Pascal Vanhoecke Sexe Et Convenances III

Exposition d'art

PASCAL VANHOECKE SEXE ET CONVENANCES III

Cet Automne, Pascal Vanhoecke présente dans sa galerie parisienne l'exposition :
Sexe et Convenances III « Dyke or dead : regards de femmes sur les femmes ».

Du 18 octobre au 3 décembre 2011, vernissage le 18 octobre.

GALERIE PASCAL VANHOECKE : 21 rue des Filles du Calvaire - 75003 Paris
Tél : + 33 (0)6 84 07 57 00 / Tél : +33 (0)1 40 27 09 27
Annexe : 14 bis rue du Docteur Gosselin - 94 230 Cachan - France
Tél : + 33(0)1 49 86 59 24

pascal[at]galeriepascalvanhoecke.com
www.galeriepascalvanhoecke.com

Cet Automne, la Galerie Pascal Vanhoecke a le plaisir de vous présenter Sexe et Convenances III « Dyke or dead : regards de femmes sur les femmes ». Cette exposition génère des pensées sur « des femmes comme les autres, certes lesbiennes mais avant tout artistes ! » explorant les questions de genres pour mieux les réinventer. Depuis le FHAR (Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire : rassemblement des activistes gays et lesbiens, fondé en 1971, inspirant le mouvement LGBT des années 1990.) des 70'S en passant par le féminisme, les identités sexuelles et de genre ont envahi les marges et créé de nouveaux territoires artistiques. À travers des oeuvres photographiques, vidéo et performances, la galerie invite à découvrir un univers encore inexploré des visiteurs.

La galerie parisienne Pascal Vanhoecke met les lesbiennes à l'honneur. Plus d'une vingtaines de pièces d'artistes «libres, libérées et forcément malpolies» y sont présentées, sous le titre Dyke or Dead. Dyke or Dead? «C'est une expression qui sonne un peu punk, c'est militant. Cela veut dire: c'est ça ou rien», revendique Karine Pelgrims, une des artistes.

Pour cette exposition à ne pas manquer, Karine Pelgrims donne à voir de très belles photos, façon scanner, de lesbiennes en sous-vêtements, ainsi que des instantanés de la marche des fiertés. A ses côtés, sont proposés les travaux d'Emilie Jouvet, la réalisatrice de Too Much Pussy et de One Night Stand, et ceux de Tina Fiveash, une Australienne fascinée par les années 50 qui fait poser ses modèles dans le style de cette époque.
Vous pourrez également voir quelques extraits vidéos des performances burlesques de Louis(e) de Ville et les dessins d'Aurélie Dubois, dont les images érotiques se penchent sur la sexualité et les rapports homme/femme." Marie Kirschen. Têtu

Une émission radiophonique en collaboration avec S.O.S. Homophobie avec le psychanalyste Daniel Androvski est organisée le vendredi 4 Novembre à 22h30 sur radio Libertaire (89,4 FM). La question de l'insexualité, en rapport avec les recherches d'Aurélie Dubois, ainsi que de l'homophobie, seront débattues, entre autres, avec plusieurs artistes de l'exposition Sexe et Convenances III : Dyke or dead, jusqu'au 3 Décembre à la galerie
Pascal Vanhoecke.

« Dyke or dead : regards de femmes sur les femmes » ou comment casser les clichés homophobes, lesbophobes et autres mièvreries. « Dyke or dead : regards de femmes sur les femmes », avec des artistes libres, libérées et forcément subversives.

DATES DE CETTE EXPOSITION

Du 18 octobre au 3 décembre 2011, vernissage le 18 octobre.
Performances, conférences et projections sur le site et le blog au fur et à
mesure de son évolution.

LES ARTISTES

Tina Fiveash, photographe australienne de 41 ans, est une artiste engagée s’affirmant dans les années 90 par le biais d’affiches publicitaires. Étudiant la photographie sous tous ses angles, cette artiste s’est fortement impliquée dans la communauté lesbienne de Sydney et au niveau international.
Fascinée par les années 50, elle tente de retracer l’histoire des femmes homosexuelles lors de cette période où l’homosexualité était alors considérée comme illégale. À travers ses photographies riches en émotions et en romantisme, Tina Fiveash offre un regard contemporain sur l’omniprésence de la ségrégation envers la communauté lesbienne. Sa dernière exposition en date offre une approche différente. Aujourd’hui, elle travaille à l’intersection de la photographie et du cinéma. Pour la série Grace, elle se questionne sur la représentation des femmes et des queers dans la société actuelle.

 
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 Tina Fiveash Photo Twilight Avenue

Emilie Jouvet, jeune photographe et réalisatrice militante de 33 ans explore depuis dix ans les figures du monde underground queer parisien, dans leur intimité et leur lâcher-prise, dans des mises en scène subversives jouant avec le genre et l'identité. Dans ses films, elle dévoile des corps allant au-delà de leurs frontières biologiques et culturelles. « One Night Stand », considéré comme le premier long métrage porn queer et lesbien français lui a valu, notamment, le premier prix 2006 du Jury lesbien du Porn Film Festival de Berlin. En 2009, elle fonde le collectif Fem Menace. Ce collectif met en place des conférences sur le thème de l'homosexualité comme l'art, le sexe et l'argent. À noter également la sortie en salle de son film « Too Much Pussy ! Feminists Sluts, a queer X show » le 6 juillet 2011. Cette dernière réalisation lui permet d'étudier les connexions entre échanges artistiques, représentation du corps et sexualité.

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 Photo de Emilie Jouvet

Dans une approche toute différente, Karine Pelgrims réalise des photographies et des vidéos. Elle affirme sa position par sa fidélité lors d’événements comme la Marche des fiertés LGBT a.k.a, la Gay Pride, Existrans, La Pute Pride… Intuitive et toujours engagée, sa démarche révèle sa société contemporaine par le prisme des minorités et de son chariot de revendications ; elle explore les marges qui se renouvellent sans cesse. Son travail abat les cloisons en visitant des identités, des pratiques multiples…Elle s’immerge avec ses modèles dans des nouveaux mondes à visiter. Ses portraits, ses vues urbaines et contemporaines installent la photographie documentaire dans un genre artistique. Omniprésente sur la scène artistique, son travail marche sur le terrain de l'art plastique. Encore et toujours le mélange des genres.
Aurélie Dubois a fait du sexe, de la sexualité, des rapports homme-femme envisagés de façon coutumière mais intense, son principal propos plastique.
L’acte créateur dont elle est porteuse ne va pas dans le sens d’un travail lié au sexe féminin, ni au sexe masculin mais plus précisément dans le sens de la sexualité. Il lui apparaît de toute évidence que le « sexe » n’est ni féminin ni masculin. Elle pense qu’il serait discriminatoire de lui donner un genre. Sa création artistique consiste à démanteler les tabous dans un monde traversé de corps souvent déchirés, lacérés ou sur-offerts. L’imagination associée au désir, au fantasme et à l’érotisme, représente l’un des champs d’expérimentation et d’expression privilégiés de l’hybridation réel/imaginaire.
Cette artiste explore ce thème principalement par le biais du dessin. Au-delà du cliché, avec un style sûr, à la fois sommaire, précis et émouvant, Aurélie Dubois réactualise l'image érotique et stimule notre imaginaire dans la lignée d’Hans Bellmer.
 
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 Aurélie dubois Photo Diasec 150 x 150 cm

Louis(e) de Ville est une comédienne, performeuse burlesque, éducatrice sexuelle, et auteure. Elle s’affirme avec des pièces contre le racisme, le sexisme, et l’homophobie. Elle continue en France et dans toute l’Europe à créer sa propre propagande féministe et queer en explorant, exploitant et détournant les codes du genre. Avec ses personnages, de femme au foyer parfaite et provocatrice, de fille en bonbons et sexe en sucre d’orge, de marin pin-up, de gangster à paillettes et de femme à barbe, elle est un exemple vivant du mouvement pro-sexe. Elle a créé avec Wendy Delorme et Mister Mister le « Drag King Fem Show ». Elle a notamment élaboré en tant que metteur en scène « les Monologues du Vagin » en 2002, et créé « Femtasmes de Louise de Ville » en 2006 et écrit sa première pièce en Français : « Betty speaks » en 2009. Elle a présenté une première version de ce spectacle au « 3ème festival de théâtre gay et lesbien de Paris » qui lui a valu le prix d’Interprétation féminine.
 
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 Louise de Ville

Wendy Delorme est écrivain, performeuse et enseignante en sciences humaines et sociales. Auteure du roman "Quatrième Génération" (Editions Grasset, 2007), du recueil de fictions politiques "Insurrections! en territoire sexuel" (Editions du Diable Vauvert, 2009), elle vient de terminer son roman : "La mère la Sainte et la Putain" (à paraître). Elle écrit régulièrement pour Ravages, revue littéraire et politique. Elle a co-organisé avec Emilie Jouvet (Paris) et DJ Metzgerei (Berlin) la tournée d'artistes européenne "Queer X Show" qui inspira le road movie documentaire "Too Much Pussy, Feminist Sluts in the Queer X Show" d'Emilie Jouvet, 2011.
 

Sexe et convenances III « Dyke or dead : regards de femmes sur les femmes » est dédiée à la place des femmes et de leurs relations amoureuses dans l’art et la société occidentale d’aujourd’hui. Est organisée pour l’occasion une série de conférences, de débats et de séminaires, ainsi que de performances tout au long de l’exposition. Les oeuvres permettront de confronter les points de vue, les regards de plusieurs artistes dans une approche et une esthétique plurielle, afin d’offrir une vision ultra-contemporaine sur ce sujet protéiforme et multiple avec la possibilité de découvertes pour les visiteurs.


Du 18 octobre au 3 décembre 2011, vernissage le 18 octobre.
Performances, conférences et projections sur le site et le blog au fur et à
mesure de son évolution.

Biographie des artistes invités pour l’exposition Sexe et convenances III :

EMILIE JOUVET

Emilie Jouvet est une jeune photographe et réalisatrice de 33 ans.
Après des études aux Beaux Arts et à l'Ecole Nationale Supérieure de la Photographie, elle vit et travaille à Paris.
En 2005 elle fonde l'association TTMF avec D.Juncutt, puis en 2009 le collectif d'artistes Fem Menace, avec W. Delorme, L.Deville et Judy Minx.
Exposé dans de nombreux Centres d’Art Contemporain ( Sollertis, ArtRebels, Carrousel du Louvre,Tristesse Deluxe, Le Beursschouwburg, La Criée, La Maison Mathieu … ) son travail photographique explore depuis dix ans les figures de la scène underground Queer parisienne , dans leur intimité et leur lacher-prise, ou dans des mises en scène subversives jouant avec le genre et l'identité.
Diffusés sur Canal + , Arte, Tps, et projetés dans les festivals de cinéma internationaux ( Frameline, Forum des Images, MIX, Pink Screen, Theatro Nuovo, Cinema des Cinéastes, Expression En Corto, Impakt, Cineffable… ) ses films et courts-métrages à l'esthétique unique, sexy et engagée , exposent avec intensité la beauté des corps qui s’affirment et luttent contre leurs propres frontières biologiques et culturelles.
Son premier long métrage "ONE NIGHT STAND" fut le premier porn queer Français.
Ses films furent furent primés aux festivals de Berlin, Copenhague, Amsterdam ,Toronto Madrid et Seattle.
Iconographe indépendant pour diverses agences (Toma Image Makers, Quantic Dream… ), elle travaille aussi en tant que photographe free lance pour la presse magasine et l'édition.
Son dernier long métrage "TOO MUCH PUSSY ! Feminists Sluts in The Queer X Show" un road-movie documentaire entre filles sur le mouvement feministe pro-sexe.
Propos :
Elle photographie l'underground queer parisienne, aussi bien dans leur intimité que dans des mises en scènes subversives.
Dans ses films, elle dévoile des corps allant au dela de leurs frontières biologiques et culturelles. Elle réalisé de nombreux courts métrges. Elle reçoit de nombreuses récompenses avec son film One Night Stand. Une autre réussite est le film Too Much Pussy ! Feminists Sluts, a queer X show. Ce film lui permet d'étudier les connexions entre échanges artistiques, représentation du corps et sexualité.
En 2009, elle fonde le collectif Fem Menace. Ce collectif met en place des conférences su le thème de l'homoseuxalité comme l'art, le sexe et l'argent en janvier 2010 au théâtre de l'opprimé à Paris. Les conférences menées se
construisent par le travail des artistes présentes. Par exemple : “contre le sexisme ordinaire”.
Son travail tourne autour de la repréentation des lesbiennes. Elle produit une imagerie de son propre univers. Regard militant. Elle s'intéresse à la sexualité des lesbiennes encore trop mystérieuse aux yeux de tous.

KARINE PELGRIMS

Photographe française, elle suit une formation en sciences politiques, elle suit par la suite une formation en arts plastiques.Depuis 1983, elle réalise des créations photographiques et plastiques, des courts-métrages et des reportages.
Propos :
Elle réalise des photographies lors d'évènements comme la Gay Pride.
Son art est très documentaire. Pour elle, être lesbienne est avant tout être une femme. Elle s'oriente vers un nouveau projet qui allie son, texte et photo.
Expositions :
Couvent des récollets, Paris (2005)
Médiathèque des Mureaux (2004).
"Les habitants du Val de Seine", Meulan-Chapet-Les Mureaux (2004).
"Exils", Festival de Biarritz (2003).
Maison des associations, Nouveau Forum des Halles, Paris.
Espace Marcel Carné, Saint-Michel sur Orge.
Théâtre des Amandiers, Nanterre.
Galerie Jacques d'Orcel, Paris.
La Nacelle, Aubergenville.
Salon "Petits et grands" Paris.
Mairie du 11ème ardt, Paris (1997).
"Artistes à la Bastille", Paris.
Galerie Citadella, Prague.
Espace Basfroi, Paris.
Galerie La Fontaine Obscure, Aix-en-Provence (1985).
Articles, critiques :
Le Courrier, Spectacle, le 18 décembre 2002.
Le Courrier, 11 juin 1997, Karine Pelgrims marie photo et peinture.
Paris-Mantes, le 2 avril 1997, La Nacelle : Karine Pelgrims peintre-photographe.
Paris-Normandie, Karine Pelgrims touche à touche de talent, 14-15 avril 2002.
Les Mureaux, Journal, Karine Pelgrims sort du cadre photographique, Janvier 2002.

AURELIE DUBOIS

Née en 1975.
-2002, ENSBA de Paris.
-1999, Université Paris 8, “L'art et l'ère de la photographie et des nouveaux médias.”
-1996, Nice, La villa Arson, Ecole Pilote Internationale d'art et de recherche.
-2010, Attribution de l'allocation de recherches et de séjours en France et à l'étranger du CNAP.
-2010, achat pour la collection publique du FNAC.
-2007, Aide individuelle à la création DRAC, Paris.
-2006, Bourse d'aide à la première exposition, Dicrection des affaires culturelles de la mairie de Paris.
-2003, Bourse et prix de la fondation des Beaux-arts de Paris.
-2009, Résidences à l'Ecole Supérieure d'Art et de Céramique, Tarbes.
-2006, AFIAC + si affinité, Résidence village de Fiac.
-2001, Seine Saint Denis, Commande publique du Foyer P. Kérautret de la Mairie de Romainville.
Aurélie Dubois réactualise l'image érotique
Pour avoir été maintes fois confronté au travail plastique d'Aurélie Dubois, je me dois d'insister sur son caractère fort, personnel, peu enclin aux concessions et à la reconduction de l'imagerie consensuelle.
Aurélie Dubois a fait du sexe, de la sexualité, des rapports homme-femme envisagés de façon coutumière mais intense, son principal propos plastique. Son approche privilégie la figure, le dessin, la mise en image du corps mais alors élémentaire, radicale, allant au plus court. Elle ne laisse que peut de chance à l'ingénuité ou à l'esthétisme bonifiant. Le monde d'Aurélie Dubois est traversé de corps souvent déchiré, lacérés, sur-offerts, très humain par ce fait même. Ceux-ci expriment à la fois nos fantasmes et notre activisme concret pour permettre qu'au quotidien, ces fantasmes cessent d'en être. Violence déployée à cette fin, nous pacifier, quoique sans ménagement. Ces images-là font du mal et du bien.
Il n'est certes pas facile d'innover dans ce genre maintes et maintes fois artistiquement exploité qu'est l'image de sexe, dont les reprises donne lieux pour l'essentiel à des redites. Au delà du cliché, avec un style sûr, à la fois sommaire, précis, émouvant, Aurélie Dubois réactualise l'image érotique et relance puissamment notre imaginaire. Dans la lignée glorieuse d'un Bellmer, elle parle de la guerre et de la paix des corps comme personne à ce jour.
Une création en conséquence forte de sa singularité et de ses contenus plastiques et expressifs.

Louise De Ville :

Louis(e) de Ville est une comédienne, performeuse burlesque, éducatrice sexuelle, et auteure. Diplômée d’art dramatique, elle a commencé à faire du théâtre engagé dans son natal Kentucky (Etats-Unis), avec des pièces contre le racisme, le sexisme, et l’homophobie. Elle continue en France et en Europe à créer sa propre propagande féministe et queer en explorant, exploitant et détournant les codes du genre. Avec ses personnages, de femme au foyer parfaite et putain, de fille en bonbons et bite en sucre d’orge, de marin pin-up, de gangster à paillettes et de femme à barbe, elle est un exemple vivant du mouvement pro-sexe, et rend Judith Butler et Michel Foucault excitants. Elle a créé avec Wendy Delorme et Mister Mister le « Drag King Fem Show ». Elle a notament monté en tant que metteur en scène « les Monologues de Vagin » en 2002, créer « Fem-tasmes de Louise de Ville» en 2006 et écrit sa première pièce en Français : « Betty speaks » en 2009. Elle a présentée une première version de ce spectacle au « 3ème festival de théâtre gay et lesbien de Paris » qui lui a valu le prix d’interprétation féminine.

Wendy Delorme :

31 ans,
Auteure d'”Insurrections! en territoire sexuel”, un livre sur la sexualité des femmes, des queers et des homos. Elle réalise aussi des spectacles burlesques comme Louise de Ville. Ses performances sont dédiées à la manifaestation de l'orgasme.

TINA FIVEASH

Née en 1970 à Canberra en Australie.
2007 : Master of Fine Arts Degree, College of Fine Arts : University of New Sout Wales, Sydney.
1994 : Bachelor of Visual Arts Degree with honors (1st class), Photo / Média Canberra School of Art : Asutralian National Univrsity, Canberra.
Expositions personnelles :
-2011 : Grace Kudos Gallery, Sydney 23 février 5 mars
-1997 : Queer love in the 50s, Lizard Lounge Artspace, Sydney, 18 février – 23 mars.
Récompenses :
2010 Australia Council for the Arts : New Work Grant for Emerging Artists.
Tina Fiveash, photographe australienne de 41 ans, est une artiste engagée s’affirmant dans les années 90 par le biais d’affiches publicitaires. Etudiant la photographie sous tous ses angles, cette artiste s’est fortement impliquée dans la communauté lesbienne de Sydney et internationale. Fascinée par les années 50, elle tente de retracer l’histoire des femmes homosexuelles lors de cette période où l’homosexualité était alors considérée comme illégale. À travers ses photographies riches en émotions et en romantisme, Tina Fiveash offre un regard contemporain sur l’omniprésence de la ségrégation envers la communauté lesbienne. Sa dernière exposition en date offre une approche différente. En travaillant à l’intersection de la photographie et du cinéma pour la série Grace, elle se questionne sur la représentation des femmes et des queer dans la société actuelle.

 

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