Angelika Markul : accords et désaccords par Jean-Paul Gavard-Perret Angelika Markul, « Excavations of the future », Galerie Laurence Bernard, Genève, du 15 septembre au 1er novembre 2016. |
Portrait de Angelika Markul |
Vente oeuvres de Bernard Sabri
EXPOSITION COLLECTIVE L’ARTISTE EST-IL UN CHAMANE
EXPOSITION COLLECTIVE : L’ARTISTE EST-IL UN CHAMANE ? L’ASPIRATEUR | ESPACE D'ART CONTEMPORAIN | NARBONNE | FRANCE 24 septembre 2016 / 27 novembre 2016 > CONTACTS L'ASPIRATEUR ESPACE D'ART CONTEMPORAIN
|
MAËLLE GALERIE LE MONDE EST EN PANNE D'UNE PENSÉE POUR LE MONDE
LE MONDE EST EN PANNE D'UNE PENSÉE POUR LE MONDE |
Barthélémy Toguo, Roger délivrant Angélique I, |
Le monde est désenchanté. Il ne s'agit pas là d'adopter une position romantique et nostalgique d'un Âge d'or perdu, mais de lire ce monde à travers le prisme d'une histoire qui cumule les drames, les conflits, les guerres et qui semble aspirer notre civilisation dans le tourbillon du chaos. La violence du capitalisme économique est telle qu'on assiste à un repli des individus sur eux-mêmes qui ne sont ni portés par un projet de société, ni par un idéal ambitieux. Le monde est en panne d'une pensée pour le monde pour paraphraser le titre de l'exposition de la Maëlle Galerie. Les artistes, véritables vigies et oracles des temps modernes, sont là pour alerter et éveiller les consciences. « L'art n'est pas une réjouissance solitaire et l'artiste a un rôle à jouer dans la société » revendique Barthélémy Toguo. Il est là pour relayer « le grand cri des peuples qui souffrent » comme il l'illustre encore aujourd'hui dans cette exposition réunissant cinq artistes relatant des récits fragmentés où les valeurs humaines sont incompatibles avec une mondialisation qui broie allègrement sans critère de justice sociale. Et pourtant, cet ordre mondialisé tant souhaité par H. G. Wells dans son livre éponyme a de quoi séduire tel qu'exprimé par un George Bush à la tribune du Congrès le 11 septembre 1990, promettant « une nouvelle ère, moins menacée par la terreur, plus forte dans la recherche de justice et plus sûre dans la quête de la paix. » Mais voilà, ces mots ont pour seule ambition d'entretenir une illusion et de manipuler un peuple désorienté et dépolitisé, un jeu dans lequel les politiques brillent. Avec ironie et cynisme, Orlando Britto Jinorio condamne une telle mainmise dans sa série de photographies Being Horse, où il se met en scène en cheval, un mors dans la bouche. Une métaphore de la condition humaine. |
Gérard TRAQUANDI en regard de Hans HARTUNG Galerie Catherine ISSERT
À double détente : Gérard TRAQUANDI, en regard de Hans HARTUNG du 9 juillet 2016 au 3 septembre 2016 vernissage le samedi 9 juillet à 18:00 Galerie Catherine ISSERT 2 ROUTE DES SERRES 06570 SAINT-PAUL T 33(0)4 93 32 96 92 info(at)galerie-issert.com www.galerie-issert.com En 2008, la Fondation Maeght consacre une exposition à Hans Hartung. À cette occasion, Gérard Traquandi révèle à Catherine Issert les affinités existantes entre son oeuvre et celle de Hartung. De ce dialogue est née l’idée d’imaginer une exposition qui mettrait en regard leurs pratiques ; huit ans plus tard, la voici : l’exposition À double détente sera présentée à la galerie Catherine Issert du 9 juillet au 3 septembre 2016. Lorsque les tableaux de Hartung regardent les oeuvres de Traquandi, des connivences d’ateliers, des gestes, un certain regard sur la matérialité du monde émergent pour créer un dialogue artistique et esthétique fort. Les abstractions traversées de mouvements glissants de Traquandi croisent les gestes lyriques et dynamiques de Hartung ; leur rencontre génère des sensations faites de couleur et de rythme qui nous amène au coeur d’un monde naturel vibrant et profond. Tous deux sont des peintres du geste, du faire : leurs tableaux émergent d’une approche sensuelle et processuelle de la peinture. Si Hartung, fasciné |
Hans Hartung, T1989-E44, acrylique sur toile, 180 x 180 cm, 1989, Gérard Traquandi, Sans titre, huile sur toile, 190 x 140 cm, 2016, |
Trio Jannis Kounellis Arnulf Rainer Antoni Tàpies Galerie Lelong
Galerie Lelong Jannis Kounellis – Arnulf Rainer – Antoni Tàpies |
Supports Surfaces Galerie Eva Vautier
S U P P O R T S / S U R F A C E André Pierre Arnal – Vincent Bioulès – Louis Cane – Marc Devade – Daniel Dezeuze – Noël Dolla –Toni Grand – Bernard Pagès – Jean-Pierre Pincemin – Patrick Saytour – André Valensi – Claude Viallat |
Jean-Pierre Pincemin «Sans titre» |
Georges Hugnet Ubu Gallery New-York
Georges Hugnet Huit jours à Trébaumec UBU GALLERY Ubu Gallery is pleased to announce an in-depth exhibition exploring the richness of Georges Hugnet's Surrealist masterpiece, Huit jours à Trébaumec. Published in 1969 by Henri Mercher, the renowned bookbinder, the book appears as a Guide Rose Micheline, a clever parody of the popular Baedeker, Guide Michelin Rouge. In Hugnet's satire, it is not a Michelin man, but a Michelin woman serving as a tour guide leading us through the fictional "Trébaumec" or as Hugnet called it, "the little lost town in Brittany, paradise regained." In 1947, Hugnet (1906-1974) traveled along the coast of Brittany photographing his excursions and popular tourist attractions. |
Georges Hugnet, Sur les conseils de son docteur, circa 1933-36. |
Dado Galerie Jeanne Bucher Jaeger Paris
DADO signature du recueil d’entretiens de l’artiste, Peindre Debout, T. +33 (0)1 42 72 60 42 Cette exposition présente des peintures, collages, dessins et estampes de Dado des années 70. Miodrag Djuric, dit DADO (1933-2010), établi en France à partir de 1956, est très tôt repéré par Jean Dubuffet et Daniel Cordier, son premier marchand. Arrivé à la galerie grâce à François Mathey et aux amis collectionneurs Boulois, Dado est présenté à quatre reprises entre 1971 et 1975. |
Dado, Boukoko triptyque, 1975. Huile sur toile, 162 × 454 cm. |
Jean-Charles Blais Galerie Catherine Issert
Jean-Charles Blais Galerie Catherine Issert La galerie Catherine Issert est heureuse de présenter du 20 mai au 2 juillet 2016 une sélection d'oeuvres récentes et inédites de Jean Charles Blais. Représenté par la galerie Catherine Issert depuis 1983, cet artiste né en 1956 s'est fait connaître dans les années quatre-vingt pour ses peintures sur affiches arrachées. Investissant l'atelier comme un laboratoire, Jean Charles Blais conduit ses recherches en se laissant guider par les médiums et les procédés, avec au centre de ses préoccupations le corps et sa représentation, la fragmentation, le renversement, le positif et le négatif, l'absence. |
Masters Urban & Street Art Galerie Laurent Strouk
Les artistes d'Urban et de Street Art quittent la rue pour s'exposer à la Galerie Laurent Strouk du 1er juin au 15 juillet 2016. GALERIE LAURENT STROUK |
RAMMELLZEE - Tower of Panzerism - Spray marker on canvas |