Formé très jeune à la calligraphie, Lassaâd Metoui, s’inspire tout autant de la peinture occidentale (de Matisse, Paul Klee à Soulages) que de l’art d’Extrême-Orient, notamment japonais. Il fait évoluer son art de plasticien vers une modernité qui transcende les cultures. Son talent, à la fois enraciné dans une tradition d’exigence esthétique et morale est innovant, son impact mondial, représenté aujourd’hui à l’Institut du Monde Arabe, en est la preuve et en fait un artiste majeur dans cette discipline.

ARTISTE PLASTICIEN CALLIGRAPHE PHILOSOPHE DES FORMES

2006- Londres : Exposition et Performances au British Museum avec le plus grand calame et pinceau de 80 cm de largeur
- Milan : Exposition au musée Castello Sforzesco

2007- Shanghai : Performance dans le cadre de la Nuit Blanche une toile de 190 m2 avec le plus grand pinceau du monde
- Pays de Galles : Exposition au Musée National

2008- Dubaï : Exposition World into Art

2009- Sao Polo : Performance à l’Université des Arts Amhembi Merumbi, technique du lavis et de l’encre de Chine

Lassaâd Metoui

Lassaâd Metoui 

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«Antoni Tapies (1923-2012), et la Galerie Lelong : une longue collaboration ». Monsieur Lelong et Antonio Tàpies Photo de Antoni Tàpies Copyright Galerie Lelong  Photo :  Fabrice Gibert Courtesy Galerie Lelong
Galerie Lelong
13 rue de Téhéran, 75008 Paris
Tel +33 1 45 63 13 19
http://www.galerie-lelong.com
C’est grâce à Jacques Dupin, qui avait écrit sur son art dès 1963, qu’Antoni Tàpies expose, à l’automne 1967 - puis sans discontinuer - dans les salles de la galerie au 13 rue de Téhéran.

Avec Tàpies et sa femme Teresa, ce fut une longue histoire de 45 années de collaboration et de fidélité réciproque, jalonnée d’une quarantaine d’expositions personnelles dans les Galeries Lelong de Paris, Zürich et New York.

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Les oubliés de l'histoire
A l'aube des années 80 une poignée d'artistes fauchés décidèrent de conquérir Paris afin de réaliser leur grand rêve .. que Paris redevienne la capitale de l'art.
Comme dans toute grande idée il y a toujours quelque chose qui cloche ils prirent le nom d'ART- CLOCHE et voici leur histoire.

Le soir est triste et froid -
La lune solitaire donne comme à regret ses rayons à la terre:
Le vent de la ville jette un cri déchirant -
Le flot de l'art semble une voix qui pleure -
Et la cloche des musées fait vibrer d'exposition en exposition -
Dans le ciel nuageux son glas de fin de règne - C'est le ur Novembre -
Au fond de l'atelier on entend chaque artiste affûter ses pinceaux.
C'est sur cette terre de désolation qu'à l'aube des années 80 une poignée d'artistes fauchés décidèrent de conquérir Paris -Armés de leurs boîtes de couleurs ils montèrent à l'assaut de la capitale endormie:
Cet art nomade de l'urgence - du quotidien - de la place publique -de la vie de tous les jours.
Où le bien et le mal se retrouvent et s'affrontent :
Où l'amour et la haine se rencontrent et s'accouplent :
Où la joie et la peine s'expriment et communient :
Où le beau et le laid s'aiment et s'unissent. Car     .
Tant qu’y'a d'la CLOCHE - y'a d'la vie Tant qu’y'a d'l’ART-CLOCHE - y'a d'l'espoir
Descendant de leurs lointaines montagnes - Animés de leur amour de l'art - ils arrivèrent de partout.
Pékin - Moscou - Shanghai - Minsk - Venise - Meknès - Montréal- Rome - Berlin - New-York - Porto - Bordeaux - Bourgogne -

Ils s'appelaient- Pawlowski - Starck - Schurder - Lolochka - Saban - Milovskaya - Yankel - Pilar- Yane- Barbanti - Shigéo - Leuck –  Smirnoff -Till- Zbona - D'autres beaucoup d'autres vinrent les rejoindre.

Cette avant-garde sauvage des années de détresse apporta un souffle salutaire et salvateur à l’art: formolé de ce siècle déclinant -

Henri Schurder
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Peintre britannique née en 1949, à  CORDOBA en ARGENTINE, Lia de Fontenelle, Princesse Frédéric de Broglie  peint depuis l’âge de 4 ans, peintre néo-figuratif et conceptuel, elle participe aux grands évènements de notre temps depuis la chute du mur de Berlin.

Elle partage on temps entre Londres et New-York.

Créateur à l'identité forte ses oeuvres figurent dans de nombreuses collections privées internationales.

Lia de Fontenelle 
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J'ai connu Jean Ekiert par un hiver rigoureux dans les années 80. Un jeune marchand de couleurs et de toiles m'avait dit "j'ai rencontré rue de Tourlaque un artiste au talent fabuleux qui vit dans un atelier qui n'est même pas chauffé". Je me rendis dans son atelier par -2 degré, quel ne fût pas mon émerveillement en voyant cette oeuvre de grande qualité, l'artiste me vendit alors une cinquantaine d'oeuvres, avec cet argent il chauffa son atelier, améliora sa vie de tous les jours, et retrouva la joie de vivre, je le faisais connaître des amateurs autour de moi dont Bruno Jaubert qui travaillait alors dans l'Etude de Catherine Charbonneaux et le fit passer en vente aux enchères, et ainsi l'artiste fût de nouveau sollicité par les collectionneurs et les critiques d'art, ce qui créa une solide amitié entre l'artiste et moi. Cet artiste au talent rare était aussi un homme d'exception dont l'âme était aussi belle et signifiante que l'oeuvre comme aurait pu l'écrire l'Académicien René Huyghe auteur de "L'art et l'âme" paru chez Flammarion en 1968.

Patrick Reynolds Expert pour l'artiste

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Claude Marechal 1970 - 114x146 cm

Claude Maréchal (1925-2009) huile sur toile 114 x 146 cm -
Signé en bas à droite et daté 70 titré au dos GROS TEMPS JOUR DE VENT
et signé au dos et daté au dos 1970

Né le 11 mars 1925 à Saint-CLoud (Hauts-de-Seine) décédé en 2009 -Claude Maréchal est élevé dans la maison dans laquelle il a vécu une grande partie de sa vie. Une partie de son enfance se passe dans son jardin.
Il fait ses études à Saint-Cloud, au lycée, tout en marquant un grand intérêt pour le dessin.
Les vacances, passées chaque année en Bretagne, vont déterminer un attachement profond pour cette région
En 1946, abandonne ses études de droit pour se consacrer définitivement à la peinture.
Après un voyage fait aux Etats-Unis en octobre/novembre 1982, décide de s'installer à New York en 1983.

Cet artiste de grand talent soutenu par la Galerie Dubourg dans les années 60 avait exposé en 1955 à la Galerie Charpentier et Galerie Simone Heller.

Pour tout renseignement contacter Laurent Maréchal voir le site consacré à Claude Maréchal

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Edgar Stoebel portrait de l'artiste par Patrick Reynolds vers 1983

 

 

 

 

 

 

 

Edgar Stoëbel ( de son vrai nom Teboul Ichoua René ) est né à Frendah  près d’Oran en Algérie le 21 décembre 1909 décédé à Paris en décembre 2001 -  Stoëbel étant son nom d’artiste.

Très jeune il a été attiré par la musique et les arts graphiques, ces deux formes d’art ont été tout au long de sa vie étroitement liées et ont donné à son art cette dimension musicaliste et rythmée.

« Au fond c’est grâce à mon père que je suis devenu peintre, il a vécu intérieurement ses rêves, à Noël je trouvais dans la cheminée une boite de pastels, je me rappelle que vers l’âge de 10 ans je faisais des dessins et des copies de dessins, un jour j’ai fait un petit dessin représentant une femme nue, et ma mère curieuse de voir ce que je faisais s’est approchée de moi et quand elle a vu mon dessin elle a été choquée que je puisse faire un tel dessin à mon jeune âge et elle m’a tapé. La femme aura toujours été pour moi une source d’inspiration, elle est toujours présente dans mes œuvres. »

Stoebel Pianiste de JazzEdgar Stoëbel Le Pianiste de Jazz Figura-synthèse

« Mon père aimait la musique, il voulait constituer avec ses enfants un orchestre, il voulait que moi je fasse du violon, mon frère aîné du piano et un autre devait se consacrer au violoncelle. Je suis né avec la musique qui a bouleversé ma vie et l’art graphique. »

A Oran il crée un petit conservatoire avec 17 musiciens, une association de musiciens, et dirige un orchestre en tant que chef d’orchestre, mais il sent très vite qu’il ne progressera pas s’il ne part pas à PARIS.
Afin de travailler la musique il arrive à PARIS en 1931 et travaille avec le professeur  Léon Eugène MOREAU Grand Prix de Rome qui lui apprend l’harmonie, le contrepoint, la fugue et le piano jusqu’en 1939 déclaration de la guerre, mobilisé, il rejoint son corps d’infanterie où il est réformé temporairement au Conseil de Réforme.

A la suite de cela et de la montée du nazisme il repart en Algérie en 1940, où il  peindra et dessinera, puis dirigera un orchestre jusqu’en 1942.

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Heriberto CUADRADO COGOLLO was born in Cartagena de Indias (Colombia) on September 29th – 1945.

1957-1961 Studies at the Cartagena de Indias Academy of Fine Arts.

1960-1963 – He realizes many portraits during this period and becomes a member of the group  « Los 15 ».

1964 – He is awarded a grant for Europe.

1964-1965 – Takes residence in Madrid (Spain). Follows as an auditor the art classes at the San Fernando School.

1966 – Moves to Paris (France).

1970 – While collaborating with the French editor Georges Visat, he makes friends with the famous surrealist painter
Roberto Matta who suggests that he chooses his mother’s name – COGOLLO – to sign his paintings.
During this same period he is befriended by the poet José Pierre who later on, in 1973, will write the preface of his first catalogue.

1973 – His first individual exhibition The World of a Nohor is put on by the Parisian art gallery Suzanne Visat. Two important encounters mark this event, the first being the
start of a long friendly collaboration with two more poets Ted Joans and Joyce Mansour. The second being the meeting with the French publisher/collector Daniel Filipacchi.

1975 – In parallel to his painter activities, he begins his long and successful illustrator career, under his father’s name – CUADRADO – collaborating mainly with Lui and Playboy, both monthly magazines published by Filipacchi.

Hériberto Cogollo (né en 1945) huile sur toile dimensions 162 x 130 cm signée en bas à droite et datée IX 73 Au dos étiquette Galerie EDITIONS GEORGES VISAT 13, rue du Dragon PARIS 6ème. Fourni le Catalogue de l’exposition du 4 mai au 6 juin 1973 : Cogollo Le monde d’un Nohor Galerie Suzanne VISAT Hériberto Cogollo (né en 1945) huile sur toile dimensions 162 x 130 cm signée en bas à droite et datée IX 73 Au dos étiquette Galerie EDITIONS GEORGES VISAT 13, rue du Dragon PARIS 6ème.
Fourni le Catalogue de l’exposition du 4 mai au 6 juin 1973 : Cogollo Le monde d’un Nohor Galerie Suzanne VISAT
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Eliane Rosso (Française 1928 - 1994)

Eliane Rosso est une artiste peintre, graveur, illustratrice et lithographe française née en 1928 à Paris.
Rosso fait ses études à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris. Marquée par la querelle entre l’abstraction et le réalisme qui fait rage dans l’immédiat après-guerre, elle commence à produire une œuvre qui intègre les principes du cubisme tout en gardant les références au sujet et à la figuration, dans la lignée d’un Jacques Villon.
En 1954, elle remporte le Prix de la Casa Velasquez, et fait partie bientôt des jeunes artistes femmes les plus remarquées par la critique.
Elle remporte le Prix du Dôme en 1958 et en 1959 est sélectionnée par le jury pour participer à la première Biennale de Paris, au Musée d’Art moderne de la ville de Paris. Peu à peu, elle se tourne vers l’abstraction et y déploie une palette aux coloris très chauds. Elle  crée un univers de formes réfléchies et structurées,  aux contours arrondis, qui allie puissance des contrastes colorés et profondeur formelle. Elle expose régulièrement au Salon des Artistes indépendants.
Elle a participé à de nombreux salons et expositions notamment  à  l’ Académie Gérard Mourgue  l’ Hotel Hilton, la Fondation Taylor, les Salons Biennale de Paris.
Elle est présente dans des collections françaises et internationales.

MUSEES : ses œuvres sont présentes au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris et au Musée de Saint-Etienne et au Musée de Conches (Eure)

PRIX
1954 - Casa Velasquez
1958 - Prix du Dôme
1959 - Première Biennale de Paris. –

BIBLIOGRAPHIE
Éliane Rosso Les Cahiers D'Art-Documents -
Numéro 210 - 1964 Cailler, Pierre
Edité par Éditions Pierre Cailler, Genève (1964)
Biographie de peintre Éliane Rosso, le contenu comprend la signature de l'artiste, préface de Robert Vrinat, chronologie, bibliographie, collections des musées, l'histoire de l'exposition, commentaires de la presse et autres.

Eliane Rosso 162x130 - Vente d'art contemporain

Eliane Rosso Huile sur toile 162 x 130 cm

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Salvatore Gallo was born in 1928 in Vittoria in Sicily He studied in Turin with Carlo Carra from 1946-49. He then went to study in Mexico with the Mexican artist David Siqueiros fom 1955 -1957.
Gallo moved to New York USA in 1958 where he had his first major show at the Chiser Gallery. And began a collaboration with his cousin Frank Gallo Professor of Art at Boston University. Upon, completing several major commissions together. They had a major exhibition of work in Tel Aviv, Israel. In 1964 he left the States to move to Paris.
In 1965 he held his first major show at "' L’Academie Dufaux"' Paris. At the same time he took part in the Major exhibition “Art Fantastique” at the Langlois Gallery in Paris.
He received major recognition when he exhibited his sculptures At the Italian Embassy in Paris and at the musee d”Art Moderne. In 1969 he participated in the exhibition "Since Rodin" where he was presented with the Medalle de bronze.
In 1970 he was honoured further in recognition of his work with the Medaille d’argent a la Biennale Internationale de Juvisy.
Then in 1972 he won the Medaille d’ora la Biennale Internationale de Juvisy, culminating with the honour Eme Grand Prix de Juan-les Pins. He started working at his new studio at La Maison des Artistes in Nogent sur Marne Paris
Awards and commissions from 1975–1996 Medaille d’or au 14 eme salon International de Paris Sud de Juvisy. 1975 Participated in the 50th anniversary of the group of de Grear at the Chateau de Montvillargenne.
It was in this year that Salvatore Gallo and his cousin Frank Gallo worked on a number of projects in the states including monuments in Dallas, Texas, as well as several sculptures for the Play Boy Club of America

Salvatore Gallo Sculptor 1928-1996

Salvatore Gallo oil on canvas 97 x 130 cm

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