Exposition Joseph Nechvatal GALERIE RICHARD L'exposition Destroyer of Naivetés: COMPUTER VIRUS 1.0 reprend la thématique des attaques virales que Nechvatal a développé au début des années 90 et qui apparaissent particulièrement pertinentes aujourd'hui en termes de maladies virales qui se succédent, de terrorisme global rampant et de piratage informatique politique. Lors de son interview avec Thyrza Goodeve dans l'édition de janvier 2016 du Brooklyn Rail, Nechvatal raconte que le but intitial du Computer Virus Project était de produire physiquement des peintures numériques en utilisant des algorythmes qui inséraient un modèle viral dans le cyberespace. Ce code considéré come un outil de simulation lui permit d'introduire virtuellement des organismes artificiels dans une reproduction numérique d'une oeuvre plus ancienne (l'hôte) et de les laisser transformer et détruire ces images de la façon la plus belle qui soit. Durant le lancement de ces "attaques" en 1993 l'artiste fixe un moment et extrait cette image qui est peinte à l'aérosol par un robot, ce qui est une manière de ramener le virtuel dans le réel. Les connotations négatives du virus du Sida comme facteur de maladies sont reflétées dans le principe de dégradation que subit l'image hôte. Pour autant le virus est aussi à la base d'un processus créatif qui produit dans le temps de la splendeur et de la nouveauté en termes d'histoire de la peinture. |
Joseph Nechvatal viral attaque la CaRne, 1993 |
PRUNE NOURRY GALERIE MAGDA DANYSZ
PRUNE NOURRY - SOLO SHOW VERNISSAGE EN PRÉSENCE DE L'ARTISTE GALERIE MAGDA DANYSZ Après de 4 mois de travaux, la Galerie Magda Danysz offre son espace repensé de 500 m² qui s'étend sur trois niveaux, à Prune Nourry pour un solo show. Artiste consacrée en France comme à l'étranger ces dernières années, Prune Nourry, à seulement 31 ans, incarne la relève de la scène artistique française. |
Prune Nourry Imbalance Courtesy Galerie Magda Danysz |
Bao Lin LIU art works exhibition in XUN ART GALLERY Beijing
XUN ART GALLERY |
Melkart Gallery présente Francesca Di Bonito
VERNISSAGE le jeudi 27 octobre à 19h Melkart Gallery melkartgallery(at)gmail.com du mardi au samedi de 14h à 19h Les photographies de Francesca Di Bonito possèdent un pouvoir de séduction évident. Elles ont cette capacité de happer le regard au premier abord, que l’on pourrait expliquer par la surprise, cette faculté de montrer une image jamais encore vue, d’une beauté ou d’une laideur inédites. Sous-tendues par un discours très fort qui appartient au champ de la politique, de la sociologie ou bien à celui de la fantasmagorie, les photographies de Francesca Di Bonito portent un champ narratif invisible qui n’est certainement pas indifférent à l’attrait exercé. Mais il y a quelque chose en plus de tout ceci, quelque chose qui n’a rien à voir avec la qualité technique, avec la surprise et l’originalité, ou avec la trame narrative et idéologique. Une chose qui doit retenir notre attention, parce qu’elle est au centre des enjeux de la photographie, et des métamorphoses que les technologies contemporaines, numériques notamment, lui ont imprimées. |
Galerie Laurent Strouk PAPERWORKS
Exposition du 14 octobre au 12 novembre 2016 La galerie Laurent Strouk est heureuse d'annoncer l'exposition collective « Paper Works », qui réunit vingt-huit artistes contemporains — des plus grands de ce siècle jusqu'à la génération la plus jeune — autour d'un ensemble exceptionnel et inédit d'œuvres sur papier. |
Tom WESSELMANN - Smoker - Crayon et acrylique sur papier |
La Galerie Nathalie Obadia présente All Star de Valérie Belin
Du 10 septembre au 29 octobre 2016 Phone: +33 (0)1 53 01 99 76 La Galerie Nathalie Obadia est très heureuse de présenter All Star, la première exposition de Valérie Belin à la galerie de Paris, après Still Life en 2014 à la galerie de Bruxelles.
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Valérie Belin Power Girl (série All Star) 2016 |
Hommage à Antoni Tàpies Gallery Laurentin Bruxelles
Hommage à Antoni Tàpies Gallery Laurentin Bruxelles L’artiste n’a encore jamais bénéficié d’exposition monographique en galerie en Belgique et n’avait plus été vu sur les cimaises belges depuis sa dernière rétrospective en 1985 au Musée d’Art Moderne de Bruxelles et celle du Palais des Beaux-Arts de Charleroi en 1973. Peintre, sculpteur, essayiste et théoricien de l’art, Antoni Tàpies a fait parti de l’avant garde espagnole et a créé un nouveau langage dans les arts plastiques. Exposé dans les plus grands musées du monde, l’oeuvre de Tàpies est associé à d’autres grands noms de l’art du XXe siècle, comme Joan Miro et Salvador Dali, eux aussi catalans. L’artiste a gagné une reconnaissance internationale grâce à des oeuvres aux compositions étonantes, parfois faites de matériaux de récupération. A partir du 23 septembre, la laurentin gallery présentera environ 20 oeuvres (peintures, dessins) ainsi qu’un ensemble d’estampes de ce catalan révolutionnaire. |
Antoni Tàpies A renversé, 1984 |
Angelika Markul Galerie Laurence Bernard Genève
Angelika Markul : accords et désaccords par Jean-Paul Gavard-Perret Angelika Markul, « Excavations of the future », Galerie Laurence Bernard, Genève, du 15 septembre au 1er novembre 2016. |
Portrait de Angelika Markul |
EXPOSITION COLLECTIVE L’ARTISTE EST-IL UN CHAMANE
EXPOSITION COLLECTIVE : L’ARTISTE EST-IL UN CHAMANE ? L’ASPIRATEUR | ESPACE D'ART CONTEMPORAIN | NARBONNE | FRANCE 24 septembre 2016 / 27 novembre 2016 > CONTACTS L'ASPIRATEUR ESPACE D'ART CONTEMPORAIN
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MAËLLE GALERIE LE MONDE EST EN PANNE D'UNE PENSÉE POUR LE MONDE
LE MONDE EST EN PANNE D'UNE PENSÉE POUR LE MONDE |
Barthélémy Toguo, Roger délivrant Angélique I, |
Le monde est désenchanté. Il ne s'agit pas là d'adopter une position romantique et nostalgique d'un Âge d'or perdu, mais de lire ce monde à travers le prisme d'une histoire qui cumule les drames, les conflits, les guerres et qui semble aspirer notre civilisation dans le tourbillon du chaos. La violence du capitalisme économique est telle qu'on assiste à un repli des individus sur eux-mêmes qui ne sont ni portés par un projet de société, ni par un idéal ambitieux. Le monde est en panne d'une pensée pour le monde pour paraphraser le titre de l'exposition de la Maëlle Galerie. Les artistes, véritables vigies et oracles des temps modernes, sont là pour alerter et éveiller les consciences. « L'art n'est pas une réjouissance solitaire et l'artiste a un rôle à jouer dans la société » revendique Barthélémy Toguo. Il est là pour relayer « le grand cri des peuples qui souffrent » comme il l'illustre encore aujourd'hui dans cette exposition réunissant cinq artistes relatant des récits fragmentés où les valeurs humaines sont incompatibles avec une mondialisation qui broie allègrement sans critère de justice sociale. Et pourtant, cet ordre mondialisé tant souhaité par H. G. Wells dans son livre éponyme a de quoi séduire tel qu'exprimé par un George Bush à la tribune du Congrès le 11 septembre 1990, promettant « une nouvelle ère, moins menacée par la terreur, plus forte dans la recherche de justice et plus sûre dans la quête de la paix. » Mais voilà, ces mots ont pour seule ambition d'entretenir une illusion et de manipuler un peuple désorienté et dépolitisé, un jeu dans lequel les politiques brillent. Avec ironie et cynisme, Orlando Britto Jinorio condamne une telle mainmise dans sa série de photographies Being Horse, où il se met en scène en cheval, un mors dans la bouche. Une métaphore de la condition humaine. |
Gérard TRAQUANDI en regard de Hans HARTUNG Galerie Catherine ISSERT
À double détente : Gérard TRAQUANDI, en regard de Hans HARTUNG du 9 juillet 2016 au 3 septembre 2016 vernissage le samedi 9 juillet à 18:00 Galerie Catherine ISSERT 2 ROUTE DES SERRES 06570 SAINT-PAUL T 33(0)4 93 32 96 92 info(at)galerie-issert.com www.galerie-issert.com En 2008, la Fondation Maeght consacre une exposition à Hans Hartung. À cette occasion, Gérard Traquandi révèle à Catherine Issert les affinités existantes entre son oeuvre et celle de Hartung. De ce dialogue est née l’idée d’imaginer une exposition qui mettrait en regard leurs pratiques ; huit ans plus tard, la voici : l’exposition À double détente sera présentée à la galerie Catherine Issert du 9 juillet au 3 septembre 2016. Lorsque les tableaux de Hartung regardent les oeuvres de Traquandi, des connivences d’ateliers, des gestes, un certain regard sur la matérialité du monde émergent pour créer un dialogue artistique et esthétique fort. Les abstractions traversées de mouvements glissants de Traquandi croisent les gestes lyriques et dynamiques de Hartung ; leur rencontre génère des sensations faites de couleur et de rythme qui nous amène au coeur d’un monde naturel vibrant et profond. Tous deux sont des peintres du geste, du faire : leurs tableaux émergent d’une approche sensuelle et processuelle de la peinture. Si Hartung, fasciné |
Hans Hartung, T1989-E44, acrylique sur toile, 180 x 180 cm, 1989, Gérard Traquandi, Sans titre, huile sur toile, 190 x 140 cm, 2016, |