Henry Gasser (American, 1909 - 1981) Untitled (Gloucester), Watercolor on Paper, 10 H. x 8 W. inches |
Henry Gasser was born in Newark, New Jersey in 1909. He lived, studied and worked in New Jersey for his entire life. His background in art originated at the Newark School of Fine and Industrial Art and the Grand Central School of Art. This was followed by a stint at the Art Students League of New York in the classes of Robert Bracman. He later studied privately under John R. Grabach. Gasser is represented in over fifty museum collections, and numerous important private collections as well. Among the awards that Henry Gasser received are the Hallgarten Prize at the National Academy, the Zabriskie, Osborne, and Obrig prizes at the American Watercolor Society, the Philadelphia watercolor club prize, the Allied Artists Gold Medal at Oakland, California and many others. He was a member of the National Academy of Design, the American Watercolor Society, the Royal Society of Art (Great Britain), the Salmagundi Club, the Philadelphia, Baltimore and Washington Watercolor Clubs and the New Jersey Watercolor Society. He was a life member of the National Arts Club, Grand Central Art Galleries and the Art Students League, among others. He served as Director of the Newark School of Fine and Industrial Art from 1946-54, then continued lecturing and demonstrating for the remainder of his life. |
Exposition François ROCA Galerie Huberty & Breyne
François ROCA Sans titre - Huile sur toile, 162 x 114 cm Courtesy Huberty & Breyne |
Exposition Auteur et illustrateur à succès, François Roca développe depuis plus de dix ans une peinture en marge de sa production pour l’édition jeunesse. Dans ces dernières toiles exposées à la galerie Huberty & Breyne, l’artiste poursuit |
Edi Dubien exposition Sain et Sauf Galerie Alain Gutharc
© Edi Dubien, Chevreuil maquillé, acrylique et encre sur toile, 162 x 130 cm |
E D I D U B I E N L'écologie n'a pas seulement pour objet le réchauffement climatique, le recyclage ou l'énergie solaire, elle n'a pas seulement à voir avec les relations quotidiennes entre humain.e.s et non-humain.e.s. Elle a à voir avec l'amour, la perte, le désespoir et la compassion. Avec la dépression et la psychose. Avec le capitalisme et ce qui pourrait exister après le capitalisme. Avec l'étonnement, l'ouverture d'esprit et l'émerveillement. Le doute, la confusion et le scepticisme. Les concepts d'espace et de temps. Le ravissement, la beauté, la laideur, le dégoût, l'ironie et la douleur. La conscience et la perception. L'idéologie et la critique. La lecture et l'écriture. La race, la classe et le genre. La sexualité. L'idée du moi et les étranges paradoxes de la subjectivité. Elle a à voir avec la société. Elle a à voir avec la coexistence [1]. |
Etel Adnan Galerie Lelong & Co Satellites and Planètes
Etel Adnan, Satellites 7, 2020, oil on canvas, 22,5 x 33,5 cm Courtesy Galerie Lelong & Co. |
Etel Adnan Satellites and Planètes |
Aki Kuroda Exposition sur l'île de Paros Grèce
Aki Kuroda Exposition sur l'île de Paros Grèce Anne Bateson, Yoyo Maeght et la Galerie Achillea, Aki Kuroda en quelque lignes Aki Kuroda est un artiste japonais qui vit et travaille à Paris. Il est né le 4 octobre 1944 à Kyoto et commence à peindre dès l’âge de trois ans. Enfant, il est fasciné par la revue surréaliste Minotaure que son père reçoit de Paris. Élevé dans un milieu culturel, un de ses aïeuls fut le premier japonais à visiter Vincent van Gogh dans son atelier parisien. Aki Kuroda expose pour la première fois à 10 ans, il se plaît à dire qu’il peint depuis qu’il sait tenir un pinceau. Dans sa jeunesse, il rencontre James Lee Byars qui le pousse à composer ses premières performances. Aki suit des études d’histoire de l’art, voyage, séjourne à New York puis à Paris où il s’installe définitivement en 1970. |
Joseph Nechvatal Galerie Richard
Joseph Nechvatal Orlando in the Thicket of Sasha (2020) 30x30cm virus-modeled artificial life painting on canvas |
Joseph Nechvatal Galerie Richard Orlando et la Tempête est une série de nouvelles peintures réalisées par Joseph Nechvatal, à l'aide d'une simulation de vie artificielle, dans laquelle sont modélisés des virus chromophages, qui abordent indirectement les questions de la fluidité de genre, au moment où nous traversons une tempête virale, sociale et politique. L'artiste imagine des scènes mythiques inexistantes du roman Orlando (1928) de Virginia Woolf, dans lequel est racontée l'histoire d'un jeune poète aristocratique qui se transforme en femme du jour au lendemain et vit pendant 300 ans une vie tumultueuse. |