LAURENCE JENK OUVRE SA POP UP GALLERY À MONACO

Ouvert tous les jours de 10H30 à 18H30 Sauf le dimanche sur rendez-vous :
+33 (0)6 47 58 49 74 / me(at)laurencejenk.com site internet : https://laurencejenk.com/
Tea Time : tous les jours de 15H00 à 18H00.

L'unique galerie d'art éphémère de la Principauté de Monaco est heureuse d'accueillir pour sa toute première exposition d'art contemporain l'artiste de renommée internationale, Laurence JENK.
Espace 22 est la seule galerie d'art à caractère éphémère présente en Principauté de Monaco. Elle est dédiée à des expositions de courtes durées, focalisées en priorité sur la promotion des artistes et artisans locaux. Située au 24 boulevard d'Italie, son succès est dû à sa nature temporaire parfaitement intégrée dans un lieu stratégique pour les affaires, la qualité de vie et l'excellence de ses services.

L'exposition de la Pop Up Gallery JENK commence dès le rez-de-chaussée où une multitude de bonbons aux tailles diverses et variées et aux couleurs éclatantes habillent l'espace. Le plafond, aux vagues modernes designer par l'architecte Olivier Deverini n'est pas sans rappeler le travail de torsion effectué par l'artiste sur ses œuvres. Pour une immersion totale dans l'univers JENK, l'exposition se poursuit au sous-sol où une surprise attend le visiteur. Pour cela il faudra passer par l'escalier en verre, réalisé sous la supervision du cabinet AODA Monaco, et sublimé par ses leds de couleurs qui répondent aux bonbons colorés JENK.
Qu'attendez-vous pour venir visiter ?

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cabinet ulysse2021 03

La galerie LE CABINET D'ULYSSE a le plaisir de vous inviter au vernissage de l'exposition
LA GRANDE PEUR
LUISA ARDILA
LE CABINET D'ULYSSE
7/9 Rue Edmond Rostand, Marseille, France
‭04 91 42 76 38‬
https://www.lecabinetdulysse.com/
samedi 13 mars de 11 à 17h30 en présence de l'artiste

Luisa Ardila est née en 1990 à Bogota. Elle est diplômée de l'École des Beaux-Arts de Marseille, et lauréate du 1er Prix François-Bret en 2019.

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Toshio Saeki - HANANAGUSAME Sérigraphie sur papier de mûrier 52 cm x 39 cm, 2010 Courtesy Galerie Da-End
Toshio Saeki - HANANAGUSAME
Sérigraphie sur papier de mûrier 52 cm x 39 cm, 2010
Courtesy Galerie Da-End

TOSHIO SAEKI HANA YASHA

GALERIE DA-END
17 RUE GUÉNÉGAUD 75006 PARIS
T : +33 (0)1 43 29 48 64 | www.da-end.com  | galerie(at)da-end.com
Mardi-Jeudi : 14h-19h. Vendredi-Samedi : 11h-19h

EXPOSITION DU 13 FÉVRIER AU 27 MARS 2021
OUVERTURE LE SAMEDI 13 FÉVRIER DÈS 11H

Toshio Saeki (1945-2019) est dessinateur et icône de l’underground japonais. Son oeuvre est à la croisée des traditions japonaises du shunga (gravures érotiques traditionnelles) et du yōkai (représentation d’esprits, de démons et de fantômes). Il a aussi renouvelé, dit-on, le genre de l’ero-guro, mouvement artistique et littéraire japonais apparu vers 1930, combinant érotisme, éléments macabres et grotesques. «Son érotisme monstrueux bousculant d’autant plus fortement qu’il repose sur la puissance d’évocation et se déploie dans un dessin très pur. Hergé plongé dans les perverses pensées d’un Edogawa Ranpo.» (Marius Chapuis pour Libération)

La Galerie Da-End se réjouit de dévoiler un ensemble inédit de sérigraphies de cet artiste d’avant-garde. Le corpus jamais présenté - qui vient compléter la première série exposée en 2010 - est le fruit d’une étroite collaboration au cours de l’année 2009, entre la galerie et le maître sérigraphe Fumie Taniyama, sous la direction attentive de Toshio Saeki lui-même.

« Saeki n’a eu de cesse de développer ses remarquables talents de dessinateur et de coloriste afin d’explorer toujours plus profondément les contrées obscures de l’inconscient. Les deux principaux ingrédients de son art sont la concision du trait — fruit d’une extrême maîtrise de soi et d’une lucidité sans faille — et la passion pour l’eros (ou l’ero, un terme japonais qu’il lui préfère, car selon l’artiste, s’y profile de surcroit l’idée de la mort). Autrement dit : une ligne claire et de sombres desseins. L’univers sulfureux de Saeki est utéro-centré. Tout gravite autour de cet oeil cyclopéen qui est à la fois matrice, grotte effrayante, refuge, source de jouissance et boîte de Pandore. Chacune de ses oeuvres constituent autant de seuils et de passages dérobés menant directement de l’état de veille à l’état de rêve ou de cauchemar, via l’art du trait. Chaque dessin raconte une histoire. Il y a des voyeurs et des voyeuses, des pervers et des suppliciés. » (David Rosenberg)

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GALERIE CATHERINE ISSERT LA POSSIBILITÉ D’UNE COLLECTION
 
En confrontant le design à l'oeuvre d'art, la galerie Catherine Issert invente la possibilité d'une collection. Recréant un appartement imaginaire dans son espace d'exposition, elle tisse des relations potentielles entre des designers qu'elle affectionne et les artistes qu'elle défend. En collaborant avec Jacques Dworczak collection, Bel Oeil et la complicité de Jacqueline Morabito pour la scénographie, Catherine Issert fonde sa sélection sur des affinités sélectives à la subjectivité assumée, témoignant des passerelles existant entre ces deux domaines de création.
Des corrélations formelles naissent de ce dialogue, mettant en lumière les influences réciproques que ces deux types de pratique ont entretenues tout au long du XXe siècle et qui perdurent aujourd'hui. Que ce soit Bauhaus, héritier du cubisme et du futurisme, le Pop Art se saisissant du statut esthétique de l'objet industriel ou bien encore l'invention du ready-made, toutes ces démarches témoignent de la porosité entre arts plastiques et arts appliqués, systèmes aux pensées spécifiques mais dont les intentions esthétiques et plastiques peuvent se rejoindre, voire parfois être identiques.
Vue par le prisme de l'histoire de la galerie Catherine Issert, durant laquelle la galeriste a constitué son catalogue, l'Histoire perd sa majuscule pour devenir intime. Sa proposition, transhistorique et transdisciplinaire, invite à penser la relation ambigüe qu'entretiennent l'oeuvre et l'objet dans un environnement spécifique. Le white cube disparaît ici au profit d'une atmosphère plus chaleureuse, qui amène le spectateur à reconsidérer son rapport à l'oeuvre en dehors du champ muséal : pendant un instant, il pourra se projeter dans une vision tout à la fois personnelle et universelle pour inventer, pourquoi pas, la possibilité de sa propre collection.

Avec la collaboration de
Bel Oeil/ Nice Cannes Monaco
Collection Jacques Dworczak
Galerie Afrique-Alain Dufour
Galerie Zlotowski Paris

GALERIE CATHERINE ISSERT . 2 ROUTE DES SERRES . F-06570 SAINT-PAUL . T 33(0)4 93 32 96 92
OUVERT DU MARDI AU SAMEDI . 11h - 13h / 14h - 19h site : http://www.galerie-issert.com/

Juan Uslé Soñe que revelabas (Don), 2019. Vinyl, dispersion and dry pigment on canvas. 305 x 227 cm. © Juan Uslé / Courtesy Galerie Lelong & Co.
Juan Uslé Soñe que revelabas (Don), 2019. Vinyl, dispersion and dry pigment on canvas. 305 x 227 cm.
© Juan Uslé / Courtesy Galerie Lelong & Co.
Galerie LELONG & CO.
https://www.galerie-lelong.com/fr/
E X H I B I T I O N
Juan Uslé
Eye and Landscape
Through September 12, 2021
Bombas Gens Centre d'Art, Valencia, Spain
Av. de Burjassot, 54-56, 46009 València, Spain
https://www.bombasgens.com/en/exhibitions/eye-and-landscape/
info(at)bombasgens.com
(+34) 963 463 856
Opening on February 12, 2021 from 4 p.m.
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 Le banquet, 2020. Tryptique. Huile sur toile, 300 x 270,5 cm chaque, 300 x 811,5 cm au total. © Courtesy Templon, Paris – Brussels.  Le banquet, 2020. Tryptique. Huile sur toile, 300 x 270,5 cm chaque, 300 x 811,5 cm au total. © Courtesy Templon, Paris – Brussels.  Le banquet, 2020. Tryptique. Huile sur toile, 300 x 270,5 cm chaque, 300 x 811,5 cm au total. © Courtesy Templon, Paris – Brussels.
Gérard Garouste Le banquet, 2020. Tryptique. Huile sur toile, 300 x 270,5 cm chaque, 300 x 811,5 cm au total. © Courtesy Templon, Paris – Brussels.

GÉRARD GAROUSTE
GALERIE TEMPLON
Correspondances : Gérard Garouste - Marc-Alain Ouaknin
Exposition du 25 mars au 22 mai 2021

Après le succès de sa rétrospective « The Other Side » à New Delhi, Gérard Garouste dévoile, du 25 mars au 22 mai 2021 à la galerie Templon, à Paris, le fruit de trois ans de travail et un concept d’exposition radicalement nouveau. « Correspondances » est une histoire de rencontre : la rencontre entre Gérard Garouste et la littérature de Franz Kafka, mais aussi la rencontre entre le peintre et le philosophe Marc-Alain Ouaknin.

À travers une vingtaine de toiles, Garouste propose une plongée jubilatoire, et toute personnelle, dans l’univers de Kafka. Si par le passé, l’artiste avait déjà embrassé l’oeuvre d’écrivains comme Dante, Cervantès ou Rabelais, la démarche est ici inédite. Certes on reconnait ça et là le portrait de l’auteur tchèque. Certaines créatures semblent sorties de ses nouvelles, comme le « chat-agneau » et toute une collection d’écureuils et de martres. Mais l’esprit de Kafka est ailleurs. Il affleure dans la déformation des silhouettes et les paysages ambigüs, où réalisme et fantastique se côtoient avec naturel. Il transparaît dans la juxtaposition d’époques et de symboles, dont la profusion laisse présager mille histoires et filiations secrètes.

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Victoria-Yang-Wang-1831ArtGallery
 

NOT ALONE IN QUARANTINE
Photographies de Yang Wang
Exposition online sur www.1831artgallery.com
1831 Art gallery
6, rue de Lille
75007 Paris
Tél. +33 (0)1 75 51 78 68 -

Je suis, tu es, il est, nous sommes, vous êtes, ils sont confinés… A l’heure où l’ensemble des galeries et lieux culturels ont fermé à nouveau leurs portes au public, 1831 Gallery choisi de présenter, dans une version en ligne, la dernière série réalisée par le jeune photographe franco-chinois Yang Wang intitulée « Not Alone in Quarantine ».

"Une semaine seulement après le début du confinement en mars, j'ai commencé à devenir fou. Il n'y a rien de pire que la solitude pour un être humain. Mes amis, ma famille me manquaient. Je voulais voir des gens, les toucher. Puis, j'ai eu l'idée de regrouper les différents "moi" durant la quarantaine : le "moi" qui regarde la télé, le "moi" qui fait du sport, le "moi" qui lit, le "moi" qui boit, le "moi" qui s'amuse...Tous ces "moi" réunis en une seule photo. Lorsque je me sentais vraiment seul, je me prenais en photo. C'est bon !
Tu es seul ! Je me sentais mieux ainsi ; mes batteries étaient rechargées et je partais à la recherche de mon vrai "moi". Cette toute première photo a été le début d'un nouveau projet : illustrer la routine quotidienne du confinement, la façon dont nous avons fait face à la solitude et à la limitation de notre espace. Certains ont découvert leur vraie personnalité ; d'autres la trouveront ! » Yang Wang.

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Vue de l'exposition The Last Painting ©Galerie A&R FEURY
Vue de l'exposition The Last Painting. ©Galerie A&R FEURY

HANS HARTUNG THE LAST PAINTINGS

GALERIE A&R FLEURY
75008 Paris
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
www.arfleury.com
lundi : 14 h -19 h mardi - samedi :11 h -19 h

Extrait du catalogue édité à l'occasion de cette exposition de fin d'année

" Hartung dans ses dernières années, étant plus libre que jamais, ne vivait que pour sa peinture "

Marie Aanderaa - archiviste attitrée d'hans Hartung depuis les années 50.

À partir du 18 novembre 2020, la galerie A&R Fleury à le plaisir de présenter Hans Hartung | The last paintings. Cette exposition visible à la galerie, sera en premier lieu online, puis dans un second temps, nous serions heureux d’ouvrir cette exposition au public jusqu’au 28 décembre.

Notre proposition explore la dernière décennie, époque d’intense création etd’aboutissementpictural. Les années 80 représentent pour l'artiste une période de totale liberté. Les oeuvres choisies pour cette exposition sont parfaitement représentatives des moyens de création utilisés et développés par Hartung au cours de cette dernière phase.
Celle-ci comprend deux grandes innovations: la première s'étend de 1980 à 1986, où l'on assiste à un intense combat entre l'artiste, la matière et le support. Hans Hartung utilise des balais composés de branches, coupées sur les oliviers et les genêts de son jardin. Le processus créatif suit un déroulé précis.

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Courtesy de la galerie Catherine Issert, galerie Afrique- Alain Dufour,  galerie Zlotowski et de la collection Jacques Dworczak, 2020.
Courtesy de la galerie Catherine Issert, galerie Afrique- Alain Dufour,
galerie Zlotowski et de la collection Jacques Dworczak, 2020.

La possibilité d’une collection II
19 12 2020 > 20 02 2021

GALERIE CATHERINE ISSERT
2, route des serres
06570 Saint Paul de Vence
www.galerie-issert.com 
info(at)galerie-issert.com
+ 33 (0)4 93 32 96 93

ARTISTES

John ARMLEDER - Bernard PAGÈS
Cécile BART - Pascal PINAUD
Jean Charles BLAIS - Mathieu SCHMITT
Denis CASTELLAS - Xavier THEUNIS
Daphné CORREGAN - Gérard TRAQUANDI
Jennifer DOUZENEL - Claude VIALLAT
Yayoi GUNJI - Michel VERJUX
Minjung KIM - André VILLERS
LE CORBUSIER - Marine WALLON
François MORELLET - Tatiana WOLSKA

DESIGNERS

AUDOUX-MINET - Jacqueline MORABITO
Charles et Ray EAMS - Charlotte PERRIAND
Pierre GUARICHE - Warren PLATNER
Pierre JEANNERET et LE CORBUSIER - Jean PROUVÉ et Guy REY-MILLET
Masayuki KUROKAWA - Eero SAARINEN

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MA QUN  Acrylique sur toile 1 -  164 cm X 114 cm 2015

MA Qun l'exposition privée reprendra le mardi 1er Décembre 2020 jusqu'au lundi 22 mars 2021
Le vernissage de l'exposition MA Qun a bien eu lieu le 21 octobre 2020 à 18h
Salon Privé de Jacques MAUGUIN
29 rue de Sèvres
75006 Paris
Du Mardi au Samedi, de 11h à 19h et sur RDV.

Pour assister à cet évènement contacter Michel Ficara Tel : +33 6 69 54 08 98 -
https://perifi.com/

MA Qun par Gérard Xuriguera

De longue date familière de l'art occidental, il serait cependant mal venu de vouloir séparer de sa sinité la peinture à la fois volubile et réfléchie de Ma Qun .

En effet, il y a toujours dans sa pratique, ce frémissement particulier de la matière, ce mouvement étranglé de la forme, cette lumière éclatée issue de son émanation même, ces plages lacunaires contrastées et ces foyers décentrés, assortis du rempart rassurant de la calligraphie fondatrice. Et se profilent conjointement diverses constantes de la peinture chinoise, à savoir qu'écrire et dessiner sont indivisibles, que la pesée des flux naturels ne déserte jamais la main et l'esprit de l'artiste, enfin, qu'en ces territoires émaillés de symboles, s'insinue en permanence la quête fusionnelle de l'être et de l'infini.

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