EXPOSITION

Tatiana Wolska – Habitat potentiel pour une artiste  
24 février – 10 juin 2018

Galerie de la Marine
59, quai des Etats-Unis – Nice
Tous les jours de 11h à 18h, sauf le lundi
04 93 91 92 91 ou 93


Du 24 février au 10 juin 2018, la Ville de Nice invite l’artiste Tatiana Wolska à présenter son exposition « Habitat potentiel pour une artiste » à la Galerie de la Marine, une installation monumentale constituée de chutes de bois et de mobilier voué au rebut. Entre architecture et sculpture habitable, cette œuvre inédite constitue pour l’artiste une nouvelle manière de construire. Le vernissage de l’exposition a lieu ce vendredi 23 février à 19 heures.

Tatiana Wolska développe depuis 10 ans des projets de sculpture en grand format, toujours liés aux lieux qui l’invitent. L’artiste fabrique de la sculpture en jouant avec toutes sortes de matériaux de récupération : chutes de bois, plastique thermoformé, métaux et objets abandonnés qu’elle découpe, décortique, réordonne et assemble à nouveau.

L’exposition propose une expérience physique et cognitive d'une architecture spécifique, à la fois vivante, organique et relationnelle. En se penchant sur l’architecture temporaire qui peut revêtir plusieurs rôles (culturel, évènementiel, social), l’exposition recouvre une diversité de potentiels. Elle est autant l’expression d’une liberté que celle d’une nécessaire survie car bien souvent, le temporaire rime avec l’urgence. Elle pose aussi la question de l’inscription potentiellement durable de ces structures dans la fabrique de la ville.

Tatiana Wolska est née en 1977 en Pologne. Elle est diplômée de l’ENSA de la Villa Arson en 2007. Elle vit et travaille à Bruxelles. Elle est représentée par les galeries Claudine Papillon, Paris, Catherine Issert, Saint-Paul de Vence et Irène Laub, Bruxelles. Elle est lauréate en 2014 du Grand Prix du 59e Salon de Montrouge consacré à la jeune création émergente.

Tatiana Wolska Nomadisme, FRAC CORSE, 2016, crédit photo David Raffini

Tatiana Wolska Nomadisme, FRAC CORSE, 2016,
crédit photo David Raffini

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Jim DINE - Paris : Reconnaissance
du 14 févr. au 23 avr. 2018
Centre Pompidou
Rue Saint-Martin
75004 Paris

www.centrepompidou.fr 

Artiste et poète américain de renommée mondiale, Jim Dine, né en 1935, rejoint New York en 1958. Il délaisse alors le happening pour la peinture, ses sujets mêlant expressionnisme abstrait et pop, sans se réclamer du mouvement. À l’occasion de l’importante donation faite par l’artiste au Musée national d’art moderne, le Centre Pompidou consacre une exposition inédite à son œuvre.
À travers la peinture et la sculpture sous toutes leurs formes, développant une iconographie puissamment personnelle, l’artiste fait entendre depuis soixante ans sa voix singulière.

Jeudi 15 mars à 19h : House of Words, lecture performance par Jim Dine dans le cadre du cycle In Vivo (Cinéma 2)

Commissaire : Mnam/Cci, Bernard Blistène, Annalisa Rimmaudo
[ in Code Couleur, n°30, janvier-avril 2018, pp. 32-33 ]

Jim DINE A Child in Winter Sings, 2011-2012 Diptyque, Acrylique et sable sur bois 244 x 244 cm  Collection Centre Pompidou Musée National d'Art Moderne Photo Copyright Kerry Ryan McFate Copyright ADAGP, Paris 2018

Jim DINE A Child in Winter Sings, 2011-2012
Diptyque, Acrylique et sable sur bois
244 x 244 cm
Collection Centre Pompidou
Musée National d'Art Moderne
Photo Copyright Kerry Ryan McFate
Copyright ADAGP, Paris 2018

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Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon
Thierry Braconnier, Adjoint au Maire délégué à la Culture et à la Vie associative
Caroline Quaghebeur, Directrice de la Maison des Arts

sont heureux de vous inviter à visiter l'exposition
JAN VOSS - Remue-ménage
du JEUDI 18 janvier de 19h à 21h jusqu'au 3 mars 2018

Habité par un mouvement perpétuel, l'œuvre de Jan Voss, né en Allemagne en 1936 et installé en France depuis 1960, possède une hardiesse et une inventivité rare.

Ainsi, avoue-t-il : Les lignes sont les mouvements d'un tableau, son activité. L'activité d'un tableau est souvent extrêmement déconcertante, on voudrait bien comprendre où elle veut en venir avec tous ces parcours, ses sauts et ses arrêts subits. Mais parfois les lignes, en perte de vitesse, languissent, il faut les secouer sérieusement pour qu'elles ne s'endorment pas. Surtout ne jamais concéder de repos à la ligne !

Les caractéristiques les plus reconnaissables des œuvres évoquées sont des signes proches du graffiti, des éléments biomorphes, des compositions en cases ou en bandes. Mais Jan Voss n'en reste pas là. Maître de son langage, il en décline la grammaire, y mêlant des collages ou autres assemblages complexes.

L'opposition figuration / abstraction n'a pas de sens ici. Les formes, traits, couleurs et textures étant chargés de déclencher l'imagination, puis, pourquoi pas, la narration.

L'exposition rassemble des œuvres sur toile et sur papier de ces dix dernières années ainsi que des sculptures des années 1980/1990 dans lesquels l'artiste explore - toujours très librement - le volume.

Une plongée dans l'esprit Voss.

Exposition organisée avec la collaboration de Galerie Lelong & Co, Paris

Maison des Arts
11 rue de Bagneux - 92320 Châtillon
01 40 84 97 11

http://maisondesarts-chatillon.fr/ 

Exposition ouverte du mardi au dimanche, de 14h à 18h
jusqu'au 03 mars 2018.

 

Jan Voss, Sur la bonne voie, 2010,  Acrylique sur toile, 71 x 60 cm  ADAGP © Jan Voss / Courtesy Galerie Lelong

Jan Voss, Sur la bonne voie, 2010,
Acrylique sur toile, 71 x 60 cm
ADAGP © Jan Voss / Courtesy Galerie Lelong

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Paul Klee – La dimension abstraite
1er octobre 2017 – 21 janvier 2018
Fondation Beyeler,
Beyeler Museum AG,
Baselstrasse 77, CH-4125 Riehen
www.fondationbeyeler.ch 

Du 1er octobre 2017 jusqu’au 21 janvier 2018, la Fondation Beyeler présentera une exposition complète sur l’artiste Paul Klee, l’un des peintres les plus importants du XXe siècle. Pour la première fois dans le cadre d’une exposition sera mise en lumière la relation de l’artiste à l’abstraction, exploit majeur de la peinture moderne.

Comme bien d’autres artistes européens, Paul Klee releva le défi de l’abstraction. Sa riche production compte de magnifiques exemples de renoncement à la figuration jusqu’à l’élaboration d’univers iconographiques abstraits, aussi bien dans ses travaux de jeunesse que ses oeuvres tardives. Nature, architecture, musique et signes graphiques sont, chez lui, des thèmes majeurs et récurrents. À travers les 110 oeuvres issues de 12 pays, l’exposition se concentre sur cet aspect du travail de Klee, jusqu’alors ignoré.

L’exposition rétrospective présente divers groupes d’oeuvres chronologiques à partir de 1912, permettant de suivre les étapes déterminantes du développement de l’artiste: l’exposition se déploie sur sept salles et s’ouvre sur les débuts de Klee en tant que peintre dans les années 1910 à Munich puis sur son célèbre voyage à Tunis en 1914, aborde ensuite le thème de la Première Guerre mondiale et s’intéresse à la décennie du Bauhaus de 1921 à 1931 avec ses célèbres compositions en damiers, aquarelles en couches ainsi que des oeuvres qui font référence à l’abstraction géométrique, thème dominant des années 1930. Les peintures réalisées suite aux voyages en Italie et en Égypte à la fin des années 1920 et au début des années 1930 préfigurent les signes picturaux présents dans les travaux tardifs du peintre ainsi que ses conceptions picturales qui mèneront à l’art de l’après-guerre.

Paul Klee Park bei Lu, 1938, 129 Parc près de Lu Huile et peinture à la colle sur papier journal sur jute, 100 x 70 cm Centre Paul Klee, Berne, Courtesy Fondation Beyeler

Paul Klee Park bei Lu, 1938, 129
Parc près de Lu
Huile et peinture à la colle
sur papier journal sur jute,
100 x 70 cm
Centre Paul Klee, Berne,
Courtesy Fondation Beyeler
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Prochaine exposition : « Est-ce ainsi que les hommes vivent ? » Collection de la Fondation Maeght

16 décembre 2017 - 11 mars 2018

Riche d’une collection figurant parmi les plus importantes d’Europe, la Fondation Maeght réunit un ensemble extraordinaire d’œuvres d’art moderne et contemporain. Après les expositions « 50 artistes, une collection », « Face à l’œuvre » et « Espace, Espaces ! », la Fondation Maeght 1, cet hiver, en proposera une nouvelle lecture, enrichissant, à la suite des artistes A.R. Penck et Eduardo Arroyo, la question de l’humanité et de ses représentations. Son titre « Est-ce ainsi que les hommes vivent ? » est emprunté aux fameux vers de Louis Aragon, mis en musique par Léo Ferré, « … Est-ce ainsi que les hommes vivent Et leurs baisers au loin les suivent … » 2. Plus de 100 œuvres – peintures, sculptures, dessins ou estampes – seront présentées du 16 décembre 2017 au 11 mars 2018 dans un nouvel accrochage d’œuvres construit autour de la dimension humaniste de la collection. Il s’agit donc de l’existence et de l’être humain, de ce que les anglais appellent le « human being », avec ses contradictions, ses combats, ses espérances.

1 Par ailleurs, la collection de la Fondation Maeght a fait l’objet de présentations extramuros, notamment avec les expositions « Les Messagers » et « Vivantes natures » au Château de Biron et « La passion de créer » à l’Art Pavilion de Zagreb.

2 in Louis Aragon, Le Roman inachevé. Collection Poésie / Gallimard. éd. 1966. p. 73. Première édition en 1956.

Marc CHAGALL, L'Opéra, 1954. Lithographie originale en couleurs sur Arches, 39 cm x 28,5 cm. © Adagp, Paris 2017-2018 CHAGALL ®. Photo Archives Fondation Maeght.
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Alors que les éditions Skira publient un catalogue raisonné de l’oeuvre gravé d’Antoni Clavé, la Bibliothèque nationale de France expose,
du 9 janvier au 25 février 2018, un ensemble d’estampes de l’artiste, témoins de la grande richesse technique et stylistique de son oeuvre.
Peintre-graveur majeur du XXe siècle, Antoni Clavé trouve dans l’estampe une pratique complémentaire indispensable à sa peinture.
La publication de Skira ainsi que l’exposition de la Bibliothèque nationale de France invitent le public à découvrir ou redécouvrir cet artiste singulier qui occupe une place à part dans l’histoire de l’art français, espagnol et catalan de la seconde moitié du XXe siècle.

Organisée à l’occasion de la donation de 92 estampes consentie par les petits-enfants de l’artiste, l’exposition que propose la Bibliothèque nationale de France offre un panorama de l’oeuvre gravé d’Antoni Clavé. Une cinquantaine d’oeuvres de 1955 à 1995 retracent quarante ans d’un parcours d’une grande richesse technique et stylistique. Lithographies, eaux-fortes, aquatintes, gravures au carborundum, gaufrages, collages et kraft lithographié permettent d’appréhender une facette de l’oeuvre de ce créateur inclassable.

 

Affiche Antoni Clave BnF
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LINO VENTURA UNE GUEULE DE CINÉMA
sous le parrainage de Jean Dujardin
Du 12 octobre 2017 au 21 janvier 2018

Commissaire d’exposition : Emmanuelle Le Bail, Directrice du musée des Avelines, du Patrimoine culturel et des
Archives municipales
Commissariat scientifique : Nicolas Cabos, Auteur et professeur de cinéma
Assistés d’Anaïs Eveno, chargée d’études documentaires et de Maëlys Delvolvé, chargée d’exposition

Musée des Avelines - Musée d’Art et d’Histoire de Saint-Cloud
Jardin des Avelines - 60, rue Gounod - 92210 Saint-Cloud
www.musee-saintcloud.fr 

QUELQUES MOTS D'INTRODUCTION...

Le musée des Avelines, musée d'art et d'histoire de la ville de Saint-Cloud, est heureux d'annoncer l'exposition Lino Ventura - Une gueule de cinéma du 12 octobre 2017 au 21 janvier 2018.

Le comédien, né le 14 juillet 1919 en Italie, a vécu près de trois décennies à Saint-Cloud et c'est dans cette ville qu'il est décédé le 22 octobre 1987 ; il était donc tout naturel que le musée des Avelines lui rende un hommage appuyé à l'occasion du trentième anniversaire de sa disparition.

Affiches, photographies, documents d'archives, témoignages, musiques de films, objets, scénarios, projections d'extraits... composent le parcours de l'exposition évoquant la carrière de ce monstre sacré du cinéma français.

Différentes salles du musée sont consacrées à ses amitiés avec des comédiens (Gabin notamment), et les réalisateurs avec lesquels il a tourné, de Becker à Verneuil, de Miller à Lelouch, de Pinoteau à Melville, de Malle à Lautner, de Deray à Hossein, ou encore de Sautet à La Patellière... passant ainsi du polar à la comédie pure, du film d'aventures au drame.

Est ainsi retracée la carrière de Lino Ventura, acteur populaire et pudique, qui a joué dans plus de 70 films, dont nombre de chefs d'oeuvre et d'immenses succès publics.

Photo prise sur le tournage d'Adieu poulet, 1975 Saint-Cloud, Musée des Avelines © Étienne George

LINO VENTURA UNE GUEULE DE CINÉMA
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Louvre Abu Dhabi La Plazza

Abu Dhabi, 6 Septembre 2017 : Le Louvre Abu Dhabi ouvrira ses portes au public le 11 novembre 2017. Il s’agit du premier musée du monde arabe conçu comme un musée universel, ayant vocation à refléter l’histoire commune de l’humanité à travers différentes cultures et civilisations.

Un programme de festivités publiques, comprenant des représentations de spectacles vivants, de danse, de concerts, projections, conférences et événements, donnés par des artistes contemporains et classiques de renom, accompagnera cet évènement.

Situé à Abu Dhabi, la capitale des Émirats Arabes Unis (EAU), le bâtiment a été conçu par l’architecte français Jean Nouvel, lauréat du prix Pritzker, comme une ville-musée (médina) recouverte d’un vaste dôme argenté. Les visiteurs pourront déambuler dans les espaces de promenade surplombant la mer, et sous le dôme de 180 mètres de diamètre composé de près de 8 000 étoiles en métal entrelacées pour former un savant dessin géométrique. Les rayons du soleil traversant le dôme créent un effet saisissant de « pluie de lumière », inspiré des palmeraies des  oasis des Emirats Arabes Unis.

Le musée présentera sa riche collection d’œuvres d’art ainsi que des prêts des plus grands musées français. La collection couvre tous les pans de la création artistique des origines de l’art à nos jours, depuis la Préhistoire aux commandes faites à des artistes contemporains. Le musée offre une présentation muséographique inédite mettant en lumière les thèmes universels et les influences communes entre les civilisations. Cette approche distingue le musée de la plupart des institutions muséales dont le parcours propose un classement par styles ou civilisations. Le Louvre Abu Dhabi comprend, en plus des galeries permanentes, un espace d’exposition temporaire, un musée des enfants, un auditorium, un restaurant, une boutique et un café.

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Altesse ; Majesté ;

Messieurs les Présidents ;

Mesdames et Messieurs les Ministres ;

Mesdames et Messieurs.

Au moment d'inaugurer le Louvre Abu Dhabi aux côtés de mon ami le Prince héritier Mohamed BIN ZAYED, que je remercie très chaleureusement pour son invitation, une phrase me revient qui semble définir ce qui nous unit aujourd'hui. Cette phrase n’est ni de votre culture ni tout à fait de la mienne, c'est la phrase prononcée par le personnage d'un roman russe, un personnage de Dostoïevski qui dit « la beauté sauvera le monde ». Et il serait naturel que je vous parle de culture, d'éducation, de civilisation mais un mot s'impose d'abord à nous ce soir qui sommes réunis, c'est précisément celui de beauté.

Elle est le cœur et le fondement de la culture. Elle est la raison d'être de l'Education. Elle connaît plusieurs formes, plusieurs expressions, elle s'est parfois alliée au bon de manière indéfectible. Elle est une recherche permanente, une poursuite. Elle a ceci de commun que nous la reconnaissons quand nous la voyons. Elle nous frappe en plein cœur quand nous la croisons.

Alors aujourd'hui ce qui nous réunit ici, ce qui, quelles que soient les vicissitudes du temps présent qui est le nôtre et quel que soit l'ampleur de nos défis, ce qui me rend optimiste, c'est que nous sommes au milieu de cette beauté qui sauvera le monde.

Aujourd’hui en ces lieux, c'est elle qui nous accueille. D'abord parce que Jean NOUVEL et son équipe ont conçu ici un lieu qui va rayonner vers le monde entier. Cette ville-musée abritée par un dôme monumental qui multiplie les jeux de lumière, cette ville qui est aussi une île où l'eau miroite et se reflète, ce musée composé de petites maisons rappelant les villages émiriens ; tout cela, cet entrelacs du dedans et du dehors, du lieu clos et toujours ouvert ; tout cela constitue un ensemble où l'œil à chaque détour s'émerveille parce que cette complexité infinie, ce chef d'œuvre d'architecture réveillent des émotions profondes, parce qu'il y a là quelque chose qui rappelle les édifices sacrés du monde entier. Vous avez construit, cher Jean NOUVEL, un temple pour la beauté, ici.

Ce lieu si sophistiqué et si simple à la fois accueille des œuvres d'exception. C'est le génie de l'humanité qui converge ici à travers ses plus grands artistes ; et pour un pays comme la France - je dois vous l'avouer - cher Prince héritier, cher ami, pour un pays comme la France se séparer - même sous forme de prêt - de quelques une de ses plus belles œuvres ne va pas de soi. C'est une forme de torture, et vous l'avez compris tout au long du périple que nous venons de partager, pour les conservateurs qui ont contribué à ce projet, pour les ministres, et je dois bien le dire aussi, pour le président.

Photo du Président de la République Emmanuel Macron

Photo du Président de la République Emmanuel Macron
Courtesy Présidence de la République
Source site http://www.elysee.fr

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françoise ForgeritLe Président de la République française, Emmanuel Macron a inauguré en grande pompe le musée Le Louvre Abu Dhabi, conçu par un architecte français Jean Nouvel. Et au lieu de s'écrier, en bombant le torse, " la France est de retour " ou en manifestant son amertume, " que va-t-on faire là bas ? ", tournons-nous pour comprendre vers les collections de notre premier musée national depuis 1793 .
Que nous dit Le Louvre, musée d'art et d'antiquités ?
Pouvons- nous y admirer La Dame de Brassempouy, vieille de 25 000 ans ou Le cratère de Vix du 5ème siècle avant Jésus Christ?
Non, aucune œuvre d'art provenant de notre préhistoire ou histoire ancienne sur notre sol. Notre lointain passé est donné à voir dans d'autres musées, peu connus du grand public. Curieux, pour un pays où la question des racines, de l'identité, des origines fait régulièrement débat.
Pour ce même lointain passé, le Louvre s'enorgueillit du Scribe accroupi et du Palais de Sargon, de la Vénus de Milo et de la Victoire de Samothrace. Et chacun reconnaît la Joconde comme l'œuvre phare, non seulement de l'ensemble des peintures italiennes mais encore de tout le musée.
Délibérément, la France a fait le choix, grâce à l'art et pour l'art, de s'ouvrir sur le monde, d'admirer l'esthétique et la beauté des autres cultures, et bien avant que les politiques ne s'emparent de cette notion, elle a prôné, par l'intermédiaire de son musée emblématique, le dialogue des cultures. Ainsi n'est-il pas étonnant que l'étape suivante soit celle de la création d'un nouveau Louvre à Abu Dhabi, initié par Jacques Chirac, dans un esprit et dans un lieu à la croisée des routes de l'Orient, l'Occident et l'Afrique. Dans le temps long, il s'inscrit comme une évidence.
Emmanuel Macron peut exprimer, au nom du Louvre et de la France, cette même idée :
" C'est toute la fresque des civilisations qui se compose sous nos yeux ; c'est alors que la beauté devient une clé vers l'universel, un lien spécial qui se tisse en nous, parce que nous élevons l'humanité vers ce qu'elle a de meilleur. "
Par cette inauguration , le Louvre reste fidèle à lui-même et à la France de Paris à Abu Dhabi, car c'est appartenir à la même Histoire, l'histoire de l'art et l'histoire du monde.
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Exhibition Dates: November 15, 2017–February 4, 2018
Exhibition Location:The Met Breuer, Floor 3
The Met Fifth Avenue
1000 Fifth Avenue
New York, NY 10028
Phone: 212-535-7710
https://www.metmuseum.org/

Although Norwegian artist Edvard Munch (1863–1944) attained notoriety early in his career for his haunting depictions of human anxiety and alienation that reflected modern experience, he believed that his artistic breakthrough occurred around 1913 at the age of 50.Throughout his career, Munch regularly revisited subjects from his earlier years, exploring them with renewed inspiration and intensity. Self Portrait: Between the Clock and the Bed (1940–43) was one of his final such works and it serves as a lens to reassess Munch's oeuvre. Opening November 15 at The Met Breuer, the exhibition Edvard Munch: Between the Clock and the Bed will feature 43 of the artist's compositions created over a span of six decades, including 16 self-portraits and works that have never before been seen in the United States.
The exhibition is made possible by Leonard A. Lauder.

It is supported by an Indemnity from the Federal Council on the Arts and the Humanities.

It is organized by The Metropolitan Museum of Art, New York; the San Francisco Museum of Modern Art; and The Munch Museum, Oslo.

Edvard Munch. Self-Portrait between the Clock and the Bed (detail), 1940-43. Oil on canvas. Munch Museum, Oslo © 2017 Artists Rights Society (ARS), New York. Photo © Munch Museum

Edvard Munch. Self-Portrait between the Clock and the Bed (detail), 1940-43.
Oil on canvas. Munch Museum, Oslo © 2017
Artists Rights Society (ARS), New York.
Photo © Munch Museum

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Immersive Display of 11 Mark Rothko Paintings on View at

The Museum of Fine Arts Boston
Avenue of the Arts
465 Huntington Avenue
Boston, Massachusetts 02115
http://www.mfa.org 
617-267-9300

Major Loans from National Gallery of Art, Washington, Make New England Debut

BOSTON (September 8, 2017)—In a career that spanned five decades, Mark Rothko (1903–1970) created some of the 20th century’s most evocative and iconic masterpieces. “A painting is not a picture of an experience,” he once remarked; “it is an experience.” This fall, 11 major works by the artist travel to the Museum of Fine Arts, Boston (MFA), from the National Gallery of Art, Washington, for an immersive exhibition that invites visitors to become enveloped by Rothko’s large-scale paintings and encounter them as he had originally intended—to experience something more intimate and awe-inspiring than simply viewing. Mark Rothko: Reflection, on view from September 24, 2017 through July 1, 2018, is the first focused display of the artist’s works at the MFA, showcasing the full sweep of his career—from early surrealist compositions; to the luminous, colorful canvases of his maturity; to the large, enigmatic “black paintings” made late in his life. Together, they trace the development of Rothko’s singular artistic vision and his quest to create works that produce emotional, even spiritual, responses. Additionally, the exhibition features a juxtaposition of Thru the Window (1938–39), an early Rothko painting on public view in the U.S. for the first time, and Artist in his Studio (about 1628), a masterpiece by Rembrandt Harmensz. van Rijn (1606–1669) from the MFA’s collection—both portraits of artists reflecting on the act of painting. Contrary to notions that Rothko’s works represented a dramatic break from the past, the side-by-side comparison underscores the modern artist’s view of his own paintings as part of a much longer tradition, rooted in his deep appreciation for the Old Masters. Mark Rothko: Reflection is on view in the John F. Cogan, Jr. and Mary L. Cornille Gallery. Presented with generous support from the Robert and Jane Burke Fund for Exhibitions. Additional support provided by an anonymous foundation and The Bruce and Laura Monrad Fund for Exhibitions.

Mark Rothko, Untitled, 1955. Oil on canvas. National Gallery of Art, Washington, Collection of Mrs. Paul Mellon, in Honor of the 50th Anniversary of the National Gallery of Art. © 1998 Kate Rothko Prizel & Christopher Rothko/Artists Rights Society (ARS), New York.

Mark Rothko, Untitled, 1955. Oil on canvas. National Gallery of Art, Washington, Collection of Mrs. Paul Mellon, in Honor of the 50th Anniversary of the National Gallery of Art. © 1998 Kate Rothko Prizel & Christopher Rothko/Artists Rights Society (ARS), New York.

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Bernard DAMIANO et Didier SALA s'exposent à l'UDP de Saint-Emilion
du 1er novembre au 26 décembre 2017
Union de Producteurs de Saint-Emilion
BP 27 - 33330 SAINT-EMILION - FRANCE
http://www.udpse.com/ 
Tél : 05 57 24 70 71 - Fax : 05 57 24 65 18
Email : contact(at)udpse.com

Claude PÉRUSAT revient pour cette fin d’année nous proposer une très belle exposition de l’Artiste-peintre expressionniste Bernard DAMIANO. Déjà venu à l’UDP de Saint-Emilion, le marchand d’art et collectionneur libournais ne sera pas seul à exposer des œuvres: Didier SALA apportera sa touche de poésie en présentant ses bois flottés récupérés au fil des marées… Il faut savoir que pour cette magistrale exposition Bruno-Paul Barreau Marchand d'Art et Expert à Bordeaux ainsi que Claude Pérusat ont réussi à convaincre les collectionneurs de bien vouloir prêter les oeuvres de leur collection pour cette exposition. Comme le fait remarquer Patrick Reynolds, la région bordelaise terre du vin est devenue grâce au travail d'Alain Juppé une terre d'art et de culture.

BERNARD DAMIANO, peintre-expressionniste italien
Sa peinture est de la lave en fusion, un débordement de couleurs, d’ombres et de lumières. L’expressionnisme dramatique qui en émane puise ses sources dans les tourments d’une passion de tous les instants, la passion de peindre sans faillir.
Didier SALA, sculpteur sur bois flottés bordelais
Pour l’occasion, découvrez également les œuvres originales en bois flottés de Didier SALA. Travaillés suivant l’inspiration et la sensibilité de l’artiste, ces bois uniques sont travaillés pour donner une âme à ces œuvres singulières. Parfois petites, parfois très grandes, les œuvres de Didier SALA invitent à l’évasion…

Une exposition à découvrir jusqu’au 26 décembre. Didier SALA présentera lui-même son œuvre à l’occasion du vernissage qui se tiendra à la Galerie du Caveau, le JEUDI 9 NOVEMBRE à 18h30. L’héritage de Bernard DAMIANO sera, quant à lui, raconté par son grand ami, Claude PERUSAT.

Exposition Bernard Damiano Union de Producteurs de Saint-Emilion
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MOMA TO PRESENT MORE THAN 100 WORKS BY 50 WOMEN ARTISTS
EXPLORING INTERNATIONAL ABSTRACTION IN THE POSTWAR ERA

The Exhibition Features Nearly 40 Recent Acquisitions—Drawings, Paintings,
Photographs, Prints, Sculpture, and Textiles—and Other Landmark Works from the
Museum Collection, Many on View for the First Time at MoMA

Making Space: Women Artists and Postwar Abstraction

April 15–August 13, 2017 Floor three, Exhibition Galleries

NEW YORK, The Museum of Modern Art presents a major exhibition surveying the abstract practices of women artists between the end of World War II and the onset of the Feminist movement in the late 1960s. On view from April 15 through August 13, 2017, Making Space: Women Artists and Postwar Abstraction features approximately 100 works in a diverse range of mediums by more than 50 international artists. By bringing these works together, the exhibition spotlights the stunning achievements of women artists during a pivotal period in art history. Drawn entirely from the Museum’s collection, Making Space includes works that were acquired soon after they were made in the 1950s and 1960s, as well as many recent acquisitions—including a suite of photographs (c. 1950) by Gertrudes Altschul (Brazilian, born Germany. 1904–1962), an untitled sculpture (c.1955) by Ruth Asawa (American, 1926-2013), and an untitled work on paper (c.1968) by Alma Woodsey Thomas (American, 1891–1978)—that reflect the Museum’s ongoing efforts to improve its representation of women artists. Nearly half the works are on view at MoMA for the first time. Making Space is organized by Starr Figura, Curator, Department of Drawings and Prints, and Sarah Meister, Curator, Department of Photography, with Hillary Reder, Curatorial Assistant, Department of Drawings and Prints.

María Freire (Uruguayan, 1917–2015). Untitled. 1954. Oil on canvas, 36 1/4 × 48 1/16? (92 × 122 cm). The Museum of Modern Art, New York. Promised gift of Patricia Phelps de Cisneros through the Latin American and Caribbean Fund in honor of Gabriel Pérez-Barreiro, 2016 
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Patrocinado por la Dirección de Asuntos Culturales del Ministerio de Relaciones Exteriores de Chile

l’ambassadrice du Chili en France Madame Marcia Covarrubias a l’honneur de vous annoncer l'exposition «in-corpore» sculptures en bois de la sculptrice Pilar Ovalle du 10 octobre au 13 octobre 2017 - Cette exposition est réservée aux invités de l'ambassade : pour y assister merci de faire une demande auprès de :

Olga Martins
Assistante de l'Ambassadrice/Asistente de la Embajadora
Ambassade du Chili / Embajada de Chile
2, avenue de la Motte-Picquet
75007 Paris
Tél: +33 (0)1 44 18 59 39 - Fax: +33 (0)1 44 18 59 61
Mail: omartins(at)minrel.gob.cl

Pilar Ovalle est née en 1970 à Santiago, textures, noeuds et formes naturelles travaille depuis plus de 25 ans le bois, à une géométrie et signifiants qui
principalement de bois de récupération rapportent dans un contexte de forêts et des lacs la Patagonie dans modernité aux paysages et traditions un langage constructiviste en combinant ancestrales des peuples originaires.
Dans mon travail j’utilise le bois principalement, provenant des restes de processus industriels et de bois flotté recueillis, avec lesquels je construis le volume à partir de son noyau central jusqu’aux bords de son image finale.

Le processus de l’oeuvre, qui m’est essentiel, est révélé à l’observateur moyennant une trame formelle qui se génère dans les assemblages et les unions et qui font partie essentielle de la grammaire de mon travail.
Cette modalité de langage constructif est une des bases du discours visuel: chaque emboitage, accouplement, brochage et union sont à la base du lexique d’une trame matérielle, qui comme manifestation, signifie réparation, mémoire, traces d’autres tensions propres à l’être.

Depuis mes débuts, je m’intéresse à la possibilité de recueillir et de rassembler différentes typologies dans un même matériau, le bois, de l’explorer et parcourir ses limites et de manoeuvrer face aux solutions créatives possibles pour pouvoir continuer à l’aborder d’une façon nouvelle, si possible chaque fois. C’est un jeu auto-imposé, un dialogue dans lequel la maîtrise fait face à la difficulté et à la curiosité pour pouvoir continuer à créer.

Pendant les trois dernières années, j’ai incorporé, d’où le titre de l’exposition “in-corpore”, le corps humain comme conteneur d’information dans la sculpture pour représenter de manière explicite les exercices et les emboitages de transformation ainsi que le questionnement spirituel comme fondement de la quête d’individuation de l’être.

EXPOSITION PILAR OVALLE AMBASSADE DU CHILI
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CACN - Centre d'Art Contemporain de Nîmes
25 rue Saint-Rémy
30900 Nîmes
Tel : +33 (0)9 86 41 60 33
www.cacncentredart.com 
Mail : cacnimes(at)gmail.com
https://www.facebook.com/cacnimes/ 

Exposition du 7 octobre au 16 décembre 2017
Vernissage le vendredi 6 octobre à 18h
Entrée libre et gratuite

Avec Caroline Bach, Anaïs Boileau, Audrey Guiraud, Guillaume Le Moine, Nelly Monnier, et Eric Tabuchi

Lorsque nous avons pensé cette exposition, l’envie était d’abord de revenir à un format davantage épuré et une figuration résolument plus calme, « reposée ». Nous ressentions déjà en amont les interrogations, voire l’énigme théorique de ce thème, qui n’en est finalement pas vraiment un. Comme un entre-deux, nous nous interrogions sur le cheminement intrinsèque de chacune des pratiques présentées. Alors, afin de mieux comprendre les contours et les processus engagés auprès de cette sélection, quelques questions subsistent. Pourquoi mettre en avant ces architectures prosaïques ? Comment se fait-il que les personnes qui y vivent ou y travaillent disparaissent-elles du cadre ?
Les six artistes du projet Topologie* de l’absence ont installé ici des témoignages correspondant à des lieux particuliers qui mettent en exergue certaines géographies oubliées parce qu’elles sont monotones ou indiffèrent l’opinion. Pourtant ces constructions en marge sont peut-être le futur patrimonial de notre société post-contemporaine. On peut d’ores et déjà remarquer la connivence, même si les oeuvres ne dévoilent pas la même chose, de cet ensemble positionné au sein du centre d’art.
 

Topologie de l'absence CACN Centre d'Art Contemporain de Nîmes
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Le Centre Pompidou en collaboration avec la Tate Britain de Londres et le Metropolitan Museum de New York présente la plus complète exposition rétrospective consacrée à l’œuvre de David Hockney.
David Hockney
Expositions
21 juin 2017 - 23 octobre 2017
de 11h à 21h ou de 11h à 23h
Centre Pompidou, Paris
https://www.centrepompidou.fr/

L’exposition célèbre les 80 ans de l’artiste. Avec plus de cent soixante peintures, photographies, gravures, installation vidéo, dessins, ouvrages... incluant les tableaux les plus célèbres de l’artiste tels les piscines, les double portraits ou encore les paysages monumentaux.., l’exposition restitue l’intégralité du parcours artistique de David Hockney jusqu’à ses œuvres les plus récentes.

L’exposition s’attache particulièrement à l’intérêt de l’artiste pour les outils techniques de reproduction et de production moderne des images. Animé par un désir constant de large diffusion de son art, Hockney a, tour à tour, adopté la photographie, le fax, l’ordinateur, les imprimantes et plus récemment l’I Pad : « la création artistique est un acte de partage ».

L’exposition s’ouvre avec les œuvres de jeunesse, réalisées par Hockney à l’école d’art de sa ville natale de Bradford. Images d’une Angleterre industrieuse, elles témoignent de l’empreinte sur le jeune peintre du réalisme âpre, prôné par ses professeurs adeptes du réalisme social du mouvement du Kitchen sink. De l’école d’art de Bradford au Royal College of Art de Londres, Hockney découvre, assimile la traduction anglaise de l’expressionisme abstrait élaborée par Alan Davie. De l’œuvre de Jean Dubuffet, il retient une stylistique (celle du graffiti, de l’art naïf..;) qui satisfait son projet de produire un art éloquent et socialement, universellement accessible. Chez Francis Bacon, il puise l’audace d’une expression qui aborde explicitement la question de l’homosexualité. Sa découverte de l’œuvre de Picasso achève de le persuader qu’un artiste ne saurait se limiter à un style donné. Il intitule une de ses premières expositions : Démonstration de versatilité.

 

David Hockney Exposition Centre Pompidou
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FROM CHINA TO TAÏWAN Les pionniers de l'abstraction (1955-1985) du 15/06 au 24/09/2017

Musée d'Ixelles
rue Jean Van Volsemstraat 71
B - 1050 Bruxelles
Tél. +32 (0)2 515 64 21/22
E-mail : musee[at]ixelles.be
http://www.museedixelles.irisnet.be/ 

Dans la Chine des années 1930 imprégnée par la tradition, un noyau de peintres modernistes voit le jour grâce à l’enseignement dispensé à l’école des Beaux-Arts de Hangzhou, dont certains professeurs ont étudié en Europe. Les trois artistes considérés aujourd’hui comme étant les pionniers de l’art abstrait chinois y font leurs classes : Zao Wou-Ki (1920-2013) et Chu Teh-Chun (1920-2014), y étudient de 1935 à 1941, puis y enseignent dès l’année suivante. Lee Chun-Shan (1912-1984) y est professeur de 1937 à 1946.

En 1949, après les huit années d’invasion japonaise (1937-1945) surviennent la défaite du Kuo­mintang et la prise du pouvoir par Mao Zedong : plus d’un million de Chinois quittent alors le continent pour aller à Taïwan, où le gouvernement de Chang Kai-Chek s’est replié. Tandis que Zao Wou-Ki a quitté la Chine un an plus tôt pour s’établir à Paris, Chu Teh-Chun et Lee Chun-Shan s’installent à Taipei en 1949.

En 1950, redoutant un conflit avec la Chine occidentale, les États-Unis font de l’île un protectorat américain. Au travers des ouvrages disponibles à la bibliothèque américaine de Taipei, les artistes découvrent par eux-mêmes l’art moderne occidental, de l’impressionnisme à l’art abstrait de l’École de New York, alors en pleine effervescence.

Zao-Wou-Ki nous deux 1955 huile sur toile 38 x 46 cm Le Havre Musée d'Art Moderne Andre Malraux © SABAM 2017
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Exposition photographique Pascal Kober
Musée de l'Ancien Évêché
2 Rue Très Cloîtres
38000 Grenoble
Téléphone : 04 76 03 15 25
http://www.ancien-eveche-isere.fr/

Du 16 juin 2017 au 17 septembre 2017

Pour ceux qui aiment le jazz comme pour ceux qui pensent ... ne pas l'aimer !

Sous les feux des projecteurs ou dans l'intimité des coulisses, dans les locaux de répétition ou au cœur des grandes tournées internationales, les images de Pascal Kober révèlent le regard d'un photojournaliste, témoin, depuis plusieurs décennies pour la revue Jazz Hot, des évolutions de cette musique centenaire qu'est le jazz.

Tendresse pour la note bleue, émotion et complicité marquent cette exposition photographique singulière et largement commentée, dont nombre d'images célèbrent le festival Jazz à Vienne.

De A comme Afrique (et Amériques !) jusqu’à Z comme Zoom, cent vingt photographies en couleurs ou en noir et blanc forment un abécédaire tout en humanité. Place au plaisir de la rencontre en images et en musique avec une play-list de titres des grands standards du jazz diffusés dans les salles. Pour prolonger les découvertes, un documentaire, tourné avec la complicité de Pascal Kober, nous emmène dans ses pas, au plus près de son travail de photojournaliste.

Au cœur de l’exposition, un piano à disposition du public offrira aux pianistes amateurs l’occasion de s’exercer à la note bleue…

Exposition photographique Pascal Kober
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Matisse en ses murs
Un nouvel accrochage des collections

8 juillet – 13 octobre 2017

Vernissage > Vendredi 7 juillet 2017 à 18 heures

Musée Matisse
164 Avenue des Arènes de Cimiez
Nice

Du 8 juillet au 13 octobre 2017 au Musée Matisse, la Ville de Nice vous invite à découvrir l’exposition « Matisse en ses murs – un nouvel accrochage des collections ».

Pour les cent ans de l’arrivée de Matisse à Nice, le musée présente un nouvel accrochage qui rend hommage au lien entre la ville et l’artiste. Ce nouveau parcours éclaire la richesse d’une collection, fruit des donations successives de l’artiste et de ses héritiers à la Ville de Nice, qui offre un accès privilégié et unique à l’intimité de sa création.
 
Le musée renoue cette année avec l’entrée conçue par Jean-François Bodin en 1993, qui permet d’accueillir le public dans l’espace magistral déployé autour de la grande gouache découpée Fleurs et fruits et de la céramique de La Piscine, don de Claude et Barbara Duthuit à la Ville de Nice en 2013.

La salle « Matisse et Nice » racontera l’ancrage de l’artiste dans sa ville d’élection, ses ateliers et lieux de vie successifs, de la Promenade des Anglais jusqu’au Régina, à Cimiez.

Le nouvel accrochage s’attachera à révéler une œuvre constamment portée par le dialogue. La « salle invité », renouvelée tous les trois mois, s’ouvrira avec Georges Rouault, alors que la salle dédiée au fauvisme soulignera l’échange avec Henri Manguin. Dialogue avec les cultures aussi, puisque tout au long du cheminement le visiteur pourra découvrir les sources extra-occidentales d’une création profondément humaniste.

Henri Matisse peignant, atelier du cours Saleya,  vers 1927, Archives Matisse DR

Henri Matisse peignant, atelier du cours Saleya,
vers 1927, Archives Matisse DR

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FAHRELNISSA ZEID
Tate Modern
Bankside, London SE1 9TG,
Royaume-Uni

http://www.tate.org.uk/visit/tate-modern

13 June – 8 October 2017

For public information call +44(0)20 7887 8888, visit www.tate.org.uk

Sponsored by Deutsche Bank. Supported by the Fahrelnissa Zeid Exhibition Supporters Group
Open daily 10.00 – 18.00 and until 22.00 on Friday and Saturday

Be mesmerised by the kaleidoscopic paintings of the international female artist, Fahrelnissa Zeid

Trained in both Paris and Istanbul, Fahrelnissa Zeid was an important figure in the Turkish avant-garde d group in the early 1940s and the École de Paris (School of Paris) in the 1950s. Her vibrant abstract paintings are a synthesis of Islamic, Byzantine, Arab and Persian influences fused with European approaches to abstraction. Many of her abstract works are monumental and demand attention.

Zeid’s reputation as an artist was cemented in the 1950s when she was living between London and Paris and exhibiting extensively internationally. The artist also began experimenting with painting on turkey and chicken bones, which she later cast in polyester resin panels evocative of stained-glass windows. In the later years of her life she unexpectedly returned to figurative painting, creating stylised portraits of her friends and family.

Indulge in Zeid’s obsession with line and dazzling colour in this exhibition. Rediscover one of the greatest female artists of the 20th century in this first major retrospective.​

Fahrelnissa Zeid Resolved Problems 1948 Istanbul Museum of Modern Art Collection, Eczacıbaşı Group Donation (Istanbul, Turkey)  © Raad bin Zeid © Istanbul Museum of Modern Art

Fahrelnissa Zeid Resolved Problems 1948
Istanbul Museum of Modern Art Collection,
Eczacıbaşı Group Donation (Istanbul, Turkey)  
© Raad bin Zeid © Istanbul Museum of Modern Art

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Expressionnisme Abstrait L'EXPOSITION
3 février 2017 – 4 juin 2017

GUGGENHEIM BILBAO

À une époque trouble entre la Seconde Guerre Mondiale et les années free jazz bercées par la poésie de la génération beat, des artistes comme Pollock, Rothko et De Kooning mirent à mal les conventions en vigueur afin d’inaugurer une nouvelle étape de confiance vis à vis de la peinture. L’Expressionnisme Abstrait est le fruit de l’expérience commune d’une série d’artistes qui vivaient à New York en 1940 et, qui alors même qu’ils étaient amis et compagnons, avaient tous un style à part entière. Contrairement à ce qui s’était produit pour les précédents mouvements des Cubisme et Surréalisme, l’Expressionnisme Abstrait ne semblait pas adopter une formule figée. Cette diversité mit à l’honneur la liberté d’expression individuelle et artistique de chacun d’entre eux.

L’Expressionnisme Abstrait marqua un moment clé dans l’évolution de l’art du XXe siècle. Étonnamment, aucune grande exposition n’a été consacrée en Europe à ce mouvement depuis 1959. Avec plus de 130 peintures, sculptures et photographies issues de collections publiques et privées du monde entier, cette exposition ambitieuse comprend les chefs d’œuvre des artistes nord-américains les plus talentueux rattachés à  ce mouvement, comme Willem de Kooning, Arshile Gorky, Philip Guston, Franz Kline, Joan Mitchell, Robert Motherwell, Barnett Newman, Jackson Pollock, Mark Rothko, Aaron Siskind, David Smith et Clyfford Still, ainsi que d’autres figures moins connues mais tout aussi révélatrices.

Cette sélection prétend réévaluer l’Expressionnisme Abstrait, et souligner que même s’il a été perçu comme un mouvement unifié, ce fut un phénomène extrêmement complexe, pluriel et polyédrique. C’est aussi l’occasion de mettre à mal l’idée selon laquelle l’Expressionnisme Abstrait avait uniquement rayonné dans la ville de New-York, ayant aussi inclus des artistes de la Côte Ouest comme Sam Francis, Mark Tobey et Minor White.

 

Jackson Pollock Masculin et féminin (Male and Female), 1942–43 Huile sur toile 186,1 x 124,3 cm Philadelphia Museum of Art. Donation de M. et Mme H. Gates Lloyd, 1974 Photo : Philadelphia Museum of Art © The Pollock-Krasner Foundation VEGAP, Bilbao, 2016 

Jackson Pollock
Masculin et féminin (Male and Female), 1942–43
Huile sur toile
186,1 x 124,3 cm
Philadelphia Museum of Art. Donation de M. et Mme H. Gates Lloyd, 1974
Photo : Philadelphia Museum of Art
© The Pollock-Krasner Foundation VEGAP, Bilbao, 2016

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SFMOMA PRESENTS DIANE ARBUS: IN THE BEGINNING IN THE NEW PRITZKER
CENTER FOR PHOTOGRAPHY JANUARY 21–APRIL 30, 2017

San Francisco Museum of Modern Art
151 Third Street
San Francisco, CA 94103

https://www.sfmoma.org/

SAN FRANCISCO, CA (October 27, 2016)—The San Francisco Museum of Modern Art (SFMOMA) will present the West Coast debut of the acclaimed exhibition diane arbus: in the beginning, on view January 21 through April 30, 2017. Organized by The Metropolitan Museum of Art, diane arbus: in the
beginning considers the first seven years of the photographer’s career, from 1956 to 1962. Bringing together over 100 photographs from this formative period, many on display for the first time, the exhibition offers fresh insights into the distinctive vision of this iconic American photographer. The exhibition will be on view in the museum’s new Pritzker Center for Photography, made possible by the Lisa and John Pritzker Family Fund. SFMOMA is the only American venue other than The Metropolitan Museum of Art to present this exhibition.

A lifelong New Yorker, Diane Arbus (1923–1971) found the city and its citizens an endlessly rich subject for her art. Working in Times Square, the Lower East Side and Coney Island, she made some of the most powerful portraits of the 20th century, training her lens on the pedestrians and performers she
encountered there. This exhibition highlights her early and enduring interest in the subject matter that would come to define her as an artist. It also reveals the artist’s evolution from a 35mm format to the now instantly recognizable and widely imitated look of the square format she adopted in 1962.

Diane Arbus, Stripper with bare breasts sitting in her dressing room, Atlantic City, N.J © The Estate of Diane Arbus, LLC. All rights reserved.

Diane Arbus, Stripper with bare breasts sitting in her dressing room, Atlantic City, N.J
© The Estate of Diane Arbus, LLC. All rights reserved.

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ALBERTO GIACOMETTI
Tate Modern
Bankside, London SE1 9TG,
Royaume-Uni

http://www.tate.org.uk/visit/tate-modern

10 May – 10 September 2017

Supported by the Alberto Giacometti Supporters Circle, Tate Patrons and Tate Americas Foundation Tate Modern, Eyal Ofer Galleries


This summer Tate Modern will present the UK’s first major retrospectiveof Alberto Giacometti (1901-1966) for 20 years. Celebrated as a sculptor, painter and draughtsman, Giacometti’s distinctive elongated figures are some of the most instantly recognisable works of modern art. This exhibition will reassert Giacometti’s place alongside the likes of Matisse, Picasso and Degas as one of the great painter-sculptors of the 20th century. Through unparalleled access to the extraordinary collection and archive of the Fondation Alberto et Annette Giacometti, Paris, Tate Modern’s ambitious and wide-ranging exhibition will bring together over 250 works. It will include rarely seen plasters and drawings which have never been exhibited before and will showcase the full evolution of Giacometti’s career across five decades, from early works such as Head of a Woman [Flora Mayo] 1926 to iconic bronze sculptures such as Walking Man I 1960.

Born in Switzerland in 1901, Giacometti moved to Paris in the 1920s where he became engaged with cubism and latterly joined the Surrealist Group in 1931. Celebrated works such as Woman with her Throat Cut 1932 will reveal Giacometti’s engagement with surrealism as well as his powerful explorations of brutality and sadism. A wide range of the artist’s large scale sculptures will also be showcased alongside his drawings and books. Other works like Untitled (mask) 1934 will demonstrate his engagement with the decorative arts, while Man (Apollo) 1929 and The Chariot 1950 will show his preoccupation with Egyptian and African art. The exhibition will reveal how Giacometti, perhaps more than any other artist of his day, fused the ancient and the modern and broke down barriers between the decorative and the fine arts.

Alberto Giacometti Man Pointing 1947 Bronze 178 x 95 x 52 cm Tate, Purchased 1949 © Alberto Giacometti Estate, ACS/DACS, 2017

Alberto Giacometti Man Pointing 1947
Bronze 178 x 95 x 52 cm
Tate, Purchased 1949
© Alberto Giacometti Estate, ACS/DACS, 2017

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Michel Macréau Buddy Di Rosa
peinture, dessin et sculpture exposition du 13 janvier au 25 février 2017
Contacts -
Caroline Quaghebeur, directrice
Marine Mercier, chargée des publics et de la communication
11 rue de Bagneux
92320 Châtillon
01 40 84 97 11
maisondesarts(at)chatillon92.fr
www.maisondesarts-chatillon.fr

Exposition réalisée en collaboration avec
RENAUD RICHEBOURG, collectionneur et ancien galeriste
JEAN-MARC GAUTHIER, artiste
LA FABULOSERIE, musée d’art hors-les-normes et d’art brut
Anticonformiste, inclassable (pourtant souvent catalogué outsider ou brut), génie du dessin, Macréau (1935 -1995) développe à partir des années 60, une oeuvre aux thématiques obsessionnelles qui s’expriment par une ligne noire et nerveuse n’excluant pas la couleur. Guidé par l’instinct (il partage les préoccupations de CoBrA), il pratique une peinture au tube, parfois à la bombe, sur tout type de support, et est souvent considéré comme le précurseur malheureux des peintres stars, français et américains, des années 80.

Culturel et sauvage, élégant et effrayant, Macréau ne peut toutefois se laisser enfermer et nous souhaitons que cette exposition offre une nouvelle lecture, pour une meilleure compréhension, de la place qu’il occupe dans l’histoire de l’art.

Michel Macréau Buddy Di Rosa MAISON DES ARTS CHÂTILLON
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MIGUEL BRANCO BLACK DEER
« RÉSONANCES, ENLÈVEMENTS, INTERFÉRENCES »
EXPOSITION
MUSÉE DE LA CHASSE ET DE LA NATURE
62, RUE DES ARCHIVES
75003 PARIS, FRANCE
WWW.CHASSENATURE.ORG
8 NOVEMBRE 2016 - 12 FÉVRIER 2017

La cour du musée de la Chasse et de la Nature accueille un cerf en bronze, assis sur le pavé, à la fois alerte et silencieux. C’est l’œuvre de l’artiste Miguel Branco, né au Portugal en 1963. Durant plus de 30 ans, grâce aux mediums de la peinture, du dessin, de la sculpture et de l’image digitale, son œuvre s’est centrée sur l’animal comme sujet principal.  Ses  figures  sont  silencieuses  et  mystérieuses,  comme  si  elles  étaient détachées de leur nature pour être vues sous un nouveau jour.
En empruntant la plupart de ses modèles à l’histoire de l’art, à Georges Stubbs  notamment,  ou  en  puisant  parmi  les  illustrations  des  anciens ouvrages scientifiques telle l’Histoire naturelle du comte de Buffon, ses œuvres  se  prêtent  à  un  nouveau  travail  d’ordre  pictural  et  plastique.  
Revendiquant ces emprunts,  l’artiste s’en sert d’une manière  toute personnelle : il crée ses propres images d’images antérieures. En plaçant ses figures animales dans un contexte ou sous un éclairage nouveaux, Miguel Branco apporte un climat d’étrangeté. Pour la sculpture placée dans la cour, c’est le traitement stylistique épuré à l’extrême et l’échelle plus grande que nature qui viennent singulariser l’image monumentale de ce cervidé.

Miguel Branco

Miguel Branco

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Du 4 octobre 2016 au 5 février 2017

Du mardi au vendredi : 10h30 – 18h
Samedis, dimanches et Jours fériés (sauf les lundis) : 9h30 -18h00.

Musée National Picasso
5 rue de Thorigny
75003 Paris
http://www.museepicassoparis.fr/
Du mardi au vendredi : 10h30 – 18h
Samedis, dimanches et Jours fériés (sauf les lundis) : 9h30 -18h00.

Picasso-giacometti
DiaLogue entre Deux maîtres

Du 4 octobre 2016 au 5 février 2017, le Musée Picasso présente la toute première exposition consacrée à l'oeuvre de deux des plus grands artistes du XXe siècle : Pablo Picasso (1881-1973) et Alberto Giacometti (1901-1966).

Grâce à un prêt exceptionnel de la Fondation Giacometti, cette exposition inédite, qui occupera le rez-de-chaussée et le premier étage de l'hôtel Salé, réunit plus de 200 oeuvres des deux maîtres provenant des riches collections du Musée Picasso et de la Fondation Giacometti, ainsi que des prêts de collections françaises et étrangères.

Un important travail de recherche, mené en commun dans les fonds d'archives du Musée Picasso et de la Fondation Giacometti, a permis de révéler des documents inédits, esquisses, carnets et annotations significatives. Ceux-ci éclairent les relations méconnues entre les deux artistes, relations à la fois amicales et formelles, et l'intérêt mutuel qu'ils se sont porté à des moments clefs de leurs carrières, en dépit de vingt ans de différence d'âge.

Dotés de tempéraments différents, mais caractérisés tous deux par une grande liberté d'esprit et d'invention, Picasso et Giacometti partagent une fascination pour le lien entre Éros et Thanatos, comme pour le déplacement des limites de la représentation. De leur rencontre au début des années 1930 à leurs dialogues nourris dans l'après-guerre autour des querelles du retour au réalisme, les deux artistes n'ont cessé d'échanger sur leur création. Comme l'exposition le révèle, de nombreuses similitudes formelles et thématiques rapprochent leurs oeuvres de la période surréaliste. À partir de la fin des années 1930, tous deux vont transformer leur pratique et partager des questionnements sur l'art et sa relation au réel, auxquels le peintre-sculpteur et le sculpteur-peintre répondent par des solutions formelles différentes.

Exposition Picasso Giacometti Musée Picasso Paris

Crédits photos de couverture Dora Maar, Portrait d'Alberto Giacometti, 1936 © Succession Giacometti (Fondation Giacometti + ADAGP) Paris, 2016.

Dora Maar, Portrait de Picasso, Paris, studio du 29, rue d'Astorg
(appuyé à un mur), vers 1936, Paris © Centre Pompidou,
MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / image Centre Pompidou,
MNAM-CCI © ADAGP ©Succession Picasso 2016

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Bernard Buffet Rétrospective
14 octobre 2016 - 26 février 2017

Musée d’Art moderne de la Ville de Paris
11 Avenue du Président Wilson
75116 Paris
Tel. 01 53 67 40 00
www.mam.paris.fr

Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris organise une rétrospective de l’oeuvre de Bernard Buffet (1928 - 1999), considéré comme l’un des peintres français les plus célèbres du XXème siècle, mais également l’un des plus discutés. À travers une sélection d’une centaine de peintures, l’exposition propose une relecture d’une oeuvre qui a été en réalité très peu vue.

Parce que le Musée d’Art moderne est le seul musée public possédant une collection importante d’oeuvres de l’artiste (entrée en 1953 par l’important legs Girardin et en 2012 par la donation Ida et Maurice Garnier), il était légitime de réaliser ce projet qui remonte aux premiers contacts pris avec son marchand historique Maurice Garnier (1920 - 2014), il y a près de dix ans, mais que la dimension restée longtemps polémique de l’oeuvre de Bernard Buffet avait retardé.

Aujourd’hui, avec la distance du temps, de nombreux artistes, professionnels et amateurs, reconsidèrent l’oeuvre, ce qu’elle pouvait avoir de déroutant s’étant en partie atténué. En balayant l’ensemble de l’oeuvre dans un parcours rétrospectif, mais très sélectif en raison de la grande productivité de l’artiste, l’exposition montrera la qualité et la variété insoupçonnées de ce qui restera peut-être comme une des oeuvres picturales les plus fascinantes du siècle dernier et dont l’influence sera peut-être une des plus considérables.

Bernard Buffet Autoportrait sur fond noir, 1956 129,3 x 96,8 cm, huile sur toile Collection Pierre Bergé © dominique Cohas

Bernard Buffet
Autoportrait sur fond noir, 1956
129,3 x 96,8 cm, huile sur toile
Collection Pierre Bergé
© dominique Cohas

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BERNARD LORJOU
La Couleur comme un CRI par Junko Shibanuma
Présidente de l’Association Bernard Lorjou

2 Décembre au 12 Février 2017
Château de Tours
Avenue André Malraux
37000 TOURS

Sous ce titre bien expressif, la Ville de Tours organise, en collaboration avec l’Association Bernard Lorjou, une grande rétrospective de Bernard Lorjou dans son Château du 25, avenue André Malraux. Elle aura lieu du 2 décembre 2016 au 12 février 2017 en réunissant une cinquantaine de peintures, quinze dessins et douze portraits photographiques de l’artiste. Belle occasion de découvrir et redécouvrir l’œuvre de cet artiste qui fascine le public à la fois par ses thèmes et par son art haut en couleur.
Né le 9 septembre 1908 à Blois, Bernard Lorjou est un enfant de la douce Vallée de la Loire où les rois de France ont bâti leurs châteaux. Son tempérament est, cependant, loin d’être l’image de cette douceur. C’est un enfant impossible, cancre et bagarreur ;  seule la classe du dessin saura le maintenir en place. A la sortie de l’école communale, ses parents, bien que de condition modeste, le laissent tenter l’examen de l’Ecole des Arts décoratifs de Paris. C’est un échec. Il commence alors, seul, son apprentissage de peintre, dans le Paris des années 20, gagnant sa vie, après plusieurs mois de galère, comme dessinateur chez le soyeux Ducharne. Il y rencontre la femme de sa vie, Yvonne Mottet qui partage avec lui l’aspiration à devenir un grand peintre. Ils entament alors, tous les deux, un long processus d’apprentissage, jusqu’en 1931 où, en visite au Musée du Prado de Madrid, Lorjou est totalement subjugué par la peinture de Goya dont il se réclamera durant toute sa vie.

Bernard Lorjou Pigeons de Montmartre - 1983 Huile et acrylique sur toile 162 x 130 cm

Bernard Lorjou
Pigeons de Montmartre - 1983
Huile et acrylique sur toile 162 x 130 cm 

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ING corporate
Bruxelles • octobre 2016

Guggenheim Full Abstraction
ING Art Center 
Place Royale 6 – 1000 Bruxelles
19 octobre 2016 – 12 février 2017

Du 19 octobre 2016 au 12 février 2017, l’ING Art Center, à Bruxelles, présentera un impressionnant ensemble d’oeuvres d’art issues des collections Peggy Guggenheim à Venise et Solomon Guggenheim à New York. Parmi celles-ci, de nombreux chefs d’oeuvre représentatifs des courants de l’abstraction expressionniste d’après-guerre américain et européen, datant des années 1940 jusqu’aux années 1960, et surtout bon nombre d’oeuvres d’artistes rarement exposés en Belgique.

L’exposition retrace l’évolution de la scène artistique des deux côtés de l’Atlantique pendant trois décennies, des années 1940 aux années 1960, à travers les musées de deux collectionneurs américains, Peggy Guggenheim et Solomon Guggenheim. Placé sous la direction de Luca Massimo Barbero, conservateur adjoint de la Collection Peggy Guggenheim de Venise, l’événement est co-organisé par l’ING Art Center et la Fondation Solomon R. Guggenheim de New York. Elle offrira aux visiteurs une occasion exceptionnelle de voir associées des pièces des musées de Solomon et de sa nièce Peggy, pour une vision transversale sur l’oeuvre de certaines des plus grandes figures de l’art du XXe siècle.

Robert Motherwell Easter Day 1971

Robert Motherwell Easter Day 1971

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THE MUSEUM OF MODERN ART EXPLORES THE PROVOCATIVE AND PROLIFIC CAREER OF FRANCIS PICABIA WITH HIS FIRST U.S. RETROSPECTIVE IN NEARLY 50 YEARS

 

MoMA's First-Ever Monographic Exhibition of Picabia Brings Together Some 200 Works to Advance Understanding of the Artist’s Vital Place in 20th-Century Art

 

Francis Picabia: Our Heads Are Round so Our Thoughts Can Change Direction

November 21, 2016–March 19, 2017

The Joan and Preston Robert Tisch Exhibition Gallery, sixth floor

 

NEW YORK, November 3, 2016—The Museum of Modern Art’s Francis Picabia: Our Heads Are Round so Our Thoughts Can Change Direction, on view November 21, 2016–March 19, 2017, is the first major exhibition of the artist’s work in the US in nearly half a century, and the first ever to chart the full range of Picabia’s audacious, irreverent, and profoundly influential career. “Our heads are round so our thoughts can change direction” is an aphorism coined by Picabia in 1922, and it aptly encapsulates the nonlinear, circular character of his artistic practice. This exhibition presents approximately 200 works in an array of mediums in order to advance understanding of Picabia’s unruly genius and its vital place within the history of modern art.

Francis Picabia is organized by MoMA and the Kunsthaus Zürich. The curators are Anne Umland, The Blanchette Hooker Rockefeller Curator of Painting and Sculpture at MoMA; and Cathérine Hug, Curator at the Kunsthaus Zürich; with Talia Kwartler, Curatorial Assistant, MoMA. Prior to its presentation in New York, the exhibition was on view at the Kunsthaus Zürich.

Francis Picabia. Aello. 1930. Oil on canvas, 66 9/16 × 66 9/16 (169 × 169 cm).  Private collection. © 2016 Artist Rights Society (ARS), New York/ADAGP, Paris

Francis Picabia. Aello. 1930. Oil on canvas,
66 9/16 × 66 9/16 (169 × 169 cm).
Private collection. © 2016 Artist Rights Society (ARS),
New York/ADAGP, Paris

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Abstract Expressionism Main Galleries
24 September 2016 – 2 January 2017

Royal Academy of Arts,
Burlington House, Piccadilly,
London W1J 0BD
www.royalacademy.org.uk
020 7300 8090


The Royal Academy of Arts presents the first major exhibition of Abstract Expressionism to be held in the UK in almost six decades. With over 150 paintings, sculptures and photographs from public and private collections across the world, this ambitious exhibition encompasses masterpieces by the most acclaimed American artists associated with the movement – among them, Willem de Kooning, Arshile Gorky, Phillip Guston, Franz Kline, Joan Mitchell, Robert Motherwell, Barnett Newman, Jackson Pollock, Mark Rothko, Aaron Siskind, David Smith and Clyfford Still, as well as lesser-known but no less vital artists.

The selection aims to re-evaluate Abstract Expressionism, recognising that though the subject is often perceived to be unified, in reality it was a highly complex, fluid and many-sided phenomenon. Likewise, it revises the notion of Abstract Expressionism as based solely in New York City by addressing such figures on the West Coast as Sam Francis, Mark Tobey and Minor White.

Clyfford Still, PH-950, 1950. Oil on canvas, 233.7 x 177.8 cm. Clyfford Still Museum, Denver © City and County of Denver / DACS 2016. Photo courtesy the Clyfford Still Museum, Denver, CO;

Clyfford Still, PH-950, 1950. Oil on canvas, 233.7 x 177.8 cm. Clyfford Still Museum, Denver © City and County of Denver / DACS 2016. Photo courtesy the Clyfford Still Museum, Denver, CO;

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EXPOSITION
ICÔNES DE L’ART MODERNE. LA COLLECTION  CHTCHOUKINE
MUSÉE DE L’ERMITAGE – MUSÉE POUCHKINE – GALERIE TRÉTIAKOV

22 octobre 2016 – 20 février 2017

FONDATION LOUIS VUITTON

8, Avenue du Mahatma Gandhi
Bois de Boulogne - 75116 - Paris
Tel : + 33 1 40 69 96 00
Web : www.fondationlouisvuitton.fr

I— Communiqué de presse

La Fondation Louis Vuitton présente l’exposition « ICÔNES DE L’ART MODERNE.
LA COLLECTION CHTCHOUKINE » qui se tient à la Fondation Louis Vuitton à Paris du 22 octobre 2016 au 20 février 2017. Elle s’inscrit dans le cadre du programme officiel de L’année Franco-Russe 2016-2017 du tourisme culturel dont elle constitue en France l’événement le plus marquant.

L’exposition rend hommage à l’un des plus grands mécènes du début du 20 ème siècle,
Sergueï Chtchoukine, collectionneur « visionnaire » de l’art moderne français du début du 20 ème siècle.

C’est à partir de 1898 que Sergueï Chtchoukine, grand industriel moscovite, entre en contact avec les marchands Paul Durand-Ruel, Ambroise Vollard, Berthe Weill, puis Georges Bernheim et Daniel Henry-Kahnweiler. Les relations affinitaires qu’il entretient avec les artistes comme Matisse, influencent fortement la formation de sa collection exemplaire de l’art le plus radical de son temps.

Paul Gauguin (1848-1903, France)  Aha oé feii (Eh quoi, tu es jalouse ?), été 1892  Huile sur toile 66 x 89 cm  Musée d'Etat des Beaux-Arts Pouchkine, Moscou  N° d'inventaire 3269  COPYRIGHT : Paul Gauguin, Aha oé feii (Eh  quoi, tu es jalouse ?), été 1892.  Courtesy Musée d'Etat des Beaux-Arts Pouchkine, Moscou  © Adagp, Paris 2016

Paul Gauguin (1848-1903, France)
Aha oé feii (Eh quoi, tu es jalouse ?), été 1892
Huile sur toile 66 x 89 cm
Musée d'Etat des Beaux-Arts Pouchkine, Moscou
N° d'inventaire 3269
COPYRIGHT : Paul Gauguin, Aha oé feii (Eh
quoi, tu es jalouse ?), été 1892.
Courtesy Musée d'Etat des Beaux-Arts Pouchkine, Moscou
© Adagp, Paris 2016

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René Magritte
La trahison des images

21 septembre 2016 - 23 janvier 2017
de 11h00 à 21h00 ou de 11h00 à 23h00
Galerie 2 -
Centre Pompidou, Paris
Place Georges-Pompidou, 75004 Paris

L’exposition Magritte. La trahison des images propose une approche à ce jour inédite de l’œuvre de l’artiste belge René Magritte. Rassemblant les œuvres emblématiques, comme d'autres peu connues de l’artiste, provenant des plus importantes collections publiques et privées, l’exposition offre une lecture renouvelée de l’une des figures magistrales de l’art moderne.

Une centaine de tableaux, de dessins, et des documents d’archives, sont réunis pour offrir au public cette approche qui s’inscrit dans la ligne des monographies que le Centre Pompidou a consacré aux figures majeures de l‘art du 20e siècle : « Edward Munch. L’œil moderne », « Matisse. Paires et séries » et « Marcel Duchamp. La peinture, même ». L’exposition Magritte. La trahison des images explore un intérêt du peintre pour la philosophie, qui culmine, en 1973, avec Ceci n’est pas une pipe que publie Michel Foucault, fruit de ses échanges avec l’artiste.

Dans une conférence qu’il donne en 1936, Magritte déclare que Les affinités électives, qu’il peint en 1932, marque un tournant dans son œuvre. Ce tableau signe son renoncement à l'automatisme, à l’arbitraire du premier surréalisme. L’œuvre, qui montre un œuf enfermé dans une cage, est la première de ses peintures vouée à la résolution de ce qu’il nomme : un « problème ». Au hasard ou à la « rencontre fortuite des machines à coudre et des parapluies », succède une méthode implacable et logique, une solution apportée aux « problèmes » de la femme, de la chaise, des souliers, de la pluie… Les recherches appliquées à ces « problèmes », qui marquent le tournant « raisonnant » de l’œuvre de Magritte, ouvrent l’exposition.

L’exposition sera présentée dans un format restreint à la Schirn Kunsthalle Frankfurt, en Allemagne du 10 février au 5 juin 2017.

Commissaire : Mnam/Cci, Didier Ottinger

René Magritte (1898 - 1967) "Les vacances de Hegel", 1958 © Adagp, Paris 2016 © Photothèque R. Magritte BI, Adagp, Paris, 2016

René Magritte (1898 - 1967) "Les vacances de Hegel", 1958
© Adagp, Paris 2016 © Photothèque R. Magritte
BI, Adagp, Paris, 2016

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Max Beckmann in New York, Opening at The Met on
October 19, Will Spotlight the Artist's Special Connection with the City

Exhibition Dates:
October 19, 2016–February 20, 2017
Exhibition Location:

The Metropolitan Museum of Art
1000 Fifth Avenue - Gallery 199
New York, NY 10028
T 212 535 7710,

Opening October 19, 2016, the exhibition Max Beckmann in New York at The Metropolitan Museum of Art will put a spotlight on the artist's special connection with New York City. It will feature 14 paintings that Beckmann created while living in New York from 1949 to 1950, as well as 25 works, dating from 1920 to 1948, from New York collections. The exhibition assembles several groups of iconic works, including self-portraits; mythical, expressionist interiors; robust, colorful portraits of women and performers; landscapes; and triptychs.

The exhibition is made possible by The Isaacson-Draper Foundation.

It is supported by an Indemnity from the Federal Council on the Arts and the Humanities.

In late December 1950, Beckmann set out from his apartment on the Upper West Side of New York to see his Self-Portrait in Blue Jacket (1950), which was on view at The Metropolitan Museum of Art in the exhibition American Painting Today. However, on the corner of 69th Street and Central Park West, the 66-year-old artist suffered a fatal heart attack and never made it to the Museum. The poignant circumstance of the artist's death served as the inspiration for the exhibition.

Max Beckmann (German, Leipzig 1884-1950 New York). Self-Portrait in Blue Jacket, 1950. Oil on canvas. Saint Louis Art Museum, Bequest of Morton D. May. SL.9.2016.24.1, © 2016 Artists Rights Society (ARS), New York / VG Bild-Kunst, Bonn

Max Beckmann (German, Leipzig 1884-1950 New York). Self-Portrait in Blue Jacket, 1950. Oil on canvas. Saint Louis Art Museum, Bequest of Morton D. May. SL.9.2016.24.1, © 2016 Artists Rights Society (ARS), New York / VG Bild-Kunst, Bonn

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Ernest Pignon-Ernest
Du mur au livre de l’éphémère à l’éternité
1er octobre 2016 – 8 janvier 2017

Bibliothèque Louis Nucéra
2, place Yves Klein – Nice
Mardi-mercredi  10h-19h -  Jeudi-vendredi  14h-19h
Samedi 10h-18h
Dimanche 14h-18h
entrée libre
Au moment où l’exposition de l’église abbatiale de Saint-Pons s’achève, la bibliothèque Louis Nucéra prend le relais, selon le souhait de l’artiste maintes fois exprimé, en célébrant tout un pan de l’œuvre d’Ernest Pignon-Ernest,  sa collaboration avec les hommes et femmes de lettres. En effet, loin de se limiter à la fréquentation des milieux artistiques, Ernest Pignon-Ernest, depuis sa jeunesse, aime fréquenter écrivains, poètes, romanciers, philosophes et penseurs : plus d’une cinquantaine de ces auteurs, ses amis pour la plupart, l’ont honoré dans Face aux murs : Ernest Pignon-Ernest paru chez Delpire en 2010. C’est ce long et intense compagnonnage que la bibliothèque se propose de révéler au public.

Par une exposition rassemblant la série des 19 portraits de poètes dont les reproductions orneront le livre d’André Velter, Ceux de la poésie vécue, des ouvrages de bibliophilie ainsi que les livres de et sur l’artiste, en particulier  ceux illustrant tous ses combats depuis les années 70 et dont Ernest Pignon-Ernest a composé la couverture.

Ernest Pignon Ernest Bibliothèque Louis Nucéra Nice
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Kandinsky, Marc & Der Blaue Reiter
4 septembre 2016 – 22 janvier 2017

Fondation Beyeler,
Beyeler Museum AG,
Baselstrasse 77, CH-4125 Riehen
www.fondationbeyeler.ch

Pour la première fois depuis 30 ans, la Suisse consacre une vaste exposition à l’un des chapitres les plus fascinants de l’art moderne, entré dans l’histoire sous l’appellation de Der Blaue Reiter, « Le Cavalier bleu ». L’exposition munichoise de 1911 et le mouvement d’artistes du même nom ont été à l’origine d’une expérience artistique d’une nouveauté révolutionnaire. À partir des oeuvres de Wassily Kandinsky appartenant à la Collection Beyeler, le public peut découvrir la création d’un groupe d’artistes d’avant-garde, marqué par des principes d’ouverture d’esprit et d’internationalité auxquels la Première Guerre mondiale est venue mettre un terme.


Der Blaue Reiter : tel est le titre du légendaire almanach édité par Wassily Kandinsky (1866–1944) et Franz Marc (1880–1916), qui fut publié à Munich en 1912. Kandinsky et Marc avaient rassemblé dans ce recueil des textes et des images issus de cultures diverses, réalisés par différents artistes. Cet almanach devait être l’expression de la nécessité d’une transformation radicale des arts en ce début du XXe siècle. Il témoigne d’une nouvelle appréhension de l’art et du monde, révolutionnaire pour l’époque, qui ne s’attachait plus à reproduire la réalité visible mais à illustrer des interrogations mentales. Ce souci s’exprime avant tout par une libération de la couleur inspirée par le paysage des Préalpes au sud de Munich.


Cette réflexion, qui a servi de toile de fond à l’évolution vers l’abstraction de Kandinsky et de Marc surtout, a conduit à un tournant de la conception artistique occidentale et a influencé plusieurs générations de peintres – jusqu’à nos jours.

Wassily Kandinsky und Franz Marc (Hrsg.) Almanach Der Blaue Reiter, Munich, 1914 29,5 x 23 x 2,5 cm ahlers collection © Thomas Ganzenmüller, Hannover

Wassily Kandinsky und Franz Marc (Hrsg.)
Almanach Der Blaue Reiter, Munich, 1914
29,5 x 23 x 2,5 cm
ahlers collection © Thomas Ganzenmüller, Hannover
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MUSÉE MENDJISKY
ÉCOLES DE PARIS

Présente
Les Insoumis
de l’Art Moderne

Paris, les années 50

12 octobre - 31 décembre 2016

15 Square de Vergennes - Paris XV

Contact presse Hermine Parmentier : 01 47 07 98 31
info(at)fmep.fr
www.fmep.fr

À travers une soixantaine d’oeuvres maîtresses, l’exposition présente des artistes tels que Bernard Buffet, Bernard Lorjou, André Minaux ou encore Paul Rebeyrolle qui ont réaffirmé une vision de l’art faite de chair et de terre et nous montrent combien la seconde partie du XXe siècle n’est pas celle du vide mais celle de la figure réinventée.

Dans les années 50, ces jeunes peintres français, se sont battus tout comme Francis Bacon, Balthus, Lucian Freud, Edward Hopper ou Giorgio Morandi pour imposer une figuration que la modernité voulait à jamais dissoudre.

Les Insoumis  de l’Art Moderne
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Dates : du 30 septembre 2016 au 8 janvier 2017
Exposition organisée par le Musée Guggenheim Bilbao en collaboration avec le Grimaldi Forum Monaco

Avenida Abandoibarra, 2 48009 Bilbao
Téléphone :   +34 944 35 90 00  (horaire bureaux)   +34 944 35 90 80  (horaire d’ouverture Musée) 
Commissaire : Martin Harrison
Une exposition parrainée par Iberdrola

• Portraits, nus, paysages, tauromachie… l’exposition porte un regard neuf sur l’oeuvre de Bacon en l’abordant sous l’angle de l’influence des cultures française et espagnole sur son travail.

• Bacon a créé un nouvel univers d’images à partir de la littérature, du cinéma, de l’art et de sa propre vie, en adoptant un langage absolument singulier qui reflète la vulnérabilité humaine avec une grande crudité.

• Dans les nus de Bacon prédominent les personnages isolés saisis dans des postures quotidiennes, que le peintre transforme en déformant leur corps d’une façon presque animale, réinventant ainsi le portrait.

• Transgresseur dans sa vie et dans son oeuvre, Bacon a franchi plusieurs frontières jusqu’alors difficiles à briser et situé l’être humain face à un miroir où il peut se contempler dans toute sa crudité et sa violence.

Le Musée Guggenheim Bilbao présente Francis Bacon : de Picasso à Vélasquez, une exposition de près de 80 toiles qui réunit quelques-unes des peintures les plus marquantes et les moins connues de l’artiste britannique né en Irlande, en regard de l’oeuvre de grands maîtres français et
espagnols qui ont eu un grand ascendant sur sa carrière. Transgresseur dans sa vie et dans son oeuvre, Bacon a franchi plusieurs frontières jusqu’alors difficiles à briser et situé l’être humain face à un miroir où il peut se contempler dans toute sa crudité et sa violence.

Francis Bacon Portrait de Michel Leiris (Portrait of Michel Leiris), 1976 Huile sur toile 34 x 29 cm Centre Pompidou, Paris – Musée national d’art moderne. Centre de création industrielle, Donation de Louise et Michel Leiris, 1984 © The Estate of Francis Bacon. Tous droits réservés DACS/VEGAP, Bilbao, 2016 Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Bertrand Prévost

Francis Bacon
Portrait de Michel Leiris (Portrait of Michel Leiris), 1976
Huile sur toile 34 x 29 cm
Centre Pompidou, Paris – Musée national d’art moderne.
Centre de création industrielle, Donation de Louise et Michel Leiris, 1984
© The Estate of Francis Bacon. Tous droits réservés
DACS/VEGAP, Bilbao, 2016
Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Bertrand Prévost

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Fantaisies brésiliennes
10 juin - 3 octobre 2016
Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky
Château Sainte-Hélène
23 avenue de Fabron - Nice
04 93 71 78 33
Ouvert tous les jours sauf le mardi de 10h à 18h

Inauguration de cette exposition en présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l’art moderne et contemporain représentant Christian Estrosi, Président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Maire de Nice,
Jacques Ardiès représentant le Ministère de la Culture de Sao Paulo
André de Montigny, Consul Honoraire du Brésil à Monaco

En partenariat avec le Ministère de la Culture de Sao Paulo, la Ville de Nice accueille, du 10 juin au 3 octobre 2016, au Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky, « Fantaisies brésiliennes », une exposition témoignant de l’originalité de l’Art Naïf brésilien issu d’un savant mélange ethnique, d’un syncrétisme religieux, d’un besoin impérieux de braver la dureté de la vie et de lui substituer les couleurs de l’espoir.

anatole jakovsky1979

Légende et crédit de la photo
Crisaldo Morais  - Les Equilibristes  - 100 x 70 cm – 1979 – c.p

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VERNISSAGE de l'exposition
Ernest Pignon-Ernest
Par Christian Estrosi, Président de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur, Président de la Métropole Nice Côte d'Azur
& Philippe Pradal, Maire de Nice

En présence de l'artiste
Vendredi 24 juin 2016 à 19h00
MAMAC
Place Yves Klein - Nice

Vernissage de l'exposition à l'église Abbatiale de Saint-Pons le lundi 27 juin 2016 à 17h00

La Ville de Nice accueille cet été une grande exposition rétrospective d'Ernest Pignon-Ernest au MAMAC. L'artiste investira également l'église abbatiale de Saint-Pons avec la présentation des "Extases". Initiateur de l'art urbain en France, Ernest Pignon-Ernest est né à Nice en 1942.

Du plateau d'Albion à Certaldo, de Charleville à Paris, de Naples à Alger, de Nice à Soweto, du Chili à la Palestine, depuis 1966, Ernest Pignon-Ernest change les rues du monde en oeuvre d'art éphémère. Il a ainsi préfiguré nombre d'expériences artistiques qui sollicitent l'espace public. Considéré comme le précurseur de l'art urbain, il est aujourd'hui une figure incontournable et populaire de la scène artistique. Unique par sa tenue éthique et esthétique, son parcours quelque soit les thèmes abordés, a réussi le rare prodige de concilier un engagement sans concession ni reniement avec une expression artistique d'une extrême exigence, au point que certaines de ses images, notamment les fusillés de la Commune, ou son Rimbaud vagabond reproduit à des milliers d'exemplaires, sont devenues de véritables icônes des temps modernes.

 

Ernest Pignon-Ernest, Parcours Jean Genet, port de Brest, juin 2006 - sérigraphie en situation  © ADAGP, Paris, 2016 Courtesy MAMAC NICE

Ernest Pignon-Ernest, Parcours Jean Genet,
port de Brest, juin 2006 - sérigraphie en situation
© ADAGP, Paris, 2016 Courtesy MAMAC NICE

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La Maison de la Photographie Robert Doisneau de Gentilly porte le nom que lui a donné le plus célèbre représentant de la photographie française du 20ème siècle, lui-même natif de cette commune.

Depuis son ouverture en 1996, la Maison Doisneau est un lieu d'expositions temporaires. Elle rend hommage à Robert Doisneau en explorant la photographie humaniste dans son histoire et dans ses pratiques actuelles, revisitant cette notion au-delà des frontières, privilégiant le regard, le réel et le documentaire.

Attachée à la photographie humaniste, l'Association des Ami-e-s de La Maison de la Photographie Robert Doisneau a été créée afin de contribuer à la valorisation de cette photographie et au rayonnement des actions de la Maison Doisneau auprès d'un plus large public possible.

La Maison de la Photographie Robert Doisneau
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MUSEE DU QUAI BRANLY

Du 21 juin au 9 octobre 2016
37 Quai Branly, 75007 Paris
http://www.quaibranly.fr/fr/

Galerie Est

AVANT-PROPOS DE STÉPHANE MARTIN, PRÉSIDENT DU MUSEE DU QUAI BRANLY

Imaginer "un lieu qui manifeste un autre regard sur le génie des peuples et des civilisations d’Afrique, d’Asie, d’Océanie et des Amériques 1" telle fut l’ambition de Jacques Chirac. Ce désir a germé il y a près de trente ans, à une époque où il paraissait inconcevable qu’en l’espace d’une décennie, plus de 15 millions de personnes viendraient admirer des oeuvres longtemps oubliées. Depuis maintenant 10 ans, le musée du quai Branly poursuit le rêve de son fondateur et propose de faire découvrir, à travers la richesse de ses collections et de sa programmation, l’infinie diversité des cultures.

Termes employés par Jacques Chirac dans son discours prononcé lors de l’inauguration du musée du quai Branly le 20 juin 2006.

Musee du Quai Branly Jacques Chirac

Musée du quai Branly. Affiche de l'exposition "JACQUES CHIRAC ou le dialogues de cultures". Du 21 juin au 9 octobre 2016.
Commissaire del'exposition : Jean-Jacques Aillagon, ancien ministre

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ZAO WOU-KI
UNE DONATION EXCEPTIONNELLE
Dessins, céramiques et encres de Chine Bronzes
et céladons de la collection du Maître  

MUSEE CERNUSCHI
MUSEE DES ARTS DE L’ASIE DE LA VILLE DE PARIS
7 Avenue Velasquez, 75008 Paris
http://www.cernuschi.paris.fr/

L’entrée dans la collection du musée Cernuschi de la donation de Madame Françoise Marquet-Zao est historique.

Tout d’abord, elle rappelle que, dès 1946, les oeuvres de Zao Wou-ki avaient été présentées pour la première fois en France au Musée Cernuschi. Vadime Elisseeff, alors conservateur au musée, avait eu le discernement et l’audace de présenter au public parisien cet artiste à la fois jeune et inconnu ! La presse de l’époque avait tout de suite reconnu le talent de Zao Wou-ki. Deux ans plus tard, le jeune peintre chinois arrivait à Paris, une ville qui allait demeurer l’espace privilégié de sa création.

Les oeuvres de la donation évoquent justement cette période clé au cours de laquelle Zao Wou-ki multiplie les expériences techniques et chemine de la figuration vers l’abstraction. Ainsi pour le seul travail sur papier, l’artiste pratique le fusain, l’aquarelle, la gouache et bien sûr l’encre. Il réalise quelques portraits d’un trait sûr aux accents matissiens, s’inspire aussi bien de modèles vivants nus que de gravures et d’estampages chinois antiques. Après quelques années de rupture, il retrouvera la voie de l’encre à partir des années 1970 et ne la quittera plus. La série de compositions abstraites datées des décennies 1970 à 2000, illustre avec précision les multiples facettes de cette recherche.

Couverture © Petit OEuvres de Zao Wou-ki  © Zao Wou-ki – ProLitteris, Zurich

Couverture © Petit Oeuvres de
Zao Wou-ki
© Zao Wou-ki – ProLitteris, Zurich

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Jacques Henri LARTIGUE
"Un monde flottant"
17 juin – 25 septembre 2016

Vernissage > Jeudi 16 juin 2016 à 19 heures

En présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l’Art moderne et contemporain

THEATRE DE LA PHOTOGRAPHIE ET DE L'IMAGE
27, boulevard Dubouchage 06364 NICE CEDEX 4
Téléphone : +33 (0)4 97 13 42 20
Télécopie : +33 (0)4 97 13 42 23
E-mail : theatre.photo(at)ville-nice.fr

Tous les jours sauf le lundi, le 1er janvier,
le dimanche de Pâques, le 1er mai et le 25 décembre
10h - 18h
La Ville de Nice propose au Théâtre de la Photographie et de l’Image – Charles Nègre, du 17 juin au 25 septembre 2016, une exposition consacrée à l’œuvre de Jacques Henri Lartigue. Le vernissage de l’exposition aura lieu le jeudi 16 juin 2016 à 19 heures.

Jacques Henri Lartigue est né à Courbevoie le 13 juin 1894.  Il meurt à Nice le 12 septembre 1986. Peintre et photographe, il devient célèbre grâce à ses clichés évoquant sa vie familiale et la société mondaine de la Belle Epoque. Il est  considéré au XXe siècle comme un génie du noir et blanc.

Curieux, il essaie toutes les nouvelles techniques photographiques ; clichés de sujets en mouvement, ses images représentent aussi bien les membres de sa famille que les premiers temps de l’aviation, les manifestations sportives, les « belles dames » du bois de Boulogne, et les photographies de la Riviera où il fait de nombreux séjours  de 1908 à 1986.
Cette exposition met en lumière le thème de l’instant qui passe, de la brièveté du bonheur et de la fragilité de la vie. Elle montre que l’art du photographe est autant l’évocation du bonheur qu’un combat de tous les instants contre la pesanteur et la mort.
Elle n’a jamais été présentée en France.

jh lartigue tpi nice
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MUSÉE MENDJISKY
ÉCOLES DE PARIS
Présente
15 Square de Vergennes - Paris XV
Contact presse : 01 47 07 98 31
info(at)fmep.fr
www.fmep.fr
ÉMILE SAVITRY
Un photographe de Montparnasse
8 juin - 5 octobre 2016

Réunies pour la première fois dans un seul lieu, deux expositions de photographies d’Émile Savitry (1903-1967), l’une monographique, l’autre thématique sont présentées au Musée Mendjisky-
Écoles de Paris du 8 juin au 5 octobre 2016. Elles dévoilent les différentes facettes de l’oeuvre de ce photographe au regard de peintre, proche des surréalistes, ami de Brassaï et de Prévert, amateur de jazz qui suivit toute sa vie une route buissonnière.

Emile Savitry Nu de l'Académie de la Grande Chaumière à Montparnasse, Paris, 1950-1951

Photo Emile Savitry Nu de l'Académie de la Grande Chaumière
à Montparnasse, Paris, 1950-1951
Courtesy Sophie Malexis
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vitra logoLe 3 juin 2016, un nouveau bâtiment a ouvert ses portes sur le Vitra Campus : le  Vitra Schaudepot, conçu par les architectes Herzog & de Meuron, originaires de Bâle. Au Schaudepot, le Vitra Design Museum présente au public des objets majeurs de sa vaste collection ainsi qu’un nouveau café et une boutique. Le Vitra Campus se dote ainsi d’une nouvelle entrée, renforçant ses liens avec les villes de Bâle et de Weil am Rhein.

La collection du Vitra Design Museum se place parmi les fonds de design de mobilier les plus conséquents au monde. Elle rassemble environ 7 000 meubles, plus d’un millier de luminaires, de nombreuses archives et les successions de designers tels que Charles & Ray Eames, Verner Panton et Alexander Girard. Bien que le bâtiment principal du musée conçu en 1989 par Frank Gehry ait initialement été prévu pour présenter cette collection, celle-ci n’a jusqu’à présent jamais été exposée durablement, le musée accueillant aujourd’hui d’importantes expositions temporaires.

vitra schaudepot
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Le Musée Guggenheim Bilbao présente le 22 avril au 23 octobre 2016
Panoramas de la ville : L’École de Paris, 1900–1945

Musée Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2
48009 Bilbao
Téléphone :   +34 944 35 90 00  (horaire bureaux)   
+34 944 35 90 80  (horaire d’ouverture Musée)  
http://www.guggenheim-bilbao.es/
Email: informacion(at)guggenheim-bilbao.es  

• Première exposition d’oeuvres provenant de la Collection du Musée Guggenheim de New York depuis le renouvellement de l’Accord de Gestion du Musée Guggenheim Bilbao souscrit avec la Solomon R. Guggenheim Foundation en décembre 2014

• Commissaire : Lauren Hinkson, conservatrice adjointe des Collections du Solomon R. Guggenheim Museum de New York

• L’accrochage approfondit la connaissance des principaux mouvements de l’art moderne, du Cubisme à l’Orphisme et au Surréalisme, ainsi que des artistes inscrits dans la mouvance appelée École de Paris.

• C’est à Paris que Picasso et Braque ont bouleversé les conventions en peinture, que Delaunay a transposé ses visions en couleurs harmonieuses, que Kandinsky a ouvert de nouvelles voies à l’abstraction et que Brancusi a réinventé la façon de présenter la sculpture dans l’espace.

• L’exposition présente quelques-unes des peintures et des sculptures les plus influentes du siècle dernier, oeuvres de créateurs comme Brancusi, Braque, Delaunay, Modigliani ou Picasso.

Juan Gris Journal et compotier, mars 1916 Huile sur toile 46 x 37,8 cm Solomon R. Guggenheim Museum, New York, Donation, Legs de Katherine S. Dreier 53.1341

Juan Gris
Journal et compotier, mars 1916
Huile sur toile 46 x 37,8 cm
Solomon R. Guggenheim Museum, New York, Donation, Legs de Katherine S. Dreier 53.1341

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Danse et argile  – « Paso Doble », une performance en direct
de Miquel Barceló et Josef Nadj
Fondation Beyeler, Beyeler Museum AG, Baselstrasse 77, CH-4125 Riehen
www.fondationbeyeler.ch
Dimanche 17 avril 2016 à 17 heures, les espaces de la Fondation Beyeler se sont  transformés en scène pour accueillir une performance en direct
exclusive et grisante, étroitement liée à l'exposition « Jean Dubuffet – Métamorphoses du paysage ». Le peintre et sculpteur espagnol Miquel Barceló  a présenté en collaboration avec le chorégraphe et danseur Josef Nadj la spectaculaire performance « Paso Doble », qui s'interroge sur les thèmes de la matérialité et de la fugacité. Cette œuvre est formée d'un décor d'argile et de terre glaise travaillé en direct par les artistes.

De son vivant, Jean Dubuffet a réalisé pour ses œuvres plastiques des notices consignant minutieusement les matériaux utilisés pour ses travaux. Au-delà des observations personnelles que contiennent ces «  recettes », elles constituent une passionnante documentation sur les curieux ingrédients de ses œuvres, parmi lesquels du sable, de l'argile, de la cendre et de la terre glaise. Miquel Barceló a décrit en ces termes le rapport qu'il entretient avec Dubuffet : « Ces formules magiques qui se lisent comme si elles étaient composées pour la confection de plats bizarres, raffinés et brutaux, m'ont durablement influencé. » Une autre source d'inspiration que partagent Miquel Barceló et Jean Dubuffet est l'« Art brut », les créations d'artistes autodidactes. « Paso Doble » offre une illustration absolument remarquable des liens étroits qui unissent l'artiste français à l'artiste espagnol.

Miquel Barceló et Josef Nadj photographie d'Agusti Torres Courtesy Fondation Beyeler

Performance en direct de Miquel Barceló et Josef Nadj
photographie d'Agusti Torres Courtesy Fondation Beyeler

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Exposition dossier :
« Petite main chez Henri Matisse, Jacqueline Duhême »
4 mars–5 juin 2016
&
Présentation et signature du livre par Jacqueline Duhême
Mercredi 13 avril 2016 de 14h à 18h

Musée Matisse
164, avenue des Arènes de Cimiez - Nice
Jacqueline Duhême fut l’assistante d’Henri Matisse à Vence, Paris et Nice, dès 1948. Jusqu’au 5 juin 2016, la Ville de Nice présente au Musée Matisse les planches originales de Petite main chez Henri Matisse, (Gallimard Jeunesse, 2009) ouvrage qu’elle a écrit et illustré  et qu’elle signera le mercredi 13 avril 2016 de 14 à 18 heures.

A travers cet ouvrage, Jacqueline Duhême nous fait partager son expérience unique auprès de Matisse, avec qui elle a entretenu une grande complicité, et nous permet d’entrer dans l’intimité de la vie du Maître, en livrant des détails enrichissants sur sa pratique artistique et sa rigueur dans le travail.

Couverture du livre Petite main chez Henri Matisse Jacqueline Duhême (Gallimard Jeunesse, 2009) D.R.

Couverture du livre Petite main chez Henri Matisse
Jacqueline Duhême (Gallimard Jeunesse, 2009) D.R.

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Alexander Calder & Fischli/Weiss
Fondation Beyeler,
Beyeler Museum AG,
Baselstrasse 77,
CH-4125 Riehen
www.fondationbeyeler.ch
29 mai – 4 septembre 2016


La Fondation Beyeler présente du 29 mai au 4 septembre 2016 une vaste exposition consacrée à l'artiste américain Alexander Calder et aux artistes suisses Peter Fischli et David Weiss, qui ont travaillé en association sous le nom de Fischli/Weiss. Après la grande réussite de la présentation de la « Calder Gallery I-III » (2012-2015) et de notre collaboration avec la Calder Foundation, l'exposition « Alexander Calder & Fischli/Weiss » offre un accès nouveau et singulier à la création de Calder.

Alexander Calder & Fischli/Weiss Fondation Beyeler

Alexander Calder, Apple Monster, 1938, Calder Foundation, New York donation d'Alexander S.C. Rower à la mémoire de Mary Calder Rower, 2015, © 2016 Calder Foundation, New York / ProLitteris, Zurich; Photo: Calder Foundation, New York / Art Resource, New York
Peter Fischli David Weiss, Die Gesetzlosen, 1984, © Peter Fischli David Weiss; Photo: Jason Klimatsas / Fischli Weiss Archiv, Zurich

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L’Hospitalet recorda Jiménez-Balaguer

INAUGURACIÓ: Dijous 10 de març de 2016, a les 19.30 h
Exposició del 10 de març al 29 de maig de 2016
Tipus d'entrada: Lliure

Centre Cultural Metropolità Tecla Sala
AV Josep Tarradellas i Joan 44  (L'Hospitalet de Llobregat)

Laurent Jiménez-Balaguer (L’Hospitalet 1928 - París 2015) va irrompre a l’escena artística catalana en la dècada dels anys cinquanta amb una pintura extraordinàriament vital pròxima a les tendències informalistes i avalat per la crítica més solvent del moment. Des de 1958 Jiménez-Balaguer va desenvolupar a París tota la seva carrera professional fins a la seva mort. El Centre d’Art Tecla Sala ret amb aquesta exposició pòstuma un merescut record a l’artista amb obres que abracen des de la dècada dels anys quaranta fins a 2014, provinents de la col•lecció de l’artista, del Museu d’Art Contemporani de Barcelona (MACBA), de la Fundació Vila Casas i del Museu de L’Hospitalet.

Laurent Jiménez-Balaguer nascut al barri de la Torrassa de L’Hospitalet el 1928 va irrompre a l’escena artística catalana en la dècada dels anys cinquanta avalat per Josep Maria de Sucre i la crítica més solvent del moment, com la de Sebastià Gasch, Cesáreo Rodríguez Aguilera, Rafael Manzano González o Juan Eduardo Cirlot. Amb una pintura extraordinàriament vital va fer les primeres exposicions individuals a Barcelona, València i Madrid, amb una obra pròxima a les tendències informalistes que molt aviat va expandir-se per conformar un llenguatge plenament personal. Molt aviat es va instal•lar a París i es va vincular a projectes murals en l’àmbit de l’arquitectura pública fet que va afavorir que s’allunyés dels circuits artístics habituals, encara que sempre va seguir pintant.

Jimenez Balaguer Foto ©Pedro Madueño

Jimenez-Balaguer Foto: ©Pedro Madueño

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Raoul Hausmann, Dadasophe
De Berlin à Limoges
Artiste invité : Peter Keene
Parlons-en.
OEuvres de la collection
Expositions du 27 février au 12 juin 2016
Musée départemental d’art contemporain de Rochechouart
Place du château
87600 Rochechouart France+33 (0) 5 55 03 77 77
www.musee-rochechouart.com
contact.musee(at)haute-vienne.fr

Ce printemps, le musée départemental d’art contemporain de Rochechouart fête les 100 ans de Dada en présentant une exposition consacrée à l’artiste Raoul Hausmann. Il s’agit de la première exposition personnelle d’envergure qui lui est dédiée depuis la rétrospective de 1994. Cette manifestation s’appuie sur le fonds conservé par le musée, riche de plus de 700 productions et de milliers d’archives personnelles. Ces oeuvres et textes créés et conservés par Raoul Hausmann tout au long de son exil permettent de dresser un portrait inédit de celui qui se revendiquait « dadasophe », et de mettre en valeur la diversité de son art, en particulier l’héritage expérimental de Dada.

Raoul HAUSMANN, Dada Raoul 1951,

Raoul HAUSMANN, Dada Raoul, 1951, papiers et photographies découpés, aquarelle et encre sur papier 37,5 x 30 cm, Collection musée départemental d'art contemporain de Rochechouart

Raoul Hausmann naît à Vienne en 1886. Fils d'un peintre académique, il gagne Berlin en 1900. Après des débuts influencés par le cubisme, l'expressionnisme et le futurisme, il est en 1918 un des fondateurs à Berlin du mouvement Dada. Apparu deux ans plus tôt à Zürich en réaction à la 1ère guerre mondiale, Dada redéfinit profondément et avec iconoclasme la forme et les buts de l’art. A Berlin, Dada se fait davantage politique. Hausmann en est un des grands animateurs. Face au constat de l’échec des Beaux-arts traditionnels, notamment de la peinture, il invente le photomontage et devient un des initiateurs du poème phonétique, dont le fameux Fmsbw qui a une grande influence sur son ami Kurt Schwitters.
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Communiqué de presse
Nice, le jeudi 10 mars 2016

Musée d'Art Moderne et d'Art Contemporain de Nice (MAMAC)

Prise de fonctions d'Hélène Guenin, la nouvelle directrice

Le poste de directeur du MAMAC étant vacant à la suite du départ à la retraite de Gilbert Perlein, un appel à candidature a été lancé le 14 avril 2015. Suite à cet appel, 37 candidatures ont été déposées. Un jury s'est tenu, en présence de représentants de la Ville de Nice et du Ministère de la Culture, avec la participation de Jean-Jacques Aillagon, ancien ministre de la Culture, et a retenu la candidature d'Hélène Guenin qui a pris ses fonctions au musée le lundi 7 mars 2016.
Christian Estrosi, Président de la région Provence Alpes-Côte d'Azur, Maire de Nice :
« Je souhaite la bienvenue à Hélène Guenin que je suis très heureux d'accueillir dans notre Musée d'Art Moderne et d'Art Contemporain. Inauguré en 1990, le MAMAC participe au fort rayonnement culturel de la Ville de Nice grâce à des expositions temporaires de qualité et à ses riches collections de Nouveau Réalisme européen et de Pop'Art américain. L'expertise et l'expérience d'Hélène Guenin contribueront, à la tête de l'équipe en place, à valoriser notre fonds, à conforter la place de premier ordre du MAMAC au rang des incontournables institutions culturelles.»

helene guenin

Hélène Guenin

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Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon
Thierry Braconnier, Adjoint au Maire délégué à la Culture et à la Vie associative
Caroline Quaghebeur, Directrice de la Maison des Arts 
sont heureux de vous inviter à visiter l'exposition  
 
Roger Bensasson - Joël Besse - Charles Bézie
Espaces et variations
18.03 - 30.04.2016
vernissage le mercredi 16 mars de 19h00 à 21h00

MAISON DES ARTS
11 rue de Bagneux
92320 Châtillon
http://www.maisondesarts-chatillon.fr/
maisondesarts(at)chatillon92.fr
01 40 84 97 11
Roger Bensasson, Joël Besse et Charles Bézie, habitués des cimaises partagées (Salon des Réalités Nouvelles entre autres), démontrent à eux trois la vitalité de l’art construit en France aujourd’hui.

Fruits de la superposition d’une grille horizontale et verticale et d’une autre diagonale, les signes créés par Bensasson se déclinent en propositions plastiques infinies. La réduction à un seul signe, opérée en 2008, et l’utilisation du carton plutôt que la toile orientent ses recherches vers d’autres perspectives.

Roger Bensasson - Joël Besse - Charles Bézie
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EXPOSITION BETTINA RHEIMS
DU 28/01/2016 AU 27/03/2016
Maison Européenne de la Photographie
5/7 rue de Fourcy, 75004 Paris
01 44 78 75 00 – www.mep-fr.org
M° Saint-Paul (ligne 1) ou Pont-Marie (ligne 7)
Ouvert du mercredi au dimanche de 11h à 20h
Fermé lundi, mardi et jours fériés

Bettina Rheims et la Maison Européenne de la Photographie entretiennent depuis toujours des liens intimes. Alors, quel meilleur endroit que celui dont elle a investi les espaces encore en friche, en 1990, pour exposer sa série Modern Lovers et où elle a semé le trouble en 2000 avec I.N.R.I., pour présenter aujourd’hui, pour la première fois à Paris, un itinéraire à travers quarante ans de photographie ?

Des premières images aux travaux personnels les plus récents, l’exposition, pensée comme un cheminement, mêle les séries légendaires, les photographies iconiques de Bettina Rheims et certains travaux plus confidentiels ou qui n’ont encore jamais été montrés en France.
Ni thématique ni chronologique, ce parcours sensible s’attache à mettre lumière les obsessions de Bettina Rheims autour de son sujet de prédilection : la femme, dans tous ses états. La féminité, questionnée, exposée, magnifiée est le fil rouge qui parcourt les trois étages de la Maison Européenne de la Photographie, ménageant des effets de surprise et des mises en parallèle inattendues entre les 180 images présentées.

Bettina Rheims Elizabeth Berkley in a coucou’s nest, February 1996, Los Angeles

Elizabeth Berkley in a coucou’s nest,
February 1996, Los Angeles
© Bettina Rheims

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Charlotte Salomon Vie ? ou Théâtre ?
5 février au 24 mai 2016

Vernissage >> mercredi 3 février 2016 à midi
En présence de Christian Estrosi, Député-Maire de Nice et Président de la Métropole Nice Côte d’Azur
& David Foenkinos, écrivain, auteur du roman Charlotte, Prix Renaudot 2014, Prix Goncourt des lycéens 2014
Musée Masséna
65, rue de France - Nice

En 2016, la Ville de Nice commémorera les Années Noires 1940-1944 avec un riche programme de cérémonies, d’hommages, de rencontres avec David Foenkinos et Serge Klarsfeld notamment, un colloque, des projections et une exposition d’une grande force historique et d’une puissance artistique indéniable.

Cette exposition intitulée Charlotte Salomon Vie ? ou Théâtre ?, réalisée en lien avec le  Jewish Historical Museum d’Amsterdam, propose de découvrir des originaux, gouaches, dessins, pastels et archives inédits de Charlotte Salomon. Proposée au Musée Masséna du 5 février au 24 mai 2016, elle sera inaugurée par Christian Estrosi, Député-Maire de Nice et Président de la Métropole Nice Côte d’Azur et  David Foenkinos, écrivain, auteur du roman Charlotte, le mercredi 3 février 2016 à midi.

Un rendez-vous tant attendu
L’œuvre de Charlotte Salomon est restée globalement méconnue en France, malgré deux expositions organisées à Paris, au Centre Georges Pompidou en 1992 et au Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme en 2006. L’année 2014 a marqué un tournant avec la publication du roman Charlotte de David Foenkinos. 2015 a vu la première publication d’une édition intégrale de Vie ? ou Théâtre ? grâce à un éditeur français, Le Tripode.

Charlotte Salomon Musée Masséna Nice
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Guggenheim Bilbao Museoa
Avenida Abandoibarra, 2
48009 Bilbao  
Téléphone :  +34 944 35 90 00
http://www.guggenheim-bilbao.es/
Email: informacion(at)guggenheim-bilbao.es

Making Africa–Un continent du design contemporain

30 octobre 2015 – 21 février 2016


Le monde tel que nous le connaissons est en pleine transformation politique, économique, sociale, culturelle et technologique. Pour savoir comment le design permettra, ou même, accélèrera cette transformation, nous devrions tourner notre regard vers le sud, et concrètement vers l’Afrique, où l’évolution est la plus évidente. En 2012 par exemple, on comptait environ 650 millions de téléphones mobiles enregistrés sur ce continent, plus qu’aux États-Unis ou en Europe. Une nouvelle génération de penseurs et de créateurs dirige le changement dont les propositions multidisciplinaires représentent des solutions innovantes pour le continent et pour le monde entier, et bouleversent notre conception traditionnelle du design.

L’exposition Making Africa–Un continent du design contemporain présente des travaux appartenant à un large éventail de domaines créatifs : design d’objets et de mobilier, arts graphiques, illustration, mode, architecture, urbanisme, art, artisanat, cinéma, photographie, sans compter l’approche numérique et analogique. Ces œuvres occupent, délibérément, cette zone grise existant entre les différentes disciplines et pourtant, elles nous fournissent des réponses concrètes à la question de ce que peut et doit apporter le design au XXIe siècle. Par exemple, ils découvrent de nouvelles possibilités dans l’usage des matériaux, mettent davantage l’accent sur le processus que sur le résultat et réalisent des déclarations audacieuses sur l’avenir.

Making Africa Guggenheim Bilbao

Pierre-Christophe Gam
Le royaume de Taali M (The Kingdom of Taali M), 2013
Site web pour la chanteuse parisienne-congolaise
Taali M - ©Pierre-Christophe Gam

Omar Victor Diop

Omar Victor Diop Mame, 2014
De la série Le studio des vanités (The Studio of Vanities)
Impression au jet d’encre de pigment sur papier Harman by Hahnemühle 93 x 93 cm
Courtoisie Magnin-A Gallery, Paris
© Omar Victor Diop, 2014

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LUCIEN CLERGUE
Grand Palais, Galeries nationales
Les premiers albums
14 novembre 2015 - 15 février 2016

Lucien Clergue, les premiers albums
Lucien Clergue (1934-2014) n’a pas vingt ans lorsque, en 1953, à la sortie d’une corrida à Arles, il présente ses premières photos à Pablo Picasso. Ce sera le point de départ de vingt ans d’amitié. C’est grâce à la découverte d’albums de travail, à la mort du photographe, que l’on peut comprendre la fulgurance et la noire poésie qui ont séduit Picasso et plus tard Jean Cocteau. Les sept catalogues dont les échantillons de tissus ont été remplacés par des planches-contacts, présentent les thèmes les plus radicaux de Lucien Clergue : charognes, ruines, saltimbanques et pierrots mélancoliques, très vite, sa série sur les taureaux qui apporte un regard inédit sur la corrida, puis les premiers nus.
Élevé par sa seule mère, qui le pousse à devenir violoniste, Lucien Clergue a dix ans lorsque les bombardements d’août 1944 détruisent leur maison. Sa mère tombera malade et décèdera peu de temps après.
Sa photographie se situe d’emblée dans le champ conceptuel, loin de la photographie humaniste française alors en cours. Son adolescence douloureuse et l’omniprésence de la mort transparaissent dans ses premières recherches. C’est plus tard, pour retenir ses camarades qui le trouvent trop dramatique, qu’il commence timidement à faire des nus.

clergue grand palais
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Anonymats d’aujourd’hui
Petite grammaire photographique de la vie urbaine
Du 27 janvier au 1er mai 2016
MUSEE DE L'ELYSEE LAUSANNE
18, avenue de l’Elysée
CH - 1014 Lausanne
T + 41 21 316 99 11
F + 41 21 316 99 12
www.elysee.ch

Quelle place la ville contemporaine donne-t-elle à l’individu ? Il est d’usage de dire que les métropoles actuelles sont anonymes, brassant des masses humaines dans lesquelles le citadin se noie.
L’isolement dans la masse qu’implique l’anonymat urbain n’est pourtant pas uniforme. Facteur d’exclusion lorsque la cité ne souhaite pas reconnaître l’individu – trop pauvre ou trop différent –, il offre également à des millions de gens la liberté de vivre en bonne harmonie les uns à côté des autres.

hans wilschut 

© Hans Wilschut, Network, de la série «Hermetic City», 2015

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Werner Bischof - Point de vue et Helvetica
À visiter du mardi au dimanche de 11h à 18h.
27 janvier au 1er mai 2016
MUSEE DE L'ELYSEE LAUSANNE
18, avenue de l’Elysée
CH - 1014 Lausanne
T + 41 21 316 99 11
F + 41 21 316 99 12
www.elysee.ch

A l’occasion du centième anniversaire de la naissance du photographe suisse Werner Bischof (1916-1954), le Musée de l’Elysée présente une rétrospective de son travail intitulée Point de vue, produite par Magnum Photos (Paris). L’exposition propose près de 200 tirages originaux, parfois inédits, choisis dans la collection du Werner Bischof Estate (Zurich). L’exposition présentera également des planches-contacts, des livres, des magazines et des lettres personnelles. Une installation multimédia créée pour la circonstance permettra une approche contemporaine de son travail. L’exposition présentera l’ensemble de son œuvre en Suisse (1934-1944), en Europe (1945-1950), en Asie (1951-1952) et en Amérique du Nord et du Sud (1953-1954).

Werner Bischof

Breast with grid, Zurich, Switzerland, 1941 © Werner Bischof / Magnum Photos / Courtesy Musée de l'Elysée

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Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon
Thierry Braconnier, Adjoint au Maire délégué à la Culture et à la Vie associative
Caroline Quaghebeur, Directrice de la Maison des Arts  
 
sont heureux de vous inviter à visiter l'exposition:
 
Jacques Grinberg
Entre chair et esprit
du 15 janvier au 28 février 2016
Maison des Arts
11 rue de Bagneux - 92320 Châtillon
Tél. 01 40 84 97 11
http://maisondesarts-chatillon.fr/

Exposition ouverte tous les jours sauf le lundi, de 14h à 18h jusqu'au 28 février 2016.

Né en 1941 à Sofia (Bulgarie), Jacques Grinberg et sa famille s’installent en Israël en 1954. Scolarisé dans un kibboutz, il part, à 17 ans, étudier aux Beaux-Arts de Tel-Aviv. En 1961, il s’installe à Paris pour se confronter à la capitale des arts.

Il fait alors partie des précurseurs de la Nouvelle Figuration mais s’en détache rapidement. Jacques Grinberg suit alors sa propre voie avec, en fil rouge, la volonté de dénoncer les oppressions : « Je veux peindre pour les autres ».

jacques grinberg

Jacques Grinberg Huit (ou Autel) 1974
encre de chine, 50 x 65 cm
Pour cette exposition, la Maison des Arts a sélectionné un ensemble d’oeuvres retraçant le parcours de l’artiste de 1960 à 2000 témoignant de ses principales sources d’inspiration (politiques, philosophiques, culturelles, spirituelles) et de la vigueur de leurs expressions.


Peintre engagé, résistant, il dénonce à travers sa peinture les fascismes en invoquant l’Homme, sa chair, son visage mais aussi les symboles religieux ou ésotériques du monde. Confronté personnellement à une tension permanente due à l’incapacité de cohésion dont font preuve les pays, aux agissements bestiaux des Hommes entre eux et à des images d’horreurs, Jacques Grinberg s’oppose à toute notion d’appartenance si ce n’est celle qui prône une liberté de pensée.
Le parcours de l’exposition «Entre chair et esprit» passe par le corps mutilé, la violence dans la peinture pour arriver à un apaisement relaté à travers des allégories et des symboles.

En collaboration avec l'association "L'Homme bleu"

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Picasso Sculpture
September 14, 2015 – February 07, 2016
MOMA
11 West 53 Street
New York, NY 10019
(212) 708-9400
http://www.moma.org/

The Alfred H. Barr, Jr. Painting and Sculpture Galleries, fourth floor

Picasso Sculpture offers a broad survey of Pablo Picasso’s work in three dimensions, spanning the years 1902 to 1964. The largest museum presentation of Picasso’s sculptures to take place in the United States in nearly half a century, the exhibition brings together approximately 140 sculptures from Picasso’s entire career via loans from major public and private collections in the U.S. and abroad, including 50 sculptures from the Musée national Picasso–Paris. With many works on view for the first time in the U.S., it provides an opportunity to explore a rarely seen aspect of Picasso’s long and prolific career. The installation occupies the entirety of MoMA’s fourth floor galleries, allowing sufficient space for the sculptures to be viewed fully in the round. Picasso Sculpture is presented by MoMA in collaboration with the Musée national Picasso–Paris, and is organized by Ann Temkin, The Marie-Josée and Henry Kravis Chief Curator of Painting and Sculpture, and Anne Umland, The Blanchette Hooker Rockefeller Curator of Painting and Sculpture, MoMA; with Virginie Perdrisot, Curator of Sculptures and Ceramics at the Musée national Picasso–Paris.

Cover of Picasso Sculpture, published by The Museum of Modern Art, New York

Cover of Picasso Sculpture, published by The Museum of Modern Art, New York

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Charlotte Salomon Vie ? ou Théâtre ?
5 février au 24 mai 2016

Vernissage >> Jeudi 4 février 2016 à 19 heures
En présence de Christian Estrosi, Député-Maire de Nice et Président de la Métropole Nice Côte d’Azur
& David Foenkinos, écrivain, auteur du roman Charlotte, Prix Renaudot 2014, Prix Goncourt des lycéens 2014
Musée Masséna
65, rue de France - Nice

En 2016, la Ville de Nice commémorera les Années Noires 1940-1944 avec un riche programme de cérémonies, d’hommages, de rencontres avec David Foenkinos et Serge Klarsfeld notamment, un colloque, des projections et une exposition d’une grande force historique et d’une puissance artistique indéniable.

Cette exposition intitulée Charlotte Salomon Vie ? ou Théâtre ?, réalisée en lien avec le  Jewish Historical Museum d’Amsterdam, propose de découvrir des originaux, gouaches, dessins, pastels et archives inédits de Charlotte Salomon. Proposée au Musée Masséna du 5 février au 24 mai 2016, elle sera inaugurée par Christian Estrosi, Député-Maire de Nice et Président de la Métropole Nice Côte d’Azur et  David Foenkinos, écrivain, auteur du roman Charlotte, le jeudi 4 février 2016  à 19 heures.

Un rendez-vous tant attendu
L’œuvre de Charlotte Salomon est restée globalement méconnue en France, malgré deux expositions organisées à Paris, au Centre Georges Pompidou en 1992 et au Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme en 2006. L’année 2014 a marqué un tournant avec la publication du roman Charlotte de David Foenkinos. 2015 a vu la première publication d’une édition intégrale de Vie ? ou Théâtre ? grâce à un éditeur français, Le Tripode.

Charlotte Salomon Musée Masséna Nice
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Mot de Tatyana Franck
MUSEE DE L'ELYSEE LAUSANNE
18, avenue de l’Elysée
CH - 1014 Lausanne
T + 41 21 316 99 11
F + 41 21 316 99 12
www.elysee.ch

2015 fut une année riche en événements pour le Musée de l’Elysée.
Celle-ci marquait principalement les 30 ans de l’un des premiers musées entièrement consacrés à la photographie. C’est donc forte de cet héritage qu’au mois de mars, dès mon entrée en fonction, je me suis engagée dans un programme axé sur un patrimoine d’exception mais résolument tourné vers l’avenir.
Mise en valeur des collections avec une première exposition leur étant entièrement consacrée (La Mémoire des images), développement de l’accueil de publics aux besoins spécifiques avec des photographies imprimées en relief, colloques internationaux permettant des rencontres avec des acteurs du monde de la photographie, vernissages, finissages et visites guidées, de nombreux rendez-vous nous ont rassemblés tout au long de l’année.
A leur apogée, le résultat du concours d’architecture du Pôle muséal pour le futur mudac et Musée de l’Elysée, annoncé le 5 octobre 2015 et remporté par le bureau d’architectes Aires Mateus (Portugal). Ce nouvel écrin nous permet de nous projeter dans un avenir déjà en marche : numérisation, expositions consacrées aux collections, salle multimédia, résidences d’artistes, espaces mutualisés avec le mudac et le Musée cantonal des beaux-arts : le nouveau bâtiment s’ouvre aux ambitions du Musée de l’Elysée.

Musée de l'Elysee Tatyana Franck

Tatyana Franck, Nuit des images 2015 © Gregory Collavini

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 Riehen/Bâle. Voici exactement un siècle que le 19 décembre 1915, la galeriste Nadejda Dobytchina inaugurait dans son appartement privé de Saint-Pétersbourg (alors, Petrograd) « La dernière exposition futuriste de tableaux 0,10 ». Cent ans plus tard, la Fondation Beyeler rend hommage à la naissance du Carré noir de Kasimir Malevitch, qui était au coeur de cette présentation. La « Joconde de l’art non figuratif » de Malevitch est encore présente jusqu’au 10 janvier à la Fondation Beyeler, où elle constitue le centre de la reconstitution critique « À la recherche de 0,10 », consacrée aux artistes de l’avant-garde russe. Le samedi 19 décembre 2015, le musée célèbrera entre 10 et 18 heures les cent ans de la présentation originelle de l’énigmatique tableau de Malevitch.
Des visites guidées thématiques en plusieurs langues, un atelier de maquillage suprématiste, des lectures de poèmes futuristes russes, des romances musicales russes et un bar à vodka avec DJ font partie du programme festif du centenaire du Carré noir de Kasimir Malevitch. Cette date marque en effet l’inauguration de l’exposition de 1915 et la toute première présentation du Carré noir.

Fondation Beyeler Malevitch

Illustration : Photographie d’Olga Rozanova, Xénia Bogouslavskaïa et Kasimir Malevitch à l’exposition « 0,10 », Petrograd, 1915. Archives nationales russes de littérature et d’art, Moscou.

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Le précieux pouvoir des pierres
30 janvier - 15 mai 2016

Marina Abramović, Michel Blazy, George Brecht, James Lee Byars, Pierre Laurent Cassière, Marion Catusse, Marine Class, Hubert Duprat, Jean Dupuy, Paul Armand Gette, Isabelle Giovacchini, Guillaume Gouerou, Laurent Grasso,  Alicja Kwade, Didier Mahieu, Aurélien Mauplot, Éric Michel, Damián Ortega, Ève Pietruschi, Emmanuel Régent, Evariste Richer, Jean-Philippe Roubaud, Bettina Samson, Valentin Souquet.

MAMAC
Promenade des Arts - Nice

Vernissage :
Vendredi 29 janvier 2016 - 18.30
En présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l’art moderne et contemporain

Les minéraux suscitent la curiosité et l’émerveillement collectifs. Qui, petit ou grand, n’est pas parti à la chasse aux cailloux, collecter les spécimens les plus curieux pour les arranger en une constellation de petits trésors ? Cet attrait oscille entre la simple curiosité d’amateur et la contemplation esthétique, entre la croyance spirituelle ou magique et l’expérimentation scientifique. Si cette fascination en art s’inscrit dans une histoire qui reste encore à écrire, aujourd’hui force est de constater l’engouement des artistes actuels pour la minéralogie et plus spécifiquement pour le précieux pouvoir des pierres. Certains artistes les utilisent brutes tels des ready-mades re-sensibilisés, les collectent, les mettent en scène ou les représentent, quand d’autres les soumettent à des expérimentations, les transforment et produisent des simulacres.

 

MAMAC NICE Alicja Kwade (1979, Katowice)

Légende et crédit photo :
Alicja Kwade (1979, Katowice)
Lucy, 2004-2006
Charbon noir pressé et agent adhésif
14 x 14 x 18 cm
Courtesy KÖNIG GALERIE, Berlin
© Alicja Kwade - Photo : Matthias Kolb
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Exposition Moussa Sarr Corpus Delicti

février - 3 avril 2016

Vernissage > Vendredi 5 février à 19 heures

En présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l'art moderne et contemporain &  de l'artiste

Galerie de la Marine 59, quai des Etats-Unis – Nice - www.nice.fr

Du 6 février au 3 avril 2016, la Ville de Nice invite le jeune vidéo-performeur Moussa Sarr, à présenter son exposition Corpus Delicti  à la Galerie de la Marine : 6 vidéos, 9 photographies, une installation et une sculpture.

Le vernissage de l'exposition aura lieu vendredi 5 février à 19 heures.

Jeune artiste émergent, Moussa Sarr est un vidéo-performeur et photographe. Né à Ajaccio en 1984, d'origine sénégalaise, après son diplôme aux Beaux Arts de Toulon et au Fresnoy, ce jeune artiste doué connait une ascension rapide. Ses  vidéos ont intégré en 2014 des collections prestigieuses telles que celles du Fonds National des Arts Plastiques à Paris, et Artemis / François Pinault.

Moussa Sarr

Légende et crédit photo : Moussa Sarr Corpus delicti,

photographie, 153 x 125 cm, 2014

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The Metropolitan Museum of Art | 1000 5th Ave at 82nd Street | New York | NY | 10028

Dramatic Indian Sculptural Masks to be Featured in Exhibition on Theme of Vishnu at Metropolitan Museum

Exhibition dates: December 19, 2015–June 5, 2016
Exhibition location: Florence and Herbert Irving Asian Wing, third floor, Gallery 251

www.metmuseum.org

Five rare wooden sculptural masks made in India—recently acquired by The Metropolitan Museum of Art—will be the highlighted works in the special exhibition Encountering Vishnu: The Lion Avatar in Indian Temple Drama, opening at the Met on December 19. Worn by actors in dramatic plays that were presented during religious festivals in southern India, the masks represent a largely unrecorded category of late medieval devotional art from India.

The appearances of Vishnu in many guises, known as avatars, are most famously celebrated in his Ten Avatars (Dasavatar). In this exhibition, Vishnu's Narasimha (man-lion) appearance will be celebrated with several dramatic sculptural depictions. They all explore the theme of Vishnu in his man-lion form, revealing himself at the court of an evil king in response to the king's attempts to slay his own son for his unwavering devotion (bhakti) to Vishnu. A frightful battle ensues in which Narasimha finally overcomes the protective magic that the evil King Hiranyanatakam surrounds himself with, and Narasimha disembowels the king. Order is thus restored to the universe.

Narasimha

Narasimha, South India (Tamil Nadu),
ca. 1700-1750. Wood with cloth and polychrome.
The Metropolitan Museum of Art, Purchase,
The Vincent Astor Foundation and Miriam and Ira D.
Wallach Foundation Gifts, 2015

This narrative is dramatically represented in sculptures and painting, and when staged it is given heightened drama by the wearing of these powerfully expressive masks. This temple drama, known as Hiranyanatakam, is still performed in the Kaveri delta region of Tamil Nadu, in villages around Thanjavur in southern India.

Along with the masks, the exhibition will present works in bronze, sandstone, and wood, as well as miniature paintings, lithographic devotional prints, and early photography, all of which illuminate the theme of Vishnu's divine appearances. Dating from the 6th to the 20th century, the 30 works will be drawn from the Met's collection, as well as private collections, and will include an extraordinary seated sandstone Narasimha from the sixth or seventh century.

The exhibition is made possible by The Miriam and Ira D. Wallach Foundation Fund.

The exhibition will be organized by John Guy, Florence and Herbert Irving Curator of the Arts of South and Southeast Asia.

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Gérard fromanger
CENTRE POMPIDOU
17 février - 16 mai 2016
Galeries du musée, niveau 4
www.centrepompidou.fr

Le Centre Pompidou consacre une exposition à l’oeuvre de Gérard Fromanger. Entre 1964 et 2015, à travers un parcours thématique composé d’une cinquantaine de peintures, de deux sculptures, d’une dizaine de dessins et d’un film, dans les espaces réunis de la galerie du musée et de la galerie d’art graphique, cette rétrospective inédite invite le public à découvrir les différentes expressions d’une dualité au coeur de l’art de Gérard Fromanger : la passion picturale et le souci du monde.
Le nom de Gérard Fromanger, sitôt prononcé, convoque pêle-mêle des images et des références, des thèmes et des figures : mai 68, des silhouettes rouges, des scènes de rue, Prévert, Godard, Deleuze, Foucault, le photoréalisme, la Figuration narrative, la peinture et la politique.

Gérard Fromanger Centre Pompidou

Le coeur fait ce qu’il veut, Peinture-Monde,
Blanc de titane, 2015
Acrylique sur toile, 200 x 300 cm
collection de l’artiste
Photo : © Centre Pompidou, Bernard Prévost

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Emmanuelle Le BailINTERVIEW D’ EMMANUELLE LE BAIL
Commissaire d’exposition, directrice du musée des Avelines Saint Cloud

Émile Verhaeren, poète belge flamand d’expression française, a été une figure éminente de la scène artistique et littéraire au tournant des XIXe et XXe siècles ; il est pourtant injustement oublié en France.
Comment est née l’idée de rendre hommage à ce grand poète et critique d’art belge?

Le musée des Avelines présente une exposition exceptionnelle dédiée au poète Émile Verhaeren qui a vécu à Saint-Cloud jusqu’à son accident tragique en novembre 1916 en gare de Rouen. La précédente exposition consacrée à Verhaeren, qui a fait date en France, avait été organisée par le musée d’Orsay en 1997.
Très appréciée en France jusqu’après-guerre, la poésie de Verhaeren tombe lentement en désuétude et la figure du poète s’efface de nos mémoires. Histoire de goûts et de modes. Le musée des Avelines, qui s’attache à mettre en valeur les figures artistiques marquantes de son territoire, souhaite rendre hommage à la vitalité de ce poète, chantre du vers libre et critique d’art prolifique.

Emmanuelle Le Bail,
© Gilles Plagnol / Ville de Saint-Cloud

L’exposition, montée en co-commissariat avec Nicole Tamburini, historienne de l’art, illustre l’acuité de l’écriture et de l’oeil de Verhaeren, passeur d’art. Il fut l’ami fidèle de nombreux artistes de son temps, des écrivains bien sûr comme Stefan Zweig, Rainer Maria Rilke ou Romain Rolland mais aussi des peintres, sculpteurs ou graveurs qui inventèrent un art engagé et total. Ceux que l’on ne nomme pas encore postimpressionnistes, pointillistes et symbolistes mais qui impulsent un vent de contestation et de liberté sur l’art.
Critique d’art mais aussi collectionneur, Verhaeren a soutenu passionnément, fiévreusement, les avant-gardes de son époque, contre les critiques virulentes et les railleries populaires. Sa poésie est empreinte d’un grand souffle et d’une énergie vitale, prônant la naissance d’une civilisation nouvelle basée sur la recherche d’une justice sociale qui interpelle le lecteur aujourd’hui encore, plus d’un siècle après sa création.
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MAMAC & GALERIE DES PONCHETTES

MAMAC

Promenade des Arts - Nice
04 97 13 42 01
www.mamac-nice.org
Tous les jours de 10h à 18h sauf le lundi

1er étage du MAMAC
Le pouvoir précieux des pierres // 10 janvier – 15 mai 2016

Ernest Pignon-Ernest // 18 juin – 27 novembre 2016

Galerie contemporaine du MAMAC
Dessous de cartes // jusqu’au 10 janvier 2015


GALERIE DES PONCHETTES

77 quai des Etats-Unis - Nice
04 93 62 31 24
Tous les jours de 10h à 18h, sauf le lundi.

Didier Demozay // 23 janvier – 17 mars 2016

Jacques Martinez // 17 avril – 12 juin 2016

Eté 2016 : projet mis en œuvre par la Mission Promenade des Anglais

MAMAC Nice Parvis
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Émile Verhaeren (1855-1916)
Poète et Passeur d’Art
MUSEE DES AVELINES
Du 15 octobre 2015au 6 mars 2016
60, rue Gounod - Saint-Cloud
Site du Musée des Avelines Saint-Cloud

Du 15 octobre 2015 au 6 mars 2016, le musée des Avelines consacre une exposition à Émile Verhaeren (1855–1916) afin de redécouvrir, à l’approche du centenaire de sa mort, ce critique d’art, ami des artistes et poète flamand d’expression française qui vécut les seize dernières années de sa vie à Saint Cloud.

L’ exposition a pour ambition de mettre en lumière cette personnalité qui fut l’un des acteurs les plus importants de la vie artistique au tournant des XIXe et XXe siècles.
Figure majeure de la scène artistique et littéraire, il fit connaître en Belgique de nombreux artistes postimpressionistes français comme Eugène Carrière, Henri-Edmond Cross, Paul Signac, Georges Seurat, Odilon Redon et Auguste Rodin. Son cercle littéraire se compose, lui, de figures comme André Gide, Stéphane Mallarmé, Rainer Maria Rilke, Paul Verlaine ou encore Stefan Zweig avec qui il entretint de passionnantes correspondances.

affiche exposition Emile Verhaeren Musée des Avelines Saint-Cloud

Émile Verhaeren en redingote rouge, Georges Tribout (1884-1962)
Huile sur toile, 1907. Coll. Musée Émile Verhaeren, Sint-Amands, Belgique
© Musée Verhaeren, Sint-Amands

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Picasso.mania

7 octobre 2015 - 29 février 2016

Grand Palais
Galeries nationales
entrée square Jean Perrin
Cette exposition est organisée par la Réunion des
musées nationaux – Grand Palais, le Centre Pompidou
et le Musée national Picasso-Paris.

Site Internet du Grand Palais

« Vous continuerez longtemps à peindre ?
- Oui, parce que pour moi, c’est une manie. »
interview à Marseille, 11 mai 1959, citée dans Picasso, Propos sur l’art, Gallimard
La vingtaine d’expositions (monographiques ou collectives) qui, depuis 1973 se sont attachées à l’étude de la postérité de l’oeuvre de Pablo Picasso témoignent de son impact sur la création contemporaine.
A la fois chronologique et thématique, le parcours de l’exposition du Grand Palais retrace les moments de la réception critique et artistique de l’oeuvre de Picasso, les étapes de la formation du mythe associé à son nom.
Des natures mortes cubistes aux Mousquetaires des expositions d’Avignon de 1970 et 1973, le parcours de l’exposition est ponctué d’oeuvres de Picasso, issues des collections du Musée national Picasso-Paris, du Musée National d’art Moderne, ainsi que des collections de la famille de l’artiste.

affiche picasso.mania

Picasso.mania affiche Grand Palais

 Leur présentation s’inspire des accrochages réalisés par l’artiste dans ses ateliers, et des expositions qu’il a lui-même supervisées (Galerie Georges Petit à Paris en 1932, Palais des Papes à Avignon en 1970 et 1973).
Aux grandes phases stylistiques (cubisme, oeuvre tardif...), aux oeuvres emblématiques de Pablo Picasso (Les Demoiselles d’Avignon, Guernica) répondent des créations contemporaines présentées dans des salles monographiques (David Hockney, Jasper Johns, Roy Lichtenstein, Martin Kippenberger...) ou thématiques, regroupant des oeuvres mêlant techniques et supports les plus variés (vidéos, peintures, sculptures, arts graphiques, films, photographies, installations…).
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Est-ce déjà Noël ? La Fondation Beyeler lance SPEED ART, un jeu de réaction palpitant consacré aux œuvres de sa collection permanente.

Riehen/Bâle. Dans le cadre de son engagement artistique en faveur des enfants et des jeunes, la Fondation Beyeler lance SPEED ART, un jeu de cartes qui se joue à un rythme effréné. Ce jeu de réaction, conçu autour de l'art et des artistes de la Collection Beyeler, s'attache également à transmettre des informations intéressantes et invite les amateurs d'art, jeunes et moins jeunes, à observer attentivement les œuvres. Les joueurs sont invités à découvrir des points communs entre les œuvres d'artistes célèbres comme Van Gogh, Cézanne, Klee, Mondrian et bien d'autres encore. SPEED ART est disponible dès à présent à l'Art Shop de la Fondation Beyeler, au musée ou en ligne : un joli cadeau de Noël artistique et culturel pour toute la famille. Sa réalisation a été rendue possible grâce à l'engagement d'UBS, mécène de longue date et partenaire engagé de la Médiation artistique pour les familles et les jeunes de la Fondation Beyeler.

La Fondation Beyeler lance SPEED ART

L'art enrichit le quotidien et ouvre de nouvelles perspectives. Il rend visible ce que nous sentons, pensons, redoutons ou souhaitons. Il existe bien des manière de découvrir toute la diversité de l'art. Avec SPEED ART, l'accès ludique occupe évidemment le premier plan.

Ce jeu propose une intro­duction simple et compréhensible aux célèbres œuvres de la collection de la Fondation Beyeler consacrée à l'art moderne et contemporain. Il s'agit de porter un regard neuf sur certains des chefs-d'œuvre les plus connus de la Collection Beyeler et de relever des similitudes, par ex. dans les œuvres de Van Gogh ou Cézanne ; il peut s'agir de motifs comparables, comme des nus ou des représentations d'animaux, ou d'un style, figuratif ou abstrait. SPEED ART invite à repérer immédiatement les différences et les points communs. En famille ou avec des amis, chez vous ou en voyage, attendez-vous à des discussions animées et de nombreux éclats de rire ! Quant à la question « Et ça, c'est abstrait ?! », vous pourrez continuer à en débattre devant d'autres œuvres lors de votre prochaine visite au musée.  

SPEED ART est le fruit d'une collaboration entre le célèbre éditeur de jeux Carlitt plus Ravensburger, des concepteurs de jeux et l'équipe de la Médiation artistique de la Fondation Beyeler.

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alexandre calder tatae londonTate Modern
Bankside,
London SE1 9TG, United Kingdom
Call +44 (0)20 7887 8888
Tate London

11 November 2015 – 3 April 2016  
Tate Modern, Level 3
Supported by Terra Foundation for American Art with additional support from the Performing Sculpture Supporters Circle
Open daily from 10.00 – 18.00 and until 22.00 on Friday and Saturday
For public information call +44 (0)20 7887 8888, visit tate.org.uk, follow @Tate #Calder

Tate Modern presents the UK’s largest ever exhibition of Alexander Calder (1898-1976). Calder was one of the truly ground-breaking artists of the 20th century and, as a pioneer of kinetic sculpture, played an essential role in shaping the history of modernism. Alexander Calder: Performing Sculpture brings together approximately 100 works to reveal how Calder turned sculpture from a static object into a continually changing work to be experienced in real time.

Alexander Calder initially trained as an engineer before attending painting courses at the Arts Students League in New York. He travelled to Paris in the 1920s where he developed his wire sculptures and by 1931 had invented the mobile, a term first coined by Marcel Duchamp to describe Calder’s motorised objects. The exhibition traces the evolution of his distinct vocabulary – from his initial years captivating the artistic bohemia of inter-war Paris, to his later life spent between the towns of Roxbury in Connecticut and Sachéin France.

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La galerie Eva Vautier vous invite à l'exposition hors les murs de Ben Vautier

Est-ce que tout est art ?  Ben Vautier         

Galerie Eva vautier
2 rue vernier
06000 Nice
France
Du mardi au samedi de 14h à 19h
et sur rendez-vous
contact: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
tel: 09.80.84.96.73
http://www.eva-vautier.com

ist alles Kunst ?

Le Musée Tinguely , Bâle - Suisse
21 octobre 2015 - 22 janvier 2016
Le Musée Tinguely lui consacre sa première grande rétrospective en Suisse. Outre un retour sur ses 20 premières années artistiques, Ben installe lui-même au Musée Tinguely plus de 30 espaces traitant différents thèmes sociétaux, artistiques et politiques par rapport auxquels il prend ouvertement position. L'exposition montre  en tout plus de 400 oeuvres de cet artiste qui reste inlassablement actif.

ben kunst

Ben ist alles Kunst ?

Courtesy Galerie Eva Vautier

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ANNE ET PATRICK POIRIER LA CHAMBRE D’ORPHEE

MUSEE JEAN COCTEAU
COLLECTION SEVERIN WUNDERMAN
,
2, quai Monléon 06500 Menton
www.museecocteaumenton.fr
+33 4 89 81 52 50
14 JUIN > 16 NOV 2015
VERNISSAGE PRESSE : SAMEDI 13 JUIN 2015, 15-18 HEURES
VERNISSAGE OFFICIEL : SAMEDI 13 JUIN 2015, 18-20 HEURES

Anne et Patrick Poirier, Valise, 1968, documents publicitaires touristiques de voyages méditerranéens /Italie, carton, papier, 30 x 40 cm (fermée)

La chambre d’Orphée est le titre choisi à dessein par Anne et Patrick Poirier, en écho aux liens subtils unissant leur oeuvre et celle de Jean Cocteau que l’exposition met en lumière.

Ils sont tous trois fins connaisseurs des mythes qui n’ont cessé de nourrir leur imaginaire et passionnés par les méandres de la psyché.

Leur créativité puise aussi bien dans leur histoire personnelle que dans celle du monde, en particulier méditerranéen. Heurtebise, Cégeste, Orphée, Eurydice, Gradiva, Norbert Hanold, Freud sont les figures tutélaires de leurs pérégrinations introspectives dont l’incarnation prend les formes les plus diverses : poésie, théâtre, cinéma et dessin pour Cocteau ; sculpture, installation, peinture, photographie, écriture, vidéo pour Anne et Patrick Poirier.
Anne et Patrick Poirier, Valise, 1968,
documents publicitaires touristiques de voyages méditerranéens
/Italie, carton, papier, 30 x 40 cm (fermée).
© A et P Poirier, courtesy Galerie Mitterrand, photo : Jean-Christophe Lett
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VALÉRIE BELIN
LES IMAGES INTRANQUILLES
24 JUIN - 14 SEPTEMBRE 2015
GALERIE D’ART GRAPHIQUE, NIVEAU 4
Centre Pompidou

75191 Paris cedex 04
téléphone
00 33 (0)1 44 78 12 33
www.centrepompidou.fr

D’où provient ce sentiment d’inquiétante étrangeté que produisent les photographies de Valérie Belin ? De la carnation vivante de ses mannequins de vitrine, de la fixité du visage de ces femmes rencontrées dans la rue ? De l’aspect organique de ces carcasses de voitures, du caractère sculptural de ces boeufs écorchés ? Est-ce un sosie ou une statue de cire ?


Le Centre Pompidou consacre, pour la première fois, une exposition à l’oeuvre de Valérie Belin du 24 juin au 14 septembre. Constituée d’une trentaine d’oeuvres, l’exposition est organisée autour de la toute dernière série de Valérie Belin, « Super Models ». Cette nouvelle proposition renoue avec la thématique du mannequin qui est au coeur du travail de l’artiste, en lien avec des oeuvres antérieures provenant de collections publiques ou privées.

VALERIE BELIN CENTRE POMPIDOU

Valérie Belin
Isthar (série Super Models), 2015
Tirage pigmentaire,
Courtesy Galerie Nathalie Obadia, Paris/Bruxelles
© Adagp, Paris 2015 

 Par le traitement de la lumière, des contrastes, les proportions des tirages et autres paramètres savamment orchestrés, Valérie Belin joue de l’incertitude. Devant ses images, il est souvent difficile de dire si ce que l’on regarde est doué de vie ou inanimé, réel ou virtuel, naturel ou artificiel.

Des détails subtils qui interrompent la continuité quotidienne, ramenant au concept d’inquiétante étrangeté de Sigmund Freud qui la définissait justement comme « Le fait de douter qu’une créature apparemment vivante soit animée, et à l’inverse l’idée qu’une créature sans vie pourrait bien être animée, en se référant à l’impression produite par les mannequins de cire, les poupées ou les automates réalisés avec art » [ Sigmund Freud, « L’Inquiétante étrangeté », 1919 ].

C’est cela précisément qui confère aux oeuvres de Valérie Belin une singulière puissance et le choix des oeuvres ici réunies, « Michael Jackson », « Black Women I », « Lido », « Meats», «Engines», …, illustre cet aspect spécifique de son travail.

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JEAN-MARC BARR, Photographies, du 20 mai au 21 juin 2015
Maison des Arts
11 rue de Bagneux - 92320 Châtillon

Tél. 01 40 84 97 11
http://maisondesarts-chatillon.fr /

Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon

Thierry Braconnier, Adjoint au Maire délégué à la Culture et à la Vie associative, Caroline Quaghebeur, Directrice de la Maison des Arts sont heureux de vous inviter à visiter cette exposition de qualité
 
Exposition ouverte tous les jours sauf le lundi, de 14h à 18h jusqu'au 21 juin 2015.
Accès: métro ligne 13 - arrêt "Châtillon/Montrouge" puis bus n°388 arrêt "Mairie de Châtillon"
Une navette gratuite assure le trajet retour jusqu'à la station de métro le soir du vernissage.

Jean-Marc Barr Maison des Arts Chatillon

Jean-Marc Barr autoportrait

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