EXPOSITION 22 octobre 2016 – 20 février 2017 FONDATION LOUIS VUITTON 8, Avenue du Mahatma Gandhi I— Communiqué de presse La Fondation Louis Vuitton présente l’exposition « ICÔNES DE L’ART MODERNE. L’exposition rend hommage à l’un des plus grands mécènes du début du 20 ème siècle, C’est à partir de 1898 que Sergueï Chtchoukine, grand industriel moscovite, entre en contact avec les marchands Paul Durand-Ruel, Ambroise Vollard, Berthe Weill, puis Georges Bernheim et Daniel Henry-Kahnweiler. Les relations affinitaires qu’il entretient avec les artistes comme Matisse, influencent fortement la formation de sa collection exemplaire de l’art le plus radical de son temps. |
Paul Gauguin (1848-1903, France) |
René Magritte Centre Pompidou Paris
René Magritte 21 septembre 2016 - 23 janvier 2017 L’exposition Magritte. La trahison des images propose une approche à ce jour inédite de l’œuvre de l’artiste belge René Magritte. Rassemblant les œuvres emblématiques, comme d'autres peu connues de l’artiste, provenant des plus importantes collections publiques et privées, l’exposition offre une lecture renouvelée de l’une des figures magistrales de l’art moderne. Une centaine de tableaux, de dessins, et des documents d’archives, sont réunis pour offrir au public cette approche qui s’inscrit dans la ligne des monographies que le Centre Pompidou a consacré aux figures majeures de l‘art du 20e siècle : « Edward Munch. L’œil moderne », « Matisse. Paires et séries » et « Marcel Duchamp. La peinture, même ». L’exposition Magritte. La trahison des images explore un intérêt du peintre pour la philosophie, qui culmine, en 1973, avec Ceci n’est pas une pipe que publie Michel Foucault, fruit de ses échanges avec l’artiste. Dans une conférence qu’il donne en 1936, Magritte déclare que Les affinités électives, qu’il peint en 1932, marque un tournant dans son œuvre. Ce tableau signe son renoncement à l'automatisme, à l’arbitraire du premier surréalisme. L’œuvre, qui montre un œuf enfermé dans une cage, est la première de ses peintures vouée à la résolution de ce qu’il nomme : un « problème ». Au hasard ou à la « rencontre fortuite des machines à coudre et des parapluies », succède une méthode implacable et logique, une solution apportée aux « problèmes » de la femme, de la chaise, des souliers, de la pluie… Les recherches appliquées à ces « problèmes », qui marquent le tournant « raisonnant » de l’œuvre de Magritte, ouvrent l’exposition. L’exposition sera présentée dans un format restreint à la Schirn Kunsthalle Frankfurt, en Allemagne du 10 février au 5 juin 2017. Commissaire : Mnam/Cci, Didier Ottinger |
René Magritte (1898 - 1967) "Les vacances de Hegel", 1958 |
The Metropolitan Museum of Art New-York Max Beckmann
Max Beckmann in New York, Opening at The Met on Exhibition Dates: The Metropolitan Museum of Art Opening October 19, 2016, the exhibition Max Beckmann in New York at The Metropolitan Museum of Art will put a spotlight on the artist's special connection with New York City. It will feature 14 paintings that Beckmann created while living in New York from 1949 to 1950, as well as 25 works, dating from 1920 to 1948, from New York collections. The exhibition assembles several groups of iconic works, including self-portraits; mythical, expressionist interiors; robust, colorful portraits of women and performers; landscapes; and triptychs. The exhibition is made possible by The Isaacson-Draper Foundation. It is supported by an Indemnity from the Federal Council on the Arts and the Humanities. In late December 1950, Beckmann set out from his apartment on the Upper West Side of New York to see his Self-Portrait in Blue Jacket (1950), which was on view at The Metropolitan Museum of Art in the exhibition American Painting Today. However, on the corner of 69th Street and Central Park West, the 66-year-old artist suffered a fatal heart attack and never made it to the Museum. The poignant circumstance of the artist's death served as the inspiration for the exhibition. |
Max Beckmann (German, Leipzig 1884-1950 New York). Self-Portrait in Blue Jacket, 1950. Oil on canvas. Saint Louis Art Museum, Bequest of Morton D. May. SL.9.2016.24.1, © 2016 Artists Rights Society (ARS), New York / VG Bild-Kunst, Bonn |
Ernest Pignon-Ernest Bibliothèque Louis Nucéra Nice
Ernest Pignon-Ernest Bibliothèque Louis Nucéra Par une exposition rassemblant la série des 19 portraits de poètes dont les reproductions orneront le livre d’André Velter, Ceux de la poésie vécue, des ouvrages de bibliophilie ainsi que les livres de et sur l’artiste, en particulier ceux illustrant tous ses combats depuis les années 70 et dont Ernest Pignon-Ernest a composé la couverture. |
Kandinsky Marc & Der Blaue Reiter Fondation Beyeler
Kandinsky, Marc & Der Blaue Reiter Fondation Beyeler, Pour la première fois depuis 30 ans, la Suisse consacre une vaste exposition à l’un des chapitres les plus fascinants de l’art moderne, entré dans l’histoire sous l’appellation de Der Blaue Reiter, « Le Cavalier bleu ». L’exposition munichoise de 1911 et le mouvement d’artistes du même nom ont été à l’origine d’une expérience artistique d’une nouveauté révolutionnaire. À partir des oeuvres de Wassily Kandinsky appartenant à la Collection Beyeler, le public peut découvrir la création d’un groupe d’artistes d’avant-garde, marqué par des principes d’ouverture d’esprit et d’internationalité auxquels la Première Guerre mondiale est venue mettre un terme.
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Wassily Kandinsky und Franz Marc (Hrsg.) Almanach Der Blaue Reiter, Munich, 1914 29,5 x 23 x 2,5 cm ahlers collection © Thomas Ganzenmüller, Hannover |
Les Insoumis de l’Art Moderne MUSÉE MENDJISKY
MUSÉE MENDJISKY Présente Paris, les années 50 12 octobre - 31 décembre 2016 15 Square de Vergennes - Paris XV Contact presse Hermine Parmentier : 01 47 07 98 31 À travers une soixantaine d’oeuvres maîtresses, l’exposition présente des artistes tels que Bernard Buffet, Bernard Lorjou, André Minaux ou encore Paul Rebeyrolle qui ont réaffirmé une vision de l’art faite de chair et de terre et nous montrent combien la seconde partie du XXe siècle n’est pas celle du vide mais celle de la figure réinventée. Dans les années 50, ces jeunes peintres français, se sont battus tout comme Francis Bacon, Balthus, Lucian Freud, Edward Hopper ou Giorgio Morandi pour imposer une figuration que la modernité voulait à jamais dissoudre. |
Francis Bacon de Picasso à Vélasquez Musée Guggenheim Bilbao
Dates : du 30 septembre 2016 au 8 janvier 2017 Avenida Abandoibarra, 2 48009 Bilbao • Portraits, nus, paysages, tauromachie… l’exposition porte un regard neuf sur l’oeuvre de Bacon en l’abordant sous l’angle de l’influence des cultures française et espagnole sur son travail. • Bacon a créé un nouvel univers d’images à partir de la littérature, du cinéma, de l’art et de sa propre vie, en adoptant un langage absolument singulier qui reflète la vulnérabilité humaine avec une grande crudité. • Dans les nus de Bacon prédominent les personnages isolés saisis dans des postures quotidiennes, que le peintre transforme en déformant leur corps d’une façon presque animale, réinventant ainsi le portrait. • Transgresseur dans sa vie et dans son oeuvre, Bacon a franchi plusieurs frontières jusqu’alors difficiles à briser et situé l’être humain face à un miroir où il peut se contempler dans toute sa crudité et sa violence. Le Musée Guggenheim Bilbao présente Francis Bacon : de Picasso à Vélasquez, une exposition de près de 80 toiles qui réunit quelques-unes des peintures les plus marquantes et les moins connues de l’artiste britannique né en Irlande, en regard de l’oeuvre de grands maîtres français et |
Francis Bacon |
Fantaisies brésiliennes Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky Nice
Fantaisies brésiliennes Inauguration de cette exposition en présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l’art moderne et contemporain représentant Christian Estrosi, Président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Maire de Nice, En partenariat avec le Ministère de la Culture de Sao Paulo, la Ville de Nice accueille, du 10 juin au 3 octobre 2016, au Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky, « Fantaisies brésiliennes », une exposition témoignant de l’originalité de l’Art Naïf brésilien issu d’un savant mélange ethnique, d’un syncrétisme religieux, d’un besoin impérieux de braver la dureté de la vie et de lui substituer les couleurs de l’espoir. |
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