UPPER CONCEPT STORE Présente dans sa Galerie les oeuvres d’Olivier Megaton Réparti sur trois étages au cœur de l'Île Saint-Louis, Upper Concept Store est pensé pour les amoureux du beau et de l'utile, pour les amateurs d'art. C'est Jacqueline Huang qui a eu l'idée de ce concept store atypique qui renvoie à l'idée d'une ascension sans fin. Ambitieuse et passionnée par l'art, cette designer, architecte d'intérieur et créatrice française d'origine chinoise, est tombée sous le charme de ce lieu au cœur de l'Île Saint-Louis. Elle a ouvert les portes d'Upper Concept Store en septembre 2016. Elle s'occupe de l'architecture du lieu, de la boutique, des évènements et enfin la direction de la galerie. Ce lieu est devenu le repère incontournable des artistes, stylistes, designers ou encore cinéastes. Connu internationalement du grand public pour avoir réalisé Le Transporteur 3, Colombiana ou encore les deux derniers Taken, Olivier Megaton n’est pas seulement réalisateur mais aussi peintre. Entre pochoirs, bombes ou encore peintures; il exprime son art sous différentes formes. |
Photographic Surrealism 1920-1950 UBU GALLERY NEW-YORK
Les Mystères de la chambre noire: Photographic Surrealism 1920-1950 June 5 — July 28, 2017 Ubu Gallery is pleased to announce an exhibition of photographic images by thirty-three avant-garde artists who experimented with surrealist methods. Utilizing techniques including photomontage, multiple exposures, combined negatives, brülage, photograms and the disarming juxtaposition of disparate images, the artists created unsettling realities. The artists embraced photography as a new medium in the 20th century in part because of the credibility of photography; the idea that the camera does not lie, lent itself to challenging our assumptions about reality. |
Denise Bellon, Mannequin par André Masson Exposition Internationale du Surréalisme, Paris, January 17-February 24, 1938, Vintage gelatin silver print, 9 3/4 x 9 3/8 inches (24.8 x 23.8 cm), Stamped on verso |
Flatland Gallery presents Hendrik Kerstens & Ruud van Empel
PHOTO BASEL Focus Hendrik Kerstens Flatland Gallery is proud to present two very rare works of Hendrik Kerstens In the work of Dutch photographer Hendrik Kerstens (1956) everything breathes Dutchness. It is in the hemisphere of the radically realist paintings of Dutch masters that Kerstens explores the photograph as a surface, a platform to study contemporary ordinary objects in historical portrait tradition. In this, his daughter Paula is a continuous element in his photographs, wearing down-to-earth styles of headwear made of or consisting of simple materials or objects as aluminium foil, bubble wrap, wet towel, plastic bag, or paper roll. Kerstens appreciates how those common, sometimes, disposable objects can take a rich character, switching their ordinary and pure functional purpose to a permanent, frisky, vivid and sustainable impression. Taken out of their original context those, now, versatile objects become multifunctional and more valuable. |
Cosy, 2012, 62,5 x 50 cm, raw/color negative 4/5 inch - ultrachrome, edition of 5 + 2 AP, available AP 1 © Hendrik Kerstens |
Gérard Schlosser Galerie Laurent Strouk
Gérard SCHLOSSER
Les codes techniques du peintre sont toujours identiques et toujours recommencés. Une trame narrative supposée est plus ou moins suggérée par les titres incisifs, fragmentaires, au sens parfois équivoque : « Elle est belle », « Tu sais où il est », « C’est pas lui », « Fais pas le con », « C’est pas si mal », « Sur le mur »… Ils renforcent un flottement recherché qui suggère une histoire incertaine qui peut se prolonger hors du cadre. Ces petites voix qui se font entendre rappellent à chacun un moment de vie fugace, banal qui reste inscrit dans des souvenirs d’instants authentiquement vécus. Ces citations de vie, ces passages du temps ensevelis dans la mémoire revivent dans l’actualité de la peinture. Avec sa dernière série de 27 tableaux présentée à la galerie Laurent Strouk du 28 avril au 27 mai 2017, Gérard Schlosser semble s’exposer dans un multiple jeu de miroirs quand il propose des personnages de dos qui s’inscrivent dans des fragments de toiles de Fernand Léger. Devant les œuvres du créateur du Modernisme, ces figures s’interrogent, nous interrogent et proposent une mise en abîme de la peinture. |
Gérard Schlosser Une illusion 2016 |
Daniel Dezeuze Claude Viallat Galerie Catherine ISSERT
Daniel Dezeuze // Claude Viallat Cet été, les musées de la ville de Nice célèbrent ses « Ecoles de Nice » (les mouvements artistiques ayant animé la Côte d’Azur après la seconde guerre mondiale et jusqu’aux années quatre-vingt) : en écho à cette manifestation, la galerie Catherine Issert consacre une exposition à deux acteurs majeurs de cette période, Daniel Dezeuze et Claude Viallat. Ainsi, Catherine Issert rappelle le rôle important que sa galerie a joué dans l’émergence des artistes du mouvement Supports/Surfaces. En effet, l’ouverture en 1975 de la galerie se fit avec la complicité de Claude Viallat, alors âgé de 39 ans et entouré pour l’occasion de Bernard Pagès, Patrick Saytour, Toni Grand et Christian Jaccard ; suivie en 1976 par une exposition de Daniel Dezeuze, alors âgé de 34 ans. A cette époque, le mouvement Supports/Surfaces, fondé par Dezeuze, Saytour et Viallat, adopte une posture critique vis-à-vis du tableau et fait de l’analyse de ses constituants essentiels – le support et la surface – les éléments mêmes de sa réflexion plastique. Le groupe est à peine formé que déjà il se délite ; il n’aura existé que de 1968 à 1971, pourtant les questionnements fondamentaux qu’il aura engendrés influenceront longtemps, et peut-être aujourd’hui encore, la création contemporaine. En 1970, Daniel Dezeuze et Claude Viallat furent à l’initiative de l’exposition emblématique du groupe à l’ARC (Musée d’Art Moderne de la ville de Paris) ; quarante ans après, ces deux artistes font toujours preuve d’une énergie indéniable en prolongeant leur quête d’une peinture renouvelée et décloisonnée. |
Claude Viallat |
RAYK GOETZE GALERIE CHARRON - PARIS
RAYK GOETZE GALERIE CHARRON - PARIS La Galerie Charron, fondée en 2007 située rue Volta au cœur du Marais, se singularise dans le paysage artistique parisien par un fervent engagement à la création d'un pont artistique entre la France et l'Allemagne. Du 1er juin au 7 juillet 2017 la Galerie Charron invite Rayk Goetze, peintre allemand issu de la Nouvelle Ecole de Leipzig au travers d'une exposition intitulée Barbaric Splendour. L'oeuvre de Rayk Goetze porte sur l'appropriation d'un nouveau langage visuel dans un cadre historique et questionne ainsi l'identité d'une peinture contemporaine tout en dévoilant ses inspirations aux grands Maîtres de la Renaissance, du Maniérisme et du Baroque. En partenariat avec les Jeudis Arty, vernissage le 1er juin de 18h à 22h |
©Rayk Goetze, Traumfrau, Huile et acrylique sur toile 2017 |
KARINE BOULEAU Maison des Arts Châtillon
Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon Diplômée de l'Ecole des Beaux-Arts de Paris en 2012 (atelier Jean-Luc Vilmouth), Karine Bouleau mène un travail cohérent et délicat autour du jeu et des possibilités d'interactions sociales qu'il engendre. Elle extrait tout ornement d'objets ou de mobiliers sortis de l'enfance, mettant ainsi en exergue leur structure. Ils deviennent alors des modules que l'on peut recomposer à l'envi pour en faire ce que Karine Bouleau nomme « des lieux d'échanges et supports d'imaginaire ». Ses recherches prennent des aspects multiples : dessins, peintures, installations, sculptures ou encore vidéo, alliant savoir-faire technique et poétique de la fragilité. Pour cette première exposition personnelle, Karine Bouleau présente également des œuvres très récentes explorant la thématique du voyage. L'ensemble se lit alors comme les pièces d'un puzzle que l'on voudrait ne jamais achever. Le soir du vernissage une navette pour le retour au métro sera mise en place |
Miss Tic Galerie Lélia Mordoch
Alerte à la bombe Urban Art Fair Paris 2017 La galerie Lélia Mordoch présente Dédicaces du livre de Miss Tic le samedi 22 avril de 15h à 16h30 |
Alerte à la bombe © Miss Tic/ADAGP Courtesy Galerie Lélia Mordoch |
Thibaut de Réimpré Galerie ARCTURUS
Thibaut de Réimpré Cela fait plusieurs années que Thibaut de Réimpré n’a pas eu d’exposition personnelle dans une galerie parisienne. Suivant avec passion son travail depuis de très nombreuses années, j’ai choisi avec lui de tourner notre regard vers l’aventure des 25 dernières années. Sous le calme apparent et le sourire de Thibaut, bouillonne une profusion de forces telluriques, un fracas, un chaos de couleurs et d’enchevêtrements de lignes qui éclatent dans ses œuvres. Ces morceaux choisis témoignent du dynamisme, de la constance, de l’engagement de son œuvre : le sujet central est « la peinture, ici et maintenant » comme le dit Philippe Piguet. Sa peinture est à la fois élégante et forte, elle pousse à s’abandonner au simple plaisir de la peinture, d’en suivre les méandres, les matières et les couleurs dans un engagement complet du corps et de l’imagination. Elle pousse à la rêverie active, donne de l’énergie et de l’enthousiasme, elle nous rend, passionné de la vie. Cette exposition constitue donc un moment important pour cet artiste, actif depuis 1974, qui a une place singulière dans le mouvement de l’abstraction lyrique. Nous vous accueillerons avec plaisir sur rendez-vous à un horaire de votre choix afin de vous fournir tout renseignement / matériel complémentaire dont vous pourriez avoir besoin. Anne de la Roussière (06 80 16 15 88) |
Thibaut de Réimpré Acrylique sur papier, 100 x 100 cm, 1991 |
ADDICT GALERIE Performance artistico-électorale
Élections présidentielles 2017 dans l’espace RVB Citoyennes, citoyens, c’est à une toute autre élection que vous êtes convoqués, les 20, 21 et 22 avril. En effet, il vous est proposé de quitter temporairement le bleu, blanc, rouge de la République française pour vous glisser dans le rouge, vert, bleu de l’Espace RVB. A l’occasion d’une performance artistico-électorale, vous aurez la possibilité de procéder à une élection particulière. En effet, il s’agira d’élire votre candidat |
Irene Laub Gallery Pascal Haudressy Laurent Bolognini
PASCAL HAUDRESSY 20.04.17 - 22.07.17 ART BRUSSELS 2017 À la lisière de la perception |
Pascal Haudressy, Monolithe 05, 2016, Mixed media, |