Bernard Buffet Rétrospective Musée d’Art moderne de la Ville de Paris Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris organise une rétrospective de l’oeuvre de Bernard Buffet (1928 - 1999), considéré comme l’un des peintres français les plus célèbres du XXème siècle, mais également l’un des plus discutés. À travers une sélection d’une centaine de peintures, l’exposition propose une relecture d’une oeuvre qui a été en réalité très peu vue. Parce que le Musée d’Art moderne est le seul musée public possédant une collection importante d’oeuvres de l’artiste (entrée en 1953 par l’important legs Girardin et en 2012 par la donation Ida et Maurice Garnier), il était légitime de réaliser ce projet qui remonte aux premiers contacts pris avec son marchand historique Maurice Garnier (1920 - 2014), il y a près de dix ans, mais que la dimension restée longtemps polémique de l’oeuvre de Bernard Buffet avait retardé. Aujourd’hui, avec la distance du temps, de nombreux artistes, professionnels et amateurs, reconsidèrent l’oeuvre, ce qu’elle pouvait avoir de déroutant s’étant en partie atténué. En balayant l’ensemble de l’oeuvre dans un parcours rétrospectif, mais très sélectif en raison de la grande productivité de l’artiste, l’exposition montrera la qualité et la variété insoupçonnées de ce qui restera peut-être comme une des oeuvres picturales les plus fascinantes du siècle dernier et dont l’influence sera peut-être une des plus considérables. |
Bernard Buffet |
Bernard Lorjou rétrospective Château de Tours
BERNARD LORJOU 2 Décembre au 12 Février 2017 Sous ce titre bien expressif, la Ville de Tours organise, en collaboration avec l’Association Bernard Lorjou, une grande rétrospective de Bernard Lorjou dans son Château du 25, avenue André Malraux. Elle aura lieu du 2 décembre 2016 au 12 février 2017 en réunissant une cinquantaine de peintures, quinze dessins et douze portraits photographiques de l’artiste. Belle occasion de découvrir et redécouvrir l’œuvre de cet artiste qui fascine le public à la fois par ses thèmes et par son art haut en couleur. |
Bernard Lorjou |
Guggenheim Full Abstraction ING Art Center
ING corporate Guggenheim Full Abstraction Du 19 octobre 2016 au 12 février 2017, l’ING Art Center, à Bruxelles, présentera un impressionnant ensemble d’oeuvres d’art issues des collections Peggy Guggenheim à Venise et Solomon Guggenheim à New York. Parmi celles-ci, de nombreux chefs d’oeuvre représentatifs des courants de l’abstraction expressionniste d’après-guerre américain et européen, datant des années 1940 jusqu’aux années 1960, et surtout bon nombre d’oeuvres d’artistes rarement exposés en Belgique. L’exposition retrace l’évolution de la scène artistique des deux côtés de l’Atlantique pendant trois décennies, des années 1940 aux années 1960, à travers les musées de deux collectionneurs américains, Peggy Guggenheim et Solomon Guggenheim. Placé sous la direction de Luca Massimo Barbero, conservateur adjoint de la Collection Peggy Guggenheim de Venise, l’événement est co-organisé par l’ING Art Center et la Fondation Solomon R. Guggenheim de New York. Elle offrira aux visiteurs une occasion exceptionnelle de voir associées des pièces des musées de Solomon et de sa nièce Peggy, pour une vision transversale sur l’oeuvre de certaines des plus grandes figures de l’art du XXe siècle. |
Robert Motherwell Easter Day 1971 |
THE MUSEUM OF MODERN ART NEW YORK RETROSPECTIVE FRANCIS PICABIA
THE MUSEUM OF MODERN ART EXPLORES THE PROVOCATIVE AND PROLIFIC CAREER OF FRANCIS PICABIA WITH HIS FIRST U.S. RETROSPECTIVE IN NEARLY 50 YEARS
MoMA's First-Ever Monographic Exhibition of Picabia Brings Together Some 200 Works to Advance Understanding of the Artist’s Vital Place in 20th-Century Art
Francis Picabia: Our Heads Are Round so Our Thoughts Can Change Direction November 21, 2016–March 19, 2017 The Joan and Preston Robert Tisch Exhibition Gallery, sixth floor
NEW YORK, November 3, 2016—The Museum of Modern Art’s Francis Picabia: Our Heads Are Round so Our Thoughts Can Change Direction, on view November 21, 2016–March 19, 2017, is the first major exhibition of the artist’s work in the US in nearly half a century, and the first ever to chart the full range of Picabia’s audacious, irreverent, and profoundly influential career. “Our heads are round so our thoughts can change direction” is an aphorism coined by Picabia in 1922, and it aptly encapsulates the nonlinear, circular character of his artistic practice. This exhibition presents approximately 200 works in an array of mediums in order to advance understanding of Picabia’s unruly genius and its vital place within the history of modern art. Francis Picabia is organized by MoMA and the Kunsthaus Zürich. The curators are Anne Umland, The Blanchette Hooker Rockefeller Curator of Painting and Sculpture at MoMA; and Cathérine Hug, Curator at the Kunsthaus Zürich; with Talia Kwartler, Curatorial Assistant, MoMA. Prior to its presentation in New York, the exhibition was on view at the Kunsthaus Zürich. |
Francis Picabia. Aello. 1930. Oil on canvas, |
Abstract Expressionism Royal Academy of Arts London
Abstract Expressionism Main Galleries Royal Academy of Arts,
The selection aims to re-evaluate Abstract Expressionism, recognising that though the subject is often perceived to be unified, in reality it was a highly complex, fluid and many-sided phenomenon. Likewise, it revises the notion of Abstract Expressionism as based solely in New York City by addressing such figures on the West Coast as Sam Francis, Mark Tobey and Minor White. |
Clyfford Still, PH-950, 1950. Oil on canvas, 233.7 x 177.8 cm. Clyfford Still Museum, Denver © City and County of Denver / DACS 2016. Photo courtesy the Clyfford Still Museum, Denver, CO; |
LA FONDATION LOUIS VUITTON PRESENTE ICONES DE L'ART MODERNE LA COLLECTION CHTCHOUKINE
EXPOSITION 22 octobre 2016 – 20 février 2017 FONDATION LOUIS VUITTON 8, Avenue du Mahatma Gandhi I— Communiqué de presse La Fondation Louis Vuitton présente l’exposition « ICÔNES DE L’ART MODERNE. L’exposition rend hommage à l’un des plus grands mécènes du début du 20 ème siècle, C’est à partir de 1898 que Sergueï Chtchoukine, grand industriel moscovite, entre en contact avec les marchands Paul Durand-Ruel, Ambroise Vollard, Berthe Weill, puis Georges Bernheim et Daniel Henry-Kahnweiler. Les relations affinitaires qu’il entretient avec les artistes comme Matisse, influencent fortement la formation de sa collection exemplaire de l’art le plus radical de son temps. |
Paul Gauguin (1848-1903, France) |
René Magritte Centre Pompidou Paris
René Magritte 21 septembre 2016 - 23 janvier 2017 L’exposition Magritte. La trahison des images propose une approche à ce jour inédite de l’œuvre de l’artiste belge René Magritte. Rassemblant les œuvres emblématiques, comme d'autres peu connues de l’artiste, provenant des plus importantes collections publiques et privées, l’exposition offre une lecture renouvelée de l’une des figures magistrales de l’art moderne. Une centaine de tableaux, de dessins, et des documents d’archives, sont réunis pour offrir au public cette approche qui s’inscrit dans la ligne des monographies que le Centre Pompidou a consacré aux figures majeures de l‘art du 20e siècle : « Edward Munch. L’œil moderne », « Matisse. Paires et séries » et « Marcel Duchamp. La peinture, même ». L’exposition Magritte. La trahison des images explore un intérêt du peintre pour la philosophie, qui culmine, en 1973, avec Ceci n’est pas une pipe que publie Michel Foucault, fruit de ses échanges avec l’artiste. Dans une conférence qu’il donne en 1936, Magritte déclare que Les affinités électives, qu’il peint en 1932, marque un tournant dans son œuvre. Ce tableau signe son renoncement à l'automatisme, à l’arbitraire du premier surréalisme. L’œuvre, qui montre un œuf enfermé dans une cage, est la première de ses peintures vouée à la résolution de ce qu’il nomme : un « problème ». Au hasard ou à la « rencontre fortuite des machines à coudre et des parapluies », succède une méthode implacable et logique, une solution apportée aux « problèmes » de la femme, de la chaise, des souliers, de la pluie… Les recherches appliquées à ces « problèmes », qui marquent le tournant « raisonnant » de l’œuvre de Magritte, ouvrent l’exposition. L’exposition sera présentée dans un format restreint à la Schirn Kunsthalle Frankfurt, en Allemagne du 10 février au 5 juin 2017. Commissaire : Mnam/Cci, Didier Ottinger |
René Magritte (1898 - 1967) "Les vacances de Hegel", 1958 |
The Metropolitan Museum of Art New-York Max Beckmann
Max Beckmann in New York, Opening at The Met on Exhibition Dates: The Metropolitan Museum of Art Opening October 19, 2016, the exhibition Max Beckmann in New York at The Metropolitan Museum of Art will put a spotlight on the artist's special connection with New York City. It will feature 14 paintings that Beckmann created while living in New York from 1949 to 1950, as well as 25 works, dating from 1920 to 1948, from New York collections. The exhibition assembles several groups of iconic works, including self-portraits; mythical, expressionist interiors; robust, colorful portraits of women and performers; landscapes; and triptychs. The exhibition is made possible by The Isaacson-Draper Foundation. It is supported by an Indemnity from the Federal Council on the Arts and the Humanities. In late December 1950, Beckmann set out from his apartment on the Upper West Side of New York to see his Self-Portrait in Blue Jacket (1950), which was on view at The Metropolitan Museum of Art in the exhibition American Painting Today. However, on the corner of 69th Street and Central Park West, the 66-year-old artist suffered a fatal heart attack and never made it to the Museum. The poignant circumstance of the artist's death served as the inspiration for the exhibition. |
Max Beckmann (German, Leipzig 1884-1950 New York). Self-Portrait in Blue Jacket, 1950. Oil on canvas. Saint Louis Art Museum, Bequest of Morton D. May. SL.9.2016.24.1, © 2016 Artists Rights Society (ARS), New York / VG Bild-Kunst, Bonn |
Ernest Pignon-Ernest Bibliothèque Louis Nucéra Nice
Ernest Pignon-Ernest Bibliothèque Louis Nucéra Par une exposition rassemblant la série des 19 portraits de poètes dont les reproductions orneront le livre d’André Velter, Ceux de la poésie vécue, des ouvrages de bibliophilie ainsi que les livres de et sur l’artiste, en particulier ceux illustrant tous ses combats depuis les années 70 et dont Ernest Pignon-Ernest a composé la couverture. |
Kandinsky Marc & Der Blaue Reiter Fondation Beyeler
Kandinsky, Marc & Der Blaue Reiter Fondation Beyeler, Pour la première fois depuis 30 ans, la Suisse consacre une vaste exposition à l’un des chapitres les plus fascinants de l’art moderne, entré dans l’histoire sous l’appellation de Der Blaue Reiter, « Le Cavalier bleu ». L’exposition munichoise de 1911 et le mouvement d’artistes du même nom ont été à l’origine d’une expérience artistique d’une nouveauté révolutionnaire. À partir des oeuvres de Wassily Kandinsky appartenant à la Collection Beyeler, le public peut découvrir la création d’un groupe d’artistes d’avant-garde, marqué par des principes d’ouverture d’esprit et d’internationalité auxquels la Première Guerre mondiale est venue mettre un terme.
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Wassily Kandinsky und Franz Marc (Hrsg.) Almanach Der Blaue Reiter, Munich, 1914 29,5 x 23 x 2,5 cm ahlers collection © Thomas Ganzenmüller, Hannover |
Les Insoumis de l’Art Moderne MUSÉE MENDJISKY
MUSÉE MENDJISKY Présente Paris, les années 50 12 octobre - 31 décembre 2016 15 Square de Vergennes - Paris XV Contact presse Hermine Parmentier : 01 47 07 98 31 À travers une soixantaine d’oeuvres maîtresses, l’exposition présente des artistes tels que Bernard Buffet, Bernard Lorjou, André Minaux ou encore Paul Rebeyrolle qui ont réaffirmé une vision de l’art faite de chair et de terre et nous montrent combien la seconde partie du XXe siècle n’est pas celle du vide mais celle de la figure réinventée. Dans les années 50, ces jeunes peintres français, se sont battus tout comme Francis Bacon, Balthus, Lucian Freud, Edward Hopper ou Giorgio Morandi pour imposer une figuration que la modernité voulait à jamais dissoudre. |