Salons et Foires
EXPOSITION LINO VENTURA MUSEE DES AVELINES
LINO VENTURA UNE GUEULE DE CINÉMA Commissaire d’exposition : Emmanuelle Le Bail, Directrice du musée des Avelines, du Patrimoine culturel et des Musée des Avelines - Musée d’Art et d’Histoire de Saint-Cloud QUELQUES MOTS D'INTRODUCTION... Le musée des Avelines, musée d'art et d'histoire de la ville de Saint-Cloud, est heureux d'annoncer l'exposition Lino Ventura - Une gueule de cinéma du 12 octobre 2017 au 21 janvier 2018. Le comédien, né le 14 juillet 1919 en Italie, a vécu près de trois décennies à Saint-Cloud et c'est dans cette ville qu'il est décédé le 22 octobre 1987 ; il était donc tout naturel que le musée des Avelines lui rende un hommage appuyé à l'occasion du trentième anniversaire de sa disparition. Affiches, photographies, documents d'archives, témoignages, musiques de films, objets, scénarios, projections d'extraits... composent le parcours de l'exposition évoquant la carrière de ce monstre sacré du cinéma français. Différentes salles du musée sont consacrées à ses amitiés avec des comédiens (Gabin notamment), et les réalisateurs avec lesquels il a tourné, de Becker à Verneuil, de Miller à Lelouch, de Pinoteau à Melville, de Malle à Lautner, de Deray à Hossein, ou encore de Sautet à La Patellière... passant ainsi du polar à la comédie pure, du film d'aventures au drame. Est ainsi retracée la carrière de Lino Ventura, acteur populaire et pudique, qui a joué dans plus de 70 films, dont nombre de chefs d'oeuvre et d'immenses succès publics. Photo prise sur le tournage d'Adieu poulet, 1975 Saint-Cloud, Musée des Avelines © Étienne George |
Le Louvre Abu Dhabi s'ouvre à vous
Abu Dhabi, 6 Septembre 2017 : Le Louvre Abu Dhabi ouvrira ses portes au public le 11 novembre 2017. Il s’agit du premier musée du monde arabe conçu comme un musée universel, ayant vocation à refléter l’histoire commune de l’humanité à travers différentes cultures et civilisations. Un programme de festivités publiques, comprenant des représentations de spectacles vivants, de danse, de concerts, projections, conférences et événements, donnés par des artistes contemporains et classiques de renom, accompagnera cet évènement. Situé à Abu Dhabi, la capitale des Émirats Arabes Unis (EAU), le bâtiment a été conçu par l’architecte français Jean Nouvel, lauréat du prix Pritzker, comme une ville-musée (médina) recouverte d’un vaste dôme argenté. Les visiteurs pourront déambuler dans les espaces de promenade surplombant la mer, et sous le dôme de 180 mètres de diamètre composé de près de 8 000 étoiles en métal entrelacées pour former un savant dessin géométrique. Les rayons du soleil traversant le dôme créent un effet saisissant de « pluie de lumière », inspiré des palmeraies des oasis des Emirats Arabes Unis. Le musée présentera sa riche collection d’œuvres d’art ainsi que des prêts des plus grands musées français. La collection couvre tous les pans de la création artistique des origines de l’art à nos jours, depuis la Préhistoire aux commandes faites à des artistes contemporains. Le musée offre une présentation muséographique inédite mettant en lumière les thèmes universels et les influences communes entre les civilisations. Cette approche distingue le musée de la plupart des institutions muséales dont le parcours propose un classement par styles ou civilisations. Le Louvre Abu Dhabi comprend, en plus des galeries permanentes, un espace d’exposition temporaire, un musée des enfants, un auditorium, un restaurant, une boutique et un café. |
Discours du Président de la République, Emmanuel Macron, lors de l'inauguration du Louvre Abu Dhabi, Émirats arabes unies
Altesse ; Majesté ; Messieurs les Présidents ; Mesdames et Messieurs les Ministres ; Mesdames et Messieurs. Au moment d'inaugurer le Louvre Abu Dhabi aux côtés de mon ami le Prince héritier Mohamed BIN ZAYED, que je remercie très chaleureusement pour son invitation, une phrase me revient qui semble définir ce qui nous unit aujourd'hui. Cette phrase n’est ni de votre culture ni tout à fait de la mienne, c'est la phrase prononcée par le personnage d'un roman russe, un personnage de Dostoïevski qui dit « la beauté sauvera le monde ». Et il serait naturel que je vous parle de culture, d'éducation, de civilisation mais un mot s'impose d'abord à nous ce soir qui sommes réunis, c'est précisément celui de beauté. Elle est le cœur et le fondement de la culture. Elle est la raison d'être de l'Education. Elle connaît plusieurs formes, plusieurs expressions, elle s'est parfois alliée au bon de manière indéfectible. Elle est une recherche permanente, une poursuite. Elle a ceci de commun que nous la reconnaissons quand nous la voyons. Elle nous frappe en plein cœur quand nous la croisons. Alors aujourd'hui ce qui nous réunit ici, ce qui, quelles que soient les vicissitudes du temps présent qui est le nôtre et quel que soit l'ampleur de nos défis, ce qui me rend optimiste, c'est que nous sommes au milieu de cette beauté qui sauvera le monde. Aujourd’hui en ces lieux, c'est elle qui nous accueille. D'abord parce que Jean NOUVEL et son équipe ont conçu ici un lieu qui va rayonner vers le monde entier. Cette ville-musée abritée par un dôme monumental qui multiplie les jeux de lumière, cette ville qui est aussi une île où l'eau miroite et se reflète, ce musée composé de petites maisons rappelant les villages émiriens ; tout cela, cet entrelacs du dedans et du dehors, du lieu clos et toujours ouvert ; tout cela constitue un ensemble où l'œil à chaque détour s'émerveille parce que cette complexité infinie, ce chef d'œuvre d'architecture réveillent des émotions profondes, parce qu'il y a là quelque chose qui rappelle les édifices sacrés du monde entier. Vous avez construit, cher Jean NOUVEL, un temple pour la beauté, ici. Ce lieu si sophistiqué et si simple à la fois accueille des œuvres d'exception. C'est le génie de l'humanité qui converge ici à travers ses plus grands artistes ; et pour un pays comme la France - je dois vous l'avouer - cher Prince héritier, cher ami, pour un pays comme la France se séparer - même sous forme de prêt - de quelques une de ses plus belles œuvres ne va pas de soi. C'est une forme de torture, et vous l'avez compris tout au long du périple que nous venons de partager, pour les conservateurs qui ont contribué à ce projet, pour les ministres, et je dois bien le dire aussi, pour le président. |
Photo du Président de la République Emmanuel Macron |
Le Louvre fidèle à lui-même et fidèle à la France
Edvard Munch: Between the Clock and the Bed The Met Fifth Avenue
Exhibition Dates: November 15, 2017–February 4, 2018 Although Norwegian artist Edvard Munch (1863–1944) attained notoriety early in his career for his haunting depictions of human anxiety and alienation that reflected modern experience, he believed that his artistic breakthrough occurred around 1913 at the age of 50.Throughout his career, Munch regularly revisited subjects from his earlier years, exploring them with renewed inspiration and intensity. Self Portrait: Between the Clock and the Bed (1940–43) was one of his final such works and it serves as a lens to reassess Munch's oeuvre. Opening November 15 at The Met Breuer, the exhibition Edvard Munch: Between the Clock and the Bed will feature 43 of the artist's compositions created over a span of six decades, including 16 self-portraits and works that have never before been seen in the United States. It is supported by an Indemnity from the Federal Council on the Arts and the Humanities. It is organized by The Metropolitan Museum of Art, New York; the San Francisco Museum of Modern Art; and The Munch Museum, Oslo. |
Edvard Munch. Self-Portrait between the Clock and the Bed (detail), 1940-43. |
Mark Rothko at the Museum of Fine Arts Boston
Immersive Display of 11 Mark Rothko Paintings on View at The Museum of Fine Arts Boston Major Loans from National Gallery of Art, Washington, Make New England Debut BOSTON (September 8, 2017)—In a career that spanned five decades, Mark Rothko (1903–1970) created some of the 20th century’s most evocative and iconic masterpieces. “A painting is not a picture of an experience,” he once remarked; “it is an experience.” This fall, 11 major works by the artist travel to the Museum of Fine Arts, Boston (MFA), from the National Gallery of Art, Washington, for an immersive exhibition that invites visitors to become enveloped by Rothko’s large-scale paintings and encounter them as he had originally intended—to experience something more intimate and awe-inspiring than simply viewing. Mark Rothko: Reflection, on view from September 24, 2017 through July 1, 2018, is the first focused display of the artist’s works at the MFA, showcasing the full sweep of his career—from early surrealist compositions; to the luminous, colorful canvases of his maturity; to the large, enigmatic “black paintings” made late in his life. Together, they trace the development of Rothko’s singular artistic vision and his quest to create works that produce emotional, even spiritual, responses. Additionally, the exhibition features a juxtaposition of Thru the Window (1938–39), an early Rothko painting on public view in the U.S. for the first time, and Artist in his Studio (about 1628), a masterpiece by Rembrandt Harmensz. van Rijn (1606–1669) from the MFA’s collection—both portraits of artists reflecting on the act of painting. Contrary to notions that Rothko’s works represented a dramatic break from the past, the side-by-side comparison underscores the modern artist’s view of his own paintings as part of a much longer tradition, rooted in his deep appreciation for the Old Masters. Mark Rothko: Reflection is on view in the John F. Cogan, Jr. and Mary L. Cornille Gallery. Presented with generous support from the Robert and Jane Burke Fund for Exhibitions. Additional support provided by an anonymous foundation and The Bruce and Laura Monrad Fund for Exhibitions. |
Mark Rothko, Untitled, 1955. Oil on canvas. National Gallery of Art, Washington, Collection of Mrs. Paul Mellon, in Honor of the 50th Anniversary of the National Gallery of Art. © 1998 Kate Rothko Prizel & Christopher Rothko/Artists Rights Society (ARS), New York. |
Exposition Bernard Damiano Union de Producteurs de Saint-Emilion
Bernard DAMIANO et Didier SALA s'exposent à l'UDP de Saint-Emilion Claude PÉRUSAT revient pour cette fin d’année nous proposer une très belle exposition de l’Artiste-peintre expressionniste Bernard DAMIANO. Déjà venu à l’UDP de Saint-Emilion, le marchand d’art et collectionneur libournais ne sera pas seul à exposer des œuvres: Didier SALA apportera sa touche de poésie en présentant ses bois flottés récupérés au fil des marées… Il faut savoir que pour cette magistrale exposition Bruno-Paul Barreau Marchand d'Art et Expert à Bordeaux ainsi que Claude Pérusat ont réussi à convaincre les collectionneurs de bien vouloir prêter les oeuvres de leur collection pour cette exposition. Comme le fait remarquer Patrick Reynolds, la région bordelaise terre du vin est devenue grâce au travail d'Alain Juppé une terre d'art et de culture. BERNARD DAMIANO, peintre-expressionniste italien Une exposition à découvrir jusqu’au 26 décembre. Didier SALA présentera lui-même son œuvre à l’occasion du vernissage qui se tiendra à la Galerie du Caveau, le JEUDI 9 NOVEMBRE à 18h30. L’héritage de Bernard DAMIANO sera, quant à lui, raconté par son grand ami, Claude PERUSAT. |
M.O.M.A. Making Space Women Artists and Postwar Abstraction
MOMA TO PRESENT MORE THAN 100 WORKS BY 50 WOMEN ARTISTS The Exhibition Features Nearly 40 Recent Acquisitions—Drawings, Paintings, Making Space: Women Artists and Postwar Abstraction April 15–August 13, 2017 Floor three, Exhibition Galleries NEW YORK, The Museum of Modern Art presents a major exhibition surveying the abstract practices of women artists between the end of World War II and the onset of the Feminist movement in the late 1960s. On view from April 15 through August 13, 2017, Making Space: Women Artists and Postwar Abstraction features approximately 100 works in a diverse range of mediums by more than 50 international artists. By bringing these works together, the exhibition spotlights the stunning achievements of women artists during a pivotal period in art history. Drawn entirely from the Museum’s collection, Making Space includes works that were acquired soon after they were made in the 1950s and 1960s, as well as many recent acquisitions—including a suite of photographs (c. 1950) by Gertrudes Altschul (Brazilian, born Germany. 1904–1962), an untitled sculpture (c.1955) by Ruth Asawa (American, 1926-2013), and an untitled work on paper (c.1968) by Alma Woodsey Thomas (American, 1891–1978)—that reflect the Museum’s ongoing efforts to improve its representation of women artists. Nearly half the works are on view at MoMA for the first time. Making Space is organized by Starr Figura, Curator, Department of Drawings and Prints, and Sarah Meister, Curator, Department of Photography, with Hillary Reder, Curatorial Assistant, Department of Drawings and Prints. |
EXPOSITION PILAR OVALLE AMBASSADE DU CHILI
Patrocinado por la Dirección de Asuntos Culturales del Ministerio de Relaciones Exteriores de Chile l’ambassadrice du Chili en France Madame Marcia Covarrubias a l’honneur de vous annoncer l'exposition «in-corpore» sculptures en bois de la sculptrice Pilar Ovalle du 10 octobre au 13 octobre 2017 - Cette exposition est réservée aux invités de l'ambassade : pour y assister merci de faire une demande auprès de : Assistante de l'Ambassadrice/Asistente de la Embajadora Ambassade du Chili / Embajada de Chile 2, avenue de la Motte-Picquet 75007 Paris Tél: +33 (0)1 44 18 59 39 - Fax: +33 (0)1 44 18 59 61 Mail: omartins(at)minrel.gob.cl Pilar Ovalle est née en 1970 à Santiago, textures, noeuds et formes naturelles travaille depuis plus de 25 ans le bois, à une géométrie et signifiants qui Le processus de l’oeuvre, qui m’est essentiel, est révélé à l’observateur moyennant une trame formelle qui se génère dans les assemblages et les unions et qui font partie essentielle de la grammaire de mon travail. Depuis mes débuts, je m’intéresse à la possibilité de recueillir et de rassembler différentes typologies dans un même matériau, le bois, de l’explorer et parcourir ses limites et de manoeuvrer face aux solutions créatives possibles pour pouvoir continuer à l’aborder d’une façon nouvelle, si possible chaque fois. C’est un jeu auto-imposé, un dialogue dans lequel la maîtrise fait face à la difficulté et à la curiosité pour pouvoir continuer à créer. Pendant les trois dernières années, j’ai incorporé, d’où le titre de l’exposition “in-corpore”, le corps humain comme conteneur d’information dans la sculpture pour représenter de manière explicite les exercices et les emboitages de transformation ainsi que le questionnement spirituel comme fondement de la quête d’individuation de l’être. |
Topologie de l'absence CACN Centre d'Art Contemporain de Nîmes
CACN - Centre d'Art Contemporain de Nîmes Exposition du 7 octobre au 16 décembre 2017 Avec Caroline Bach, Anaïs Boileau, Audrey Guiraud, Guillaume Le Moine, Nelly Monnier, et Eric Tabuchi Lorsque nous avons pensé cette exposition, l’envie était d’abord de revenir à un format davantage épuré et une figuration résolument plus calme, « reposée ». Nous ressentions déjà en amont les interrogations, voire l’énigme théorique de ce thème, qui n’en est finalement pas vraiment un. Comme un entre-deux, nous nous interrogions sur le cheminement intrinsèque de chacune des pratiques présentées. Alors, afin de mieux comprendre les contours et les processus engagés auprès de cette sélection, quelques questions subsistent. Pourquoi mettre en avant ces architectures prosaïques ? Comment se fait-il que les personnes qui y vivent ou y travaillent disparaissent-elles du cadre ? |