Michel Macréau Buddy Di Rosa MAISON DES ARTS CHATILLON

MUSEES - FONDATIONS - INSTITUTIONS

Michel Macréau Buddy Di Rosa
peinture, dessin et sculpture exposition du 13 janvier au 25 février 2017
Contacts -
Caroline Quaghebeur, directrice
Marine Mercier, chargée des publics et de la communication
11 rue de Bagneux
92320 Châtillon
01 40 84 97 11
maisondesarts(at)chatillon92.fr
www.maisondesarts-chatillon.fr

Exposition réalisée en collaboration avec
RENAUD RICHEBOURG, collectionneur et ancien galeriste
JEAN-MARC GAUTHIER, artiste
LA FABULOSERIE, musée d’art hors-les-normes et d’art brut
Anticonformiste, inclassable (pourtant souvent catalogué outsider ou brut), génie du dessin, Macréau (1935 -1995) développe à partir des années 60, une oeuvre aux thématiques obsessionnelles qui s’expriment par une ligne noire et nerveuse n’excluant pas la couleur. Guidé par l’instinct (il partage les préoccupations de CoBrA), il pratique une peinture au tube, parfois à la bombe, sur tout type de support, et est souvent considéré comme le précurseur malheureux des peintres stars, français et américains, des années 80.

Culturel et sauvage, élégant et effrayant, Macréau ne peut toutefois se laisser enfermer et nous souhaitons que cette exposition offre une nouvelle lecture, pour une meilleure compréhension, de la place qu’il occupe dans l’histoire de l’art.

Michel Macréau Buddy Di Rosa MAISON DES ARTS CHÂTILLON
MICHEL MACRÉAU L’animal,1967, acrylique sur toile, 89x130 cm
MICHEL MACRÉAU L’animal,1967, acrylique sur toile, 89x130 cm

Face à lui, Richard Di Rosa alias Buddy (né en 1963), sculpteur rockeur propulsé sur le devant de la scène de la Figuration libre dès les années 80.

Heureux géniteur de personnages, animaux et autres créatures un temps issus de la diromythologie, Buddy, à l’instar de ses confrères, s’est émancipé pour mieux déployer l’étendue de son talent.
S’inspirant des plus grands sculpteurs et peintres (Mirò, Calder, Picasso, Matisse…), il fait preuve d’une inventivité jubilatoire et jongle avec la ligne, la couleur et le volume selon une plastique reconnaissable désormais entre mille. Buddy est curieux et s’empare de tout ce qui touche à l’homme : l’enfance, la femme, la musique, sans oublier l’art, l’histoire et les mythologies. Rien de surprenant à ce qu’il suscite l’adhésion du public, connaisseur ou non.

Deux turbulents de l’art réunis pour une confrontation vivifiante.

BUDDY DI ROSA Alexandre, 2002, résine polyester, 74x70x53 cm
BUDDY DI ROSA Alexandre, 2002, résine polyester, 74x70x53 cm

L’exposition qui inaugure l’année 2017 est de celles dont la lente maturation est inversement proportionnelle aux énergies qu’elle réunit :

Rêvée en 2013 lorsque Cérès Franco nous entrouvrait les richesses de sa collection.

Abordée avec Jean-Marc Gauthier fin 2014 alors que nous préparions sa «Rétrospection».

Nourrie, choyée par ce dernier en 2015.

Vivifiée par l’arrivée d’un collectionneur énergique et d’un sculpteur électrique.

Ainsi est née l’aventure Michel Macréau x Buddy Di Rosa.

« x » se lisant comme le signe multiplicateur, tant il nous a semblé que les peintures
souvent sombres, subversives et mal admises1 de Macréau seraient amplifiées par les
sculptures pétillantes et expansives1 de Buddy. Et inversement (là aussi).

Ce que Jean-Marc Gauthier résume comme la rencontre esthétiquement vivifiante et
historiquement salutaire1 de ces deux compères qu’il affectionne particulièrement, il le
développe, à travers de nouveaux points de vue que la Maison des Arts de Châtillon est
heureuse de vous livrer enfin.

J-M Gauthier, 2016

MICHEL MACRÉAU Portrait,1967, huile sur toile, 73x92 cm
MICHEL MACRÉAU Portrait,1967, huile sur toile, 73x92 cm
MACRÉAU / DI ROSA : LE REGARD D’UN ARTISTE

« Michel Macréau (1935 - 1995). On pourrait dire que c’est un peintre culturel sauvage post-existentialiste qui n’aurait pas lâché le morceau. Qu’il se serait lancé le défi de s’emparer des furieuses sorties de tubes lyriques de Georges Mathieu - sans avoir eu peur du vide d’Yves Klein - pour se frayer un chemin dans le grand bazar de toutes les nouvelles vagues des années 60, pour mieux aller à la rencontre du maestro en personne : Pablo Picasso.

Comme Alberto Giacometti nous parlerait de la continuité de l’aventure humaine au-delà de la catastrophe atomique. Jackson Pollock de l’extraordinaire violence cosmique qui nous dépasse. Andy Warhol de l’image médiatisée.

Michel Macréau nous parlerait-il de la figure avortée dans un monde aplati ? Il a sûrement eu vent de Brassaï, de Cy Twombly, de l’Arte Povera et des Nouveaux Réalistes, aussi bien qu’il connaissait Michel Journiac.

Michel Macréau n’est pas un artiste brut, c’est un classique iconoclaste souvent proche de l’art catalan - qu’il soit primitif roman ou très moderne. Au moment où les yéyés font des 45 tours - le Moyen-âge est à la mode dans les écoles et la télévision - Michel Macréau se fait remarquer avec ses drôles de peintures dessinées, et devient prisé d’une élite branchée dans les années 60. Il s’évanouit dans les années 70. Était-il profondément triste à la mort de
Pablo Picasso en 1973 ? Lui qui aurait tant aimé le rencontrer. Tel un père d’adoption. Michel Macréau retrouve une ampleur majestueuse dans les timings speedés des années 80. Tout d’abord en Allemagne et en Suisse puis à Paris. Et au moment où une France littéraire toujours mal à l’aise commence à mieux le reconnaître dans des rétrospectives encore confidentielles, il meurt prématurément d’une tumeur au cerveau en 1995. Il a 60 ans et c’est encore trop tôt. En 2002, sur une cimaise commune de la foire de Bâle, la Galerie Nothelfer de Berlin, accroche un portrait encore frais de Michel Macréau à côté d’un portrait de Pablo Picasso - toujours frais - de la célébrissime Galerie Beyeler. Michel Macréau et Pablo Picasso se sont enfin rencontrés. Côte à côte, silencieux dans le brouhaha d’une foire d’art. Depuis, une reconstitution progressive est en marche.

Richard Di Rosa est un sculpteur né en 1963. Éternel enfant tardif du baby-boom, de la Guerre Froide et des Trente Glorieuses à fond les ballons, nourri aux grains du Velvet Underground, des comics hallucinés entre Crumb, Margerin et les Marvel - les délires à la Tex-Avery - dit Buddy pour la légende. Il tape le rock avec Robert Combas dans le groupe Les Desmodés.

Et son travail surgit début 80, dans le grouillement graphique azimuté du Berlin Paris New-York instantané entre Keith Haring et David Bowie. Richard Di Rosa se définit lui-même comme un plasticien brut. Il n’hésite pas dans ses fils de fer soudés - sans peur du ridicule - à piocher dans l’esthétique loufoque et populaire de la cigogne sur la cheminée. Ambiance Sam Suffit ou Mon Abris Côtié. Tout ça plein de vraie gentillesse simple. Avec les résines polychromes qui donnent l’impression d’être tout droit sorties d’une boîte de Mako Moulage 2000 aux allures psychédéliques, il saute à pieds joints dans le bassin gonflable de l’univers surnaturel des nains de jardins.


Puis soudain, dans les bronzes aux patines subtiles - où Richard défend l’art de la statuaire au sens quasiment classique - comme des clins d’oeil à certaines choses élégantes de Lambert-Rucki. Et c’est tout un univers fantasque et bariolé qui déboule dans l’espace de la sculpture. Des trophées imaginaires, une ménagerie d’oiseaux délirants dans le jardin de Mon Oncle chez Jacques Tati qui sortiraient tout droit du cirque fantastique d’Alexandre Calder.

Question :

Alors bien sûr, il y a ces histoires de père, ces histoires d’enfants. Ces histoires de captation et de transmission. Eternelles questions dans l’histoire de l’art. Mais il y a aussi des ghettos. Et il s’agirait de voir si les sculptures de Richard Di Rosa peuvent créer une électro-dance dans l’espace pictural de Michel Macréau. Dans l’espace mental et sociétal, pour être dans le move féodal d’aujourd’hui. Sortir un peu l’oeuvre de Michel Macréau des ornières où on l’embourbe.
Soi-disant que ce serait un peintre pour les peintres, comme si c’était un pornographe. Le Louis Calaferte de la peinture. Et une petite troupe de scribouillards plus ou moins absconds, de tourner autour du pot depuis trois décennies et qui n’arrivent pas à dire le mot. Un peintre qui parlerait de l’avortement de la figure dans l’espace pictural, ça ne se ferait pas. Après quelques siècles de Nativités. Et pour sûr, Monsieur Du Snob, Richard Di Rosa n’est pas
l’Immaculée Conception.

Tendance genre ! Et de nous poser à tous la question de connaître de qui nous serions l’enfant, avant de chercher à savoir de quoi nous serions le géniteur ».

Jean-Marc Gauthier

LES ARTISTES
MICHEL MACRÉAU

Après des études artistiques, Michel Macréau participa à plusieurs expositions collectives et personnelles où il remporte un franc succès et qui lui vaudront une notoriété internationale.

En 1972, suite à une dépression, il est contraint à faire de longs séjours en hôpital. C’est l’émergence de jeunes artistes au début des années 80 tels que Jean-Michel Basquiat ou Robert Combas qui lui redonneront foi en son travail.

Centré sur la figure humaine, ses oeuvres se composent essentiellement de portraits. La réalité ou la ressemblance lui importe peu, c’est l’expression du corps, de l’esprit et de ses douleurs qui émanent de ses figures remplies de symboles. La force et l’éclatement de ses lignes donnent à voir une peinture agressive d’où se dégage une souffrance lancinante.

A cela s’ajoutent des mots, des lettres avec lesquels il joue sur le sens et le non-orthographique pour dévoiler une pensée, telles des écritures primitives, loin de toute règle.

Il est aujourd’hui vu comme un précurseur de la Figuration Libre.

«La première pulsion est la réalité : le corps, moi, ce que je vois...Puis les signes abstraits, les symboles arrivent. Très vite, je passe de la réalité aux symboles, puis aux couleurs, aux lignes, puis revient cette réalité. Il y a un va et vient permanent entre ces différentes écritures.»

Michel Macréau

BUDDY DI ROSA La pleureuse, 1990, métal et bois laqué, 105 x 95 x 70 cm
BUDDY DI ROSA La pleureuse, 1990, métal et bois laqué, 105 x 95 x 70 cm
BUDDY DI ROSA

Richard Di Rosa alias «Buddy» en référence à Buddy Holly (chanteur de rock’n’roll des années 50) est rattaché au mouvement français de la Figuration Libre des années 80 dont il est avec son frère Hervé Di Rosa, Rémi Blanchard, François Boisrond et Robert Combas un des principaux artisans. C’est l’apparition d’un art décomplexé s’inspirant de la culture pop américaine : rock, bande dessinée et graffiti. Contrairement aux autres artistes, il est l’un des rares à utiliser la sculpture comme moyen d’expression.

Autodidacte, il partage à ses débuts les mêmes visions que son frère Hervé Di Rosa, puis s’en détache pour se créer son propre univers.

Passionné de modélisme depuis l’enfance, il débutera en créant des dioramas puis se libérant des normes du modélisme, il donnera à ses oeuvres une toute autre dimension.

La couleur, les formes rondes et décomplexées de ses personnages témoignent d’une proximité esthétique avec Joan Miró ou encore Max Ernst. La culture africaine viendra s’immiscer dans son travail et inspirera ses oeuvres telles que ses célèbres poules.

MICHEL MACRÉAU Autoportrait,1986, acrylique sur papier, 65x50 cm
MICHEL MACRÉAU Autoportrait,1986, acrylique sur papier, 65x50 cm
REPÈRES BIOGRAPHIQUES
MICHEL MACRÉAU

Né à Paris en 1935 mort en 1995

Formation : Etudes au Lycée de Sèvres (section artistique). Participation à la réalisation de
cartons de tapisserie de Le Corbusier.

Académie de la Grande-Chaumière ; il suit les cours d’un fresquiste, Lesbounit.

EXPOSITIONS

1960 Exposition de groupe, galerie Raymond Cordier

1962 Exposition personnelle, galerie Raymond Cordier

Exposition de groupe « A travers l’OEil de boeuf » par Cérès Franco

Participation au Salon de mai (jusqu’en 1965)

1963 Exposition à la galerie Del Naviglo, Milan et Venise

Exposition à la galerie L’OEil de Boeuf, à la galerie 7 et à la galerie Le Gendre à Paris

Participation à la Biennale d’art à Sao Paulo

1964 « Figuration narrative » (organisée par Gérard Gassiot-Talabot)

« Nouvelle figuration de l’Ecole de Paris à Paris »

« Nova Figuraçao », Rio de Janeiro

« La Peinture européenne », Japon

Participation au Salon des Réalités Nouvelles

« Figuration narrative dans l’art contemporain », galerie Creuze

« Opiniào 65 » au musée d’Art moderne de Rio de Janeiro

1966 «Opiniào 66» au musée d’Art moderne de Rio de Janeiro

1967 « Bande dessinée et Figuration narrative »,musée des Arts décoratifs, Paris.

Exposition Le Groupe ORA, galerie Jacqueline Ranson, Paris

Exposition personnelle, galerie T à Haarlem (Hollande)

1969 Exposition, galerie T à Haarlem.

Exposition, galerie Ivan Spence, Ibiza

1970 Exposition, galerie Vallribera, Ibiza

1971 Exposition Tentures et Pancartes, galerie Neuf à Paris

1973 Participation à la Neue Darmstädter Sezession (Allemagne)

Participation à la foire de Bâle

1974 « Les Graffitis de Michel Macréau », galerie L’OEil de Boeuf, Paris
Exposition, galerie Remarque, Trans-en-France

1975 Exposition, galerie T à Haarlem avec David Hockney, Antonio Segui,

Vladimir Velickovic et Peter Blake

1983 Exposition, galerie L’OEil de Boeuf, Paris

Exposition, galerie Rosart, Amersfoot (Hollande)

1984 Exposition, galerie Nord, Randers (Danemark)

1986 Exposition, galerie Remarque, Trans-en-Provence

1987 Exposition, galerie Goerg Nothelfer, Berlin

Participation à la Foire de Bâle et à la Fiac de Paris

1988 Exposition, galerie Caroline Beltz , Paris

Exposition de groupe Le Gall-Peyroulet, Paris

1989 Participation aux Foires de Bâle et de Cologne (galerie Georg Nothelfer)
Participation à la Fiac (galerie Barbier-Beltz)

« Les Années 60 », l’Odyssud, Toulouse

Exposition personnelle à la FIAC (galerie Barbier-Beltz)

Exposition , galerie Peccolo, Livourne, Italie

1990 « Vingt ans après », galerie Prazan-Fitoussi, avec Valerio Adami,

Peter Klasen, Jean-Michel Basquiat et Jean-Pierre Pincemin.

« Macréau-Maryan » , galerie Fanny Guillon-Lafaille

« Pour saluer le dessin » organisée par Paul Duchein, musée Ingres,
Montauban

« Le Visage dans l’Art contemporain », musées des Jacobins, Toulouse,
Luxembourg, Paris

1992 « Propos de croix », galerie Fanny Guillon-Lafaille, Paris (avec
notamment Manolo Millares, Antonio Tapiès, Anselme Boix-Vives et Roger Bissière.)

Rétrospective Michel Macréau, musée-château d’Annecy

1993 Exposition, maison des Arts Claude-Monet, Argenteuil

Exposition, espace Poisson-d’or, Lyon

Exposition, galerie Remarque,Trans-en-Provence

1994 « Rencontres », galerie Fanny Guillon-Lafaille, Paris

« Portraits », galerie Alain Margaron

1995 Rétrospective, maison de la culture, musée des Arts décoratifs, chapelle
du Bon-Pasteur à Bourges.

1996 Rétrospective, musée d’Alençon

Exposition, galerie Alain Margaron

1997 Rétrospective, centre d’Art contemporain, Istres

1999 Exposition, espace Paul Rebeyrolle à Eymoutiers

2000 « La vérité en peinture de Michel Macréau », galerie Alain Margaron

2001 Exposition, musée de Marignane

2004 « La Quête de résurrection », galerie Doris Benno, Saint Paul de Vence

2006 « Renverser les barrières pour peindre », galerie Alain Margaron

2007 Exposition, galerie Nicolas Deman

2008 « Michel Macréau, parcours », Galerie Alain Margaron

2009 Rétrospective, Musée de la Halle Saint-Pierre

« Michel Macréau, entre diable et Dieu », Galerie Alain Margaron

2015 « Michel Macréau, les choix de la Galerie », Galerie Alain Margaron

2016 « La peau et les mots. Macréau et Nitkowski », La Coopérative,

Collection Cérès Franco, Montolieu

Collections publiques (FNAC, Musée d’Arts moderne de la ville de Paris)

Collections privées

BUDDY DI ROSA Sans titre, acier soudé Signé et numéroté en creux, H:126,5 cm
BUDDY DI ROSA Sans titre, acier soudé Signé et
numéroté en creux, H:126,5 cm
RICHARD DI ROSA

Né en 1963 à Sète vit et travaille à Paris
Autodidacte

EXPOSITIONS PERSONNELLES

1982
Paris, galerie Gillespie laage Salomon *

1983
New-York, Barbara Glastone gallery *

1984
New-York, Tony Shafrazi gallery *
Londres, Robert Frazer gallery *

1986
Groningen, Groninger Museum, *
Sète, Musée Paul Valéry, *

1987
Tokyo, Ginza Art Space, Shiseido
Paris, galerie Laage-Salomon*

1988
San Fransisco, Wolff Shulz gallery*
Paris, Musée d’Art Moderne, «Viva Di Rosa»*

1989
France, exposition itinérante du «Viva Di Rosa»*
Paris, galerie Laage-Salomon

1990
Monaco,B5 gallery
San Francisco, Wolff Shulz gallery*
Paris, J.G.M. Galerie
Paris,galerie Jousse Seguin*

1991
Antibes, Musée Picasso*

1992

New-York, Sidney Janis gallery*
Neuburg, Centre culturel*
Séoul, galerie Artbeam*
Monaco, galerie Pierre Nouvion
Belgique, Fondation Verranemann*
Séville, Palais de l’Alcazar*

1993
Paris, J.G.M. galerie

1994
Paris, Fondation Coprim
Amsterdam, Reflex gallery*

1995
Bangkok, galerie KYC

1996
Paris, J.G.M. galerie
Sérignan, Espace Gustave Fayet

1997
Blois, Musée de l’Objet*

1999
Paris, galerie de Nesle

2001
Paris, galerie Speerstra
Zimbabwe, Harare, Delta gallery

2002
Arras, Centre d’art Noroit
Malakoff, Maison des Arts
Sète, Musée Paul Valery
Paris, Galerie Anne Lettrée

2003
La Seyne-sur-Mer, Fort Napoléon

2004
Six-Fours-les-Plages, Maison du Cygne avec L. Dessoupiu
Saint-Etienne, galerie Les Tournesols
Tours, galerie Chantal Daniaud

2005
Saulieu, Musée François Pompon
Ventabren, Moulin de la Recense, avec Laurent Dessupoiù

2007
Paris, Galerie Art 208, avec Daphné Lalonde

2008
La Seyne-sur-Mer, Villa Tamaris, centre d’art

2009
Cairanne, Domaine Galuval
Saint Etienne, galerie Les Tournesols* avec Hervé Di Rosa

EXPOSITIONS COLLECTIVES

1983
Anvers, Biennale de la sculpture

1984
Paris, Musée d’Art Moderne, 5/5

1985
Paris, Musée des Monuments français, palais de Tokyo

1986
Jouy-en-Josas, Fondation Cartier

1988
Toulouse, galerie Axe Actuel

1989
Sète, Fondation Fortant de France
Paris, J.G.M. galerie

1990
Belgique, Fondation Verranemann
Paris, Grand Palais, SIME

1991
Campredon, Art & Culture
Lyon, Biennale
Paris, galerie Pixie & Co
Lyon, Elac

1992
Amsterdam, Reflex gallery

1993
Marseille, CIRVA
Arras, 3ème Biennale d’Art Présent

1994
Palma de Mallorca, Fundaciò Mirò
Ramatuelle, galerie Navarra

1995
Paris, Fondation Coprim

1996
Denver, Cherry Creek Festival

1998
Paris, galerie Navarra

1999
Miami, miami art Fair

2000
Paris, Assemblée Nationale
Paris, Hôtel de Soubise
Cavalaire-sur-Mer, festival international de sculpture

2001
Paris, Fondation Coffim
Paris, galerie Navarra

2002
Paris, Jardin du Luxembourg
Tokyo, galerie Navarra
Les Sables d’Olonnes, Musée
Saint Riquier, Musée de l’Abbaye

2003
Paris, Musée des Arts Derniers
Paris, Hôtel de Ville
Figeac, galerie Le Rire Bleu
Villarceaux, La Source

2004
Paris, place Saint Sulpice
Paris, Art Paris
Paris, Musée des Arts Derniers

2005
Sanary, salle Flotte
Chaumont-sur-Loire, Festival International des jardins
Paris, galerie Christine Phal
Paris, galerie Nathalie Gaillard
Paris, Le Salon. Société des Artistes Français Invité d’honneur

2006
Paris, Artists4life, Hôtel Salomon de Rothschild
Sète, Déballage, Musée Paul Valéry

2007
Paris, Musée des Arts Derniers.
Versailles, African Way, Orangerie de Madame Elisabeth

2008
La Seyne-sur-Mer, Jazz au Fort Napoléon

2010
Sitges, Fondation Stampfi

ÉVÉNEMENTS SPÉCIAUX ET COMMANDES PUBLIQUES

1978
Création du groupe «Les Démodés» avec
Ketty Brindel et Robert Combas

1986
Création du coffret «Dirosaland», édition Starlux

1987
Création de la Rose à Di Rosa, sculpture monumentale à Winchosten
Création du coffret «Dirosarenés», édition Starlux

1988
Dirossoulo, aquaparc, Grau du Roi*

1990
Ouverture de la boutique/galerie «l’Art Modeste», Paris*

1992
«Le Jardin sauvage», commande des Parcs et Jardins de la Ville de Paris*
«Di Rosa girls», série 3D pour Canal+*
«La Madone du quartier haut», commande de la Ville de Sète
«La Gitane», commande de la SEITA

1993
Création de décors et marionettes d’«Un Chapeau de paille d’Italie»
de Labiche mis en scène par Massimo Schuster*
Aménagement d’une aire de jeux pour la station de métro
Fontaine Lestang à Toulouse*

1995
Sculpture en extérieur pour l’Ecole Maternelle de Vitry

1996
Sculpture monumentale avec Kofi Setordji, commande de la Ville d’Accra, Ghana

1997
Conception du flacon de parfum «Fou d’elle», Ted Lapidus
Aménagement du McDonald’s de Balaruc le Vieux
Création des décors de l’opéra burlesque «Les sacrés Niebelungen»
d’Oscar Straus mis en scène par René Koering*

1998
Conception de visuels pour la Cité de la Musique, Paris

Réaliation d’une sculpture «Ronald» pour McDonald’s France

1999
Création des costumes pour la parade des Malabars à Sète
Commande Pommery

2000
Commande de la DAP d’une série de bronzes
Création de trois figurines dans la collection «art moderne», Pixi&Cie
Commande publique pour la Cité de la Musique

2003
Création d’un porte-clés pour l’Institue Curie
Création du visuel du Festival de jazz de la Seyne-sur-Mer

2004
Trophée club des 500, Région Languedoc Rousillon

2005
Création d’une sculpture au profit de l’opération “Pièces jaunes” présidée par Bernadette Chirac

2006
Réalisation de la reine Ortense, Clinique d’orthodontie, Coutances

2007
Réalisations de topiaires, collections privées

2008
Réalisation de sculptures extérieures, Bogota, Colombie
Réalisation de mosaicultures, Monaco

2009
Réalisation de deux sculptures monumentales pour l’hôtel Dar Sabra, Marrakech, Maroc
Réalisation d’un poullailler, Six-Fours
Ouverture d’une école de sculptures, Nouakchott, Mauritanie

Autour de l’exposition
Samedi 25 février 2017 à 16h

Rencontre avec Buddy Di Rosa et Renaud Richebourg (collectionneur de Michel
Macréau) en compagnie de l’artiste Jean-Marc Gauthier exposé en janvier 2015 à la Maison des Arts. Entrée libre

Mercredi 1er février 2017 à 15h30
Atelier ludique (6-12ans)
5 € sur inscription

Visites commentées
tous les après-midis sur réservation
groupe de 15 personnes max.
30 € par groupe composé

A PROPOS
La Maison des Arts - Châtillon

En 2013, la Maison des Arts fêtait ses 20 ans.
100 expositions et environ 150 artistes y avait déjà été accueillis.

L’espace, situé en centre ville, est devenu aujourd’hui un lieu incontournable de découvertes artistiques.

Cette aventure a été rendu possible par la volonté de la municipalité qui racheta en 1990 l’ancienne demeure de Louis Hachette, devenue « Propriété Frémont » du nom de sa dernière propriétaire.

Le vaste jardin clos, la présence d’une bâtisse datant du XVème, d’une maison de maître avec une galerie composée de cinq salles en enfilade reliant deux corps de bâtiment du XVIIe, pouvaient se prêter à l’exposition de nombreuses oeuvres, toutes pratiques confondues (peintures, dessins, sculptures, installations…).

A force de volonté et d’audace, ce qui était alors un lieu naissant a su se créer un nom tout en gardant sa particularité : une sélection éclectique, alternant avec la présentation d’artistes de renom et l’envie d’en promouvoir d’autres, dans un cadre atypique et privilégié proche de Paris.

Le charme de cette bâtisse et l’accueil qui est réservé aux artistes comme au public font de la Maison des Arts un lieu chaleureux et feutré, propice aux rencontres artistiques et à la contemplation.

La Maison des Arts s’efforce d’entretenir sa politique des publics permettant de mettre en place différents dispositifs de médiations s’adaptant à toutes les typologies : les enseignants et élèves des établissements scolaires de la ville bénéficient de visites commentées. Le public adulte individuel a également la possibilité de rencontrer des artistes, des critiques d’art ou encore des galeristes au cours de rendez-vous réguliers.
De nombreux projets sont aussi montés au fil des saisons avec différentes structures de la ville, rendant le lieu accessible à tous.

Désormais, la Maison des Arts a acquis une notoriété qui dépasse largement les frontières de sa ville, au point d’être classée parmi la cinquantaine de lieux d’exposition d’art contemporain qui comptent en France (« Miroir de l’art », 50 sites remarquables, n°28, été 2011).

INFORMATIONS PRATIQUES

Maison des Arts
11 rue de Bagneux
92320 Châtillon
T : 01 40 84 97 11
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www.maisondesarts-chatillon.fr


Transports

Métro Châtillon Montrouge (ligne 13) puis bus 388 direction Bourg-la-Reine, arrêt «Mairie de Châtillon»

ou

Métro Porte d’Orléans (ligne 4) puis bus 388 direction Bourg-la-Reine, arrêt «Mairie de Châtillon»

Autolib station Chatillon/Liberté

100 boulevard de la Liberté, 92320 Châtion

Horaires d’ouverture

Du mardi au dimanche, de 14h00 à 18h00
Et sur rendez-vous
Fermeture au public le lundi
Entrée libre