (jardin intérieur et extérieur/tout se mêle en une jungle onirique). Une fois encore et comme à diverses reprises au Japon, Aki Kuroda a souhaité collaborer avec des architectes. Hangar a proposé une collaboration avec les étudiants en architecture d’intérieur de l’école supérieure des arts de Mons, Arts2, pour la construction d’une maison de thé éphémère. Cette réalisation, conforme à l’univers et aux dessins d’Aki, s’intègre à la scénographie de l’exposition. Proche de la jeune scène artistique contemporaine, Aki Kuroda a souhaité associer à son exposition un plus jeune artiste, Marcin Sobolev (belgo russe). Aki et Marcin réaliseront ensemble une installation composée de fleurs et de créations artistiques communes. Un Cosmogarden grandeur nature… Hangar saisit l’occasion de cette exposition monumentale pour mettre en place une série d’événements liés au Japon et à l’œuvre d’Aki Kuroda. Les informations à ce sujet suivront. |
Aki Kuroda ©Photo by Yukishima Yuki, Aki in his workshop |
OPERA GALLERY AMERICAN ICONS
AMERICAN ICONS PREFACE Opera Gallery Paris est heureuse de présenter sa première exposition de 2018 consacrée aux icônes de l’art américain. « American Icons » est l’occasion de mettre en lumière l’effervescence de l’après-guerre qui caractérise l’avant-garde et définit « l’American Dream ». Nombreux sont les artistes d’Europe, d’Asie et d’ailleurs, à migrer aux États-Unis, dans une volonté d’émancipation culturelle et de galvanisation créatrice et humaine. Artistes d’origine ou d’adoption américaine, aujourd’hui acclamés et reconnus par le grand public et les institutions, tous ont bénéficié de l’expérience du Nouveau Monde. Dans un idéal de découverte de l’autre et de soi, de Donald Judd à Keith Haring en passant par Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat ou George Condo, tous ont marqué l’histoire de l’art et le marché de l’art contemporain à travers leurs créations inédites inscrites dans une société vouée à l’hégémonie. À la manière d’un voyage entre New York et Paris, cette exposition est l’occasion pour nous de revenir sur les artistes qui font partie de l’histoire d’Opera Gallery depuis plus de vingt ans. À travers cette sélection d’oeuvres, cet événement invite à redécouvrir les principaux instigateurs d’un territoire d’expérimentation, ces artistes visionnaires d’un monde en pleine reconstruction, au travers de créations emblématiques ou plus intimes ; études, dessins ou thématiques étonnantes. Nous sommes heureux de partager avec vous cette parenthèse représentative des prémices et fondements de l’art contemporain que nous avons hérités. Gilles Dyan |
Robert Indiana |
Art Cloche Mouvement précurseur du Street-Art par Lolochka
Témoignage de Lolochka, artiste résidente du collectif Art Cloche L’art Cloche ou comment créer, vivre, exposer diffuser ses oeuvres par des réseaux alternatifs montés dans des squats artistiques / 11 septembre 2009 L’ART CLOCHE bateau lavoir des années 80 Art Cloche, à l’origine Cloche Art est né dans le 14ème arrondissement de Paris aux confins du 13ème arrondissement, rue d’Arcueil, face à la Cité Universitaire Internationale, ombragé par le Parc Montsouris, dans les années quatre vingt. C’était un ancien dépôt de bombes occupé par des clochards, ferrailleurs, vagabonds, déchus de tout poils et des artistes purs et durs bohèmes ainsi que des dissidents de l’ex URSS… Pour ma part, j’ai rejoins le groupe fin 85, diplômée des beaux arts de Venise fin 1981, j’avais dans le cinquième monté, aidée par ma famille et des amis un atelier-galerie, librairie de fabrication, création de masques que je démarrai artisan puis en association puis faillit faute de fonds. Pour la petite histoire, je suis née en 1957, rue de l’Amiral Mouchez, à un pas de la rue d’Arcueil dans la maison du poète René Arcos qui y avait créé au début du siècle dernier les Editions du Sablier avec le peintre et graveur Franz Masereel, membre du mouvement pacifiste, il était un des fondateurs du cénacle des poètes de l’Abbaye de Créteil et ami de Romain Rolland. Juste pour rappeler qu’à l’époque ce qui permis à de nombreux artistes de s’installer à Paris et d’en faire la Capitale de l’Art était le prix dérisoire de l’immobilier, on pouvait se loger sans être aussitôt tenu de travailler 7h par jour (et donc d’abandonner la création faute d’avoir le don d’ubiquité…) pour payer un loyer exorbitant; je suis née dans la maison d’un poète à Paris, mais je doute qu’il y ait encore beaucoup de poètes vivants à Paris aujourd’hui… |
Lolochka huile sur toile de 1989 Maternité 116 x 89 cm Collection Privée PHR |
Centre Pompidou Jim Dine exposition Paris Reconnaissance
Jim DINE - Paris : Reconnaissance Artiste et poète américain de renommée mondiale, Jim Dine, né en 1935, rejoint New York en 1958. Il délaisse alors le happening pour la peinture, ses sujets mêlant expressionnisme abstrait et pop, sans se réclamer du mouvement. À l’occasion de l’importante donation faite par l’artiste au Musée national d’art moderne, le Centre Pompidou consacre une exposition inédite à son œuvre. Jeudi 15 mars à 19h : House of Words, lecture performance par Jim Dine dans le cadre du cycle In Vivo (Cinéma 2) Commissaire : Mnam/Cci, Bernard Blistène, Annalisa Rimmaudo |
Jim DINE A Child in Winter Sings, 2011-2012 |
CLAUDE GILLI POP LOVE GALERIE LOFT
EXPOSITION GALERIE LOFT http://www.galerieloft.com/ Symbole universel de la vie et du sentiment amoureux dans l’imaginaire populaire, le cœur possède une force visuelle et émotionnelle unique. Dans la série des « Feux de l’amour », Claude Gilli le décline sous la forme de compositions en relief, brillantes et lisses, aux couleurs intenses. Jeux de mots, jeux de lumière, jeux de mise en abîme. Vivants et vibrants, ses coeurs découpés dans du bois induisent une notion de profondeur de l’espace pictural, renforcée par la lumière des flammes qui viennent les caresser. Le caractère joyeux et énergique de ces œuvres souligne l’importance des plaisirs simples et de l’amour, tandis que l’humour omniprésent nous rappelle à quel point Gilli aimait la vie. Malgré les difficultés auxquelles il dû faire face toute sa vie, il ne cessa jamais de créer avec une certaine magie, des sujets assemblés et les paysages décalés qui caractérisent son oeuvre, dans une quête impérissable d’un idéal du bonheur. |
Fondation Beyeler Paul Klee La dimension abstraite
Paul Klee – La dimension abstraite Du 1er octobre 2017 jusqu’au 21 janvier 2018, la Fondation Beyeler présentera une exposition complète sur l’artiste Paul Klee, l’un des peintres les plus importants du XXe siècle. Pour la première fois dans le cadre d’une exposition sera mise en lumière la relation de l’artiste à l’abstraction, exploit majeur de la peinture moderne. Comme bien d’autres artistes européens, Paul Klee releva le défi de l’abstraction. Sa riche production compte de magnifiques exemples de renoncement à la figuration jusqu’à l’élaboration d’univers iconographiques abstraits, aussi bien dans ses travaux de jeunesse que ses oeuvres tardives. Nature, architecture, musique et signes graphiques sont, chez lui, des thèmes majeurs et récurrents. À travers les 110 oeuvres issues de 12 pays, l’exposition se concentre sur cet aspect du travail de Klee, jusqu’alors ignoré. L’exposition rétrospective présente divers groupes d’oeuvres chronologiques à partir de 1912, permettant de suivre les étapes déterminantes du développement de l’artiste: l’exposition se déploie sur sept salles et s’ouvre sur les débuts de Klee en tant que peintre dans les années 1910 à Munich puis sur son célèbre voyage à Tunis en 1914, aborde ensuite le thème de la Première Guerre mondiale et s’intéresse à la décennie du Bauhaus de 1921 à 1931 avec ses célèbres compositions en damiers, aquarelles en couches ainsi que des oeuvres qui font référence à l’abstraction géométrique, thème dominant des années 1930. Les peintures réalisées suite aux voyages en Italie et en Égypte à la fin des années 1920 et au début des années 1930 préfigurent les signes picturaux présents dans les travaux tardifs du peintre ainsi que ses conceptions picturales qui mèneront à l’art de l’après-guerre. |
Paul Klee Park bei Lu, 1938, 129 Parc près de Lu Huile et peinture à la colle sur papier journal sur jute, 100 x 70 cm Centre Paul Klee, Berne, Courtesy Fondation Beyeler |
CÉSAR LA RÉTROSPECTIVE CENTRE POMPIDOU
CÉSAR LA RÉTROSPECTIVE 13 DÉCEMBRE 2017 – 26 MARS 2018 GALERIE 1, NIVEAU 6 La rétrospective de l’oeuvre de César présentée par le Centre Pompidou coïncide avec le vingtième anniversaire de la mort de l’artiste. Illustre dès l’âge de 25 ans, César a vécu plus de cinquante années de création. Il est la dernière figure majeure du Nouveau Réalisme dont l’oeuvre n’a pas encore fait l’objet d’une rétrospective au Centre Pompidou. À travers une centaine d’oeuvres présentées dans la plus vaste de ses galeries d’expositions, le Centre Pompidou propose de découvrir, dans toute son intégrité et sa richesse, le parcours de l’un des plus grands sculpteurs de son temps. Avec les oeuvres majeures les plus célèbres, comme à travers certains cycles plus méconnus, cette rétrospective présente un ensemble inédit à ce jour. Né à Marseille en 1921, César commence un apprentissage qui le conduit à Paris à l'École nationale supérieure des Beaux-arts. À Paris, il croise entre autres, Alberto Giacometti, Germaine Richier, Pablo Picasso et se mêle à la scène artistique d'alors, côtoyant les artistes de Saint-Germain-des-Prés et de Montparnasse. Très tôt, il se fait remarquer par une technique qui lui est propre et lui apporte la célébrité : ce sont les « Fers soudés », les figures humaines et autres « Vénus » ainsi que le bestiaire qu'il invente, peuplé d'insectes et d'animaux de toutes sortes qui l'amènent à sa première exposition personnelle, galerie Lucien Durand en 1954. Bientôt célèbre, son oeuvre est exposée de Londres à New York. |
CESAR Blu Francia 490, 1998 |
Sotheby's New York The Collection of Edward Albee
The Collection of Edward Albee
For many, Sotheby’s September auction will offer a new window into Edward Albee’s life and creative mind. Sourced from artists, friends and galleries over several decades, the majority of the 100+ works on offer adorned the walls of Albee’s Tribeca loft, which he rehung often to explore new artistic connections. In keeping with his constant experimentation as a playwright, the collection focuses on the birth and evolution of Abstraction in 20th century art, and a highly-personal intellectual pursuit of the ephemeral and the elusive – from a stunning figural work by Milton Avery, to a whimsical relief by Jean Arp, a Bauhaus work by Wassily Kandinsky, and a group of geometric abstractions by John McLaughlin. |
Wassily Kandinsky (1866-1944) |