Ouvert tous les jours de 10H30 à 18H30 Sauf le dimanche sur rendez-vous : L'unique galerie d'art éphémère de la Principauté de Monaco est heureuse d'accueillir pour sa toute première exposition d'art contemporain l'artiste de renommée internationale, Laurence JENK. L'exposition de la Pop Up Gallery JENK commence dès le rez-de-chaussée où une multitude de bonbons aux tailles diverses et variées et aux couleurs éclatantes habillent l'espace. Le plafond, aux vagues modernes designer par l'architecte Olivier Deverini n'est pas sans rappeler le travail de torsion effectué par l'artiste sur ses œuvres. Pour une immersion totale dans l'univers JENK, l'exposition se poursuit au sous-sol où une surprise attend le visiteur. Pour cela il faudra passer par l'escalier en verre, réalisé sous la supervision du cabinet AODA Monaco, et sublimé par ses leds de couleurs qui répondent aux bonbons colorés JENK. |
EXPOSITION LUISA ARDILA GALERIE LE CABINET D'ULYSSE
La galerie LE CABINET D'ULYSSE a le plaisir de vous inviter au vernissage de l'exposition Luisa Ardila est née en 1990 à Bogota. Elle est diplômée de l'École des Beaux-Arts de Marseille, et lauréate du 1er Prix François-Bret en 2019. |
TOSHIO SAEKI HANA YASHA GALERIE DA-END
Toshio Saeki - HANANAGUSAME Sérigraphie sur papier de mûrier 52 cm x 39 cm, 2010 Courtesy Galerie Da-End |
TOSHIO SAEKI HANA YASHA GALERIE DA-END EXPOSITION DU 13 FÉVRIER AU 27 MARS 2021 Toshio Saeki (1945-2019) est dessinateur et icône de l’underground japonais. Son oeuvre est à la croisée des traditions japonaises du shunga (gravures érotiques traditionnelles) et du yōkai (représentation d’esprits, de démons et de fantômes). Il a aussi renouvelé, dit-on, le genre de l’ero-guro, mouvement artistique et littéraire japonais apparu vers 1930, combinant érotisme, éléments macabres et grotesques. «Son érotisme monstrueux bousculant d’autant plus fortement qu’il repose sur la puissance d’évocation et se déploie dans un dessin très pur. Hergé plongé dans les perverses pensées d’un Edogawa Ranpo.» (Marius Chapuis pour Libération) La Galerie Da-End se réjouit de dévoiler un ensemble inédit de sérigraphies de cet artiste d’avant-garde. Le corpus jamais présenté - qui vient compléter la première série exposée en 2010 - est le fruit d’une étroite collaboration au cours de l’année 2009, entre la galerie et le maître sérigraphe Fumie Taniyama, sous la direction attentive de Toshio Saeki lui-même. « Saeki n’a eu de cesse de développer ses remarquables talents de dessinateur et de coloriste afin d’explorer toujours plus profondément les contrées obscures de l’inconscient. Les deux principaux ingrédients de son art sont la concision du trait — fruit d’une extrême maîtrise de soi et d’une lucidité sans faille — et la passion pour l’eros (ou l’ero, un terme japonais qu’il lui préfère, car selon l’artiste, s’y profile de surcroit l’idée de la mort). Autrement dit : une ligne claire et de sombres desseins. L’univers sulfureux de Saeki est utéro-centré. Tout gravite autour de cet oeil cyclopéen qui est à la fois matrice, grotte effrayante, refuge, source de jouissance et boîte de Pandore. Chacune de ses oeuvres constituent autant de seuils et de passages dérobés menant directement de l’état de veille à l’état de rêve ou de cauchemar, via l’art du trait. Chaque dessin raconte une histoire. Il y a des voyeurs et des voyeuses, des pervers et des suppliciés. » (David Rosenberg) |
GALERIE CATHERINE ISSERT LA POSSIBILITÉ D’UNE COLLECTION
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En confrontant le design à l'oeuvre d'art, la galerie Catherine Issert invente la possibilité d'une collection. Recréant un appartement imaginaire dans son espace d'exposition, elle tisse des relations potentielles entre des designers qu'elle affectionne et les artistes qu'elle défend. En collaborant avec Jacques Dworczak collection, Bel Oeil et la complicité de Jacqueline Morabito pour la scénographie, Catherine Issert fonde sa sélection sur des affinités sélectives à la subjectivité assumée, témoignant des passerelles existant entre ces deux domaines de création. Des corrélations formelles naissent de ce dialogue, mettant en lumière les influences réciproques que ces deux types de pratique ont entretenues tout au long du XXe siècle et qui perdurent aujourd'hui. Que ce soit Bauhaus, héritier du cubisme et du futurisme, le Pop Art se saisissant du statut esthétique de l'objet industriel ou bien encore l'invention du ready-made, toutes ces démarches témoignent de la porosité entre arts plastiques et arts appliqués, systèmes aux pensées spécifiques mais dont les intentions esthétiques et plastiques peuvent se rejoindre, voire parfois être identiques. Vue par le prisme de l'histoire de la galerie Catherine Issert, durant laquelle la galeriste a constitué son catalogue, l'Histoire perd sa majuscule pour devenir intime. Sa proposition, transhistorique et transdisciplinaire, invite à penser la relation ambigüe qu'entretiennent l'oeuvre et l'objet dans un environnement spécifique. Le white cube disparaît ici au profit d'une atmosphère plus chaleureuse, qui amène le spectateur à reconsidérer son rapport à l'oeuvre en dehors du champ muséal : pendant un instant, il pourra se projeter dans une vision tout à la fois personnelle et universelle pour inventer, pourquoi pas, la possibilité de sa propre collection. Avec la collaboration de Bel Oeil/ Nice Cannes Monaco Collection Jacques Dworczak Galerie Afrique-Alain Dufour Galerie Zlotowski Paris GALERIE CATHERINE ISSERT . 2 ROUTE DES SERRES . F-06570 SAINT-PAUL . T 33(0)4 93 32 96 92 OUVERT DU MARDI AU SAMEDI . 11h - 13h / 14h - 19h site : http://www.galerie-issert.com/ |
Juan Uslé Eye and Landscape Bombas Gens Centre d'Art Valencia Spain
Juan Uslé Soñe que revelabas (Don), 2019. Vinyl, dispersion and dry pigment on canvas. 305 x 227 cm. © Juan Uslé / Courtesy Galerie Lelong & Co. |
Galerie LELONG & CO. https://www.galerie-lelong.com/fr/ E X H I B I T I O N Juan Uslé Eye and Landscape Through September 12, 2021 Bombas Gens Centre d'Art, Valencia, Spain Av. de Burjassot, 54-56, 46009 València, Spain https://www.bombasgens.com/en/exhibitions/eye-and-landscape/ info(at)bombasgens.com (+34) 963 463 856 Opening on February 12, 2021 from 4 p.m. |
GÉRARD GAROUSTE GALERIE TEMPLON
Gérard Garouste Le banquet, 2020. Tryptique. Huile sur toile, 300 x 270,5 cm chaque, 300 x 811,5 cm au total. © Courtesy Templon, Paris – Brussels. |
GÉRARD GAROUSTE Après le succès de sa rétrospective « The Other Side » à New Delhi, Gérard Garouste dévoile, du 25 mars au 22 mai 2021 à la galerie Templon, à Paris, le fruit de trois ans de travail et un concept d’exposition radicalement nouveau. « Correspondances » est une histoire de rencontre : la rencontre entre Gérard Garouste et la littérature de Franz Kafka, mais aussi la rencontre entre le peintre et le philosophe Marc-Alain Ouaknin. À travers une vingtaine de toiles, Garouste propose une plongée jubilatoire, et toute personnelle, dans l’univers de Kafka. Si par le passé, l’artiste avait déjà embrassé l’oeuvre d’écrivains comme Dante, Cervantès ou Rabelais, la démarche est ici inédite. Certes on reconnait ça et là le portrait de l’auteur tchèque. Certaines créatures semblent sorties de ses nouvelles, comme le « chat-agneau » et toute une collection d’écureuils et de martres. Mais l’esprit de Kafka est ailleurs. Il affleure dans la déformation des silhouettes et les paysages ambigüs, où réalisme et fantastique se côtoient avec naturel. Il transparaît dans la juxtaposition d’époques et de symboles, dont la profusion laisse présager mille histoires et filiations secrètes. |
YANG WANG 1831 Art Gallery Paris
NOT ALONE IN QUARANTINE Je suis, tu es, il est, nous sommes, vous êtes, ils sont confinés… A l’heure où l’ensemble des galeries et lieux culturels ont fermé à nouveau leurs portes au public, 1831 Gallery choisi de présenter, dans une version en ligne, la dernière série réalisée par le jeune photographe franco-chinois Yang Wang intitulée « Not Alone in Quarantine ». "Une semaine seulement après le début du confinement en mars, j'ai commencé à devenir fou. Il n'y a rien de pire que la solitude pour un être humain. Mes amis, ma famille me manquaient. Je voulais voir des gens, les toucher. Puis, j'ai eu l'idée de regrouper les différents "moi" durant la quarantaine : le "moi" qui regarde la télé, le "moi" qui fait du sport, le "moi" qui lit, le "moi" qui boit, le "moi" qui s'amuse...Tous ces "moi" réunis en une seule photo. Lorsque je me sentais vraiment seul, je me prenais en photo. C'est bon ! |
HANS HARTUNG Galerie A&R FEURY
Vue de l'exposition The Last Painting. ©Galerie A&R FEURY |
HANS HARTUNG THE LAST PAINTINGS GALERIE A&R FLEURY Extrait du catalogue édité à l'occasion de cette exposition de fin d'année " Hartung dans ses dernières années, étant plus libre que jamais, ne vivait que pour sa peinture " Marie Aanderaa - archiviste attitrée d'hans Hartung depuis les années 50. À partir du 18 novembre 2020, la galerie A&R Fleury à le plaisir de présenter Hans Hartung | The last paintings. Cette exposition visible à la galerie, sera en premier lieu online, puis dans un second temps, nous serions heureux d’ouvrir cette exposition au public jusqu’au 28 décembre. Notre proposition explore la dernière décennie, époque d’intense création etd’aboutissementpictural. Les années 80 représentent pour l'artiste une période de totale liberté. Les oeuvres choisies pour cette exposition sont parfaitement représentatives des moyens de création utilisés et développés par Hartung au cours de cette dernière phase. |