Le Musée Prive - Art Magazine

LA LA LAND by Naeemeh Kazemi

September 7th to October 11th 2023 LEILA HELLER GALLERY http://www.leilahellergallery.com/
Naeemeh Kazemi Untitled (From the La La Land Series), 2022 59.1 x 78.7 in (150 x 200 cm) Oil on canvas
Naeemeh Kazemi
Untitled (From the La La Land Series), 2022
59.1 x 78.7 in (150 x 200 cm)
Oil on canvas
New York, NY – Leila Heller Gallery is pleased to announce artist Naeemeh Kazemi's solo show 'La La Land' opening on September 7, 2023.
Predominately a sculptor, Naeemeh Kazemi began painting in 2020 when the lockdown started since she could not get to her studio. She worked on these magical canvases in her one bedroom apartment in Iran,

which helped her escape the confinement of quarantine and transported her to fantastical places. Living in Iran, Kazemi has had to take creative approaches to her meanings through symbols, so as to not get in trouble with the Iranian government. Her themes of environmental and virus anxiety, feminism, and humanity are disguised in her enchanting paintings through tokens and motifs of the natural world, classical paintings, and quotidian objects.

In her most recent "La La Land" series, she depicts a world that is intertwined yet fragmented. It is as if familiar pieces float strangely in space. In her complex yet highly composed paintings, Kazemi ponders the questions "Could the whole history of the world be a mere misunderstanding?" and "Is it possible that man, with all his discoveries, developments, culture, religion, and global wisdom is just lingering on only to the outward of life?" This series reflects Kazemi's feelings and anxieties towards the world, exacerbated by the Covid pandemic quarantine instated since March 2020. She says, "I'm incredibly scared because I know we will soon annihilate this enlivening life- giving planet. A planet that soon gets a shell from skulls, bones, and dead machines. No one can do anything for her. We lost the game!" Kazemi creates an oasis sheltered from these fears in this series. A "La La Land," clearly fictitious, but serving as a safe haven from the uncertain world.


Her work aims to reflect her constant state of questioning, anxiety, and interrogation with herself. She says "tense dreamy moments occur, which rushes blood to my cheeks." The viewer can see these feelings depicted in the flourishing flora and fauna and bright, enchanting colors. But then, "a moment later, silent, unsure, tired, and depressed." These juxtaposed feelings are sensed in the canvas through the lingering portraits- eyes hidden, hands floating, and plants tangled in a web. Ultimately, through these symbols, themes, and meanings, Kazemi is questioning life itself. For Kazemi, her works are not set in a final reality. She explores the system of meanings and understands that it is constantly changing and new realities are born every day. While first brought upon by the uncertainties of social and personal health by the pandemic, her investigation of finding meaning in life remains true for past, present, and future generations.

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Nous ouvrons ici un des débats les plus difficiles du monde de l'art : Qu'est-ce qui fait le prix d'une oeuvre d'art, le fantasme, la réputation, la communication, la financiarisation, le prix élevé pratiqué par le marché dont les ventes aux enchères ou bien la qualité de la création, l'imagination, la sensibilité que nous transmet une oeuvre - Afin de vous permettre de réfléchir, je vous rappelle un principe essentiel qui doit animer votre réflection : ce que l'on nomme LA THESE , L'ANTITHESE qui doit conduire à LA SYNTHESE - J'ai sélectionné les 2 dessins ci-dessous afin d'illustrer ce propos. Posez-vous la question au plus profond de vous-même. Lequel de ces 2 dessins préférez-vous indépendamment du prix du marché. "Regarder et aimer avant d'acheter ..." comme nous le rappelle Martine Manfré Itzinger

Nous avons publié dans LIRE LA SUITE vos points de vue, vos réactions sur ce sujet que vous voudrez bien nous adresser par mail. Merci pour leurs textes à Martine Manfré Itzinger et Hervé Le Goareguer.

degas 45x34

Bertrand Mogniat-Duclos dessins 37,5 x 29,5 cm signé en bas à droite du cachet

 Edgar Degas (1834-1917), Dans les coulisses, danseuse rajustant son chausson, fusain portant le cachet de la signature en rouge en bas à gauche, 45 x 34 cm.
Adjugé : 114 950 €

 Bertrand Mogniat-Duclos dessins 37,5 x 29,5 cm signé en bas à droite du cachet
Voir Exposition virtuelle Virtual Exhibition Mogniat-Duclos (1903-1987)
Biographie de Bertrand MOGNIAT DUCLOS
PRIX : 150 €
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Over The River, Project for Arkansas River, State of Colorado - 1998 - 38 x 165 cm & 106,6 x 165 cm - collage in 2 partsOver The River, Project for Arkansas River, State of Colorado - 1998 - 38 x 165 cm & 106,6 x 165 cm - collage in 2 parts

Linda et Guy Pieters ont le plaisir de vous convier à l'exposition Christo and Jeanne-Claude
du 5 septembre au 5 novembre 2023
Fondation Linda et Guy Pieters
Place des Lices - 28 Boulevard Vasserot – 83990 Saint-Tropez
www.fondationlgp.com  - info(at)fondationlgp.com
+33 4 22 84 01 89
Ouvert tous les jours
de 10h à 13h30 et de 14h30 à 18h
Fermé dimanche et lundi

A l'occasion d'une exposition d'oeuvres préparatoires de l'artiste Christo dans la galerie Guy Pieters dans les années 2010, Patrick Reynolds, Directeur du Musée Privé, et Sébastien Lecca, plasticien et performer, ont eu l'opportunité de poser quelques questions à l'un des artistes les plus monumentaux et influents de notre époque.
Compte-rendu en images...https://www.dailymotion.com/video/xg2c4y 

Une interview réalisée et préparée par André-Charles Idier / andrecharles.idier(at)gmail.com

Remerciements à Christo, Guy Pieters et Isabelle Lelievre.

Douglas KIRKLAND

Brigitte Bardot: ‘Doug My Darling…’

Exposition du 8 juin au 21 juillet 2023

Brigitte Bardot 1965 © Douglas Kirkland - Courtesy Galerie GADCOLLECTION
Douglas KIRKLAND | Brigitte Bardot – Tir à la carabine, Viva Maria, 1965
Photographie originale - Tirage aux pigments d’encre
93 x 118 cm / 37 x 47 inch| Edition de 24 exemplaires

Du 8 juin au 21 juillet 2023, la Galerie GADCOLLECTION consacre une exposition à un des maitres de la photographie : Douglas KIRKLAND À travers une sélection de 18 photographies, dont certaines jamais montrées, l’exposition Brigitte Bardot : ‘Doug my Darling …’ est un hommage à l’une des plus grandes actrices qui a croisé la vie de ce photographe exceptionnel. La Galerie GADCOLLECTION compte parmi les plus importantes galeries françaises uniquement consacrées à la photographie.

UNE VIE EN IMAGES

"I have a philosophy. I do not want to make negative pictures about people, and so I do everything I can to help make them feel comfortable in front of the camera. That is what is going to control your picture, because you are alone if your subject is not with you. And that’s the simple answer to getting a good picture. »

Douglas KIRKLAND

Douglas KIRKLAND découvre la photographie au contact de ses parents, tous deux passionnés. Enfant, il s’évade à travers les images du magazine Life et affute son regard en parcourant les clichés qui peuplent ses pages. Il feuillette inlassablement l’hebdomadaire en rêvant de collaborer un jour pour cette prestigieuse publication.

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Takashi Murakami, 2020, The Name Succession of Ichikawa Danjūrō XIII, Hakuen, Kabuki Jūhachiban, 2023 (détail), acrylique et paillettes sur toile montée sur cadre en aluminium, (5 × 23,3 m) ©️ 2023 Takashi Murakami/Kaikai Kiki Co., Ltd.

Takashi Murakami, Understanding the New Cognitive Domain

du 10 juin au 22 Dec. 2023

Galerie Gagosian, Le Bourget

26 avenue de l’Europe

93350 Le Bourget

https://gagosian.com

Gagosian expose de nouvelles peintures et sculptures de Takashi Murakami au Bourget

L’exposition présente notamment une peinture monumentale inspirée d’un rideau de théâtre
Kabuki conçu par l’artiste
Un NFT spécialement conçu par l’artiste sera offert à la demande et gratuitement aux visiteurs

Takashi Murakami, 2020, The Name Succession of Ichikawa Danjūrō XIII, Hakuen, Kabuki Jūhachiban, 2023 (détail),
acrylique et paillettes sur toile montée sur cadre en aluminium, (5 × 23,3 m) ©️ 2023 Takashi Murakami/Kaikai Kiki Co., Ltd.

LE BOURGET, 24 Mai 2023 Gagosian a le plaisir d’annoncer Understanding the New Cognitive
Domain, une exposition d’oeuvres de Takashi Murakami à la galerie du Bourget, centrée sur ses peintures monumentales. L’exposition présente cinq oeuvres monumentales, des peintures de plus petit format ainsi que plusieurs sculptures. Il s’agit de la première exposition personnelle de l’artiste avec la galerie en France.

Understanding the New Cognitive Domain présente une nouvelle peinture monumentale de Murakami, mesurant 23 mètres de long sur 5 mètres de haut, inspirée de l’iwai-maku ou rideau de scène, qu’il a réalisé pour le théâtre Kabuki-za de Ginza à Tokyo afin de célébrer l’accession de l’acteur et producteur japonais de Kabuki, Ichikawa Ebizoˉ XI au nom d’Ichikawa Danju¯roˉ XIII, Hakuen. (Les noms de scène du Kabuki, qui indiquent le style et la lignée d’un acteur, sont transmis de génération en génération ; la famille Ichikawa a une histoire d’environ 350 ans.) Commandé par le réalisateur Takashi Miike, cette création de Murakami a été dévoilée au public en novembre 2022, à l’occasion de la première représentation d’Ichikawa Shinnosuke VIII dans le cadre du programme du Grand Théâtre Kabuki Kichirei Kaomise.

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François Boucher illustrations pour les oeuvres de Molière Paris Delarue Librairie-Editeur

Recueil d'estampes gravées par Laurent Cars, graveur du Roi, d'après les dessins de Boucher, (chaque gravure porte la mention inv. Et dessiné par F. Boucher ) représentant une scène de chacune des pièces mises au théâtre par Molière.

CHEF-D'OEUVRE DE FRANÇOIS BOUCHER EN MATIÈRE D'ILLUSTRATION, cette célèbre suite était destinée à illustrer le Molière de 1734. Elle se compose du portrait de Molière gravé par Lépicié d'après le tableau de Charles Antoine Coypel  et de 33 splendides figures de Boucher gravées à l'eau-forte par Laurent Cars. Très belles épreuves à toutes marges (jusqu'à 355 x 235 mm), montées dans une élégante reliure en partie en cuir. Les gravures présentent des taches de rousseur dues au  vieillissement.  Premier plat détaché, le titre est doré et  imprimé sur la tranche en cuir – Dimensions du livre 36,5 x 27 cm

Pour Info :

François Boucher, né le 29 septembre 1703 à Paris où il est mort le 30 mai 1770
Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, est un comédien et dramaturge français, baptisé le 15 janvier 1622 à Paris, où il est mort le 17 février 1673.
Laurent Cars est un peintre et graveur français, né à Lyon le 28 mai 1699, et mort à Paris le 14 avril 1771

PRIX : 400 EUR - Livraison et assurance incluse

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 «Dali, Why do you paint? -Because I love art», 1954 © Philippe Halsman Estate 2023, Image rights of Salvador Dalí reserved, Fundació Gala- Salvador Dalí
 «Dali, Why do you paint? -Because I love art», 1954 © Philippe Halsman Estate 2023, Image rights of Salvador Dalí reserved, Fundació Gala-
Salvador Dalí

La peinture religieuse illustre les épisodes « transactionnels » de la Bible (L’adoration des Rois Mages, Le Denier de César, les 30 deniers de Judas, …), et y apparaissent les thèmes de l’avarice, de la charité, du « bon et du mauvais riche » et les injonctions morales (Vanités, memento mori). Dans les pays convertis à la Réforme protestante, à partir du XVIe siècle, se multiplient les représentations de transactions monétaires, du commerce en plein développement et des métiers d’argent.

La naissance de l’impressionnisme représente un basculement historique avec de nouveaux modes économiques qui se dessinent dans le champ du commerce de l’art. C’est en effet à partir de la seconde moitié du XIXe siècle qu’une rupture esthétique avec l’Académie ébranle les liens entre la valeur travail, la valeur d’usage et la valeur d’échange. Une dérégulation de la mainmise de l’État sur l’art au travers de l’Académie s’opère, avec comme résultat une valeur des oeuvres fixée par le jugement critique au détriment des critères académiques.

À partir du XXe siècle, l’artiste ne se contente plus de représenter les thèmes traditionnels liés à l’argent ; il engage une réflexion sur ses mécanismes, dès lors que ces derniers sont immanents à l’oeuvre d’art.

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Crédits : MICHAEL HALSBAND — Andy Warhol & Jean-Michel Basquiat #143 New York City, July 10 1985 (détail) — © Michael Halsband, 2023À la Fondation LOUIS VUITTON
BASQUIAT X WARHOL, À QUATRE MAINS
Du 5 avril au 28 août 2023

En 2018, La Fondation Louis Vuitton présentait l’exposition « Jean-Michel Basquiat » qui remporta un succès considérable, avec près de 700 000 visiteurs.
En 2023, du 5 avril au 28 août, la Fondation poursuit son exploration de l’oeuvre de Jean-Michel Basquiat, révélant cette fois sa collaboration avec Andy Warhol.

De 1984 à 1985, Jean-Michel Basquiat (1960-1988) et Andy Warhol (1928-1987) réalisent environ 160 toiles ensemble, « à quatre mains », dont certaines parmi les plus grandes de leurs carrières respectives. Témoin de leur amitié et de cette production commune, Keith Haring (1958-1990) parlera d’une « conversation advenant par la peinture, à la place des mots », et de deux esprits fusionnant pour en créer un « troisième, séparé et unique ».

La Fondation Louis Vuitton présente « Basquiat x Warhol, à quatre mains », l’exposition la plus importante jamais consacrée à cette oeuvre singulière. Sous le commissariat de Dieter Buchhart et Anna Karina Hofbauer, en association avec Olivier Michelon, conservateur à la Fondation Louis Vuitton, l’exposition regroupera plus de trois cent oeuvres et documents dont quatre-vingts toiles signées conjointement.

Seront aussi exposées des oeuvres individuelles de chaque artiste, ainsi qu’un ensemble de travaux d’autres personnalités (Michael Halsband, Keith Haring, Jenny Holzer, Kenny Scharf...), afin de restituer la scène artistique du Downtown new-yorkais des années 1980. A noter que des photographies, dont la célèbre série aux gants de boxe réalisée par Michael Halsband pour le poster de l’exposition de Jean-Michel Basquiat et Andy Warhol en 1985 dans la Galerie Tony Shafrazi, enrichiront le parcours.

L’exposition s’ouvre sur une série de portraits croisés, Basquiat par Warhol, Warhol par Basquiat. Elle se poursuit avec les premières collaborations. Initiées par le galeriste des deux artistes, Bruno Bischofberger, ces oeuvres profitent de la participation du peintre italien Francesco Clemente (né en 1952). Après cette quinzaine d’oeuvres à trois, Basquiat et Warhol poursuivent leur collaboration avec enthousiasme et complicité, à un rythme presque quotidien. L’énergie et la force de leurs échanges incessants conduiront les visiteurs tout au long du parcours dans la totalité des galeries de la Fondation rythmé par des oeuvres capitales telles que Ten Punching Bags (Last Supper) ou la toile de 10 mètres African Mask.

Basquiat admire Warhol comme un aîné, un personnage clé du monde de l’art, initiateur d’un langage inédit et d’un rapport original à la culture populaire. En retour, Warhol trouve avec Basquiat un intérêt renouvelé pour la peinture. Avec lui, il se remet à peindre manuellement, à très grande échelle. Les sujets de Warhol (titres de presse, logos de General Electric, de la Paramount, des Jeux Olympiques) servent de structure à de véritables séries qui scandent le parcours.

« Andy commençait la plupart des peintures. Il mettait quelque chose de très reconnaissable, le logo d’une marque, et d’une certaine façon je le défigurais. Ensuite, j’essayais de le faire revenir, je voulais qu’il peigne encore », expliquait Basquiat. « Je dessine d’abord, et ensuite je peins comme Jean-Michel. Je pense que les peintures que nous faisons ensemble sont meilleures quand on ne sait pas qui a fait quoi », estimait Warhol.

L’exposition montre ces allers-retours, un dialogue de styles et de formes qui traite aussi de sujets cruciaux comme l’insertion de la communauté africaine-américaine dans le récit états-unien, un pays dont Warhol a été un des grands fabricants d’icônes.

Crédits : MICHAEL HALSBAND — Andy Warhol & Jean-Michel Basquiat #143 New York City, July 10 1985 (détail) — © Michael Halsband, 2023

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PICASSO. Artiste et modèle – Derniers tableaux
19 février – 1er mai 2023

Pablo Picasso  Le peintre et son modèle, 28.3.1963  Huile sur toile, 130 x 162 cm  Nahmad Collection  © Succession Picasso/2023, ProLitteris, ZurichDans le cadre des commémorations internationales du 50ème anniversaire de la disparition de Pablo Picasso (1881–1973), la Fondation Beyeler présente du 19 février au 1er mai 2023 une sélection concentrée de dix toiles tardives de l’artiste en provenance de la Collection Beyeler, de l’Anthax Collection Marx et d’autres collections privées.

Au cours de la dernière décennie de sa vie, alors qu’il est déjà âgé de plus de 80 ans, l’artiste espagnol poursuit de manière hautement productive son oeuvre audacieux. Avec une énergie irrépressible, au cours de cette ultime période il produit souvent plusieurs oeuvres par jour, faisant preuve d’une saisissante puissance créatrice, comme s’il cherchait à combattre l’âge et la diminution attenante de ses capacités de création artistiques et corporelles. Parmi les nombreux travaux des années 1960 et du début des années 1970 figure un important groupe d’oeuvres dans lesquelles Picasso se consacre au sujet de l’artiste et du modèle. Dans ces oeuvres hautement expressives, il explore d’une part l’image (de soi) de l’artiste et d’autre part l’acte et le processus de création.

Oscillant entre autoportrait, cliché et caricature, certains des tableaux donnent à voir l’artiste en chemise rayée, convoquant ainsi aussi l’image déjà élevée au rang de mythe de Picasso. Cependant, comme une forme de contre-image à son apparence personnelle, il représente souvent l’artiste sous les traits d’un homme barbu. Par ailleurs, Picasso présente le plus souvent l’artiste peignant directement devant le modèle, à l’encontre de sa propre pratique de travail – il peignait toujours de mémoire. Dans cette constellation, le modèle féminin nu, dont la représentation oscille également entre idéalisation et caricature, est exposé au regard de l’artiste. Avec ces oeuvres, la question reste ainsi ouverte de savoir dans quelle mesure Picasso exalte ou ironise sa fixation sur le nu féminin et l’appropriation visuelle du corps féminin. Son impressionnante série d’images du peintre et de son modèle soulève ainsi aussi des questions concernant le traitement personnel et artistique du corps féminin par l’homme et la possibilité de représenter ce corps dans le contexte actuel.

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logo fondation maeght
Jean Paul Riopelle, Tyuk, 1971, Acrylique sur lithographies marouflées sur toile, collection privée

Jean Paul Riopelle, Tyuk, 1971, Acrylique sur lithographies marouflées sur toile, collection privée

Exposition du 1er juillet au 5 novembre 2023
Dans le cadre de « Riopelle 100 »,
année du centenaire de la naissance de l'artiste
Commissaire invitée : Yseult Riopelle

À l'été 2023, la Fondation Marguerite et Aimé Maeght proposera une exposition monographique consacrée à Jean Paul Riopelle (1923-2002), artiste canadien qui a profondément marqué l'histoire de l'art. Du 1er juillet au 5 novembre 2023, l'exposition « Jean Paul Riopelle - Parfums d'ateliers » explorera l'Œuvre de l'artiste comme il n'a jamais été vu grâce au commissariat de sa fille, Yseult Riopelle, et à de nombreux prêts exclusifs publics et privés.

Quand il arrive à Paris en 1947, Riopelle découvre le travail d'artistes internationaux tous avides comme lui de liberté et d'expérimentation. Rapidement, ses œuvres sont exposées à Paris, Londres, New York, Ottawa, Montréal et Québec. En 1962, Riopelle représente le Canada à la Biennale de Venise et reçoit un des trois prix de l'UNESCO. Dès lors, sa renommée internationale est immense pour un artiste aussi jeune. Pendant quarante ans, entre ses ateliers au Québec, à Paris, Vétheuil, Meudon, Saint-Cyr-en-Arthies, ou dans le Sud de la France et son retour au Canada en 1990, Riopelle, toujours débordant d'idées et ouvert à toutes les techniques, s'avérera un artiste unique.

Après deux expositions monographiques consacrées à Riopelle en 1970 et 1990, la Fondation Maeght propose avec « Jean Paul Riopelle - Parfums d'ateliers » une approche nouvelle, un voyage au cœur des œuvres de l'artiste, réalisées au sein des différents ateliers qu'il occupa des deux côtés de l'Atlantique. L'exposition présentera ainsi plus de 180 œuvres de Riopelle, des travaux phares aussi bien qu'inédits, proposant un cheminement à travers les techniques utilisées par l'artiste.

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 John Levee one of the most important artists of abstract expressionism Photo Patrick H. Reynolds

John Levee un des Principaux artistes de l'expressionnisme abstrait

Source WIKIPEDIA  https://fr.wikipedia.org/wiki/Expressionnisme_abstrait

Peintres

Sculpteurs

Photographes

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En vente exceptionnel ensemble de dessins de Bertrand MOGNIAT DUCLOS (1903-1987) peintre de l'Ecole de Paris

Lien vers la Biographie de Bertrand MOGNIAT DUCLOS

Né à SEDAN dans les Ardennes le 24 Août 1903, il a passé ses premières années à Claix où sa famille possédait une très belle demeure, décédé à PARIS en 1987.

Son atelier se trouvait à Montparnasse au 72 rue Notre Dame des Champs PARIS VIème.

Selon la classification retenue dans le livre "LES COMTEMPORAINS" par René HUYGHE ( Ecrivain, Académicien, conservateur du Musée du Louvre, Conservateur du Musée de Washington) en 1949 aux Editions Pierre TISNE, l’œuvre de MOGNIAT DUCLOS s'inscrit au point de rencontre de l'expressionnisme du début du siècle avec la nouvelle génération LE FAUCONNIER, GROMAIRE et LA PATELLIERE et du retour au Réel illustré par: BOUCHE, DUNOYER DE SEGONZAC, BOUSSAINGAULT, WAROQUIER, DUFRESNE CERIA, COUBINE, MOREAU et FOUJITA. et de la Nouvelle Subjectivité où l'on retrouve LA PATELLIERE, GROMAIRE, LE FAUCONNIER avec GOERG, CHAGALL, LURCAT.

Mogniat-Duclos (1903-1987) dessin 45,5 x 28,5 cm signé du cachet en bas au centre

Mogniat-Duclos (1903-1987) dessin 45,5 x 28,5 cm
signé du cachet en bas au centre
PRIX : 60 EUR  - Comment acheter 

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Vue d’installation de l’exposition “Rétrospective Joan Mitchell” © The Estate of Joan Mitchell © Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

Vue d’installation de l’exposition “Rétrospective Joan Mitchell”
© The Estate of Joan Mitchell
© Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

Vue d’installation de l’exposition “Le dialogue Claude Monet – Joan Mitchell” © The Estate of Joan Mitchell © Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

Vue d’installation de l’exposition “Le dialogue Claude Monet – Joan Mitchell”
© The Estate of Joan Mitchell
© Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

 

Claude Monet, La maison de l’artiste vue du jardin aux roses, 1922-1924 Huile sur toile, 81 x 92 cm Musée Marmottan Monet, Paris

MONET - MITCHELL
Du 5 octobre 2022 au 27 février 2023
L’exposition « Monet - Mitchell » constitue l’événement de l’automne 2022 à la Fondation Louis Vuitton.
Pour la première fois, l’exposition « Monet -Mitchell » met en scène un dialogue sensible entre les œuvres de deux artistes exceptionnels, Claude Monet (1840-1926) avec les Nymphéas et Joan Mitchell (1925-1992), qui marquèrent de leur empreinte non seulement leur temps mais des générations de peintres.
L’exposition « Monet - Mitchell » est complétée d’une rétrospective sur Joan Mitchell qui permettra la découverte de son œuvre par le public français et européen.
« Monet - Mitchell » et la « Rétrospective Joan Mitchell » donnent à voir leurs sensations singulières face au paysage et à la nature, exprimées dans des formats souvent immersifs.
Le dernier Monet, celui des Nymphéas, restitue à l’atelier désormais, la persistance visuelle de motifs longuement observés devant les nymphéas de Giverny ; Joan Mitchell qui s’installe définitivement à Vétheuil en 1968, explore ses « feelings » - perceptions vives par-delà l’espace et le temps - à travers le filtre de ses mémoires croisées.

Joan Mitchell, Two Pianos, 1980 Huile sur toile, 279,4 × 360,7 cm Collection particulière © The Estate of Joan Mitchell  Photo : © Patrice Schmidt DIALOGUE MONET - MITCHELL
Galerie 4 à Galerie 11
Cet automne 2022, la Fondation Louis Vuitton, a le privilège d’annoncer le partenariat avec le Musée Marmottan Monet pour l’exposition « Monet - Mitchell », consacrée au dialogue entre la dernière période de Claude Monet (1914-1926), les Nymphéas, et l’œuvre de l’artiste américaine Joan Mitchell. Unique par son ampleur et sa force poétique, l’exposition « Monet - Mitchell » est présentée à la Fondation Louis Vuitton du 5 octobre 2022 au 27 février 2023 dans sept galeries, du rez-de-chaussée à tous les niveaux supérieurs, en écho à une rétrospective, permettant de découvrir l’œuvre de Joan Mitchell, présentée, quant à elle, en rez-de-bassin, dans la partie basse du bâtiment
de Les Nymphéas de Claude Monet trouvent une consécration dès les années 1950 aux États-Unis, où ils sont perçus comme précurseurs de l’abstraction par les peintres de l’Expressionnisme abstrait.
Après André Masson, Clément Greenberg, le célèbre critique américain, prend position pour défendre leur modernité : « Le principe que [Monet] a finalement trouvé (...) est plus large : il ne résidait pas dans la nature comme il pensait, mais dans l’essence même de l’art, dans sa faculté d’ « abstraction »1. Dans ce contexte du « Monet Revival », Mitchell participe en 1957 et 1958 à des expositions consacrées à la notion d’ « impressionnisme abstrait », terme inventé par son amie Elaine de Kooning. Le rapprochement des deux artistes est affermi par l’installation de Joan Mitchell en 1968, à Vétheuil, dans une propriété, proche de celle où vécut Monet de 1878 à 1881. L’artiste a toutefois revendiqué une totale indépendance artistique.

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Patrick Reynolds devant un tableau de John Levee Dans les années 80 j’ai été responsable des grands comptes sur Paris où j’ai lancé la marque des Parfums Van Cleef et Arpels  puis pendant plusieurs années directeur des ventes sur l’Angleterre pour ce merveilleux Parfum qui appartenait à SANOFI à cette époque et qui a connu un succès mondial grâce à son positionnement élitiste. FIRST de Van Cleef et Arpels a connu très vite un succès grâce à l’exigence extrême de qualité du groupe SANOFI pour lequel j'ai conservé toute mon admiration, et au positionnement élitiste de la distribution choisie par les dirigeants de l’époque. SANOFI est pour moi l'incarnation de la créativité, de l'inovation et de la culture.

SANOFI à cette époque était également propriétaire de Roger et Gallet, les Parfums Molyneux, des produits de beauté Stendhal

Quand j’ai créé la société LE MUSEE PRIVE puis le magazine en ligne https://www.le-musee-prive.com/  j’ai appliqué les mêmes méthodes élitistes que Van Cleef et Arpels pour le choix des artistes, des galeries, des musées et des commissaires-priseurs et tous les intervenants du monde de l’art.

Aujourd’hui le site https://www.le-musee-prive.com/ compte 1.400.000 visiteurs au minimum par mois dont 53 % d’américains (certains jours 100.000 personnes visitent le site) –

J’ai 76 ans, le temps est venu pour moi de trouver une importante entreprise ou une personnalité du monde des affaires à laquelle mes associés et moi cèderions une partie du capital de la société afin de créer une équipe pour passer à l’échelon supérieur. Il faut assurer la pérennité de notre magazine car tous les articles publiés restent sur le site créant ainsi une magnifique histoire de l’art en mouvement. Dans 100 ans on regardera les articles que nous publions aujourd'hui, mon ambition est de rendre LE MUSEE PRIVE immortel grâce à un nouveau partenaire ayant la même philosophie que nous. Par notre ouverture à un grand groupe nous allons créer une des plus belles aventures humaines du XXIème siècle qui pourrait générer beaucoup de bonheur.

Nous recherchons une régie Publicitaire afin de confier la recherche d’annonceurs publicitaires afin de générer des revenus.

Une des missions de l’équipe sera la publication d’articles payants pour les intervenants du marché de l’art.

Le Musée Privé est un magazine d’art en ligne véritable Musée en ligne accrédité par les plus grands Musées du monde entier  qui figurent dans la rubrique MUSEES  et les plus grandes Galeries internationales et françaises

Rubrique GALERIES EXPOS

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Je vous remercie de votre attention

Patrick Reynolds

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Edgar Stoebel portrait de l'artiste par Patrick Reynolds vers 1983

 

 

 

 

 

 

 

Edgar Stoëbel ( de son vrai nom Teboul Ichoua René ) est né à Frendah  près d’Oran en Algérie le 21 décembre 1909 décédé à Paris en décembre 2001 -  Stoëbel étant son nom d’artiste.

Très jeune il a été attiré par la musique et les arts graphiques, ces deux formes d’art ont été tout au long de sa vie étroitement liées et ont donné à son art cette dimension musicaliste et rythmée.

« Au fond c’est grâce à mon père que je suis devenu peintre, il a vécu intérieurement ses rêves, à Noël je trouvais dans la cheminée une boite de pastels, je me rappelle que vers l’âge de 10 ans je faisais des dessins et des copies de dessins, un jour j’ai fait un petit dessin représentant une femme nue, et ma mère curieuse de voir ce que je faisais s’est approchée de moi et quand elle a vu mon dessin elle a été choquée que je puisse faire un tel dessin à mon jeune âge et elle m’a tapé. La femme aura toujours été pour moi une source d’inspiration, elle est toujours présente dans mes œuvres. »

Stoebel Pianiste de JazzEdgar Stoëbel Le Pianiste de Jazz Figura-synthèse

« Mon père aimait la musique, il voulait constituer avec ses enfants un orchestre, il voulait que moi je fasse du violon, mon frère aîné du piano et un autre devait se consacrer au violoncelle. Je suis né avec la musique qui a bouleversé ma vie et l’art graphique. »

A Oran il crée un petit conservatoire avec 17 musiciens, une association de musiciens, et dirige un orchestre en tant que chef d’orchestre, mais il sent très vite qu’il ne progressera pas s’il ne part pas à PARIS.
Afin de travailler la musique il arrive à PARIS en 1931 et travaille avec le professeur  Léon Eugène MOREAU Grand Prix de Rome qui lui apprend l’harmonie, le contrepoint, la fugue et le piano jusqu’en 1939 déclaration de la guerre, mobilisé, il rejoint son corps d’infanterie où il est réformé temporairement au Conseil de Réforme.

A la suite de cela et de la montée du nazisme il repart en Algérie en 1940, où il  peindra et dessinera, puis dirigera un orchestre jusqu’en 1942.

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Bruce aux papillonsStatut juridique de l’animal : Vers la reconnaissance du caractère d’Etre sensible des animaux domestiques et sauvages !

Le sculpteur Alberto Giacometti déclarait : " Dans un incendie, entre un Rembrandt et un chat, je sauverais le chat". Le sculpteur signifiait ainsi que l'on ne peut pas comparer un animal qui est un être sensible au même titre qu'un être humain et un tableau qui n'est qu'un objet sans vie.

Le 28 janvier 2015, l'Assemblée nationale a voté un amendement permettant de clarifier le statut de l'animal domestique. Ceci représente une avancée considérable dans l'histoire de la pensée humaine, un petit pas vers la sagesse, mais une grande idée philosophique. Les portes du ciel s'ouvriraient-elles vers plus d'humanisme, l'homme et son pouvoir de nuisance infini mettrait-il en exergue la valeur suprème LE RESPECT DE LA VIE HUMAINE ET ANIMALE.

Alors que l'amendement Glavany, qui accorde le statut «d'êtres vivants doués de sensibilité» aux animaux domestiques, avait été rejeté le 22 janvier par le Sénat, Les députés l'ont définitivement adopté dans le cadre du vote du projet de loi sur la modernisation et la simplification du droit.

Le 15 avril 2014, les médias faisaient largement écho de l’amendement "Glavany", adopté en 1ère lecture par l’Assemblée Nationale lors du vote sur le Projet de loi relatif à la "modernisation et à la simplification du droit et des procédures dans les domaines de la justice et des affaires intérieures".

Le 30 octobre 2014, en deuxième lecture, les députés reconnaissaient aux animaux la qualité "d'êtres vivants doués de sensibilité", alors que jusqu'à maintenant le Code civil les considèrait comme "des biens meubles". Le 03 juin, Le groupe d’études sur la protection des animaux présentait, à l'Assemblée Nationale, une Proposition de loi plus ambitieuse.

Patrick Reynolds

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La Biographie d'Anna-Eva Bergman, « Vies lumineuses » écrite par Thomas Schlesser, directeur de la Fondation Hartung-Bergman et professeur à l'École polytechnique, paraît ce jeudi 10 novembre aux Éditions Gallimard. 

Anna-Eva Bergman - Vies lumineuse  par Thomas Schlesser Éditions GallimardElle a longtemps échappé aux radars de l'histoire de l'art. On découvre aujourd'hui avec Anna-Eva Bergman (1909-1987) une peintre d'importance majeure qui a investi dans son œuvre une ambition sacrée, presque mystique. Sa vie, racontée pour la première fois grâce à une enquête au cœur de ses archives, est hors norme : une enfance norvégienne sous le signe de la peur ; une jeunesse bohème et aventureuse à travers l'Europe ; une carrière d'illus- tratrice ; des démêlés avec l'Allemagne nazie ; une lutte acharnée avec une santé défaillante ; trois mariages, dont deux avec le même homme – Hans Hartung – à vingt-huit ans de distance ; une fin tragique dans la splendeur de sa villa d'Antibes.

Mais, surtout, Anna-Eva Bergman, c'est une vie dédiée à la création, loin des modes. Elle est aujourd'hui l'objet d'un engouement spectaculaire et sa cote s'envole. Il n'en a pas toujours été ainsi. Insuffisamment reconnue dans son pays d'origine, défendue par quelques rares alliés en France et en Europe, elle fera une très honorable carrière, certes, mais en sourdine, souvent dans l'ombre. Elle a beau croiser la route de Kandinsky, Soulages ou Rothko, elle demeure marginale. Caractérisés par l'emploi de feuilles d'or et d'argent et le rythme de la ligne, ses tableaux sont des évocations hiératiques et simpli- fiées, radicales, des grandes forces structurantes de l'univers – les éléments, les minéraux, le temps... Elle a laissé une quantité considérable de documents (la plupart en norvégien) qui permettent de comprendre enfin cette femme, dans la complexité de son être, le drame de son existence et la magnificence de son œuvre.

Thomas Schlesser est directeur de la Fondation Hartung-Bergman et professeur à l'École polytechnique.

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