Pendant les études universitaires, John Levee travaille au cours du soir de peinture à la Chenard Art School Los Angeles, California. Il a mené parallèlement des études de philosophie et d’art University of California Los Angeles, California, (UCLA 1948 Bachelor’s of Art) et lorsqu’il a eu son diplôme de philosophie, il s‘est consacré totalement à la peinture.
Sollicité après la guerre par les compagnies aériennes américaines pour être pilote de ligne, il préfère la vie d’artiste peintre et part pour la New School of Social Research de New York où il travaillera en 1948 et 1949 en compagnie de Stuart Davis, Abbe Rattner, Kuniyoshi et obtient une bourse G.I. Bill (Bourse d’Etude du gouvernement américain).
While in college, John Levee worked on the Evening Painting Class at Chenard Art School Los Angeles, California. He also studied philosophy and art at the University of California Los Angeles, California, (UCLA 1948 Bachelor’s of Art) and when he graduated in philosophy, he devoted himself entirely to painting.
Asked after the war by American airlines to be an airline pilot, he preferred the life of an artist painter and left for the New School of Social Research in New York where he would work in 1948 and 1949 with Stuart Davis, Abbe Rattner , Kuniyoshi and obtained a GI Bill scholarship (US Government Scholarship).
Il quitte New York pour la France où il arrive en 1949 comme beaucoup de peintres américains et se retrouve à l’Académie Julian en 1950 en compagnie de Sam Francis.
La galerie Huit qui expose les peintres américains l’accueille en compagnie de John Franklin Koenig et Joe Downing et lui fait sa 1ère exposition personnelle.
Le critique Guy Marister de Combat le remarque et le fait exposer au Salon de Mai qui est une référence à l’époque.
Au salon de Mai, Myriam Prévost qui dirigeait la Galerie de France à Paris et René Gimpel de Londres lui ouvrent les portes de leurs galeries.
He left New York for France, where he arrived in 1949 like many American painters, and found himself at the Académie Julian in 1950 with Sam Francis.
The Eight gallery, which exhibits American painters, welcomes him in the company of John Franklin Koenig and Joe Downing and makes him his first personal exhibition.
Combat critic Guy Marister noticed him and had him exhibited at the Salon de Mai, which was a reference to the time.
At the Salon de Mai, Myriam Prévost, who headed the Galerie de France in Paris, and René Gimpel of London, opened the doors of their galleries to him.
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