JEFF KOONS, LA RÉTROSPECTIVE Centre Pompidou 75191 Paris cedex 04 téléphone 00 33 (0)1 44 78 12 33 www.centrepompidou.fr 26 NOVEMBRE 2014 - 27 AVRIL 2015 Le Centre Pompidou présente à partir du 26 novembre prochain, la première rétrospective complète consacrée à Jeff Koons en Europe. Cette exposition sans précédent permet de prendre toute la mesure d’une oeuvre qui aura marqué depuis trente-cinq ans le paysage artistique et culturel contemporain. Si Jeff Koons a fait l’objet de maintes expositions, présentant tantôt des ensembles précis de son travail, tantôt des sculptures spécifiques dans des environnements historiques donnés, aucune exposition n’a rassemblé son oeuvre en un parcours exhaustif et chronologique, couvrant l’entièreté de sa production. Quelque cent sculptures et peintures composent cette rétrospective qui suit tous les jalons de la carrière de l’artiste. |
Balloon Dog (Magenta), 1994 - 2000 |
Art Latino-Américain
50 ans de la Fondation Maeght
FACE A L'OEUVRE Pour leur grande exposition d’été 2014, Adrien Maeght, président du conseil d’administration, et Olivier Kaeppelin, directeur de la Fondation Maeght, ont choisi de rendre hommage aux oeuvres, dans cet esprit de face à face singulier, favorisé par l’architecture épurée et lumineuse de la Fondation Maeght. |
François Fiedler, A trois termes I, II et III, 1959. |
« La Fondation Maeght a toujours refusé les a priori sur les oeuvres. Elle est d’abord au service des artistes et de l’art, dans une passion partagée avec le public ; c’est ce qui la rend si unique. Je crois qu’Aimé Maeght nous a appris que l’expérience importante était ce moment précis où s’ouvrent, pour chacun d’entre nous, un espace, un temps, une surprise qui contribuent à inventer la pluralité des mondes » explique Olivier Kaeppelin.
Abstract Expressionism Royal Academy of Arts London
Abstract Expressionism Main Galleries Royal Academy of Arts,
The selection aims to re-evaluate Abstract Expressionism, recognising that though the subject is often perceived to be unified, in reality it was a highly complex, fluid and many-sided phenomenon. Likewise, it revises the notion of Abstract Expressionism as based solely in New York City by addressing such figures on the West Coast as Sam Francis, Mark Tobey and Minor White. |
Clyfford Still, PH-950, 1950. Oil on canvas, 233.7 x 177.8 cm. Clyfford Still Museum, Denver © City and County of Denver / DACS 2016. Photo courtesy the Clyfford Still Museum, Denver, CO; |
Agnès Varda Le Centre d’art La Malmaison et Villa Domergue Cannes
Agnès Varda deux expositions à Cannes 8 juillet – 18 septembre 2022 Agnès Varda. Du 8 juillet au 20 novembre 2022 au Centre d’art la Malmaison et du 8 juillet au 18 septembre à la Villa Domergue, Rosalie Varda, directrice artistique et co-commissaire de l’exposition avec Hanna Baudet, directrice du Pôle d’Art Contemporain de Cannes, met à l’honneur l’univers d’Agnès Varda, dans la ville même qui l’a célébrée pour sa filmographie foisonnante, à travers une exposition estivale autour de la mer, de la plage et des cabanes, thèmes récurrents dans son travail de cinéaste et d’artiste plasticienne. |
Agnès Varda sur le tournage du film Les Créatures (1965). Photographie : Marilù Parolini © ciné-tamaris |
Alberto Giacometti Rétrospective Guggenheim de Bilbao
Rétrospective du 19 octobre 2018 au 24 février 2019 Apporter le soutien d’IBERDROLA à l’exceptionnelle exposition Alberto Giacometti. Rétrospective que le Musée Guggenheim Bilbao consacre à l’un des plus grands sculpteurs de l’histoire et un des artistes majeurs du XXe siècle est pour nous l’objet d’une très grande fierté. Nous invitons donc le public à venir découvrir dans les salles du Musée un parcours illustrant 40 ans de la carrière de l’artiste au travers d’une sélection de 200 pièces —sculptures, peintures et oeuvres sur papier—, lesquelles viennent rendre hommage à l’esprit créateur de Giacometti et à témoigner de son inextinguible quête de vérité. Cette rétrospective rend fidèlement compte des évolutions constantes de l’artiste, depuis ses premiers travaux influencés par le cubisme et le surréalisme – au fort contenu symbolique et d’une facture très abstraite – jusqu’à ses célèbres figures stylisées qui se distinguent par leur matière brute et leurs échelles multiples. Alberto Giacometti s’est toujours démarqué par la profondeur de sa démarche et de sa réflexion. Il a cultivé l’amitié de nombreux intellectuels et écrivains comme Simone de Beauvoir — dont l’effigie est ici présente à travers deux bustes —, Jean Genet — dont on retrouve un portrait à l’huile dans l’exposition — ou encore Jean-Paul Sartre – qui définissait Giacometti comme l’artiste “existentialiste” par excellence –. |
Alberto Giacometti |
ALBERTO GIACOMETTI TATE MODERN LONDON
ALBERTO GIACOMETTI 10 May – 10 September 2017 Supported by the Alberto Giacometti Supporters Circle, Tate Patrons and Tate Americas Foundation Tate Modern, Eyal Ofer Galleries
Born in Switzerland in 1901, Giacometti moved to Paris in the 1920s where he became engaged with cubism and latterly joined the Surrealist Group in 1931. Celebrated works such as Woman with her Throat Cut 1932 will reveal Giacometti’s engagement with surrealism as well as his powerful explorations of brutality and sadism. A wide range of the artist’s large scale sculptures will also be showcased alongside his drawings and books. Other works like Untitled (mask) 1934 will demonstrate his engagement with the decorative arts, while Man (Apollo) 1929 and The Chariot 1950 will show his preoccupation with Egyptian and African art. The exhibition will reveal how Giacometti, perhaps more than any other artist of his day, fused the ancient and the modern and broke down barriers between the decorative and the fine arts. |
Alberto Giacometti Man Pointing 1947 |
Alexander Calder & Fischli/Weiss Fondation Beyeler
Alexander Calder & Fischli/Weiss
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Alexander Calder, Apple Monster, 1938, Calder Foundation, New York donation d'Alexander S.C. Rower à la mémoire de Mary Calder Rower, 2015, © 2016 Calder Foundation, New York / ProLitteris, Zurich; Photo: Calder Foundation, New York / Art Resource, New York |
Alexander Calder: Performing Sculpture
Tate Modern
Bankside,
London SE1 9TG, United Kingdom
Call +44 (0)20 7887 8888
Tate London
11 November 2015 – 3 April 2016
Tate Modern, Level 3
Supported by Terra Foundation for American Art with additional support from the Performing Sculpture Supporters Circle
Open daily from 10.00 – 18.00 and until 22.00 on Friday and Saturday
For public information call +44 (0)20 7887 8888, visit tate.org.uk, follow @Tate #Calder
Tate Modern presents the UK’s largest ever exhibition of Alexander Calder (1898-1976). Calder was one of the truly ground-breaking artists of the 20th century and, as a pioneer of kinetic sculpture, played an essential role in shaping the history of modernism. Alexander Calder: Performing Sculpture brings together approximately 100 works to reveal how Calder turned sculpture from a static object into a continually changing work to be experienced in real time.
Alexander Calder initially trained as an engineer before attending painting courses at the Arts Students League in New York. He travelled to Paris in the 1920s where he developed his wire sculptures and by 1931 had invented the mobile, a term first coined by Marcel Duchamp to describe Calder’s motorised objects. The exhibition traces the evolution of his distinct vocabulary – from his initial years captivating the artistic bohemia of inter-war Paris, to his later life spent between the towns of Roxbury in Connecticut and Sachéin France.
Alexandre Calder MAMAC Nice
Dans le cadre du 50e anniversaire de la Fondation Maeght « Pourquoi l'art devrait-il être statique ? En regardant une oeuvre abstraite, qu'il s'agisse d'une sculpture ou d'une peinture, nous voyons un ensemble excitant de plans, de sphères, de noyaux sans aucune signification. Il est peut-être parfait mais il est toujours immobile. L'étape suivante en sculpture est le mouvement. » Alexander Calder (1932) |
Alexandre Calder Spirales et cerceaux 1969
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ALINE ZALKO Maison des Arts de Châtillon
ALINE ZALKO
MIRAGES du 13 septembre au 8 décembre 2024 Maison des Arts de Châtillon 11 rue de Bagneux, 92320, CHATILLON |
La Maire de Châtillon Martine GOURIET, L'Adjointe à Madame la Maire, déléguée à la Culture et au Patrimoine Et le Conseil municipal, sont heureux de vous inviter à l’exposition de Aline ZALKO Du 13 septembre au 8 décembre 2024 VERNISSAGE DE l'EXPOSITION sur demande auprès de La Maison des Arts le JEUDI 12 SEPTEMBRE 2024 à partir de 19h Aline Zalko est dessinatrice et peintre. Elle puise dans l'observation de la nature et les photos trouvées qu'elle collectionne pour créer des œuvres dans lesquelles couleurs et perspectives sont réinterprétées. Diplômée de l'École des Arts Décoratifs de Paris, Aline Zalko expose en 2013 au Salon d'art contemporain de Montrouge une série de grands dessins au crayon de couleur et pastel centrés sur l'intime et la puberté. Dans les années qui suivent, elle élargit son propos en y intégrant des questionnements sur l'imagerie féminine, de façon plus radicale. Au début des années 2020, à l'occasion de nombreux séjours en Auvergne, Aline Zalko amorce un tournant. Elle place la nature au centre de son travail, et commence une série de peintures à l'acrylique sur de larges toiles, privilégiant une gamme chromatique extravertie dans un traitement qui confine à l'abstraction. Qu'il s'agisse du papier ou de la toile, elle retranscrit le monde qu'elle observe en l'irradiant et le distordant, jouant des couleurs contrastées et des matériaux. Aline Zalko révèle un univers ambigu et vibrant, parcouru de jardins, d'incendies et de forêts, où tout semble en perpétuel état de métamorphose. La figure humaine, lorsqu'elle est représentée, semble déjà faire partie d'un monde révolu. Site internet de l'artiste : https://alinezalko.com/ aline.zalko(at)gmail.com Instagram : https://www.instagram.com/alinezalko/ |
ANNE ET PATRICK POIRIER MUSEE JEAN COCTEAU
ANNE ET PATRICK POIRIER LA CHAMBRE D’ORPHEE |
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La chambre d’Orphée est le titre choisi à dessein par Anne et Patrick Poirier, en écho aux liens subtils unissant leur oeuvre et celle de Jean Cocteau que l’exposition met en lumière. Ils sont tous trois fins connaisseurs des mythes qui n’ont cessé de nourrir leur imaginaire et passionnés par les méandres de la psyché. Leur créativité puise aussi bien dans leur histoire personnelle que dans celle du monde, en particulier méditerranéen. Heurtebise, Cégeste, Orphée, Eurydice, Gradiva, Norbert Hanold, Freud sont les figures tutélaires de leurs pérégrinations introspectives dont l’incarnation prend les formes les plus diverses : poésie, théâtre, cinéma et dessin pour Cocteau ; sculpture, installation, peinture, photographie, écriture, vidéo pour Anne et Patrick Poirier. |
Anne et Patrick Poirier, Valise, 1968, documents publicitaires touristiques de voyages méditerranéens /Italie, carton, papier, 30 x 40 cm (fermée). © A et P Poirier, courtesy Galerie Mitterrand, photo : Jean-Christophe Lett |
ANNE SLACIK et ANDRE-PIERRE ARNAL : DE SUPPORTS/SURFACES AUX LIVRES D'ARTISTES
Dans le cadre de la "2ème biennale du livre d'artiste" Les Amis du musée Soulages présentent la conférence "DE SUPPORTS/SURFACES AUX LIVRES D'ARTISTES" enregistrée à l’auditorium du Musée Pierre Soulages de Rodez. Animée par ANNE SLACIK et ANDRE-PIERRE ARNAL |
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Anonymats d'aujourd'hui MUSEE DE L'ELYSEE LAUSANNE
Anonymats d’aujourd’hui Quelle place la ville contemporaine donne-t-elle à l’individu ? Il est d’usage de dire que les métropoles actuelles sont anonymes, brassant des masses humaines dans lesquelles le citadin se noie. |
© Hans Wilschut, Network, de la série «Hermetic City», 2015 |
ARLETTE GINIOUX MUSEE DESPIAU-WLERICK
Arlette Ginioux Rétrospective 9 août 2014 - 1er février 2015 Musée Despiau-Wlérick Place Marguerite de Navarre Mont de Marsan www.montdemarsan.fr Installé dans l’ancien donjon Lacataye, le musée Despiau-Wlérick de Mont de Marsan possède des collections exceptionnelles de sculpture moderne. Il accueille régulièrement des expositions monographiques de sculpture. Dans ce cadre, la rétrospective Arlette Ginioux a été programmée, en partenariat étroit avec la galerie Malaquais (Paris). Elle rassemblera 58 sculptures et 135 dessins et peintures. Héritière de Camille Claudel et Germaine Richier, Arlette Ginioux, comme ses aînées, se réfère à l’humain et aux sentiments sincères. Son écriture stylistique se situe entre tradition et modernité, à l’instar de Robert Couturier, qui admirait son oeuvre. |
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ART PRIZE PALLAVICINI
Venerdì 9 settembre 2022 ore 11.00 Palazzo Pallavicini, nel salone delle feste, inaugura la stagione autunnale con l'apertura al pubblico e la conferenza stampa della prima edizione del Premio APP ART PRIZE PALLAVICINI a cura di Claudia Andreotta e Francesca Bogliolo in collaborazione con Pallavicini srl. La mostra App in questa prima edizione ha ricevuto moltissime candidature di Artisti provenienti da tutto il mondo, tra i quali si sono contraddistinti gli Artisti vincitori che esporranno le proprie opere dal 9 al 18 settembre. Il tema "la vita intesa nella sua dimensione intima e collettiva, in relazione allo spazio e al tempo" L'esperienza delle avanguardie storiche in Europa non solo ha trasformato completamente i linguaggi espressivi, ma ha anche abbattuto in modo definitivo la rigida distinzione tra l'arte intesa come puro fenomeno estetico, cristallizzato in canoni ideali, e la vita. Da quel momento, infatti, qualsiasi corrente artistica si pone non solo come innovatrice nel contesto di accademie e musei, ma come portatrice di una volontà di intervento globale: non si "riveste" il reale con uno "stile", ma si procede secondo una Weltanschauung (concezione della vita) che da visione diventa metodo per rifondare l'urbanistica, l'industria, l'istruzione, la moda, persino l'alimentazione, qualunque aspetto della società. L'estetica si unisce all'etica, l'arte alla vita. Poiché il dibattito artistico odierno è ancora innegabilmente debitore della rivoluzione delle avanguardie, il tema proposto dalla prima edizione del premio APP Art Prize Pallavicini risulta ancora di stringente attualità, tanto da aver richiamato numerosi artisti italiani e internazionali: la Vita e come l'Arte la influenzi e ne sia influenzata con l'invito a misurare la vita intesa nella sua dimensione intima e collettiva, in relazione allo spazio e al tempo, nelle sue diverse forme ed espressioni, dove quello che conta è il percorso dell'opera e dell'Artista che l'ha concepita. In un caleidoscopio di soluzioni linguistiche (dalla nitida narrativa alle strutture aniconiche, all'iperrealismo) e tecniche (pittura, arazzo, fotografia, assemblaggio...) le opere selezionate affrontano ogni possibile aspetto del vivere, rappresentando l'uomo e i suoi stati d'animo (dolore, inquietudine, serenità...), il suo guardare alla realtà con ironia, con senso di attesa o con la volontà di andare anche oltre tramite un anelito spirituale; per molti artisti la vita trascorre attraverso gli oggetti del quotidiano, che da banali strumenti d'uso si fanno portatori della lirica dell'esistere. Ricorre frequentemente anche la ricerca sul rapporto consapevole con la natura e con l'ambiente, sull'intervento in essi dell'uomo (dalle armonie dell'architettura, all'invadenza dell'industria e della tecnologia), sulla città come luogo privilegiato dell'aggregazione. Non manca tuttavia l'eterno incanto per le bellezze naturali, ritratte nella loro delicata opulenza e indagate sia nelle microscopiche evoluzioni formali della loro costituzione chimico-matematica sia nell'incalcolabile grandezza dell'universo. Un infinito che l'uomo ha tentato di imbrigliare con la geometria, di trasformare con l'ingegneria, di armonizzare con la musica (tutte discipline variamente raffigurate): ma il reale evolve costantemente e l'unico modo per fermare in un attimo infinitesimale questo inarrestabile fluire è l'arte con la sua essenza di doppia riflessione dinamica. Non si tratta solo infatti di un pensiero temporaneo dell'artista fissato in un'opera, ma di tutto il flusso di idee, interrogativi, scoperte che essa può generare nell'osservatore, dell'incontro tra l'arte e la vita e di come (citando nuovamente il testo del bando del premio) l'Arte la influenzi e ne sia influenzata. |
Artist Thomas Hirschhorn Bombas Gens Centre d’Art
Au cœur de l'abstraction Fondation Maeght
Hans Hartung, T 1987-H3, T 1987-H4, 10 mars 1987 (1) |
Au cœur de l'abstraction Exposition du 2 juillet au 20 novembre 2022 Riche d'une collection de plus de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght est toujours curieuse et honorée de présenter d'autres collections, parfois peu accessibles au public, comme elle l'a régulièrement fait par le passé. En cet été 2022, elle dévoile du 2 juillet au 20 novembre près de 120 œuvres de la Fondation Gandur pour l'Art (Genève) et propose une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, alors que nombre d'artistes européens exilés aux États-Unis reprennent le chemin de la France, Paris redevient une place forte de la création et reprend sa place de capitale culturelle mondiale. Une soif de liberté vissée au corps ainsi qu'un besoin impérieux de repenser la peinture après les années de guerre, des artistes du monde entier retrouvent leurs ateliers abandonnés durant l'occupation allemande et participent à une période d'effervescence créatrice, qu'elle soit artistique, littéraire ou cinématographique. Si les brèches ouvertes par les avant-gardes de la première moitié du XXe siècle restent un ferment important après-guerre, l'art abstrait se renouvelle, de l'expression la plus gestuelle aux questionnements sur la matière, les supports et les techniques. |
Bacon Giacometti Fondation BEYELER Suisse
Bacon – Giacometti 29 avril – 2 septembre 2018 Avec Alberto Giacometti et Francis Bacon, la Fondation Beyeler présente à partir du 29 avril 2018 deux protagonistes d’exception de l’art moderne, tant amis que rivaux, dont la vision a fortement influencé l’art de la deuxième moitié du 20ème siècle à aujourd’hui. C’est la toute première fois qu’un musée consacre une exposition conjointe à ces deux artistes, éclairant leurs rapports et leurs relations. Aussi différentes que leurs oeuvres puissent sembler à première vue, ce face-à-face inattendu fait apparaître des correspondances surprenantes. L’exposition comprend des oeuvres célèbres des deux artistes, complétées par des oeuvres rarement exposées. A noter plus particulièrement, une série de plâtres originaux en provenance de la succession de Giacometti jamais encore dévoilés au grand public, ainsi que quatre grands triptyques de Bacon. Une salle multimédia propose des aperçus spectaculaires des ateliers des deux artistes. L’exposition est organisée par la Fondation Beyeler en collaboration avec la Fondation Giacometti, Paris. Le peintre britannique et le sculpteur suisse se sont rencontrés au début des années 1960 au travers d’une amie commune, l’artiste Isabel Rawsthorne. En 1965, leur relation était déjà telle que Bacon avait rendu visite à Giacometti à la Tate Gallery à Londres lorsque ce dernier y installait son exposition. Une série de clichés du photographe anglais Graham Keen documente cette rencontre, montrant les deux artistes en intense conversation. Plus d’un demi-siècle plus tard, les deux artistes sont réunis à la Fondation Beyeler et ce double portrait photographique ouvre l’exposition. |
Alberto Giacometti und Francis Bacon, 1965 Tirage gélatino-argentique © Graham Keen |
Ben Musée Tinguely Bâle Suisse
La galerie Eva Vautier vous invite à l'exposition hors les murs de Ben Vautier Est-ce que tout est art ? Ben Vautier Galerie Eva vautier ist alles Kunst ? Le Musée Tinguely , Bâle - Suisse |
Ben ist alles Kunst ? Courtesy Galerie Eva Vautier |
Ben Vautier L'art est un virus Fondation Linda et Guy Pieters Saint Tropez
L'ART EST UN VIRUS - Exposition Ben Vautier du 4 juin - 11 octobre 2020 Fondation Linda et Guy Pieters Ben, de son vrai nom Benjamin Vautier, est un artiste français d’origine suisse, né le 18 juillet 1935, à Naples (Italie), de mère irlandaise et occitane, et de père suisse francophone. Il est le petit-fils de Marc Louis Benjamin Vautier, peintre suisse du XIXe siècle. Il vit ses cinq premières années à Naples. Après la déclaration de guerre, en 1939, Ben et sa mère vont multiplier les voyages : Suisse, Turquie, Égypte, Italie…, pour enfin s’installer à Nice en 1949. Il étudie à l’école du Parc-Impérial et à la pension du collège Stanislas. Sa mère lui trouve un travail à la librairie Le Nain bleu en tant que garçon de course, puis lui achète une librairie-papeterie. À la fin des années 1950, il la vend pour ouvrir une petite boutique, dont il transforme la façade en accumulant quantité d’objets et dans laquelle il vend des disques d’occasion. Rapidement, sa boutique devient un lieu de rencontres et d’expositions où se retrouvent les principaux membres de ce qui deviendra l’école de Nice : César, Arman, Martial Raysse, etc. Proche d’Yves Klein et séduit par le Nouveau Réalisme, il est convaincu que « l’art doit être nouveau et apporter un choc ». |
Berenice ABBOTT Musée de la Photographie Charles Nègre Nice
Exposition Berenice ABBOTT - Topographies Vernissage > Jeudi 18 octobre 2018 à 19 heures En présence de Robert Roux, Conseiller municipal délégué au Cinéma, aux Arts dans l’Espace Public, au Pôle de Culture Contemporaine « Le 109 », Subdélégué aux Musées et aux Musiques Actuelles, représentant Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur, Président délégué de la Région SUD-Provence-Alpes-Côte d’Azur Musée de la Photographie Charles Nègre L’œuvre de Berenice Abbott (Springfield, USA, 1898 - Monson, USA, 1991) a été décisive et déterminante dans l’Histoire de la Photographie puisqu’elle contribuera à définir une nouvelle conception de ce langage. Autonome parce que délestée de toute référence à la peinture, elle existe alors strictement de et par ses propres spécificités intrinsèques. Venue à Paris au début des années 1920, formée par Man Ray (Philadelphie, USA, 1890 - Paris, 1976) avant d’ouvrir son propre studio, Berenice Abbott entame avec succès une carrière de portraitiste. Connue, dans les cénacles de l’avant-garde de Paris et New York, des années 20 et 30, pour être une fervente militante en faveur de la reconnaissance de la photographie documentaire comme un art, elle n’aura de cesse de questionner dans son travail, les aspects de réalisme et modernisme. Son œuvre phare et manifeste, représentative de ces préceptes et engagements sera Changing New York (1935 – 1939), vaste entreprise « d’interprétation documentaire » des mutations architecturales auxquelles sera soumise New York dans les années 1930. Par ailleurs, la figure de Berenice Abbott apparaît à nouveau dans l’Histoire de la Photographie indissociable, et réciproquement d’ailleurs, de celle d’Eugène Atget (Libourne, France, 1857 – Paris, 1927) dont elle aura activement contribué à la reconnaissance de l’œuvre en Europe et aux États-Unis. Atget, photographe français, rendra compte dès 1890 d’un Paris qui disparaît après la mise en place des grands chantiers Haussmanniens dès la deuxième moitié du XIXe siècle, visant à faire de Paris une ville moderne à l’image de Londres. Atget restera une figure emblématique et de référence pour Berenice Abbott. Son œuvre, qui la précède en est l’amorce, celle d’Abbott, sa résonance. Dans son ensemble et de manière panoramique, l’œuvre de Berenice Abbott revêt des aspects protéiformes. Il n’en demeure pas moins que les déplacements de ses problématiques et intérêts tout au long de sa carrière depuis la photographie de portrait, puis d’architecture et enfin scientifique, s’effectuent avec logique et cohésion. Elle s’attachera à examiner le langage photographique à travers un prisme, lui donnant une autre dimension et profondeur. Avec une présentation d’une centaine de photographies et documents, le Musée de la Photographie Charles Nègre offre aux visiteurs un aperçu de l'œuvre de cette artiste majeure. |
Flatiron Building, Madison Square, New York, 1938 |
Bernard Buffet Rétrospective Musée d’Art moderne de la Ville de Paris
Bernard Buffet Rétrospective Musée d’Art moderne de la Ville de Paris Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris organise une rétrospective de l’oeuvre de Bernard Buffet (1928 - 1999), considéré comme l’un des peintres français les plus célèbres du XXème siècle, mais également l’un des plus discutés. À travers une sélection d’une centaine de peintures, l’exposition propose une relecture d’une oeuvre qui a été en réalité très peu vue. Parce que le Musée d’Art moderne est le seul musée public possédant une collection importante d’oeuvres de l’artiste (entrée en 1953 par l’important legs Girardin et en 2012 par la donation Ida et Maurice Garnier), il était légitime de réaliser ce projet qui remonte aux premiers contacts pris avec son marchand historique Maurice Garnier (1920 - 2014), il y a près de dix ans, mais que la dimension restée longtemps polémique de l’oeuvre de Bernard Buffet avait retardé. Aujourd’hui, avec la distance du temps, de nombreux artistes, professionnels et amateurs, reconsidèrent l’oeuvre, ce qu’elle pouvait avoir de déroutant s’étant en partie atténué. En balayant l’ensemble de l’oeuvre dans un parcours rétrospectif, mais très sélectif en raison de la grande productivité de l’artiste, l’exposition montrera la qualité et la variété insoupçonnées de ce qui restera peut-être comme une des oeuvres picturales les plus fascinantes du siècle dernier et dont l’influence sera peut-être une des plus considérables. |
Bernard Buffet |
Bernard Lorjou rétrospective Château de Tours
BERNARD LORJOU 2 Décembre au 12 Février 2017 Sous ce titre bien expressif, la Ville de Tours organise, en collaboration avec l’Association Bernard Lorjou, une grande rétrospective de Bernard Lorjou dans son Château du 25, avenue André Malraux. Elle aura lieu du 2 décembre 2016 au 12 février 2017 en réunissant une cinquantaine de peintures, quinze dessins et douze portraits photographiques de l’artiste. Belle occasion de découvrir et redécouvrir l’œuvre de cet artiste qui fascine le public à la fois par ses thèmes et par son art haut en couleur. |
Bernard Lorjou |
Bernard SABRI expose dans ART CAPITAL au Grand Palais
Bernard Sabri exposera au Grand Palais, Salon des Indépendants, dans le cadre d'ART CAPITAL, sous le parrainage du ministère de la Culture : Bernard est un artiste de la photographie numérique. Il explore la photographie par des techniques modernes afin de faire partager ses émotions de l'univers de l'art numérique, où le virtuel et le réel fusionnent, à travers d'œuvres exprimant sa profonde sensibilité à cette récente forme de l’art contemporain. À travers 4 de ses photocompositions, Bernard s'est engagé dans la lutte contre le réchauffement climatique et œuvre, à sa manière, pour une transition vers une société bas-carbone. Il est persuadé que malgré les promesses des États lors de la COP21, qui a marqué le début d'une nouvelle ère, c’est l’engagement de la société civile, des citoyens, des collectivités et des entreprises qui jouera un rôle majeur qui permettra ainsi d’enclencher le «virage climatique». La finalité de son travail est de « vous » faire partager, par ses œuvres, ses émotions de l'univers de l'art numérique. |
Bilan 2020 et perspective 2021 de la Fondation Beyeler
Communiqué de presse, 22 janvier 2021 Bilan 2020 et perspective 2021 de la Fondation Beyeler: Comme pour la plupart des institutions culturelles, l’année 2020 aura été difficile pour la Fondation Beyeler. Le bilan est bien inférieur aux attentes mais aussi nettement supérieur aux craintes. La programmation et le nombre de visiteurs·ses ont été massivement impactés par les fermetures obligatoires du musée, les interdictions de manifestations publiques, les restrictions de voyage et de déplacement et autres mesures administratives rendues nécessaires par la pandémie du coronavirus. |
Bombas Gens Centre d’Art llega a PHotoESPAÑA con las series de Rautert y Papageorge
CARMELO ARDEN QUIN CENTRO CULTURAL LA MONEDA
CARMELO ARDEN QUIN MUSEO NACIONAL de BELLAS ARTES
Domenica 20 novembre 2022, al MUSEO NACIONAL de BELLAS ARTES, Av. Del Libertador, 1473 – Buenos Aires - Argentina si concluderà la grande esposizione "CARMELO ARDEN QUIN en LA TRAMA DEL ARTE CONSTRUCTIVO" |
La mostra, a cura della Prof.ssa Cristina Rossi, e con il patrocinio del Ministero della Cultura Argentina è stata presentata con 100 opere di Arden Quin, messe in dialogo con 63 opere realizzate dai seguenti artisti : |
Centenaire de la naissance d’Ernst Beyeler
Centre Pompidou Elles font l'abstraction
Elles font l'abstraction Commissaire générale : L’exposition « Elles font l’abstraction » présentée au Centre Pompidou de la réouverture jusqu'au 23 août 2021, propose une relecture inédite de l’histoire de l’abstraction depuis ses origines jusqu’aux années 1980, articulant les apports spécifiques de près de cent dix « artistes femmes ». La commissaire générale Christine Macel et la commissaire associée pour la photographie, Karolina Lewandowska, revisitent cette histoire, tout en mettant en évidence le processus d’invisibilisation qui a marqué le travail des «artistes femmes», à travers un parcours chronologique mêlant arts plastiques, danse, photographie, film et arts décoratifs. Les artistes y sont présentées, selon les termes choisis pour le titre, comme actrices et cocréatrices à part entière du modernisme et de ses suites. L’exposition présente les tournants décisifs qui ont marqué l’histoire de l’abstraction tout en remettant en cause ses canons esthétiques, sans pour autant en redéfinir un. Il s’agit aussi de dépasser l’idée d’une histoire de l’art conçue comme une succession de pratiques pionnières. En redonnant une place aux « artistes femmes » au sein de cette histoire, l’exposition en démontre la complexité et la diversité. Elle opère tout d’abord une incursion inédite dans le 19e siècle avec la redécouverte de l’oeuvre de Georgiana Houghton datant des années 1860, bouleversant la chronologie des origines de l’abstraction à partir de ses racines spiritualistes. Elle valorise ensuite des figures phares par de mini-monographies mettant en avant des artistes peu montrées en Europe ou injustement éclipsées. Une attention toute particulière est donnée aux contextes spécifiques qui ont entouré, favorisé ou au contraire limité la reconnaissance des « artistes femmes » – des contextes à la fois éducationnels, Reférence Image : Saloua Raouda Choucair, |
Centre Pompidou Jim Dine exposition Paris Reconnaissance
Jim DINE - Paris : Reconnaissance Artiste et poète américain de renommée mondiale, Jim Dine, né en 1935, rejoint New York en 1958. Il délaisse alors le happening pour la peinture, ses sujets mêlant expressionnisme abstrait et pop, sans se réclamer du mouvement. À l’occasion de l’importante donation faite par l’artiste au Musée national d’art moderne, le Centre Pompidou consacre une exposition inédite à son œuvre. Jeudi 15 mars à 19h : House of Words, lecture performance par Jim Dine dans le cadre du cycle In Vivo (Cinéma 2) Commissaire : Mnam/Cci, Bernard Blistène, Annalisa Rimmaudo |
Jim DINE A Child in Winter Sings, 2011-2012 |
CÉSAR LA RÉTROSPECTIVE CENTRE POMPIDOU
CÉSAR LA RÉTROSPECTIVE 13 DÉCEMBRE 2017 – 26 MARS 2018 GALERIE 1, NIVEAU 6 La rétrospective de l’oeuvre de César présentée par le Centre Pompidou coïncide avec le vingtième anniversaire de la mort de l’artiste. Illustre dès l’âge de 25 ans, César a vécu plus de cinquante années de création. Il est la dernière figure majeure du Nouveau Réalisme dont l’oeuvre n’a pas encore fait l’objet d’une rétrospective au Centre Pompidou. À travers une centaine d’oeuvres présentées dans la plus vaste de ses galeries d’expositions, le Centre Pompidou propose de découvrir, dans toute son intégrité et sa richesse, le parcours de l’un des plus grands sculpteurs de son temps. Avec les oeuvres majeures les plus célèbres, comme à travers certains cycles plus méconnus, cette rétrospective présente un ensemble inédit à ce jour. Né à Marseille en 1921, César commence un apprentissage qui le conduit à Paris à l'École nationale supérieure des Beaux-arts. À Paris, il croise entre autres, Alberto Giacometti, Germaine Richier, Pablo Picasso et se mêle à la scène artistique d'alors, côtoyant les artistes de Saint-Germain-des-Prés et de Montparnasse. Très tôt, il se fait remarquer par une technique qui lui est propre et lui apporte la célébrité : ce sont les « Fers soudés », les figures humaines et autres « Vénus » ainsi que le bestiaire qu'il invente, peuplé d'insectes et d'animaux de toutes sortes qui l'amènent à sa première exposition personnelle, galerie Lucien Durand en 1954. Bientôt célèbre, son oeuvre est exposée de Londres à New York. |
CESAR Blu Francia 490, 1998 |
Charlotte Pringuey-Cessac MAMAC Nice
Charlotte Pringuey-Cessac. Bruit originaire Bruit originaire est une invitation à un voyage dans le temps, des premières traces d’occupation humaine à Nice il y a 400 000 ans et du témoignage des pierres taillées laissées par cette communauté, aux expériences menées aujourd’hui par l’artiste Charlotte Pringuey-Cessac pour convoquer la mémoire vibrante de ces vies passées. La préhistoire, les outils et méthodologies de l’archéologie constituent une source pour son travail, une matière à partir de laquelle elle tisse des expériences et des récits, s’autorisant des vagabondages entre la science et la licence poétique, la trace laissée par l’histoire et sa réinvention contemporaine. Pensée comme un parcours, son exposition à Nice se déploie du musée de Préhistoire de Terra Amata, épicentre de l’activité de ces premiers hommes, au MAMAC, en passant par la colline du château où, en 2013, fut découverte une sépulture peuplée de restes funéraires datant des XIIe et XIIIe siècles. |
Charlotte Salomon Musée Masséna Nice
Christo and Jeanne-Claude Paris ! Centre Pompidou
Christo et Jeanne-Claude Paris ! - 01 Juillet - 19 Octobre 2020 The Centre Pompidou Gallery 2, Level 6 Christo & Jeanne-Claude, Paris!, a major exhibition from March 18 to June 15, 2020 in Gallery 2 of the Centre Pompidou, retraces artists Christo and Jeanne-Claude’s years in Paris together, from 1958 to 1964, and the story of The Pont-Neuf Wrapped, Paris, 1975-1985. This exhibition will also be a prelude to L’Arc de Triomphe, Wrapped (Project for Paris, Place de l’Étoile – Charles de Gaulle) which will be on view from September 19 to October 4, 2020 (see page 5). The seven years Christo lived in Paris were essential to the development of his work as an artist. Christo broke free from the boundaries of the painting, as he began wrapping everyday objects and creating temporary artworks in public spaces. He also began conceiving works of art in monumental dimension, envisioning numerous temporary projects for the city. |
Mur provisoire de tonneaux métalliques – |
Cindy Sherman à la Fondation Louis Vuitton
Fondation Louis Vuitton I. Une rétrospective (1975 – 2020) 1er avril – 31 août 2020 I. Une rétrospective (1975– 2020) Du 1er avril au 31 août 2020, la Fondation présente, sur plus de 1500 m2, la première exposition de Cindy Sherman en France depuis 14 ans : 170 oeuvres - de 1975 à 2020 - soit plus de 300 images articulées par séries parmi lesquelles, Untitled film stills, Rear Screen Projections, Fashion, History Portraits, Disasters, Headshots, Clowns, Society Portraits, Murals, Flappers et une nouvelle série présentant des figures masculines et des couples. Dans une scénographie conçue en étroite collaboration avec Cindy Sherman, cette présentation embrasse l’ensemble de sa carrière, tout en mettant l’accent sur ses travaux réalisés depuis le début des années 2010 jusqu’à un ensemble d’oeuvres très récentes et inédites. La dernière exposition de Cindy Sherman en Europe a eu lieu à la National Portrait Gallery à Londres de juin à septembre 2019. |
Collection de la Fondation Maeght
Collectors Mamac Nice
COLLECTORS Ce projet exploite la totalité de l’espace du MAMAC, soit plus de 3.500 m² sur trois niveaux, et prend le parti d’une seule et grande exposition qui explore quelques-uns des grands thèmes de l’art des années 1960 à nos jours. À l’image d’une politique d’acquisition menée depuis trente ans, l’exposition développe l’axe France/États-Unis, les abstractions des années 1960 et 1970, françaises et américaines, la création azuréenne et les grandes personnalités internationales croisées au gré de rencontres ou d’expositions réalisées pour le musée. |
CONFERENCE DE PRESSE CHRISTIAN ESTROSI
Lors de la conférence de presse au sujet de la nouvelle étape dans la reconversion du site des anciens Abattoirs de Nice, Christian Estrosi, Député-Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d'Azur, a présenté les travaux d'aménagement engagés pour permettre l'installation des plasticiens et des compagnies d'art vivant, hébergés jusqu'à présent dans la halle SPADA (le collectif de l'ENTREPONT - représenté par Frédéric ALEMANI - et 29 plasticiens - représenté par Florent MATTEI) sur le site des anciens Abattoirs de Nice. |
Conférence KlEIN SOULAGES au miroir du Japon par MATTHIEU SEGUELA
Les amis du musée SOULAGES présentent : Conférence de MATTHIEU SEGUELA, docteur en histoire de sciences Po, chercheur associé à la maison Franco Japonaise. KlEIN - SOULAGES AU MIROIR DU JAPON Rodez le 4/08/2019 |
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Corneille au fil de la joie - Centre de la Gravure et de l'Image imprimée - La Louvière
CUBISME CENTRE POMPIDOU - PARIS
Du mercredi 17 octobre 2018 au lundi 25 février 2019 Centre Georges-Pompidou Place Georges-Pompidou 75004 Paris 4e Métro : Rambuteau (11) RER : Chatelet - Les Halles (A/B/D) Réservation : 01.44.78.12.33 Site web : www.centrepompidou.fr Le Centre Pompidou propose une traversée inédite et un panorama complet de l’un des mouvements fondateurs de l’histoire de l’art moderne : le cubisme (1907-1917). Riche de 300 oeuvres et de documents significatifs du rayonnement du cubisme, l'exposition est articulée chronologiquement en quatorze chapitres. S'en détachent des chefs-d’oeuvre, comme le Portrait de Gertrude Stein (1906) ou ceux d'Ambroise Vollard (1909) et Daniel-Henry Kahnweiler (1910) par Picasso ainsi que des ensembles de peintures et de sculptures jamais réunies. Le parcours de l'exposition vise à mettre en valeur l’évolution à rebondissements du cubisme en remontant aux sources primitivistes et à la fascination des cubistes pour Gauguin et Cézanne. Il reflète la progression formelle du mouvement, d’une première étape cézannienne - illustrée par la présence de l’exceptionnelle nature morte de Picasso Pains et compotier sur une table (1909) - vers une transcription analytique hermétique (1910-1912) puis transformée en version plus synthétique (1913-1917), qui marque ainsi le retour de la représentation et de la couleur. |
Dalí Disruption and Devotion MFA BOSTON
Salvador Dalí, The Disintegration of the Persistence of Memory (detail), 1952–54. Oil on canvas. Collection of the Dalí Museum. Gift of A. Reynolds and Eleanor Morse. © 2024 Salvador Dalí, Fundació Gala-Salvador Dalí, Artists Rights Society. |
Exhibition offers new take on Dalí 100 years after the founding of Surrealism On view July 6 through December 1, 2024 BOSTON (June 12, 2024)—The outlandish and iconoclastic artist Salvador Dalí (1904–1989) is famous for his bizarre imagery, eccentric behavior and unparalleled technical skill. The renowned Surrealist was also, however, deeply rooted in tradition. He revered his artistic predecessors—among them Dürer, Raphael, El Greco, Vermeer and above all Velázquez. Opening this summer, the first-ever exhibition of work by Dalí at the Museum of Fine Arts, Boston (MFA) examines this sustained engagement with European art of the past. Dalí: Disruption and Devotion presents nearly 30 paintings and works on paper on loan from the Salvador Dalí Museum in St. Petersburg, Florida, as well as books and prints from a private collection, which are shown alongside works from the MFA’s European collection made by artists who inspired him. The unique juxtapositions, presented in both pairings and small thematic groupings, offer a new take on one of the most celebrated artists of the 20th century. |
Dalí spent his youth in the small Spanish town of Figueres, north of Barcelona near the Catalan coast. His artistic talent was noticed early on, and at 18, he enrolled at Madrid’s San Fernando Royal Academy of Fine Arts. On a trip to Paris in 1929, Dalí connected with the Surrealist group through another Catalan artist, Joan Miró. In the words of the group’s leader, André Breton, Surrealism aimed to “resolve the previously contradictory conditions of dream and reality into an absolute reality, a super-reality.” The unconscious mind was first explored in literature, but the movement soon expanded to the visual arts, with Dalí a highly visible member of the circle. “The Surrealist movement, announced by André Breton in 1924, is 100 years old. The MFA’s exhibition, using superb loans from the Salvador Dalí Museum in St. Petersburg, Florida, offers a timely opportunity to reconsider the most famous Surrealist in terms of the historical artists he deeply admired,” said Frederick Ilchman, Chair and Mrs. Russell W. Baker Curator of Paintings, Art of Europe. Dalí: Disruption and Devotion showcases a broad range of Dalí’s best-known works, in terms of subject matter, chronology and scale. Highlights include: |
David Hockney at the Bayeux Tapestry Museum
David Hockney rétrospective Centre Pompidou Paris 2017
Le Centre Pompidou en collaboration avec la Tate Britain de Londres et le Metropolitan Museum de New York présente la plus complète exposition rétrospective consacrée à l’œuvre de David Hockney. L’exposition célèbre les 80 ans de l’artiste. Avec plus de cent soixante peintures, photographies, gravures, installation vidéo, dessins, ouvrages... incluant les tableaux les plus célèbres de l’artiste tels les piscines, les double portraits ou encore les paysages monumentaux.., l’exposition restitue l’intégralité du parcours artistique de David Hockney jusqu’à ses œuvres les plus récentes. L’exposition s’attache particulièrement à l’intérêt de l’artiste pour les outils techniques de reproduction et de production moderne des images. Animé par un désir constant de large diffusion de son art, Hockney a, tour à tour, adopté la photographie, le fax, l’ordinateur, les imprimantes et plus récemment l’I Pad : « la création artistique est un acte de partage ». L’exposition s’ouvre avec les œuvres de jeunesse, réalisées par Hockney à l’école d’art de sa ville natale de Bradford. Images d’une Angleterre industrieuse, elles témoignent de l’empreinte sur le jeune peintre du réalisme âpre, prôné par ses professeurs adeptes du réalisme social du mouvement du Kitchen sink. De l’école d’art de Bradford au Royal College of Art de Londres, Hockney découvre, assimile la traduction anglaise de l’expressionisme abstrait élaborée par Alan Davie. De l’œuvre de Jean Dubuffet, il retient une stylistique (celle du graffiti, de l’art naïf..;) qui satisfait son projet de produire un art éloquent et socialement, universellement accessible. Chez Francis Bacon, il puise l’audace d’une expression qui aborde explicitement la question de l’homosexualité. Sa découverte de l’œuvre de Picasso achève de le persuader qu’un artiste ne saurait se limiter à un style donné. Il intitule une de ses premières expositions : Démonstration de versatilité.
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Derniers jours de l'exposition Edward Hopper à la Fondation Beyeler
Edward Hopper, The Lee Shore, 1941, huile sur toile, 71,7 x 109,2 cm, The Middleton Family Collection; © Heirs of Josephine Hopper / 2019, ProLitteris, Zurich; Photo: © 2019. Photo Art Resource/Scala, Florence |
Plus que quelques jours: l'exposition «Edward Hopper» à la Fondation Beyeler prend fin le 20 septembre 2020 L'exposition «Edward Hopper», grand succès public à la Fondation Beyeler à Riehen/Bâle, touche à sa fin. Plus de 200'000 visiteurs·ses ont pu voir les œuvres de cet artiste américain majeur, auquel la crise du coronavirus a conféré une actualité inattendue – dans la presse et sur les réseaux sociaux, Hopper s'est vu qualifié fréquemment de «peintre du moment». Ses paysages emblématiques des années 1909 à 1965 sont à voir à la Fondation Beyeler jusqu'au 20 septembre 2020. Pour la dernière soirée de cette exposition plébiscitée par le public, la Fondation Beyeler prévoit dimanche 20 septembre un horaire d'ouverture étendu à 21h, un bar à boissons et de la musique live dans le Pavillon du Berower Park. Edward Hopper (1882–1967) compte parmi les artistes majeurs du 20ème siècle. Connu en Europe principalement pour ses peintures à l'huile de scènes de la vie urbaine, dont certaines ont acquis une popularité exceptionnelle, jusqu'à présent ses paysages avaient reçu moins d'attention. Étonnamment, aucune exposition importante n'avait encore été consacrée au regard porté par Hopper sur le paysage américain. C'est par ailleurs la première fois qu'une exposition est consacrée à Edward Hopper en Suisse alémanique. Initialement programmée jusqu'au 17 mai et prolongée jusqu'au 20 septembre, la vaste exposition de la Fondation Beyeler présente des peintures de paysage emblématiques de Hopper ainsi qu'une sélection d'aquarelles et de dessins. |
Dialogues with Picasso. Collection 2020-2023 MUSEO PICASSO MÁLAGA
Pablo Picasso (1881-1973). Susanna and the Elders. Nice, summer 1955. Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte, Madrid. On temporary loan to the Museo Picasso Málaga © FABA photo: Hugard & Vanoverschelde Photography © Sucesión Pablo Picasso, VEGAP, Madrid, 2020 |
MUSEO PICASSO MÁLAGA https://www.museopicassomalaga.org/en By periodically refreshing, and thus revising, its permanent collection, Museo Picasso Málaga is in a way following in the footsteps of Picasso himself, who innovated constantly with his art throughout his life. With its thematic and chronological layout, this new exhibition narrative in the Palacio de Buenavista will enable visitors to acquire a deeper knowledge of Pablo Picasso’s artistic career by grouping his works together in a way that helps them to understand his artistic processes. This is the sixth transformation of the exhibition rooms of the Palacio de Buenavista since the museum first opened in 2003, thanks to the negotiations that took place to ratify the agreement between the Consejería de Cultura y Patrimonio de la Junta de Andalucía and Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte (FABA), which has been renewed for three more years, during which time a total of 162 works by Picasso will be added to the 233 works MPM holds in its own collection. The new layout of the exhibition rooms owes its unique features to an innovative scenographic layout in the museum spaces. There are 44 paintings, 49 drawings, 40 graphic works, 10 sculptures, 17 ceramics, 1 tapestry and 1 linocut plate. With the 233 works belonging to Museo Picasso Málaga and these 162 from Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte (FABA), the collection will hold almost four hundred works by Pablo Picasso, dating from between 1894 and 1972, of which 120 will be on display in the Palacio de Buenavista. These works build a story that begins with Picasso’s formative years and continues through the most representative periods of the artist’s career. |
DIANE ARBUS The San Francisco Museum of Modern Art SFMOMA
SFMOMA PRESENTS DIANE ARBUS: IN THE BEGINNING IN THE NEW PRITZKER San Francisco Museum of Modern Art SAN FRANCISCO, CA (October 27, 2016)—The San Francisco Museum of Modern Art (SFMOMA) will present the West Coast debut of the acclaimed exhibition diane arbus: in the beginning, on view January 21 through April 30, 2017. Organized by The Metropolitan Museum of Art, diane arbus: in the A lifelong New Yorker, Diane Arbus (1923–1971) found the city and its citizens an endlessly rich subject for her art. Working in Times Square, the Lower East Side and Coney Island, she made some of the most powerful portraits of the 20th century, training her lens on the pedestrians and performers she |
Diane Arbus, Stripper with bare breasts sitting in her dressing room, Atlantic City, N.J |
Discours du Président de la République, Emmanuel Macron, lors de l'inauguration du Louvre Abu Dhabi, Émirats arabes unies
Altesse ; Majesté ; Messieurs les Présidents ; Mesdames et Messieurs les Ministres ; Mesdames et Messieurs. Au moment d'inaugurer le Louvre Abu Dhabi aux côtés de mon ami le Prince héritier Mohamed BIN ZAYED, que je remercie très chaleureusement pour son invitation, une phrase me revient qui semble définir ce qui nous unit aujourd'hui. Cette phrase n’est ni de votre culture ni tout à fait de la mienne, c'est la phrase prononcée par le personnage d'un roman russe, un personnage de Dostoïevski qui dit « la beauté sauvera le monde ». Et il serait naturel que je vous parle de culture, d'éducation, de civilisation mais un mot s'impose d'abord à nous ce soir qui sommes réunis, c'est précisément celui de beauté. Elle est le cœur et le fondement de la culture. Elle est la raison d'être de l'Education. Elle connaît plusieurs formes, plusieurs expressions, elle s'est parfois alliée au bon de manière indéfectible. Elle est une recherche permanente, une poursuite. Elle a ceci de commun que nous la reconnaissons quand nous la voyons. Elle nous frappe en plein cœur quand nous la croisons. Alors aujourd'hui ce qui nous réunit ici, ce qui, quelles que soient les vicissitudes du temps présent qui est le nôtre et quel que soit l'ampleur de nos défis, ce qui me rend optimiste, c'est que nous sommes au milieu de cette beauté qui sauvera le monde. Aujourd’hui en ces lieux, c'est elle qui nous accueille. D'abord parce que Jean NOUVEL et son équipe ont conçu ici un lieu qui va rayonner vers le monde entier. Cette ville-musée abritée par un dôme monumental qui multiplie les jeux de lumière, cette ville qui est aussi une île où l'eau miroite et se reflète, ce musée composé de petites maisons rappelant les villages émiriens ; tout cela, cet entrelacs du dedans et du dehors, du lieu clos et toujours ouvert ; tout cela constitue un ensemble où l'œil à chaque détour s'émerveille parce que cette complexité infinie, ce chef d'œuvre d'architecture réveillent des émotions profondes, parce qu'il y a là quelque chose qui rappelle les édifices sacrés du monde entier. Vous avez construit, cher Jean NOUVEL, un temple pour la beauté, ici. Ce lieu si sophistiqué et si simple à la fois accueille des œuvres d'exception. C'est le génie de l'humanité qui converge ici à travers ses plus grands artistes ; et pour un pays comme la France - je dois vous l'avouer - cher Prince héritier, cher ami, pour un pays comme la France se séparer - même sous forme de prêt - de quelques une de ses plus belles œuvres ne va pas de soi. C'est une forme de torture, et vous l'avez compris tout au long du périple que nous venons de partager, pour les conservateurs qui ont contribué à ce projet, pour les ministres, et je dois bien le dire aussi, pour le président. |
Photo du Président de la République Emmanuel Macron |
Dora Maar Tate Modern London
Dora Maar Tate Modern presents the first UK retrospective of the work of Dora Maar (1907–97) whose provocative photographs and photomontages became celebrated icons of surrealism. Featuring over 200 works from a career spanning more than six decades, this exhibition shows how Maar’s eye for the unusual also translated to her commercial commissions, social documentary photographs, and paintings – key aspects of her practice which have, until now, remained little known. Born Henriette Théodora Markovitch, Dora Maar grew up between Argentina and Paris and studied decorative arts and painting before switching her focus to photography. In doing so, Maar became part of a generation of women who seized the new professional opportunities offered by advertising and the illustrated press. Tate Modern’s exhibition opens with the most important examples of these commissioned works. Around 1931, Maar set up a studio with film set designer Pierre Kéfer specialising in portraiture, fashion photography and advertising. Works such as The years lie in wait for you c.1935 – believed to be an advertising project for face cream that Maar made by overlaying two negatives – reveal Maar’s innovative approach to constructing images through staging, photomontage and collage. Striking nude studies such as that of famed model Assia Granatouroff also reveal how women photographers like Maar were beginning to infiltrate relatively taboo genres such as erotica and nude photography. |
Dora Maar, 1907-1997 |
Edvard Munch: Between the Clock and the Bed The Met Fifth Avenue
Exhibition Dates: November 15, 2017–February 4, 2018 Although Norwegian artist Edvard Munch (1863–1944) attained notoriety early in his career for his haunting depictions of human anxiety and alienation that reflected modern experience, he believed that his artistic breakthrough occurred around 1913 at the age of 50.Throughout his career, Munch regularly revisited subjects from his earlier years, exploring them with renewed inspiration and intensity. Self Portrait: Between the Clock and the Bed (1940–43) was one of his final such works and it serves as a lens to reassess Munch's oeuvre. Opening November 15 at The Met Breuer, the exhibition Edvard Munch: Between the Clock and the Bed will feature 43 of the artist's compositions created over a span of six decades, including 16 self-portraits and works that have never before been seen in the United States. It is supported by an Indemnity from the Federal Council on the Arts and the Humanities. It is organized by The Metropolitan Museum of Art, New York; the San Francisco Museum of Modern Art; and The Munch Museum, Oslo. |
Edvard Munch. Self-Portrait between the Clock and the Bed (detail), 1940-43. |
Edward Hopper Voir le silence Fondation Beyeler
La Fondation Beyeler rouvre ses portes le lundi 11 mai 2020. Les expositions «Edward Hopper» et «Voir le silence – Images de quiétude» sont prolongées jusqu'au 26 juillet, l'exposition «Goya» est reportée. À partir du lundi 11 mai, la Fondation Beyeler sera à nouveau ouverte tous les jours. Les visiteurs pourront y retrouver l'exposition consacrée au grand artiste américain Edward Hopper ainsi que la présentation de la collection «Voir le silence – Images de quiétude». Avec la crise du coronavirus, les deux expositions ont soudainement et dramatiquement gagné en actualité. En raison de l'intérêt du public, elles sont prolongées jusqu'au 26 juillet 2020. Les billets peuvent être réservés en ligne à partir du jeudi 7 mai sur www.fondationbeyeler.ch . La Fondation Beyeler a élaboré un plan de protection complet pour ses visiteurs et ses collaborateurs afin de mettre en œuvre de manière optimale les mesures de l'ordonnance COVID-19 de la Confédération. Ainsi, le nombre de visiteurs sera limité au moyen de billets en ligne à créneau horaire déterminé et la circulation des visiteurs dans le parc et dans le musée est réaménagée, avec des points distincts d'entrée et de sortie. Tous les événements sont annulés jusqu'à nouvel ordre, Les visites guidées se tiendront sous forme réduite en dehors des horaires d'ouverture. La grande exposition «Goya», dont l'ouverture était prévue le 15 mai, est reportée. Une nouvelle date sera communiquée en juin.
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Edward Hopper, Cape Cod Morning, 1950, huile sur toile, 86,7 x 102,3 cm, Smithsonian American Art Museum, Gift of the Sara Roby Foundation; © Heirs of Josephine Hopper / 2019, ProLitteris, Zurich; Photo: Smithsonian American Art Museum, Gene Young |
Emile Savitry Musée Mendjisky
MUSÉE MENDJISKY ÉCOLES DE PARIS Présente 15 Square de Vergennes - Paris XV Contact presse : 01 47 07 98 31 info(at)fmep.fr www.fmep.fr ÉMILE SAVITRY Un photographe de Montparnasse 8 juin - 5 octobre 2016 Réunies pour la première fois dans un seul lieu, deux expositions de photographies d’Émile Savitry (1903-1967), l’une monographique, l’autre thématique sont présentées au Musée Mendjisky- Écoles de Paris du 8 juin au 5 octobre 2016. Elles dévoilent les différentes facettes de l’oeuvre de ce photographe au regard de peintre, proche des surréalistes, ami de Brassaï et de Prévert, amateur de jazz qui suivit toute sa vie une route buissonnière. |
Photo Emile Savitry Nu de l'Académie de la Grande Chaumière à Montparnasse, Paris, 1950-1951 Courtesy Sophie Malexis |
Emile Verhaeren Poète et passeur d'art
Émile Verhaeren (1855-1916) Du 15 octobre 2015 au 6 mars 2016, le musée des Avelines consacre une exposition à Émile Verhaeren (1855–1916) afin de redécouvrir, à l’approche du centenaire de sa mort, ce critique d’art, ami des artistes et poète flamand d’expression française qui vécut les seize dernières années de sa vie à Saint Cloud. L’ exposition a pour ambition de mettre en lumière cette personnalité qui fut l’un des acteurs les plus importants de la vie artistique au tournant des XIXe et XXe siècles. |
Émile Verhaeren en redingote rouge, Georges Tribout (1884-1962) |
Ernest Pignon-Ernest Bibliothèque Louis Nucéra Nice
Ernest Pignon-Ernest Bibliothèque Louis Nucéra Par une exposition rassemblant la série des 19 portraits de poètes dont les reproductions orneront le livre d’André Velter, Ceux de la poésie vécue, des ouvrages de bibliophilie ainsi que les livres de et sur l’artiste, en particulier ceux illustrant tous ses combats depuis les années 70 et dont Ernest Pignon-Ernest a composé la couverture. |
Ernest Pignon-Ernest MAMAC Nice
VERNISSAGE de l'exposition En présence de l'artiste Vernissage de l'exposition à l'église Abbatiale de Saint-Pons le lundi 27 juin 2016 à 17h00 La Ville de Nice accueille cet été une grande exposition rétrospective d'Ernest Pignon-Ernest au MAMAC. L'artiste investira également l'église abbatiale de Saint-Pons avec la présentation des "Extases". Initiateur de l'art urbain en France, Ernest Pignon-Ernest est né à Nice en 1942. Du plateau d'Albion à Certaldo, de Charleville à Paris, de Naples à Alger, de Nice à Soweto, du Chili à la Palestine, depuis 1966, Ernest Pignon-Ernest change les rues du monde en oeuvre d'art éphémère. Il a ainsi préfiguré nombre d'expériences artistiques qui sollicitent l'espace public. Considéré comme le précurseur de l'art urbain, il est aujourd'hui une figure incontournable et populaire de la scène artistique. Unique par sa tenue éthique et esthétique, son parcours quelque soit les thèmes abordés, a réussi le rare prodige de concilier un engagement sans concession ni reniement avec une expression artistique d'une extrême exigence, au point que certaines de ses images, notamment les fusillés de la Commune, ou son Rimbaud vagabond reproduit à des milliers d'exemplaires, sont devenues de véritables icônes des temps modernes.
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Ernest Pignon-Ernest, Parcours Jean Genet, |
Être libre BEN Domaine départemental de Chamarande
© Ben Vautier, être libre – droits réservés |
galerie eva vautier Être libre BEN Commissariat de l'exposition Eva Vautier Pour le Domaine départemental de Chamarande, Ben rassemble plus de 400 œuvres, issues pour la plupart de sa collection personnelle, mais aussi de collections particulières. |
Exposition Antoni Clavé à la Bibliothèque Nationale de France
Exposition Balthus Fondation Beyeler Suisse
Exposition Balthus FONDATION BEYELER Avec l’exposition Balthus, la Fondation Beyeler présente l’un des derniers grands maîtres de l’art du 20ème siècle, également l’un des artistes les plus singuliers et les plus controversés de l’art moderne. Dans son travail aux facettes et aux lectures multiples, vénéré par certains et rejeté par d’autres, Balthus, de son vrai nom Balthasar Klossowski de Rola (1908–2001), trace une voie artistique alternative, voire opposée aux courants des avant-gardes modernes et des représentations que l’on peut s’en faire. Dans cette voie solitaire, le peintre excentrique se réfère à un large éventail de prédécesseurs et de traditions artistiques allant de Piero della Francesca à Poussin, Füssli, Courbet et Cézanne. Mais un examen plus attentif révèle aussi les impulsions de certains courants artistiques modernes, notamment la Nouvelle Objectivité ou le Surréalisme, qui offrent un contexte aux stratégies parfois provocatrices de mise en scène picturale de Balthus et aux dimensions abyssales et insondables de son art. Sa distanciation fondamentale du modernisme, démarche que l’on peut presque qualifier de postmoderne, mène pourtant Balthus à développer une forme toute personnelle d’avant-garde, qui apparaît d’autant plus pertinente aujourd’hui. |
BALTHUS, THÉRÈSE, 1938 |
Exposition Bernard Damiano Union de Producteurs de Saint-Emilion
Bernard DAMIANO et Didier SALA s'exposent à l'UDP de Saint-Emilion Claude PÉRUSAT revient pour cette fin d’année nous proposer une très belle exposition de l’Artiste-peintre expressionniste Bernard DAMIANO. Déjà venu à l’UDP de Saint-Emilion, le marchand d’art et collectionneur libournais ne sera pas seul à exposer des œuvres: Didier SALA apportera sa touche de poésie en présentant ses bois flottés récupérés au fil des marées… Il faut savoir que pour cette magistrale exposition Bruno-Paul Barreau Marchand d'Art et Expert à Bordeaux ainsi que Claude Pérusat ont réussi à convaincre les collectionneurs de bien vouloir prêter les oeuvres de leur collection pour cette exposition. Comme le fait remarquer Patrick Reynolds, la région bordelaise terre du vin est devenue grâce au travail d'Alain Juppé une terre d'art et de culture. BERNARD DAMIANO, peintre-expressionniste italien Une exposition à découvrir jusqu’au 26 décembre. Didier SALA présentera lui-même son œuvre à l’occasion du vernissage qui se tiendra à la Galerie du Caveau, le JEUDI 9 NOVEMBRE à 18h30. L’héritage de Bernard DAMIANO sera, quant à lui, raconté par son grand ami, Claude PERUSAT. |
Exposition Bettina Rheims Maison Européenne de la Photographie
EXPOSITION BETTINA RHEIMS Bettina Rheims et la Maison Européenne de la Photographie entretiennent depuis toujours des liens intimes. Alors, quel meilleur endroit que celui dont elle a investi les espaces encore en friche, en 1990, pour exposer sa série Modern Lovers et où elle a semé le trouble en 2000 avec I.N.R.I., pour présenter aujourd’hui, pour la première fois à Paris, un itinéraire à travers quarante ans de photographie ? Des premières images aux travaux personnels les plus récents, l’exposition, pensée comme un cheminement, mêle les séries légendaires, les photographies iconiques de Bettina Rheims et certains travaux plus confidentiels ou qui n’ont encore jamais été montrés en France. |
Elizabeth Berkley in a coucou’s nest, |
Exposition Eric Vassal Maison des Arts Châtillon
Maison des Arts Exposition Eric Vassal Depuis la fin des années 90, le travail d’Eric Vassal s’est développé à travers un échange constant entre la sculpture, la peinture, l’estampe, la photographie et la vidéo. Ces différents médiums lui permettent de traiter d’un sujet constant : le lien que l’œuvre d’art entretient avec l’histoire de l’art et le patrimoine. Cinéphile de la première heure, Eric Vassal présentera à la Maison des Arts de Châtillon une exposition de photographies plasticiennes autour du septième art. La série « Agnosis » revisite le patrimoine cinématographique en mettant en évidence une vision structuraliste du discours image / langage. Cette série traite du langage d’un point de vue esthétique et sémantique. Pour les œuvres de la série « Dagyde », Eric Vassal a recours à des captures d’écran de scènes de cinéma. Ces extraits d’œuvres sont réécrites par un travail direct sur la photographie. Des épingles sont plantées afin de mettre en évidence certains éléments de la scène. La photographie passe alors de deux dimensions à trois dimensions, procédé inverse du cinéma. Enfin, Eric Vassal présentera une récente série d'œuvres intitulée « Story-board » à travers laquelle l’artiste interroge la notion de temps en déstructurant des scènes cinématographiques. Ref image : Dagyde Photographies et épingles - Eric Vassal d'après double indemnity 1944 Série "Dagyde" d'après Attack of the 50 ft woman (1958) - Photographie et épingles https://www.maisondesarts-chatillon.fr/
Exposition ouverte au public du mardi au dimanche, de 14h à 18h du 13 janvier au 26 mars 2023 Entrée libre Accès: métro ligne 13 - arrêt "Châtillon/Montrouge" puis bus n°388 arrêt "Mairie de Châtillon" |
EXPOSITION EUGENE CARRIERE MUSEE DES AVELINES
Exposition Gaston Latouche Musee des Avelines
Exposition Gaston La Touche, Les fantaisies d’un peintre de la Belle Époque du 16 octobre 2014 au 1er mars 2015 Musée des Avelines Musée d’art et d’histoire de Saint-Cloud 60, rue Gounod - 92210 Saint-Cloud www.musee-saintcloud.fr Du 16 octobre 2014 au 1er mars 2015, le musée des Avelines présente une exposition inédite consacrée à l’artiste clodoaldien Gaston La Touche (1854 - 1913), peintre de la Belle Époque. |
L'entracte, Collection particulière courtesy APA Fine Art, © DR |
Les peintures de Gaston La Touche (1854 - 1913), aux sujets choisis avec goût, souvent aimables, sont d’une incroyable diversité. L’exposition, qui regroupe 90 œuvres de Gaston La Touche, provenant de collections publiques et privées françaises et européennes, propose un parcours raffiné et sélectif dans la production de cet artiste de La Belle Époque. |
Exposition Guy Bourdin Musée de la Photographie Charles Nègre Nice
Exposition Vernissage > Jeudi 17 octobre 2019 à 19 heures En présence de Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice délégué aux Musées, à l’Art moderne et contemporain, au Développement du mécénat et financements culturels, représentant Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur, Président délégué de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur & de Samuel Bourdin, fils de Guy Bourdin Musée de la Photographie Charles Nègre Du 18 octobre 2019 au 26 janvier 2020, la Ville de Nice vous invite à découvrir l’exposition « Guy Bourdin. Zoom » au Musée de la Photographie Charles Nègre. Le vernissage de l’exposition se tiendra le jeudi 17 octobre 2019 à 19 heures. Guy Bourdin (1928-1991) est un photographe de mode et de publicité français. Cet autodidacte est né et a vécu à Paris où il a exercé son art des années 1950 à la fin des années 1980. Pendant plus de trente ans, il a repoussé les frontières de la photographie de mode contemporaine et son œuvre est toujours une source d’inspiration et de fascination. Il a consacré sa vie à une quête artistique qui s’est également exprimée à travers la peinture, les films et l’écriture. Créateur avant-gardiste, il fut sans aucun doute l’un des photographes de mode les plus influents du vingtième siècle. Fascinante et révolutionnaire, son œuvre continue d’inspirer ses contemporains et fait l’objet d’un véritable culte. |
Exposition Kevin Lucbert Maison des Arts Châtillon
Kevin Lucbert De l'autre côté du miroir Exposition Du 5 avril au 25 juin 2024 Maison des Arts 11 rue de Bagneux 92320 Châtillon 01 40 84 97 11 Maisondesarts(at)chatillon92.fr https://www.maisondesarts-chatillon.fr/ Entrée libre, du mardi au dimanche de 14h à 18h |
Né en 1985 à Paris. Vit et travaille entre Berlin et Paris. Kevin Lucbert est diplômé en 2008 de l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris. Lors de ses études il se lie d'amitié avec Yann Bagot et Nathanaël Mikles. Ensemble ils créent le collectif artistique Ensaders et participent régulièrement à des performances, expositions et conduit des workshops de dessin. En parallèle il travaille pour The New York Times, Télérama, Les Échos, le groupe de presse Mondadori ou encore Starbucks, Hermès ou BIC, qui a récemment acquis quelques un de ses dessins pour leur collection d'art contemporain. En 2018, les œuvres de la collection BIC sont exposées au 104 à Paris, parmi lesquelles, celles de Lucbert. Inspiré par de multiples sources, Maurits Cornelis Escher, Alfred Kubin, Philippe Mohlitz ou Les Cités Obscures de Schuitten et Peeters, Lucbert a développé une création unique dans laquelle il explore un monde parallèle, un univers absurde qui lui est propre. Dans sa série Blue Lines réalisée au stylo BIC bleu, il explore des paysages surréalistes et des compositions frontales et imaginaires. Ses œuvres traduisent un monde spatial et rêveur. |
Exposition Lassaâd Metoui Institut du Monde Arabe
Le Pinceau ivre Lassaâd Metoui Du 11 avril au 30 septembre prochain, l’Institut du monde arabe donne carte blanche à l’artiste franco-tunisien, Lassaâd Metoui. Formé très jeune à la calligraphie, Lassaâd Metoui est devenu dans cette discipline traditionnelle un artiste majeur, tout en faisant évoluer son art de plasticien vers une modernité qui transcende les cultures. Il s’inspire tout autant de la peinture occidentale (de Matisse à Paul Klee ou à Soulages) que de l’art d’Extrême-Orient, notamment japonais. Riche de 135 oeuvres, l’exposition « Le Pinceau ivre » proposée par l’Institut du monde arabeoffre au visiteur un magnifique parcours dans l’oeuvre actuelle de Lassaâd Metoui. Ce beau panorama distribué en 4 séquences (« L’oeil écoute », « La Genese des formes », « La Passion de l’esthétisme », « L’Aventure du geste »), est significatif d’un art toujours empli d’allégresse, animé d’une sorte d’« ivresse poétique », curieux et admiratif des maîtres tant occidentaux qu’arabo-musulmans et tant d’hier que d’aujourd’hui. Le travail de Lassaâd Metoui a une place légitime dans les espaces du musée, à la fois par la pratique que l’artiste a d’une calligraphie sans cesse repensée, et par le lien qu’il entretient avec le langage, grâce à sa complicité avec le linguiste et lexicographe Alain Rey. |
Lassaâd Metoui, Accessible, 2014, Papier kozo, encre |
Exposition Léonard de Vinci Musée du Louvre
24 octobre 2019 - 24 février 2020 La célébrité extraordinaire de cet infatigable curieux, perçu très tôt comme l’incarnation du génie et du savoir universels, l’aura presque surréaliste de la Joconde et la littérature considérable qui s’est accumulée de son époque à nos jours offrent une image confuse et fragmentaire du rapport de Léonard à la peinture. |
EXPOSITION LINO VENTURA MUSEE DES AVELINES
LINO VENTURA UNE GUEULE DE CINÉMA Commissaire d’exposition : Emmanuelle Le Bail, Directrice du musée des Avelines, du Patrimoine culturel et des Musée des Avelines - Musée d’Art et d’Histoire de Saint-Cloud QUELQUES MOTS D'INTRODUCTION... Le musée des Avelines, musée d'art et d'histoire de la ville de Saint-Cloud, est heureux d'annoncer l'exposition Lino Ventura - Une gueule de cinéma du 12 octobre 2017 au 21 janvier 2018. Le comédien, né le 14 juillet 1919 en Italie, a vécu près de trois décennies à Saint-Cloud et c'est dans cette ville qu'il est décédé le 22 octobre 1987 ; il était donc tout naturel que le musée des Avelines lui rende un hommage appuyé à l'occasion du trentième anniversaire de sa disparition. Affiches, photographies, documents d'archives, témoignages, musiques de films, objets, scénarios, projections d'extraits... composent le parcours de l'exposition évoquant la carrière de ce monstre sacré du cinéma français. Différentes salles du musée sont consacrées à ses amitiés avec des comédiens (Gabin notamment), et les réalisateurs avec lesquels il a tourné, de Becker à Verneuil, de Miller à Lelouch, de Pinoteau à Melville, de Malle à Lautner, de Deray à Hossein, ou encore de Sautet à La Patellière... passant ainsi du polar à la comédie pure, du film d'aventures au drame. Est ainsi retracée la carrière de Lino Ventura, acteur populaire et pudique, qui a joué dans plus de 70 films, dont nombre de chefs d'oeuvre et d'immenses succès publics. Photo prise sur le tournage d'Adieu poulet, 1975 Saint-Cloud, Musée des Avelines © Étienne George |
Exposition Michel Patrix Une joyeuse liberté de peindre - Mers-les-Bains
Michel Patrix,Une joyeuse liberté de peindre« Pour des artistes tels que Michel Patrix, l'art est une aventure. C'est aussi une expérience vivante. Son activité est désintéressée. Elle se situe sciemment en marge des postulats de l'École de Paris. Elle traduit une volonté de choix qui s'écarte de la norme et une vocation qui échappe totalement à l'emprise de la mode. C'est une activité personnelle et individuelle qui côtoie l'anarchie. Elle n'est concevable que dans un pays libre qui se targue d'ignorer les contraintes esthétiques. Comme la plupart des peintres de sa génération, Michel Patrix subit (ou a subi) la puissante attraction du cubisme, mais il a adopté devant les découvertes de ses prédécesseurs une attitude nouvelle et indisciplinée. » Waldemar George Michel Patrix, Éditions de la Galerie Paul Raffray, 1959. « J'admirais le talent de Michel Patrix, et nous étions nombreux à penser qu'il était le plus doué de nous tous… Il m'épatait beaucoup par sa verve, son éclat, et c'est vrai qu'il était habité par la peinture. » Robert Wogensky - Lettre à Annie Aubrun-Patrix, 6 janvier 1991, extrait des archives de Madame Aubrun-Patrix « Celui qui vécut la peinture comme une aventure compta parmi les jeunes espoirs de l'École de Paris figurative, tout en gardant une totale liberté ancrée dans une vocation qui échappe à l'emprise de toute mode. » Lydia Harambourg - L'École de Paris, 1945-1965 - Dictionnaire des peintres, Éditions Ides et Calendes 1993. Michel Patrix fut défendu par les marchands importants de son temps, Emmanuel David en France et Paul Rosenberg à New York. D’après Emmanuel David[1] qui se reproche d’avoir par inexpérience fait échouer l’opportunité, il aurait d’ailleurs été préféré à Bernard Buffet par Rosenberg. Prix du Salon de la Critique en 50, Prix Opera du Musée des Art décoratifs et Prix de la Ville d’Oran au prix de la jeune peinture en 1949, distingué par la critique dès 43, il est l’ainé du groupe de l’Echelle. Groupe de l’Echelle qu’Eric Mercier[2] présente comme l’emblème d’un mouvement réagissant aux traumatismes de guerre par l’hédonisme et la joie de vivre dans son catalogue de l’exposition « jeune peinture des années 50 » au musée de Clermont Ferrand. Son énergique amour de la liberté et sa volonté délibérée d’incarner sa création, « ma vie et ma peinture sont une seule et même chose, quand le peintre est malade, sa peinture se couche » note-t’il dans son carnet de bord, et son esprit alerte, curieux des avancées scientifiques, philosophiques et sociologiques de son temps a fait de son parcours un phénomène délibérément à part, tout en donnant naissance à une écriture picturale unique. Cette exposition présente son parcours depuis son enfance jusqu’à son décès à Gonneville-sur-Scie en 1973 où lui même, son épouse et de jeunes artisans ont établi le Centre de créativité qui porte son nom avec l’objectif de « promouvoir et diffuser la créativité par l’art ». Ceux qui souhaitent une introduction à cette exposition peuvent s’arrêter là et se reporter aux pages fort bien documentées de Wikipédia et du Musée privé.[1] En regard de l’évolution de notre culture contemporaine, le parcours de l’artiste que fut mon père, indissociable de son époque, de ses amitiés, de ses amours, de ses espérances, de ses tourments, me parait mériter une attention plus soutenue. Cette exposition sera donc l’occasion de publier un témoignage plus complet. Bruxelles, le 18 Mai 2021 Blaise Patrix [1] cliquez sur les liens : https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Patrix/ et https://www.le-musee-prive.com/207-biographies-artistes-contemporains/670-biographie-michel-patrix.html/ [1] cité par Patrick Reynolds [2] Années 1950, l’alternative figurative Editions un,deux…quatre, 2007 |
Exposition MIRO La Banque Musée des Cultures et du Paysage d'Hyères
Miró La Banque, Musée des Cultures et du Paysage d'Hyères La Banque, musée des Cultures et du Paysage de la ville d'Hyères (Var), présente jusqu'au 24 novembre 2024 l'exposition Miró. Organisée en partenariat avec la Fondation Maeght qui célèbre ses 60 ans cette année, cette exposition révèle des pièces exceptionnelles qui mettent en lumière l'œuvre prolifique de ce génie artistique |
Vue in situ de l'exposition © La Banque, musée des Cultures et du Paysage - Hyères |
74 œuvres créées entre 1956 et 1977 À la fin des années 1950, Joan Miró entame une période de profonde transformation artistique qui durera jusqu'à la fin de sa vie. Cette période marque l'apogée de son génie créatif et donne naissance à des œuvres d'une puissance expressive inégalée. Nouvelles explorations En 1954, Miró s'installe à Majorque, sa terre natale, et y fait construire un grand atelier par son ami Josep Lluís Sert. Ce changement de décor agit comme un catalyseur de remise en question. Face à un trésor de dessins et peintures accumulés au fil des années, l'artiste ressent le besoin de se libérer du passé et d'explorer de nouveaux horizons. Cette période va voir l'éclosion d'un style artistique pleinement assumé, qui le propulsera au rang de maître de l'art moderne |
Exposition Picasso-Giacometti Musée Picasso Paris 2016
Du 4 octobre 2016 au 5 février 2017 Du mardi au vendredi : 10h30 – 18h Musée National Picasso Picasso-giacometti Du 4 octobre 2016 au 5 février 2017, le Musée Picasso présente la toute première exposition consacrée à l'oeuvre de deux des plus grands artistes du XXe siècle : Pablo Picasso (1881-1973) et Alberto Giacometti (1901-1966). Grâce à un prêt exceptionnel de la Fondation Giacometti, cette exposition inédite, qui occupera le rez-de-chaussée et le premier étage de l'hôtel Salé, réunit plus de 200 oeuvres des deux maîtres provenant des riches collections du Musée Picasso et de la Fondation Giacometti, ainsi que des prêts de collections françaises et étrangères. Un important travail de recherche, mené en commun dans les fonds d'archives du Musée Picasso et de la Fondation Giacometti, a permis de révéler des documents inédits, esquisses, carnets et annotations significatives. Ceux-ci éclairent les relations méconnues entre les deux artistes, relations à la fois amicales et formelles, et l'intérêt mutuel qu'ils se sont porté à des moments clefs de leurs carrières, en dépit de vingt ans de différence d'âge. Dotés de tempéraments différents, mais caractérisés tous deux par une grande liberté d'esprit et d'invention, Picasso et Giacometti partagent une fascination pour le lien entre Éros et Thanatos, comme pour le déplacement des limites de la représentation. De leur rencontre au début des années 1930 à leurs dialogues nourris dans l'après-guerre autour des querelles du retour au réalisme, les deux artistes n'ont cessé d'échanger sur leur création. Comme l'exposition le révèle, de nombreuses similitudes formelles et thématiques rapprochent leurs oeuvres de la période surréaliste. À partir de la fin des années 1930, tous deux vont transformer leur pratique et partager des questionnements sur l'art et sa relation au réel, auxquels le peintre-sculpteur et le sculpteur-peintre répondent par des solutions formelles différentes. |
Crédits photos de couverture Dora Maar, Portrait d'Alberto Giacometti, 1936 © Succession Giacometti (Fondation Giacometti + ADAGP) Paris, 2016. Dora Maar, Portrait de Picasso, Paris, studio du 29, rue d'Astorg |
Exposition Pierre Soulages au Musee du Louvre
Pierre Soulages, « peintre du noir et de la lumière » est une figure majeure de la peinture non figurative, reconnue comme telle depuis ses débuts, au lendemain de la seconde guerre mondiale. |
Pierre Soulages. Portrait de l’artiste, 2 octobre 2017_Collection Raphaël Gaillarde © Collection Raphaël Gaillarde, dist. RMN-Grand Palais/Raphaël Gaillarde © RMN-Grand Palais - Gestion droit d'auteur pour Raphaël Gaillarde © ADAGP, Paris 2019 pour Pierre Soulages |
EXPOSITION PILAR OVALLE AMBASSADE DU CHILI
Patrocinado por la Dirección de Asuntos Culturales del Ministerio de Relaciones Exteriores de Chile l’ambassadrice du Chili en France Madame Marcia Covarrubias a l’honneur de vous annoncer l'exposition «in-corpore» sculptures en bois de la sculptrice Pilar Ovalle du 10 octobre au 13 octobre 2017 - Cette exposition est réservée aux invités de l'ambassade : pour y assister merci de faire une demande auprès de : Assistante de l'Ambassadrice/Asistente de la Embajadora Ambassade du Chili / Embajada de Chile 2, avenue de la Motte-Picquet 75007 Paris Tél: +33 (0)1 44 18 59 39 - Fax: +33 (0)1 44 18 59 61 Mail: omartins(at)minrel.gob.cl Pilar Ovalle est née en 1970 à Santiago, textures, noeuds et formes naturelles travaille depuis plus de 25 ans le bois, à une géométrie et signifiants qui Le processus de l’oeuvre, qui m’est essentiel, est révélé à l’observateur moyennant une trame formelle qui se génère dans les assemblages et les unions et qui font partie essentielle de la grammaire de mon travail. Depuis mes débuts, je m’intéresse à la possibilité de recueillir et de rassembler différentes typologies dans un même matériau, le bois, de l’explorer et parcourir ses limites et de manoeuvrer face aux solutions créatives possibles pour pouvoir continuer à l’aborder d’une façon nouvelle, si possible chaque fois. C’est un jeu auto-imposé, un dialogue dans lequel la maîtrise fait face à la difficulté et à la curiosité pour pouvoir continuer à créer. Pendant les trois dernières années, j’ai incorporé, d’où le titre de l’exposition “in-corpore”, le corps humain comme conteneur d’information dans la sculpture pour représenter de manière explicite les exercices et les emboitages de transformation ainsi que le questionnement spirituel comme fondement de la quête d’individuation de l’être. |
FAHRELNISSA ZEID Tate Modern LONDON
FAHRELNISSA ZEID http://www.tate.org.uk/visit/tate-modern 13 June – 8 October 2017 For public information call +44(0)20 7887 8888, visit www.tate.org.uk Sponsored by Deutsche Bank. Supported by the Fahrelnissa Zeid Exhibition Supporters Group Be mesmerised by the kaleidoscopic paintings of the international female artist, Fahrelnissa Zeid Trained in both Paris and Istanbul, Fahrelnissa Zeid was an important figure in the Turkish avant-garde d group in the early 1940s and the École de Paris (School of Paris) in the 1950s. Her vibrant abstract paintings are a synthesis of Islamic, Byzantine, Arab and Persian influences fused with European approaches to abstraction. Many of her abstract works are monumental and demand attention. Zeid’s reputation as an artist was cemented in the 1950s when she was living between London and Paris and exhibiting extensively internationally. The artist also began experimenting with painting on turkey and chicken bones, which she later cast in polyester resin panels evocative of stained-glass windows. In the later years of her life she unexpectedly returned to figurative painting, creating stylised portraits of her friends and family. Indulge in Zeid’s obsession with line and dazzling colour in this exhibition. Rediscover one of the greatest female artists of the 20th century in this first major retrospective. |
Fahrelnissa Zeid Resolved Problems 1948 |
Fantaisies brésiliennes Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky Nice
Fantaisies brésiliennes Inauguration de cette exposition en présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l’art moderne et contemporain représentant Christian Estrosi, Président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Maire de Nice, En partenariat avec le Ministère de la Culture de Sao Paulo, la Ville de Nice accueille, du 10 juin au 3 octobre 2016, au Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky, « Fantaisies brésiliennes », une exposition témoignant de l’originalité de l’Art Naïf brésilien issu d’un savant mélange ethnique, d’un syncrétisme religieux, d’un besoin impérieux de braver la dureté de la vie et de lui substituer les couleurs de l’espoir. |
Légende et crédit de la photo |
FEMMES ANNÉES 50 MUSÉE SOULAGES RODEZ
FEMMES ANNÉES 50 Du 14 décembre au 10 mai 2020, le musée Soulages consacrera une exposition à la création abstraite des femmes dans les années 50 à Paris : Femmes années 50. Au fil de l’abstraction, peinture et sculpture. Déjà aux Etats-Unis se tenait en 1951 l’exposition fondatrice « Ninth Street Show », une manifestation d’avant-garde dans laquelle figurait 4 femmes : Joan Mitchell, Grace Hartigan, Elaine de Kooning et Helen Frankenthaler. Dans L’autre moitié de l’avant-garde 1910/1940, éditions des femmes, publication doublée d’une exposition en 1980 en Italie, Lea Vergine parle de découvrir la « moitié suicidée du génie créateur de ce siècle ». En 2009, le Centre Pompidou offrait une importante exposition d’artistes femmes, «Elles» qui réunissait plus de 3 millions de visiteurs. |
Genevieve Claisse - Slalom 1960 162x130 cm |
Fernand Leger musee des Beaux art de Nantes
Reconstruire le réel |
Fernand Léger, La joconde aux clés, 1930 |
Ami de Man Ray et de Duchamp, il retrouve, lors de son exil aux Etats-Unis, Masson, Tanguy, Matta, Breton, Ernst et affiche son amitié avec le milieu surréaliste, notamment lors de l’exposition Artists in exile en 1942 à New-York.
Issue d’une collaboration entre le musée des beaux-arts de Nantes et le musée national Fernand Léger de Biot, et la réunion des musées nationaux - Grand-Palais.
FONDATION BEYELER EXPOSITION CLOSE-UP
CLOSE-UP Berthe Morisot, Mary Cassatt, Paula Modersohn-Becker, Lotte Laserstein, Frida Kahlo, 19 septembre 2021 – 2 janvier 2022 L’exposition présentera des œuvres de neuf femmes artistes dont l’œuvre occupe une position éminente dans l’histoire de l’art moderne depuis 1870 jusqu’à aujourd’hui. C’est l’époque où, pour la première fois, il devint possible à des femmes en Europe et en Amérique de développer une activité artistique professionnelle sur une large base. Au centre de l’exposition figurent des artistes qui ont en commun leur intérêt pour la représentation d’êtres humains, le portrait dans ses différentes déclinaisons et l’autoportrait. La Française Berthe Morisot et l’Américaine Mary Cassatt, toutes deux actives dans les années 1870 et 1880 à Paris, qui était alors la capitale de la création artistique la plus avancée; l’Allemande Paula Modersohn-Becker de 1900 à 1907 entre la petite ville provinciale de Worpswede, dans le Nord de l’Allemagne, et la métropole parisienne; l’Allemande Lotte Laserstein de 1925 à 1933 dans le Berlin de la République de Weimar; la Mexicaine Frida Kahlo depuis la fin des années 1920 jusque vers 1950, à Mexico City, pendant la période mouvementée de la consolidation de la révolution mexicaine; l’Américaine Alice Neel depuis la fin des années 1920 jusqu’au début des années 1980, d’abord à Cuba, puis à Manhattan, de Greenwich Village au Upper West Side en passant par Spanish Harlem; Marlene Dumas, née en Afrique du Sud, qui a grandi au Cap au plus fort de l'Apartheid, et vit depuis 1976 à Amsterdam; en même temps l’Américaine Cindy Sherman à New York, pôle occidental d’une nouvelle génération d’artistes contemporains; et enfin l’Américaine Elizabeth Peyton depuis les années 1990, entre New York et l’Europe de l’Ouest. |