Alize Cornet portraitChacun se bat contre ses propres démons.

Nina affronte sa peur de décevoir, Marcel son besoin d'être aimé, Romain ses addictions.

Au milieu des turbulences de leurs jeunes vies, leur amitié doit être protégée à tout prix.

La certitude d'être toujours là l'un pour l'autre, cette sécurité qui manque aux histoires d'amour, ils ne prendraient pas le risque de la mettre en péril.

Est-ce la seule raison ? Peut-on être heureux sans oser vivre sa vie ?

Les Pyrénées, les paysages de Provence, Paris sont les décors de la perpétuelle oscillation des sentiments de ces trois personnages merveilleusement attachants, à la recherche des mots au-delà des murmures.

Alizé Cornet est joueuse de tennis et romancière, et vit principalement dans le Sud de la France. Ce qui manque à l’amour est son deuxième roman, après La valse des jours (Flammarion, 2022 ; J’ai lu, 2023).

Voir la biographie de Alizé Cornet dans WIKIPEDIA

Ce qui manque à l'amour Livre de Alizé Cornet Editions Albin Micheldate de parution 02 mai 2024 Editeur Albin Michel

EAN13 : 9782226494177

ISBN :  978-2-226-49417-7

Éditeur Albin Michel

Date de publication 02/05/2024

Collection A.M. ROM.FRANC (1)

Nombre de pages  256

Dimensions 20,5 x 14 x 2 cm

Poids 318 g

Langue : français

Frédérik Pajak et Vera Michalski co-organisateurs et co-fondateurs du Festival du Dessin, peuvent être extrêmement satisfaits du succès de leur initiative. Après avoir accueilli 66 000 visiteurs lors du premier festival en 2023, il est fortement probable que leur objectif des 100 000 visiteurs pour cette édition de 2024 soit atteint.

Félix Vallotton, L’Averse, 1894, Bois gravé sur velin
 Félix Vallotton, L’Averse, 1894, Bois gravé sur velin

Alors que l’année dernière, l’hommage était rendu à Jean-Jacques Sempé, cette année le Festival du Dessin honorait l’art de Tomi Ungerer, dessinateur français né en 1931 à Strasbourg et mort en 2019 à Cork en Irlande,  plus reconnu à l’étranger que dans son pays natal. Tandis que la majorité du public français ne connaît que ses livres pour enfants, l’exposition monographique nous révèle que son œuvre est beaucoup plus variée.  A partir de 1957 il s’installe pour plusieurs années à New-York. Ses dessins satiriques remportent un grand succès et sont publiés dans les revues américaines les plus prestigieuses, telles que Harper's Bazaar, Life et The New York Times. Aux États-Unis il est également apprécié comme dessinateur publicitaire et affichiste de cinéma. Ses dessins révèlent sa sensibilité pour la condition humaine. Pacifiste, il manifeste sa colère contre la violence et contre la guerre. Ses affiches contre la guerre du Vietnam et contre la ségrégation raciale américaine lui causent des ennuis. Le motif de l’affiche Black Power/White Power est devenu mondialement célèbre sans que l’auteur ne soit réellement connu par le grand public. Dans ses dessins critiques, il exprime son inquiétude à l’égard de l’énergie nucléaire, de la nuisance humaine contre l’environnement et sa désapprobation de la société de consommation. Entre 1980 et 1990 il réalise de nombreux dessins évoquant la disparition des forêts, la pollution de l’air et la crise énergétique. La série The Party accompagnée par des courts textes, nous présente la distraction mondaine et superficielle d’une certaine haute-société new-yorkaise. On peut également citer sa série poétique Es ist, wie es ist, une sorte de dialogue entre ses dessins et les poèmes de Robert Pütz, éditeur et agent publicitaire allemand. L’exposition organisée à l’espace Chapelle du Museon Arlaten offre un bel hommage à Toni Ungerer.  A ceux souhaitant davantage connaître son travail réalisé à l’encre de chine, aux crayons gras de couleurs, à la gouache, ses collages et autres techniques, le Musée Tomi Ungerer – Centre international de l'illustration de Strasbourg, ouvert depuis 2007 et possédant plus de 14 000 de ses œuvres, offre une occasion idéale.

Lire la suite...

Béatrice Brugère Justice : la colère qui monte

Plaidoyer pour une refondation complète

Par Béatrice Brugère · 2024

L'Observatoire Essais 28 Février 2024

À propos

Délais de jugement, illisibilité des procédures, vaine tech-nocratie, hyperinflation normative, trop grande politisation, corporatisme, différence de traitement entre les victimes et les délinquants, perte de souveraineté... De nos jours, les critiques contre l'institution judiciaire ne manquent pas. De plus en plus violentes, elles délégitiment la justice et sapent assurément son autorité. La justice en France semble en effet marcher à reculons?: plus on la réforme et moins elle progresse ! Mais c'est un fait : les citoyens n'acceptent plus ni sa lenteur, ni sa complexité, ni ses décisions incompréhensibles ou laxistes. La mise à sac récente du tribunal d'Aurillac ou l'incendie du tribunal de Nanterre constituent autant d'alertes à prendre très au sérieux. Pour Béatrice Brugère, sauver ce qui peut l'être de la justice en France ne se réglera pas de manière strictement budgétaire ou technique. La justice ne retrouvera sa vocation profonde qu'à la condition d'une complète refondation : protéger les plus faibles, sanctionner vraiment les délinquants, sauvegarder les libertés menacées, apprendre aussi à devenir plus accessible et plus humaine. Au travers de ces pages, la magistrate nous donne malgré tout des raisons d'espérer et de se battre. Elle propose notamment, avec lucidité et courage, un changement de cap complet : pour que la justice reprenne toute sa place... mais rien que sa place.

Auteur Béatrice Brugère
Éditeur L'Observatoire
Distributeur Union Distribution
Date de parution 28/02/2024
Collection Essais
EAN 9791032930410

Yann Moix Visa02/05/2024

« J’aimerais connaître vos motivations pour ce voyage chez nous, M. Yann. Nous serions ravis de vous accueillir, mais nous voudrions accueillir, en même temps que nous vous accueillons, l’ensemble de vos motivations. Car on ne voyage jamais seul, vous le savez bien. On voyage toujours accompagné. On voyage accompagné de ses motivations. Pourquoi voulez-vous aller chez nous, M. Yann ?»

Quand un écrivain français se rend à la délégation de Corée du Nord pour obtenir le précieux document qui lui ouvrira les portes d’un pays bouclé à triple tour, c’est bien plus qu’un simple rendez-vous administratif qui s’engage…

Yann Moix restitue la joute verbale qui l'oppose au très redoutable préposé à la délivrance des visas pour la RPDC - République populaire démocratique de Corée. Méprise, quiproquo, ironie, double langage, terreur douce et mensonge déconcertant : jamais on n'a mobilisé avec autant de talent les ressorts du dialogue pour produire de la force comique. Non pour le seul plaisir de rire, pour tourner en ridicule l’une des dernières bureaucraties communistes de la planète ou pour dénoncer en creux la bonne conscience hypocrite des démocraties occidentales, mais pour tenter de saisir un non-lieu : la rencontre insoluble entre deux mondes, deux métaphysiques qui ne se comprennent pas et ne se comprendront jamais.

Un texte jubilatoire.

Parution du livre LIBRE de Adriana Karembeu Editions Leduc

2 mai 2024 À propos de l'auteur

 « Adriana se crispa en voyant son père, son regard empli de fureur. Puis, le silence éclata sous le coup de sa main qui s’abattit sur son visage, laissant derrière lui une douleur lancinante et des souvenirs indélébiles. »

L’histoire bouleversante d’Adriana Karembeu est une source d’inspiration, un récit captivant qui dépasse les frontières. De son enfance en pays communiste, où la violence paternelle était monnaie courante, à ses succès remarquables sur les podiums de la mode, Adriana incarne une détermination et une résilience sans limite.

Des coulisses glamours du mannequinat aux plateaux télévisés, elle excelle en tant qu’animatrice charismatique, comédienne talentueuse et femme d’affaires redoutable. Maman dévouée de la petite Nina, elle partage pour la première fois dans cet ouvrage les hauts et les bas de ses deux mariages et séparations, ainsi que les obstacles qu’elle a courageusement surmontés pour devenir mère à l’âge de 46 ans. Chaque étape de son parcours, marquée par des défis, nous offre un précieux témoignage de la force de l’esprit humain. En nous incitant à explorer notre puissance intérieure, Adriana nous invite à transcender nos barrières et à forger notre propre liberté.

Mannequin de renommée internationale parmi les plus emblématiques de sa génération, animatrice de télévision et comédienne, businesswoman, citoyenne active et engagée, mais surtout maman de Nina, son « miracle », Adriana Karembeu est aujourd’hui un modèle incontesté. Elle partage sur son compte Instagram, @adrianakarembeusklenarikova, son quotidien avec des milliers d’abonnés.

Créées en 2003, les Éditions Leduc ont pour ambition de vous accompagner au quotidien en publiant des livres qui aident à mieux vivre, dans tous les domaines de la vie.

Pour ne rien rater de nos actualités, suivez-nous sur notre compte Instagram, notre page Facebook, ou inscrivez-vous à notre newsletter.

Livre de Gilles-William Goldnadel  Journal de guerre c'est l'Occident qu'on assassineCe «  journal de guerre  » débute le 7 octobre, jour du pogrom perpétré par le Hamas. Il s’agit d’un journal intime sur les états d’âme d’un juif dans la peine et d’un journal de réflexions politiques et psychologiques d’un avocat engagé dans la sphère publique.

Un écrit «  à chaud  », car la tragédie que nous vivons a des enjeux civilisationnels qui devraient tous nous inquiéter.

Il ne s’agit ni d’un journal intime ni d’un journal officiel. Mais d’un journal de guerre.

Guerre contre le désarroi personnel né un 7 octobre au réveil.

Guerre contre la détestation des Juifs et de leur État.

Guerre au jour le jour contre la nuit qui vient.

Guerre contre la désinformation médiatique pour causes idéologiques, à commencer par celle de l’audiovisuel public. Cette idéologie anti-occidentale du double standard, cette préférence pour l’Autre, qui traite différemment l’immigré et le Français, le Palestinien et l’Israélien.

Guerre contre une extrême gauche ayant sombré dans l’antisémitisme après son alliance avec l’islamisme.

Guerre contre la folie qui s’est emparée de l’Occident en perdition à cause de la disgrâce d’un wokisme détestant les Français, en tant que Blancs.

Une guerre totale. Argumentée, documentée, avec les armes de l’ironie mortelle et de l’humour létal.

Une guerre sans concessions menée par un avocat qui, parce qu’il aime tant la vie, a condamné cette haine qui nous menace à la peine de mort. 

Philippe de Villiers Les cloches sonneront-elles encore demain ? Editions PlurielLa France est meurtrie par le terrorisme. Mais il y a plus grave : elle est en train de perdre son identité. Si l’on ne fait rien, selon Philippe de Villiers, la voix du muezzin couvrira le son des cloches de nos terroirs.

L’auteur a eu accès à de nombreuses informations qu’il divulgue ici pour que les Français sachent et prennent conscience de l’extrême gravité de la situation. À travers une mise en perspective vertigineuse, il rappelle comment, depuis les années 1980, notre pays a été lentement mais sûrement « islamisé ». Rien n’a été fait pour répondre aux vagues migratoires et au plan secret de l’Europe. Pire, ce projet d’un « Eurislam », révélé ici au grand jour, a été encouragé par les élites françaises.

Il faut renouer avec notre pays. Philippe de Villiers propose d’inventer un nouveau roman national qui soit un roman d’amour. Pour que chaque Français puisse partir dans la vie avec un bagage imaginaire qui porte ses rêves.

Philippe de Villiers est un homme politique et essayiste français. Il est l’auteur à succès de romans historiques et de documents politiques. Préface inédite

Christophe JubanDorothée de Lieven, première femme diplomate

« C’est dans les Mémoires d’outre-tombe de François-René de Chateaubriand que j’ai découvert pour la première fois Dorothée de Lieven. Puis je l’ai de nouveau croisée dans les mémoires de Talleyrand et dans d’autres ouvrages de cette époque. En parcourant sa très volumineuse correspondance, je me suis aperçu qu’elle avait eu une influence considérable dans la diplomatie de la première moitié du XIXème siècle. Je me décidais à écrire sa biographie.

Elle est née à Riga en 1785, à la veille de la Révolution française, éduquée à Saint-Pétersbourg et très proche de la famille impériale, les Romanov. Elle a été la femme Christophe de Lieven qui sera ambassadeur de Russie à Berlin en 1810 puis à Londres en 1812 alors que le Tsar Alexandre 1er, en pleine guerre contre Napoléon décide de renouer les relations diplomatiques avec l’Angleterre. Après plus de vingt années passées à Londres, elle décide de s’installer en France.

Rarement dans l’histoire, une femme a eu une complicité, une intimité avec les plus grands diplomates et hommes d’État de différents pays : l’autrichien Metternich, l’homme le plus puissant alors de la diplomatie européenne, dont elle sera la maitresse, les Anglais Lord Grey et Lord Aberdeen, qui furent de très grands Premiers ministres et ministres des Affaires étrangères anglais et enfin le Français François Guizot, qu’elle rencontre en 1837 à Paris ».

Le 28 janvier 1857, au lendemain de la mort de la princesse de Lieven, le Journal des débats écrivait : « C’était une grande dame et une grande âme européenne, représentant hautement cet ensemble de sentiments et d’idées, cette civilisation supérieure qui est le patrimoine commun du monde occidental et qui en fait l’unité »

Biographie

Ayant travaillé pendant plus de trente ans au sein d'un grand groupe industriel français, Christophe Juban a occupé plusieurs postes à l'étranger, effectuant des missions sur tous les continents dans les domaines du commerce international, de la finance et de la stratégie.
Par ailleurs, coproducteur de plusieurs longs métrages d'animation, il est féru de géopolitique, d'histoire, et de littérature. C'est en lisant Chateaubriand et Tolstoï qu'il rencontre Dorothée de Lieven.

Dorothée de Lieven, première femme diplomate par Christophe Juban

Lire la suite...

Carlos Tavares est actuellement le Directeur général et le Directeur exécutif de Stellantis. Sous sa direction, Stellantis s’est fixé comme ambition d’offrir à tous des solutions de mobilité propres, sûres, et abordables tout en se transformant rapidement en une « tech company de mobilité ». Pour atteindre cet objectif, l’entreprise s’appuie sur la mise en œuvre rapide et efficace de son ambitieux plan stratégique Dare Forward 2030, qui permettra à Stellantis de devenir le premier constructeur automobile à atteindre la neutralité carbone d’ici 2038.

Carlos Tavares StellantisAvant de diriger Stellantis, créée en janvier 2021, Carlos Tavares était Président du Directoire de Groupe PSA depuis mars 2014, après avoir rejoint le Directoire de PSA en janvier 2014.

Auparavant, de 2011 à 2013, il a été Directeur Général délégué aux opérations de Renault. Il a également occupé le poste de Vice-Président Exécutif, Président du Comité de Gestion Amériques et Président de Nissan Amérique du Nord en 2009, après avoir rejoint Nissan en 2004. Carlos Tavares a commencé sa carrière en 1981 au sein du Groupe Renault, où il a assumé diverses fonctions.

Carlos Tavares est actuellement coprésident du Conseil Consultatif du « Freedom of Mobility Forum » dont l’objectif est de favoriser une approche à 360°, fondée sur des faits visant à préserver la liberté de mouvement face au changement climatique. Jusqu’en décembre 2022, il était membre du conseil d’administration de l’Association Européenne des Constructeurs d’Automobiles (ACEA) et a occupé la fonction de Président de l’association en 2018 et 2019. Il a également siégé aux conseils d’administration d’Airbus S.E. de 2016 à 2022, et de TotalEnergies de 2017 à 2020.

Carlos Tavares est un pilote automobile amateur et passionné avec plus de 500 courses à son actif.

Né au Portugal, Carlos Tavares est diplômé de l’École Centrale Paris (France).

(Mise à jour : janvier 2023)

Carlos Tavares Chief Executive Officer Directeur Exécutif

 Mr. Le Président Georges Pompidou

2 avril 2024 - Il fut la modernité sans ingratitude, la tradition sans immobilité et la fidélité sans dogmatisme. Il avait la calme sérénité de ces hommes autant pétris de classicisme que passionnés de progrès, et l’imperturbable conviction que la France est cette alliance intime de l’enracinement et de l’épopée.

Il y a cinquante ans, le président Georges Pompidou nous quittait, au terme d’une longue et cruelle maladie qu’il avait affrontée avec un incomparable courage.

Héritier d’une famille française, les Pompidou, passés de la paysannerie à l’enseignement, et héritier d’une terre française, le Cantal, tissé de monts et de villages, il s’était élevé jusqu’à la magistrature suprême dans le sillage du plus grand des Français.

Successeur du général de Gaulle, après en avoir été le proche collaborateur puis le Premier ministre, Georges Pompidou consolida la plus grande œuvre de ce dernier – la Cinquième République – et il nous la légua intacte.

Durant cinq ans, il fut le président d’une France optimiste, résolument tournée vers l’expansion économique et la croissance industrielle. La France du Concorde ou du TGV, ou encore la France du développement nucléaire, c’est la France de Georges Pompidou.

C’est aussi une France aussi bien attentive à son sérieux budgétaire, gage de liberté et de souveraineté, qu’à l’importance de sa cohésion sociale, notamment préservée grâce à un sens véritable du dialogue avec les Français.

C’est enfin une France qui continue de parler au monde, et que le monde continue d’écouter.

Lire la suite...

 Jean-Michel Basquiat, Sans titre, 1982. Avec l'aimable autorisation de Phillips.

 Lionel Sourisseau 2014

This wonderful example of Jean-Michel Basquiat’s iconic “skull painting” stylings achieved $85 million at a Phillips sale of works from the collection of the billionaire entrepreneur Yusaku Maezawa this past May. The work, which had previously been sold at Christie’s in 2016 for $57.2 million, beat that number to become the third highest price ever achieved by a work from the legendary Neo-Expressionist artist.

Ce merveilleux exemple des styles emblématiques de «peinture de crâne» de Jean-Michel Basquiat a atteint 85 millions de dollars lors d'une vente Phillips d'œuvres de la collection de l'entrepreneur milliardaire Yusaku Maezawa en mai dernier. L'œuvre, qui avait déjà été vendue chez Christie's en 2016 pour 57,2 millions de dollars, a battu ce chiffre pour devenir le troisième prix le plus élevé jamais atteint par une œuvre du légendaire artiste néo-expressionniste.

Lionel SOURISSEAU acrylique sur toile 97 x 130 cm signée en bas à droite
Contresignée au dos intitulée "Hauts les mains incantation" et datée 2014
Si ce tableau de Basquiat a été vendu 85 millions de dollars chez Phillips un tableau de la qualité et la créativité de l'artiste Lionel SOURISSEAU devrait valoir au minimun 50.000 € - Nous le vendons 3500 € afin que vous puissiez faire une bonne affaire - En effet on peut penser étant donné le talent de cet artiste que sa cote sera élevée car d'importantes galeries intenationales vont s'intéresser à lui. N'hésitez pas à nous contacter si vous désirez en savoir plus.

If this Basquiat painting was sold for $85 million at Phillips, a painting of the quality and creativity of the artist Lionel SOURISSEAU painting should be worth at a minimum price of 50,000 €- We can think that because of the talent of this artist that his rating will be high because important international galleries will be interested in him. Do not hesitate to contact us if you would like to know more.

VOIR : Le Musée Privé Lionel Sourisseau

Lire la suite...
 

LE MUSEE PRIVE

Tél: (33) 09 75 80 13 23
Port.: 06 08 06 46 45

 
Patrick Reynolds
 

 Patrick Reynolds
Directeur de publication

 

e mail musee prive

 

sur rendez-vous à la demande

Artwork for sale on Artprice

Découvrez notre espace sur artprice

Découvrez notre espace sur Artsper

我們向連接到我們站點的中國朋友致敬:中國有重要的文化傳統。

FACEBOOK LE MUSEE PRIVE

FACEBOOK PATRICK REYNOLDS

FACEBOOK PATRICK REYNOLDS FAN CLUB LE MUSEE PRIVE


CHERCHER SUR NOTRE SITE

 

artprice