Costume Institute's Spring 2020 Exhibition to
Present a Disruptive Timeline of Fashion History

Costume Institute Benefit on May 4 with Co-Chairs
Nicolas Ghesquière, Lin-Manuel Miranda, Emma Stone,
Meryl Streep, and Anna Wintour

(New York, November 7, 2019)  The Metropolitan Museum of Art announced today that The Costume Institute's spring 2020 exhibition will be About Time: Fashion and Duration, on view from May 7 through September 7, 2020 (preceded on May 4 by The Costume Institute Benefit). Presented in The Met Fifth Avenue's Iris and B. Gerald Cantor Exhibition Hall, it will trace more than a century and a half of fashion, from 1870 to the present, along a disruptive timeline, as part of the Museum's 150th anniversary celebration. Employing philosopher Henri Bergson's concept of la durée—time that flows, accumulates, and is indivisible—the exhibition will explore how clothes generate temporal associations that conflate the past, present, and future. The concept will also be examined through the writings of Virginia Woolf, who will serve as the "ghost narrator" of the exhibition. Michael Cunningham, who won the Pulitzer Prize for Fiction for his novel The Hours, which was inspired by Woolf's Mrs. Dalloway, will write a new short story for the exhibition catalogue that reflects on the concept of duration.

The exhibition is made possible by Louis Vuitton.
Additional support is provided by Condé Nast.

"This exhibition will consider the ephemeral nature of fashion, employing flashbacks and fast-forwards to reveal how it can be both linear and cyclical," said Max Hollein, Director of The Met. "As such, the show will present a nuanced continuum of fashion over the Museum's 150-year history."

Andrew Bolton, Wendy Yu Curator in Charge of The Costume Institute, said: "Fashion is indelibly connected to time. It not only reflects and represents the spirit of the times, but it also changes and develops with the times, serving as an especially sensitive and accurate timepiece. Through a series of chronologies, the exhibition will use the concept of duration to analyze the temporal twists and turns of fashion history."

In celebration of the opening, The Costume Institute Benefit, also known as The Met Gala, will take place on Monday, May 4, 2020. The evening's co-chairs will be Nicolas Ghesquière, Lin-Manuel Miranda, Emma Stone, Meryl Streep, and Anna Wintour. The event is The Costume Institute's main source of annual funding for exhibitions, publications, acquisitions, and capital improvements.

Surreal, David Bailey (British, born 1938), 1980; Photo © David Bailey

Surreal, David Bailey (British, born 1938),
1980; Photo © David Bailey

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24 octobre 2019 - 24 février 2020
Léonard de Vinci
https://www.louvre.fr/
À l’occasion des 500 ans de la mort de Léonard de Vinci en France, le musée du Louvre conçoit et organise une grande rétrospective consacrée à l’ensemble de sa carrière de peintre.
L’exposition entend montrer combien Léonard a placé la peinture au-dessus de toute activité, et la manière dont son enquête sur le monde – il l’appelait « science de la peinture », fut l’instrument d’un art, dont l’ambition n’était autre que de donner la vie à ses tableaux.
Autour de sa propre collection de 5 tableaux, la plus importante au monde – la Joconde restera toutefois exposée dans le parcours des collections permanentes – et de ses 22 dessins, le Louvre rassemblera près de 140 oeuvres (peintures, dessins, manuscrits, sculptures, objets d’art) issues des plus prestigieuses institutions européennes et américaines : la Royal Collection, le British Museum, la National Gallery de Londres, la Pinacothèque vaticane, la Bibliothèque Ambrosienne de Milan, la Galleria Nazionale de Parme, les Gallerie dell’Accademia de Venise, le Metropolitan Museum de New York, l’Institut de France, …

La célébrité extraordinaire de cet infatigable curieux, perçu très tôt comme l’incarnation du génie et du savoir universels, l’aura presque surréaliste de la Joconde et la littérature considérable qui s’est accumulée de son époque à nos jours offrent une image confuse et fragmentaire du rapport de Léonard à la peinture.
Aboutissement de plus de dix années d’un travail ayant vu notamment l’examen scientifique renouvelé des tableaux du Louvre et la restauration de trois d’entre eux (la Sainte Anne, la Belle Ferronnière et le Saint Jean Baptiste), permettant de mieux comprendre sa pratique artistique et sa technique picturale, l’exposition s’efforce également de clarifier la biographie de Léonard sur la base d’une reprise de l’ensemble de la documentation historique. Elle rompt avec l’approche canonique de la vie du maître florentin selon six périodes chronologiques rythmées par ses déplacements géographiques, en faveur de quelques clés qui en ouvrent l’univers.
Émerge ainsi le portrait d’un homme et d’un artiste d’une extraordinaire liberté.

Leonard de Vinci exposition Musée du Louvre
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Exposition
Guy Bourdin
Zoom
18 octobre 2019 – 26 janvier 2020

Vernissage > Jeudi 17 octobre 2019 à 19 heures

En présence de Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice délégué aux Musées, à l’Art moderne et contemporain, au Développement du mécénat et financements culturels, représentant Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur, Président délégué de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur & de Samuel Bourdin, fils de Guy Bourdin

Musée de la Photographie Charles Nègre
1, Place Pierre Gautier – Nice

Du 18 octobre 2019 au 26 janvier 2020, la Ville de Nice vous invite à découvrir l’exposition « Guy Bourdin. Zoom » au Musée de la Photographie Charles Nègre. Le vernissage de l’exposition se tiendra le jeudi 17 octobre 2019 à 19 heures.

Guy Bourdin (1928-1991) est un photographe de mode et de publicité français. Cet autodidacte est né et a vécu à Paris où il a exercé son art des années 1950 à la fin des années 1980. Pendant plus de trente ans, il a repoussé les frontières de la photographie de mode contemporaine et son œuvre est toujours une source d’inspiration et de fascination. Il a consacré sa vie à une quête artistique qui s’est également exprimée à travers la peinture, les films et l’écriture. Créateur avant-gardiste, il fut sans aucun doute l’un des photographes de mode les plus influents du vingtième siècle. Fascinante et révolutionnaire, son œuvre continue d’inspirer ses contemporains et fait l’objet d’un véritable culte.

Guy Bourdin Vogue Paris, Mai 1970 © The Guy Bourdin Estate 2019 Courtesy Art and Commerce
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Au-delà de la peinture

29 June – 17 November 2019

https://www.fondation-maeght.com/ 

Du 29 juin au 17 novembre 2019, dans la lignée de l’héritage de Marguerite et Aimé Maeght et de leur fils Adrien, éditeurs d’art et imprimeurs, la Fondation Maeght propose, pour sa grande exposition estivale, un hommage au génie créateur de Joan Miró.
L’exposition Joan Miró. Au-delà de la peinture, dont le commissariat est assuré par Rosa Maria Malet, directrice historique de la Fundació Joan Miró, à Barcelone, offre au public de découvrir une partie essentielle de l’oeuvre de l’artiste : son exceptionnel oeuvre graphique. Cette exposition fait également écho à la rétrospective présentée cet hiver au Grand Palais, à Paris.

Le 12 juin 1925, le Tout-Paris assiste au vernissage de la première exposition personnelle de Joan Miró à la Galerie Pierre, récemment ouverte par le marchand d’art Pierre Loeb. Le lendemain, alors que la galerie est vide, Raymond Roussel va voir l’exposition avec Michel Leiris. Sachant combien Roussel était soucieux de préserver son intimité, Miró s’abstint de les accompagner, mais il fut extrêmement flatté lorsque son ami Leiris lui rapporta la réaction de l’auteur d’Impressions d’Afrique devant ses tableaux. « Ça va au-delà de la peinture », s’était exclamé le grand écrivain devant l’oeuvre difficilement classable de Miró1

1/ « Leiris m’a expliqué la réaction de Roussel. Il a dit à Leiris : “Ça va au-delà de la peinture.” J’ai beaucoup apprécié ce jugement. Il était très difficile de savoir ce que pensait Roussel », dans Joan Miró, Ceci est la couleur de mes rêves. Entretiens avec Georges Raillard, Paris, Seuil, 1977, p. 23.

Le Grand triptyque noir, 1969. © Successió Miró, Adagp Paris 2019. Photo Claude Germain / Archives Fondation Maeght. 
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Lucio Fontana
Sur le seuil

Dates : du 17 mai au 29 septembre 2019
Commissaires : Iria Candela, “Estrellita B. Brodsky” Curator of Latin American
Art, The Metropolitan Museum of Art, New York, avec Manuel Cirauqui,
Curateur, Musée Guggenheim Bilbao.
Musée Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2 - 48009 Bilbao, Espagne
https://www.guggenheim-bilbao.eus/

- Les premières oeuvres de Fontana des années 1930 et 1940 illustrent une trajectoire évoluant vers l’abstraction mais perméable aux courants esthétiques qui marquaient ces années complexes. En même temps, elles annoncent déjà la volonté de transgression des toiles lacérées qui domineront sa production ultérieure.

 - L’exposition présente une sélection extraordinaire d’oeuvres de la série iconique des Entailles (Tagli), ainsi que les tous premiers Trous (Buchi ), pièces que leur radicalité situe à la frontière entre peinture, sculpture et action artistique.

 - Avec ses Environnements spatiaux (Ambienti spaziali ) et ses expérimentations avec la lumière et l’espace, en recourant parfois aux tubes de néon, Fontana jette les bases du développement futur de l’art de l’installation et de l’oeuvre d’art immersive.

 

Lucio Fontana (1899–1968) Spatial Concept, Expectations (Concetto Spaziale, Attese), 1959 Oil on canvas with slashes 90.8 × 90.8 cm Olnick Spanu Collection, New York © Fondazione Lucio Fontana, Bilbao, 2019
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SPILLING OVER: PAINTING COLOR IN THE 1960S TO OPEN AT THE WHITNEY MARCH 29
NEW YORK, Opening at the Whitney on March 29,
Spilling Over: Painting Color in the 1960s

Whitney Museum of American Art
99 Gansevoort Street
New York, NY 10014
(212) 570-3600
https://whitney.org/ 
Drawn entirely from the Whitney’s collection, Spilling Overincludes important recent acquisitions by Emma Amos and Kay WalkingStick, as well as works by Helen Frankenthaler, Sam Gilliam, Ellsworth Kelly, Morris Louis, Alvin Loving, Miriam Schapiro, Frank Stella, and others. Half of the included paintings have not been shown atthe Whitney for over twenty-five years.
“Color as a formal, social, and political matter feels particularly urgent today, but the artists in Spilling Over already saw it as a means to bridge the seen and the felt, the conscious and unconscious, the political and the environmental. We’re thrilled to bring together such an incredible group of artists and their works, some acquired nearly at the time of their making and some very new to the Whitney’s collection,” said David Breslin, the exhibition curator and DeMartini Family Curator and Director of the Collection.
Scott Rothkopf, Senior Deputy Director and Nancy and Steve Crown Family Chief Curator, remarked, “We are particularly honored to be unveiling the first paintings to enter our collection by Kay WalkingStick and Emma Amos, the latter of which has been acquired jointly with The Studio Museum in Harlem—a fitting symbol of the long friendship between these two museums and the many artists we both hold dear.”

Frank Stella  Gran Cairo, 1962  Alkyd on canvas  85 9/16 × 85 9/16 in. (217.3 × 217.3 cm)  Purchase, with funds from the Friends of the Whitney  Museum of American Art  63.34
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Grand succès de l'exposition
«Le jeune PICASSO – Périodes bleue et rose»
Prolongation jusqu'au 16 juin 2019

L'exposition «Le jeune PICASSO – Périodes bleue et rose» a réuni presque 250'000 passionnés d'art autour des impressionnantes œuvres de jeunesse de Pablo Picasso. L'intérêt du public est tel que l'exposition est prolongée, les chefs-d'œuvre restant visibles jusqu'au 16 juin inclus dans un agencement légèrement modifié.

«L'exposition de tous les superlatifs» (Tages Anzeiger), «Du jamais vu» (F.A.Z.), «Remarquable» (BaZ), «Une exposition sensationnelle» (Die ZEIT), «Une densité inégalable» (Südkurier), «On n'a jamais vu ça en Europe» (Le Matin Dimanche), «Les œuvres de jeunesse de Picasso, événement de l'année à Bâle» (Le Temps), «La Fondation Beyeler présente une exposition qui restera probablement sans pareil en Europe» (Forbes Exceptional) – voici seulement quelques-uns des échos quasiment unanimes des médias quant à la qualité de l'exposition. Les visiteurs semblent partager cet avis: depuis l'ouverture de l'exposition en février, ce sont chaque semaine des milliers d'amateurs d'art qui se pressent à la Fondation Beyeler.

Exposition «Le jeune PICASSO – Périodes bleue et rose» à la Fondation Beyeler, Riehen/Bâle, 2019; Photo: Mathias Mangold
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Exposition Hippolyte Hentgen
Le bikini invisible
17 mai – 10 novembre 2019
Galerie contemporaine du MAMAC
Place Yves Klein – Nice
http://www.mamac-nice.org/ 


Du 17 mai au 10 novembre 2019, la Ville de Nice vous invite à découvrir l’exposition « Le bikini invisible » de Lina Hentgen et Gaëlle Hippolyte à la galerie contemporaine du MAMAC, une proposition ponctuée de grandes toiles, films, sculptures et installations. Entre esprit fantasmatique et résurgence pop, cet univers évoque un décor de fiction, en attente de son activation.

Le bikini invisible… Le titre sonne comme l’amorce d’une improbable enquête qui nous mènerait sur les traces d’un bikini égaré en des lieux exotiques. A moins qu’il ne s’agisse d’une affaire d’attentat à la pudeur dans une cité balnéaire écrasée sous le soleil d’été ou d’un superpouvoir accordé à un banal accessoire. L’intrigue qui s’esquisse là semble jouer des réminiscences du polar de gare, autant que des bandes dessinées qui bercent l’enfance ou des comics underground. Disséminées dans l’espace, les créations d’Hippolyte Hentgen surgissent comme autant d’indices et d’amorces narratives qui alimentent le mystère. Des mains, jambes et pieds démesurés, désincarnés de tout corps ou personnage, flottent dans l’espace, se déploient au sol ou pendent, flapis, sous leur propre poids. Leurs couleurs outrées, les ongles nacrés et la préciosité de leur présentation sur des portants cuivrés, désamorcent l’inquiétude possible de ces corps-ilots flottants. Le fantasque et le burlesque l’emportent. Ces membres à l’existence autonome, grotesques par leurs formes et leur abandon mou, précieux par le soin des coutures et des détails, semblent en effet tout droits sortis de cartoons, comme échappés des personnages aplatis, étirés et pulvérisés avec jubilation par Tex Avery. Ces formes fondues, émancipées du destin bidimensionnel que leurs réservent dessins d’animations et bandes dessinées, jouent également de réminiscences pop. Comment ne pas penser aux sculptures molles de Claes Oldenburg ou aux silhouettes de vinyle de ses contemporaines Teresa Burga ou Kiki Kogelnik, face à cette parade de corps informes et d’objets triviaux (cigarettes, journaux). Cette évocation pop est renforcée par la présence de tentures mêlant Pin-up plantureuse et onomatopées.

Au centre de l’espace et au cœur de l’intrigue, une grande baigneuse allongée dévoile son corps sans visage. Vêtue du fameux bikini et bottée, cette créature évoque les jambes démesurées des héroïnes sexy des comics des années 1960-70, notamment les amazones de Trina Robbins. Contrariant cette planéité, des mains potelées, voire hypertrophiées dansent dans l’espace, animant des écrans de leurs ballet de doigts. Ces mains pataudes de Mickey miment une icône de la danse contemporaine : le Hand Movie de la chorégraphe Yvonne Rainer, filmé en 1966 par William Davis.

Hippolyte Hentgen joue de ce métissage de langages, de cette hybridation d’univers non destinés à se côtoyer. Dans son musée imaginaire, les productions de l’avant-garde, la bande dessinée, le dessin d’animation, l’illustration populaire ou le dessin de presse se mêlent sans complexes, faisant surgir un univers fantasque et jubilatoire affranchi des scories des hiérarchies de genres. L’artiste Arnaud Labelle-Rojoux parle à cet égard de phénomène de « pollinisation » à partir de ce qui constitue notre culture visuelle. Dans cet univers fécond où se métissent le grotesque et le raffinement, l'organique et l'inorganique, le dessin se déploie dans tous ses états.

Ce bikini invisible composé au MAMAC est bien sûr un clin d’œil acidulé et débridé à la Riviera, à ses corps alanguis et à ses stéréotypes ; un prélude à une fiction que le visiteur est libre de construire. C’est aussi une actualisation polissonne, effrontée, follement pop et délibérément malicieuse des œuvres des grandes figures qui ponctuent les collections du MAMAC.

Hippolyte Hentgen, B-R-E-E-K, 2018 Assemblage de tissus cousus et imprimés 250 x 238 cm © A. Mole Courtesy Semiose, Paris.
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LE MUSEE PRIVE

Tél: (33) 09 75 80 13 23
Port.: 06 08 06 46 45

 
Patrick Reynolds
 

 Patrick Reynolds
Directeur de publication

 

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