Livres Curiosa et Erotisme
Matisse – Invitation au voyage FONDATION BEYELER
Henri Matisse, Grand nu couché (Nu rose), 1935, Huile sur toile, 66,4 x 93,3 cm, The Baltimore Museum of Art, The Cone Collection, fondée par le Dr Claribel Cone et Etta Cone, Baltimore, Maryland, 1950, © Succession H. Matisse / 2024, ProLitteris, Zurich, Photo: Mitro Hood |
22 septembre 2024 – 26 janvier 2025 La Fondation Beyeler à Riehen/Bâle présentera à l'automne 2024 la première rétrospective Henri Matisse en Suisse et dans l'espace germanophone depuis près de 20 ans. Réunissant plus de 70 oeuvres majeures en provenance de collections privées et de musées européens et américains de premier plan, l'exposition mettra en lumière l'évolution et la richesse du travail précurseur de l'artiste. Henri Matisse (1869–1954) compte parmi les créateurs les plus célèbres de l'art moderne. Son oeuvre précurseur a profondément influencé des générations d'artistes, de ses contemporains à nos jours. En libérant la couleur du motif et en simplifiant les formes, il a redéfini la peinture et apporté à l'art une légèreté nouvelle. Matisse a également innové dans le domaine de la sculpture et, avec les papiers découpés de sa phase tardive, développé une pratique unique à la croisée de la peinture, du dessin et de la sculpture. L'exposition couvrira toutes les périodes du travail de l'artiste. Elle commencera avec les premières oeuvres produites vers 1900, en passant par les toiles révolutionnaires du fauvisme et les travaux expérimentaux des années 1910, les tableaux sensuels de la période niçoise et des années 1930, pour culminer dans les légendaires papiers découpés de l'oeuvre tardif des années 1940 et 1950. Cette profusion de tableaux, de sculptures et d'oeuvres sur papier de premier plan donnera à voir l'évolution et la richesse de l'oeuvre singulier de Matisse. |
Fondation Linda et Guy Pieters Exposition Brigitte Bardot par Ghislain Dussart
28/09/2024 - Brigitte Bardot fête ses 90 ans : femme libre au parcours ensoleillé exceptionnel elle représente l’incarnation de la beauté féminine, du plaisir de vivre en créant du bonheur autour de soi. Le bonheur la défense et la préservation des animaux est une de ses préoccupations fondamentales qui s’accompagne d’un sens et d’un respect humain immense des animaux. Brigitte Bardot incarne une sensualité positive faite d’authenticité et d’audace, résolument française, elle a l’immense force l’intelligence et la bravoure de dire ce qu’elle pense, quoi qu’il lui en coûte : on aime sa voix, son naturel , en un mot sa personnalié et sa philosophie de vie. Les courriers affluent du monde entier vers Saint-Tropez pour célébrer les 90 ans d’une femme libre au parcours insensé auquel son village rendra un hommage public ce samedi 28 septembre à la Fondation Linda et Guy Pieters. - Patrick Reynolds |
Fondation Linda et Guy Pieters 28 Boulevard Vasserot +33 4 22 84 01 89 info(at)fondationlgp.com https://www.fondationlgp.com/en/welcome le 28 / 09 / 2024 |
Exposition MIRO La Banque Musée des Cultures et du Paysage d'Hyères
Miró La Banque, Musée des Cultures et du Paysage d'Hyères La Banque, musée des Cultures et du Paysage de la ville d'Hyères (Var), présente jusqu'au 24 novembre 2024 l'exposition Miró. Organisée en partenariat avec la Fondation Maeght qui célèbre ses 60 ans cette année, cette exposition révèle des pièces exceptionnelles qui mettent en lumière l'œuvre prolifique de ce génie artistique |
Vue in situ de l'exposition © La Banque, musée des Cultures et du Paysage - Hyères |
74 œuvres créées entre 1956 et 1977 À la fin des années 1950, Joan Miró entame une période de profonde transformation artistique qui durera jusqu'à la fin de sa vie. Cette période marque l'apogée de son génie créatif et donne naissance à des œuvres d'une puissance expressive inégalée. Nouvelles explorations En 1954, Miró s'installe à Majorque, sa terre natale, et y fait construire un grand atelier par son ami Josep Lluís Sert. Ce changement de décor agit comme un catalyseur de remise en question. Face à un trésor de dessins et peintures accumulés au fil des années, l'artiste ressent le besoin de se libérer du passé et d'explorer de nouveaux horizons. Cette période va voir l'éclosion d'un style artistique pleinement assumé, qui le propulsera au rang de maître de l'art moderne |
Corneille au fil de la joie - Centre de la Gravure et de l'Image imprimée - La Louvière
Dalí Disruption and Devotion MFA BOSTON
Salvador Dalí, The Disintegration of the Persistence of Memory (detail), 1952–54. Oil on canvas. Collection of the Dalí Museum. Gift of A. Reynolds and Eleanor Morse. © 2024 Salvador Dalí, Fundació Gala-Salvador Dalí, Artists Rights Society. |
Exhibition offers new take on Dalí 100 years after the founding of Surrealism On view July 6 through December 1, 2024 BOSTON (June 12, 2024)—The outlandish and iconoclastic artist Salvador Dalí (1904–1989) is famous for his bizarre imagery, eccentric behavior and unparalleled technical skill. The renowned Surrealist was also, however, deeply rooted in tradition. He revered his artistic predecessors—among them Dürer, Raphael, El Greco, Vermeer and above all Velázquez. Opening this summer, the first-ever exhibition of work by Dalí at the Museum of Fine Arts, Boston (MFA) examines this sustained engagement with European art of the past. Dalí: Disruption and Devotion presents nearly 30 paintings and works on paper on loan from the Salvador Dalí Museum in St. Petersburg, Florida, as well as books and prints from a private collection, which are shown alongside works from the MFA’s European collection made by artists who inspired him. The unique juxtapositions, presented in both pairings and small thematic groupings, offer a new take on one of the most celebrated artists of the 20th century. |
Dalí spent his youth in the small Spanish town of Figueres, north of Barcelona near the Catalan coast. His artistic talent was noticed early on, and at 18, he enrolled at Madrid’s San Fernando Royal Academy of Fine Arts. On a trip to Paris in 1929, Dalí connected with the Surrealist group through another Catalan artist, Joan Miró. In the words of the group’s leader, André Breton, Surrealism aimed to “resolve the previously contradictory conditions of dream and reality into an absolute reality, a super-reality.” The unconscious mind was first explored in literature, but the movement soon expanded to the visual arts, with Dalí a highly visible member of the circle. “The Surrealist movement, announced by André Breton in 1924, is 100 years old. The MFA’s exhibition, using superb loans from the Salvador Dalí Museum in St. Petersburg, Florida, offers a timely opportunity to reconsider the most famous Surrealist in terms of the historical artists he deeply admired,” said Frederick Ilchman, Chair and Mrs. Russell W. Baker Curator of Paintings, Art of Europe. Dalí: Disruption and Devotion showcases a broad range of Dalí’s best-known works, in terms of subject matter, chronology and scale. Highlights include: |
ALINE ZALKO Maison des Arts de Châtillon
ALINE ZALKO
MIRAGES du 13 septembre au 8 décembre 2024 Maison des Arts de Châtillon 11 rue de Bagneux, 92320, CHATILLON |
La Maire de Châtillon Martine GOURIET, L'Adjointe à Madame la Maire, déléguée à la Culture et au Patrimoine Et le Conseil municipal, sont heureux de vous inviter à l’exposition de Aline ZALKO Du 13 septembre au 8 décembre 2024 VERNISSAGE DE l'EXPOSITION sur demande auprès de La Maison des Arts le JEUDI 12 SEPTEMBRE 2024 à partir de 19h Aline Zalko est dessinatrice et peintre. Elle puise dans l'observation de la nature et les photos trouvées qu'elle collectionne pour créer des œuvres dans lesquelles couleurs et perspectives sont réinterprétées. Diplômée de l'École des Arts Décoratifs de Paris, Aline Zalko expose en 2013 au Salon d'art contemporain de Montrouge une série de grands dessins au crayon de couleur et pastel centrés sur l'intime et la puberté. Dans les années qui suivent, elle élargit son propos en y intégrant des questionnements sur l'imagerie féminine, de façon plus radicale. Au début des années 2020, à l'occasion de nombreux séjours en Auvergne, Aline Zalko amorce un tournant. Elle place la nature au centre de son travail, et commence une série de peintures à l'acrylique sur de larges toiles, privilégiant une gamme chromatique extravertie dans un traitement qui confine à l'abstraction. Qu'il s'agisse du papier ou de la toile, elle retranscrit le monde qu'elle observe en l'irradiant et le distordant, jouant des couleurs contrastées et des matériaux. Aline Zalko révèle un univers ambigu et vibrant, parcouru de jardins, d'incendies et de forêts, où tout semble en perpétuel état de métamorphose. La figure humaine, lorsqu'elle est représentée, semble déjà faire partie d'un monde révolu. Site internet de l'artiste : https://alinezalko.com/ aline.zalko(at)gmail.com Instagram : https://www.instagram.com/alinezalko/ |
Le Parcours de l’Art Avignon fête ses 30 ans
Ivresse de l'encre De Lassaâd Metoui musée d'histoire de Nantes
Johanna Rolland, Maire de Nantes et Présidente de Nantes Métropole ont le plaisir le plaisir de vous convier à l'ouverture de l'exposition Ivresse de l'encre De Lassaâd Metoui Samedi 6 juillet, dès 10h (entrée libre) À partir de 19h, La Nuit du VAN, le lancement festif de l'édition estivale du Voyage à Nantes donne lieu à une programmation singulière. À cette occasion, l'accès au musée d'histoire de Nantes est également en entrée libre de 19h à 22h. Et les douves du château sont une étape importante de la soirée avec, à partir de 21h30, un concert des Nantais de La LØMA, une carte blanche à Noémie Goudal, qui convie Baptiste Lagrave à une expérimentation musicale en live afin de créer la bande-son de ses deux nouveaux films, et un DJ set de Yuzu. Voir le programme de La Nuit du VAN. Château des ducs de Bretagne – musée d'histoire de Nantes 4 place Marc Elder - 44 000 Nantes Tél 0811 46 46 44 (Service 0,05€/min + prix d'appel) Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. – www.chateaunantes.fr – #expochateau Le Château des ducs de Bretagne, propriété de Nantes Métropole, est géré par la société publique locale Le Voyage à Nantes dans le cadre d'une délégation de service publique. |
LA FONDATION DUBUFFET INVITÉE D’HONNEUR DU SALON DU DESSIN 2024 Jean Dubuffet sur papier
Jean Dubuffet, Les prestations, 6 juillet 1979, acrylique sur papier entoilé (avec 6 pièces rapportées collées), 51 x 70 cm Coll. Fondation Dubuffet, Paris © ADAGP, Paris, 2024 |
Avoir été choisie pour être l’invitée de la présente édition du Salon du dessin touche particulièrement la Fondation Dubuffet, qui, durant toute l’année 2024, célèbre ses 50 ans d’existence. Créée par l’artiste lui-même, la fondation a été reconnue d’utilité publique par décret en 1974. L’exposition présentée par la Fondation au Salon du dessin est l’un des premiers événements organisés pour cet anniversaire. Elle prend la suite des prestigieuses institutions muséales, invitées jusqu’à présent, qui avaient choisi de présenter les plus belles « feuilles » de leurs collections. Le terme en usage de « feuille » a une résonnance conventionnelle que Jean Dubuffet aurait sans doute rejetée, lui qui n’a eu de cesse de s’opposer aux valeurs académiques. Riche d’une collection de plus de 1 300 oeuvres sur papier, dons de l’artiste de son vivant ou acquisitions plus récentes, la Fondation a sélectionné 55 oeuvres réalisées entre 1935 et 1985 qui témoignent de la diversité des techniques employées par Jean Dubuffet et de l'usage inventif qu'il en fait. Artiste majeur de la seconde moitié du XXe siècle, Jean Dubuffet (1901-1985) s’engage, en 1942, dans une vaste entreprise de déstabilisation de l’institution culturelle. Ainsi, à ceux qui défendent le parti du bien dessiner, il leur oppose celui du mal dessiner. Dans un entretien où il est tout à la fois l’interviewé et l’intervieweur, il explique : « On appelle couramment bien dessiner le faire de manière à s’approcher avec exactitude d’une prise de vue photographique et c’est ce qui m’apparaît à moi mal dessiner, ou plutôt ne pas dessiner du tout. À toute production d’art, si humble soit-elle, on demande en tout cas qu’elle soit créative. » |
La Fondation Maeght fêtera ses 60 ans à l’été 2024.
Première fondation d’art moderne et contemporain en France, la Fondation Maeght fêtera son soixantenaire à l’été 2024. Créée en 1964 par le couple de marchands d’art, éditeurs et lithographes Marguerite et Aimé Maeght, elle fut inaugurée par André Malraux et immédiatement reconnue d’utilité publique. Cet anniversaire sera marqué par une grande exposition estivale « Amitiés, Bonnard-Matisse », l’inauguration de nouvelles salles d’exposition consacrées cette année à la collection permanente et un mois de célébrations composé de concerts, représentations de danse, projections de films, lectures… |
Henri Matisse, Le Buisson, 1951, encre et gouache sur papier, 149 x 149 cm. Collection Adrien Maeght, Saint-Paul-de-Vence © Succession H. Matisse |
Pierre Bonnard, L’amandier en fleurs, 1946 54,5 x 37,5 cm Paris, Centre Pompidou - Musée national d’art moderne - Centre de création industrielle Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / image Centre Pompidou, MNAM-CCI |
Mindful Art Des expériences de médiation pleine conscience à travers toute la France en 2024
Les institutions culturelles s'engagent aujourd'hui résolument vers le bien-être des visiteurs en faisant appel à la mise en place d'expérience Mindful Art® pour transformer les espaces culturels en lieu de vie, propice à l'introspection et au ressourcement. Nouvelle manière d'aborder ou de découvrir une œuvre d'art, Mindful Art® propose une expérience unique de méditation pleine conscience, de neuroscience et de poésie. Plus que prendre le temps et de ralentir le pas dans les musées, Mindful Art® Experience permet aux participants de regarder les œuvres autrement, d'établir un lien personnel, intime et direct avec l'œuvre. En 2024, la créatrice de la méthode, Marjan Abadie, propose une riche programmation avec, entre autres, l'ouverture d'un espace dédié à la médiation guidée au Palais des Beaux de Lille, l'inauguration de capsules sonores et des ateliers performance à travers toute la France et la Belgique. |
Mise en place d'une capsule sonore au Musée des Beaux-Arts d'Orléans À partir du 23 mars 2024 Le Musée des Beaux-Arts d'Orléans et Mindful Art collaborent depuis 4 ans pour le bien-être de tous les publics. Dans la continuité logique de cette collaboration, le Musée des Beaux-Arts d'Orléans, profondément engagé dans l'inclusion et le bien-être, va mettre en place une création sonore méditative Mindful Art. Cette création propose à tous les visiteurs un temps de pause au cours de leur parcours de visite. La capsule sonore sera inaugurée le 9 mars. Chaque visiteur pourra s'accorder une pause au pied de Saint Sébastien, soigné par Irène, d'après Georges de La Tour et poursuivre sa visite de manière plus immersive et sensible. Il s'agit d'une transition entre "faire le musée" et "être avec les œuvres d'art au musée", offrant ainsi une expérience enrichissante et plus intime à chacun. |
Exposition Kevin Lucbert Maison des Arts Châtillon
Kevin Lucbert De l'autre côté du miroir Exposition Du 5 avril au 25 juin 2024 Maison des Arts 11 rue de Bagneux 92320 Châtillon 01 40 84 97 11 Maisondesarts(at)chatillon92.fr https://www.maisondesarts-chatillon.fr/ Entrée libre, du mardi au dimanche de 14h à 18h |
Né en 1985 à Paris. Vit et travaille entre Berlin et Paris. Kevin Lucbert est diplômé en 2008 de l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris. Lors de ses études il se lie d'amitié avec Yann Bagot et Nathanaël Mikles. Ensemble ils créent le collectif artistique Ensaders et participent régulièrement à des performances, expositions et conduit des workshops de dessin. En parallèle il travaille pour The New York Times, Télérama, Les Échos, le groupe de presse Mondadori ou encore Starbucks, Hermès ou BIC, qui a récemment acquis quelques un de ses dessins pour leur collection d'art contemporain. En 2018, les œuvres de la collection BIC sont exposées au 104 à Paris, parmi lesquelles, celles de Lucbert. Inspiré par de multiples sources, Maurits Cornelis Escher, Alfred Kubin, Philippe Mohlitz ou Les Cités Obscures de Schuitten et Peeters, Lucbert a développé une création unique dans laquelle il explore un monde parallèle, un univers absurde qui lui est propre. Dans sa série Blue Lines réalisée au stylo BIC bleu, il explore des paysages surréalistes et des compositions frontales et imaginaires. Ses œuvres traduisent un monde spatial et rêveur. |
Picasso Sculpteur Matière et corps Picasso escultor. Materia y cuerpo
29/09/2023 - 14/01/2024 Pablo Picasso (1881-1973) a travaillé sur la sculpture pratiquement dès le début de sa longue carrière. Pour l'artiste de Malaga, il ne s'agissait pas d'un médium de moindre rang, mais plutôt d'une forme d'expression comparable à la peinture, au dessin ou à la gravure. Dans sa pratique, il n’y avait pas d’arts majeurs et mineurs, mais plutôt des langages et des matériaux différents qui lui permettaient de transmettre divers aspects de sa création. Le corps, objectif ultime de la représentation et instrument principal de Picasso tout au long de sa carrière, est le pilier fondamental de cette exposition qui s'inscrit dans le cadre des commémorations du 50e anniversaire de sa mort. Pablo Picasso (1881–1973) trabajó la escultura prácticamente desde los inicios de su dilatada trayectoria. Para el artista malagueño, no se trataba de un medio de un rango menor, sino de una forma de expresión equiparable a la pintura, el dibujo o el grabado. En su práctica, no existían artes mayores y menores, sino diferentes lenguajes y materiales que le permitían transmitir aspectos diversos de su creación. El cuerpo, objetivo último de la representación e instrumento principal de Picasso a lo largo de su carrera, es el pilar fundamental de esta exposición, que se enmarca dentro de los actos de conmemoración del 50º aniversario de su fallecimiento. Monographie dédiée à l'artiste, avec des essais de Carmen Giménez, Diana Widmaier-Ruiz-Picasso et Pepe Karmel sur l'œuvre sculpturale de Picasso . Le volume est illustré d'images des œuvres présentes dans l'exposition, tant actuelles qu'historiques réalisées par Brassaï.
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Nicolas de Staël Musée d’Art Moderne de Paris
PHOTOGRAPHIE ET TRANSIDENTITE INSTITUT POUR LA PHOTOGRAPHIE LILLE
En prenant appui sur deux projets phares autour de la transidentité et de la photographie, Transgalatique et Casa Suzanna, nous aborderons avec nos invité·es l'artiste chercheur SMITH et les commissaires d'exposition Nadège Piton et Isabelle Bonnet, la question du genre et ses mutations par le prisme de la photographie et des livres de photographie. Rencontre animée par Véronique Prugnaud - The Eyes : https://www.institut-photo.com/event/photographie-transidentite/ |
Mark Rothko Fondation Louis Vuitton
MARK ROTHKO
Du 18 octobre 2023 au 2 avril 2024 Première rétrospective en France consacrée à Mark Rothko (1903-1970) depuis celle du musée d’Art moderne de la Ville de Paris en 1999, l’exposition présentée à la Fondation Louis Vuitton à partir du 18 octobre 2023 réunit quelque 115 œuvres provenant des plus grandes collections institutionnelles et privées internationales, notamment de la National Gallery of Art de Washington, de la famille de l’artiste et de la Tate de Londres. Se déployant dans la totalité des espaces de la Fondation, selon un parcours chronologique, elle retrace l’ensemble de la carrière de l’artiste depuis ses premières peintures figuratives jusqu’à l’abstraction qui définit aujourd’hui son œuvre. “Je ne m’intéresse qu’à l’expression des émotions humaines fondamentales...” Mark Rothko L’exposition s’ouvre sur des scènes intimistes et des paysages urbains – telles les scènes du métro new-yorkais –, qui dominent dans les années 1930, avant de céder la place à un répertoire inspiré des mythes antiques et du surréalisme à travers lesquels s’exprime, pendant la guerre, la dimension tragique de la condition humaine. À partir de 1946, Rothko opère un tournant décisif vers l’abstraction dont la première phase est celle des Multiformes, où des masses chromatiques en suspension tendent à s’équilibrer. Progressivement, leur nombre diminue et l’organisation spatiale de sa peinture évolue rapidement vers ses œuvres dites « classiques » des années 1950 où se superposent des formes rectangulaires suivant un rythme binaire ou ternaire, caractérisées par des tons jaunes, rouges, ocre, orange, mais aussi bleus, blancs... En 1958, Rothko reçoit la commande d’un ensemble de peintures murales destinées au restaurant Four Seasons conçu par Philip Johnson pour le Seagram Building – dont Ludwig Mies van der Rohe dirige la construction à New York. Rothko renonce finalement à livrer la commande et conserve l’intégralité de la série. Onze ans plus tard, en 1969, l’artiste fera don à la Tate Gallery de neuf de ces peintures qui se distinguent des précédentes par leurs teintes d’un rouge profond, constituant une salle exclusivement dédiée à son travail au sein des collections. Cet ensemble est présenté exceptionnellement dans l’exposition. Crédits : Mark Rothko, No. 14, 1960 - Huile sur toile, 289.6 x 266.7 cm |
La MEP Maison Européenne de la Photographie expose Viviane Sassen
VOL - LA PEINTURE FIGURATIVE DE JUDIT REIGL MUSÉE DE KISCELL BUDAPEST HONGRIE
Museum of Fine Arts, Boston, Debuts First-Ever Exhibition to Focus on Relationship Between John Singer Sargent’s Portraits and Fashion
On view October 8, 2023–January 15, 2024 BOSTON (August 9, 2023) - John Singer Sargent (1856–1925) brought his sitters to life, but he did much more than simply record what appeared before him. He pinned and draped, he changed or ignored decorative details, and sometimes he simply made it up. Organized by the Museum of Fine Arts, Boston (MFA), and Tate Britain, Fashioned by Sargent explores the artist’s influence over his sitters’ images by illuminating the liberties he took with sartorial choices to express distinctive personalities, social positions, professions, gender identities and nationalities. The exhibition features approximately 50 paintings by Sargent—including major loans from museums and private collections around the world—along with more than a dozen dresses and accessories. Several of these garments are reunited for the first time with Sargent’s portraits of the sitters who once wore them. Through the lens of dress, Fashioned by Sargent presents exciting new scholarship and offers a new perspective on the artist’s creative practice. Fashioned by Sargent is sponsored by Bank of America. Generously supported by the Terra Foundation for American Art, and Tom and Bonnie Rosse. Additional support from Lynn Dale and Frank Wisneski, the Barbara M. Eagle Exhibition Fund, the MFA Associates / MFA Senior Associates Exhibition Endowment Fund, the Dr. Lawrence H. and Roberta Cohn Fund for Exhibitions, and the Alexander M. Levine and Dr. Rosemarie D. Bria-Levine Exhibition Fund. Fashioned by Sargent is co-organized by the Museum of Fine Arts, Boston, and the Tate Britain, London. |
TATE ST IVES EXHIBITION THE CASABLANCA ART SCHOOL
Mohamed Melehi Untitled 1983 © Mohamed Melehi Estate |
UNTIL 14 JANUARY 2024 A major exhibition about the artists of the renowned Casablanca Art School Tate St Ives will be the first museum in the UK to explore the intense period of artistic rebirth that followed Morocco’s independence, forged by the experimental teaching methods of the Casablanca Art School in the 1960s and 1970s. Led by Farid Belkahia alongside Mohammed Chabâa, Mohamed Melehi and others, this pioneering school paved the way for a new generation of socially engaged modern artists who formed an influential avant-garde network. Works by 22 artists will be brought together to demonstrate the wide variety of the Moroccan ‘new wave’, from vibrant abstract paintings and urban murals to applied arts, typography, graphics and interior design. The exhibition will also include a selection of rarely-seen print archives, vintage journals, documentary photographs and films. This exhibition is a collaboration between Tate St Ives and Sharjah Art Foundation, where it will open in February 2024. It is also part of a key moment of international research into the Casablanca Art School, which includes a collaborative project initiated in 2020 between KW Institute for Contemporary Art and Sharjah Art Foundation, in partnership with Goethe-Institut Marokko, ThinkArt and Zamân Books & Curating. Tate St Ives Porthmeor Beach St Ives Cornwall TR26 1TG |
A Brief Guide to the Casablanca Art School | Tate |
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Fondation Linda et Guy Pieters Christo and Jeanne-Claude
Over The River, Project for Arkansas River, State of Colorado - 1998 - 38 x 165 cm & 106,6 x 165 cm - collage in 2 parts A l'occasion d'une exposition d'oeuvres préparatoires de l'artiste Christo dans la galerie Guy Pieters dans les années 2010, Patrick Reynolds, Directeur du Musée Privé, et Sébastien Lecca, plasticien et performer, ont eu l'opportunité de poser quelques questions à l'un des artistes les plus monumentaux et influents de notre époque. Une interview réalisée et préparée par André-Charles Idier / andrecharles.idier(at)gmail.com Remerciements à Christo, Guy Pieters et Isabelle Lelievre. |
Their Majesties The King and Queen visit the Barbara Hepworth Museum and Sculpture Garden
Their Majesties The King and Queen with Barbara Hepworth’s Four-Square (Walk Through) at the Barbara Hepworth Museum and Sculpture Garden in St Ives, Cornwall. Photo © Guy Martin / Tate |
To celebrate the 30th anniversary of Tate St Ives, Their Majesties The King and Queen visited the Barbara Hepworth Museum and Sculpture Garden today. They were given a tour of Hepworth’s studio and garden, which is cared for by Tate St Ives, and were introduced to several people who have played important roles in Tate St Ives’s success over the past 30 years. The visit was hosted by Anne Barlow (Director of Tate St Ives) and Roland Rudd (Chair of Tate). Their Majesties began their visit in Hepworth’s beautiful studio space, filled with some of the artist’s most famous works in wood, bronze, marble and plaster. Dr Sophie Bowness (Barbara Hepworth’s granddaughter) introduced the history of the building, alongside Dame Jayne-Anne Gadhia (Trustee of Tate) and Sir Anthony Salz (Chair of Tate St Ives Advisory Council). The King and Queen then had a tour of Hepworth’s garden and the many sculptures on display there. Head Gardener Jodi Dickinson, who began his career in horticulture thanks to the support of The Prince’s Trust, described how he has worked to restore the garden to its former glory. Together they planted a penstemon shrub to celebrate the royal visit, and Their Majesties were presented with a gift of some rare seeds from a cineraria which was originally planted by Hepworth herself. |
THE MUSEO PICASSO MAGAGA
CARMELO ARDEN QUIN CENTRO CULTURAL LA MONEDA
NOUVELLE ORIENTATION ARTISTIQUE DU MACM / MACM ANNOUNCES EXCITING NEW ARTISTIC DIRECTION
LE MACM ANNONCE UNE NOUVELLE ORIENTATION ARTISTIQUE PROMETTEUSE
À compter du printemps 2024, le musée sera dédié à des expositions d'art moderne & contemporain. Le Musée d'Art Classique de Mougins deviendra LE MUSÉE D'ART CONTEMPORAIN DE MOUGINS |
MACM ANNOUNCES EXCITING
Starting Spring 2024: The MACM will become a dedicated venue for Modern & Contemporary Art Exhibitions & the Musée d'Art Classique will become
NEW ARTISTIC DIRECTION THE MUSÉE D'ART CONTEMPORAIN DE MOUGINS
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Christian Levett, l'homme derrière le Musée d'Art Classique de Mougins, va donner à son musée une nouvelle impulsion. En ce sens, ce dernier va fermer ses portes en tant que musée d'art classique le 31 août 2023 pour rouvrir au printemps 2024 en tant que musée dédié à la présentation d'expositions d'art moderne & contemporain thématiques & temporaires. « Avoir eu la possibilité de créer ce musée & partager mes collections avec le public a été un véritable honneur pour moi en tant que collectionneur», déclare Christian Levett. « Je tiens à remercier les Amis du MACM, les Mouginois, l'équipe du musée & tous nos visiteurs grâce à qui le MACM a rencontré un si grand succès. Cela fait un quart de siècle que je collectionne des oeuvres diverses, & comme mes goûts ont évolué, je pense qu'il est temps que le musée évolue aussi. Je suis impatient d'ouvrir notre nouveau musée, qui, j'en suis certain, deviendra rapidement une destination incontournable pour les amateurs d'art, les connaisseurs & les collectionneurs dans le Sud de la France & au-delà. » |
Christian Levett, the founder & owner of the Mougins Museum of Classical Art, is to give the museum a complete facelift, closing it as a classical art museum on 31st August 2023, & reopening as an exhibition museum in spring 2024, displaying rotating shows of modern & contemporary art.
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HERMANN NITSCH MUSÉE DE L'ORANGERIE
MUSÉE DE L'ORANGERIE 11 Octobre 2023 - 29 Janvier 2024 La Galerie RX est heureuse de vous annoncer la prochaine exposition ( https://www.galerierx.com/fr ) d'Hermann Nitsch au Musée de l'Orangerie. Galerie RX is delighted to announce Hermann Nitsch's forthcoming exhibition at the Musée de l'Orangerie. Exposition du 11 Octobre 2023 au 29 janvier 2024 - Exhibition from October 11, 2023 to January 29, 2024 Contrepoint #11 - Counterpoint #11 Considéré comme un artiste majeur du mouvement de l'Actionnisme viennois dont il fut l'un des fondateurs, Hermann Nitsch, né en 1938 à Vienne, est décédé en avril 2022 à Mistelbach (Autriche), où il vivait et travaillait. Reconnu internationalement comme le maître de la performance autrichienne, l'artiste a développé un œuvre puissamment expressif, empruntant à la dramaturgie religieuse pour développer un art total culminant chaque année depuis les années 1950 dans ses « Orgien Mysterien Theater », où il invitait amis et publics à six jours de festivités et de performances ininterrompues. Durant les dernières années de sa carrière, Hermann Nitsch a développé une peinture d'une grande vitalité, de plus en plus colorée, toujours étroitement liée à ses actes performatifs et aux lieux dans lesquels elle intervient. Fasciné par les Nymphéas de Monet, auxquels il rendait hommage au musée de l'Orangerie lors chacun de ses séjours à Paris, l'artiste viennois a été invité avant sa mort à venir dialoguer avec ce chef d'œuvre de l'impressionnisme, dont il a souligné la proximité qu'il y voyait avec les enjeux de sa propre pratique : « dans mes performances, ma peinture expressive et religieuse est devenue un drame achevé, une dramaturgie analytique. |
Tate St Ives Exhibition The Casablanca Art School
MUSEU DE ARTE MODERNA Rio 75 anos – memória e reflexão
Fondation Lynda et Guy Pieters Exposition GEORGE SEGAL - WIM DELVOYE - BARBARA DE PAUW
Linda et Guy Pieters ont le plaisir de vous annoncer l'exposition Lien vers : https://www.guypietersgallery.com/en/home Image : George Segal - Girl on a Green Kitchen Chair - 1964 - plaster with painted wood |
Hokusai Inspiration and Influence MFA BOSTON
Fondation Louis Vuitton BASQUIAT X WARHOL À QUATRE MAINS
L’ARGENT DANS L’ART MONNAIE DE PARIS 30 MARS - 24 SEPTEMBRE 2023
Fondation Beyeler PICASSO Artiste et modèle – Derniers tableaux
Fondation Maeght Jean Paul Riopelle - Parfums d'ateliers
Exposition Eric Vassal Maison des Arts Châtillon
Maison des Arts Exposition Eric Vassal Depuis la fin des années 90, le travail d’Eric Vassal s’est développé à travers un échange constant entre la sculpture, la peinture, l’estampe, la photographie et la vidéo. Ces différents médiums lui permettent de traiter d’un sujet constant : le lien que l’œuvre d’art entretient avec l’histoire de l’art et le patrimoine. Cinéphile de la première heure, Eric Vassal présentera à la Maison des Arts de Châtillon une exposition de photographies plasticiennes autour du septième art. La série « Agnosis » revisite le patrimoine cinématographique en mettant en évidence une vision structuraliste du discours image / langage. Cette série traite du langage d’un point de vue esthétique et sémantique. Pour les œuvres de la série « Dagyde », Eric Vassal a recours à des captures d’écran de scènes de cinéma. Ces extraits d’œuvres sont réécrites par un travail direct sur la photographie. Des épingles sont plantées afin de mettre en évidence certains éléments de la scène. La photographie passe alors de deux dimensions à trois dimensions, procédé inverse du cinéma. Enfin, Eric Vassal présentera une récente série d'œuvres intitulée « Story-board » à travers laquelle l’artiste interroge la notion de temps en déstructurant des scènes cinématographiques. Ref image : Dagyde Photographies et épingles - Eric Vassal d'après double indemnity 1944 Série "Dagyde" d'après Attack of the 50 ft woman (1958) - Photographie et épingles https://www.maisondesarts-chatillon.fr/
Exposition ouverte au public du mardi au dimanche, de 14h à 18h du 13 janvier au 26 mars 2023 Entrée libre Accès: métro ligne 13 - arrêt "Châtillon/Montrouge" puis bus n°388 arrêt "Mairie de Châtillon" |
MONET MITCHELL FONDATION LOUIS VUITTON
Vue d’installation de l’exposition “Rétrospective Joan Mitchell” |
Vue d’installation de l’exposition “Le dialogue Claude Monet – Joan Mitchell”
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MONET - MITCHELL DIALOGUE MONET - MITCHELL |
CARMELO ARDEN QUIN MUSEO NACIONAL de BELLAS ARTES
Domenica 20 novembre 2022, al MUSEO NACIONAL de BELLAS ARTES, Av. Del Libertador, 1473 – Buenos Aires - Argentina si concluderà la grande esposizione "CARMELO ARDEN QUIN en LA TRAMA DEL ARTE CONSTRUCTIVO" |
La mostra, a cura della Prof.ssa Cristina Rossi, e con il patrocinio del Ministero della Cultura Argentina è stata presentata con 100 opere di Arden Quin, messe in dialogo con 63 opere realizzate dai seguenti artisti : |
Photography Exhibition Linda Troeller Museum of Sex
Photography Exhibition, Linda Troeller: Self Power | Self Play to Open at Museum of Sex Museum of Sex, Photography September 28, 2022 Linda Troeller, Photography |
Linda Troller, Floating, 2017. Image courtesy of the Museum |
The Museum of Sex is pleased to announce Self Power | Self Play: 50 years of Erotic Portraiture by Linda Troeller. For half a century, artist Linda Troeller (b. 1949) has used the camera as a tool for sensual empowerment. The first museum retrospective of Troeller’s work in New York City, Self Power | Self Play will feature over sixty erotic photographs on loan from the artist’s studio and Bryn Mawr College Special Collections which highlight her radical and playful photographic practice. The museum will host a private opening reception on the evening of Monday, October 17th and the exhibition will be open to the public on Wednesday, October 19th. Self Power | Self Play demonstrates Troeller’s early commitment to challenge social taboos and explore uninhibited sexual identity. Since 1973, when she first took a self-portrait, Troeller has strategically utilized her photographic practice to embolden female intimacy, pleasure, masturbation, and orgasm. Now in her 70s, she continues to take subversive and erotic self-portraits. |
MFA Boston Presents "The Obama Portraits Tour" Featuring Portraits by Artists Kehinde Wiley and Amy Sherald
September 3–October 30, 2022 Multi-City Tour Organized by the Smithsonian’s National Portrait Gallery The MFA to Offer Free Admission to the Exhibition on September 5, September 19, October 10 and October 30 BOSTON (June 9, 2022)—The Museum of Fine Arts, Boston (MFA), presents the portraits of former President Barack Obama and Mrs. Michelle Obama by artists Kehinde Wiley and Amy Sherald, respectively, as part of The Obama Portraits Tour organized by the Smithsonian’s National Portrait Gallery. The paintings will be on view in the Lois B. and Michael K. Torf Gallery from September 3 through October 30, 2022. To celebrate the portraits’ debut at the MFA, the Museum will engage community partners on a collaborative art-making project that will be presented in conjunction with the exhibition—creating a unique moment for Boston audiences to respond to these captivating paintings of the former President and First Lady, and explore the evolving dynamics of leadership. “Kehinde Wiley and Amy Sherald are visionary artists whose paintings both pay homage to and reimagine the centuries-old tradition of American portraiture, which has strong roots in Boston. It is an honor for us to host their Obama portraits at the MFA and to offer New England audiences a chance to experience these powerful works of art,” said Matthew Teitelbaum, Ann and Graham Gund Director. “The Obama Portraits Tour is an opportunity to bring the power of portraiture to different audiences across the nation,” said Kim Sajet, director of the National Portrait Gallery. “Portraiture is incomplete without the viewer and these paintings have elicited responses that range from deep contemplation to pure joy. We are delighted to be able to extend this experience to San Francisco and Boston for a tour spanning eight cities with the nation’s capital included.” |
Fondation Maeght au coeur de l'abstraction
Plus de 65 000 visiteurs cet été à la Fondation Maeght et encore un mois d'exposition pour « Au cœur de l'abstraction » Depuis son ouverture au public le 2 juillet, l'exposition « Au cœur de l'abstraction » présentant plus de 100 œuvres majeures issues de la Fondation Gandur pour l'art et proposant une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980 rencontre un vif succès, à la hauteur de cette collection extraordinaire. L'exposition, présentée jusqu'au 23 octobre, a déjà attiré plus de 65 000 visiteurs en trois mois : une fréquentation conséquente et diversifiée venue également découvrir la programmation estivale proposée par la Fondation Maeght ainsi que le nouveau restaurant Sous les pins, repris en juin par Les Agitateurs, au coeur des jardins de la Fondation. |
Vue de l'exposition Au cœur de l'abstraction - Collection de la Fondation Gandur pour l'art © Roland Michaud |
Riche d'une collection de plus de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght est toujours curieuse et honorée de présenter d'autres collections, parfois peu accessibles au public, comme elle l'a régulièrement fait par le passé. Depuis le 2 juillet et jusqu'au 23 octobre, elle présente ainsi plus de 100 œuvres issues de la Fondation Gandur pour l'art et propose une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980. Sous le commissariat de Yan Schubert, conservateur de la Fondation Gandur pour l'art, l'exposition retrace les différentes formes que revêt l'abstraction au sortir de la Seconde Guerre mondiale, alors que Paris redevient une place forte de la création et reprend sa place de capitale culturelle mondiale. Les œuvres de Hans Hartung, de Martin Barré, de Simon Hantaï ou de Pierre Soulages montrent ainsi l'évolution de l'art non-figuratif sur quatre décennies. Dans un parcours thématique et chronologique, l'exposition propose notamment de découvrir l'abstraction lyrique et gestuelle de Georges Mathieu, l'expressionnisme abstrait de Sam Francis ou Joan Mitchell, l'abstraction géométrique de Victor Vasarely, les œuvres cinétiques d'Alexander Calder et de Jean Tinguely, jusqu'à la remise en question de la peinture par le groupe Supports/Surfaces. Les œuvres des années 1980 témoignent par ailleurs du renouvellement que connaît l'art abstrait à cette époque, poursuivant les expérimentations intenses des années précédentes. |
David Hockney at the Bayeux Tapestry Museum
Artist David Hockney presents “his” Normandy at the Bayeux Tapestry Museum From 22 September 2022 to 23 April 2023 When British artist David Hockney arrived in Normandy in 2019, he became fascinated by the unfolding scenes of the Bayeux Tapestry, and resolved to draw from this inspiration in order to create a large scale narrative, depicting the cycle of seasons. As the world stood still during the successive lockdowns, Hockney depicted in the manner of the Impressionists the effects of light in the Norman skies and the arrival of spring around him. Confined in his typical half-timbered house of the Pays d’Auge, he captured the blossoming of nature and painted its variations with bright and colourful hues using the digital brushes of his IPad – a technology he has been using for the past twelve decade. An exhibition of David Hockney’s famous work “A Year in Normandie” will begin at the Bayeux Tapestry Museum this autumn. The original work, recently presented in the main gallery of the Musée de l’Orangerie in Paris, takes the form of a 90 meter long frieze celebrating the arrival of spring in the Normandy countryside. Painted on an IPad, it was greatly inspired by the thousand-year-old narrative embroidery. From September, the Bayeux exhibition will bring Hockney’s frieze and its muse together in an unprecedented face-à-face, in the form of half scale reproductions of the monumental works shown on the second floor of the museum. This dialogue between the famous embroidery (11th century) and David Hockney’s imposing frieze will allow visitors to immerse themselves in the two narratives simultaneously. Visitors will thus be able to observe and compare the stylised representations of trees in the Tapestry with the fruit trees in the artist’s orchard. “If you look closely, the two masterpieces, with admittedly very different artistic techniques, immortalise a specific moment in time. Both freeze-frame a conquest: that of a Norman Duke in England in the 11th century for one, and that of nature in Normandy and its constant renewal regardless of human turmoil for the other,” explains Antoine Verney, curator of the Museums of Bayeux. Images: (1) David Hockney, A Year in Normandie (detail), composite iPad painting, © David Hockney (2) Tapisserie de Bayeux, XIème siècle © Bayeux Museum |
LE MUSEE D'ART CLASSIQUE DE MOUGINS MACM FAIT SA RENTRÉE !
Après une saison estivale rythmée par les vacanciers, nous nous tournons vers les enseignants & les enfants qui reprennent le chemin de l'école. Le MACM, de par son concept novateur qui mêle objets des civilisations égyptiennes, grecques & romaines & oeuvres d'artistes majeurs du XVIIème siècle à nos jours, offre un environnement idéal où questionner le monde & appréhender l'histoire des arts. Notre équipe, toujours à l'écoute de vos projets, se réjouit de vous proposer de toutes nouvelles ressources pédagogiques & de vous assister dans la mise en place de nouveaux moments d'échanges & de partage. Pour discuter de votre programme & planifier votre visite, merci de contacter Victoria sur victoriadelgado(at)mouginsmusee.com UN MUSÉE ACCESSIBLE À TOUS Les visites de musées constituent une sortie culturelle conviviale & le MACM s'applique à vous accueillir dans les meilleures conditions possibles. En visites libres ou guidées, les visiteurs de 60 ans & + bénéficient d'un tarif préférentiel & sont invités à profiter d'un moment d'évasion exceptionnel au coeur des civilisations antiques. Histoire, mythologies égyptiennes, grecques & romaines, oeuvres d'art par les artistes les plus illustres sont au coeur de ce parcours accessible à tous. L'offre du pittoresque village de Mougins où il fait bon se promener & déjeuner vous offre de surcroît l'opportunité de prolonger ce moment de bien-être. Stationnement gratuit à l'entrée du village de Mougins. Et si vous ne pouvez pas venir au MACM, alors le MACM vient à votre rencontre ! Bénédicte Montain, Directrice Adjointe du MACM & Géraldine Crevat, conférencière & conceptrice d'une méthode d'accompagnement de développement personnel illustrée par les concepts de la pensée antique, joignent leurs sensibilités pour vous proposer des rencontres à la porté de tous au sein de vos clubs seniors & résidences retraite. Visites virtuelles des collections, mythologies, philosophie & intrigues de la Grèce antique prendront vie dans ces présentations passionnées, dynamiques & interactives. Pour tous renseignements complémentaires, n'hésitez pas à contacter Bénédicte Montain sur benedictemontain(at)mouginsmusee.com |
FONDATION LINDA ET GUY PIETERS EXPOSITION JACQUES HERIPRET B.B. ET BREL DANS MON OBJECTIF
Linda et Guy Pieters ont le plaisir de vous annoncer l'exposition Brigitte Bardot Photo de Jacques Héripret |
MUSEE DU GEVAUDAN
Ouverture du Musée du Gévaudan Une fenêtre sur l'histoire de la Lozère Après deux ans de travaux, le musée du Gévaudan ouvrira ses portes le mardi 18 octobre 2022 à Mende, en région Occitanie. Son accès sera gratuit. Doté d'un fonds de plus de 16 000 pièces, le musée du Gévaudan retrace l'histoire de la Lozère, ancienne province royale du Gévaudan, des premiers témoignages de vie jusqu'à nos jours. Lieu patrimonial inscrit au titre des Monuments historiques, labellisé Musée de France, le musée a été pensé comme un espace de vie, de découverte, de partage, d'échange et de convivialité, ouvert sur le territoire et accessible à tous. |
Musée du Gévaudan © Ville de Mende |
MAM Rio abre nova exposição em setembro
17 set 2022 – 26 fev 2023 |
Vem aí Atos de revolta: outros imaginários sobre independência, a nova exposição do Museu de Arte Moderna do Rio de Janeiro. O bicentenário da Independência do Brasil oportuniza repensar esse processo histórico. Atos de revolta foca em uma série de levantes, motins e insurreições que antecederam aquele momento ou que ocorreram nas décadas subsequentes, durante o Primeiro e o Segundo Reinado e o período regencial. Com o objetivo de abordar os diversos imaginários de país então esboçados, a mostra faz referência à Guerra Guaranítica (1753-56), à Inconfidência Mineira (1789), à Revolução Pernambucana (1817), à Independência da Bahia (1822), à Cabanagem (1835-40), à Revolução Farroupilha (1835-45), à Revolta de Vassouras (1839) e à Balaiada (1838-41), entre outras. Artistas brasileiros, de gerações e geografias diversas, foram convidados a pensar sobre essas narrativas. Ao abordar os conflitos do sistema colonial, a exposição revela as contradições da historiografia brasileira, que produziu apagamentos de personagens determinantes, sobretudo de populações negras, indígenas e mulheres. Os trabalhos apresentados respondem a cinco eixos conceituais que oferecem chaves de leitura para determinados acontecimentos: a figura do herói e a posição de liderança política; as construções simbólicas (bandeiras, hinos, brasões); os modos de organização e sua relação com sistemas de direitos, a definição de territórios e os processos de produção e circulação de valor. |
Oskar Kokoschka Musée d'Art Moderne de Paris
Oskar Kokoschka Exposition : 23 septembre 2022 - 12 février 2023 Le Musée d’Art Moderne de Paris présente la première rétrospective parisienne consacrée à l’artiste autrichien Oskar Kokoschka (1886-1980). Retraçant sept décennies de création picturale, l’exposition rend compte de l'originalité dont fait preuve l’artiste et nous permet de traverser à ses côtés le XXe européen. Peintre, mais aussi écrivain, dramaturge et poète, Oskar Kokoschka apparaît comme un artiste engagé, porté par les bouleversements artistiques et intellectuels de la Vienne du début du XXe siècle. Par sa volonté d’exprimer l’intensité des états d’âmes de son époque, et un talent certain pour la provocation, il devient pour la critique l’enfant terrible de Vienne à partir de 1908 où soutenu par Gustav Klimt et Adolf Loos, il inspire une nouvelle génération d’artistes, parmi lesquels Egon Schiele. Portraitiste de la société viennoise, Kokoschka parvient à mettre en lumière l'intériorité de ses modèles avec une efficacité inégalée. Ébranlé par sa rupture avec la compositrice Alma Mahler avec qui il entretient une relation tumultueuse entre 1912 et 1914, Kokoschka s’engage dans l’armée au déclenchement de la Première Guerre mondiale. Il sera gravement blessé à deux reprises. Il enseigne ensuite à l’Académie des Beaux-Arts de Dresde, où il recherche de nouvelles formes d’expressions picturales, en contrepoint des mouvements contemporains tels que l’expressionnisme, la Nouvelle Objectivité et l'abstraction. Voyageur infatigable, il entreprend dans les années 1920 d’incessants périples en Europe, en Afrique du Nord et au Moyen Orient. Sa fragilité financière l’oblige à revenir à Vienne, qui connaît dès le début des années 1930 d’importants troubles politiques, le contraignant à partir pour Prague en 1934. Qualifié par les nazis d’artiste « dégénéré », ses oeuvres sont retirées des musées allemands. Kokoschka s’engage alors pleinement pour la défense de la liberté face au fascisme. Contraint à l’exil, il parvient à fuir en Grande-Bretagne en 1938 où il prend part à la résistance internationale. |
ART PRIZE PALLAVICINI
Venerdì 9 settembre 2022 ore 11.00 Palazzo Pallavicini, nel salone delle feste, inaugura la stagione autunnale con l'apertura al pubblico e la conferenza stampa della prima edizione del Premio APP ART PRIZE PALLAVICINI a cura di Claudia Andreotta e Francesca Bogliolo in collaborazione con Pallavicini srl. La mostra App in questa prima edizione ha ricevuto moltissime candidature di Artisti provenienti da tutto il mondo, tra i quali si sono contraddistinti gli Artisti vincitori che esporranno le proprie opere dal 9 al 18 settembre. Il tema "la vita intesa nella sua dimensione intima e collettiva, in relazione allo spazio e al tempo" L'esperienza delle avanguardie storiche in Europa non solo ha trasformato completamente i linguaggi espressivi, ma ha anche abbattuto in modo definitivo la rigida distinzione tra l'arte intesa come puro fenomeno estetico, cristallizzato in canoni ideali, e la vita. Da quel momento, infatti, qualsiasi corrente artistica si pone non solo come innovatrice nel contesto di accademie e musei, ma come portatrice di una volontà di intervento globale: non si "riveste" il reale con uno "stile", ma si procede secondo una Weltanschauung (concezione della vita) che da visione diventa metodo per rifondare l'urbanistica, l'industria, l'istruzione, la moda, persino l'alimentazione, qualunque aspetto della società. L'estetica si unisce all'etica, l'arte alla vita. Poiché il dibattito artistico odierno è ancora innegabilmente debitore della rivoluzione delle avanguardie, il tema proposto dalla prima edizione del premio APP Art Prize Pallavicini risulta ancora di stringente attualità, tanto da aver richiamato numerosi artisti italiani e internazionali: la Vita e come l'Arte la influenzi e ne sia influenzata con l'invito a misurare la vita intesa nella sua dimensione intima e collettiva, in relazione allo spazio e al tempo, nelle sue diverse forme ed espressioni, dove quello che conta è il percorso dell'opera e dell'Artista che l'ha concepita. In un caleidoscopio di soluzioni linguistiche (dalla nitida narrativa alle strutture aniconiche, all'iperrealismo) e tecniche (pittura, arazzo, fotografia, assemblaggio...) le opere selezionate affrontano ogni possibile aspetto del vivere, rappresentando l'uomo e i suoi stati d'animo (dolore, inquietudine, serenità...), il suo guardare alla realtà con ironia, con senso di attesa o con la volontà di andare anche oltre tramite un anelito spirituale; per molti artisti la vita trascorre attraverso gli oggetti del quotidiano, che da banali strumenti d'uso si fanno portatori della lirica dell'esistere. Ricorre frequentemente anche la ricerca sul rapporto consapevole con la natura e con l'ambiente, sull'intervento in essi dell'uomo (dalle armonie dell'architettura, all'invadenza dell'industria e della tecnologia), sulla città come luogo privilegiato dell'aggregazione. Non manca tuttavia l'eterno incanto per le bellezze naturali, ritratte nella loro delicata opulenza e indagate sia nelle microscopiche evoluzioni formali della loro costituzione chimico-matematica sia nell'incalcolabile grandezza dell'universo. Un infinito che l'uomo ha tentato di imbrigliare con la geometria, di trasformare con l'ingegneria, di armonizzare con la musica (tutte discipline variamente raffigurate): ma il reale evolve costantemente e l'unico modo per fermare in un attimo infinitesimale questo inarrestabile fluire è l'arte con la sua essenza di doppia riflessione dinamica. Non si tratta solo infatti di un pensiero temporaneo dell'artista fissato in un'opera, ma di tutto il flusso di idee, interrogativi, scoperte che essa può generare nell'osservatore, dell'incontro tra l'arte e la vita e di come (citando nuovamente il testo del bando del premio) l'Arte la influenzi e ne sia influenzata. |
Agnès Varda Le Centre d’art La Malmaison et Villa Domergue Cannes
Agnès Varda deux expositions à Cannes 8 juillet – 18 septembre 2022 Agnès Varda. Du 8 juillet au 20 novembre 2022 au Centre d’art la Malmaison et du 8 juillet au 18 septembre à la Villa Domergue, Rosalie Varda, directrice artistique et co-commissaire de l’exposition avec Hanna Baudet, directrice du Pôle d’Art Contemporain de Cannes, met à l’honneur l’univers d’Agnès Varda, dans la ville même qui l’a célébrée pour sa filmographie foisonnante, à travers une exposition estivale autour de la mer, de la plage et des cabanes, thèmes récurrents dans son travail de cinéaste et d’artiste plasticienne. |
Agnès Varda sur le tournage du film Les Créatures (1965). Photographie : Marilù Parolini © ciné-tamaris |
Au cœur de l'abstraction Fondation Maeght
Hans Hartung, T 1987-H3, T 1987-H4, 10 mars 1987 (1) |
Au cœur de l'abstraction Exposition du 2 juillet au 20 novembre 2022 Riche d'une collection de plus de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght est toujours curieuse et honorée de présenter d'autres collections, parfois peu accessibles au public, comme elle l'a régulièrement fait par le passé. En cet été 2022, elle dévoile du 2 juillet au 20 novembre près de 120 œuvres de la Fondation Gandur pour l'Art (Genève) et propose une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, alors que nombre d'artistes européens exilés aux États-Unis reprennent le chemin de la France, Paris redevient une place forte de la création et reprend sa place de capitale culturelle mondiale. Une soif de liberté vissée au corps ainsi qu'un besoin impérieux de repenser la peinture après les années de guerre, des artistes du monde entier retrouvent leurs ateliers abandonnés durant l'occupation allemande et participent à une période d'effervescence créatrice, qu'elle soit artistique, littéraire ou cinématographique. Si les brèches ouvertes par les avant-gardes de la première moitié du XXe siècle restent un ferment important après-guerre, l'art abstrait se renouvelle, de l'expression la plus gestuelle aux questionnements sur la matière, les supports et les techniques. |
MHAB-Musée d'Histoire et d'Art de Bormes
Une magnifique bâtisse en pierres de Bormes qui abrite une collection d'oeuvres de qualité et des expositions évènementielles Installé depuis 1985 dans une magnifique bâtisse du 17ème siècle au cœur du village medieval, le musée Arts & Histoire créé en 1926 par le peintre Emmanuel-Charles Bénézit est aujourd’hui géré par le service culturel de la municipalité et bénéficie du label Musées de France. Le musée abrite une très belle collection de peintures et sculptures des 19ème et 20ème siècles parmi lesquelles les œuvres de Bénézit, Cross, Van Rysselberghe, Peské, Rivière… Des expositions temporaires de peintures, sculptures et photos y sont organisées d’avril à octobre. Le musée participe chaque année à la Nuit Européenne des Musées. Conçu en pierre du pays, l’édifice inscrit à l’inventaire des sites se distingue par son impressionnant plafond à caissons. Appartenant auparavant à l’Avocat Général de la Molle, il était devenu en 1754 la Maison commune qui abritait en même temps l’école de garçons, les séances du Conseil municipal, la prison et le tribunal avant de devenir maison particulière au début du 19ème siècle. Le bâtiment a été rénové avec la participation de l’association « Sauvegarde du Vieux-Bormes » créée par le peintre Georges-Henri Pescadère. Le 22 octobre 2022, le MHAB - Musée d’Histoire et d’Art de Bormes Les Mimosas a rouvert ses portes et dévoilé sa nouvelle expérience unique et spectaculaire en réalité augmentée qui vous plongera dans 2400 ans d’histoire de la ville et dans les collections de Bormes les Mimosas ! Au MHAB-Musée d'Histoire et d'Art de Bormes les Mimosas, la réalité augmentée est mise au service de l'Histoire. Pour la première fois, un musée de France propose une exposition permanente entièrement conçue autour de ses collections et de la réalité augmentée. Garant d'une collection d'art datant de la fin du XIXe à nos jours et d'un fonds historique local, le musée de Bormes propose un voyage immersif au cœur des 2400 ans d'histoire de la ville. À l'aide de la tablette HistoPad, voyagez à travers les époques et découvrez les reconstitutions au réalisme saisissant, réalisées par l'entreprise Histovery. L'Histopad, tablette tactile, est remis à chaque visiteur dès l'entrée pour parcourir l'exposition permanente, présentée dans les niveaux supérieurs du musée. Chaque station est une véritable fenêtre sur un événement passé et est mis en parallèle de notre collection. A ne pas manquer également, les expositions temporaires du musée, son jardin intimiste et sa terrasse panoramique ! Horaires: - Le MHAB est ouvert toute l'année : www.musee-bormes.com - HORAIRES D'HIVER (du 1er octobre au 30 avril) : du mercredi au dimanche de 11h à 18h. Vacances scolaires toutes zones : du mardi au dimanche de 10h à 18h. - HORAIRES D'ÉTÉ (du 1er mai au 30 septembre) : du mardi au dimanche de 10h à 19h. - Le musée est ouvert durant les jours fériés, même ceux tombant un lundi ou mardi (sauf le 1er janvier, le 1er mai et le 25 décembre) |
Inauguration de la Fondation Hartung-Bergman le 7 mai 2022
Créée en 1994 à Antibes dans la villa-atelier d’Hans Hartung et Anna-Eva Bergman, figures incontournables de l’art moderne, la Fondation Hartung-Bergman sera inaugurée en mai 2022 après deux ans de chantiers de construction et d’aménagement. Ceux-ci ont permis d’inventer des modalités de visites dans ses espaces et d’ouvrir enfin au public cet ensemble architectural remarquable inscrit au patrimoine du 20e siècle. Ces nouveaux espaces de visite comprennent désormais un bâtiment d’accueil avec boutique et restauration rapide, un parc d’oliviers, des terrasses, des galeries d’expositions, des ateliers réhabilités, des salles de projection. Le 7 mai 2022 sera inaugurée dans ce cadre la première exposition in situ « Les archives de la création ». En quelques chiffres, ce sont désormais 1500 mètres carrés de jardin, 500 mètres carrés de terrasse, et 600 mètres carrés de surfaces d’exposition, médiation et d’atelier qui sont accessibles et offrent une immersion dans un lieu extraordinaire par la variété de ses patrimoines : ses bâtiments, sa végétation, ses oeuvres, ses archives. Le tout a été adapté en vue de pouvoir accueillir au mieux le public PMR. Mais la Fondation inaugure aussi en 2022 son centre de recherche dans la partie « villa ». Il conduira des programmes par cycle de deux ans. Le premier sera consacré à la thématique « sciences et abstractions » ; il permettra aux chercheurs de bénéficier de conditions de travail exceptionnelles inspirées par les institutions les plus soucieuses d’une réception idéale, sinon « utopique », comme le Getty Center ou la Villa Médicis qui ont servi de sources d’inspiration. La Fondation qui n’ouvrait ses portes au public que de manière exceptionnelle, exclusivement sur réservation et sous forme de visite guidée, et qui travaillait surtout à la promotion de ses artistes hors-les-murs, connaît ainsi, après 28 ans d’innombrables projets, une toute nouvelle phase de son existence. Ainsi, grâce à la construction d’un nouveau bâtiment d’accueil conçu par l’architecte Cristiano Isnardi et ces abondants travaux, la Fondation pourra présenter chaque année une grande exposition temporaire consacrée à la vie et l’oeuvre d’Anna-Eva Bergman et de Hans Hartung. Enfin, la Fondation est soucieuse de son implantation locale et, à ce titre, proposera un kiosque « Chez Marcelle » tenu par celle qui est depuis 1973 cuisinière dans les lieux, d’abord auprès de Hartung et Bergman et aujourd’hui pour le compte de la Fondation. Elle servira sa spécialité de la région faite maison : la fameuse pissaladière. |
Ruth Gurvich Aux lisières Exposition Maison des Arts Châtillon
Nadège AZZAZ, La Maire de Châtillon Maison des Arts Par un savant truchement de nos sens, Ruth Gurvich entreprend à chacune de ses pièces d’interroger notre rapport aux objets et à la culture. On entre dans l’une de ses expositions comme dans un lieu connu et habité d’éléments maintes fois observés, admirés. A y regarder de plus près, un hiatus surgit : cette tasse que l’on pensait en porcelaine fine n’est que papier, cette moulure florale que l’on croyait entourer le grand miroir du salon longe le sol pour mieux rejoindre le jardin. Née en Argentine dans une famille russo-polonaise, Ruth Gurvich commence des études d’architecture pour ensuite se tourner vers les beaux-arts, qui la conduiront jusqu’à Paris. Précision, netteté et géométrie sont mis au service d’une réflexion sur la tradition et la permanence des choses. L’étude des arts appliqués en est le prétexte. |
La Fondation Gandur pour l'Art
La Fondation Gandur pour l'Art a été créée en 2010 par Jean Claude Gandur afin de rendre accessible à un large public ses collections d'envergure internationale. Basée à Genève (Suisse) et reconnue d'utilité publique, la Fondation s'emploie à préserver, documenter, enrichir et exposer ses collections dans des institutions de renom en Suisse et à l'étranger. Jean Claude Gandur « Issu d'une famille sensible à l’art, j’ai eu la chance de le côtoyer depuis l’enfance et ainsi de me familiariser aux cultures européennes, orientales ou sud-américaines. La démarche, suivie tout au long de ma vie, et celle désormais de la Fondation, est nourrie par trois motivations : le goût de l’art, l’envie de développer des collections et le désir de les partager. Y a-t-il plus belle perspective que celle de soumettre ses choix à l’appréciation des autres, de permettre à tous de voir et d’admirer des œuvres uniques, réunies dans une quête esthétique et intellectuelle constante ? |
L’âme primitive s’expose au Musée Zadkine Par Martine Manfré Itzinger
Musée Zadkine, Exposition du 29 septembre 2021 au 27 février 2022 Ce n’est pas la première fois qu’un musée se penche sur la question du primitivisme dans l’art et le musée Zadkine remet la question à l’ordre du jour. Le sujet est judicieusement abordé non seulement au regard des oeuvres de Zadkine et de quelques uns de ses contemporains mais aussi des jeunes artistes émergents dont les oeuvres prennent place au fil d’un joli parcours, auprès de sculptures choisies du maître des lieux. C’est donc une mise en écho entre des artistes d’époques différentes et, par conséquent, au vocabulaire plastique riche et varié, qui tente de répondre aux interrogations et nous conduit vers une réflexion sur le monde au travers de l’art. Pour la plupart des artistes exposés, qu’ils soient d’hier ou d’aujourd’hui, le constat tourne autour d’une vision tragique et généralement critique du monde contemporain. De ce fait, tous ou presque remettent en question la direction que prend la société au regard de leur présent et de ce qu’ils pressentent être le futur. Ils se positionnent du point de vue sociétal autant que du point de vue de l’art et leur création est clairement définie comme un moyen d’expression puissant, destiné à comprendre le monde et lui faire prendre une direction moins tragique. Mais l’art peut il changer le monde? Depuis le Contrat social de Rousseau jusqu’aux réflexions les plus récentes, le primitivisme, si on le considère comme un retour aux sources, a souvent été considéré par les artistes comme un bon compromis pour tout reconstruire. Née d’une forme de pragmatisme, l’idée qui en ressort est qu’il convient de se retourner vers les leçons du passé pour construire un art nouveau, plus apte à exprimer les préoccupations de chaque époque. Non dénuées d’une certaine audace, les avant gardes du XXème siècle vont suggérer un idéal artistique simple, tant dans le sujet que dans le processus de création, et un retour aux sources de l’art, une approche primitiviste qui va s’avérer constituer un élément essentiel pour créer l’art moderne en symbiose avec le monde moderne. Il faut prendre garde à ne pas trop rapidement associer le terme ‘’primitif ‘’ à ce que l’on nommait abusivement les sociétés non évoluées. D’ailleurs, qu’est ce qu’une société évoluée? Par rapport à qui? A quoi? Nous laisserons ces interrogations aux philosophes, sociologues et anthropologues et nous nous focaliserons, quant à nous, au primitivisme tel qu’il a été abordé du point de vue de l’art. |
NIKI DE SAINT PHALLE Fondation Linda et Guy Pieters
Linda et Guy Pieters ont le plaisir de vous inviter à visiter l'exposition NIKI DE SAINT PHALLE 18 décembre 2021 - 6 mars 2022 Fondation Linda et Guy Pieters Place des Lices - 28 Boulevard Vasserot – 83990 Saint-Tropez www.fondationlgp.com - Fondation Linda et Guy Pieters <info(at)fondationlgp.com> +33 4 22 84 01 89 ouvert tous les jours de 11h à 17h dimanche de 11h à 13h30 fermé le dimanche après-midi et lundi |
Jeff Koons Puppy Guggenheim Bilbao Museoa
Jeff Koons rose to prominence in the mid-1980s as part of a generation of artists who explored the meaning of art in a media-saturated era and the attendant crisis of representation. Drawing on the visual language of advertising, marketing, and the entertainment industry and with the stated intent to "communicate with the masses," Koons tested the boundaries between popular and elite culture. His sculptural menagerie includes Plexiglas-encased Hoover vacuum cleaners, basketballs suspended in glass aquariums, porcelain homages to Michael Jackson and the Pink Panther, and glass depictions of himself coupled with his then-wife Ilona Staller, also known as La Cicciolina (a former adult-film star and member of the Italian parliament). Extending the legacy of Marcel Duchamp's readymades, and integrating references to Minimalism and Pop, Koons presents art as a commodity that cannot be placed within the hierarchy of conventional aesthetics. With Puppy, Koons engaged both past and present, employing sophisticated computer modeling to create a work that references the 18th-century formal European garden. A behemoth West Highland terrier carpeted in bedding plants, Puppy employs the most saccharine of iconography—flowers and puppies—in a monument to the sentimental. Imposing in scale, its size both tightly contained and seemingly out of control (it is both literally and figuratively still growing), and juxtaposing elite and mass-cultural references (topiary and dog breeding, Chia Pets and Hallmark greeting cards), the work may be read as an allegory of contemporary culture. Koons designed this public sculpture to relentlessly entice, to create optimism, and to instill, in his own words, "confidence and security." Dignified and stalwart as it stands guard at the museum, Puppy fills viewers with awe, and even joy. Sponsored by: Seguros Bilbao |
Artist Thomas Hirschhorn Bombas Gens Centre d’Art
Artist Thomas Hirschhorn starts his critical workshop “Energy = Yes! Quality = No!” at Bombas Gens Centre d’Art From October the 27th to November the 21st, everyone, not only art enthusiasts, are welcome to participate in the critical workshop attending one of the two daily sessions conducted from Wednesday to Sunday. The workshop, open to the public and free of charge, is a work of art in itself and it will constitute a unique and unrepeatable experience. Under the artistic direction of Sandra Guimarães, it is the first project from the series Presence and Productionthat the artist does in Spain. Valencia, 28th October 2021. After visiting more than 50 organisations with social, cultural, educational and neighbourhood-oriented purpose throughout three Fieldworks, and inviting the residents of the city of Valencia to participate, artist Thomas Hirschhorn will start his critical workshop “Energy = Yes! Quality = No!” at Bombas Gens Centre d’Art. It will take place from October the 27th to November the 21st, from Wednesdays to Sundays, having the chance of choose between two daily sessions in the morning and in the evening. Curated by Sandra Guimarães, it is the first project from the series Presence and Production that the artist does in Spain. In this action, considered as a universal and inclusive artwork, each one of the participants will contribute to the workshop individually with a work made by them (a text, a song, a sculpture, a drawing, etc). Apart from this main requirement, the attendees will have to commit themselves to participate actively throughout the 3 hours that the session will last. This way, each one will be able to create something and be ready to be judged and trust their criterion. Each participant’s contribution is discussed collectively and equally. The work will be judged through questions and debates such as “Is there implication?”, “Is it an event?”, “Are there encounters?”, “Does it create a new term in the arts?”. The critical workshop will have a translator, therefore, all the sessions will be conducted both in English and Spanish. |
Le Centre des monuments nationaux présente Monument jeu d'enfant
Un week-end d'activités et de jeux À l'occasion de la 23e édition de "Monument jeu d'enfant", le Centre des monuments nationaux (CMN) convie enfants et parents à célébrer les monuments en famille, les 23 & 24 octobre prochains, lors d'un week-end d'activités ludiques et pédagogiques. UN RENDEZ-VOUS AVEC LES MONUMENTS Les 23 et 24 octobre prochains, petits et grands sont attendus dans 52 monuments du Centre des monuments nationaux partout en France. Palais, châteaux, sites archéologiques et abbayes se découvriront sous un nouveau regard, entre apprentissage et émerveillement. À l'occasion de "Monument jeu d'enfant", durant deux jours, des formes inédites et ludiques d'appropriation des monuments seront proposées aux enfants de 5 à 12 ans et leurs familles : jeux de pistes, enquêtes, ateliers d'arts plastiques, de musique, de danse, lectures de contes ou encore parcours multisensoriels. UNE PROGRAMMATION RICHE ET VARIÉE À DESTINATION DU JEUNE PUBLIC Déambulation dans les jardins, jeux d'adresse, parcours contés ou encore concerts et jeux coopératifs : l'ensemble des monuments participant à la nouvelle édition de "Monument jeu d'enfant" concoctent aux petits et aux plus grands, un week-end riche en festivités ! Les enfants et leurs familles sont invités à se parer de leurs plus beaux atours au grand bal du château d'Aulteribe, à mener l'enquête sur l'incroyable disparition des joyaux de la Couronne à travers un jeu de piste sonore et visuel à l'Hôtel de la Marine, à fêter le 400e anniversaire de Jean de la Fontaine en faisant revivre ses personnages les plus célèbres au château de Maisons à Maisons-Laffitte. Ils pourront également s'initier aux techniques de fouilles archéologiques au château d'Angers, à la création de céramique à l'abbaye de Cluny et participeront à une oeuvre collective à l'abbaye du Mont-Saint-Michel : autant d'invitations à découvrir les monuments, en s'amusant ! |
Gustave Caillebotte FONDATION PIERRE GIANADDA MARTIGNY SUISSE
Gustave Caillebotte, L’exposition à laquelle nous invitent la Fondation Pierre Gianadda et Daniel Marchesseau, commissaire, a été reportée d’un an en raison de la pandémie qui nous a tous frappés. Elle sera présentée du 18 juin au 21 novembre 2021. La Fondation Pierre Gianadda consacre sa grande exposition d’été au peintre trop mal connu, Gustave Caillebotte (1848-1894). Organisée avec Daniel Marchesseau, conservateur général honoraire du Cet hommage à Gustave Caillebotte, en forme de rétrospective, réunit quelque 90 toiles peintes entre 1870 et 1894 : un ensemble rare révélé au public grâce aux prêts essentiels consentis par plusieurs |
Lucian Freud Tate Liverpool
Lucian Freud: Real Lives This summer, Tate Liverpool will stage a significant presentation of Lucian Freud (1922 - 2011) artworks, the first in the North West in over thirty years. Widely considered a master of modern portraiture, Freud was an artist who continued to expand his exploration of paint throughout his career. This focused exhibition will feature some of the artist’s most iconic paintings and etchings as well as photographs that provide an intimate glimpse into Freud’s life. Lucian Freud: Real Lives concentrates on the artist’s sitters who were often friends and family, creating clusters of portraits of those he captured over time, and thereby illuminating Freud’s technical virtuosity and stylistic development. Deeply private and guarded, it is through his work that we get to know Freud the man, and this exhibition tracks the personal and artistic changes he went through, revealing the different people that came in and out of his life over a prolific career spanning more than 60 years. Freud painted unapologetic and frank celebrations of the human form, with a focus on physicality that had rarely been seen before. The exhibition will include some of his most celebrated works, including portraits of sitters such as performance artist Leigh Bowery, his first wife Kitty Garman, his friend and long-time studio assistant, the painter David Dawson, and his mother, Lucie Freud. Freud’s representations of people either in all the vulnerability of nakedness or in a transfixing, almost intrusive proximity, emphasise the subject’s humanity and he is now regarded as one of Britain’s great realist painters. The show also provides a rare opportunity to bring together all of the Freud works held within the Tate collection, including Girl with a Kitten 1947 and Girl with a White Dog 1950–1. |
Journées Juridiques du Patrimoine
Pour cette 21ème édition, les Journées Juridiques du Patrimoine reviennent le 15 novembre 2021 à la Maison du Barreau.Reconnue formation continue obligatoire (FCO), la journée se déroule en deux temps, afin de réaliser une rétrospective de l'année juridique écoulée avant de se concentrer sur un thème précis. Sur chaque sujet interviennent successivement parlementaires, avocats, élus, représentants des administrations et des grandes associations concernées, tout en favorisant des échanges avec la salle. Les conférences du matin seront consacrées à l'actualité législative récente qui touche au patrimoine et au paysage. Seront notamment discutés la loi Climat et résilience et le projet de loi 3DS. De plus, le sujet des éoliennes sera approfondi. Cette année encore, nous organiserons la 5ème édition du prix Pierre-Laurent Frier. Le prix, remis en fin de matinée, vise à récompenser les meilleurs mémoires des étudiants de Master 2 en droit du patrimoine matériel et immatériel, culturel et paysager, évalués par un jury composé d'universitaires. Quant au thème de l'après-midi, nos intervenants essaieront de répondre à la question suivante : « le droit pénal au secours du patrimoine et de l'environnement ? » afin de préciser la manière dont le droit pénal peut être utilisé pour faire respecter le droit du patrimoine et de l'environnement. Nous évoquerons également la question centrale du volontarisme du maire en amont et en aval de la sanction. |
Centenaire de la naissance d’Ernst Beyeler
Communiqué de presse, 16 juillet 2021 Le 16 juillet 1921 naissait Ernst Beyeler, fondateur de la Fondation Beyeler. En tant qu’un des galeristes les plus influents de son temps, il a constitué avec son épouse Hildy l’une des plus importantes collections d’art moderne au monde, hébergée depuis 1997 à la Fondation Beyeler dont le bâtiment a été conçu par l’architecte italien Renzo Piano. En tant que co-fondateur d’Art Basel, Ernst Beyeler a fortement contribué au rayonnement culturel international de la ville de Bâle. Ernst Beyeler est né le 16 juillet 1921 à Bâle. Pendant sa formation commerciale et ses études d’économie et d’histoire de l’art à l’Université de Bâle, il travaille pour le magasin de livres rares et anciens « La Librairie du Château d’Art » d’Oskar Schloss à Bâle, qu’il reprend en 1945 et rebaptise « Galerie Beyeler » en 1952. Plus de cinquante années durant, Ernst et Hildy Beyeler constituent l’une des plus importantes collections d’art moderne. Aujourd’hui, la collection de la Fondation Beyeler compte plus de 400 oeuvres d’art moderne et contemporain. Elle s’étend de l’impressionnisme et post-impressionnisme, avec des oeuvres de Paul Cézanne, Vincent van Gogh et Claude Monet, en passant par le cubisme, avec Pablo Picasso (qui occupe une place centrale dans la Collection Beyeler) et Georges Braque, à des groupes d’oeuvres majeurs de Joan Miró, Piet Mondrian, Henri Matisse, Alberto Giacometti et Paul Klee. L’expressionnisme américain est fortement représenté avec des oeuvres de Mark Rothko et Barnett Newman. Depuis, l’envergure et la réputation de la collection ne cessent de croître grâce à de nouvelles acquisitions d’artistes de premier plan comme Louise Bourgeois, Marlene Dumas, Jenny Holzer, Roni Horn, Gerhard Richter, Philippe Parreno ou Wolfgang Tillmans. La qualité exceptionnelle de la collection est actuellement donnée à voir dans la présentation « Natureculture », et ce jusqu’au 21 septembre. |
FONDATION BEYELER EXPOSITION CLOSE-UP
CLOSE-UP Berthe Morisot, Mary Cassatt, Paula Modersohn-Becker, Lotte Laserstein, Frida Kahlo, 19 septembre 2021 – 2 janvier 2022 L’exposition présentera des œuvres de neuf femmes artistes dont l’œuvre occupe une position éminente dans l’histoire de l’art moderne depuis 1870 jusqu’à aujourd’hui. C’est l’époque où, pour la première fois, il devint possible à des femmes en Europe et en Amérique de développer une activité artistique professionnelle sur une large base. Au centre de l’exposition figurent des artistes qui ont en commun leur intérêt pour la représentation d’êtres humains, le portrait dans ses différentes déclinaisons et l’autoportrait. La Française Berthe Morisot et l’Américaine Mary Cassatt, toutes deux actives dans les années 1870 et 1880 à Paris, qui était alors la capitale de la création artistique la plus avancée; l’Allemande Paula Modersohn-Becker de 1900 à 1907 entre la petite ville provinciale de Worpswede, dans le Nord de l’Allemagne, et la métropole parisienne; l’Allemande Lotte Laserstein de 1925 à 1933 dans le Berlin de la République de Weimar; la Mexicaine Frida Kahlo depuis la fin des années 1920 jusque vers 1950, à Mexico City, pendant la période mouvementée de la consolidation de la révolution mexicaine; l’Américaine Alice Neel depuis la fin des années 1920 jusqu’au début des années 1980, d’abord à Cuba, puis à Manhattan, de Greenwich Village au Upper West Side en passant par Spanish Harlem; Marlene Dumas, née en Afrique du Sud, qui a grandi au Cap au plus fort de l'Apartheid, et vit depuis 1976 à Amsterdam; en même temps l’Américaine Cindy Sherman à New York, pôle occidental d’une nouvelle génération d’artistes contemporains; et enfin l’Américaine Elizabeth Peyton depuis les années 1990, entre New York et l’Europe de l’Ouest. |
Centre Pompidou Elles font l'abstraction
Elles font l'abstraction Commissaire générale : L’exposition « Elles font l’abstraction » présentée au Centre Pompidou de la réouverture jusqu'au 23 août 2021, propose une relecture inédite de l’histoire de l’abstraction depuis ses origines jusqu’aux années 1980, articulant les apports spécifiques de près de cent dix « artistes femmes ». La commissaire générale Christine Macel et la commissaire associée pour la photographie, Karolina Lewandowska, revisitent cette histoire, tout en mettant en évidence le processus d’invisibilisation qui a marqué le travail des «artistes femmes», à travers un parcours chronologique mêlant arts plastiques, danse, photographie, film et arts décoratifs. Les artistes y sont présentées, selon les termes choisis pour le titre, comme actrices et cocréatrices à part entière du modernisme et de ses suites. L’exposition présente les tournants décisifs qui ont marqué l’histoire de l’abstraction tout en remettant en cause ses canons esthétiques, sans pour autant en redéfinir un. Il s’agit aussi de dépasser l’idée d’une histoire de l’art conçue comme une succession de pratiques pionnières. En redonnant une place aux « artistes femmes » au sein de cette histoire, l’exposition en démontre la complexité et la diversité. Elle opère tout d’abord une incursion inédite dans le 19e siècle avec la redécouverte de l’oeuvre de Georgiana Houghton datant des années 1860, bouleversant la chronologie des origines de l’abstraction à partir de ses racines spiritualistes. Elle valorise ensuite des figures phares par de mini-monographies mettant en avant des artistes peu montrées en Europe ou injustement éclipsées. Une attention toute particulière est donnée aux contextes spécifiques qui ont entouré, favorisé ou au contraire limité la reconnaissance des « artistes femmes » – des contextes à la fois éducationnels, Reférence Image : Saloua Raouda Choucair, |
La Bourse de Commerce Le nouveau musée de la Collection Pinault
Un nouveau lieu pour faire vivre et partager la collection Nouveau musée parmi le réseau de lieux et d’initiatives développés depuis 2006 par François Pinault, la Bourse de Commerce — Pinault Collection propose un point de vue sur la collection d’œuvres contemporaines qu’il rassemble depuis plus de cinquante ans, à travers un programme d’expositions et d’événements. « À la faveur de l’ouverture d’un nouveau lieu de présentation de ma collection à la Bourse de Commerce, au cœur de Paris, une nouvelle étape est franchie dans la mise en œuvre de mon projet culturel : partager ma passion pour l’art de mon temps avec le plus grand nombre. » François Pinault |
LES GIACOMETTI UNE FAMILLE DE CRÉATEURS FONDATION MAEGHT
1. Alberto Giacometti, Portrait de Marguerite Maeght, 1961. Huile sur toile, 130 x 96,5 cm. Collection Adrien Maeght, Saint-Paul-de-Vence © Succession Giacometti (Fondation Giacometti, Paris et ADAGP, Paris) 2021 2. Alberto Giacometti, Le Chien, 1951. Bronze, 47 x 100 x 15 cm. Collection Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence © Succession Giacometti (Fondation Giacometti, Paris et ADAGP, Paris) 2021 |
GIOVANNI, AUGUSTO, ALBERTO, DIEGO ET BRUNO Exposition du 3 juillet au 14 novembre 2021 Du 3 juillet au 14 novembre 2021, la Fondation Maeght propose une première mondiale en réunissant les cinq artistes de l'exceptionnelle famille Giacometti originaire du village suisse de Stampa : Giovanni, Augusto, Alberto, Diego et Bruno Giacometti, cinq artistes aux parcours différents mais entremêlés. Sous le commissariat de Peter Knapp, l'exposition « Les Giacometti : une famille de créateurs » invite à découvrir les talents et les influences artistiques de chacun dans leurs domaines de prédilection : peinture, sculpture, design et architecture. « Évidemment, tout le monde connaît Alberto Cette exposition originale permet de découvrir à travers plus de 300 œuvres l'importance de cette famille dans le tournant de la modernité de la première moitié du XXe siècle. Autour d'Alberto Giacometti, le plus connu de la famille pour ses sculptures emblématiques, les visiteurs pourront découvrir le travail de son père Giovanni, dont les peintures recèlent une puissance chromatique extraordinaire et qui compte, avec Ferdinand Hodler, Cuno Amiet et Félix Vallotton, parmi les peintres phares de la modernité suisse. L'exposition met également en lumière l'œuvre d'Augusto, cousin d'Alberto, précurseur de l'art non figuratif, qui amorce avec ses premiers pastels réalisés à Paris au début du XXe un langage personnel abstrait et coloré ; l'œuvre de ses deux frères, Diego son cadet, l'autre « paire de mains » et modèle de prédilection d'Alberto, qui s'illustra notoirement dans la création de pièces d'arts décoratifs et Bruno, le plus jeune, qui exerça le métier d'architecte et dont la vaste production en fit un représentant majeur de la modernité d'après-guerre en Suisse. La relation intime que chacun d'eux entretient avec leur village natal, Stampa, dans le canton des Grisons en Suisse, devenu aujourd'hui un lieu incontournable de l'histoire de l'art moderne, est mise en exergue tout au long de l'exposition. |
Bombas Gens Centre d’Art llega a PHotoESPAÑA con las series de Rautert y Papageorge
La Fundació Per Amor a l’Art será protagonista en el Círculo de Bellas Artes con White Nights, Timm Rautert, Crazy Horse / Tod Papageorge, Studio 54 de la Colección Per Amor a l’Art. París y Nueva York, retratadas por Timm Rautert y Tod Papageorge respectivamente. PHotoESPAÑA y Bombas Gens Centre d’Art presentan dos series fotográficas que muestran la vida nocturna durante la década de los setenta en estas dos grandes ciudades. La exposición está comisariada por Sandra Guimarães, Vicent Todolí y Julia Castelló. Timm Rautert fotografió el cabaret parisino Crazy Horse en 1976 por encargo de la revista alemana ZEITmagazin. Si bien el encargo consistía en retratar del fundador del cabaret, finalmente se publicaron las fotografías que Rautert había hecho a las bailarinas en el camerino durante su visita. En 1977, un año después de que Rautert fotografiara el Crazy Horse, abrió en Nueva York el mítico club nocturno Studio 54. A pesar de su efímera vida, su fama se disparó a nivel internacional por la cantidad de rostros conocidos que lo frecuentaban, llegando a convertirse en símbolo de la inmoralidad y el libertinaje. Tod Papageorge consiguió acceder a la fiesta de Nochevieja de 1977 para retratar algo más que la ostentación y el glamour, tomando como referencia las imágenes de la vida nocturna parisina de Brassaï en la década de los años 30. Ambos trabajos funcionan como reportajes periodísticos. El lenguaje documental y testimonial de las fotografías experimenta con la carga de la imagen y la información que puede llegar a ofrecer la fotografía. Sus obras reflejan una búsqueda estética propia del momento y plantean un cuestionamiento de la autenticidad o “verdad” del lenguaje fotográfico como reflejo de la realidad. |
Exposition Michel Patrix Une joyeuse liberté de peindre - Mers-les-Bains
Michel Patrix,Une joyeuse liberté de peindre« Pour des artistes tels que Michel Patrix, l'art est une aventure. C'est aussi une expérience vivante. Son activité est désintéressée. Elle se situe sciemment en marge des postulats de l'École de Paris. Elle traduit une volonté de choix qui s'écarte de la norme et une vocation qui échappe totalement à l'emprise de la mode. C'est une activité personnelle et individuelle qui côtoie l'anarchie. Elle n'est concevable que dans un pays libre qui se targue d'ignorer les contraintes esthétiques. Comme la plupart des peintres de sa génération, Michel Patrix subit (ou a subi) la puissante attraction du cubisme, mais il a adopté devant les découvertes de ses prédécesseurs une attitude nouvelle et indisciplinée. » Waldemar George Michel Patrix, Éditions de la Galerie Paul Raffray, 1959. « J'admirais le talent de Michel Patrix, et nous étions nombreux à penser qu'il était le plus doué de nous tous… Il m'épatait beaucoup par sa verve, son éclat, et c'est vrai qu'il était habité par la peinture. » Robert Wogensky - Lettre à Annie Aubrun-Patrix, 6 janvier 1991, extrait des archives de Madame Aubrun-Patrix « Celui qui vécut la peinture comme une aventure compta parmi les jeunes espoirs de l'École de Paris figurative, tout en gardant une totale liberté ancrée dans une vocation qui échappe à l'emprise de toute mode. » Lydia Harambourg - L'École de Paris, 1945-1965 - Dictionnaire des peintres, Éditions Ides et Calendes 1993. Michel Patrix fut défendu par les marchands importants de son temps, Emmanuel David en France et Paul Rosenberg à New York. D’après Emmanuel David[1] qui se reproche d’avoir par inexpérience fait échouer l’opportunité, il aurait d’ailleurs été préféré à Bernard Buffet par Rosenberg. Prix du Salon de la Critique en 50, Prix Opera du Musée des Art décoratifs et Prix de la Ville d’Oran au prix de la jeune peinture en 1949, distingué par la critique dès 43, il est l’ainé du groupe de l’Echelle. Groupe de l’Echelle qu’Eric Mercier[2] présente comme l’emblème d’un mouvement réagissant aux traumatismes de guerre par l’hédonisme et la joie de vivre dans son catalogue de l’exposition « jeune peinture des années 50 » au musée de Clermont Ferrand. Son énergique amour de la liberté et sa volonté délibérée d’incarner sa création, « ma vie et ma peinture sont une seule et même chose, quand le peintre est malade, sa peinture se couche » note-t’il dans son carnet de bord, et son esprit alerte, curieux des avancées scientifiques, philosophiques et sociologiques de son temps a fait de son parcours un phénomène délibérément à part, tout en donnant naissance à une écriture picturale unique. Cette exposition présente son parcours depuis son enfance jusqu’à son décès à Gonneville-sur-Scie en 1973 où lui même, son épouse et de jeunes artisans ont établi le Centre de créativité qui porte son nom avec l’objectif de « promouvoir et diffuser la créativité par l’art ». Ceux qui souhaitent une introduction à cette exposition peuvent s’arrêter là et se reporter aux pages fort bien documentées de Wikipédia et du Musée privé.[1] En regard de l’évolution de notre culture contemporaine, le parcours de l’artiste que fut mon père, indissociable de son époque, de ses amitiés, de ses amours, de ses espérances, de ses tourments, me parait mériter une attention plus soutenue. Cette exposition sera donc l’occasion de publier un témoignage plus complet. Bruxelles, le 18 Mai 2021 Blaise Patrix [1] cliquez sur les liens : https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Patrix/ et https://www.le-musee-prive.com/207-biographies-artistes-contemporains/670-biographie-michel-patrix.html/ [1] cité par Patrick Reynolds [2] Années 1950, l’alternative figurative Editions un,deux…quatre, 2007 |
La Fundació Per Amor a l’Art adquiere Transversal (2020) de Inma Femenía
La Fundació Per Amor a l’Art Inma Femenía, Vicent Todolí, Sandra Guimaraes y Susana Lloret |
Valéncia a 2 de marzo de 2021.- Inma Femenía produjo ex profeso la exposición “Infraleve” para el centro de arte Bombas Gens de la Fundació Per Amor a l’Art (FPAA). Tras su clausura el pasado 31 de enero, la FPAA ha adquirido la obra Transversal, para cerrar el círculo de su acción de mecenazgo: impulsar, exponer, adquirir. Femenía, por su parte, ha donado a la colección los ocho esbozos, que se presentan en forma de cuadro y que representan las distintas partes de la exposic̶ión: Transversal, Liminal, Hold, Black Mirror y Mehr Licht!. Ambas obras pasan a formar parte de la Colección Per Amor a L’Art. Esta colección privada de fotografía y arte contemporáneo está compuesta por más de 2.250 obras de unos 220 autores, tanto nacionales como internacionales. La colección de la Fundació Per Amor a l’Art recibió en 2018 el premio “A” de coleccionismo de la Fundación ARCO. Transversal (2020) es una instalación hecha con PVC, un material que -debido a su ausencia de color es susceptible de hacer tangibles sus intervenciones y resaltar la forma en que las propiedades luz-materia se relacionan ante una mirada condicionada por lo digital. Esta nueva adquisición se suma a otras ya presentes de la artista en la Colección Per Amor a L’Art y, en palabras de la propia artista: “es una gran satisfacción personal, pues me gusta pensar que en un futuro podrá volver a verse en el lugar que fue concebida o en otros espacios de interés debido a su carácter flexible”. |
La Fondation Beyeler et Nordstern Basel présentent Dixon x Transmoderna
Communiqué de presse, le 26 mars 2021 En collaboration avec l’équipe de Transmoderna, la Fondation Beyeler accueillera Dixon, l’un des plus grands noms de la scène électronique, pour une session de mix unique lors de laquelle le DJ streamera en réalité virtuelle dans les locaux du musée. Cet ambitieux projet audiovisuel sera diffusé le 7 avril à 20 heures en partenariat avec la plateforme musicale Beatport et de Denon DJ. Dixon a choisi comme point de départ de cette expérience virtuelle l’architecture ainsi que le parc du musée, qui ont été, à cette fin, modélisés en 3D. Il prendra la forme d’un avatar aux traits hyperréalistes et mixera un set exclusif d’une heure. Tout spécialement pour cette performance, |
Nice Exposition Libres et égales de Sylvia Galmot
Nice, le vendredi 5 mars 2021 En présence de Christian Estrosi, Maire de Nice, Lundi 8 mars 2021 à 11 heures L’égalité des femmes et des hommes est un droit fondamental, valeur essentielle de toute société démocratique. Cependant, trop d’injustices demeurent encore aujourd’hui. Christian Estrosi a engagé la Ville de Nice dans cette bataille contre les discriminations en général et contre les inégalités homme-femme en particulier afin de faire évoluer les mentalités et relever ce défi sociétal. Le thème de cette exposition fait écho à la thématique choisi par l’ONU en 2020 pour la journée internationale des droits des femmes : « Je suis de la génération Egalité : Levez-vous pour les droits des femmes ». L’exposition, composée de 28 portraits de femmes venant d’horizons différents, a été présentée en mars dernier sur les grilles de la cour d'appel à Paris. A Nice, l’exposition met en lumière 28 portraits de femmes : 11 portraits de niçoises engagées localement pour les droits des femmes et 17 portraits de parisiennes issus de la précédente exposition. Sportives, avocates, journalistes, présidentes de réseaux associatifs, femmes de lettres, actrices, philosophes …Certaines sont célèbres, d’autres plus anonymes mais toutes sont engagées dans le combat pour les libertés et la dignité des femmes. La vocation de l’exposition « Libres et Egales » est de transmettre un message de solidarité et d’espoir pour toutes. |
Play a Kandinsky par Antoine Bertin au Centre Pompidou
L’artiste sonore Antoine Bertin poursuit ses expérimentations en ligne et à Paris au Centre Pompidou pour l’hommage “Dans l’intimité de Kandinsky”, en attendant sa résidence à la Diagonale Paris Saclay avec Laboratoire d’Ecologie, Systématique et Evolution (ESE) du CNRS, où il mettra en musique le travail d’archéologie moléculaire du directeur de recherche Juergen Kroymann au mois de septembre prochain. Dans le cadre de l’hommage à Kandinsky du 10 février au 31 décembre 2021 “Dans l’intimité de Kandinsky” au Centre Pompidou, Antoine Bertin et le musicien électronique NSDOS imaginent les possibles interactions entre l’oeuvre de génie abstrait et les disques qu’il écoutait en travaillant. Si son incidence sur l’art abstrait est relativement connu du grand public, l’homme derrière la toile l’est moins. Grâce à la numérisation en haute définition de milliers d’œuvrres et documents d’archives rares (toiles, croquis, esquisses, photographies personnelles, correspondances), cette expérience numérique permet de réunir ses chefs-d’œuvre emblématiques mais aussi de partager ses voyages, découvrir les rencontres qui ont marqué sa vie ou encore approfondir notre connaissance de son don de synesthésie – un phénomène neurologique touchant sa perception sensorielle lui permettant d’associer sons, couleurs et formes. Autant d’éléments fondamentaux pour la compréhension de son œuvre. Cet hommage comporte trois parties. Une monographie en ligne réunit œuvres, photographies, palettes, pinceaux et autres objets lui ayant appartenu. Une « Pocket Gallery » permet de découvrir en réalité augmentée depuis son smartphone ou sa tablette une exposition virtuelle présentant les chefs d’œuvre de Kandinsky. Et “Play a Kandinsky”, cette expérimentation interactive inédite d’Antoine Bertin et NSDOS dont l’ambition est de réinterpréter à l’aune des technologies modernes le don de synesthésie de Kandinsky, en mêlant machine learning et création originale des deux artistes en partenariat avec Google Arts. |
The Metropolitan Museum of Art Exhibition of Magnificent Modern and Contemporary Ceramics
Exhibition of Magnificent Modern and Contemporary Ceramics Celebrates Gift from Shapes from Out of Nowhere: Ceramics from the Robert A. Ellison Jr. Collection celebrates an extraordinary gift to The Met of 125 modern and contemporary ceramics from Robert A. Ellison Jr., given to the Museum in honor of its 150th anniversary. The exhibition will present a selection of over 75 works from this unparalleled collection that charts the evolution of abstraction in clay from the second half of the 20th century through the present. |
La Fondation Maeght rouvre ses espaces extérieurs
La Fondation Maeght est heureuse de pouvoir à nouveau accueillir ses visiteurs dans ses espaces extérieurs : jardins de scultpures, cour Giacometti, labyrinthe Miró. La préfecture des Alpes Maritimes a en effet autorisé cette ouverture dans le strict respect des consignes de sécurité sanitaire. La librairie, où le visiteur pourra trouver catalogues, affiches, foulards et oeuvres originales, est également autorisée à ouvrir. En attendant l'ouverture des salles d'exposition, le visiteur pourra se promener dans un lieu unique et intemporel où art, architecture et nature dialoguent dans une parfaite harmonie et découvrir des oeuvres d'Alexander Calder, Alberto Giacometti, Joan Miró, Marc Chagall, Jean Arp, Eduardo Chillida, Raoul Ubac, Pierre Tal-Coat, Erik Dietman, Barbara Hepworth, Jean Paul Riopelle, Eugène Dodeigne. Informations pratiques Fondation Maeght https://www.fondation-maeght.com/ Horaires : Tarifs pour les jardins : |
Bilan 2020 et perspective 2021 de la Fondation Beyeler
Communiqué de presse, 22 janvier 2021 Bilan 2020 et perspective 2021 de la Fondation Beyeler: Comme pour la plupart des institutions culturelles, l’année 2020 aura été difficile pour la Fondation Beyeler. Le bilan est bien inférieur aux attentes mais aussi nettement supérieur aux craintes. La programmation et le nombre de visiteurs·ses ont été massivement impactés par les fermetures obligatoires du musée, les interdictions de manifestations publiques, les restrictions de voyage et de déplacement et autres mesures administratives rendues nécessaires par la pandémie du coronavirus. |
Long Museum Shanghai Chine
LONG MUSEUM is founded by couple mega-collectors Mr.Liu Yiqian and Mrs. Wang Wei. It has been nearly twenty years since the couple Liu Yiqian and Wang Wei began their art collection. By acquiring important representative artworks in each historical period, they have gradually established three main subjects of collection, namely Chinese traditional art, Chinese revolutionary art, and modern and contemporary art. In this June, they were listed in The 2012 ARTnews 200 Top Collectors. This is the first time for collectors from Mainland China to be listed in this authoritative selection. Le musée Long est un musée d'art privé dont le siège est situé à Shanghai, en Chine. Son annexe du Bund-Ouest à Shanghai, est le plus grand musée privé de Chine.
Adresse : 3398 Longteng Ave, Xuhui District, Shanghai, Chine
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Tel: 8621-33685521 Email: info(at)thelongmuseum.org
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Grand Palais Noir & Blanc : une esthétique de la photographie
Gustave Le Gray, Grande Vague (détail), 1857, papier albuminé d’après négatif sur plaque de verre au collodion photo © BnF - Département des Estampes et de la photographie |
Noir & Blanc : une esthétique de la photographie. nouvelles dates : l' exposition est reportée jusqu'à nouvel ordre conformément aux directrices gouvernementales Grand Palais Exposition coorganisée par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais et la Bibliothèque nationale de France. « Le monde en noir et blanc recèle quelque chose de mystérieux qui ne peut être décrit et qui est formidablement séduisant. Est-ce faux de penser que cela touche nos coeurs d’autant plus fort que nous vivons à une époque où tout peut être photographié en couleurs ? » Shoji Ueda. Cette exposition présente des chefs-d’oeuvre en noir et blanc des collections photographiques de la Bibliothèque nationale de France (BnF), exceptionnellement réunis pour l’occasion. Nadar, Man Ray, Ansel Adams, Willy Ronis, Helmut Newton, Diane Arbus, Mario Giacomelli, Robert Frank, William Klein, Daido Moriyama, Valérie Belin… Les grands noms de la photographie française et internationale sont réunis dans un parcours qui embrasse 150 ans d’histoire de la photographie noir et blanc, depuis ses origines au XIXe siècle jusqu’à la création contemporaine. |
Rodin Arp Fondation Beyeler
Auguste Rodin Le Penseur, taille originale, 1880/1882 Bronze (Auguste Griffoul, 1896), 72 x 34 x 53 cm MAH Musée d’Art et d’Histoire, Genève Photo : © MAH, Genève, Photo Flora Bevilacqua |
Rodin / Arp FONDATION BEYELER »Nous ne voulons pas copier la nature. Nous ne voulons pas reproduire, nous voulons produire. Nous Pour la première fois, une exposition muséale fait dialoguer Auguste Rodin (1840–1917) et Hans Arp (1886–1966), mettant face à face l’oeuvre pionnier du grand réformateur de la sculpture du 19ème siècle finissant et l’oeuvre influent d’un des protagonistes majeurs de la sculpture abstraite du 20ème siècle. Les deux artistes possédaient une puissance d’innovation artistique et un goût pour l’expérimentation exceptionnels. Leurs oeuvres ont fortement marqué leur époque et ont conservé toute leur actualité. Les créations d’Auguste Rodin et de Hans Arp illustrent de manière impressionnante et exemplaire des aspects fondamentaux du développement de la sculpture moderne. Rodin a ainsi introduit des idées et des possibilités artistiques radicalement nouvelles dont Arp s’est saisi plus tard dans ses formes biomorphes, les faisant évoluer, les réinterprétant ou les contrastant. Il n’est à ce jour pas certain que Rodin et Arp se soient jamais rencontrés personnellement, mais leurs oeuvres présentent des liens de parenté artistique et de références communes, tout comme des différences, qui font de la confrontation de leurs créations singulières une expérience visuelle particulièrement éloquente. |