Le Musée Prive - Art Magazine

EXPOSITION
POP LOVE – LES FEUX DE L’AMOUR
Du 1er au 24 février 2018
Vernissage – Jeudi 1er février 2018

GALERIE LOFT
3 bis, rue des Beaux-Arts - 75 006 Paris
4, rue des Beaux-Arts - 75 006 Paris
Phone: +33 1 46 33 18 90
info(at)galerieloft.com

http://www.galerieloft.com/
A l’occasion de la Saint-Valentin, la Galerie Loft présente une exposition inédite de Claude Gilli, dédiée à l’amour sous toutes ses formes.

Symbole universel de la vie et du sentiment amoureux dans l’imaginaire populaire, le cœur possède une force visuelle et émotionnelle unique.

Dans la série des « Feux de l’amour », Claude Gilli le décline sous la forme de compositions en relief, brillantes et lisses, aux couleurs intenses.

Jeux de mots, jeux de lumière, jeux de mise en abîme. Vivants et vibrants, ses coeurs découpés dans du bois induisent une notion de profondeur de l’espace pictural, renforcée par la lumière des flammes qui viennent les caresser.

Le caractère joyeux et énergique de ces œuvres souligne l’importance des plaisirs simples et de l’amour, tandis que l’humour omniprésent nous rappelle à quel point Gilli aimait la vie. Malgré les difficultés auxquelles il dû faire face toute sa vie, il ne cessa jamais de créer avec une certaine magie, des sujets assemblés et les paysages décalés qui caractérisent son oeuvre, dans une quête impérissable d’un idéal du bonheur.

CLAUDE GILLI POP LOVE GALERIE LOFT
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Paul Klee – La dimension abstraite
1er octobre 2017 – 21 janvier 2018
Fondation Beyeler,
Beyeler Museum AG,
Baselstrasse 77, CH-4125 Riehen
www.fondationbeyeler.ch 

Du 1er octobre 2017 jusqu’au 21 janvier 2018, la Fondation Beyeler présentera une exposition complète sur l’artiste Paul Klee, l’un des peintres les plus importants du XXe siècle. Pour la première fois dans le cadre d’une exposition sera mise en lumière la relation de l’artiste à l’abstraction, exploit majeur de la peinture moderne.

Comme bien d’autres artistes européens, Paul Klee releva le défi de l’abstraction. Sa riche production compte de magnifiques exemples de renoncement à la figuration jusqu’à l’élaboration d’univers iconographiques abstraits, aussi bien dans ses travaux de jeunesse que ses oeuvres tardives. Nature, architecture, musique et signes graphiques sont, chez lui, des thèmes majeurs et récurrents. À travers les 110 oeuvres issues de 12 pays, l’exposition se concentre sur cet aspect du travail de Klee, jusqu’alors ignoré.

L’exposition rétrospective présente divers groupes d’oeuvres chronologiques à partir de 1912, permettant de suivre les étapes déterminantes du développement de l’artiste: l’exposition se déploie sur sept salles et s’ouvre sur les débuts de Klee en tant que peintre dans les années 1910 à Munich puis sur son célèbre voyage à Tunis en 1914, aborde ensuite le thème de la Première Guerre mondiale et s’intéresse à la décennie du Bauhaus de 1921 à 1931 avec ses célèbres compositions en damiers, aquarelles en couches ainsi que des oeuvres qui font référence à l’abstraction géométrique, thème dominant des années 1930. Les peintures réalisées suite aux voyages en Italie et en Égypte à la fin des années 1920 et au début des années 1930 préfigurent les signes picturaux présents dans les travaux tardifs du peintre ainsi que ses conceptions picturales qui mèneront à l’art de l’après-guerre.

Paul Klee Park bei Lu, 1938, 129 Parc près de Lu Huile et peinture à la colle sur papier journal sur jute, 100 x 70 cm Centre Paul Klee, Berne, Courtesy Fondation Beyeler

Paul Klee Park bei Lu, 1938, 129
Parc près de Lu
Huile et peinture à la colle
sur papier journal sur jute,
100 x 70 cm
Centre Paul Klee, Berne,
Courtesy Fondation Beyeler
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CÉSAR LA RÉTROSPECTIVE 13 DÉCEMBRE 2017 – 26 MARS 2018 GALERIE 1, NIVEAU 6

La rétrospective de l’oeuvre de César présentée par le Centre Pompidou coïncide avec le vingtième anniversaire de la mort de l’artiste. Illustre dès l’âge de 25 ans, César a vécu plus de cinquante années de création. Il est la dernière figure majeure du Nouveau Réalisme dont l’oeuvre n’a pas encore fait l’objet d’une rétrospective au Centre Pompidou. À travers une centaine d’oeuvres présentées dans la plus vaste de ses galeries d’expositions, le Centre Pompidou propose de découvrir, dans toute son intégrité et sa richesse, le parcours de l’un des plus grands sculpteurs de son temps. Avec les oeuvres majeures les plus célèbres, comme à travers certains cycles plus méconnus, cette rétrospective présente un ensemble inédit à ce jour.

Né à Marseille en 1921, César commence un apprentissage qui le conduit à Paris à l'École nationale supérieure des Beaux-arts. À Paris, il croise entre autres, Alberto Giacometti, Germaine Richier, Pablo Picasso et se mêle à la scène artistique d'alors, côtoyant les artistes de Saint-Germain-des-Prés et de Montparnasse. Très tôt, il se fait remarquer par une technique qui lui est propre et lui apporte la célébrité : ce sont les « Fers soudés », les figures humaines et autres « Vénus » ainsi que le bestiaire qu'il invente, peuplé d'insectes et d'animaux de toutes sortes qui l'amènent à sa première exposition personnelle, galerie Lucien Durand en 1954. Bientôt célèbre, son oeuvre est exposée de Londres à New York.

CESAR Blu Francia 490 1998 Compression d’automobile, tôle peinte 170 × 84 × 80 cm Collection particulière © SBJ / Adagp, Paris 2017 Photo © ASP Alex Soto Photo

CESAR Blu Francia 490, 1998
Compression d’automobile, tôle peinte
170 × 84 × 80 cm
Collection particulière
© SBJ / Adagp, Paris 2017
Photo © ASP Alex Soto Photo

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The Collection of Edward Albee
26 September 2017 | 10:00 AM EDT | New York


Sotheby’s is honored to announce that we will offer The Collection of Edward Albee in a dedicated auction this September in New York. The full proceeds of the sale will benefit The Edward F. Albee Foundation, which provides residencies for writers and visual artists in Montauk, Long Island.

For many, Sotheby’s September auction will offer a new window into Edward Albee’s life and creative mind. Sourced from artists, friends and galleries over several decades, the majority of the 100+ works on offer adorned the walls of Albee’s Tribeca loft, which he rehung often to explore new artistic connections. In keeping with his constant experimentation as a playwright, the collection focuses on the birth and evolution of Abstraction in 20th century art, and a highly-personal intellectual pursuit of the ephemeral and the elusive – from a stunning figural work by Milton Avery, to a whimsical relief by Jean Arp, a Bauhaus work by Wassily Kandinsky, and a group of geometric abstractions by John McLaughlin.

Wassily Kandinsky (1866-1944) WEISS AUF SCHWARZ (WHITE ON BLACK) signed with the monogram and dated 30  oil on board 27 1/2 by 27 1/4 in. 70 by 69.3 cm. Painted in November 1930.

Wassily Kandinsky (1866-1944)
WEISS AUF SCHWARZ (WHITE ON BLACK)
signed with the monogram and dated 30
oil on board27 1/2 by 27 1/4 in. 70 by 69.3 cm.
Painted in November 1930.

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Françoise Forgerit portraitQuand en 1926, Brancusi expédie de nouveau des sculptures aux États-Unis où il est fort apprécié, il ne peut en imaginer les conséquences, ni l'immense retentissement sur l'histoire et le monde de l'art.
Acte 1 : un douanier inconnu à l'origine d'une drôle d'histoire
Acte 2 : l'Oiseau au cœur d'un procès hors norme : Brancusi contre les Etats-Unis
Acte 3 : le verdict , naissance et reconnaissance de l'art moderne


Acte 1 : un douanier inconnu à l'origine d'une drôle d'histoire

En application du Tariff Act de 1913 renforcé en 1922 article 1704 , article  qui prévoyait la libre importation des œuvres d'art aux Etats-Unis , Brancusi envoyait régulièrement à New-York de nombreuses sculptures en n'ayant qu'à jurer , sous la foi du serment au consulat américain de Paris, que ces œuvres étaient bien des œuvres d'art réalisées par lui-même, Brancusi artiste .
Mais en 1926 , un douanier zélé fait saisir un envoi d'une vingtaine de sculptures et somme Brancusi de payer les droits de douane à hauteur de 40% de la valeur déclarée de l'ensemble des sculptures considérées comme des objets manufacturés , donc taxés comme prévu par l'article 399 du Tariff Act .
Même si les influents amis de Brancusi obtiennent des facilités , visa de transit et taxation des œuvres uniquement vendues , Brancusi s'indigne de la non-reconnaissance de ses sculptures comme œuvres d'art , et décide de porter l'affaire devant la justice en prenant , comme pièce à conviction , la sculpture L'oiseau dans l'espace . Celle-ci avait été achetée auparavant par son ami Edward Steichen , auquel était réclamée la somme de 240 dollars par les douanes américaines pour pouvoir la conserver aux Etats-Unis .
Bien évidemment l'enjeu dépasse le cas concret de la sculpture , la défense des intérêts de Brancusi pour l'ensemble des œuvres saisies , et même le sujet de la libre circulation des œuvres d'art , pour mettre en scène, dans un temps court et en un lieu public précis, les arguments des opposants et défenseurs de l'art moderne avec obligation d'une conclusion par un jugement, bref un enjeu inédit .
Le ton en est donné dès le 1er jour du procès par le titre de l'article du New York American du 22 octobre 1927 :
" Art , it seems , is art if one thinks it is " ( " l'art , semble-t-il , est de l'art si on le considère comme tel " )

Françoise Forgerit

Brancusi l'oiseau dans l'espace 1925 

Brancusi l'oiseau dans l'espace 1925

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François MORELLET
Cécile BART, Felice VARINI, Michel VERJUX
Sophie TAEUBER-ARP, Léon TUTUNDJIAN
26 08 17 > 28 10 17 (prolongation > 18 11 17)

Galerie Catherine Issert
2 ROUTE DES SERRES  
06570 SAINT-PAUL  
T 33(0)4 93 32 96 92  
F 33 (0)4 93 32 78 13  
info(at)galerie-issert.com  
www.galerie-issert.com 

Le jeudi 28 septembre à la Galerie ZLOTOWSKI 20, rue de Seine 75006 PARIS

Les galeries Catherine Issert, Saint-Paul-de-Vence et Zlotowski, Paris s’associent durant l’été - automne 2017 pour présenter simultanément deux expositions autour de François Morellet et de l’abstraction géométrique : du 26 août au 18 novembre à la galerie Catherine Issert et du 29 septembre au 31 octobre à la galerie Zlotowski. Le commissariat de cette double exposition est confié à Serge Lemoine, professeur émérite à l’Université de La Sorbonne, Paris. Elle fera l’objet d’un catalogue réalisé conjointement par les deux galeries pour lequel Serge Lemoine écrira un texte introductif.

The Galerie Catherine Issert, Saint-Paul-de-Vence, and Galerie Zlotowski, Paris, are teaming up for summer-autumn 2017 to present simultaneously two exhibitions focusing on François Morellet and geometric abstraction: from August 26th to November 18th at the Galerie Catherine Issert, and from September 29th to October 31st at the Galerie Zlotowski.
Curatorship of this double exhibition has been entrusted to Serge Lemoine, Professor Emeritus of La Sorbonne University, Paris. It will be the subject of a catalogue jointly produced by the two galleries, for which Serge Lemoine will write an introductory text.

Mettant en jeu l’exploration des possibilités de la géométrie dans l’art, ces deux propositions se définissent selon l’axe de travail de chacune des galeries : l’artcontemporain pour la galerie Catherine Issert, l’art moderne et les avant-gardes du vingtième siècle pour la galerie Zlotowski. Ainsi se crée un aller-retourentre passé et présent, qui met en résonance plus d’un siècle de création artistique, plaçant en son centre cet artiste majeur que fut François Morellet.

Pursuing the exploration of possibilities for geometry in art, two proposals have been defined reflecting the type of work presented by each gallery: contemporary art for the Galerie Catherine Issert, modern art and 20th-century avant-garde artists for the Galerie Zlotowski. A round-trip is thus created between past and present, echoing over a century of artistic creation, and placing the major artist that was François Morellet at its centre.

Galerie Catherine Issert - François Morellet 
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Immersive Display of 11 Mark Rothko Paintings on View at

The Museum of Fine Arts Boston
Avenue of the Arts
465 Huntington Avenue
Boston, Massachusetts 02115
http://www.mfa.org 
617-267-9300

Major Loans from National Gallery of Art, Washington, Make New England Debut

BOSTON (September 8, 2017)—In a career that spanned five decades, Mark Rothko (1903–1970) created some of the 20th century’s most evocative and iconic masterpieces. “A painting is not a picture of an experience,” he once remarked; “it is an experience.” This fall, 11 major works by the artist travel to the Museum of Fine Arts, Boston (MFA), from the National Gallery of Art, Washington, for an immersive exhibition that invites visitors to become enveloped by Rothko’s large-scale paintings and encounter them as he had originally intended—to experience something more intimate and awe-inspiring than simply viewing. Mark Rothko: Reflection, on view from September 24, 2017 through July 1, 2018, is the first focused display of the artist’s works at the MFA, showcasing the full sweep of his career—from early surrealist compositions; to the luminous, colorful canvases of his maturity; to the large, enigmatic “black paintings” made late in his life. Together, they trace the development of Rothko’s singular artistic vision and his quest to create works that produce emotional, even spiritual, responses. Additionally, the exhibition features a juxtaposition of Thru the Window (1938–39), an early Rothko painting on public view in the U.S. for the first time, and Artist in his Studio (about 1628), a masterpiece by Rembrandt Harmensz. van Rijn (1606–1669) from the MFA’s collection—both portraits of artists reflecting on the act of painting. Contrary to notions that Rothko’s works represented a dramatic break from the past, the side-by-side comparison underscores the modern artist’s view of his own paintings as part of a much longer tradition, rooted in his deep appreciation for the Old Masters. Mark Rothko: Reflection is on view in the John F. Cogan, Jr. and Mary L. Cornille Gallery. Presented with generous support from the Robert and Jane Burke Fund for Exhibitions. Additional support provided by an anonymous foundation and The Bruce and Laura Monrad Fund for Exhibitions.

Mark Rothko, Untitled, 1955. Oil on canvas. National Gallery of Art, Washington, Collection of Mrs. Paul Mellon, in Honor of the 50th Anniversary of the National Gallery of Art. © 1998 Kate Rothko Prizel & Christopher Rothko/Artists Rights Society (ARS), New York.

Mark Rothko, Untitled, 1955. Oil on canvas. National Gallery of Art, Washington, Collection of Mrs. Paul Mellon, in Honor of the 50th Anniversary of the National Gallery of Art. © 1998 Kate Rothko Prizel & Christopher Rothko/Artists Rights Society (ARS), New York.

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MOMA TO PRESENT MORE THAN 100 WORKS BY 50 WOMEN ARTISTS
EXPLORING INTERNATIONAL ABSTRACTION IN THE POSTWAR ERA

The Exhibition Features Nearly 40 Recent Acquisitions—Drawings, Paintings,
Photographs, Prints, Sculpture, and Textiles—and Other Landmark Works from the
Museum Collection, Many on View for the First Time at MoMA

Making Space: Women Artists and Postwar Abstraction

April 15–August 13, 2017 Floor three, Exhibition Galleries

NEW YORK, The Museum of Modern Art presents a major exhibition surveying the abstract practices of women artists between the end of World War II and the onset of the Feminist movement in the late 1960s. On view from April 15 through August 13, 2017, Making Space: Women Artists and Postwar Abstraction features approximately 100 works in a diverse range of mediums by more than 50 international artists. By bringing these works together, the exhibition spotlights the stunning achievements of women artists during a pivotal period in art history. Drawn entirely from the Museum’s collection, Making Space includes works that were acquired soon after they were made in the 1950s and 1960s, as well as many recent acquisitions—including a suite of photographs (c. 1950) by Gertrudes Altschul (Brazilian, born Germany. 1904–1962), an untitled sculpture (c.1955) by Ruth Asawa (American, 1926-2013), and an untitled work on paper (c.1968) by Alma Woodsey Thomas (American, 1891–1978)—that reflect the Museum’s ongoing efforts to improve its representation of women artists. Nearly half the works are on view at MoMA for the first time. Making Space is organized by Starr Figura, Curator, Department of Drawings and Prints, and Sarah Meister, Curator, Department of Photography, with Hillary Reder, Curatorial Assistant, Department of Drawings and Prints.

María Freire (Uruguayan, 1917–2015). Untitled. 1954. Oil on canvas, 36 1/4 × 48 1/16? (92 × 122 cm). The Museum of Modern Art, New York. Promised gift of Patricia Phelps de Cisneros through the Latin American and Caribbean Fund in honor of Gabriel Pérez-Barreiro, 2016 
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Le Centre Pompidou en collaboration avec la Tate Britain de Londres et le Metropolitan Museum de New York présente la plus complète exposition rétrospective consacrée à l’œuvre de David Hockney.
David Hockney
Expositions
21 juin 2017 - 23 octobre 2017
de 11h à 21h ou de 11h à 23h
Centre Pompidou, Paris
https://www.centrepompidou.fr/

L’exposition célèbre les 80 ans de l’artiste. Avec plus de cent soixante peintures, photographies, gravures, installation vidéo, dessins, ouvrages... incluant les tableaux les plus célèbres de l’artiste tels les piscines, les double portraits ou encore les paysages monumentaux.., l’exposition restitue l’intégralité du parcours artistique de David Hockney jusqu’à ses œuvres les plus récentes.

L’exposition s’attache particulièrement à l’intérêt de l’artiste pour les outils techniques de reproduction et de production moderne des images. Animé par un désir constant de large diffusion de son art, Hockney a, tour à tour, adopté la photographie, le fax, l’ordinateur, les imprimantes et plus récemment l’I Pad : « la création artistique est un acte de partage ».

L’exposition s’ouvre avec les œuvres de jeunesse, réalisées par Hockney à l’école d’art de sa ville natale de Bradford. Images d’une Angleterre industrieuse, elles témoignent de l’empreinte sur le jeune peintre du réalisme âpre, prôné par ses professeurs adeptes du réalisme social du mouvement du Kitchen sink. De l’école d’art de Bradford au Royal College of Art de Londres, Hockney découvre, assimile la traduction anglaise de l’expressionisme abstrait élaborée par Alan Davie. De l’œuvre de Jean Dubuffet, il retient une stylistique (celle du graffiti, de l’art naïf..;) qui satisfait son projet de produire un art éloquent et socialement, universellement accessible. Chez Francis Bacon, il puise l’audace d’une expression qui aborde explicitement la question de l’homosexualité. Sa découverte de l’œuvre de Picasso achève de le persuader qu’un artiste ne saurait se limiter à un style donné. Il intitule une de ses premières expositions : Démonstration de versatilité.

 

David Hockney Exposition Centre Pompidou
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FROM CHINA TO TAÏWAN Les pionniers de l'abstraction (1955-1985) du 15/06 au 24/09/2017

Musée d'Ixelles
rue Jean Van Volsemstraat 71
B - 1050 Bruxelles
Tél. +32 (0)2 515 64 21/22
E-mail : musee[at]ixelles.be
http://www.museedixelles.irisnet.be/ 

Dans la Chine des années 1930 imprégnée par la tradition, un noyau de peintres modernistes voit le jour grâce à l’enseignement dispensé à l’école des Beaux-Arts de Hangzhou, dont certains professeurs ont étudié en Europe. Les trois artistes considérés aujourd’hui comme étant les pionniers de l’art abstrait chinois y font leurs classes : Zao Wou-Ki (1920-2013) et Chu Teh-Chun (1920-2014), y étudient de 1935 à 1941, puis y enseignent dès l’année suivante. Lee Chun-Shan (1912-1984) y est professeur de 1937 à 1946.

En 1949, après les huit années d’invasion japonaise (1937-1945) surviennent la défaite du Kuo­mintang et la prise du pouvoir par Mao Zedong : plus d’un million de Chinois quittent alors le continent pour aller à Taïwan, où le gouvernement de Chang Kai-Chek s’est replié. Tandis que Zao Wou-Ki a quitté la Chine un an plus tôt pour s’établir à Paris, Chu Teh-Chun et Lee Chun-Shan s’installent à Taipei en 1949.

En 1950, redoutant un conflit avec la Chine occidentale, les États-Unis font de l’île un protectorat américain. Au travers des ouvrages disponibles à la bibliothèque américaine de Taipei, les artistes découvrent par eux-mêmes l’art moderne occidental, de l’impressionnisme à l’art abstrait de l’École de New York, alors en pleine effervescence.

Zao-Wou-Ki nous deux 1955 huile sur toile 38 x 46 cm Le Havre Musée d'Art Moderne Andre Malraux © SABAM 2017
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Les Mystères de la chambre noire: Photographic Surrealism 1920-1950

June 5 — July 28, 2017
UBU GALLERY    
416  EAST  59  STREET  
NEW  YORK  NY  10022   
T:  212.753.4444   
F:  212.753.4470
INFO(at)UBUGALLERY.COM   
http://www.ubugallery.com/  
GALLERY HOURS: M—F  11  AM  TO  6  PM

Ubu Gallery is pleased to announce an exhibition of photographic images by thirty-three avant-garde artists who experimented with surrealist methods. Utilizing techniques including photomontage, multiple exposures, combined negatives, brülage, photograms and the disarming juxtaposition of disparate images, the artists created unsettling realities. The artists embraced photography as a new medium in the 20th century in part because of the credibility of photography; the idea that the camera does not lie, lent itself to challenging our assumptions about reality.

Denise Bellon, Mannequin par André Masson Exposition Internationale du Surréalisme, Paris, January 17-February 24, 1938, Vintage gelatin silver print, 9 3/4 x 9 3/8 inches (24.8 x 23.8 cm), Stamped on verso

Denise Bellon, Mannequin par André Masson Exposition Internationale du Surréalisme, Paris, January 17-February 24, 1938, Vintage gelatin silver print, 9 3/4 x 9 3/8 inches (24.8 x 23.8 cm), Stamped on verso

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RAYK GOETZE
01 juin – 07 juillet 2017 « BARBARIE SPLENDOUR »

GALERIE CHARRON - PARIS
Peinture - Photographie - Sculpture
43 rue Volta, 75003 Paris
09 83 43 12 05  – 06 69 36 25 32
contact(at)galeriecharron.com
www.galeriecharron.com

La Galerie Charron, fondée en 2007 située rue Volta au cœur du Marais, se singularise dans le paysage artistique parisien par un fervent engagement à la création d'un pont artistique entre la France et l'Allemagne. Du 1er juin au 7 juillet 2017 la Galerie Charron invite Rayk Goetze, peintre allemand issu de la Nouvelle Ecole de Leipzig au travers d'une exposition intitulée Barbaric Splendour. L'oeuvre de Rayk Goetze porte sur l'appropriation d'un nouveau langage visuel dans un cadre historique et questionne ainsi l'identité d'une peinture contemporaine tout en dévoilant ses inspirations aux grands Maîtres de la Renaissance, du Maniérisme et du Baroque.

En partenariat avec les Jeudis Arty, vernissage le 1er juin de 18h à 22h

©Rayk Goetze, Traumfrau, Huile et acrylique sur toile 2017  Dim. 145 x 80 cm, courtesy Galerie Charron.

©Rayk Goetze, Traumfrau, Huile et acrylique sur toile 2017
Dim. 145 x 80 cm, courtesy Galerie Charron.

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Léonor Fini Graphique texte par GUIBERT Jean-Paul : Edité par Guilde du Livre, Lausanne 30.9.1971. Édition originale numérotée 1313/5030 ex. L'un des 5000 exemplaires numérotés du tirage ordinaire (1971)
Description du livre : Guilde du Livre, Lausanne 30.9.1971., 1971. Reliure demi- toile 31 x 31, couverture illustrée couleur. 176 reproductions noir/blanc et couleur. En parfait état sous plastique de protection. Nombreuses illustrations in et hors-texte, dont 45 reproductions en couleurs sur vignettes contrecollées ; 1 portrait photographique de l'artiste plein page, repères biographiques et bibliographie. avec un beau texte de Paul Guibbert . "Un regard tout ensemble exalté et douloureux jeté sur les beautés du monde et sur la Femme en particulier ; un goût marqué pour la sauvagerie secrète qui soulève les oeuvres de lart ; une amoureuse fascination pour les images conjuguées du désir et de la mort cette dernière caressée et révérée comme une amante. "  ? -  légère trace insolation sur le dos de la couverture.

PRIX : 80 EUR + 25,00 EUR colissimo recommandé et assuré pour la France ( ou 35,00 EUR pour l'étranger)

Léonor Fini Graphique texte par GUIBERT Jean-Paul
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Expressionnisme Abstrait L'EXPOSITION
3 février 2017 – 4 juin 2017

GUGGENHEIM BILBAO

À une époque trouble entre la Seconde Guerre Mondiale et les années free jazz bercées par la poésie de la génération beat, des artistes comme Pollock, Rothko et De Kooning mirent à mal les conventions en vigueur afin d’inaugurer une nouvelle étape de confiance vis à vis de la peinture. L’Expressionnisme Abstrait est le fruit de l’expérience commune d’une série d’artistes qui vivaient à New York en 1940 et, qui alors même qu’ils étaient amis et compagnons, avaient tous un style à part entière. Contrairement à ce qui s’était produit pour les précédents mouvements des Cubisme et Surréalisme, l’Expressionnisme Abstrait ne semblait pas adopter une formule figée. Cette diversité mit à l’honneur la liberté d’expression individuelle et artistique de chacun d’entre eux.

L’Expressionnisme Abstrait marqua un moment clé dans l’évolution de l’art du XXe siècle. Étonnamment, aucune grande exposition n’a été consacrée en Europe à ce mouvement depuis 1959. Avec plus de 130 peintures, sculptures et photographies issues de collections publiques et privées du monde entier, cette exposition ambitieuse comprend les chefs d’œuvre des artistes nord-américains les plus talentueux rattachés à  ce mouvement, comme Willem de Kooning, Arshile Gorky, Philip Guston, Franz Kline, Joan Mitchell, Robert Motherwell, Barnett Newman, Jackson Pollock, Mark Rothko, Aaron Siskind, David Smith et Clyfford Still, ainsi que d’autres figures moins connues mais tout aussi révélatrices.

Cette sélection prétend réévaluer l’Expressionnisme Abstrait, et souligner que même s’il a été perçu comme un mouvement unifié, ce fut un phénomène extrêmement complexe, pluriel et polyédrique. C’est aussi l’occasion de mettre à mal l’idée selon laquelle l’Expressionnisme Abstrait avait uniquement rayonné dans la ville de New-York, ayant aussi inclus des artistes de la Côte Ouest comme Sam Francis, Mark Tobey et Minor White.

 

Jackson Pollock Masculin et féminin (Male and Female), 1942–43 Huile sur toile 186,1 x 124,3 cm Philadelphia Museum of Art. Donation de M. et Mme H. Gates Lloyd, 1974 Photo : Philadelphia Museum of Art © The Pollock-Krasner Foundation VEGAP, Bilbao, 2016 

Jackson Pollock
Masculin et féminin (Male and Female), 1942–43
Huile sur toile
186,1 x 124,3 cm
Philadelphia Museum of Art. Donation de M. et Mme H. Gates Lloyd, 1974
Photo : Philadelphia Museum of Art
© The Pollock-Krasner Foundation VEGAP, Bilbao, 2016

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Du 1er juillet au 1er octobre 2017, Jean-Pierre Raynaud est le cinquième invité du MAMO (Marseille Modulor) après Xavier Veilhan, Daniel Buren, Dan Graham et Felice Varini. Le cinquième point de vue singulier sur la Cité Radieuse du Corbusier, sa terrasse et son gymnase redevenu centre d’art par la volonté d’Ora Ito. « Avec le soutien de Longchamp, le MAMO poursuit son cycle d’invitations annuelles auprès d’artistes immenses, seuls capables de prendre le pouvoir sur des espaces imposants et de se mesurer à ce lieu hors du commun. Jean-Pierre Raynaud est une référence capitale de mon éveil à l’art. Sa maison bien sûr, sa stature et l’ensemble de son œuvre ont façonné une part de ma culture artistique. » résume Ora Ito.

« Je ne me sens pas en concurrence avec d’autres artistes, mais comme un invité au MAMO. Invité par le Corbusier à qui je dois faire une réponse aussi libre qu’il l’était lui même. Ce qui m’intéresse ce n’est pas de montrer des œuvres, mais de rencontrer cette architecture. En particulier cette terrasse classée où l’on ne peut pas tout faire.» précise Jean-Pierre Raynaud revenu du marché de l’art et de ses excès pour se consacrer au plaisir de la création pure.

L’artiste français a voulu un seul geste, une seule œuvre. Une flèche monumentale de 17 m posée à l’horizontale sur la terrasse en direction du gymnase « Je fais une exposition pour les oiseaux, pas pour les gens. Cette terrasse en altitude m’évoque un porte avion, une piste d’atterrissage pour soucoupes volantes, je veux la voir du dessus. La flèche noire comme une ombre pointera sur le MAMO qui renferme mon trésor, une série de pièces historiques importantes dans mon parcours. Cette flèche dit « c’est ici », l’événement est là, mais elle dit aussi « C’est moi ». Il s’agit de vanité au bon sens du terme. D’ambition et non de prétention. Je pose un signe sur cette architecture pour la confronter à mon échelle personnelle ».

« La flèche c’est d’abord la trace de l’homme, l’un des signes les plus anciens de l’écriture que l’on retrouve sur les parois des cavernes. La flèche s’est aussi une arme et c’est aussi une direction. Enfin la flèche marque un lieu précis celui qui fait la différence. Aussi il n’est pas anodin qu’un homme l’accapare pour dire « ici », pour dire « je » suis celui qui marque, qui imprime sa trace pour capturer l’espace. L’ambition est immense, hors limite. Le lieu ainsi signé devient unique à travers ce geste artistique. » Jean-Pierre Raynaud, 2011

Portrait Jean-Pierre Raynaud crédit photo Philippe Chancel 

Portrait Jean-Pierre Raynaud crédit photo Philippe Chancel

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