Bernard DAMIANO et Didier SALA s'exposent à l'UDP de Saint-Emilion
du 1er novembre au 26 décembre 2017
Union de Producteurs de Saint-Emilion
BP 27 - 33330 SAINT-EMILION - FRANCE
http://www.udpse.com/ 
Tél : 05 57 24 70 71 - Fax : 05 57 24 65 18
Email : contact(at)udpse.com

Claude PÉRUSAT revient pour cette fin d’année nous proposer une très belle exposition de l’Artiste-peintre expressionniste Bernard DAMIANO. Déjà venu à l’UDP de Saint-Emilion, le marchand d’art et collectionneur libournais ne sera pas seul à exposer des œuvres: Didier SALA apportera sa touche de poésie en présentant ses bois flottés récupérés au fil des marées… Il faut savoir que pour cette magistrale exposition Bruno-Paul Barreau Marchand d'Art et Expert à Bordeaux ainsi que Claude Pérusat ont réussi à convaincre les collectionneurs de bien vouloir prêter les oeuvres de leur collection pour cette exposition. Comme le fait remarquer Patrick Reynolds, la région bordelaise terre du vin est devenue grâce au travail d'Alain Juppé une terre d'art et de culture.

BERNARD DAMIANO, peintre-expressionniste italien
Sa peinture est de la lave en fusion, un débordement de couleurs, d’ombres et de lumières. L’expressionnisme dramatique qui en émane puise ses sources dans les tourments d’une passion de tous les instants, la passion de peindre sans faillir.
Didier SALA, sculpteur sur bois flottés bordelais
Pour l’occasion, découvrez également les œuvres originales en bois flottés de Didier SALA. Travaillés suivant l’inspiration et la sensibilité de l’artiste, ces bois uniques sont travaillés pour donner une âme à ces œuvres singulières. Parfois petites, parfois très grandes, les œuvres de Didier SALA invitent à l’évasion…

Une exposition à découvrir jusqu’au 26 décembre. Didier SALA présentera lui-même son œuvre à l’occasion du vernissage qui se tiendra à la Galerie du Caveau, le JEUDI 9 NOVEMBRE à 18h30. L’héritage de Bernard DAMIANO sera, quant à lui, raconté par son grand ami, Claude PERUSAT.

Exposition Bernard Damiano Union de Producteurs de Saint-Emilion
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MOMA TO PRESENT MORE THAN 100 WORKS BY 50 WOMEN ARTISTS
EXPLORING INTERNATIONAL ABSTRACTION IN THE POSTWAR ERA

The Exhibition Features Nearly 40 Recent Acquisitions—Drawings, Paintings,
Photographs, Prints, Sculpture, and Textiles—and Other Landmark Works from the
Museum Collection, Many on View for the First Time at MoMA

Making Space: Women Artists and Postwar Abstraction

April 15–August 13, 2017 Floor three, Exhibition Galleries

NEW YORK, The Museum of Modern Art presents a major exhibition surveying the abstract practices of women artists between the end of World War II and the onset of the Feminist movement in the late 1960s. On view from April 15 through August 13, 2017, Making Space: Women Artists and Postwar Abstraction features approximately 100 works in a diverse range of mediums by more than 50 international artists. By bringing these works together, the exhibition spotlights the stunning achievements of women artists during a pivotal period in art history. Drawn entirely from the Museum’s collection, Making Space includes works that were acquired soon after they were made in the 1950s and 1960s, as well as many recent acquisitions—including a suite of photographs (c. 1950) by Gertrudes Altschul (Brazilian, born Germany. 1904–1962), an untitled sculpture (c.1955) by Ruth Asawa (American, 1926-2013), and an untitled work on paper (c.1968) by Alma Woodsey Thomas (American, 1891–1978)—that reflect the Museum’s ongoing efforts to improve its representation of women artists. Nearly half the works are on view at MoMA for the first time. Making Space is organized by Starr Figura, Curator, Department of Drawings and Prints, and Sarah Meister, Curator, Department of Photography, with Hillary Reder, Curatorial Assistant, Department of Drawings and Prints.

María Freire (Uruguayan, 1917–2015). Untitled. 1954. Oil on canvas, 36 1/4 × 48 1/16? (92 × 122 cm). The Museum of Modern Art, New York. Promised gift of Patricia Phelps de Cisneros through the Latin American and Caribbean Fund in honor of Gabriel Pérez-Barreiro, 2016 
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Patrocinado por la Dirección de Asuntos Culturales del Ministerio de Relaciones Exteriores de Chile

l’ambassadrice du Chili en France Madame Marcia Covarrubias a l’honneur de vous annoncer l'exposition «in-corpore» sculptures en bois de la sculptrice Pilar Ovalle du 10 octobre au 13 octobre 2017 - Cette exposition est réservée aux invités de l'ambassade : pour y assister merci de faire une demande auprès de :

Olga Martins
Assistante de l'Ambassadrice/Asistente de la Embajadora
Ambassade du Chili / Embajada de Chile
2, avenue de la Motte-Picquet
75007 Paris
Tél: +33 (0)1 44 18 59 39 - Fax: +33 (0)1 44 18 59 61
Mail: omartins(at)minrel.gob.cl

Pilar Ovalle est née en 1970 à Santiago, textures, noeuds et formes naturelles travaille depuis plus de 25 ans le bois, à une géométrie et signifiants qui
principalement de bois de récupération rapportent dans un contexte de forêts et des lacs la Patagonie dans modernité aux paysages et traditions un langage constructiviste en combinant ancestrales des peuples originaires.
Dans mon travail j’utilise le bois principalement, provenant des restes de processus industriels et de bois flotté recueillis, avec lesquels je construis le volume à partir de son noyau central jusqu’aux bords de son image finale.

Le processus de l’oeuvre, qui m’est essentiel, est révélé à l’observateur moyennant une trame formelle qui se génère dans les assemblages et les unions et qui font partie essentielle de la grammaire de mon travail.
Cette modalité de langage constructif est une des bases du discours visuel: chaque emboitage, accouplement, brochage et union sont à la base du lexique d’une trame matérielle, qui comme manifestation, signifie réparation, mémoire, traces d’autres tensions propres à l’être.

Depuis mes débuts, je m’intéresse à la possibilité de recueillir et de rassembler différentes typologies dans un même matériau, le bois, de l’explorer et parcourir ses limites et de manoeuvrer face aux solutions créatives possibles pour pouvoir continuer à l’aborder d’une façon nouvelle, si possible chaque fois. C’est un jeu auto-imposé, un dialogue dans lequel la maîtrise fait face à la difficulté et à la curiosité pour pouvoir continuer à créer.

Pendant les trois dernières années, j’ai incorporé, d’où le titre de l’exposition “in-corpore”, le corps humain comme conteneur d’information dans la sculpture pour représenter de manière explicite les exercices et les emboitages de transformation ainsi que le questionnement spirituel comme fondement de la quête d’individuation de l’être.

EXPOSITION PILAR OVALLE AMBASSADE DU CHILI
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CACN - Centre d'Art Contemporain de Nîmes
25 rue Saint-Rémy
30900 Nîmes
Tel : +33 (0)9 86 41 60 33
www.cacncentredart.com 
Mail : cacnimes(at)gmail.com
https://www.facebook.com/cacnimes/ 

Exposition du 7 octobre au 16 décembre 2017
Vernissage le vendredi 6 octobre à 18h
Entrée libre et gratuite

Avec Caroline Bach, Anaïs Boileau, Audrey Guiraud, Guillaume Le Moine, Nelly Monnier, et Eric Tabuchi

Lorsque nous avons pensé cette exposition, l’envie était d’abord de revenir à un format davantage épuré et une figuration résolument plus calme, « reposée ». Nous ressentions déjà en amont les interrogations, voire l’énigme théorique de ce thème, qui n’en est finalement pas vraiment un. Comme un entre-deux, nous nous interrogions sur le cheminement intrinsèque de chacune des pratiques présentées. Alors, afin de mieux comprendre les contours et les processus engagés auprès de cette sélection, quelques questions subsistent. Pourquoi mettre en avant ces architectures prosaïques ? Comment se fait-il que les personnes qui y vivent ou y travaillent disparaissent-elles du cadre ?
Les six artistes du projet Topologie* de l’absence ont installé ici des témoignages correspondant à des lieux particuliers qui mettent en exergue certaines géographies oubliées parce qu’elles sont monotones ou indiffèrent l’opinion. Pourtant ces constructions en marge sont peut-être le futur patrimonial de notre société post-contemporaine. On peut d’ores et déjà remarquer la connivence, même si les oeuvres ne dévoilent pas la même chose, de cet ensemble positionné au sein du centre d’art.
 

Topologie de l'absence CACN Centre d'Art Contemporain de Nîmes
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Le Centre Pompidou en collaboration avec la Tate Britain de Londres et le Metropolitan Museum de New York présente la plus complète exposition rétrospective consacrée à l’œuvre de David Hockney.
David Hockney
Expositions
21 juin 2017 - 23 octobre 2017
de 11h à 21h ou de 11h à 23h
Centre Pompidou, Paris
https://www.centrepompidou.fr/

L’exposition célèbre les 80 ans de l’artiste. Avec plus de cent soixante peintures, photographies, gravures, installation vidéo, dessins, ouvrages... incluant les tableaux les plus célèbres de l’artiste tels les piscines, les double portraits ou encore les paysages monumentaux.., l’exposition restitue l’intégralité du parcours artistique de David Hockney jusqu’à ses œuvres les plus récentes.

L’exposition s’attache particulièrement à l’intérêt de l’artiste pour les outils techniques de reproduction et de production moderne des images. Animé par un désir constant de large diffusion de son art, Hockney a, tour à tour, adopté la photographie, le fax, l’ordinateur, les imprimantes et plus récemment l’I Pad : « la création artistique est un acte de partage ».

L’exposition s’ouvre avec les œuvres de jeunesse, réalisées par Hockney à l’école d’art de sa ville natale de Bradford. Images d’une Angleterre industrieuse, elles témoignent de l’empreinte sur le jeune peintre du réalisme âpre, prôné par ses professeurs adeptes du réalisme social du mouvement du Kitchen sink. De l’école d’art de Bradford au Royal College of Art de Londres, Hockney découvre, assimile la traduction anglaise de l’expressionisme abstrait élaborée par Alan Davie. De l’œuvre de Jean Dubuffet, il retient une stylistique (celle du graffiti, de l’art naïf..;) qui satisfait son projet de produire un art éloquent et socialement, universellement accessible. Chez Francis Bacon, il puise l’audace d’une expression qui aborde explicitement la question de l’homosexualité. Sa découverte de l’œuvre de Picasso achève de le persuader qu’un artiste ne saurait se limiter à un style donné. Il intitule une de ses premières expositions : Démonstration de versatilité.

 

David Hockney Exposition Centre Pompidou
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FROM CHINA TO TAÏWAN Les pionniers de l'abstraction (1955-1985) du 15/06 au 24/09/2017

Musée d'Ixelles
rue Jean Van Volsemstraat 71
B - 1050 Bruxelles
Tél. +32 (0)2 515 64 21/22
E-mail : musee[at]ixelles.be
http://www.museedixelles.irisnet.be/ 

Dans la Chine des années 1930 imprégnée par la tradition, un noyau de peintres modernistes voit le jour grâce à l’enseignement dispensé à l’école des Beaux-Arts de Hangzhou, dont certains professeurs ont étudié en Europe. Les trois artistes considérés aujourd’hui comme étant les pionniers de l’art abstrait chinois y font leurs classes : Zao Wou-Ki (1920-2013) et Chu Teh-Chun (1920-2014), y étudient de 1935 à 1941, puis y enseignent dès l’année suivante. Lee Chun-Shan (1912-1984) y est professeur de 1937 à 1946.

En 1949, après les huit années d’invasion japonaise (1937-1945) surviennent la défaite du Kuo­mintang et la prise du pouvoir par Mao Zedong : plus d’un million de Chinois quittent alors le continent pour aller à Taïwan, où le gouvernement de Chang Kai-Chek s’est replié. Tandis que Zao Wou-Ki a quitté la Chine un an plus tôt pour s’établir à Paris, Chu Teh-Chun et Lee Chun-Shan s’installent à Taipei en 1949.

En 1950, redoutant un conflit avec la Chine occidentale, les États-Unis font de l’île un protectorat américain. Au travers des ouvrages disponibles à la bibliothèque américaine de Taipei, les artistes découvrent par eux-mêmes l’art moderne occidental, de l’impressionnisme à l’art abstrait de l’École de New York, alors en pleine effervescence.

Zao-Wou-Ki nous deux 1955 huile sur toile 38 x 46 cm Le Havre Musée d'Art Moderne Andre Malraux © SABAM 2017
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Exposition photographique Pascal Kober
Musée de l'Ancien Évêché
2 Rue Très Cloîtres
38000 Grenoble
Téléphone : 04 76 03 15 25
http://www.ancien-eveche-isere.fr/

Du 16 juin 2017 au 17 septembre 2017

Pour ceux qui aiment le jazz comme pour ceux qui pensent ... ne pas l'aimer !

Sous les feux des projecteurs ou dans l'intimité des coulisses, dans les locaux de répétition ou au cœur des grandes tournées internationales, les images de Pascal Kober révèlent le regard d'un photojournaliste, témoin, depuis plusieurs décennies pour la revue Jazz Hot, des évolutions de cette musique centenaire qu'est le jazz.

Tendresse pour la note bleue, émotion et complicité marquent cette exposition photographique singulière et largement commentée, dont nombre d'images célèbrent le festival Jazz à Vienne.

De A comme Afrique (et Amériques !) jusqu’à Z comme Zoom, cent vingt photographies en couleurs ou en noir et blanc forment un abécédaire tout en humanité. Place au plaisir de la rencontre en images et en musique avec une play-list de titres des grands standards du jazz diffusés dans les salles. Pour prolonger les découvertes, un documentaire, tourné avec la complicité de Pascal Kober, nous emmène dans ses pas, au plus près de son travail de photojournaliste.

Au cœur de l’exposition, un piano à disposition du public offrira aux pianistes amateurs l’occasion de s’exercer à la note bleue…

Exposition photographique Pascal Kober
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Matisse en ses murs
Un nouvel accrochage des collections

8 juillet – 13 octobre 2017

Vernissage > Vendredi 7 juillet 2017 à 18 heures

Musée Matisse
164 Avenue des Arènes de Cimiez
Nice

Du 8 juillet au 13 octobre 2017 au Musée Matisse, la Ville de Nice vous invite à découvrir l’exposition « Matisse en ses murs – un nouvel accrochage des collections ».

Pour les cent ans de l’arrivée de Matisse à Nice, le musée présente un nouvel accrochage qui rend hommage au lien entre la ville et l’artiste. Ce nouveau parcours éclaire la richesse d’une collection, fruit des donations successives de l’artiste et de ses héritiers à la Ville de Nice, qui offre un accès privilégié et unique à l’intimité de sa création.
 
Le musée renoue cette année avec l’entrée conçue par Jean-François Bodin en 1993, qui permet d’accueillir le public dans l’espace magistral déployé autour de la grande gouache découpée Fleurs et fruits et de la céramique de La Piscine, don de Claude et Barbara Duthuit à la Ville de Nice en 2013.

La salle « Matisse et Nice » racontera l’ancrage de l’artiste dans sa ville d’élection, ses ateliers et lieux de vie successifs, de la Promenade des Anglais jusqu’au Régina, à Cimiez.

Le nouvel accrochage s’attachera à révéler une œuvre constamment portée par le dialogue. La « salle invité », renouvelée tous les trois mois, s’ouvrira avec Georges Rouault, alors que la salle dédiée au fauvisme soulignera l’échange avec Henri Manguin. Dialogue avec les cultures aussi, puisque tout au long du cheminement le visiteur pourra découvrir les sources extra-occidentales d’une création profondément humaniste.

Henri Matisse peignant, atelier du cours Saleya,  vers 1927, Archives Matisse DR

Henri Matisse peignant, atelier du cours Saleya,
vers 1927, Archives Matisse DR

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FAHRELNISSA ZEID
Tate Modern
Bankside, London SE1 9TG,
Royaume-Uni

http://www.tate.org.uk/visit/tate-modern

13 June – 8 October 2017

For public information call +44(0)20 7887 8888, visit www.tate.org.uk

Sponsored by Deutsche Bank. Supported by the Fahrelnissa Zeid Exhibition Supporters Group
Open daily 10.00 – 18.00 and until 22.00 on Friday and Saturday

Be mesmerised by the kaleidoscopic paintings of the international female artist, Fahrelnissa Zeid

Trained in both Paris and Istanbul, Fahrelnissa Zeid was an important figure in the Turkish avant-garde d group in the early 1940s and the École de Paris (School of Paris) in the 1950s. Her vibrant abstract paintings are a synthesis of Islamic, Byzantine, Arab and Persian influences fused with European approaches to abstraction. Many of her abstract works are monumental and demand attention.

Zeid’s reputation as an artist was cemented in the 1950s when she was living between London and Paris and exhibiting extensively internationally. The artist also began experimenting with painting on turkey and chicken bones, which she later cast in polyester resin panels evocative of stained-glass windows. In the later years of her life she unexpectedly returned to figurative painting, creating stylised portraits of her friends and family.

Indulge in Zeid’s obsession with line and dazzling colour in this exhibition. Rediscover one of the greatest female artists of the 20th century in this first major retrospective.​

Fahrelnissa Zeid Resolved Problems 1948 Istanbul Museum of Modern Art Collection, Eczacıbaşı Group Donation (Istanbul, Turkey)  © Raad bin Zeid © Istanbul Museum of Modern Art

Fahrelnissa Zeid Resolved Problems 1948
Istanbul Museum of Modern Art Collection,
Eczacıbaşı Group Donation (Istanbul, Turkey)  
© Raad bin Zeid © Istanbul Museum of Modern Art

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Expressionnisme Abstrait L'EXPOSITION
3 février 2017 – 4 juin 2017

GUGGENHEIM BILBAO

À une époque trouble entre la Seconde Guerre Mondiale et les années free jazz bercées par la poésie de la génération beat, des artistes comme Pollock, Rothko et De Kooning mirent à mal les conventions en vigueur afin d’inaugurer une nouvelle étape de confiance vis à vis de la peinture. L’Expressionnisme Abstrait est le fruit de l’expérience commune d’une série d’artistes qui vivaient à New York en 1940 et, qui alors même qu’ils étaient amis et compagnons, avaient tous un style à part entière. Contrairement à ce qui s’était produit pour les précédents mouvements des Cubisme et Surréalisme, l’Expressionnisme Abstrait ne semblait pas adopter une formule figée. Cette diversité mit à l’honneur la liberté d’expression individuelle et artistique de chacun d’entre eux.

L’Expressionnisme Abstrait marqua un moment clé dans l’évolution de l’art du XXe siècle. Étonnamment, aucune grande exposition n’a été consacrée en Europe à ce mouvement depuis 1959. Avec plus de 130 peintures, sculptures et photographies issues de collections publiques et privées du monde entier, cette exposition ambitieuse comprend les chefs d’œuvre des artistes nord-américains les plus talentueux rattachés à  ce mouvement, comme Willem de Kooning, Arshile Gorky, Philip Guston, Franz Kline, Joan Mitchell, Robert Motherwell, Barnett Newman, Jackson Pollock, Mark Rothko, Aaron Siskind, David Smith et Clyfford Still, ainsi que d’autres figures moins connues mais tout aussi révélatrices.

Cette sélection prétend réévaluer l’Expressionnisme Abstrait, et souligner que même s’il a été perçu comme un mouvement unifié, ce fut un phénomène extrêmement complexe, pluriel et polyédrique. C’est aussi l’occasion de mettre à mal l’idée selon laquelle l’Expressionnisme Abstrait avait uniquement rayonné dans la ville de New-York, ayant aussi inclus des artistes de la Côte Ouest comme Sam Francis, Mark Tobey et Minor White.

 

Jackson Pollock Masculin et féminin (Male and Female), 1942–43 Huile sur toile 186,1 x 124,3 cm Philadelphia Museum of Art. Donation de M. et Mme H. Gates Lloyd, 1974 Photo : Philadelphia Museum of Art © The Pollock-Krasner Foundation VEGAP, Bilbao, 2016 

Jackson Pollock
Masculin et féminin (Male and Female), 1942–43
Huile sur toile
186,1 x 124,3 cm
Philadelphia Museum of Art. Donation de M. et Mme H. Gates Lloyd, 1974
Photo : Philadelphia Museum of Art
© The Pollock-Krasner Foundation VEGAP, Bilbao, 2016

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