MFA Boston Obama portraits

September 3–October 30, 2022

Multi-City Tour Organized by the Smithsonian’s National Portrait Gallery

The MFA to Offer Free Admission to the Exhibition on September 5, September 19, October 10 and October 30

BOSTON (June 9, 2022)—The Museum of Fine Arts, Boston (MFA), presents the portraits of former President Barack Obama and Mrs. Michelle Obama by artists Kehinde Wiley and Amy Sherald, respectively, as part of The Obama Portraits Tour organized by the Smithsonian’s National Portrait Gallery. The paintings will be on view in the Lois B. and Michael K. Torf Gallery from September 3 through October 30, 2022. To celebrate the portraits’ debut at the MFA, the Museum will engage community partners on a collaborative art-making project that will be presented in conjunction with the exhibition—creating a unique moment for Boston audiences to respond to these captivating paintings of the former President and First Lady, and explore the evolving dynamics of leadership.

“Kehinde Wiley and Amy Sherald are visionary artists whose paintings both pay homage to and reimagine the centuries-old tradition of American portraiture, which has strong roots in Boston. It is an honor for us to host their Obama portraits at the MFA and to offer New England audiences a chance to experience these powerful works of art,” said Matthew Teitelbaum, Ann and Graham Gund Director.

The Obama Portraits Tour is an opportunity to bring the power of portraiture to different audiences across the nation,” said Kim Sajet, director of the National Portrait Gallery. “Portraiture is incomplete without the viewer and these paintings have elicited responses that range from deep contemplation to pure joy. We are delighted to be able to extend this experience to San Francisco and Boston for a tour spanning eight cities with the nation’s capital included.”

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Plus de 65 000 visiteurs cet été à la Fondation Maeght et encore un mois d'exposition pour « Au cœur de l'abstraction » 

Depuis son ouverture au public le 2 juillet, l'exposition « Au cœur de l'abstraction » présentant plus de 100 œuvres majeures issues de la Fondation Gandur pour l'art et proposant une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980 rencontre un vif succès, à la hauteur de cette collection extraordinaire. L'exposition, présentée jusqu'au 23 octobre, a déjà attiré plus de 65 000 visiteurs en trois mois : une fréquentation conséquente et diversifiée venue également découvrir la programmation estivale proposée par la Fondation Maeght ainsi que le nouveau restaurant Sous les pins, repris en juin par Les Agitateurs, au coeur des jardins de la Fondation.

Vue de l'exposition Au cœur de l'abstraction - Collection de la Fondation Gandur pour l'art © Roland Michaud
Vue de l'exposition Au cœur de l'abstraction - Collection de la Fondation Gandur pour l'art © Roland Michaud

Riche d'une collection de plus de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght est toujours curieuse et honorée de présenter d'autres collections, parfois peu accessibles au public, comme elle l'a régulièrement fait par le passé. Depuis le 2 juillet et jusqu'au 23 octobre, elle présente ainsi plus de 100 œuvres issues de la Fondation Gandur pour l'art et propose une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980. Sous le commissariat de Yan Schubert, conservateur de la Fondation Gandur pour l'art, l'exposition retrace les différentes formes que revêt l'abstraction au sortir de la Seconde Guerre mondiale, alors que Paris redevient une place forte de la création et reprend sa place de capitale culturelle mondiale. Les œuvres de Hans Hartung, de Martin Barré, de Simon Hantaï ou de Pierre Soulages montrent ainsi l'évolution de l'art non-figuratif sur quatre décennies. Dans un parcours thématique et chronologique, l'exposition propose notamment de découvrir l'abstraction lyrique et gestuelle de Georges Mathieu, l'expressionnisme abstrait de Sam Francis ou Joan Mitchell, l'abstraction géométrique de Victor Vasarely, les œuvres cinétiques d'Alexander Calder et de Jean Tinguely, jusqu'à la remise en question de la peinture par le groupe Supports/Surfaces. Les œuvres des années 1980 témoignent par ailleurs du renouvellement que connaît l'art abstrait à cette époque, poursuivant les expérimentations intenses des années précédentes.

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Images: (1) David Hockney, A Year in Normandie (detail), composite iPad painting, © David Hockney  (2) Tapisserie de Bayeux, XIème siècle © Bayeux MuseumArtist David Hockney presents “his” Normandy at the Bayeux Tapestry Museum
Exhibition - A Year in Normandie

From 22 September 2022 to 23 April 2023
(Winter closure in January 2023)

When British artist David Hockney arrived in Normandy in 2019, he became fascinated by the unfolding scenes of the Bayeux Tapestry, and resolved to draw from this inspiration in order to create a large scale narrative, depicting the cycle of seasons. As the world stood still during the successive lockdowns, Hockney depicted in the manner of the Impressionists the effects of light in the Norman skies and the arrival of spring around him. Confined in his typical half-timbered house of the Pays d’Auge, he captured the blossoming of nature and painted its variations with bright and colourful hues using the digital brushes of his IPad – a technology he has been using for the past twelve decade.

An exhibition of David Hockney’s famous work “A Year in Normandie” will begin at the Bayeux Tapestry Museum this autumn. The original work, recently presented in the main gallery of the Musée de l’Orangerie in Paris, takes the form of a 90 meter long frieze celebrating the arrival of spring in the Normandy countryside. Painted on an IPad, it was greatly inspired by the thousand-year-old narrative embroidery. From September, the Bayeux exhibition will bring Hockney’s frieze and its muse together in an unprecedented face-à-face, in the form of half scale reproductions of the monumental works shown on the second floor of the museum.

This dialogue between the famous embroidery (11th century) and David Hockney’s imposing frieze will allow visitors to immerse themselves in the two narratives simultaneously. Visitors will thus be able to observe and compare the stylised representations of trees in the Tapestry with the fruit trees in the artist’s orchard. “If you look closely, the two masterpieces, with admittedly very different artistic techniques, immortalise a specific moment in time. Both freeze-frame a conquest: that of a Norman Duke in England in the 11th century for one, and that of nature in Normandy and its constant renewal regardless of human turmoil for the other,” explains Antoine Verney, curator of the Museums of Bayeux.

Images: (1) David Hockney, A Year in Normandie (detail), composite iPad painting, © David Hockney (2) Tapisserie de Bayeux, XIème siècle © Bayeux Museum

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LE MACM FAIT SA RENTRÉE !Après une saison estivale rythmée par les vacanciers, nous nous tournons vers les enseignants & les enfants qui reprennent le chemin de l'école.

Le MACM, de par son concept novateur qui mêle objets des civilisations égyptiennes, grecques & romaines & oeuvres d'artistes majeurs du XVIIème siècle à nos jours, offre un environnement idéal où questionner le monde & appréhender l'histoire des arts.

Notre équipe, toujours à l'écoute de vos projets, se réjouit de vous proposer de toutes nouvelles ressources pédagogiques & de vous assister dans la mise en place de nouveaux moments d'échanges & de partage.

Pour discuter de votre programme & planifier votre visite, merci de contacter Victoria sur victoriadelgado(at)mouginsmusee.com

UN MUSÉE ACCESSIBLE À TOUS

Les visites de musées constituent une sortie culturelle conviviale & le MACM s'applique à vous accueillir dans les meilleures conditions possibles. En visites libres ou guidées, les visiteurs de 60 ans & + bénéficient d'un tarif préférentiel & sont invités à profiter d'un moment d'évasion exceptionnel au coeur des civilisations antiques. Histoire, mythologies égyptiennes, grecques & romaines, oeuvres d'art par les artistes les plus illustres sont au coeur de ce parcours accessible à tous.

L'offre du pittoresque village de Mougins où il fait bon se promener & déjeuner vous offre de surcroît l'opportunité de prolonger ce moment de bien-être.

Stationnement gratuit à l'entrée du village de Mougins.

Et si vous ne pouvez pas venir au MACM, alors le MACM vient à votre rencontre !

Bénédicte Montain, Directrice Adjointe du MACM & Géraldine Crevat, conférencière & conceptrice d'une méthode d'accompagnement de développement personnel illustrée par les concepts de la pensée antique, joignent leurs sensibilités pour vous proposer des rencontres à la porté de tous au sein de vos clubs seniors & résidences retraite.

Visites virtuelles des collections, mythologies, philosophie & intrigues de la Grèce antique prendront vie dans ces présentations passionnées, dynamiques & interactives.

Pour tous renseignements complémentaires, n'hésitez pas à contacter Bénédicte Montain sur benedictemontain(at)mouginsmusee.com

https://mouginsmusee.com/fr

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logo fondation pieters h

Brigitte Bardot par Jacques HéripretLinda et Guy Pieters ont le plaisir de vous annoncer l'exposition

JACQUES HÉRIPRET
B.B. ET BREL DANS MON OBJECTIF

dimanche 4 septembre de 11h à 14h
5 septembre – 18 septembre 2022

Fondation Linda et Guy Pieters
Place des Lices - 28 Boulevard Vasserot – 83990 Saint-Tropez
www.fondationlgp.com  - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
+33 4 22 84 01 89

Ouvert tous les jours
de 10h à 13h30 et de 14h30 à 18h
Fermé lundi et mardi

Brigitte Bardot Photo de Jacques Héripret

musee gevaudan logo1Ouverture du Musée du Gévaudan
le 18 octobre 2022

Une fenêtre sur l'histoire de la Lozère

Après deux ans de travaux, le musée du Gévaudan ouvrira ses portes le mardi 18 octobre 2022 à Mende, en région Occitanie. Son accès sera gratuit. Doté d'un fonds de plus de 16 000 pièces, le musée du Gévaudan retrace l'histoire de la Lozère, ancienne province royale du Gévaudan, des premiers témoignages de vie jusqu'à nos jours. Lieu patrimonial inscrit au titre des Monuments historiques, labellisé Musée de France, le musée a été pensé comme un espace de vie, de découverte, de partage, d'échange et de convivialité, ouvert sur le territoire et accessible à tous.

Musée du Gévaudan © Ville de Mende
Musée du Gévaudan © Ville de Mende
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17 set 2022 – 26 fev 2023
Curadoria: Beatriz Lemos, Keyna Eleison, Pablo Lafuente e Thiago de Paula Souza

 Vem aí Atos de revolta: outros imaginários sobre independência, a nova exposição do Museu de Arte Moderna do Rio de Janeiro.

Vem aí Atos de revolta: outros imaginários sobre independência, a nova exposição do Museu de Arte Moderna do Rio de Janeiro.

O bicentenário da Independência do Brasil oportuniza repensar esse processo histórico. Atos de revolta foca em uma série de levantes, motins e insurreições que antecederam aquele momento ou que ocorreram nas décadas subsequentes, durante o Primeiro e o Segundo Reinado e o período regencial. 

Com o objetivo de abordar os diversos imaginários de país então esboçados, a mostra faz referência à Guerra Guaranítica (1753-56), à Inconfidência Mineira (1789), à Revolução Pernambucana (1817), à Independência da Bahia (1822), à Cabanagem (1835-40), à Revolução Farroupilha (1835-45), à Revolta de Vassouras (1839) e à Balaiada (1838-41), entre outras. 

Artistas brasileiros, de gerações e geografias diversas, foram convidados a pensar sobre essas narrativas. Ao abordar os conflitos do sistema colonial, a exposição revela as contradições da historiografia brasileira, que produziu apagamentos de personagens determinantes, sobretudo de populações negras, indígenas e mulheres.

Os trabalhos apresentados respondem a cinco eixos conceituais que oferecem chaves de leitura para determinados acontecimentos: a figura do herói e a posição de liderança política;

as construções simbólicas (bandeiras, hinos, brasões); os modos de organização e sua relação com sistemas de direitos, a definição de territórios e os processos de produção e circulação de valor.

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Oskar Kokoschka Autoportrait / Selbstbildnis, 1917 Huile sur toile 79 x 63 cm Von der Heydt-Museum, Wuppertal  Photo Patrick Schwarz © Fondation Oskar Kokoschka / Adagp, Paris 2022  Oskar Kokoschka
Un fauve à Vienne

Exposition : 23 septembre 2022 - 12 février 2023

Le Musée d’Art Moderne de Paris présente la première rétrospective parisienne consacrée à l’artiste autrichien Oskar Kokoschka (1886-1980). Retraçant sept décennies de création picturale, l’exposition rend compte de l'originalité dont fait preuve l’artiste et nous permet de traverser à ses côtés le XXe européen.

Peintre, mais aussi écrivain, dramaturge et poète, Oskar Kokoschka apparaît comme un artiste engagé, porté par les bouleversements artistiques et intellectuels de la Vienne du début du XXe siècle. Par sa volonté d’exprimer l’intensité des états d’âmes de son époque, et un talent certain pour la provocation, il devient pour la critique l’enfant terrible de Vienne à partir de 1908 où soutenu par Gustav Klimt et Adolf Loos, il inspire une nouvelle génération d’artistes, parmi lesquels Egon Schiele. Portraitiste de la société viennoise, Kokoschka parvient à mettre en lumière l'intériorité de ses modèles avec une efficacité inégalée.

Ébranlé par sa rupture avec la compositrice Alma Mahler avec qui il entretient une relation tumultueuse entre 1912 et 1914, Kokoschka s’engage dans l’armée au déclenchement de la Première Guerre mondiale. Il sera gravement blessé à deux reprises. Il enseigne ensuite à l’Académie des Beaux-Arts de Dresde, où il recherche de nouvelles formes d’expressions picturales, en contrepoint des mouvements contemporains tels que l’expressionnisme, la Nouvelle Objectivité et l'abstraction.

Voyageur infatigable, il entreprend dans les années 1920 d’incessants périples en Europe, en Afrique du Nord et au Moyen Orient. Sa fragilité financière l’oblige à revenir à Vienne, qui connaît dès le début des années 1930 d’importants troubles politiques, le contraignant à partir pour Prague en 1934. Qualifié par les nazis d’artiste « dégénéré », ses oeuvres sont retirées des musées allemands. Kokoschka s’engage alors pleinement pour la défense de la liberté face au fascisme. Contraint à l’exil, il parvient à fuir en Grande-Bretagne en 1938 où il prend part à la résistance internationale.

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ART PRIZE PALLAVICINI

Venerdì 9 settembre 2022 ore 11.00 Palazzo Pallavicini, nel salone delle feste, inaugura la stagione autunnale con l'apertura al pubblico e la conferenza stampa della prima edizione del Premio APP

ART PRIZE PALLAVICINI a cura di Claudia Andreotta e Francesca Bogliolo in collaborazione con Pallavicini srl.

La mostra

App in questa prima edizione ha ricevuto moltissime candidature di Artisti provenienti da tutto il mondo, tra i quali si sono contraddistinti gli Artisti vincitori che esporranno le proprie opere dal 9 al 18 settembre.

Il tema

"la vita intesa nella sua dimensione intima e collettiva, in relazione allo spazio e al tempo"

L'esperienza delle avanguardie storiche in Europa non solo ha trasformato completamente i linguaggi espressivi, ma ha anche abbattuto in modo definitivo la rigida distinzione tra l'arte intesa come puro fenomeno estetico, cristallizzato in canoni ideali, e la vita. Da quel momento, infatti, qualsiasi corrente artistica si pone non solo come innovatrice nel contesto di accademie e musei, ma come portatrice di una volontà di intervento globale: non si "riveste" il reale con uno "stile", ma si procede secondo una Weltanschauung (concezione della vita) che da visione diventa metodo per rifondare l'urbanistica, l'industria, l'istruzione, la moda, persino l'alimentazione, qualunque aspetto della società. L'estetica si unisce all'etica, l'arte alla vita.

Poiché il dibattito artistico odierno è ancora innegabilmente debitore della rivoluzione delle avanguardie, il tema proposto dalla prima edizione del premio APP Art Prize Pallavicini risulta ancora di stringente attualità, tanto da aver richiamato numerosi artisti italiani e internazionali: la Vita e come l'Arte la influenzi e ne sia influenzata con l'invito a  misurare la vita intesa nella sua dimensione intima e collettiva, in relazione allo spazio e al tempo, nelle sue diverse forme ed espressioni, dove quello che conta è il percorso dell'opera e dell'Artista che l'ha concepita. In un caleidoscopio di soluzioni linguistiche (dalla nitida narrativa alle strutture aniconiche, all'iperrealismo) e tecniche (pittura, arazzo, fotografia, assemblaggio...) le opere selezionate  affrontano ogni possibile aspetto del vivere, rappresentando  l'uomo e i  suoi stati d'animo (dolore, inquietudine, serenità...), il suo guardare alla realtà con ironia, con senso di attesa  o con la volontà di andare anche oltre tramite un anelito spirituale; per molti artisti  la vita trascorre attraverso gli oggetti del quotidiano,  che da banali strumenti d'uso si fanno portatori della lirica dell'esistere. Ricorre frequentemente anche la ricerca sul rapporto consapevole con la natura e con l'ambiente, sull'intervento in essi dell'uomo (dalle armonie dell'architettura, all'invadenza dell'industria e della tecnologia), sulla città come luogo privilegiato dell'aggregazione. Non manca tuttavia l'eterno incanto per le bellezze naturali, ritratte nella loro delicata opulenza e indagate sia nelle microscopiche evoluzioni formali della loro costituzione chimico-matematica sia nell'incalcolabile grandezza dell'universo. Un infinito che l'uomo ha tentato di imbrigliare con la geometria, di trasformare con l'ingegneria, di armonizzare con la musica (tutte discipline variamente raffigurate): ma il reale evolve costantemente e l'unico modo per fermare in un attimo infinitesimale questo inarrestabile fluire è l'arte con la sua essenza di doppia riflessione dinamica. Non si tratta solo infatti di un pensiero temporaneo dell'artista fissato in un'opera, ma di tutto il flusso di idee, interrogativi, scoperte che essa può generare nell'osservatore, dell'incontro tra l'arte e la vita e di come (citando nuovamente il testo del bando del premio) l'Arte la influenzi e ne sia influenzata.

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Agnès Varda deux expositions à Cannes 
PLAGES, CABANES ET COQUILLAGES
8 juillet – 20 novembre 2022
Le Centre d’art La Malmaison, Cannes

8 juillet – 18 septembre 2022
La Villa Domergue, Cannes

Cet été, la Mairie de Cannes présente dans deux espaces de son Pôle d’Art Contemporain une exposition consacrée à celle qui fut tour à tour cinéaste, photographe et plasticienne :
Agnès Varda.
Du 8 juillet au 20 novembre 2022 au Centre d’art la Malmaison et du 8 juillet au 18 septembre à la Villa Domergue, Rosalie Varda, directrice artistique et co-commissaire de l’exposition avec Hanna Baudet, directrice du Pôle d’Art Contemporain de Cannes, met à l’honneur l’univers d’Agnès Varda, dans la ville même qui l’a célébrée pour sa filmographie foisonnante, à travers une exposition estivale autour de la mer, de la plage et des cabanes, thèmes récurrents dans son travail de cinéaste et d’artiste plasticienne.
Agnès Varda sur le tournage du film Les Créatures (1965). Photographie : Marilù Parolini © ciné-tamaris
Agnès Varda sur le tournage du film Les Créatures (1965). Photographie : Marilù Parolini © ciné-tamaris
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