mondrian beyeler

Communiqué de presse 23 septembre 2020
Le Piet Mondrian Conservation Project (2019–2021)

Une initiative de la Fondation Beyeler, avec le soutien de La Prairie

Dans le cadre d’un projet de conservation d’envergure d’une durée de trois ans (2019–2021), la Fondation Beyeler se penche sur sept tableaux de Piet Mondrian (1872–1944). Le projet porte sur l’étude et la conservation de ces oeuvres appartenant à la Collection Beyeler, trois d’entre elles datant des débuts de l’artiste et quatre de réalisation plus tardive. Avec le soutien de La Prairie, dans les mois à venir les quatre oeuvres tardives emblématiques de l’artiste seront étudiées et analysées de manière approfondie. Jusque fin 2021, les visiteurs·ses intéressé·e·s peuvent observer le travail des restaurateurs·rices d’art. La Fondation Beyeler prévoit une importante exposition Piet Mondrian en 2022.

La Fondation Beyeler possède l’une des plus importantes collections de tableaux de Piet Mondrian de Suisse, allant d’oeuvres majeures des débuts de l’artiste néerlandais à des classiques plus tardifs. Ces sept chefs-d’oeuvre de Mondrian ont donné l’impulsion pour le lancement d’un projet de recherche et de conservation d’une durée de trois ans (2019–2021). Si chaque tableau est pris en compte à titre individuel et indépendant, l’objectif est de considérer les sept oeuvres de Mondrian de la Collection Beyeler comme un groupe cohérent en termes de composition et de présentation. Le Piet Mondrian Conservation Project comporte trois axes de recherche principaux qui sont brièvement présentés dans ce qui suit.

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Paul Klee – La dimension abstraite
1er octobre 2017 – 21 janvier 2018
Fondation Beyeler,
Beyeler Museum AG,
Baselstrasse 77, CH-4125 Riehen
www.fondationbeyeler.ch 

Du 1er octobre 2017 jusqu’au 21 janvier 2018, la Fondation Beyeler présentera une exposition complète sur l’artiste Paul Klee, l’un des peintres les plus importants du XXe siècle. Pour la première fois dans le cadre d’une exposition sera mise en lumière la relation de l’artiste à l’abstraction, exploit majeur de la peinture moderne.

Comme bien d’autres artistes européens, Paul Klee releva le défi de l’abstraction. Sa riche production compte de magnifiques exemples de renoncement à la figuration jusqu’à l’élaboration d’univers iconographiques abstraits, aussi bien dans ses travaux de jeunesse que ses oeuvres tardives. Nature, architecture, musique et signes graphiques sont, chez lui, des thèmes majeurs et récurrents. À travers les 110 oeuvres issues de 12 pays, l’exposition se concentre sur cet aspect du travail de Klee, jusqu’alors ignoré.

L’exposition rétrospective présente divers groupes d’oeuvres chronologiques à partir de 1912, permettant de suivre les étapes déterminantes du développement de l’artiste: l’exposition se déploie sur sept salles et s’ouvre sur les débuts de Klee en tant que peintre dans les années 1910 à Munich puis sur son célèbre voyage à Tunis en 1914, aborde ensuite le thème de la Première Guerre mondiale et s’intéresse à la décennie du Bauhaus de 1921 à 1931 avec ses célèbres compositions en damiers, aquarelles en couches ainsi que des oeuvres qui font référence à l’abstraction géométrique, thème dominant des années 1930. Les peintures réalisées suite aux voyages en Italie et en Égypte à la fin des années 1920 et au début des années 1930 préfigurent les signes picturaux présents dans les travaux tardifs du peintre ainsi que ses conceptions picturales qui mèneront à l’art de l’après-guerre.

Paul Klee Park bei Lu, 1938, 129 Parc près de Lu Huile et peinture à la colle sur papier journal sur jute, 100 x 70 cm Centre Paul Klee, Berne, Courtesy Fondation Beyeler

Paul Klee Park bei Lu, 1938, 129
Parc près de Lu
Huile et peinture à la colle
sur papier journal sur jute,
100 x 70 cm
Centre Paul Klee, Berne,
Courtesy Fondation Beyeler
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PICASSO. Artiste et modèle – Derniers tableaux
19 février – 1er mai 2023

Pablo Picasso  Le peintre et son modèle, 28.3.1963  Huile sur toile, 130 x 162 cm  Nahmad Collection  © Succession Picasso/2023, ProLitteris, ZurichDans le cadre des commémorations internationales du 50ème anniversaire de la disparition de Pablo Picasso (1881–1973), la Fondation Beyeler présente du 19 février au 1er mai 2023 une sélection concentrée de dix toiles tardives de l’artiste en provenance de la Collection Beyeler, de l’Anthax Collection Marx et d’autres collections privées.

Au cours de la dernière décennie de sa vie, alors qu’il est déjà âgé de plus de 80 ans, l’artiste espagnol poursuit de manière hautement productive son oeuvre audacieux. Avec une énergie irrépressible, au cours de cette ultime période il produit souvent plusieurs oeuvres par jour, faisant preuve d’une saisissante puissance créatrice, comme s’il cherchait à combattre l’âge et la diminution attenante de ses capacités de création artistiques et corporelles. Parmi les nombreux travaux des années 1960 et du début des années 1970 figure un important groupe d’oeuvres dans lesquelles Picasso se consacre au sujet de l’artiste et du modèle. Dans ces oeuvres hautement expressives, il explore d’une part l’image (de soi) de l’artiste et d’autre part l’acte et le processus de création.

Oscillant entre autoportrait, cliché et caricature, certains des tableaux donnent à voir l’artiste en chemise rayée, convoquant ainsi aussi l’image déjà élevée au rang de mythe de Picasso. Cependant, comme une forme de contre-image à son apparence personnelle, il représente souvent l’artiste sous les traits d’un homme barbu. Par ailleurs, Picasso présente le plus souvent l’artiste peignant directement devant le modèle, à l’encontre de sa propre pratique de travail – il peignait toujours de mémoire. Dans cette constellation, le modèle féminin nu, dont la représentation oscille également entre idéalisation et caricature, est exposé au regard de l’artiste. Avec ces oeuvres, la question reste ainsi ouverte de savoir dans quelle mesure Picasso exalte ou ironise sa fixation sur le nu féminin et l’appropriation visuelle du corps féminin. Son impressionnante série d’images du peintre et de son modèle soulève ainsi aussi des questions concernant le traitement personnel et artistique du corps féminin par l’homme et la possibilité de représenter ce corps dans le contexte actuel.

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Knapp 2 ½  Jahre nachdem die Marke von fünf Millionen Besuchern geknackt wurde, meldet die Fondation Beyeler schon die nächste Rekordzahl. Noch in den letzten Tagen der Ausstellung „Marlene Dumas“, die noch bis 6. September läuft, bereitet sich das Museum darauf vor, seinen 6 Millionsten Besucher zu begrüssen. Wie immer mit einem besonderen Preis: Diesmal geht es nach Sankt Petersburg, denn ab 4. Oktober steht die Fondation Beyeler mit „Auf der Suche nach 0,10 – Die letzte futuristische Ausstellung der Malerei“ und „Black Sun“ ganz im Zeichen der Abstraktion und der Russischen Avantgarde. Dabei wird mit dem berühmten Schwarzen Quadrat von Kasimir Malewitsch die rätselhafte „Ikone“ der modernen Kunst präsentiert.

 

Noch im Sommer hatte sich die Fondation Beyeler über 370‘000 Besucherinnen und Besucher der Ausstellung „Paul Gauguin“ gefreut. Noch während der Laufzeit der Retrospektive „Marlene Dumas“, die am nächsten Wochenende zu Ende geht, wird das meistbesuchte Kunstmuseum der Schweiz die Zahl von 6 Millionen Besucherinnen und Besuchern erreichen. Der/dem glücklichen sechsmillionsten BesucherIn winkt ein schöner Preis: eine Reise nach Sankt Petersburg, der Wiege der abstrakten Kunst und des Schwarzen Quadrats.

 

 

 30Bildlegende: Kasimir Malewitsch, Suprematismus: Gegenstandslose Komposition, 1915,
Öl auf Leinwand, 80 x 80 cm, Kunstmuseum Jekaterinburg, mit Unterstützung des Staatlichen Museums
und Ausstellungszentrums ROSIZO

Der Geburtsstätte der nichtgegenständlichen Kunst ist die nächste Ausstellung gewidmet. Mit „Auf der Suche nach 0,10 – Die letzte futuristische Ausstellung der Malerei“ erweist das Museum der revolutionären Ausstellung, die genau vor 100 Jahren in Sankt Petersburg stattfand, eine Hommage. Bis heute hat „0,10“ ihre mythische Aura und vor allem ihre Bedeutung für die folgenden Künstlergenerationen beibehalten. Die darin präsentierte nichtgegenständliche Kunst schlug wie ein Paukenschlag ein, mit seinem berühmten Schwarzen Quadrat sicherte sich Kasimir Malewitsch seinen Platz in der internationalen Kunstgeschichte. Vladimir Tatlin installierte erstmals sein berühmtes Eck-Konterrelief, das die Skulptur vom Sockel holte und recycelte Materialien salonfähig machte. Nur etwa ein Drittel der ursprünglichen 154 Arbeiten sowie 2 Fotos der Ausstellung, Originalposter und Exemplare des unbebilderten Katalogs überlebten jene bewegte Zeit.

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Over The River, Project for Arkansas River, State of Colorado - 1998 - 38 x 165 cm & 106,6 x 165 cm - collage in 2 partsOver The River, Project for Arkansas River, State of Colorado - 1998 - 38 x 165 cm & 106,6 x 165 cm - collage in 2 parts

Linda et Guy Pieters ont le plaisir de vous convier à l'exposition Christo and Jeanne-Claude
du 5 septembre au 5 novembre 2023
Fondation Linda et Guy Pieters
Place des Lices - 28 Boulevard Vasserot – 83990 Saint-Tropez
www.fondationlgp.com  - info(at)fondationlgp.com
+33 4 22 84 01 89
Ouvert tous les jours
de 10h à 13h30 et de 14h30 à 18h
Fermé dimanche et lundi

A l'occasion d'une exposition d'oeuvres préparatoires de l'artiste Christo dans la galerie Guy Pieters dans les années 2010, Patrick Reynolds, Directeur du Musée Privé, et Sébastien Lecca, plasticien et performer, ont eu l'opportunité de poser quelques questions à l'un des artistes les plus monumentaux et influents de notre époque.
Compte-rendu en images...https://www.dailymotion.com/video/xg2c4y 

Une interview réalisée et préparée par André-Charles Idier / andrecharles.idier(at)gmail.com

Remerciements à Christo, Guy Pieters et Isabelle Lelievre.

28/09/2024 - Brigitte Bardot fête ses 90 ans : femme libre au parcours ensoleillé exceptionnel  elle représente l’incarnation de la beauté féminine, du plaisir de vivre en créant du bonheur autour de soi. Le bonheur la défense et la préservation des animaux est une de ses préoccupations fondamentales qui s’accompagne d’un sens et d’un respect humain immense des animaux. Brigitte Bardot incarne une sensualité positive faite d’authenticité et d’audace, résolument française, elle a l’immense force l’intelligence et la bravoure de dire ce qu’elle pense, quoi qu’il lui en coûte : on aime sa voix, son naturel , en un mot sa personnalié et sa philosophie de vie. Les courriers affluent du monde entier vers Saint-Tropez pour célébrer les 90 ans d’une femme libre au parcours insensé auquel son village rendra un hommage public ce samedi 28 septembre à la Fondation Linda et Guy Pieters. - Patrick Reynolds

https://www.brigitte-bardot.fr/ 

Fondation Linda et Guy Pieters Brigitte Bardot par Ghislain DussartFondation Linda et Guy Pieters

28 Boulevard Vasserot
(Places des Lices)
83990 Saint-Tropez

+33 4 22 84 01 89
+33 4 94 43 41 33

info(at)fondationlgp.com

https://www.fondationlgp.com/en/welcome

le 28 / 09 / 2024

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Brigitte Bardot par Jacques HéripretLinda et Guy Pieters ont le plaisir de vous annoncer l'exposition

JACQUES HÉRIPRET
B.B. ET BREL DANS MON OBJECTIF

dimanche 4 septembre de 11h à 14h
5 septembre – 18 septembre 2022

Fondation Linda et Guy Pieters
Place des Lices - 28 Boulevard Vasserot – 83990 Saint-Tropez
www.fondationlgp.com  - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
+33 4 22 84 01 89

Ouvert tous les jours
de 10h à 13h30 et de 14h30 à 18h
Fermé lundi et mardi

Brigitte Bardot Photo de Jacques Héripret

La Fondation Louis Vuitton ouvrira au public le lundi 27 octobre 2014.La Fondation Louis Vuitton ouvrira au public le lundi 27 octobre 2014.

Créée à l’initiative de Bernard Arnault par Frank Gehry, la Fondation Louis Vuitton est située à Paris, sur le site du Jardin d’Acclimatation au Bois de Boulogne. La Fondation Louis Vuitton sera principalement associée à la création artistique sous toutes ses formes. Au sein de ses espaces, le public sera invité à découvrir la collection permanente composée d’œuvres appartenant à la Fondation ou à la collection Arnault ainsi que des expositions temporaires - deux par an - et des événements musicaux au sein de l’auditorium.

Pour l’ouverture de la Fondation Louis Vuitton, le programme artistique global se déroulera en trois étapes successives, d’octobre 2014 à juillet 2015, chaque étape présentant une exposition temporaire, une présentation partielle de la collection et un ensemble d’événements.

 

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Crédits : MICHAEL HALSBAND — Andy Warhol & Jean-Michel Basquiat #143 New York City, July 10 1985 (détail) — © Michael Halsband, 2023À la Fondation LOUIS VUITTON
BASQUIAT X WARHOL, À QUATRE MAINS
Du 5 avril au 28 août 2023

En 2018, La Fondation Louis Vuitton présentait l’exposition « Jean-Michel Basquiat » qui remporta un succès considérable, avec près de 700 000 visiteurs.
En 2023, du 5 avril au 28 août, la Fondation poursuit son exploration de l’oeuvre de Jean-Michel Basquiat, révélant cette fois sa collaboration avec Andy Warhol.

De 1984 à 1985, Jean-Michel Basquiat (1960-1988) et Andy Warhol (1928-1987) réalisent environ 160 toiles ensemble, « à quatre mains », dont certaines parmi les plus grandes de leurs carrières respectives. Témoin de leur amitié et de cette production commune, Keith Haring (1958-1990) parlera d’une « conversation advenant par la peinture, à la place des mots », et de deux esprits fusionnant pour en créer un « troisième, séparé et unique ».

La Fondation Louis Vuitton présente « Basquiat x Warhol, à quatre mains », l’exposition la plus importante jamais consacrée à cette oeuvre singulière. Sous le commissariat de Dieter Buchhart et Anna Karina Hofbauer, en association avec Olivier Michelon, conservateur à la Fondation Louis Vuitton, l’exposition regroupera plus de trois cent oeuvres et documents dont quatre-vingts toiles signées conjointement.

Seront aussi exposées des oeuvres individuelles de chaque artiste, ainsi qu’un ensemble de travaux d’autres personnalités (Michael Halsband, Keith Haring, Jenny Holzer, Kenny Scharf...), afin de restituer la scène artistique du Downtown new-yorkais des années 1980. A noter que des photographies, dont la célèbre série aux gants de boxe réalisée par Michael Halsband pour le poster de l’exposition de Jean-Michel Basquiat et Andy Warhol en 1985 dans la Galerie Tony Shafrazi, enrichiront le parcours.

L’exposition s’ouvre sur une série de portraits croisés, Basquiat par Warhol, Warhol par Basquiat. Elle se poursuit avec les premières collaborations. Initiées par le galeriste des deux artistes, Bruno Bischofberger, ces oeuvres profitent de la participation du peintre italien Francesco Clemente (né en 1952). Après cette quinzaine d’oeuvres à trois, Basquiat et Warhol poursuivent leur collaboration avec enthousiasme et complicité, à un rythme presque quotidien. L’énergie et la force de leurs échanges incessants conduiront les visiteurs tout au long du parcours dans la totalité des galeries de la Fondation rythmé par des oeuvres capitales telles que Ten Punching Bags (Last Supper) ou la toile de 10 mètres African Mask.

Basquiat admire Warhol comme un aîné, un personnage clé du monde de l’art, initiateur d’un langage inédit et d’un rapport original à la culture populaire. En retour, Warhol trouve avec Basquiat un intérêt renouvelé pour la peinture. Avec lui, il se remet à peindre manuellement, à très grande échelle. Les sujets de Warhol (titres de presse, logos de General Electric, de la Paramount, des Jeux Olympiques) servent de structure à de véritables séries qui scandent le parcours.

« Andy commençait la plupart des peintures. Il mettait quelque chose de très reconnaissable, le logo d’une marque, et d’une certaine façon je le défigurais. Ensuite, j’essayais de le faire revenir, je voulais qu’il peigne encore », expliquait Basquiat. « Je dessine d’abord, et ensuite je peins comme Jean-Michel. Je pense que les peintures que nous faisons ensemble sont meilleures quand on ne sait pas qui a fait quoi », estimait Warhol.

L’exposition montre ces allers-retours, un dialogue de styles et de formes qui traite aussi de sujets cruciaux comme l’insertion de la communauté africaine-américaine dans le récit états-unien, un pays dont Warhol a été un des grands fabricants d’icônes.

Crédits : MICHAEL HALSBAND — Andy Warhol & Jean-Michel Basquiat #143 New York City, July 10 1985 (détail) — © Michael Halsband, 2023

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George Segal - Girl on a Green Kitchen Chair - 1964 - plaster with painted woodLinda et Guy Pieters ont le plaisir de vous annoncer l'exposition
GEORGE SEGAL - WIM DELVOYE - BARBARA DE PAUW du 21 mai - 27 juin 2023
Si vous souhaitez assister au venissage samedi 20 mai de 11h à 14h contactez la Fondation

Fondation Linda et Guy Pieters
Place des Lices - 28 Boulevard Vasserot – 83990 Saint-Tropez
www.fondationlgp.com  - info(at)fondationlgp.com
+33 4 22 84 01 89

Ouvert tous les jours
de 10h à 13h30 et de 14h30 à 18h
Fermé dimanche et lundi

Lien vers : https://www.guypietersgallery.com/en/home

Image : George Segal - Girl on a Green Kitchen Chair - 1964 - plaster with painted wood

Plus de 65 000 visiteurs cet été à la Fondation Maeght et encore un mois d'exposition pour « Au cœur de l'abstraction » 

Depuis son ouverture au public le 2 juillet, l'exposition « Au cœur de l'abstraction » présentant plus de 100 œuvres majeures issues de la Fondation Gandur pour l'art et proposant une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980 rencontre un vif succès, à la hauteur de cette collection extraordinaire. L'exposition, présentée jusqu'au 23 octobre, a déjà attiré plus de 65 000 visiteurs en trois mois : une fréquentation conséquente et diversifiée venue également découvrir la programmation estivale proposée par la Fondation Maeght ainsi que le nouveau restaurant Sous les pins, repris en juin par Les Agitateurs, au coeur des jardins de la Fondation.

Vue de l'exposition Au cœur de l'abstraction - Collection de la Fondation Gandur pour l'art © Roland Michaud
Vue de l'exposition Au cœur de l'abstraction - Collection de la Fondation Gandur pour l'art © Roland Michaud

Riche d'une collection de plus de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght est toujours curieuse et honorée de présenter d'autres collections, parfois peu accessibles au public, comme elle l'a régulièrement fait par le passé. Depuis le 2 juillet et jusqu'au 23 octobre, elle présente ainsi plus de 100 œuvres issues de la Fondation Gandur pour l'art et propose une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980. Sous le commissariat de Yan Schubert, conservateur de la Fondation Gandur pour l'art, l'exposition retrace les différentes formes que revêt l'abstraction au sortir de la Seconde Guerre mondiale, alors que Paris redevient une place forte de la création et reprend sa place de capitale culturelle mondiale. Les œuvres de Hans Hartung, de Martin Barré, de Simon Hantaï ou de Pierre Soulages montrent ainsi l'évolution de l'art non-figuratif sur quatre décennies. Dans un parcours thématique et chronologique, l'exposition propose notamment de découvrir l'abstraction lyrique et gestuelle de Georges Mathieu, l'expressionnisme abstrait de Sam Francis ou Joan Mitchell, l'abstraction géométrique de Victor Vasarely, les œuvres cinétiques d'Alexander Calder et de Jean Tinguely, jusqu'à la remise en question de la peinture par le groupe Supports/Surfaces. Les œuvres des années 1980 témoignent par ailleurs du renouvellement que connaît l'art abstrait à cette époque, poursuivant les expérimentations intenses des années précédentes.

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Jean Paul Riopelle, Tyuk, 1971, Acrylique sur lithographies marouflées sur toile, collection privée

Jean Paul Riopelle, Tyuk, 1971, Acrylique sur lithographies marouflées sur toile, collection privée

Exposition du 1er juillet au 5 novembre 2023
Dans le cadre de « Riopelle 100 »,
année du centenaire de la naissance de l'artiste
Commissaire invitée : Yseult Riopelle

À l'été 2023, la Fondation Marguerite et Aimé Maeght proposera une exposition monographique consacrée à Jean Paul Riopelle (1923-2002), artiste canadien qui a profondément marqué l'histoire de l'art. Du 1er juillet au 5 novembre 2023, l'exposition « Jean Paul Riopelle - Parfums d'ateliers » explorera l'Œuvre de l'artiste comme il n'a jamais été vu grâce au commissariat de sa fille, Yseult Riopelle, et à de nombreux prêts exclusifs publics et privés.

Quand il arrive à Paris en 1947, Riopelle découvre le travail d'artistes internationaux tous avides comme lui de liberté et d'expérimentation. Rapidement, ses œuvres sont exposées à Paris, Londres, New York, Ottawa, Montréal et Québec. En 1962, Riopelle représente le Canada à la Biennale de Venise et reçoit un des trois prix de l'UNESCO. Dès lors, sa renommée internationale est immense pour un artiste aussi jeune. Pendant quarante ans, entre ses ateliers au Québec, à Paris, Vétheuil, Meudon, Saint-Cyr-en-Arthies, ou dans le Sud de la France et son retour au Canada en 1990, Riopelle, toujours débordant d'idées et ouvert à toutes les techniques, s'avérera un artiste unique.

Après deux expositions monographiques consacrées à Riopelle en 1970 et 1990, la Fondation Maeght propose avec « Jean Paul Riopelle - Parfums d'ateliers » une approche nouvelle, un voyage au cœur des œuvres de l'artiste, réalisées au sein des différents ateliers qu'il occupa des deux côtés de l'Atlantique. L'exposition présentera ainsi plus de 180 œuvres de Riopelle, des travaux phares aussi bien qu'inédits, proposant un cheminement à travers les techniques utilisées par l'artiste.

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La Fondation Marguerite et Aimé Maeght compte aujourd’hui parmi les grandes institutions culturelles internationales. Inaugurée le 28 juillet 1964 par André Malraux, la fondation est née de l'amitié d’Aimé Maeght et de son épouse Marguerite, principaux éditeurs et marchands d’art de l’Europe d’après-guerre, avec certains des artistes les plus importants du XXe siècle comme Joan Miró, Alexander Calder, Fernand Léger, Georges Braque, Alberto Giacometti, Marc Chagall et bien d’autres. Couple visionnaire, ils ont organisé des expositions légendaires telles que la première exposition surréaliste en 1947 autour d’André Breton et Marcel Duchamp dans leur galerie parisienne. Première fondation privée dédiée à l’art en France, la Fondation Maeght est inspirée de modèles américains, comme la fondation Guggenheim ou les collections Barnes et Phillips, découverts par les Maeght lors de leurs voyages aux États-Unis dans les années 1950.

Située à proximité du célèbre village de Saint-Paul de Vence à 25 km de Nice, la Fondation Maeght accueille chaque année plus de 100 000 visiteurs dans un ensemble architectural unique, conçu par Josep Lluís Sert, pour présenter l'art moderne et contemporain sous toutes ses formes. Peintres et sculpteurs ont collaboré avec l'architecte catalan en créant des œuvres intégrées au bâtiment et à la nature : la cour Giacometti, le labyrinthe Miró peuplé de sculptures et de céramiques, les mosaïques murales de Chagall et de Tal Coat, le bassin et le vitrail de Braque, la fontaine de Bury. L'ensemble mêle espaces intérieurs et extérieurs avec le jardin de sculptures, les cours, terrasses et patios, les salles d'exposition, la chapelle, la bibliothèque et la librairie.

Fondation Maeght
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Dates : du 30 septembre 2016 au 8 janvier 2017
Exposition organisée par le Musée Guggenheim Bilbao en collaboration avec le Grimaldi Forum Monaco

Avenida Abandoibarra, 2 48009 Bilbao
Téléphone :   +34 944 35 90 00  (horaire bureaux)   +34 944 35 90 80  (horaire d’ouverture Musée) 
Commissaire : Martin Harrison
Une exposition parrainée par Iberdrola

• Portraits, nus, paysages, tauromachie… l’exposition porte un regard neuf sur l’oeuvre de Bacon en l’abordant sous l’angle de l’influence des cultures française et espagnole sur son travail.

• Bacon a créé un nouvel univers d’images à partir de la littérature, du cinéma, de l’art et de sa propre vie, en adoptant un langage absolument singulier qui reflète la vulnérabilité humaine avec une grande crudité.

• Dans les nus de Bacon prédominent les personnages isolés saisis dans des postures quotidiennes, que le peintre transforme en déformant leur corps d’une façon presque animale, réinventant ainsi le portrait.

• Transgresseur dans sa vie et dans son oeuvre, Bacon a franchi plusieurs frontières jusqu’alors difficiles à briser et situé l’être humain face à un miroir où il peut se contempler dans toute sa crudité et sa violence.

Le Musée Guggenheim Bilbao présente Francis Bacon : de Picasso à Vélasquez, une exposition de près de 80 toiles qui réunit quelques-unes des peintures les plus marquantes et les moins connues de l’artiste britannique né en Irlande, en regard de l’oeuvre de grands maîtres français et
espagnols qui ont eu un grand ascendant sur sa carrière. Transgresseur dans sa vie et dans son oeuvre, Bacon a franchi plusieurs frontières jusqu’alors difficiles à briser et situé l’être humain face à un miroir où il peut se contempler dans toute sa crudité et sa violence.

Francis Bacon Portrait de Michel Leiris (Portrait of Michel Leiris), 1976 Huile sur toile 34 x 29 cm Centre Pompidou, Paris – Musée national d’art moderne. Centre de création industrielle, Donation de Louise et Michel Leiris, 1984 © The Estate of Francis Bacon. Tous droits réservés DACS/VEGAP, Bilbao, 2016 Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Bertrand Prévost

Francis Bacon
Portrait de Michel Leiris (Portrait of Michel Leiris), 1976
Huile sur toile 34 x 29 cm
Centre Pompidou, Paris – Musée national d’art moderne.
Centre de création industrielle, Donation de Louise et Michel Leiris, 1984
© The Estate of Francis Bacon. Tous droits réservés
DACS/VEGAP, Bilbao, 2016
Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Bertrand Prévost

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FROM CHINA TO TAÏWAN Les pionniers de l'abstraction (1955-1985) du 15/06 au 24/09/2017

Musée d'Ixelles
rue Jean Van Volsemstraat 71
B - 1050 Bruxelles
Tél. +32 (0)2 515 64 21/22
E-mail : musee[at]ixelles.be
http://www.museedixelles.irisnet.be/ 

Dans la Chine des années 1930 imprégnée par la tradition, un noyau de peintres modernistes voit le jour grâce à l’enseignement dispensé à l’école des Beaux-Arts de Hangzhou, dont certains professeurs ont étudié en Europe. Les trois artistes considérés aujourd’hui comme étant les pionniers de l’art abstrait chinois y font leurs classes : Zao Wou-Ki (1920-2013) et Chu Teh-Chun (1920-2014), y étudient de 1935 à 1941, puis y enseignent dès l’année suivante. Lee Chun-Shan (1912-1984) y est professeur de 1937 à 1946.

En 1949, après les huit années d’invasion japonaise (1937-1945) surviennent la défaite du Kuo­mintang et la prise du pouvoir par Mao Zedong : plus d’un million de Chinois quittent alors le continent pour aller à Taïwan, où le gouvernement de Chang Kai-Chek s’est replié. Tandis que Zao Wou-Ki a quitté la Chine un an plus tôt pour s’établir à Paris, Chu Teh-Chun et Lee Chun-Shan s’installent à Taipei en 1949.

En 1950, redoutant un conflit avec la Chine occidentale, les États-Unis font de l’île un protectorat américain. Au travers des ouvrages disponibles à la bibliothèque américaine de Taipei, les artistes découvrent par eux-mêmes l’art moderne occidental, de l’impressionnisme à l’art abstrait de l’École de New York, alors en pleine effervescence.

Zao-Wou-Ki nous deux 1955 huile sur toile 38 x 46 cm Le Havre Musée d'Art Moderne Andre Malraux © SABAM 2017
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Georges Braque
13 juin 2014 – 21 septembre 2014
Musée Guggenheim Bilbao


www.guggenheim-bilbao.es

Organisée à l’occasion du 50 anniversaire de la mort de Georges Braque (Argenteuil-sur- Seine, 1882-Paris, 1963), cette grande rétrospective couvre toutes les étapes de la trajectoire de l’un des artistes majeurs du XX ème siècle Créateur, avec Picasso et Juan Gris, du Cubisme et inventeur des papiers collés, Braque a plus tard recentré son travail sur l’exploration méthodique de la nature morte et du paysage. Considéré comme le peintre français par excellence, il a été à la fois dépositaire de la tradition classique et précurseur de l’abstraction d’après-guerre.



 

Georges BraqueGuitare, verre et fruit sur le buffet, de´but 1919Huile sur toile 81 x 100,3 cmSolomon R. Guggenheim Museum, New York

 Georges Braque
Guitare, verre et fruit sur le buffet, de´but 1919
Huile sur toile 81 x 100,3 cm
Solomon R. Guggenheim Museum, New York
Collection Thannhauser, Donation, Justin K. Thannhauser Foundation, par échange 81.2821

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Georges Braque
Dates exposition : 13 juin – 21 septembre 2014


Commissaire : Brigitte Leal, directrice adjointe du Centre national d’art moderne, Centre Pompidou

Exposition organisée par le Musée Guggenheim Bilbao et la Réunion des Musées Nationaux - Grand Palais, en collaboration avec le Centre national d’art et de culture Georges Pompidou, Paris

Mécénat : Fundación BBVA

La Fondation BBVA a pour mission d’apporter son soutien à la production d’évènements et à l’innovation, que ce soit dans les domaines de la recherche fondamentale, de l’environnement, des nouvelles technologies, de la biomédecine ou de la culture. Notre satisfaction est donc grande d’avoir pu contribuer à ce que le public espagnol et les nombreux visiteurs étrangers qui visitent le Musée Guggenheim
Bilbao puissent contempler cette extraordinaire rétrospective consacrée à Georges Braque, un des pères du cubisme et, sans nul doute, l’un des grands créateurs du XXe siècle.

 Nature morte à la nappe rouge, 1934Huile sur toile81 x 101 cmCollection particulière© Georges Braque, VEGAP, Bilbao, 2014Photo © Laurens / Leiris SAS Paris

 Nature morte à la nappe rouge, 1934
Huile sur toile
81 x 101 cm
Collection particulière
© Georges Braque, VEGAP, Bilbao, 2014
Photo © Laurens / Leiris SAS Paris

Le maître français dont on a célébré le cinquantenaire de la mort en août dernier n’est pas seulement un mythe. Artiste dont la figure dépasse une oeuvre toute entière tournée vers l’exploration de nouvelles voies plastiques, Georges Braque était véritablement un auteur qui cherchait à “troubler” par le moyen de l’art, entendu comme “une blessure qui se fait lumière”.

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Gérard fromanger
CENTRE POMPIDOU
17 février - 16 mai 2016
Galeries du musée, niveau 4
www.centrepompidou.fr

Le Centre Pompidou consacre une exposition à l’oeuvre de Gérard Fromanger. Entre 1964 et 2015, à travers un parcours thématique composé d’une cinquantaine de peintures, de deux sculptures, d’une dizaine de dessins et d’un film, dans les espaces réunis de la galerie du musée et de la galerie d’art graphique, cette rétrospective inédite invite le public à découvrir les différentes expressions d’une dualité au coeur de l’art de Gérard Fromanger : la passion picturale et le souci du monde.
Le nom de Gérard Fromanger, sitôt prononcé, convoque pêle-mêle des images et des références, des thèmes et des figures : mai 68, des silhouettes rouges, des scènes de rue, Prévert, Godard, Deleuze, Foucault, le photoréalisme, la Figuration narrative, la peinture et la politique.

Gérard Fromanger Centre Pompidou

Le coeur fait ce qu’il veut, Peinture-Monde,
Blanc de titane, 2015
Acrylique sur toile, 200 x 300 cm
collection de l’artiste
Photo : © Centre Pompidou, Bernard Prévost

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12.09.2020 — 03.01.2021
Gérard Fromanger
Annoncez la couleur !
Musée des Beaux Arts, Caen, France

Le Château
14000 Caen — France
T +2 31 30 47 70

www.mba.caen.fr

Particulièrement attaché à la Normandie où il a grandi, Gérard Fromanger est l’un des plus grands représentants du courant de la Figuration narrative. Depuis les événements de mai 68 auxquels il prend une large part en co-fondant notamment l’Atelier populaire des Beaux-Arts de Paris, il s’affirme comme un artiste engagé, ancré « dans le monde ». « Comme tous les artistes, j’étais sorti de mon atelier et le souffle, la beauté de la rue m’ont saisi. Tout à coup j’ai compris le pouvoir de la rue. Elle peut changer le monde. La rue et les gens sont devenus mes thèmes, ils sont entrés dans mes tableaux. » Depuis un demi-siècle Gérard Fromanger décline une stratégie de la couleur fondée sur la quadrichromie en conjuguant les composants de la photographie avec l’impérieuse nécessité de s’impliquer dans son époque. Il revisite à travers ses séries les grands genres de la peinture – scènes d’histoire, paysages, portraits. L’exposition du musée des Beaux-Arts révèle, à travers une soixantaine d’œuvres créées de 1966 à 2018, à quel point ce peintre de la rue et des passions joyeuses, résolument libre, a su développer un art toujours novateur, à l’écart de tout formalisme.

L’exposition bénéficie du commissariat de Claude Guibert, cinéaste et critique d’art.

Gérard Fromanger Annoncez la couleur ! Musée des Beaux Arts, Caen, France

GIACOMETTI-CHADWICK, FACING FEAR
22 septembre 2018 - 6 janvier 2019
Museum de Fundatie, Zwolle

Du 22 septembre 2018 au 6 janvier 2019, le musée néerlandais Museum De Fundatie organise l’exposition Giacometti-Chadwick, Facing Fear. Les sculptures d’Alberto Giacometti (1901-1966) et de Lynn Chadwick (1914-2003) incarnent la désillusion et l’angoisse qui ont profondément marqué l’Europe pendant la période de la Guerre Froide.
Grâce à ces deux artistes, l’art de la sculpture européenne s’est définitivement détourné du romantisme et de l’esthétique d’avant-guerre pour atterrir de plain-pied dans la réalité crue. Alors que Giacometti réduisait l’homme à son apparition la plus lapidaire et dépouillée, Chadwick créait ses représentations primitives et puissantes de l’Homme et de l’Animal. L’exposition au Museum de Fundatie comprend plus de 150 oeuvres et offre pour la première fois une occasion unique de comparer l’art de Giacometti à celui de Chadwick.

GIACOMETTI-CHADWICK, FACING FEAR
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LUCIEN CLERGUE
Grand Palais, Galeries nationales
Les premiers albums
14 novembre 2015 - 15 février 2016

Lucien Clergue, les premiers albums
Lucien Clergue (1934-2014) n’a pas vingt ans lorsque, en 1953, à la sortie d’une corrida à Arles, il présente ses premières photos à Pablo Picasso. Ce sera le point de départ de vingt ans d’amitié. C’est grâce à la découverte d’albums de travail, à la mort du photographe, que l’on peut comprendre la fulgurance et la noire poésie qui ont séduit Picasso et plus tard Jean Cocteau. Les sept catalogues dont les échantillons de tissus ont été remplacés par des planches-contacts, présentent les thèmes les plus radicaux de Lucien Clergue : charognes, ruines, saltimbanques et pierrots mélancoliques, très vite, sa série sur les taureaux qui apporte un regard inédit sur la corrida, puis les premiers nus.
Élevé par sa seule mère, qui le pousse à devenir violoniste, Lucien Clergue a dix ans lorsque les bombardements d’août 1944 détruisent leur maison. Sa mère tombera malade et décèdera peu de temps après.
Sa photographie se situe d’emblée dans le champ conceptuel, loin de la photographie humaniste française alors en cours. Son adolescence douloureuse et l’omniprésence de la mort transparaissent dans ses premières recherches. C’est plus tard, pour retenir ses camarades qui le trouvent trop dramatique, qu’il commence timidement à faire des nus.

clergue grand palais
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Gustave Le Gray, Grande Vague (détail), 1857,  papier albuminé d’après négatif sur plaque de verre au collodion photo © BnF - Département des Estampes et de la photographie
Gustave Le Gray, Grande Vague (détail), 1857,
papier albuminé d’après négatif sur plaque de verre au collodion photo © BnF - Département des Estampes et de la photographie

Noir & Blanc : une esthétique de la photographie.
Collection de la Bibliothèque nationale de France

nouvelles dates : l' exposition est reportée jusqu'à nouvel ordre conformément aux directrices gouvernementales

Grand Palais
Galerie Sud-Est

Exposition coorganisée par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais et la Bibliothèque nationale de France.

« Le monde en noir et blanc recèle quelque chose de mystérieux qui ne peut être décrit et qui est formidablement séduisant. Est-ce faux de penser que cela touche nos coeurs d’autant plus fort que nous vivons à une époque où tout peut être photographié en couleurs ? » Shoji Ueda.

Cette exposition présente des chefs-d’oeuvre en noir et blanc des collections photographiques de la Bibliothèque nationale de France (BnF), exceptionnellement réunis pour l’occasion. Nadar, Man Ray, Ansel Adams, Willy Ronis, Helmut Newton, Diane Arbus, Mario Giacomelli, Robert Frank, William Klein, Daido Moriyama, Valérie Belin… Les grands noms de la photographie française et internationale sont réunis dans un parcours qui embrasse 150 ans d’histoire de la photographie noir et blanc, depuis ses origines au XIXe siècle jusqu’à la création contemporaine.

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Expressionnisme Abstrait L'EXPOSITION
3 février 2017 – 4 juin 2017

GUGGENHEIM BILBAO

À une époque trouble entre la Seconde Guerre Mondiale et les années free jazz bercées par la poésie de la génération beat, des artistes comme Pollock, Rothko et De Kooning mirent à mal les conventions en vigueur afin d’inaugurer une nouvelle étape de confiance vis à vis de la peinture. L’Expressionnisme Abstrait est le fruit de l’expérience commune d’une série d’artistes qui vivaient à New York en 1940 et, qui alors même qu’ils étaient amis et compagnons, avaient tous un style à part entière. Contrairement à ce qui s’était produit pour les précédents mouvements des Cubisme et Surréalisme, l’Expressionnisme Abstrait ne semblait pas adopter une formule figée. Cette diversité mit à l’honneur la liberté d’expression individuelle et artistique de chacun d’entre eux.

L’Expressionnisme Abstrait marqua un moment clé dans l’évolution de l’art du XXe siècle. Étonnamment, aucune grande exposition n’a été consacrée en Europe à ce mouvement depuis 1959. Avec plus de 130 peintures, sculptures et photographies issues de collections publiques et privées du monde entier, cette exposition ambitieuse comprend les chefs d’œuvre des artistes nord-américains les plus talentueux rattachés à  ce mouvement, comme Willem de Kooning, Arshile Gorky, Philip Guston, Franz Kline, Joan Mitchell, Robert Motherwell, Barnett Newman, Jackson Pollock, Mark Rothko, Aaron Siskind, David Smith et Clyfford Still, ainsi que d’autres figures moins connues mais tout aussi révélatrices.

Cette sélection prétend réévaluer l’Expressionnisme Abstrait, et souligner que même s’il a été perçu comme un mouvement unifié, ce fut un phénomène extrêmement complexe, pluriel et polyédrique. C’est aussi l’occasion de mettre à mal l’idée selon laquelle l’Expressionnisme Abstrait avait uniquement rayonné dans la ville de New-York, ayant aussi inclus des artistes de la Côte Ouest comme Sam Francis, Mark Tobey et Minor White.

 

Jackson Pollock Masculin et féminin (Male and Female), 1942–43 Huile sur toile 186,1 x 124,3 cm Philadelphia Museum of Art. Donation de M. et Mme H. Gates Lloyd, 1974 Photo : Philadelphia Museum of Art © The Pollock-Krasner Foundation VEGAP, Bilbao, 2016 

Jackson Pollock
Masculin et féminin (Male and Female), 1942–43
Huile sur toile
186,1 x 124,3 cm
Philadelphia Museum of Art. Donation de M. et Mme H. Gates Lloyd, 1974
Photo : Philadelphia Museum of Art
© The Pollock-Krasner Foundation VEGAP, Bilbao, 2016

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Le Musée Guggenheim Bilbao présente le 22 avril au 23 octobre 2016
Panoramas de la ville : L’École de Paris, 1900–1945

Musée Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2
48009 Bilbao
Téléphone :   +34 944 35 90 00  (horaire bureaux)   
+34 944 35 90 80  (horaire d’ouverture Musée)  
http://www.guggenheim-bilbao.es/
Email: informacion(at)guggenheim-bilbao.es  

• Première exposition d’oeuvres provenant de la Collection du Musée Guggenheim de New York depuis le renouvellement de l’Accord de Gestion du Musée Guggenheim Bilbao souscrit avec la Solomon R. Guggenheim Foundation en décembre 2014

• Commissaire : Lauren Hinkson, conservatrice adjointe des Collections du Solomon R. Guggenheim Museum de New York

• L’accrochage approfondit la connaissance des principaux mouvements de l’art moderne, du Cubisme à l’Orphisme et au Surréalisme, ainsi que des artistes inscrits dans la mouvance appelée École de Paris.

• C’est à Paris que Picasso et Braque ont bouleversé les conventions en peinture, que Delaunay a transposé ses visions en couleurs harmonieuses, que Kandinsky a ouvert de nouvelles voies à l’abstraction et que Brancusi a réinventé la façon de présenter la sculpture dans l’espace.

• L’exposition présente quelques-unes des peintures et des sculptures les plus influentes du siècle dernier, oeuvres de créateurs comme Brancusi, Braque, Delaunay, Modigliani ou Picasso.

Juan Gris Journal et compotier, mars 1916 Huile sur toile 46 x 37,8 cm Solomon R. Guggenheim Museum, New York, Donation, Legs de Katherine S. Dreier 53.1341

Juan Gris
Journal et compotier, mars 1916
Huile sur toile 46 x 37,8 cm
Solomon R. Guggenheim Museum, New York, Donation, Legs de Katherine S. Dreier 53.1341

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ING corporate
Bruxelles • octobre 2016

Guggenheim Full Abstraction
ING Art Center 
Place Royale 6 – 1000 Bruxelles
19 octobre 2016 – 12 février 2017

Du 19 octobre 2016 au 12 février 2017, l’ING Art Center, à Bruxelles, présentera un impressionnant ensemble d’oeuvres d’art issues des collections Peggy Guggenheim à Venise et Solomon Guggenheim à New York. Parmi celles-ci, de nombreux chefs d’oeuvre représentatifs des courants de l’abstraction expressionniste d’après-guerre américain et européen, datant des années 1940 jusqu’aux années 1960, et surtout bon nombre d’oeuvres d’artistes rarement exposés en Belgique.

L’exposition retrace l’évolution de la scène artistique des deux côtés de l’Atlantique pendant trois décennies, des années 1940 aux années 1960, à travers les musées de deux collectionneurs américains, Peggy Guggenheim et Solomon Guggenheim. Placé sous la direction de Luca Massimo Barbero, conservateur adjoint de la Collection Peggy Guggenheim de Venise, l’événement est co-organisé par l’ING Art Center et la Fondation Solomon R. Guggenheim de New York. Elle offrira aux visiteurs une occasion exceptionnelle de voir associées des pièces des musées de Solomon et de sa nièce Peggy, pour une vision transversale sur l’oeuvre de certaines des plus grandes figures de l’art du XXe siècle.

Robert Motherwell Easter Day 1971

Robert Motherwell Easter Day 1971

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Affiche Gustave Caillebotte FONDATION PIERRE GIANADDA MARTIGNY SUISSEGustave Caillebotte,
impressionniste et moderne
18 juin 2021 – 21 novembre 2021
Tous les jours de 9h00 à 19h00

L’exposition à laquelle nous invitent la Fondation Pierre Gianadda et Daniel Marchesseau, commissaire, a été reportée d’un an en raison de la pandémie qui nous a tous frappés. Elle sera présentée du 18 juin au 21 novembre 2021.

La Fondation Pierre Gianadda consacre sa grande exposition d’été au peintre trop mal connu, Gustave Caillebotte (1848-1894). Organisée avec Daniel Marchesseau, conservateur général honoraire du
Patrimoine, elle clôt le cycle consacré à l’impressionnisme commencé à Martigny en 1993 sous la direction du professeur Ronald Pickvance (1930-2017) avec Edgar Degas.

Cet hommage à Gustave Caillebotte, en forme de rétrospective, réunit quelque 90 toiles peintes entre 1870 et 1894 : un ensemble rare révélé au public grâce aux prêts essentiels consentis par plusieurs
musée européens : le Musée d’Orsay, Paris, le musée Marmottan Monet, Paris, le musée des Beaux-Arts, Rennes, le musée des Beaux-Arts, Rouen, le Petit Palais, Genève, la Fondation de l’Hermitage, Lausanne, le musée Van Gogh, Amsterdam, et le Museum Barberini, Potsdam ainsi que d’importantes collections privées européennes. Cette sélection souligne l’audace et la dualité picturale de l’impressionniste parisien le plus secret, disparu prématurément à l’âge de 45 ans en laissant un corpus d’oeuvres de moins de cinq cents toiles.

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Du 11 octobre 2019 au 01 mars 2020, le Musée d’Art Moderne présente à l’occasion de sa réouverture, une rétrospective du peintre Hans Hartung (1904-1989).
L’exposition porte un nouveau regard sur l’ensemble de l’oeuvre de cet artiste majeur du XXe siècle et sur son rôle essentiel dans l’histoire de l’art. Hans Hartung fut un précurseur de l’une des inventions artistiques les plus marquantes de son temps : l’abstraction.

Hans Hartung
La Fabrique du geste
11 octobre 2019 - 01 mars 2020
Au Musée d’Art Moderne de Paris
12-14 avenue de New York 75116 Paris
http://www.mam.paris.fr/
+ d’infos : http://bit.ly/2pljzt9
Billets coupe-file : https://bit.ly/2lY4Oul

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Communiqué de presse
Nice, le jeudi 10 mars 2016

Musée d'Art Moderne et d'Art Contemporain de Nice (MAMAC)

Prise de fonctions d'Hélène Guenin, la nouvelle directrice

Le poste de directeur du MAMAC étant vacant à la suite du départ à la retraite de Gilbert Perlein, un appel à candidature a été lancé le 14 avril 2015. Suite à cet appel, 37 candidatures ont été déposées. Un jury s'est tenu, en présence de représentants de la Ville de Nice et du Ministère de la Culture, avec la participation de Jean-Jacques Aillagon, ancien ministre de la Culture, et a retenu la candidature d'Hélène Guenin qui a pris ses fonctions au musée le lundi 7 mars 2016.
Christian Estrosi, Président de la région Provence Alpes-Côte d'Azur, Maire de Nice :
« Je souhaite la bienvenue à Hélène Guenin que je suis très heureux d'accueillir dans notre Musée d'Art Moderne et d'Art Contemporain. Inauguré en 1990, le MAMAC participe au fort rayonnement culturel de la Ville de Nice grâce à des expositions temporaires de qualité et à ses riches collections de Nouveau Réalisme européen et de Pop'Art américain. L'expertise et l'expérience d'Hélène Guenin contribueront, à la tête de l'équipe en place, à valoriser notre fonds, à conforter la place de premier ordre du MAMAC au rang des incontournables institutions culturelles.»

helene guenin

Hélène Guenin

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 21 juin – 29 septembre 2014
Musée Matisse
164, avenue des Arènes de Cimiez - Nice
33 (0)4 93 81 08 08

www.musee-matisse-nice.org
Ouvert tous les jours de 10h à 18 h sauf le mardi et certains jours fériés.
Entrée libre

A la suite de la célébration de ses cinquante ans en 2013 avec l’exposition Matisse, la musique à l’œuvre, le musée Matisse apporte un nouvel éclairage sur le lien de Matisse avec Nice, à travers le thème des odalisques, ensemble d’œuvres connues sous le terme générique de « période niçoise » (1917 - 1929), dont des échos ponctuels se retrouvent tout au long de son œuvre, et cela par une nouvelle exposition intitulée Henri Matisse : Nice, le rêve des odalisques.

Henri MATISSE - Odalisque au coffret rouge, 1927 Huile sur toile Musée Matisse, Nice. Legs de Madame Henri Matisse, 1960 

Henri MATISSE - Odalisque au coffret rouge, 1927 Huile sur toile Musée Matisse, Nice. Legs de Madame Henri Matisse, 1960 © Succession H. Matisse Photo : Archives Henri Matisse / D.R.

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Hermann Nitsch (1938-2022), Sans titre, 2020, acrylique sur toile, 200 x 300 cm Galerie RX Paris, Paris - New York © Hermann Nitsch, ADAGP, 2023, Paris / Photo : Jorit AustHERMANN NITSCH HOMMAGE

 MUSÉE DE L'ORANGERIE

11 Octobre 2023 - 29 Janvier 2024

La Galerie RX est heureuse de vous annoncer la prochaine exposition ( https://www.galerierx.com/fr )

d'Hermann Nitsch au Musée de l'Orangerie.

Galerie RX is delighted to announce Hermann Nitsch's forthcoming exhibition at the Musée de l'Orangerie.

Exposition du 11 Octobre 2023 au 29 janvier 2024 -  Exhibition from October 11, 2023 to January 29, 2024

Contrepoint #11 - Counterpoint #11

Considéré comme un artiste majeur du mouvement de l'Actionnisme viennois dont il fut l'un des fondateurs, Hermann Nitsch, né en 1938 à Vienne, est décédé en avril 2022 à Mistelbach (Autriche), où il vivait et travaillait. Reconnu internationalement comme le maître de la performance autrichienne, l'artiste a développé un œuvre puissamment expressif, empruntant à la dramaturgie religieuse pour développer un art total culminant chaque année depuis les années 1950 dans ses « Orgien Mysterien Theater », où il invitait amis et publics à six jours de festivités et de performances ininterrompues.

Durant les dernières années de sa carrière, Hermann Nitsch a développé une peinture d'une grande vitalité, de plus en plus colorée, toujours étroitement liée à ses actes performatifs et aux lieux dans lesquels elle intervient. Fasciné par les Nymphéas de Monet, auxquels il rendait hommage au musée de l'Orangerie lors chacun de ses séjours à Paris, l'artiste viennois a été invité avant sa mort à venir dialoguer avec ce chef d'œuvre de l'impressionnisme, dont il a souligné la proximité qu'il y voyait avec les enjeux de sa propre pratique : « dans mes performances, ma peinture expressive et religieuse est devenue un drame achevé, une dramaturgie analytique.

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Exposition Hippolyte Hentgen
Le bikini invisible
17 mai – 10 novembre 2019
Galerie contemporaine du MAMAC
Place Yves Klein – Nice
http://www.mamac-nice.org/ 


Du 17 mai au 10 novembre 2019, la Ville de Nice vous invite à découvrir l’exposition « Le bikini invisible » de Lina Hentgen et Gaëlle Hippolyte à la galerie contemporaine du MAMAC, une proposition ponctuée de grandes toiles, films, sculptures et installations. Entre esprit fantasmatique et résurgence pop, cet univers évoque un décor de fiction, en attente de son activation.

Le bikini invisible… Le titre sonne comme l’amorce d’une improbable enquête qui nous mènerait sur les traces d’un bikini égaré en des lieux exotiques. A moins qu’il ne s’agisse d’une affaire d’attentat à la pudeur dans une cité balnéaire écrasée sous le soleil d’été ou d’un superpouvoir accordé à un banal accessoire. L’intrigue qui s’esquisse là semble jouer des réminiscences du polar de gare, autant que des bandes dessinées qui bercent l’enfance ou des comics underground. Disséminées dans l’espace, les créations d’Hippolyte Hentgen surgissent comme autant d’indices et d’amorces narratives qui alimentent le mystère. Des mains, jambes et pieds démesurés, désincarnés de tout corps ou personnage, flottent dans l’espace, se déploient au sol ou pendent, flapis, sous leur propre poids. Leurs couleurs outrées, les ongles nacrés et la préciosité de leur présentation sur des portants cuivrés, désamorcent l’inquiétude possible de ces corps-ilots flottants. Le fantasque et le burlesque l’emportent. Ces membres à l’existence autonome, grotesques par leurs formes et leur abandon mou, précieux par le soin des coutures et des détails, semblent en effet tout droits sortis de cartoons, comme échappés des personnages aplatis, étirés et pulvérisés avec jubilation par Tex Avery. Ces formes fondues, émancipées du destin bidimensionnel que leurs réservent dessins d’animations et bandes dessinées, jouent également de réminiscences pop. Comment ne pas penser aux sculptures molles de Claes Oldenburg ou aux silhouettes de vinyle de ses contemporaines Teresa Burga ou Kiki Kogelnik, face à cette parade de corps informes et d’objets triviaux (cigarettes, journaux). Cette évocation pop est renforcée par la présence de tentures mêlant Pin-up plantureuse et onomatopées.

Au centre de l’espace et au cœur de l’intrigue, une grande baigneuse allongée dévoile son corps sans visage. Vêtue du fameux bikini et bottée, cette créature évoque les jambes démesurées des héroïnes sexy des comics des années 1960-70, notamment les amazones de Trina Robbins. Contrariant cette planéité, des mains potelées, voire hypertrophiées dansent dans l’espace, animant des écrans de leurs ballet de doigts. Ces mains pataudes de Mickey miment une icône de la danse contemporaine : le Hand Movie de la chorégraphe Yvonne Rainer, filmé en 1966 par William Davis.

Hippolyte Hentgen joue de ce métissage de langages, de cette hybridation d’univers non destinés à se côtoyer. Dans son musée imaginaire, les productions de l’avant-garde, la bande dessinée, le dessin d’animation, l’illustration populaire ou le dessin de presse se mêlent sans complexes, faisant surgir un univers fantasque et jubilatoire affranchi des scories des hiérarchies de genres. L’artiste Arnaud Labelle-Rojoux parle à cet égard de phénomène de « pollinisation » à partir de ce qui constitue notre culture visuelle. Dans cet univers fécond où se métissent le grotesque et le raffinement, l'organique et l'inorganique, le dessin se déploie dans tous ses états.

Ce bikini invisible composé au MAMAC est bien sûr un clin d’œil acidulé et débridé à la Riviera, à ses corps alanguis et à ses stéréotypes ; un prélude à une fiction que le visiteur est libre de construire. C’est aussi une actualisation polissonne, effrontée, follement pop et délibérément malicieuse des œuvres des grandes figures qui ponctuent les collections du MAMAC.

Hippolyte Hentgen, B-R-E-E-K, 2018 Assemblage de tissus cousus et imprimés 250 x 238 cm © A. Mole Courtesy Semiose, Paris.
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Hokusai Inspiration and Influence MFA BOSTONAnn and Graham Gund Gallery (Gallery LG31)
through July 23, 2023

Thanks to the popularity of the instantly recognizable Great Wave—cited everywhere from book covers and Lego sets to anime and emoji—Katsushika Hokusai (1760–1849) has become one of the most famous and influential artists in the world. This major exhibition takes a new approach to the work of the versatile master, pairing more than 100 of his woodblock prints, paintings, and illustrated books from the MFA’s renowned collection with more than 200 works by his teachers, students, rivals, and admirers. These unique juxtapositions demonstrate Hokusai’s impact through the centuries and around the globe—seen in works by, among others, his daughter Katsushika Ōi, his contemporaries Utagawa Hiroshige and Utagawa Kuniyoshi, the 19th-century French Japonistes, and modern and contemporary artists including Loïs Mailou Jones, John Cederquist and Yoshitomo Nara.

“Hokusai: Inspiration and Influence” is sponsored by UNIQLO USA. Generously supported by the MFA Associates / MFA Senior Associates. Additional support from the Jean S. and Frederic A. Sharf Exhibition Fund, the Museum Council Artist in Residency Program Fund, the Dr. Terry Satsuki Milhaupt Fund for Japanese Textiles, the MFA Associates / MFA Senior Associates Exhibition Endowment Fund, the Patricia B. Jacoby Exhibition Fund, and the Alexander M. Levine and Dr. Rosemarie D. Bria-Levine Exhibition Fund.

 

 

Museum of Fine Arts, Boston
465 Huntington Avenue
Boston, MA 02115
617-267-9300
March 26–July 16, 2023

https://www.mfa.org/

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Fondation Hartung-Bergman
 

Fondation Hartung-BergmanCréée en 1994 à Antibes dans la villa-atelier d’Hans Hartung et Anna-Eva Bergman, figures incontournables de l’art moderne, la Fondation Hartung-Bergman sera inaugurée en mai 2022 après deux ans de chantiers de construction et d’aménagement. Ceux-ci ont permis d’inventer des modalités de visites dans ses espaces et d’ouvrir enfin au public cet ensemble architectural remarquable inscrit au patrimoine du 20e siècle.

Ces nouveaux espaces de visite comprennent désormais un bâtiment d’accueil avec boutique et restauration rapide, un parc d’oliviers, des terrasses, des galeries d’expositions, des ateliers réhabilités, des salles de projection. Le 7 mai 2022 sera inaugurée dans ce cadre la première exposition in situ « Les archives de la création ».

En quelques chiffres, ce sont désormais 1500 mètres carrés de jardin, 500 mètres carrés de terrasse, et 600 mètres carrés de surfaces d’exposition, médiation et d’atelier qui sont accessibles et offrent une immersion dans un lieu extraordinaire par la variété de ses patrimoines : ses bâtiments, sa végétation, ses oeuvres, ses archives. Le tout a été adapté en vue de pouvoir accueillir au mieux le public PMR.

Mais la Fondation inaugure aussi en 2022 son centre de recherche dans la partie « villa ». Il conduira des programmes par cycle de deux ans. Le premier sera consacré à la thématique « sciences et abstractions » ; il permettra aux chercheurs de bénéficier de conditions de travail exceptionnelles inspirées par les institutions les plus soucieuses d’une réception idéale, sinon « utopique », comme le Getty Center ou la Villa Médicis qui ont servi de sources d’inspiration.

La Fondation qui n’ouvrait ses portes au public que de manière exceptionnelle, exclusivement sur réservation et sous forme de visite guidée, et qui travaillait surtout à la promotion de ses artistes hors-les-murs, connaît ainsi, après 28 ans d’innombrables projets, une toute nouvelle phase de son existence.

Ainsi, grâce à la construction d’un nouveau bâtiment d’accueil conçu par l’architecte Cristiano Isnardi et ces abondants travaux, la Fondation pourra présenter chaque année une grande exposition temporaire consacrée à la vie et l’oeuvre d’Anna-Eva Bergman et de Hans Hartung.
Du 11 mai au 30 septembre 2022, l’exposition inaugurale « Les archives de la création » constitue une plongée dans les secrets de leur production.

Enfin, la Fondation est soucieuse de son implantation locale et, à ce titre, proposera un kiosque « Chez Marcelle » tenu par celle qui est depuis 1973 cuisinière dans les lieux, d’abord auprès de Hartung et Bergman et aujourd’hui pour le compte de la Fondation. Elle servira sa spécialité de la région faite maison : la fameuse pissaladière.

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Emmanuelle Le BailINTERVIEW D’ EMMANUELLE LE BAIL
Commissaire d’exposition, directrice du musée des Avelines Saint Cloud

Émile Verhaeren, poète belge flamand d’expression française, a été une figure éminente de la scène artistique et littéraire au tournant des XIXe et XXe siècles ; il est pourtant injustement oublié en France.
Comment est née l’idée de rendre hommage à ce grand poète et critique d’art belge?

Le musée des Avelines présente une exposition exceptionnelle dédiée au poète Émile Verhaeren qui a vécu à Saint-Cloud jusqu’à son accident tragique en novembre 1916 en gare de Rouen. La précédente exposition consacrée à Verhaeren, qui a fait date en France, avait été organisée par le musée d’Orsay en 1997.
Très appréciée en France jusqu’après-guerre, la poésie de Verhaeren tombe lentement en désuétude et la figure du poète s’efface de nos mémoires. Histoire de goûts et de modes. Le musée des Avelines, qui s’attache à mettre en valeur les figures artistiques marquantes de son territoire, souhaite rendre hommage à la vitalité de ce poète, chantre du vers libre et critique d’art prolifique.

Emmanuelle Le Bail,
© Gilles Plagnol / Ville de Saint-Cloud

L’exposition, montée en co-commissariat avec Nicole Tamburini, historienne de l’art, illustre l’acuité de l’écriture et de l’oeil de Verhaeren, passeur d’art. Il fut l’ami fidèle de nombreux artistes de son temps, des écrivains bien sûr comme Stefan Zweig, Rainer Maria Rilke ou Romain Rolland mais aussi des peintres, sculpteurs ou graveurs qui inventèrent un art engagé et total. Ceux que l’on ne nomme pas encore postimpressionnistes, pointillistes et symbolistes mais qui impulsent un vent de contestation et de liberté sur l’art.
Critique d’art mais aussi collectionneur, Verhaeren a soutenu passionnément, fiévreusement, les avant-gardes de son époque, contre les critiques virulentes et les railleries populaires. Sa poésie est empreinte d’un grand souffle et d’une énergie vitale, prônant la naissance d’une civilisation nouvelle basée sur la recherche d’une justice sociale qui interpelle le lecteur aujourd’hui encore, plus d’un siècle après sa création.
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Ivresse de l'encre De Lassaâd Metoui musée d'histoire de NantesJohanna Rolland, Maire de Nantes et Présidente de Nantes Métropole
et le Conseil municipal de Nantes et le Conseil métropolitain de Nantes Métropole
Fabrice Roussel, Président de la SPL Le Voyage à Nantes
Jean Blaise, Directeur général de la SPL Le Voyage à Nantes
Bertrand Guillet,   Et l'équipe du musée d'histoire de Nantes

ont le plaisir le plaisir de vous convier à l'ouverture de l'exposition

Ivresse de l'encre De Lassaâd Metoui

BIOGRAPHIE DE LASSAÂD METOUI

Samedi 6 juillet, dès 10h (entrée libre)

À partir de 19h, La Nuit du VAN, le lancement festif de l'édition estivale du Voyage à Nantes donne lieu à une programmation singulière.

À cette occasion, l'accès au musée d'histoire de Nantes est également en entrée libre de 19h à 22h. Et les douves du château sont une étape importante de la soirée avec, à partir de 21h30, un concert des Nantais de La LØMA, une carte blanche à Noémie Goudal, qui convie Baptiste Lagrave à une expérimentation musicale en live afin de créer la bande-son de ses deux nouveaux films, et un DJ set de Yuzu.

Voir le programme de La Nuit du VAN.

Château des ducs de Bretagne – musée d'histoire de Nantes

4 place Marc Elder - 44 000 Nantes

Tél 0811 46 46 44 (Service 0,05€/min + prix d'appel)

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. – www.chateaunantes.fr – #expochateau

Le Château des ducs de Bretagne, propriété de Nantes Métropole, est géré par la société publique locale Le Voyage à Nantes dans le cadre d'une délégation de service publique.

Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon
Thierry Braconnier, Adjoint au Maire délégué à la Culture et à la Vie associative
Caroline Quaghebeur, Directrice de la Maison des Arts  
 
sont heureux de vous inviter à visiter l'exposition:
 
Jacques Grinberg
Entre chair et esprit
du 15 janvier au 28 février 2016
Maison des Arts
11 rue de Bagneux - 92320 Châtillon
Tél. 01 40 84 97 11
http://maisondesarts-chatillon.fr/

Exposition ouverte tous les jours sauf le lundi, de 14h à 18h jusqu'au 28 février 2016.

Né en 1941 à Sofia (Bulgarie), Jacques Grinberg et sa famille s’installent en Israël en 1954. Scolarisé dans un kibboutz, il part, à 17 ans, étudier aux Beaux-Arts de Tel-Aviv. En 1961, il s’installe à Paris pour se confronter à la capitale des arts.

Il fait alors partie des précurseurs de la Nouvelle Figuration mais s’en détache rapidement. Jacques Grinberg suit alors sa propre voie avec, en fil rouge, la volonté de dénoncer les oppressions : « Je veux peindre pour les autres ».

jacques grinberg

Jacques Grinberg Huit (ou Autel) 1974
encre de chine, 50 x 65 cm
Pour cette exposition, la Maison des Arts a sélectionné un ensemble d’oeuvres retraçant le parcours de l’artiste de 1960 à 2000 témoignant de ses principales sources d’inspiration (politiques, philosophiques, culturelles, spirituelles) et de la vigueur de leurs expressions.


Peintre engagé, résistant, il dénonce à travers sa peinture les fascismes en invoquant l’Homme, sa chair, son visage mais aussi les symboles religieux ou ésotériques du monde. Confronté personnellement à une tension permanente due à l’incapacité de cohésion dont font preuve les pays, aux agissements bestiaux des Hommes entre eux et à des images d’horreurs, Jacques Grinberg s’oppose à toute notion d’appartenance si ce n’est celle qui prône une liberté de pensée.
Le parcours de l’exposition «Entre chair et esprit» passe par le corps mutilé, la violence dans la peinture pour arriver à un apaisement relaté à travers des allégories et des symboles.

En collaboration avec l'association "L'Homme bleu"

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Jacques Henri LARTIGUE
"Un monde flottant"
17 juin – 25 septembre 2016

Vernissage > Jeudi 16 juin 2016 à 19 heures

En présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l’Art moderne et contemporain

THEATRE DE LA PHOTOGRAPHIE ET DE L'IMAGE
27, boulevard Dubouchage 06364 NICE CEDEX 4
Téléphone : +33 (0)4 97 13 42 20
Télécopie : +33 (0)4 97 13 42 23
E-mail : theatre.photo(at)ville-nice.fr

Tous les jours sauf le lundi, le 1er janvier,
le dimanche de Pâques, le 1er mai et le 25 décembre
10h - 18h
La Ville de Nice propose au Théâtre de la Photographie et de l’Image – Charles Nègre, du 17 juin au 25 septembre 2016, une exposition consacrée à l’œuvre de Jacques Henri Lartigue. Le vernissage de l’exposition aura lieu le jeudi 16 juin 2016 à 19 heures.

Jacques Henri Lartigue est né à Courbevoie le 13 juin 1894.  Il meurt à Nice le 12 septembre 1986. Peintre et photographe, il devient célèbre grâce à ses clichés évoquant sa vie familiale et la société mondaine de la Belle Epoque. Il est  considéré au XXe siècle comme un génie du noir et blanc.

Curieux, il essaie toutes les nouvelles techniques photographiques ; clichés de sujets en mouvement, ses images représentent aussi bien les membres de sa famille que les premiers temps de l’aviation, les manifestations sportives, les « belles dames » du bois de Boulogne, et les photographies de la Riviera où il fait de nombreux séjours  de 1908 à 1986.
Cette exposition met en lumière le thème de l’instant qui passe, de la brièveté du bonheur et de la fragilité de la vie. Elle montre que l’art du photographe est autant l’évocation du bonheur qu’un combat de tous les instants contre la pesanteur et la mort.
Elle n’a jamais été présentée en France.

jh lartigue tpi nice
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Jacques Monory
EXPOSITION 14 DÉC. 2014 17 MAI 2015


Fonds Hélène & Édouard Leclerc pour la Culture
Aux Capucins

29800 Landerneau
Tel: +33 2 29 62 47 78
contact[at]fhel.fr
www.fonds-culturel-leclerc.fr

Introduction par Michel-Édouard Leclerc, Président

Le projet d’une exposition consacrée à Jacques Monory a germé dès l’inauguration du Fonds Hélène&Édouard Leclerc. Le public breton venait de découvrir l’oeuvre de Gérard Fromanger aux Capucins de Landerneau. Cette exposition avait suscité beaucoup de questions sur les autres peintres (Adami, Arroyo, Erró, etc.) appartenant au mouvement des Figurations Narratives.

Ce fut, je crois, Isabelle Maeght qui, la première, me suggéra le nom de Jacques Monory. La Fondation et la famille Maeght avaient soutenu cet artiste et possédaient une belle collection de ses oeuvres. L’idée a fait son chemin, au gré des rencontres organisées à Landerneau, au point que ce fut Gérard Fromanger lui-même qui me parla de Pascale Le Thorel. Critique d’art, elle avait été commissaire de la rétrospective de Peter Klasen au Tri Postal à Lille et avait réalisé une importante exposition et un ouvrage sur Jacques Monory. Je la sollicitai donc pour être le commissaire artistique de notre projet.

Jacques Monory

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La Fondation Marguerite et Aimé Maeght rouvre au public le 1er juillet 2020. Les conditions nécessaires pour recevoir les visiteurs en toute sécurité seront mises en place.

L’exposition consacrée à Jacques Monory, initialement prévue du 28 mars au 14 juin, sera présentée au public durant l’été et jusqu’au 22 novembre 2020. La Fondation Maeght a choisi de repenser sa programmation, en présentant cette exposition qui devait ouvrir ses portes au printemps. Cette exposition sera accompagnée d’un choix d’œuvres de la collection de la Fondation Maeght. L’exposition Les Giacometti : une famille de créateurs est reportée à l’été 2021.

Première exposition monographique de Jacques Monory depuis sa disparition en 2018, l’exposition proposée par la Fondation Maeght retrace soixante ans de carrière et revisite l’œuvre d’un artiste majeur de la Figuration Narrative constamment tendu par la modernité et la singularité de ce bleu qui l’a rendu célèbre. Cette exposition propose un parcours non chronologique tentant de faire jouer à plein, d’une salle à une autre, les échos et les écarts de cette œuvre singulière.

Forte d’une collection de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght propose également cet été une sélection de quelques œuvres majeures de sa collection pour permettre au public de retrouver les artistes tels que Joan Miró, Alberto Giacometti, Alexander Calder, Marc Chagall, Pierre Bonnard, Fernand Léger, …

JACQUES MONORY
Fondation Maeght (Saint-Paul de Vence)
Guest curator: Laurence d’Ist, art historian, author and exhibition curator.

Commissaire invitée : Laurence d’Ist, historienne de l’art, auteure et commissaire d’expositions.

Simply entitled “Jacques Monory”, the exhibition presents sixty years of his career and revisits the work of this major Figuration Narrative artist, in constant tension between modernity and the singularity of the blue that made him famous.

Intitulée simplement « Jacques Monory », l’exposition présente soixante ans de carrière et revisite l’oeuvre de cette figure majeure de la Figuration narrative, constamment tendu par la modernité et par la singularité de ce bleu qui l’a rendu célèbre.

Out of all the Figuration Narrative painters, Monory was no doubt the only one to be fully narrative. Sometimes hyperrealist, the enigmatic scenes that he painted and juxtaposed to form a sort of haunted diary of a painter who questioned the world’s reality every day. The blue that made him famous, whether monochrome or with other colors
in the spectrum, is the color of this doubt. It acts as a dreamlike veil and establishes a certain distance.

De tous les peintres dits de la Figuration narrative, Monory aura sans doute été le seul à être pleinement narratif. Parfois hyperréalistes, les scènes énigmatiques qu’il peint et qu’il juxtapose forment comme le journal de bord hanté d’un peintre qui chaque jour s’interroge sur la réalité du monde. Le bleu qui l’a rendu célèbre, qu’il soit monochrome,
ou qu’il accueille d’autres couleurs du spectre, est la couleur de ce doute. Il agit comme un voile onirique et comme une mise à distance.

Portrait de Jacques Monory © Photo Jean Larivière.

Portrait de Jacques Monory
© Photo Jean Larivière.

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Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon
Thierry Braconnier, Adjoint au Maire délégué à la Culture et à la Vie associative
Caroline Quaghebeur, Directrice de la Maison des Arts

sont heureux de vous inviter à visiter l'exposition
JAN VOSS - Remue-ménage
du JEUDI 18 janvier de 19h à 21h jusqu'au 3 mars 2018

Habité par un mouvement perpétuel, l'œuvre de Jan Voss, né en Allemagne en 1936 et installé en France depuis 1960, possède une hardiesse et une inventivité rare.

Ainsi, avoue-t-il : Les lignes sont les mouvements d'un tableau, son activité. L'activité d'un tableau est souvent extrêmement déconcertante, on voudrait bien comprendre où elle veut en venir avec tous ces parcours, ses sauts et ses arrêts subits. Mais parfois les lignes, en perte de vitesse, languissent, il faut les secouer sérieusement pour qu'elles ne s'endorment pas. Surtout ne jamais concéder de repos à la ligne !

Les caractéristiques les plus reconnaissables des œuvres évoquées sont des signes proches du graffiti, des éléments biomorphes, des compositions en cases ou en bandes. Mais Jan Voss n'en reste pas là. Maître de son langage, il en décline la grammaire, y mêlant des collages ou autres assemblages complexes.

L'opposition figuration / abstraction n'a pas de sens ici. Les formes, traits, couleurs et textures étant chargés de déclencher l'imagination, puis, pourquoi pas, la narration.

L'exposition rassemble des œuvres sur toile et sur papier de ces dix dernières années ainsi que des sculptures des années 1980/1990 dans lesquels l'artiste explore - toujours très librement - le volume.

Une plongée dans l'esprit Voss.

Exposition organisée avec la collaboration de Galerie Lelong & Co, Paris

Maison des Arts
11 rue de Bagneux - 92320 Châtillon
01 40 84 97 11

http://maisondesarts-chatillon.fr/ 

Exposition ouverte du mardi au dimanche, de 14h à 18h
jusqu'au 03 mars 2018.

 

Jan Voss, Sur la bonne voie, 2010,  Acrylique sur toile, 71 x 60 cm  ADAGP © Jan Voss / Courtesy Galerie Lelong

Jan Voss, Sur la bonne voie, 2010,
Acrylique sur toile, 71 x 60 cm
ADAGP © Jan Voss / Courtesy Galerie Lelong

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Jane Evelyn Atwood Histoires de prostitution Paris 1976-1979

EXPOSITION PRÉSENTÉE DU 25 JANVIER AU 21 AVRIL 2019
Maison de la Photographie Robert Doisneau
1, rue de la Division du Général Leclerc
94250 Gentilly, France
www.maisondoisneau.agglo-valdebievre.fr 

EXPOSITION CONÇUE À PARTIR DE LA SÉRIE RUE DES LOMBARDS
RÉALISÉE ENTRE 1976 ET 1977 ET LA SÉRIE PIGALLE PEOPLE
RÉALISÉE ENTRE 1978 ET 1979.
L’EXPOSITION PIGALLE PEOPLE A ÉTÉ PRÉSENTÉE UNE PREMIÈRE
FOIS À ARLES EN 2018 ET A ÉTÉ PRODUITE DANS LE CADRE DE
L’ÉDITION 2018 DES RENCONTRES DE LA PHOTOGRAPHIE, ARLES, FRANCE.
VERNISSAGE JEUDI 24 JANVIER 2019 À 18H

Cela a commencé comme cela, en 1976, sans expérience et sans idées préconçues. Il y avait là sous ses yeux un monde inconnu et pourtant familier. Elle a eu envie de savoir et de connaître de près ces hommes, ces femmes ou ces transgenres qui vendaient leurs corps sur les trottoirs de la capitale.
En 1976, Jane Evelyn Atwood, pas encore photographe, habite depuis cinq années à Paris. Elle achète un premier «vrai appareil et rencontre Blondine ainsi que les autres prostituées de la rue des Lombards, dans le quartier du futur Beaubourg.

JANE EVELYN ATWOOD EXPOSITION A LA MAISON DE LA PHOTOGRAPHIE ROBERT DOISNEAU GENTILLY
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JEAN COCTEAU & SA MYTHOLOGIE MUSEE D'ART CLASSIQUE DE MOUGINS
Musée d'Art Classique de Mougins
5 rue des Muriers
06250 MOUGINS - France

11 septembre 2020 - 24 janvier 2021
Une exposition MACM en collaboration avec le Musée Jean Cocteau collection Séverin Wunderman de Menton

JEAN COCTEAU & SA MYTHOLOGIE
11th September 2020 - 24th January 2021
An MACM exhibition in collaboration with the
Musée Jean Cocteau collection Séverin Wunderman, Menton
Le MACM invite en ses murs celui qui fut connu comme un esthète, un dandy, une des figures à la mode du Tout-Paris et surtout un immense artiste aux multiples talents: peintre, dessinateur, cinéaste, chorégraphe, auteur dramatique, poète... c'est, bien sûr, de Jean Cocteau qu'il s'agit.

The Musée d'Art Classique de Mougins welcomes within its walls the man who was once known as one of the most fashionable figures in Paris, an aesthete, a Dandy & above all a great artist with multiple talents: a painter, a draftsman, a filmmaker, a choreographer, a playwright, a poet... Jean Cocteau !

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JEAN LE MOAL, Peintures et œuvres sur papier  
du 20 mars au 10 mai 2015

Vernissage le jeudi 19 mars de 19h00 à 21h00 en compagnie de:
Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon Thierry Braconnier, Adjoint au Maire délégué à la Culture et à la Vie associative Caroline Quaghebeur, Directrice de la Maison des Arts

MAISON DES ARTS
11 rue de Bagneux
92320 Châtillon

Tél./Fax.: 01 40 84 97 11
http://maisondesarts-chatillon.fr/
Email : maisondesarts[at]chatillon92.fr
Horaires d’ouvertures
Entrée libre
Du mardi au dimanche 14h00 à 18h00

Après Alfred Manessier et Olivier Debré, la Maison des Arts de Châtillon accueille une autre figure majeure de cette génération d’artistes qui ont profondément renouvelé la peinture non-figurative de l’après-guerre en France : Jean Le Moal (1909-2007).

 

Jean Le Moal huile sur toile Archipel de 1975  dim.120 x 120 cm

 Jean Le Moal huile sur toile Archipel de 1975  dim.120 x 120 cm 

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01 Avril 2015 - 03 Août 2015
Grand Palais, Galeries nationales


L’exposition présente des pièces inédites du créateur (haute couture et prêt-à-porter), créées entre 1970 et 2013. Elles sont accompagnées de croquis, archives, costumes de scène, extraits de films, de défilés, de concerts, de vidéoclips, de spectacles de danse et d’émissions télévisées.

Le parcours bénéficie en outre du talent de nombreux artistes et experts de renom, dont la compagnie avant-gardiste théâtrale montréalaise UBU dirigée par Denis Marleau et Stéphanie Jasmin, qui a animé les mannequins suivant un procédé technologique novateur. Cet événement constitue la dixième étape d’un projet initié par Nathalie Bondil, directrice du Musée des beaux-arts de Montréal.

Cette exposition est réalisée par le Musée des beaux-arts de Montréal avec la Réunion des musées nationaux - Grand Palais, et la collaboration de la Maison Jean Paul Gaultier, Paris.

 Image

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JEAN-MARC BARR, Photographies, du 20 mai au 21 juin 2015
Maison des Arts
11 rue de Bagneux - 92320 Châtillon

Tél. 01 40 84 97 11
http://maisondesarts-chatillon.fr /

Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon

Thierry Braconnier, Adjoint au Maire délégué à la Culture et à la Vie associative, Caroline Quaghebeur, Directrice de la Maison des Arts sont heureux de vous inviter à visiter cette exposition de qualité
 
Exposition ouverte tous les jours sauf le lundi, de 14h à 18h jusqu'au 21 juin 2015.
Accès: métro ligne 13 - arrêt "Châtillon/Montrouge" puis bus n°388 arrêt "Mairie de Châtillon"
Une navette gratuite assure le trajet retour jusqu'à la station de métro le soir du vernissage.

Jean-Marc Barr Maison des Arts Chatillon

Jean-Marc Barr autoportrait

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Jeff Koons Puppy 1992 Stainless steel, soil, and flowering plants Dimensions 1240 x 1240 x 820 cm Guggenheim Bilbao MuseoaJeff Koons rose to prominence in the mid-1980s as part of a generation of artists who explored the meaning of art in a media-saturated era and the attendant crisis of representation. Drawing on the visual language of advertising, marketing, and the entertainment industry and with the stated intent to "communicate with the masses," Koons tested the boundaries between popular and elite culture. His sculptural menagerie includes Plexiglas-encased Hoover vacuum cleaners, basketballs suspended in glass aquariums, porcelain homages to Michael Jackson and the Pink Panther, and glass depictions of himself coupled with his then-wife Ilona Staller, also known as La Cicciolina (a former adult-film star and member of the Italian parliament). Extending the legacy of Marcel Duchamp's readymades, and integrating references to Minimalism and Pop, Koons presents art as a commodity that cannot be placed within the hierarchy of conventional aesthetics.

With Puppy, Koons engaged both past and present, employing sophisticated computer modeling to create a work that references the 18th-century formal European garden. A behemoth West Highland terrier carpeted in bedding plants, Puppy employs the most saccharine of iconography—flowers and puppies—in a monument to the sentimental. Imposing in scale, its size both tightly contained and seemingly out of control (it is both literally and figuratively still growing), and juxtaposing elite and mass-cultural references (topiary and dog breeding, Chia Pets and Hallmark greeting cards), the work may be read as an allegory of contemporary culture. Koons designed this public sculpture to relentlessly entice, to create optimism, and to instill, in his own words, "confidence and security." Dignified and stalwart as it stands guard at the museum, Puppy fills viewers with awe, and even joy.

Sponsored by: Seguros Bilbao

https://www.guggenheim-bilbao.eus/en/

Dates: October 18, 2019–February 9, 2020
Curator: Manuel Cirauqui, Guggenheim Museum Bilbao

All the information on the Guggenheim Museum Bilbao is available at www.guggenheim-bilbao.eus

- The idea of a “fourth dimension” is materialized in Soto’s dynamic and abstract works, especially in his large-scale participatory sculptures, the iconic Penetrables .

- In addition to a large number of mural pieces, the exhibition includes characteristic examples from other series, such as Virtual Volumes , Extensions , and Progressions .

- According to the artist, “In the Penetrables , the spectator walks through vertical threads or bars that fill the entire available space and make up the work. From that moment on, spectator and artwork are physically and inextricably entwined.”

- The exhibition includes Soto’s celebrated Sphère Lutétia (1996), installed by the Museum’s pond for the four months of the exhibition.

The Guggenheim Museum Bilbao presents Soto. The Fourth Dimension, a retrospective exhibition of the works of Jesús Rafael Soto (b. 1923, Ciudad Bolívar, Venezuela; d. 2005, Paris). Organized by the Guggenheim Museum Bilbao in collaboration with the Atelier Soto in Paris, the show brings together over 60 works, including several of Soto’s large-scale participatory sculptures called Penetrables , some of his most iconic and important contributions to the recent history of art. In addition, the show includes a large number of historic paintings and mural works, which help to understand the fundamental role Soto played in the development of Kinetic Art from the early 1950s to the end of the 1960s, and to appreciate the development of his artistic practice up to the first decade of the 21st century.

 

Jesús Rafael Soto Sans titre (Composition dynamique), [Untitled (Dynamic Composition)], 1950 Oil on canvas 73 x 92 x 2 cm Private collection © Jesús Rafael Soto, ADAGP, Paris / VEGAP, Bilbao, 2019

Jesús Rafael Soto
Sans titre (Composition dynamique), [Untitled (Dynamic Composition)], 1950
Oil on canvas 73 x 92 x 2 cm Private collection
© Jesús Rafael Soto, ADAGP, Paris / VEGAP, Bilbao, 2019

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L’Hospitalet recorda Jiménez-Balaguer

INAUGURACIÓ: Dijous 10 de març de 2016, a les 19.30 h
Exposició del 10 de març al 29 de maig de 2016
Tipus d'entrada: Lliure

Centre Cultural Metropolità Tecla Sala
AV Josep Tarradellas i Joan 44  (L'Hospitalet de Llobregat)

Laurent Jiménez-Balaguer (L’Hospitalet 1928 - París 2015) va irrompre a l’escena artística catalana en la dècada dels anys cinquanta amb una pintura extraordinàriament vital pròxima a les tendències informalistes i avalat per la crítica més solvent del moment. Des de 1958 Jiménez-Balaguer va desenvolupar a París tota la seva carrera professional fins a la seva mort. El Centre d’Art Tecla Sala ret amb aquesta exposició pòstuma un merescut record a l’artista amb obres que abracen des de la dècada dels anys quaranta fins a 2014, provinents de la col•lecció de l’artista, del Museu d’Art Contemporani de Barcelona (MACBA), de la Fundació Vila Casas i del Museu de L’Hospitalet.

Laurent Jiménez-Balaguer nascut al barri de la Torrassa de L’Hospitalet el 1928 va irrompre a l’escena artística catalana en la dècada dels anys cinquanta avalat per Josep Maria de Sucre i la crítica més solvent del moment, com la de Sebastià Gasch, Cesáreo Rodríguez Aguilera, Rafael Manzano González o Juan Eduardo Cirlot. Amb una pintura extraordinàriament vital va fer les primeres exposicions individuals a Barcelona, València i Madrid, amb una obra pròxima a les tendències informalistes que molt aviat va expandir-se per conformar un llenguatge plenament personal. Molt aviat es va instal•lar a París i es va vincular a projectes murals en l’àmbit de l’arquitectura pública fet que va afavorir que s’allunyés dels circuits artístics habituals, encara que sempre va seguir pintant.

Jimenez Balaguer Foto ©Pedro Madueño

Jimenez-Balaguer Foto: ©Pedro Madueño

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Au-delà de la peinture

29 June – 17 November 2019

https://www.fondation-maeght.com/ 

Du 29 juin au 17 novembre 2019, dans la lignée de l’héritage de Marguerite et Aimé Maeght et de leur fils Adrien, éditeurs d’art et imprimeurs, la Fondation Maeght propose, pour sa grande exposition estivale, un hommage au génie créateur de Joan Miró.
L’exposition Joan Miró. Au-delà de la peinture, dont le commissariat est assuré par Rosa Maria Malet, directrice historique de la Fundació Joan Miró, à Barcelone, offre au public de découvrir une partie essentielle de l’oeuvre de l’artiste : son exceptionnel oeuvre graphique. Cette exposition fait également écho à la rétrospective présentée cet hiver au Grand Palais, à Paris.

Le 12 juin 1925, le Tout-Paris assiste au vernissage de la première exposition personnelle de Joan Miró à la Galerie Pierre, récemment ouverte par le marchand d’art Pierre Loeb. Le lendemain, alors que la galerie est vide, Raymond Roussel va voir l’exposition avec Michel Leiris. Sachant combien Roussel était soucieux de préserver son intimité, Miró s’abstint de les accompagner, mais il fut extrêmement flatté lorsque son ami Leiris lui rapporta la réaction de l’auteur d’Impressions d’Afrique devant ses tableaux. « Ça va au-delà de la peinture », s’était exclamé le grand écrivain devant l’oeuvre difficilement classable de Miró1

1/ « Leiris m’a expliqué la réaction de Roussel. Il a dit à Leiris : “Ça va au-delà de la peinture.” J’ai beaucoup apprécié ce jugement. Il était très difficile de savoir ce que pensait Roussel », dans Joan Miró, Ceci est la couleur de mes rêves. Entretiens avec Georges Raillard, Paris, Seuil, 1977, p. 23.

Le Grand triptyque noir, 1969. © Successió Miró, Adagp Paris 2019. Photo Claude Germain / Archives Fondation Maeght. 
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JOAN MIRÓ.
AU-DELÀ DE LA PEINTURE.
29 juin – 17 novembre 2019 Fondation Maeght

Du 29 juin au 17 novembre 2019, la Fondation Maeght célèbre Joan Miró, acteur majeur de la création de la Fondation aux côtés de Marguerite et Aimé Maeght et de leur ami architecte Josep Lluís Sert. L’exposition « Joan Miró. Au-delà de la peinture. », dont le commissariat est assuré par Rosa Maria Malet, directrice historique de la Fundació Joan Miró de Barcelone, offre au public de découvrir une partie essentielle de l’oeuvre de l’artiste : l’exceptionnel oeuvre graphique. L’exposition est axée sur le processus de travail de l’artiste qui réalisa l’un des plus remarquables oeuvres gravés de l’histoire de l’art. Issues en très grande partie d’une exceptionnelle donation faite par Adrien Maeght, qui travailla avec Miró dans ses ateliers de l’imprimerie ARTE, plus de 200 oeuvres, dont un ensemble de gouaches inédites, sont présentées. Maquettes, affiches, gravures, lithographies originales, plaques de tirage, bons à tirer et ouvrages de bibliophilie, complètent l’exposition pour mettre en lumière cette prodigieuse création.

Dans la lignée de l’héritage de Marguerite et Aimé Maeght et de leur fils Adrien, éditeurs d’art et imprimeurs, la Fondation Maeght propose, pour sa grande exposition estivale, un hommage au génie créateur de Joan Miró, dix ans après la dernière exposition que la Fondation lui a consacré « Miró en son jardin ».
Cette exposition fait également écho à la rétrospective présentée cet hiver au Grand Palais à Paris. Né en 1893 à Barcelone et mort en 1983 à Palma de Majorque, Joan Miró est l’un des artistes majeurs du XXe siècle qui ont révolutionné les codes de l’art moderne. Durant toute sa vie, l’artiste invente un monde onirique au service d’un vocabulaire de formes appliqué à toutes les techniques avec lesquelles il travaille. « Il me faut un point de départ, expliquait Miró, ne serait-ce qu’un grain de poussière ou un éclat de lumière. Cette forme me procure une série de choses, une chose faisant naître une autre chose. Ainsi un bout de fil peut-il me déclencher un monde. »

Frappeuse de silex, 1973.  Gravure originale en Aquatinte, Carborundum et Eau-forte sur Vélin d'Arches.  © Successió Miró, Adagp Paris 2019  Photo Claude Germain / Archives Fondation Maeght.
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Journées européennes du Patrimoine

A l'occasion des Journées européennes du Patrimoine, les 19 et 20 septembre 2020, les Archives départementales du Haut-Rhin vous proposent 5 expositions virtuelles sur la thématique "Patrimoine et éducation : Apprendre pour la vie !".

(Re) découvrez des personnalités sous des angles attendus ou surprenants.

Laissez-vous guider par votre curiosité. Picorez, survolez, approfondissez…

Faites-vous plaisir et laissez-vous emporter à travers un voyage temporel plein de surprises et… sans virus ! encore que…

[nb : le encore que s’explique par quelques interviews qui ont eu lieu pendant le confinement ou le sketch de Catherine et Liliane sur la « Maladie X »…]

http://www.archives.haut-rhin.fr/Education/p167/Journees-europeennes-du-patrimoine-2020

Le 17/09/2020 par départementales Archives

les Journées Juridiques du Patrimoine
les Journées Juridiques du Patrimoine
Pour cette 21ème édition, les Journées Juridiques du Patrimoine reviennent le 15 novembre 2021 à la Maison du Barreau.

Reconnue formation continue obligatoire (FCO), la journée se déroule en deux temps, afin de réaliser une rétrospective de l'année juridique écoulée avant de se concentrer sur un thème précis. Sur chaque sujet interviennent successivement parlementaires, avocats, élus, représentants des administrations et des grandes associations concernées, tout en favorisant des échanges avec la salle.

Les conférences du matin seront consacrées à l'actualité législative récente qui touche au patrimoine et au paysage. Seront notamment discutés la loi Climat et résilience et le projet de loi 3DS. De plus, le sujet des éoliennes sera approfondi.

Cette année encore, nous organiserons la 5ème édition du prix Pierre-Laurent Frier. Le prix, remis en fin de matinée, vise à récompenser les meilleurs mémoires des étudiants de Master 2 en droit du patrimoine matériel et immatériel, culturel et paysager, évalués par un jury composé d'universitaires.

Quant au thème de l'après-midi, nos intervenants essaieront de répondre à la question suivante : « le droit pénal au secours du patrimoine et de l'environnement ? » afin de préciser la manière dont le droit pénal peut être utilisé pour faire respecter le droit du patrimoine et de l'environnement. Nous évoquerons également la question centrale du volontarisme du maire en amont et en aval de la sanction.

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Kandinsky, Marc & Der Blaue Reiter
4 septembre 2016 – 22 janvier 2017

Fondation Beyeler,
Beyeler Museum AG,
Baselstrasse 77, CH-4125 Riehen
www.fondationbeyeler.ch

Pour la première fois depuis 30 ans, la Suisse consacre une vaste exposition à l’un des chapitres les plus fascinants de l’art moderne, entré dans l’histoire sous l’appellation de Der Blaue Reiter, « Le Cavalier bleu ». L’exposition munichoise de 1911 et le mouvement d’artistes du même nom ont été à l’origine d’une expérience artistique d’une nouveauté révolutionnaire. À partir des oeuvres de Wassily Kandinsky appartenant à la Collection Beyeler, le public peut découvrir la création d’un groupe d’artistes d’avant-garde, marqué par des principes d’ouverture d’esprit et d’internationalité auxquels la Première Guerre mondiale est venue mettre un terme.


Der Blaue Reiter : tel est le titre du légendaire almanach édité par Wassily Kandinsky (1866–1944) et Franz Marc (1880–1916), qui fut publié à Munich en 1912. Kandinsky et Marc avaient rassemblé dans ce recueil des textes et des images issus de cultures diverses, réalisés par différents artistes. Cet almanach devait être l’expression de la nécessité d’une transformation radicale des arts en ce début du XXe siècle. Il témoigne d’une nouvelle appréhension de l’art et du monde, révolutionnaire pour l’époque, qui ne s’attachait plus à reproduire la réalité visible mais à illustrer des interrogations mentales. Ce souci s’exprime avant tout par une libération de la couleur inspirée par le paysage des Préalpes au sud de Munich.


Cette réflexion, qui a servi de toile de fond à l’évolution vers l’abstraction de Kandinsky et de Marc surtout, a conduit à un tournant de la conception artistique occidentale et a influencé plusieurs générations de peintres – jusqu’à nos jours.

Wassily Kandinsky und Franz Marc (Hrsg.) Almanach Der Blaue Reiter, Munich, 1914 29,5 x 23 x 2,5 cm ahlers collection © Thomas Ganzenmüller, Hannover

Wassily Kandinsky und Franz Marc (Hrsg.)
Almanach Der Blaue Reiter, Munich, 1914
29,5 x 23 x 2,5 cm
ahlers collection © Thomas Ganzenmüller, Hannover
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Kandinsky
November 20, 2020 - May 23, 2021 (Dates pending)

Museo Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2
48009 Bilbao
https://www.guggenheim-bilbao.eus
Contact us:
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Telephone:
+34 944 35 90 00
+34 944 35 90 80

As a pioneer of abstraction and a renowned aesthetic theorist, Vasily Kandinsky (b. 1866, Moscow; d. 1944, Neuilly-sur-Seine, France) is among the foremost artistic innovators of the early twentieth century. He endeavored to free painting from its ties to the natural world, and in so doing he discovered a new subject matter based solely on the artist’s “inner necessity” that would occupy him throughout his life. Drawn primarily from the Solomon R. Guggenheim Foundation’s rich holdings, this comprehensive exhibition of paintings and works on paper traces Kandinsky’s aesthetic evolution and spans his entire oeuvre.

After settling in Bavaria in 1908, Kandinsky helped found the Munich-based group Der Blaue Reiter (The Blue Rider), a loose association of artists united around a common interest in the expressive potential of color and the symbolic—often spiritual—resonance of forms. Following a period of great productivity, Kandinsky was forced to leave Germany with the outbreak of World War I and ultimately returned to his native Moscow. There, his pictorial vocabulary began to reflect the utopian experiments of the Russian avant-garde, including emphasizing geometric shapes in an effort to establish a universal aesthetic language. After the war, Kandinsky began teaching at the Bauhaus, a German school of art and applied design that shared his belief in art’s ability to transform self and society. Kandinsky was nonetheless forced to abandon Germany a second time when the Bauhaus was closed under pressure from the Nazis in 1933. He and his wife, Nina, settled in a suburb of Paris, where Kandinsky increasingly experimented with materials, creating imaginative works in which he combined sand with pigment. His compositions from this last chapter resemble miniscule worlds of living organisms, clearly informed by his contact with Surrealism, and an interest in natural sciences, particularly botany, embryology, and zoology.

Vasily Kandinsky Black Lines (Schwarze Linien), December 1913 Oil on canvas 129.4 x 131.1 cm Solomon R. Guggenheim Museum, New York Solomon R. Guggenheim Foundation Collection, By gift © Vasily Kandinsky, VEGAP, Bilbao 2020

Vasily Kandinsky Black Lines (Schwarze Linien), December 1913
Oil on canvas 129.4 x 131.1 cm
Solomon R. Guggenheim Museum, New York
Solomon R. Guggenheim Foundation Collection, By gift
© Vasily Kandinsky, VEGAP, Bilbao 2020
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Vue de l'exposition Kehinde Wiley, Peintre de l'épopée, Centre d'art La Malmaison, à Cannes © Olivier Clavel
Vue de l'exposition Kehinde Wiley, Peintre de l'épopée, Centre d'art La Malmaison, à Cannes © Olivier Clavel

KEHINDE WILEY,
PEINTRE DE L’ÉPOPÉE

10 juillet > 1er novembre 2020

Centre d'Art de la Malmaison, Cannes
47 boulevard de la Croisette
06400 Cannes
Tél : 04 97 06 45 21
E-mail : centredartlamalmaison(at)ville-cannes.fr
http://www.cannes.com/fr/culture/centre-d-art-la-malmaison.html

Du 10 juillet au 1er novembre, le Centre d'Art de la Malmaison sur la Croisette, accueille l’une des stars internationales les plus recherchées d'aujourd'hui, l'américain Kehinde Wiley. À travers plus d’une vingtaine d'œuvres, le Centre d'art la Malmaison dévoile le dessein épique qui anime le travail de l’artiste depuis plus d’une décennie.

Puisant son inspiration dans la peinture classique, du Titien à Gainsborough en passant par Van Dyck ou Ingres, Kehinde Wiley propose une perspective unique, politique et esthétique. En choisissant de rendre visible les invisibles de l’histoire, il interroge les spectateurs sur les questions de perception, de pouvoir et d’origine.

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23 septembre 2014 – 3 mai 2015
Alors que s’achève la première période de l’Accord de Gestion souscrit avec la Fondation Solomon R. Guggenheim, le Musée Guggenheim Bilbao présente un grand accrochage de la Collection Permanente, qui occupera tout son espace d’exposition avec les chefs d’œuvre des Musées du Réseau Guggenheim. L’Art de notre temps passe en revue les principaux mouvements artistiques du xxe siècle mais a choisi aussi de réserver un espace monographique à d’importants artistes de la Collection de Bilbao, comme Jorge Oteiza et Eduardo Chillida, ainsi qu’à des installations contemporaines du musée newyorkais.

C’est avec cette exposition parallèle de celle organisée en 1997 pour l’inauguration du Musée, et qui met en relief le développement des Collections Guggenheim au cours de ces années sans négliger ses plus solides piliers, que se clôt cette première période de collabora- tion avec la Fondation Guggenheim.

 Marc Chagall Paris par la fenêtre, 1913  Huile sur toile 136 × 141,9 cmSolomon R. Guggenheim Museum, New York,

Marc Chagall Paris par la fenêtre, 1913
Huile sur toile 136 × 141,9 cm
Solomon R. Guggenheim Museum, New York, Collection fondatrice Solomon R. Guggenheim, Don 37.438 Courtesy Guggenheim Bilbao

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L’âme primitive s’expose au Musée ZadkineMusée Zadkine, Exposition du 29 septembre 2021 au 27 février 2022

Ce n’est pas la première fois qu’un musée se penche sur la question du primitivisme dans l’art et le musée Zadkine remet la question à l’ordre du jour. Le sujet est judicieusement abordé non seulement au regard des oeuvres de Zadkine et de quelques uns de ses contemporains mais aussi des jeunes artistes émergents dont les oeuvres prennent place au fil d’un joli parcours, auprès de sculptures choisies du maître des lieux. C’est donc une mise en écho entre des artistes d’époques différentes et, par conséquent, au vocabulaire plastique riche et varié, qui tente de répondre aux interrogations et nous conduit vers une réflexion sur le monde au travers de l’art. Pour la plupart des artistes exposés, qu’ils soient d’hier ou d’aujourd’hui, le constat tourne autour d’une vision tragique et généralement critique du monde contemporain. De ce fait, tous ou presque remettent en question la direction que prend la société au regard de leur présent et de ce qu’ils pressentent être le futur. Ils se positionnent du point de vue sociétal autant que du point de vue de l’art et leur création est clairement définie comme un moyen d’expression puissant, destiné à comprendre le monde et lui faire prendre une direction moins tragique.

Mais l’art peut il changer le monde?

Depuis le Contrat social de Rousseau jusqu’aux réflexions les plus récentes, le primitivisme, si on le considère comme un retour aux sources, a souvent été considéré par les artistes comme un bon compromis pour tout reconstruire. Née d’une forme de pragmatisme, l’idée qui en ressort est qu’il convient de se retourner vers les leçons du passé pour construire un art nouveau, plus apte à exprimer les préoccupations de chaque époque. Non dénuées d’une certaine audace, les avant gardes du XXème siècle vont suggérer un idéal artistique simple, tant dans le sujet que dans le processus de création, et un retour aux sources de l’art, une approche primitiviste qui va s’avérer constituer un élément essentiel pour créer l’art moderne en symbiose avec le monde moderne. Il faut prendre garde à ne pas trop rapidement associer le terme ‘’primitif ‘’ à ce que l’on nommait abusivement les sociétés non évoluées. D’ailleurs, qu’est ce qu’une société évoluée? Par rapport à qui? A quoi? Nous laisserons ces interrogations aux philosophes, sociologues et anthropologues et nous nous focaliserons, quant à nous, au primitivisme tel qu’il a été abordé du point de vue de l’art.

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 «Dali, Why do you paint? -Because I love art», 1954 © Philippe Halsman Estate 2023, Image rights of Salvador Dalí reserved, Fundació Gala- Salvador Dalí
 «Dali, Why do you paint? -Because I love art», 1954 © Philippe Halsman Estate 2023, Image rights of Salvador Dalí reserved, Fundació Gala-
Salvador Dalí

La peinture religieuse illustre les épisodes « transactionnels » de la Bible (L’adoration des Rois Mages, Le Denier de César, les 30 deniers de Judas, …), et y apparaissent les thèmes de l’avarice, de la charité, du « bon et du mauvais riche » et les injonctions morales (Vanités, memento mori). Dans les pays convertis à la Réforme protestante, à partir du XVIe siècle, se multiplient les représentations de transactions monétaires, du commerce en plein développement et des métiers d’argent.

La naissance de l’impressionnisme représente un basculement historique avec de nouveaux modes économiques qui se dessinent dans le champ du commerce de l’art. C’est en effet à partir de la seconde moitié du XIXe siècle qu’une rupture esthétique avec l’Académie ébranle les liens entre la valeur travail, la valeur d’usage et la valeur d’échange. Une dérégulation de la mainmise de l’État sur l’art au travers de l’Académie s’opère, avec comme résultat une valeur des oeuvres fixée par le jugement critique au détriment des critères académiques.

À partir du XXe siècle, l’artiste ne se contente plus de représenter les thèmes traditionnels liés à l’argent ; il engage une réflexion sur ses mécanismes, dès lors que ces derniers sont immanents à l’oeuvre d’art.

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 © Tadao Ando Architect & Associates, Niney et Marca Architectes, agence Pierre-Antoine Gatier. Photo Maxime Tetard

Un nouveau lieu pour faire vivre et partager la collection

Nouveau musée parmi le réseau de lieux et d’initiatives développés depuis 2006 par François Pinault, la Bourse de Commerce — Pinault Collection propose un point de vue sur la collection d’œuvres contemporaines qu’il rassemble depuis plus de cinquante ans, à travers un programme d’expositions et d’événements.

« À la faveur de l’ouverture d’un nouveau lieu de présentation de ma collection à la Bourse de Commerce, au cœur de Paris, une nouvelle étape est franchie dans la mise en œuvre de mon projet culturel : partager ma passion pour l’art de mon temps avec le plus grand nombre. » François Pinault

https://www.pinaultcollection.com/fr/boursedecommerce

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La Fondation Beyeler a déposé le projet de construction pour son projet d'extension «Musée du nouveau parc» auprès de l'Inspection des constructions et de la restauration du canton de Bâle-Ville. L'extension conçue par l'Atelier Peter Zumthor comprend trois bâtiments dont la construction est prévue dans la partie sud du site: la Maison de l'art, un bâtiment abritant l'administration et les services, et un pavillon destiné à accueillir les manifestations. Avec le dépôt du projet de construction, c'est encore une étape qui est franchie dans la réalisation du projet d'extension. Cette extension fera voir le jour à un ensemble exceptionnel de bâtiments de musée et la surface de parc ouverte au public sera presque multipliée par deux. Musée d'art le plus visité de Suisse, la Fondation Beyeler souhaite continuer à l'avenir à répondre aux attentes des visiteurs et des habitants de la région envers un musée du 21ème siècle.

Le projet de construction a été remis à la commune de Riehen fin avril et le Conseil municipal l'a approuvé. La publication et la mise à disposition des plans s'effectueront à l'Inspection des constructions et de la restauration du canton de Bâle-Ville à partir du 30 mai 2018. La demande de construction en droit de superficie doit être transmise du Conseil municipal au Parlement communal de Riehen d'ici la fin de l'année 2018. Dans les meilleurs délais, la demande de permis de construire pourrait être déposée au plus tôt en 2019.

Le projet conçu par le célèbre architecte suisse Peter Zumthor s'adapte au caractère villageois de Riehen et s'intègre harmonieusement dans la nature environnante. Le parc Iselin-Weber, jusqu'alors privé, se transforme en nouveau parc public au cœur de Riehen. Cet écrin idyllique hébergera la nouvelle Maison de l'art, le bâtiment de musée à proprement parler. De vastes fenêtres panoramiques ouvrent la perspective sur les deux parcs, en direction Wiesenaue et vers le bâtiment de Renzo Piano. Le bâtiment de services, de dimensions plus modestes et destiné à l'administration et aux livraisons, se situe au début du Bachtelenweg et sera relié à la maison de l'art par un souterrain. Situé dans le parc Berower, au centre de l'ensemble, le pavillon de plain-pied dédié aux manifestations fait figure de pivot entre la nouvelle Maison de l'art, les bâtiments historiques du domaine Berower et le musée de Renzo Piano. Baigné de lumière, de jour il invite les visiteurs à un moment de détente, tandis que le soir il offre des conditions idéales pour des entretiens d'artistes, des concerts, des conférences, des projections de film et autres. Le projet d'extension comprend également une petite remise destinée aux bennes d'enlèvement et de recyclage des déchets, qui se situera à l'arrière des actuels bâtiments d'atelier. Parallèlement aux activités générales d'exposition, les manifestations culturelles et la médiation artistique font aujourd'hui partie des missions essentielles d'un musée attentif à ses visiteurs. Dans son projet, Peter Zumthor a mis en œuvre de manière idéale ces désirs et ces exigences de la maîtrise d'ouvrage. Dès le début, son projet a convaincu le public et les experts. Au cours de l'année passée, le projet a été approfondi et affiné.

Sam Keller, directeur de la Fondation Beyeler, commente: «Le projet a été accueilli par le public avec enthousiasme. Au terme de plus d'une année de révision avec la commune de Riehen et les autres autorités compétentes, et après avoir activement cherché le dialogue avec les riverains immédiats, nous espérons obtenir le feu vert pour la réalisation du projet d'extension, qui représentera un atout majeur pour la population de Riehen et toute la région de Bâle.»

Peter Zumthor

Projet Fondation Beyeler
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Illustration : Sabrina Ratté pour Transmoderna

Communiqué de presse, le 26 mars 2021
Nouvelle date : 7 avril

En collaboration avec l’équipe de Transmoderna, la Fondation Beyeler accueillera Dixon, l’un des plus grands noms de la scène électronique, pour une session de mix unique lors de laquelle le DJ streamera en réalité virtuelle dans les locaux du musée. Cet ambitieux projet audiovisuel sera diffusé le 7 avril à 20 heures en partenariat avec la plateforme musicale Beatport et de Denon DJ.

Dixon a choisi comme point de départ de cette expérience virtuelle l’architecture ainsi que le parc du musée, qui ont été, à cette fin, modélisés en 3D. Il prendra la forme d’un avatar aux traits hyperréalistes et mixera un set exclusif d’une heure. Tout spécialement pour cette performance,
Transmoderna a sélectionné une série d’oeuvres issues de la collection de la Fondation qui apparaîtront aux côtés de l’avatar dans les salles d’exposition pendant le set – il s’agit, entre autres, de photographies de Wolfgang Tillmans, de sculptures de Auguste Rodin et de peintures de Paul Klee. Des travaux d’artistes numériques renommés viendront, en outre, s’ajouter à ces oeuvres d’art. Pour la réalisation de ce projet, Transmoderna a collaboré pour la première fois avec Sofia Crespo, artiste neuronale, Sabrina Ratté, artiste multimédia, et Feileacan McCormick, artiste génératif. Pendant la session de mix, les oeuvres d’art ainsi que l’architecture du bâtiment seront modifiés grâce aux effets spéciaux assistés par intelligence artificielle et se transformeront en une oeuvre d’art totale hyperréaliste.

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 Riehen/Bâle. Voici exactement un siècle que le 19 décembre 1915, la galeriste Nadejda Dobytchina inaugurait dans son appartement privé de Saint-Pétersbourg (alors, Petrograd) « La dernière exposition futuriste de tableaux 0,10 ». Cent ans plus tard, la Fondation Beyeler rend hommage à la naissance du Carré noir de Kasimir Malevitch, qui était au coeur de cette présentation. La « Joconde de l’art non figuratif » de Malevitch est encore présente jusqu’au 10 janvier à la Fondation Beyeler, où elle constitue le centre de la reconstitution critique « À la recherche de 0,10 », consacrée aux artistes de l’avant-garde russe. Le samedi 19 décembre 2015, le musée célèbrera entre 10 et 18 heures les cent ans de la présentation originelle de l’énigmatique tableau de Malevitch.
Des visites guidées thématiques en plusieurs langues, un atelier de maquillage suprématiste, des lectures de poèmes futuristes russes, des romances musicales russes et un bar à vodka avec DJ font partie du programme festif du centenaire du Carré noir de Kasimir Malevitch. Cette date marque en effet l’inauguration de l’exposition de 1915 et la toute première présentation du Carré noir.

Fondation Beyeler Malevitch

Illustration : Photographie d’Olga Rozanova, Xénia Bogouslavskaïa et Kasimir Malevitch à l’exposition « 0,10 », Petrograd, 1915. Archives nationales russes de littérature et d’art, Moscou.

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Est-ce déjà Noël ? La Fondation Beyeler lance SPEED ART, un jeu de réaction palpitant consacré aux œuvres de sa collection permanente.

Riehen/Bâle. Dans le cadre de son engagement artistique en faveur des enfants et des jeunes, la Fondation Beyeler lance SPEED ART, un jeu de cartes qui se joue à un rythme effréné. Ce jeu de réaction, conçu autour de l'art et des artistes de la Collection Beyeler, s'attache également à transmettre des informations intéressantes et invite les amateurs d'art, jeunes et moins jeunes, à observer attentivement les œuvres. Les joueurs sont invités à découvrir des points communs entre les œuvres d'artistes célèbres comme Van Gogh, Cézanne, Klee, Mondrian et bien d'autres encore. SPEED ART est disponible dès à présent à l'Art Shop de la Fondation Beyeler, au musée ou en ligne : un joli cadeau de Noël artistique et culturel pour toute la famille. Sa réalisation a été rendue possible grâce à l'engagement d'UBS, mécène de longue date et partenaire engagé de la Médiation artistique pour les familles et les jeunes de la Fondation Beyeler.

La Fondation Beyeler lance SPEED ART

L'art enrichit le quotidien et ouvre de nouvelles perspectives. Il rend visible ce que nous sentons, pensons, redoutons ou souhaitons. Il existe bien des manière de découvrir toute la diversité de l'art. Avec SPEED ART, l'accès ludique occupe évidemment le premier plan.

Ce jeu propose une intro­duction simple et compréhensible aux célèbres œuvres de la collection de la Fondation Beyeler consacrée à l'art moderne et contemporain. Il s'agit de porter un regard neuf sur certains des chefs-d'œuvre les plus connus de la Collection Beyeler et de relever des similitudes, par ex. dans les œuvres de Van Gogh ou Cézanne ; il peut s'agir de motifs comparables, comme des nus ou des représentations d'animaux, ou d'un style, figuratif ou abstrait. SPEED ART invite à repérer immédiatement les différences et les points communs. En famille ou avec des amis, chez vous ou en voyage, attendez-vous à des discussions animées et de nombreux éclats de rire ! Quant à la question « Et ça, c'est abstrait ?! », vous pourrez continuer à en débattre devant d'autres œuvres lors de votre prochaine visite au musée.  

SPEED ART est le fruit d'une collaboration entre le célèbre éditeur de jeux Carlitt plus Ravensburger, des concepteurs de jeux et l'équipe de la Médiation artistique de la Fondation Beyeler.

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Jean Dubuffet, Les prestations, 6 juillet 1979, acrylique sur papier entoilé (avec 6 pièces rapportées collées), 51 x 70 cm   Coll. Fondation Dubuffet, Paris © ADAGP, Paris, 2024

Jean Dubuffet, Les prestations, 6 juillet 1979, acrylique sur papier entoilé (avec 6 pièces rapportées collées), 51 x 70 cm

Coll. Fondation Dubuffet, Paris © ADAGP, Paris, 2024

Avoir été choisie pour être l’invitée de la présente édition du Salon du dessin touche particulièrement la Fondation Dubuffet, qui, durant toute l’année 2024, célèbre ses 50 ans d’existence. Créée par l’artiste lui-même, la fondation a été reconnue d’utilité publique par décret en 1974. L’exposition présentée par la Fondation au Salon du dessin est l’un des premiers événements organisés pour cet anniversaire. Elle prend la suite des prestigieuses institutions muséales, invitées jusqu’à présent, qui avaient choisi de présenter les plus belles « feuilles » de leurs collections. Le terme en usage de « feuille » a une résonnance conventionnelle que Jean Dubuffet aurait sans doute rejetée, lui qui n’a eu de cesse de s’opposer aux valeurs académiques.

Riche d’une collection de plus de 1 300 oeuvres sur papier, dons de l’artiste de son vivant ou acquisitions plus récentes, la Fondation a sélectionné 55 oeuvres réalisées entre 1935 et 1985 qui témoignent de la diversité des techniques employées par Jean Dubuffet et de l'usage inventif qu'il en fait.

Artiste majeur de la seconde moitié du XXe siècle, Jean Dubuffet (1901-1985) s’engage, en 1942, dans une vaste entreprise de déstabilisation de l’institution culturelle. Ainsi, à ceux qui défendent le parti du bien dessiner, il leur oppose celui du mal dessiner. Dans un entretien où il est tout à la fois l’interviewé et l’intervieweur, il explique : « On appelle couramment bien dessiner le faire de manière à s’approcher avec exactitude d’une prise de vue photographique et c’est ce qui m’apparaît à moi mal dessiner, ou plutôt ne pas dessiner du tout. À toute production d’art, si humble soit-elle, on demande en tout cas qu’elle soit créative. »

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Jean-Claude GandurLa Fondation Gandur pour l'Art a été créée en 2010 par Jean Claude Gandur afin de rendre accessible à un large public ses collections d'envergure internationale. Basée à Genève (Suisse) et reconnue d'utilité publique, la Fondation s'emploie à préserver, documenter, enrichir et exposer ses collections dans des institutions de renom en Suisse et à l'étranger.
La Fondation Gandur pour l'Art est membre de l'ICOM (Conseil International des Musées) depuis 2013 ainsi que de l'AMS (Association des musées suisses) depuis 2019.

Jean Claude Gandur

« Issu d'une famille sensible à l’art, j’ai eu la chance de le côtoyer depuis l’enfance et ainsi de me familiariser aux cultures européennes, orientales ou sud-américaines.

La démarche, suivie tout au long de ma vie, et celle désormais de la Fondation, est nourrie par trois motivations : le goût de l’art, l’envie de développer des collections et le désir de les partager. Y a-t-il plus belle perspective que celle de soumettre ses choix à l’appréciation des autres, de permettre à tous de voir et d’admirer des œuvres uniques, réunies dans une quête esthétique et intellectuelle constante ?
L’art n’est pas seulement la cristallisation d’un moment de l’histoire, mais également un vecteur de dialogue entre les civilisations et un témoignage du génie humain. Ce langage universel ouvre sur la tolérance et la compréhension entre les peuples. Si ces collections permettent à des personnes d’origines différentes de se reconnaître à l’aune de leur tradition et contribuent à les faire vivre en harmonie, alors l’effort consenti n’aura pas été vain.
Je remercie tous ceux qui m’entourent — famille et collaborateurs — de m’aider à poursuivre ce but. »

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EXPOSITION
ICÔNES DE L’ART MODERNE. LA COLLECTION  CHTCHOUKINE
MUSÉE DE L’ERMITAGE – MUSÉE POUCHKINE – GALERIE TRÉTIAKOV

22 octobre 2016 – 20 février 2017

FONDATION LOUIS VUITTON

8, Avenue du Mahatma Gandhi
Bois de Boulogne - 75116 - Paris
Tel : + 33 1 40 69 96 00
Web : www.fondationlouisvuitton.fr

I— Communiqué de presse

La Fondation Louis Vuitton présente l’exposition « ICÔNES DE L’ART MODERNE.
LA COLLECTION CHTCHOUKINE » qui se tient à la Fondation Louis Vuitton à Paris du 22 octobre 2016 au 20 février 2017. Elle s’inscrit dans le cadre du programme officiel de L’année Franco-Russe 2016-2017 du tourisme culturel dont elle constitue en France l’événement le plus marquant.

L’exposition rend hommage à l’un des plus grands mécènes du début du 20 ème siècle,
Sergueï Chtchoukine, collectionneur « visionnaire » de l’art moderne français du début du 20 ème siècle.

C’est à partir de 1898 que Sergueï Chtchoukine, grand industriel moscovite, entre en contact avec les marchands Paul Durand-Ruel, Ambroise Vollard, Berthe Weill, puis Georges Bernheim et Daniel Henry-Kahnweiler. Les relations affinitaires qu’il entretient avec les artistes comme Matisse, influencent fortement la formation de sa collection exemplaire de l’art le plus radical de son temps.

Paul Gauguin (1848-1903, France)  Aha oé feii (Eh quoi, tu es jalouse ?), été 1892  Huile sur toile 66 x 89 cm  Musée d'Etat des Beaux-Arts Pouchkine, Moscou  N° d'inventaire 3269  COPYRIGHT : Paul Gauguin, Aha oé feii (Eh  quoi, tu es jalouse ?), été 1892.  Courtesy Musée d'Etat des Beaux-Arts Pouchkine, Moscou  © Adagp, Paris 2016

Paul Gauguin (1848-1903, France)
Aha oé feii (Eh quoi, tu es jalouse ?), été 1892
Huile sur toile 66 x 89 cm
Musée d'Etat des Beaux-Arts Pouchkine, Moscou
N° d'inventaire 3269
COPYRIGHT : Paul Gauguin, Aha oé feii (Eh
quoi, tu es jalouse ?), été 1892.
Courtesy Musée d'Etat des Beaux-Arts Pouchkine, Moscou
© Adagp, Paris 2016

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RA’ANAN LEVY

L’épreuve du miroir
7 décembre 2019 – 8 mars 2020

Fondation Maeght, 623 Chemin des Gardettes, 06570 Saint-Paul-de-Vence
Adresse : Fondation Maeght, 623 Chemin des Gardettes, 06570 Saint-Paul-de-Vence
Téléphone : 04 93 32 81 63
https://www.fondation-maeght.com/

Commissaire invité : Hervé Lancelin, président de la Pinacothèque au
Luxembourg.

La Fondation Maeght présente du 7 décembre 2019 au 8 mars 2020 « L’épreuve du miroir », exposition consacrée au monde pictural de Ra’anan Levy dont le commissaire Hervé Lancelin, à la fois proche de l’artiste et familier de sa création, rassemble une trentaine d’oeuvres et un ensemble de gravures qui seront mises en regard avec les collections de la Fondation Maeght.

L’artiste franco-israélien n’a cessé de figurer des portions de la réalité ordinaire, singulièrement choisies, affirmant son style propre tout en approfondissant ses thèmes de prédilection : la configuration de l’espace, la fuite du temps, l’absence des personnes, la présence des objets, l’habité et l’inhabité, les jeux de perception visuelle et d’imagination transformant le quotidien en étrangeté.

RA’ANAN LEVY L'EPREUVE DU MIROIR - FONDATION MAEGHT
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logo fondation maeght h

Première fondation d’art moderne et contemporain en France, la Fondation Maeght fêtera son soixantenaire à l’été 2024. Créée en 1964 par le couple de marchands d’art, éditeurs et lithographes Marguerite et Aimé Maeght, elle fut inaugurée par André Malraux et immédiatement reconnue d’utilité publique. Cet anniversaire sera marqué par une grande exposition estivale « Amitiés, Bonnard-Matisse », l’inauguration de nouvelles salles d’exposition consacrées cette année à la collection permanente et un mois de célébrations composé de concerts, représentations de danse, projections de films, lectures…

 Henri Matisse, Le Buisson, 1951, encre et gouache sur papier, 149 x 149 cm. Collection Adrien Maeght, Saint-Paul-de-Vence © Succession H. Matisse
Henri Matisse, Le Buisson, 1951, encre et gouache sur papier, 149 x 149 cm.
Collection Adrien Maeght, Saint-Paul-de-Vence © Succession H. Matisse
 Pierre Bonnard, L’amandier en fleurs, 1946 54,5 x 37,5 cm Paris, Centre Pompidou - Musée national d’art moderne - Centre de création industrielle Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / image Centre Pompidou, MNAM-CCI

Pierre Bonnard, L’amandier en fleurs, 1946 54,5 x 37,5 cm Paris, Centre Pompidou - Musée national d’art moderne - Centre de création industrielle Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / image Centre Pompidou, MNAM-CCI

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Fondation Maeght

La Fondation Maeght est heureuse de pouvoir à nouveau accueillir ses visiteurs dans ses espaces extérieurs : jardins de scultpures, cour Giacometti, labyrinthe Miró. La préfecture des Alpes Maritimes a en effet autorisé cette ouverture dans le strict respect des consignes de sécurité sanitaire. La librairie, où le visiteur pourra trouver catalogues, affiches, foulards et oeuvres originales, est également autorisée à ouvrir. En attendant l'ouverture des salles d'exposition, le visiteur pourra se promener dans un lieu unique et intemporel où art, architecture et nature dialoguent dans une parfaite harmonie et découvrir des oeuvres d'Alexander Calder, Alberto Giacometti, Joan Miró, Marc Chagall, Jean Arp, Eduardo Chillida, Raoul Ubac, Pierre Tal-Coat, Erik Dietman, Barbara Hepworth, Jean Paul Riopelle, Eugène Dodeigne.

Informations pratiques

Fondation Maeght
623 Chemin des Gardettes
06570 Saint-Paul-de-Vence

https://www.fondation-maeght.com/

Horaires :
Tous les jours : 11h-17h

Tarifs pour les jardins :
Tarif plein : 7 €
Tarif réduit : 5 € (enfants de 10 à 18 ans, étudiants, presse, guides conférenciers)
Gratuit : enfants de moins de 10 ans, personnes en situation de handicap et membres de la Société des Amis

La Fundació Per Amor a l’Art  Inma Femenía, Vicent Todolí, Sandra Guimaraes y Susana Lloret
La Fundació Per Amor a l’Art Inma Femenía, Vicent Todolí, Sandra Guimaraes y Susana Lloret
  • · La artista valenciana ha donado los ocho esbozos que representan las distintas partes de la muestra que hizo para este centro de arte

Valéncia a 2 de marzo de 2021.- Inma Femenía produjo ex profeso la exposición “Infraleve” para el centro de arte Bombas Gens de la Fundació Per Amor a l’Art (FPAA). Tras su clausura el pasado 31 de enero, la FPAA ha adquirido la obra Transversal, para cerrar el círculo de su acción de mecenazgo: impulsar, exponer, adquirir. Femenía, por su parte, ha donado a la colección los ocho esbozos, que se presentan en forma de cuadro y que representan las distintas partes de la exposic̶ión: Transversal, Liminal, Hold, Black Mirror y Mehr Licht!. Ambas obras pasan a formar parte de la Colección Per Amor a L’Art. Esta colección privada de fotografía y arte contemporáneo está compuesta por más de 2.250 obras  de unos 220 autores, tanto nacionales como internacionales. La colección de la Fundació Per Amor a l’Art recibió en 2018 el premio “A” de coleccionismo de la Fundación ARCO.

Transversal (2020) es una instalación hecha con PVC, un material que -debido a su ausencia de color es susceptible de hacer tangibles sus intervenciones y resaltar la forma en que las propiedades luz-materia se relacionan ante una mirada condicionada por lo digital. Esta nueva adquisición se suma a otras ya presentes de la artista en la Colección Per Amor a L’Art y, en palabras de la propia artista: “es una gran satisfacción personal, pues me gusta pensar que en un futuro podrá volver a verse en el lugar que fue concebida o en otros espacios de interés debido a su carácter flexible”.

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La Maison de la Photographie Robert Doisneau de Gentilly porte le nom que lui a donné le plus célèbre représentant de la photographie française du 20ème siècle, lui-même natif de cette commune.

Depuis son ouverture en 1996, la Maison Doisneau est un lieu d'expositions temporaires. Elle rend hommage à Robert Doisneau en explorant la photographie humaniste dans son histoire et dans ses pratiques actuelles, revisitant cette notion au-delà des frontières, privilégiant le regard, le réel et le documentaire.

Attachée à la photographie humaniste, l'Association des Ami-e-s de La Maison de la Photographie Robert Doisneau a été créée afin de contribuer à la valorisation de cette photographie et au rayonnement des actions de la Maison Doisneau auprès d'un plus large public possible.

La Maison de la Photographie Robert Doisneau
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Self Portrait,1990 © Viviane Sassen and Stevenson (Johannesburg / Cape Town / Amsterdam)La MEP présente du 18 octobre 2023 – 11 février 2024 la première rétrospective en France de l’artiste néerlandaise Viviane Sassen Phosphor – Art & Fashion (1990-2023)

MEP – Maison Européenne de la Photographie
5/7 rue de Fourcy 75004 Paris
01 44 78 75 00

www.mep-fr.org 

Cette exposition réunit plus de 200 créations et retrace 30 ans de production d’une œuvre où la photographie côtoie le collage, la peinture et la vidéo.

Cette exposition réunit ses séries iconiques, parmi lesquelles « Umbra », « Parasomnia », « Flamboya » ou « Roxane », des archives inédites, ses œuvres aux techniques mixtes mêlant tirages photographiques, peintures, collages et vidéos ainsi qu’une sélection de ses photographies de mode. L’exposition ambitionne d’éclairer le processus créatif de Viviane Sassen en suivant deux grands axes : la recherche constante de renouvellement des formes photographiques et l’importance de la sphère intime dans son œuvre. Chez Sassen, la photographie n’est pas une simple surface mais un lieu ouvert où elle fait cohabiter ses rêves, ses désirs et ses craintes avec la réalité tangible du monde.

Après quelques années passées à étudier la mode, Viviane Sassen se tourne rapidement vers la photographie où elle se forme à la Utrecht School of the Arts (HKU). Dès la fin de ses études, elle alterne entre projets personnels et commandes commerciales. Son style photographique – aux couleurs intenses, aux jeux graphiques sur l’ombre et la lumière ainsi que le regard singulier qu’elle porte sur les corps – est rapidement plébiscité. Sassen acquiert une renommée internationale, aussi bien dans la sphère de la mode qu’au sein des institutions culturelles.

A l’occasion de cette exposition sera édité un ouvrage de plus de 400 pages aux éditions Prestel et en collaboration avec la MEP. La conception du livre est assurée par la graphiste néerlandaise Irma Boom

Commissaire de l’exposition :Clothilde Morette, responsable de la programmation, MEP assistée par Aden Vincendeau, assistante d’exposition, MEP et Elisa Monteillet, chargée de production, MEP

Photo : Self Portrait,1990 © Viviane Sassen and Stevenson (Johannesburg / Cape Town / Amsterdam)

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Pendant Art Basel, la Fondation Beyeler présente sa grande exposition estivale «Bacon – Giacometti», qui propose une densité impressionnante de chefs-d'œuvre de ces deux artistes d'exception. La nouvelle présentation de la collection placée sous le thème «Nature + Abstraction» s'accompagne d'un important groupe d'œuvres de l'artiste américain Brice Marden issu de la Daros Collection. Certaines acquisitions d'artistes plus jeunes, comme par exemple un grand dessin sur tableau de Tacita Dean ou un ensemble d'œuvres de l'artiste brésilien Lucas Arruda, sont montrées au musée pour la première fois. Le parc de la Fondation Beyeler accueille quant à lui «This You» de Tino Sehgal, œuvre appartenant à la collection du musée.

Vendredi 15 juin, Hans Ulrich Obrist parlera avec Ernesto Neto de son installation monumentale GaiaMotherTree, présentée du 30 juin au 29 juillet 2018 à la gare centrale de Zurich. Ce projet dans l'espace public organisé par la Fondation Beyeler est accompagné d'une programmation riche et variée pour adultes et pour enfants comprenant musique, ateliers, visites et conférences. Au musée, l'artiste montre une sélection d'œuvres des années 1980 et 1990 ainsi que la sculpture Altar for a Plant (2017), conçue spécialement pour le Pavillon de la Fondation Beyeler.

Samedi 16 juin de 13h00 à 14h00, dans le cadre du lancement du livre «Psychoanalytikerin trifft Marina Abramović», l'auteur et psychanalyste Jeannette Fischer s'entretiendra avec Marina Abramović, figure clé du performance art. Cet événement est déjà complet.

Le Young Art Club de la Fondation Beyeler propose un programme éclectique «Art Basel Special», avec des visites guidées exclusives des différentes foires annexes d'Art Basel et une participation à divers événements associés. Rencontrer des artistes, visiter des foires, faire des découvertes en matière d'art et de design: le Young Art Club de la Fondation Beyeler propose tout ce qui constitue une parfaite semaine Art Basel. Pour en savoir plus: www.fondationbeyeler.ch/blog/young-art-club 

Vue d'installation «Bacon – Giacometti», Fondation Beyeler, Riehen/Bâle, 2018; © The Estate of Francis Bacon. Tous droits réservés / Succession Alberto Giacometti / 2018, ProLitteris, Zurich Photo Mark Niedermann
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La Vie, le chef-d’œuvre iconique de la période bleue de Picasso, sera exposé à la Fondation Beyeler à partir de février 2019

Bâle accueillera bientôt La Vie (1903), chef-d'œuvre grandiose de la période bleue de Pablo Picasso prêtée par le Cleveland Museum of Art, Ohio. A partir du 3 février, la Fondation Beyeler, le musée d'art le plus visité de Suisse, présentera le tableau dans ses espaces baignés de lumière dans le cadre de sa grande exposition de printemps « Le jeune PICASSO – Périodes bleue et rose ». Les abonnés de la Newsletter Picasso ont la possibilité de remporter deux billets d'entrée pour le prix d'un.

Raphaël Bouvier, commissaire de l'exposition, est particulièrement heureux de ce prêt accordé par le Cleveland Museum of Art: « Avec La Vie de Picasso, c'est une œuvre clé de l'art du 20ème siècle et l'un des tableaux les plus saisissants de l'art moderne qui sera présentée à la Fondation Beyeler. Il s'agit probablement du premier grand chef-d'œuvre de Picasso. C'est pour nous une joie immense de pouvoir inclure dans notre exposition cette toile si importante et si rarement prêtée. »

La Vie est une véritable icône de l'art moderne et marque le point culminant de la fameuse période bleue de Picasso, qui couvre les années 1901 à 1904. Dans les tableaux profondément émouvants de cette période, caractérisés par leurs tonalités bleutées, Picasso se consacre aux questions universelles de l'existence humaine.

Pablo Picasso, La Vie, 1903, Huile sur toile, 197 x 127,3 cm, The Cleveland Museum of Art, Donation Hanna Fund 1945.24, © Succession Picasso / ProLitteris, Zurich 2018, © The Cleveland Museum of Art
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LAURE PROUVOST
ON IRA LOIN

Exposition monographique
27 juin au 04 octobre 2015
Musée départemental d’art contemporain de Rochechouart
Place du château
87600 Rochechouart France+33 (0) 5 55 03 77 77
www.musee-rochechouart.com
contact.musee[at]haute.vienne.fr
Horaires :
Tous les jours, sauf mardi : de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h

Du 27 juin au 4 octobre le musée départemental d’art contemporain de Rochechouart propose « On ira loin », la première exposition monographique dans un musée français de Laure Prouvost. « On ira loin » souligne combien l’échappée vers l’inconnu et le rêve d’un ailleurs insoupçonné traversent son travail artistique, depuis la fuite mystérieuse d’un grand-père artiste jamais retrouvé (Wantee, 2013).

Laure Prouvost, 2012 Photographe: Jean-Phillipe Dordolo

 L’exposition rassemble sur ce thème des oeuvres déjà emblématiques de l’artiste française, gagnante du Turner Prize en 2013, ainsi qu’une création inédite conçue pour le Château de Rochechouart, The Smoking Image, fruit d'une recherche qu’elle mène actuellement autour de l'adolescence et du voyage. Laure Prouvost, 2012
Photographe: Jean-Phillipe Dordolo

L’oeuvre de Laure Prouvost (née en 1978, basée à Londres et Anvers) prend la forme d’histoires indépendantes qui se recoupent et se répondent, et où la fiction se mélange à la réalité. Ces situations prennent la forme d’installations immersives, dans lesquelles s’entrechoquent des films, des objets, des collages, des fragments de récits, parfois adressés directement au visiteur. Pour The Smoking Image, Laure Prouvost a documenté et imaginé l’histoire de ces adolescents de campagne qui, à l’âge des premiers flirts, rêvent de départ et de leur vie à venir, et dont la liberté passe par l’autonomie de déplacement et le scooter. Le visiteur traversera ce paysage de l’adolescence déployé dans le grenier du château jusqu’à une « tapisserie-mobylette » qui servira de dispositif de projection à un film créé pour l’occasion et tourné à Rochechouart.

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jeu d enfant1hUn week-end d'activités et de jeux
23 & 24 octobre 2021

À l'occasion de la 23e édition de "Monument jeu d'enfant", le Centre des monuments nationaux (CMN) convie enfants et parents à célébrer les monuments en famille, les 23 & 24 octobre prochains, lors d'un week-end d'activités ludiques et pédagogiques.

UN RENDEZ-VOUS AVEC LES MONUMENTS

Les 23 et 24 octobre prochains, petits et grands sont attendus dans 52 monuments du Centre des monuments nationaux partout en France. Palais, châteaux, sites archéologiques et abbayes se découvriront sous un nouveau regard, entre apprentissage et émerveillement. À l'occasion de "Monument jeu d'enfant", durant deux jours, des formes inédites et ludiques d'appropriation des monuments seront proposées aux enfants de 5 à 12 ans et leurs familles : jeux de pistes, enquêtes, ateliers d'arts plastiques, de musique, de danse, lectures de contes ou encore parcours multisensoriels.

UNE PROGRAMMATION RICHE ET VARIÉE À DESTINATION DU JEUNE PUBLIC

Déambulation dans les jardins, jeux d'adresse, parcours contés ou encore concerts et jeux coopératifs : l'ensemble des monuments participant à la nouvelle édition de "Monument jeu d'enfant" concoctent aux petits et aux plus grands, un week-end riche en festivités ! Les enfants et leurs familles sont invités à se parer de leurs plus beaux atours au grand bal du château d'Aulteribe, à mener l'enquête sur l'incroyable disparition des joyaux de la Couronne à travers un jeu de piste sonore et visuel à l'Hôtel de la Marine, à fêter le 400e anniversaire de Jean de la Fontaine en faisant revivre ses personnages les plus célèbres au château de Maisons à Maisons-Laffitte. Ils pourront également s'initier aux techniques de fouilles archéologiques au château d'Angers, à la création de céramique à l'abbaye de Cluny et participeront à une oeuvre collective à l'abbaye du Mont-Saint-Michel : autant d'invitations à découvrir les monuments, en s'amusant !

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Le jeune PICASSO – période bleue et rose
Février à juin 2019

Dans ce qui sera à ce jour sa plus prestigieuse exposition, la Fondation Beyeler se consacre au jeune Picasso et à ses peintures et sculptures des périodes bleue et rose de 1901 à 1907. Les chefs-d'œuvre les plus splendides et les plus précieux de ces deux phases majeures, qui débouchèrent sur le cubisme, n'avaient jamais encore été présentés ensemble en Europe, et il est fort probable qu'un événement d'une telle envergure ne sera pas amené à se répéter.
 
Depuis des décennies, d'innombrables expositions sondent et mettent en lumière la vie et l'œuvre de Pablo Picasso. Il est incontestablement considéré comme l'un des artistes les plus fascinants du 20ème siècle. Ses compositions cubistes l'ont rendu immortel. Mais quel fut son cheminement artistique avant le cubisme? Qu'est-ce qui l'animait, qu'est-ce qui le marquait?
 
Fruit de nombreuses années de préparation, il s'agit à ce jour du projet d'exposition le plus complexe et le plus coûteux de l'histoire de la Fondation Beyeler et de l'un des points forts culturels de l'année 2019 en Europe. L'exposition est réalisée en coopération avec le Musée national Picasso et le Musée d'Orsay à Paris. La billetterie ouvrira en novembre 2018.
 
Sam Keller, directeur de la Fondation Beyeler, et Raphaël Bouvier, commissaire d'exposition à la Fondation Beyeler, vous invitent à en apprendre davantage sur l'exposition à venir et sur le jeune Picasso, grand artiste en devenir. Invitée d'honneur, Diana Widmaier Picasso, petite-fille de l'artiste, évoquera des souvenirs personnels de la vie de son grand-père, esquissant ainsi un portrait authentique et vivant de cette période précoce.
Première conférence de presse en compagnie de la petite-fille de l'artiste, Diana Widmaier Picasso.

Pablo Picasso, Acrobate et jeune arlequin, 1905, gouache sur carton, 105 x 76 cm, collection privée, © Succession Picasso / ProLitteris, Zürich 2018

Pablo Picasso, Acrobate et jeune arlequin, 1905, gouache sur carton, 105 x 76 cm, collection privée, © Succession Picasso / ProLitteris, Zürich 2018

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Grand succès de l'exposition
«Le jeune PICASSO – Périodes bleue et rose»
Prolongation jusqu'au 16 juin 2019

L'exposition «Le jeune PICASSO – Périodes bleue et rose» a réuni presque 250'000 passionnés d'art autour des impressionnantes œuvres de jeunesse de Pablo Picasso. L'intérêt du public est tel que l'exposition est prolongée, les chefs-d'œuvre restant visibles jusqu'au 16 juin inclus dans un agencement légèrement modifié.

«L'exposition de tous les superlatifs» (Tages Anzeiger), «Du jamais vu» (F.A.Z.), «Remarquable» (BaZ), «Une exposition sensationnelle» (Die ZEIT), «Une densité inégalable» (Südkurier), «On n'a jamais vu ça en Europe» (Le Matin Dimanche), «Les œuvres de jeunesse de Picasso, événement de l'année à Bâle» (Le Temps), «La Fondation Beyeler présente une exposition qui restera probablement sans pareil en Europe» (Forbes Exceptional) – voici seulement quelques-uns des échos quasiment unanimes des médias quant à la qualité de l'exposition. Les visiteurs semblent partager cet avis: depuis l'ouverture de l'exposition en février, ce sont chaque semaine des milliers d'amateurs d'art qui se pressent à la Fondation Beyeler.

Exposition «Le jeune PICASSO – Périodes bleue et rose» à la Fondation Beyeler, Riehen/Bâle, 2019; Photo: Mathias Mangold
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Louvre Abu Dhabi La Plazza

Abu Dhabi, 6 Septembre 2017 : Le Louvre Abu Dhabi ouvrira ses portes au public le 11 novembre 2017. Il s’agit du premier musée du monde arabe conçu comme un musée universel, ayant vocation à refléter l’histoire commune de l’humanité à travers différentes cultures et civilisations.

Un programme de festivités publiques, comprenant des représentations de spectacles vivants, de danse, de concerts, projections, conférences et événements, donnés par des artistes contemporains et classiques de renom, accompagnera cet évènement.

Situé à Abu Dhabi, la capitale des Émirats Arabes Unis (EAU), le bâtiment a été conçu par l’architecte français Jean Nouvel, lauréat du prix Pritzker, comme une ville-musée (médina) recouverte d’un vaste dôme argenté. Les visiteurs pourront déambuler dans les espaces de promenade surplombant la mer, et sous le dôme de 180 mètres de diamètre composé de près de 8 000 étoiles en métal entrelacées pour former un savant dessin géométrique. Les rayons du soleil traversant le dôme créent un effet saisissant de « pluie de lumière », inspiré des palmeraies des  oasis des Emirats Arabes Unis.

Le musée présentera sa riche collection d’œuvres d’art ainsi que des prêts des plus grands musées français. La collection couvre tous les pans de la création artistique des origines de l’art à nos jours, depuis la Préhistoire aux commandes faites à des artistes contemporains. Le musée offre une présentation muséographique inédite mettant en lumière les thèmes universels et les influences communes entre les civilisations. Cette approche distingue le musée de la plupart des institutions muséales dont le parcours propose un classement par styles ou civilisations. Le Louvre Abu Dhabi comprend, en plus des galeries permanentes, un espace d’exposition temporaire, un musée des enfants, un auditorium, un restaurant, une boutique et un café.

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françoise ForgeritLe Président de la République française, Emmanuel Macron a inauguré en grande pompe le musée Le Louvre Abu Dhabi, conçu par un architecte français Jean Nouvel. Et au lieu de s'écrier, en bombant le torse, " la France est de retour " ou en manifestant son amertume, " que va-t-on faire là bas ? ", tournons-nous pour comprendre vers les collections de notre premier musée national depuis 1793 .
Que nous dit Le Louvre, musée d'art et d'antiquités ?
Pouvons- nous y admirer La Dame de Brassempouy, vieille de 25 000 ans ou Le cratère de Vix du 5ème siècle avant Jésus Christ?
Non, aucune œuvre d'art provenant de notre préhistoire ou histoire ancienne sur notre sol. Notre lointain passé est donné à voir dans d'autres musées, peu connus du grand public. Curieux, pour un pays où la question des racines, de l'identité, des origines fait régulièrement débat.
Pour ce même lointain passé, le Louvre s'enorgueillit du Scribe accroupi et du Palais de Sargon, de la Vénus de Milo et de la Victoire de Samothrace. Et chacun reconnaît la Joconde comme l'œuvre phare, non seulement de l'ensemble des peintures italiennes mais encore de tout le musée.
Délibérément, la France a fait le choix, grâce à l'art et pour l'art, de s'ouvrir sur le monde, d'admirer l'esthétique et la beauté des autres cultures, et bien avant que les politiques ne s'emparent de cette notion, elle a prôné, par l'intermédiaire de son musée emblématique, le dialogue des cultures. Ainsi n'est-il pas étonnant que l'étape suivante soit celle de la création d'un nouveau Louvre à Abu Dhabi, initié par Jacques Chirac, dans un esprit et dans un lieu à la croisée des routes de l'Orient, l'Occident et l'Afrique. Dans le temps long, il s'inscrit comme une évidence.
Emmanuel Macron peut exprimer, au nom du Louvre et de la France, cette même idée :
" C'est toute la fresque des civilisations qui se compose sous nos yeux ; c'est alors que la beauté devient une clé vers l'universel, un lien spécial qui se tisse en nous, parce que nous élevons l'humanité vers ce qu'elle a de meilleur. "
Par cette inauguration , le Louvre reste fidèle à lui-même et à la France de Paris à Abu Dhabi, car c'est appartenir à la même Histoire, l'histoire de l'art et l'histoire du monde.
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LE MUSEE PRIVE

Tél: (33) 09 75 80 13 23
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Patrick Reynolds
 

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Directeur de publication

 

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