Jacques Henri LARTIGUE
"Un monde flottant"
17 juin – 25 septembre 2016Vernissage > Jeudi 16 juin 2016 à 19 heures
En présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l’Art moderne et contemporain
THEATRE DE LA PHOTOGRAPHIE ET DE L'IMAGE
27, boulevard Dubouchage 06364 NICE CEDEX 4
Téléphone : +33 (0)4 97 13 42 20
Télécopie : +33 (0)4 97 13 42 23
E-mail : theatre.photo(at)ville-nice.frTous les jours sauf le lundi, le 1er janvier,
le dimanche de Pâques, le 1er mai et le 25 décembre
10h - 18h
La Ville de Nice propose au Théâtre de la Photographie et de l’Image – Charles Nègre, du 17 juin au 25 septembre 2016, une exposition consacrée à l’œuvre de Jacques Henri Lartigue. Le vernissage de l’exposition aura lieu le jeudi 16 juin 2016 à 19 heures.Jacques Henri Lartigue est né à Courbevoie le 13 juin 1894. Il meurt à Nice le 12 septembre 1986. Peintre et photographe, il devient célèbre grâce à ses clichés évoquant sa vie familiale et la société mondaine de la Belle Epoque. Il est considéré au XXe siècle comme un génie du noir et blanc.
Curieux, il essaie toutes les nouvelles techniques photographiques ; clichés de sujets en mouvement, ses images représentent aussi bien les membres de sa famille que les premiers temps de l’aviation, les manifestations sportives, les « belles dames » du bois de Boulogne, et les photographies de la Riviera où il fait de nombreux séjours de 1908 à 1986.
Cette exposition met en lumière le thème de l’instant qui passe, de la brièveté du bonheur et de la fragilité de la vie. Elle montre que l’art du photographe est autant l’évocation du bonheur qu’un combat de tous les instants contre la pesanteur et la mort.
Elle n’a jamais été présentée en France.
UNE EXPOSITION IMAGINEE PAR FLORIAN RODARI |
Commissaires : Martine d’Astier, Marie-France Bouhours et Florian Rodari Cette exposition se veut une lecture du regard que pose Lartigue sur le monde. La qualité de ce regard réside peut-être moins dans la légèreté et la grâce – pourtant l’une et l’autre recherchées à tout moment par cet artiste – que dans la conscience sensible d’une soudaine relativité des choses entre elles. L’époque où l’enfant commence à photographier est comme déstabilisée dans ses lois ordinaires de gravité et de perspective. Tout va désormais tellement vite que tout devient aussitôt immatériel, indécis, sujet au hasard. L’exposition réunit ainsi quelque 200 photographies sur le thème de l’instant qui passe, de la brièveté du bonheur et de la fragilité de la vie et montre que l’art du photographe est autant l’évocation du bonheur qu’un combat de tous les instants contre la pesanteur et la mort.
Tous les tirages ont été réalisés par le laboratoire La Chambre Noire (Guillaume Geneste et Guillaume Fleureau) à partir du négatif original. Certaines images ont été recadrées en respectant le choix du photographe. |