MOMA TO PRESENT MORE THAN 100 WORKS BY 50 WOMEN ARTISTS The Exhibition Features Nearly 40 Recent Acquisitions—Drawings, Paintings, Making Space: Women Artists and Postwar Abstraction April 15–August 13, 2017 Floor three, Exhibition Galleries NEW YORK, The Museum of Modern Art presents a major exhibition surveying the abstract practices of women artists between the end of World War II and the onset of the Feminist movement in the late 1960s. On view from April 15 through August 13, 2017, Making Space: Women Artists and Postwar Abstraction features approximately 100 works in a diverse range of mediums by more than 50 international artists. By bringing these works together, the exhibition spotlights the stunning achievements of women artists during a pivotal period in art history. Drawn entirely from the Museum’s collection, Making Space includes works that were acquired soon after they were made in the 1950s and 1960s, as well as many recent acquisitions—including a suite of photographs (c. 1950) by Gertrudes Altschul (Brazilian, born Germany. 1904–1962), an untitled sculpture (c.1955) by Ruth Asawa (American, 1926-2013), and an untitled work on paper (c.1968) by Alma Woodsey Thomas (American, 1891–1978)—that reflect the Museum’s ongoing efforts to improve its representation of women artists. Nearly half the works are on view at MoMA for the first time. Making Space is organized by Starr Figura, Curator, Department of Drawings and Prints, and Sarah Meister, Curator, Department of Photography, with Hillary Reder, Curatorial Assistant, Department of Drawings and Prints. |
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EXPOSITION PILAR OVALLE AMBASSADE DU CHILI
Patrocinado por la Dirección de Asuntos Culturales del Ministerio de Relaciones Exteriores de Chile l’ambassadrice du Chili en France Madame Marcia Covarrubias a l’honneur de vous annoncer l'exposition «in-corpore» sculptures en bois de la sculptrice Pilar Ovalle du 10 octobre au 13 octobre 2017 - Cette exposition est réservée aux invités de l'ambassade : pour y assister merci de faire une demande auprès de : Assistante de l'Ambassadrice/Asistente de la Embajadora Ambassade du Chili / Embajada de Chile 2, avenue de la Motte-Picquet 75007 Paris Tél: +33 (0)1 44 18 59 39 - Fax: +33 (0)1 44 18 59 61 Mail: omartins(at)minrel.gob.cl Pilar Ovalle est née en 1970 à Santiago, textures, noeuds et formes naturelles travaille depuis plus de 25 ans le bois, à une géométrie et signifiants qui Le processus de l’oeuvre, qui m’est essentiel, est révélé à l’observateur moyennant une trame formelle qui se génère dans les assemblages et les unions et qui font partie essentielle de la grammaire de mon travail. Depuis mes débuts, je m’intéresse à la possibilité de recueillir et de rassembler différentes typologies dans un même matériau, le bois, de l’explorer et parcourir ses limites et de manoeuvrer face aux solutions créatives possibles pour pouvoir continuer à l’aborder d’une façon nouvelle, si possible chaque fois. C’est un jeu auto-imposé, un dialogue dans lequel la maîtrise fait face à la difficulté et à la curiosité pour pouvoir continuer à créer. Pendant les trois dernières années, j’ai incorporé, d’où le titre de l’exposition “in-corpore”, le corps humain comme conteneur d’information dans la sculpture pour représenter de manière explicite les exercices et les emboitages de transformation ainsi que le questionnement spirituel comme fondement de la quête d’individuation de l’être. |
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Topologie de l'absence CACN Centre d'Art Contemporain de Nîmes
CACN - Centre d'Art Contemporain de Nîmes Exposition du 7 octobre au 16 décembre 2017 Avec Caroline Bach, Anaïs Boileau, Audrey Guiraud, Guillaume Le Moine, Nelly Monnier, et Eric Tabuchi Lorsque nous avons pensé cette exposition, l’envie était d’abord de revenir à un format davantage épuré et une figuration résolument plus calme, « reposée ». Nous ressentions déjà en amont les interrogations, voire l’énigme théorique de ce thème, qui n’en est finalement pas vraiment un. Comme un entre-deux, nous nous interrogions sur le cheminement intrinsèque de chacune des pratiques présentées. Alors, afin de mieux comprendre les contours et les processus engagés auprès de cette sélection, quelques questions subsistent. Pourquoi mettre en avant ces architectures prosaïques ? Comment se fait-il que les personnes qui y vivent ou y travaillent disparaissent-elles du cadre ? |
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David Hockney rétrospective Centre Pompidou Paris 2017
Le Centre Pompidou en collaboration avec la Tate Britain de Londres et le Metropolitan Museum de New York présente la plus complète exposition rétrospective consacrée à l’œuvre de David Hockney. L’exposition célèbre les 80 ans de l’artiste. Avec plus de cent soixante peintures, photographies, gravures, installation vidéo, dessins, ouvrages... incluant les tableaux les plus célèbres de l’artiste tels les piscines, les double portraits ou encore les paysages monumentaux.., l’exposition restitue l’intégralité du parcours artistique de David Hockney jusqu’à ses œuvres les plus récentes. L’exposition s’attache particulièrement à l’intérêt de l’artiste pour les outils techniques de reproduction et de production moderne des images. Animé par un désir constant de large diffusion de son art, Hockney a, tour à tour, adopté la photographie, le fax, l’ordinateur, les imprimantes et plus récemment l’I Pad : « la création artistique est un acte de partage ». L’exposition s’ouvre avec les œuvres de jeunesse, réalisées par Hockney à l’école d’art de sa ville natale de Bradford. Images d’une Angleterre industrieuse, elles témoignent de l’empreinte sur le jeune peintre du réalisme âpre, prôné par ses professeurs adeptes du réalisme social du mouvement du Kitchen sink. De l’école d’art de Bradford au Royal College of Art de Londres, Hockney découvre, assimile la traduction anglaise de l’expressionisme abstrait élaborée par Alan Davie. De l’œuvre de Jean Dubuffet, il retient une stylistique (celle du graffiti, de l’art naïf..;) qui satisfait son projet de produire un art éloquent et socialement, universellement accessible. Chez Francis Bacon, il puise l’audace d’une expression qui aborde explicitement la question de l’homosexualité. Sa découverte de l’œuvre de Picasso achève de le persuader qu’un artiste ne saurait se limiter à un style donné. Il intitule une de ses premières expositions : Démonstration de versatilité.
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From China To Taïwan Musée d'Ixelles Museum Van Elsene
FROM CHINA TO TAÏWAN Les pionniers de l'abstraction (1955-1985) du 15/06 au 24/09/2017 Musée d'Ixelles Dans la Chine des années 1930 imprégnée par la tradition, un noyau de peintres modernistes voit le jour grâce à l’enseignement dispensé à l’école des Beaux-Arts de Hangzhou, dont certains professeurs ont étudié en Europe. Les trois artistes considérés aujourd’hui comme étant les pionniers de l’art abstrait chinois y font leurs classes : Zao Wou-Ki (1920-2013) et Chu Teh-Chun (1920-2014), y étudient de 1935 à 1941, puis y enseignent dès l’année suivante. Lee Chun-Shan (1912-1984) y est professeur de 1937 à 1946. En 1949, après les huit années d’invasion japonaise (1937-1945) surviennent la défaite du Kuomintang et la prise du pouvoir par Mao Zedong : plus d’un million de Chinois quittent alors le continent pour aller à Taïwan, où le gouvernement de Chang Kai-Chek s’est replié. Tandis que Zao Wou-Ki a quitté la Chine un an plus tôt pour s’établir à Paris, Chu Teh-Chun et Lee Chun-Shan s’installent à Taipei en 1949. En 1950, redoutant un conflit avec la Chine occidentale, les États-Unis font de l’île un protectorat américain. Au travers des ouvrages disponibles à la bibliothèque américaine de Taipei, les artistes découvrent par eux-mêmes l’art moderne occidental, de l’impressionnisme à l’art abstrait de l’École de New York, alors en pleine effervescence. |
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Pascal Kober Musée de l'Ancien Évêché - Grenoble
Exposition photographique Pascal Kober Du 16 juin 2017 au 17 septembre 2017 Pour ceux qui aiment le jazz comme pour ceux qui pensent ... ne pas l'aimer ! Sous les feux des projecteurs ou dans l'intimité des coulisses, dans les locaux de répétition ou au cœur des grandes tournées internationales, les images de Pascal Kober révèlent le regard d'un photojournaliste, témoin, depuis plusieurs décennies pour la revue Jazz Hot, des évolutions de cette musique centenaire qu'est le jazz. Tendresse pour la note bleue, émotion et complicité marquent cette exposition photographique singulière et largement commentée, dont nombre d'images célèbrent le festival Jazz à Vienne. De A comme Afrique (et Amériques !) jusqu’à Z comme Zoom, cent vingt photographies en couleurs ou en noir et blanc forment un abécédaire tout en humanité. Place au plaisir de la rencontre en images et en musique avec une play-list de titres des grands standards du jazz diffusés dans les salles. Pour prolonger les découvertes, un documentaire, tourné avec la complicité de Pascal Kober, nous emmène dans ses pas, au plus près de son travail de photojournaliste. Au cœur de l’exposition, un piano à disposition du public offrira aux pianistes amateurs l’occasion de s’exercer à la note bleue… |
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Matisse en ses murs Musée Matisse Nice
Matisse en ses murs 8 juillet – 13 octobre 2017 Vernissage > Vendredi 7 juillet 2017 à 18 heures Musée Matisse Du 8 juillet au 13 octobre 2017 au Musée Matisse, la Ville de Nice vous invite à découvrir l’exposition « Matisse en ses murs – un nouvel accrochage des collections ». Pour les cent ans de l’arrivée de Matisse à Nice, le musée présente un nouvel accrochage qui rend hommage au lien entre la ville et l’artiste. Ce nouveau parcours éclaire la richesse d’une collection, fruit des donations successives de l’artiste et de ses héritiers à la Ville de Nice, qui offre un accès privilégié et unique à l’intimité de sa création. La salle « Matisse et Nice » racontera l’ancrage de l’artiste dans sa ville d’élection, ses ateliers et lieux de vie successifs, de la Promenade des Anglais jusqu’au Régina, à Cimiez. Le nouvel accrochage s’attachera à révéler une œuvre constamment portée par le dialogue. La « salle invité », renouvelée tous les trois mois, s’ouvrira avec Georges Rouault, alors que la salle dédiée au fauvisme soulignera l’échange avec Henri Manguin. Dialogue avec les cultures aussi, puisque tout au long du cheminement le visiteur pourra découvrir les sources extra-occidentales d’une création profondément humaniste. |
Henri Matisse peignant, atelier du cours Saleya, |
FAHRELNISSA ZEID Tate Modern LONDON
FAHRELNISSA ZEID http://www.tate.org.uk/visit/tate-modern 13 June – 8 October 2017 For public information call +44(0)20 7887 8888, visit www.tate.org.uk Sponsored by Deutsche Bank. Supported by the Fahrelnissa Zeid Exhibition Supporters Group Be mesmerised by the kaleidoscopic paintings of the international female artist, Fahrelnissa Zeid Trained in both Paris and Istanbul, Fahrelnissa Zeid was an important figure in the Turkish avant-garde d group in the early 1940s and the École de Paris (School of Paris) in the 1950s. Her vibrant abstract paintings are a synthesis of Islamic, Byzantine, Arab and Persian influences fused with European approaches to abstraction. Many of her abstract works are monumental and demand attention. Zeid’s reputation as an artist was cemented in the 1950s when she was living between London and Paris and exhibiting extensively internationally. The artist also began experimenting with painting on turkey and chicken bones, which she later cast in polyester resin panels evocative of stained-glass windows. In the later years of her life she unexpectedly returned to figurative painting, creating stylised portraits of her friends and family. Indulge in Zeid’s obsession with line and dazzling colour in this exhibition. Rediscover one of the greatest female artists of the 20th century in this first major retrospective. |
Fahrelnissa Zeid Resolved Problems 1948 |