EXPOSITION Tatiana Wolska – Habitat potentiel pour une artiste 59, quai des Etats-Unis – Nice Tous les jours de 11h à 18h, sauf le lundi 04 93 91 92 91 ou 93
Tatiana Wolska développe depuis 10 ans des projets de sculpture en grand format, toujours liés aux lieux qui l’invitent. L’artiste fabrique de la sculpture en jouant avec toutes sortes de matériaux de récupération : chutes de bois, plastique thermoformé, métaux et objets abandonnés qu’elle découpe, décortique, réordonne et assemble à nouveau. L’exposition propose une expérience physique et cognitive d'une architecture spécifique, à la fois vivante, organique et relationnelle. En se penchant sur l’architecture temporaire qui peut revêtir plusieurs rôles (culturel, évènementiel, social), l’exposition recouvre une diversité de potentiels. Elle est autant l’expression d’une liberté que celle d’une nécessaire survie car bien souvent, le temporaire rime avec l’urgence. Elle pose aussi la question de l’inscription potentiellement durable de ces structures dans la fabrique de la ville. Tatiana Wolska est née en 1977 en Pologne. Elle est diplômée de l’ENSA de la Villa Arson en 2007. Elle vit et travaille à Bruxelles. Elle est représentée par les galeries Claudine Papillon, Paris, Catherine Issert, Saint-Paul de Vence et Irène Laub, Bruxelles. Elle est lauréate en 2014 du Grand Prix du 59e Salon de Montrouge consacré à la jeune création émergente. |
Tatiana Wolska Nomadisme, FRAC CORSE, 2016, |
Photographie
Centre Pompidou Jim Dine exposition Paris Reconnaissance
Jim DINE - Paris : Reconnaissance Artiste et poète américain de renommée mondiale, Jim Dine, né en 1935, rejoint New York en 1958. Il délaisse alors le happening pour la peinture, ses sujets mêlant expressionnisme abstrait et pop, sans se réclamer du mouvement. À l’occasion de l’importante donation faite par l’artiste au Musée national d’art moderne, le Centre Pompidou consacre une exposition inédite à son œuvre. Jeudi 15 mars à 19h : House of Words, lecture performance par Jim Dine dans le cadre du cycle In Vivo (Cinéma 2) Commissaire : Mnam/Cci, Bernard Blistène, Annalisa Rimmaudo |
Jim DINE A Child in Winter Sings, 2011-2012 |
JAN VOSS - Remue-ménage Maison des Arts Châtillon
Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon sont heureux de vous inviter à visiter l'exposition Habité par un mouvement perpétuel, l'œuvre de Jan Voss, né en Allemagne en 1936 et installé en France depuis 1960, possède une hardiesse et une inventivité rare. Ainsi, avoue-t-il : Les lignes sont les mouvements d'un tableau, son activité. L'activité d'un tableau est souvent extrêmement déconcertante, on voudrait bien comprendre où elle veut en venir avec tous ces parcours, ses sauts et ses arrêts subits. Mais parfois les lignes, en perte de vitesse, languissent, il faut les secouer sérieusement pour qu'elles ne s'endorment pas. Surtout ne jamais concéder de repos à la ligne ! Les caractéristiques les plus reconnaissables des œuvres évoquées sont des signes proches du graffiti, des éléments biomorphes, des compositions en cases ou en bandes. Mais Jan Voss n'en reste pas là. Maître de son langage, il en décline la grammaire, y mêlant des collages ou autres assemblages complexes. L'opposition figuration / abstraction n'a pas de sens ici. Les formes, traits, couleurs et textures étant chargés de déclencher l'imagination, puis, pourquoi pas, la narration. L'exposition rassemble des œuvres sur toile et sur papier de ces dix dernières années ainsi que des sculptures des années 1980/1990 dans lesquels l'artiste explore - toujours très librement - le volume. Une plongée dans l'esprit Voss. Exposition organisée avec la collaboration de Galerie Lelong & Co, Paris Maison des Arts http://maisondesarts-chatillon.fr/ Exposition ouverte du mardi au dimanche, de 14h à 18h |
Jan Voss, Sur la bonne voie, 2010, |
Fondation Beyeler Paul Klee La dimension abstraite
Paul Klee – La dimension abstraite Du 1er octobre 2017 jusqu’au 21 janvier 2018, la Fondation Beyeler présentera une exposition complète sur l’artiste Paul Klee, l’un des peintres les plus importants du XXe siècle. Pour la première fois dans le cadre d’une exposition sera mise en lumière la relation de l’artiste à l’abstraction, exploit majeur de la peinture moderne. Comme bien d’autres artistes européens, Paul Klee releva le défi de l’abstraction. Sa riche production compte de magnifiques exemples de renoncement à la figuration jusqu’à l’élaboration d’univers iconographiques abstraits, aussi bien dans ses travaux de jeunesse que ses oeuvres tardives. Nature, architecture, musique et signes graphiques sont, chez lui, des thèmes majeurs et récurrents. À travers les 110 oeuvres issues de 12 pays, l’exposition se concentre sur cet aspect du travail de Klee, jusqu’alors ignoré. L’exposition rétrospective présente divers groupes d’oeuvres chronologiques à partir de 1912, permettant de suivre les étapes déterminantes du développement de l’artiste: l’exposition se déploie sur sept salles et s’ouvre sur les débuts de Klee en tant que peintre dans les années 1910 à Munich puis sur son célèbre voyage à Tunis en 1914, aborde ensuite le thème de la Première Guerre mondiale et s’intéresse à la décennie du Bauhaus de 1921 à 1931 avec ses célèbres compositions en damiers, aquarelles en couches ainsi que des oeuvres qui font référence à l’abstraction géométrique, thème dominant des années 1930. Les peintures réalisées suite aux voyages en Italie et en Égypte à la fin des années 1920 et au début des années 1930 préfigurent les signes picturaux présents dans les travaux tardifs du peintre ainsi que ses conceptions picturales qui mèneront à l’art de l’après-guerre. |
Paul Klee Park bei Lu, 1938, 129 Parc près de Lu Huile et peinture à la colle sur papier journal sur jute, 100 x 70 cm Centre Paul Klee, Berne, Courtesy Fondation Beyeler |
Collection de la Fondation Maeght
Exposition Antoni Clavé à la Bibliothèque Nationale de France
EXPOSITION LINO VENTURA MUSEE DES AVELINES
LINO VENTURA UNE GUEULE DE CINÉMA Commissaire d’exposition : Emmanuelle Le Bail, Directrice du musée des Avelines, du Patrimoine culturel et des Musée des Avelines - Musée d’Art et d’Histoire de Saint-Cloud QUELQUES MOTS D'INTRODUCTION... Le musée des Avelines, musée d'art et d'histoire de la ville de Saint-Cloud, est heureux d'annoncer l'exposition Lino Ventura - Une gueule de cinéma du 12 octobre 2017 au 21 janvier 2018. Le comédien, né le 14 juillet 1919 en Italie, a vécu près de trois décennies à Saint-Cloud et c'est dans cette ville qu'il est décédé le 22 octobre 1987 ; il était donc tout naturel que le musée des Avelines lui rende un hommage appuyé à l'occasion du trentième anniversaire de sa disparition. Affiches, photographies, documents d'archives, témoignages, musiques de films, objets, scénarios, projections d'extraits... composent le parcours de l'exposition évoquant la carrière de ce monstre sacré du cinéma français. Différentes salles du musée sont consacrées à ses amitiés avec des comédiens (Gabin notamment), et les réalisateurs avec lesquels il a tourné, de Becker à Verneuil, de Miller à Lelouch, de Pinoteau à Melville, de Malle à Lautner, de Deray à Hossein, ou encore de Sautet à La Patellière... passant ainsi du polar à la comédie pure, du film d'aventures au drame. Est ainsi retracée la carrière de Lino Ventura, acteur populaire et pudique, qui a joué dans plus de 70 films, dont nombre de chefs d'oeuvre et d'immenses succès publics. Photo prise sur le tournage d'Adieu poulet, 1975 Saint-Cloud, Musée des Avelines © Étienne George |
Le Louvre Abu Dhabi s'ouvre à vous
Abu Dhabi, 6 Septembre 2017 : Le Louvre Abu Dhabi ouvrira ses portes au public le 11 novembre 2017. Il s’agit du premier musée du monde arabe conçu comme un musée universel, ayant vocation à refléter l’histoire commune de l’humanité à travers différentes cultures et civilisations. Un programme de festivités publiques, comprenant des représentations de spectacles vivants, de danse, de concerts, projections, conférences et événements, donnés par des artistes contemporains et classiques de renom, accompagnera cet évènement. Situé à Abu Dhabi, la capitale des Émirats Arabes Unis (EAU), le bâtiment a été conçu par l’architecte français Jean Nouvel, lauréat du prix Pritzker, comme une ville-musée (médina) recouverte d’un vaste dôme argenté. Les visiteurs pourront déambuler dans les espaces de promenade surplombant la mer, et sous le dôme de 180 mètres de diamètre composé de près de 8 000 étoiles en métal entrelacées pour former un savant dessin géométrique. Les rayons du soleil traversant le dôme créent un effet saisissant de « pluie de lumière », inspiré des palmeraies des oasis des Emirats Arabes Unis. Le musée présentera sa riche collection d’œuvres d’art ainsi que des prêts des plus grands musées français. La collection couvre tous les pans de la création artistique des origines de l’art à nos jours, depuis la Préhistoire aux commandes faites à des artistes contemporains. Le musée offre une présentation muséographique inédite mettant en lumière les thèmes universels et les influences communes entre les civilisations. Cette approche distingue le musée de la plupart des institutions muséales dont le parcours propose un classement par styles ou civilisations. Le Louvre Abu Dhabi comprend, en plus des galeries permanentes, un espace d’exposition temporaire, un musée des enfants, un auditorium, un restaurant, une boutique et un café. |
Discours du Président de la République, Emmanuel Macron, lors de l'inauguration du Louvre Abu Dhabi, Émirats arabes unies
Altesse ; Majesté ; Messieurs les Présidents ; Mesdames et Messieurs les Ministres ; Mesdames et Messieurs. Au moment d'inaugurer le Louvre Abu Dhabi aux côtés de mon ami le Prince héritier Mohamed BIN ZAYED, que je remercie très chaleureusement pour son invitation, une phrase me revient qui semble définir ce qui nous unit aujourd'hui. Cette phrase n’est ni de votre culture ni tout à fait de la mienne, c'est la phrase prononcée par le personnage d'un roman russe, un personnage de Dostoïevski qui dit « la beauté sauvera le monde ». Et il serait naturel que je vous parle de culture, d'éducation, de civilisation mais un mot s'impose d'abord à nous ce soir qui sommes réunis, c'est précisément celui de beauté. Elle est le cœur et le fondement de la culture. Elle est la raison d'être de l'Education. Elle connaît plusieurs formes, plusieurs expressions, elle s'est parfois alliée au bon de manière indéfectible. Elle est une recherche permanente, une poursuite. Elle a ceci de commun que nous la reconnaissons quand nous la voyons. Elle nous frappe en plein cœur quand nous la croisons. Alors aujourd'hui ce qui nous réunit ici, ce qui, quelles que soient les vicissitudes du temps présent qui est le nôtre et quel que soit l'ampleur de nos défis, ce qui me rend optimiste, c'est que nous sommes au milieu de cette beauté qui sauvera le monde. Aujourd’hui en ces lieux, c'est elle qui nous accueille. D'abord parce que Jean NOUVEL et son équipe ont conçu ici un lieu qui va rayonner vers le monde entier. Cette ville-musée abritée par un dôme monumental qui multiplie les jeux de lumière, cette ville qui est aussi une île où l'eau miroite et se reflète, ce musée composé de petites maisons rappelant les villages émiriens ; tout cela, cet entrelacs du dedans et du dehors, du lieu clos et toujours ouvert ; tout cela constitue un ensemble où l'œil à chaque détour s'émerveille parce que cette complexité infinie, ce chef d'œuvre d'architecture réveillent des émotions profondes, parce qu'il y a là quelque chose qui rappelle les édifices sacrés du monde entier. Vous avez construit, cher Jean NOUVEL, un temple pour la beauté, ici. Ce lieu si sophistiqué et si simple à la fois accueille des œuvres d'exception. C'est le génie de l'humanité qui converge ici à travers ses plus grands artistes ; et pour un pays comme la France - je dois vous l'avouer - cher Prince héritier, cher ami, pour un pays comme la France se séparer - même sous forme de prêt - de quelques une de ses plus belles œuvres ne va pas de soi. C'est une forme de torture, et vous l'avez compris tout au long du périple que nous venons de partager, pour les conservateurs qui ont contribué à ce projet, pour les ministres, et je dois bien le dire aussi, pour le président. |
Photo du Président de la République Emmanuel Macron |
Le Louvre fidèle à lui-même et fidèle à la France
Edvard Munch: Between the Clock and the Bed The Met Fifth Avenue
Exhibition Dates: November 15, 2017–February 4, 2018 Although Norwegian artist Edvard Munch (1863–1944) attained notoriety early in his career for his haunting depictions of human anxiety and alienation that reflected modern experience, he believed that his artistic breakthrough occurred around 1913 at the age of 50.Throughout his career, Munch regularly revisited subjects from his earlier years, exploring them with renewed inspiration and intensity. Self Portrait: Between the Clock and the Bed (1940–43) was one of his final such works and it serves as a lens to reassess Munch's oeuvre. Opening November 15 at The Met Breuer, the exhibition Edvard Munch: Between the Clock and the Bed will feature 43 of the artist's compositions created over a span of six decades, including 16 self-portraits and works that have never before been seen in the United States. It is supported by an Indemnity from the Federal Council on the Arts and the Humanities. It is organized by The Metropolitan Museum of Art, New York; the San Francisco Museum of Modern Art; and The Munch Museum, Oslo. |
Edvard Munch. Self-Portrait between the Clock and the Bed (detail), 1940-43. |
Mark Rothko at the Museum of Fine Arts Boston
Immersive Display of 11 Mark Rothko Paintings on View at The Museum of Fine Arts Boston Major Loans from National Gallery of Art, Washington, Make New England Debut BOSTON (September 8, 2017)—In a career that spanned five decades, Mark Rothko (1903–1970) created some of the 20th century’s most evocative and iconic masterpieces. “A painting is not a picture of an experience,” he once remarked; “it is an experience.” This fall, 11 major works by the artist travel to the Museum of Fine Arts, Boston (MFA), from the National Gallery of Art, Washington, for an immersive exhibition that invites visitors to become enveloped by Rothko’s large-scale paintings and encounter them as he had originally intended—to experience something more intimate and awe-inspiring than simply viewing. Mark Rothko: Reflection, on view from September 24, 2017 through July 1, 2018, is the first focused display of the artist’s works at the MFA, showcasing the full sweep of his career—from early surrealist compositions; to the luminous, colorful canvases of his maturity; to the large, enigmatic “black paintings” made late in his life. Together, they trace the development of Rothko’s singular artistic vision and his quest to create works that produce emotional, even spiritual, responses. Additionally, the exhibition features a juxtaposition of Thru the Window (1938–39), an early Rothko painting on public view in the U.S. for the first time, and Artist in his Studio (about 1628), a masterpiece by Rembrandt Harmensz. van Rijn (1606–1669) from the MFA’s collection—both portraits of artists reflecting on the act of painting. Contrary to notions that Rothko’s works represented a dramatic break from the past, the side-by-side comparison underscores the modern artist’s view of his own paintings as part of a much longer tradition, rooted in his deep appreciation for the Old Masters. Mark Rothko: Reflection is on view in the John F. Cogan, Jr. and Mary L. Cornille Gallery. Presented with generous support from the Robert and Jane Burke Fund for Exhibitions. Additional support provided by an anonymous foundation and The Bruce and Laura Monrad Fund for Exhibitions. |
Mark Rothko, Untitled, 1955. Oil on canvas. National Gallery of Art, Washington, Collection of Mrs. Paul Mellon, in Honor of the 50th Anniversary of the National Gallery of Art. © 1998 Kate Rothko Prizel & Christopher Rothko/Artists Rights Society (ARS), New York. |
Exposition Bernard Damiano Union de Producteurs de Saint-Emilion
Bernard DAMIANO et Didier SALA s'exposent à l'UDP de Saint-Emilion Claude PÉRUSAT revient pour cette fin d’année nous proposer une très belle exposition de l’Artiste-peintre expressionniste Bernard DAMIANO. Déjà venu à l’UDP de Saint-Emilion, le marchand d’art et collectionneur libournais ne sera pas seul à exposer des œuvres: Didier SALA apportera sa touche de poésie en présentant ses bois flottés récupérés au fil des marées… Il faut savoir que pour cette magistrale exposition Bruno-Paul Barreau Marchand d'Art et Expert à Bordeaux ainsi que Claude Pérusat ont réussi à convaincre les collectionneurs de bien vouloir prêter les oeuvres de leur collection pour cette exposition. Comme le fait remarquer Patrick Reynolds, la région bordelaise terre du vin est devenue grâce au travail d'Alain Juppé une terre d'art et de culture. BERNARD DAMIANO, peintre-expressionniste italien Une exposition à découvrir jusqu’au 26 décembre. Didier SALA présentera lui-même son œuvre à l’occasion du vernissage qui se tiendra à la Galerie du Caveau, le JEUDI 9 NOVEMBRE à 18h30. L’héritage de Bernard DAMIANO sera, quant à lui, raconté par son grand ami, Claude PERUSAT. |
M.O.M.A. Making Space Women Artists and Postwar Abstraction
MOMA TO PRESENT MORE THAN 100 WORKS BY 50 WOMEN ARTISTS The Exhibition Features Nearly 40 Recent Acquisitions—Drawings, Paintings, Making Space: Women Artists and Postwar Abstraction April 15–August 13, 2017 Floor three, Exhibition Galleries NEW YORK, The Museum of Modern Art presents a major exhibition surveying the abstract practices of women artists between the end of World War II and the onset of the Feminist movement in the late 1960s. On view from April 15 through August 13, 2017, Making Space: Women Artists and Postwar Abstraction features approximately 100 works in a diverse range of mediums by more than 50 international artists. By bringing these works together, the exhibition spotlights the stunning achievements of women artists during a pivotal period in art history. Drawn entirely from the Museum’s collection, Making Space includes works that were acquired soon after they were made in the 1950s and 1960s, as well as many recent acquisitions—including a suite of photographs (c. 1950) by Gertrudes Altschul (Brazilian, born Germany. 1904–1962), an untitled sculpture (c.1955) by Ruth Asawa (American, 1926-2013), and an untitled work on paper (c.1968) by Alma Woodsey Thomas (American, 1891–1978)—that reflect the Museum’s ongoing efforts to improve its representation of women artists. Nearly half the works are on view at MoMA for the first time. Making Space is organized by Starr Figura, Curator, Department of Drawings and Prints, and Sarah Meister, Curator, Department of Photography, with Hillary Reder, Curatorial Assistant, Department of Drawings and Prints. |
EXPOSITION PILAR OVALLE AMBASSADE DU CHILI
Patrocinado por la Dirección de Asuntos Culturales del Ministerio de Relaciones Exteriores de Chile l’ambassadrice du Chili en France Madame Marcia Covarrubias a l’honneur de vous annoncer l'exposition «in-corpore» sculptures en bois de la sculptrice Pilar Ovalle du 10 octobre au 13 octobre 2017 - Cette exposition est réservée aux invités de l'ambassade : pour y assister merci de faire une demande auprès de : Assistante de l'Ambassadrice/Asistente de la Embajadora Ambassade du Chili / Embajada de Chile 2, avenue de la Motte-Picquet 75007 Paris Tél: +33 (0)1 44 18 59 39 - Fax: +33 (0)1 44 18 59 61 Mail: omartins(at)minrel.gob.cl Pilar Ovalle est née en 1970 à Santiago, textures, noeuds et formes naturelles travaille depuis plus de 25 ans le bois, à une géométrie et signifiants qui Le processus de l’oeuvre, qui m’est essentiel, est révélé à l’observateur moyennant une trame formelle qui se génère dans les assemblages et les unions et qui font partie essentielle de la grammaire de mon travail. Depuis mes débuts, je m’intéresse à la possibilité de recueillir et de rassembler différentes typologies dans un même matériau, le bois, de l’explorer et parcourir ses limites et de manoeuvrer face aux solutions créatives possibles pour pouvoir continuer à l’aborder d’une façon nouvelle, si possible chaque fois. C’est un jeu auto-imposé, un dialogue dans lequel la maîtrise fait face à la difficulté et à la curiosité pour pouvoir continuer à créer. Pendant les trois dernières années, j’ai incorporé, d’où le titre de l’exposition “in-corpore”, le corps humain comme conteneur d’information dans la sculpture pour représenter de manière explicite les exercices et les emboitages de transformation ainsi que le questionnement spirituel comme fondement de la quête d’individuation de l’être. |
Topologie de l'absence CACN Centre d'Art Contemporain de Nîmes
CACN - Centre d'Art Contemporain de Nîmes Exposition du 7 octobre au 16 décembre 2017 Avec Caroline Bach, Anaïs Boileau, Audrey Guiraud, Guillaume Le Moine, Nelly Monnier, et Eric Tabuchi Lorsque nous avons pensé cette exposition, l’envie était d’abord de revenir à un format davantage épuré et une figuration résolument plus calme, « reposée ». Nous ressentions déjà en amont les interrogations, voire l’énigme théorique de ce thème, qui n’en est finalement pas vraiment un. Comme un entre-deux, nous nous interrogions sur le cheminement intrinsèque de chacune des pratiques présentées. Alors, afin de mieux comprendre les contours et les processus engagés auprès de cette sélection, quelques questions subsistent. Pourquoi mettre en avant ces architectures prosaïques ? Comment se fait-il que les personnes qui y vivent ou y travaillent disparaissent-elles du cadre ? |
David Hockney rétrospective Centre Pompidou Paris 2017
Le Centre Pompidou en collaboration avec la Tate Britain de Londres et le Metropolitan Museum de New York présente la plus complète exposition rétrospective consacrée à l’œuvre de David Hockney. L’exposition célèbre les 80 ans de l’artiste. Avec plus de cent soixante peintures, photographies, gravures, installation vidéo, dessins, ouvrages... incluant les tableaux les plus célèbres de l’artiste tels les piscines, les double portraits ou encore les paysages monumentaux.., l’exposition restitue l’intégralité du parcours artistique de David Hockney jusqu’à ses œuvres les plus récentes. L’exposition s’attache particulièrement à l’intérêt de l’artiste pour les outils techniques de reproduction et de production moderne des images. Animé par un désir constant de large diffusion de son art, Hockney a, tour à tour, adopté la photographie, le fax, l’ordinateur, les imprimantes et plus récemment l’I Pad : « la création artistique est un acte de partage ». L’exposition s’ouvre avec les œuvres de jeunesse, réalisées par Hockney à l’école d’art de sa ville natale de Bradford. Images d’une Angleterre industrieuse, elles témoignent de l’empreinte sur le jeune peintre du réalisme âpre, prôné par ses professeurs adeptes du réalisme social du mouvement du Kitchen sink. De l’école d’art de Bradford au Royal College of Art de Londres, Hockney découvre, assimile la traduction anglaise de l’expressionisme abstrait élaborée par Alan Davie. De l’œuvre de Jean Dubuffet, il retient une stylistique (celle du graffiti, de l’art naïf..;) qui satisfait son projet de produire un art éloquent et socialement, universellement accessible. Chez Francis Bacon, il puise l’audace d’une expression qui aborde explicitement la question de l’homosexualité. Sa découverte de l’œuvre de Picasso achève de le persuader qu’un artiste ne saurait se limiter à un style donné. Il intitule une de ses premières expositions : Démonstration de versatilité.
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From China To Taïwan Musée d'Ixelles Museum Van Elsene
FROM CHINA TO TAÏWAN Les pionniers de l'abstraction (1955-1985) du 15/06 au 24/09/2017 Musée d'Ixelles Dans la Chine des années 1930 imprégnée par la tradition, un noyau de peintres modernistes voit le jour grâce à l’enseignement dispensé à l’école des Beaux-Arts de Hangzhou, dont certains professeurs ont étudié en Europe. Les trois artistes considérés aujourd’hui comme étant les pionniers de l’art abstrait chinois y font leurs classes : Zao Wou-Ki (1920-2013) et Chu Teh-Chun (1920-2014), y étudient de 1935 à 1941, puis y enseignent dès l’année suivante. Lee Chun-Shan (1912-1984) y est professeur de 1937 à 1946. En 1949, après les huit années d’invasion japonaise (1937-1945) surviennent la défaite du Kuomintang et la prise du pouvoir par Mao Zedong : plus d’un million de Chinois quittent alors le continent pour aller à Taïwan, où le gouvernement de Chang Kai-Chek s’est replié. Tandis que Zao Wou-Ki a quitté la Chine un an plus tôt pour s’établir à Paris, Chu Teh-Chun et Lee Chun-Shan s’installent à Taipei en 1949. En 1950, redoutant un conflit avec la Chine occidentale, les États-Unis font de l’île un protectorat américain. Au travers des ouvrages disponibles à la bibliothèque américaine de Taipei, les artistes découvrent par eux-mêmes l’art moderne occidental, de l’impressionnisme à l’art abstrait de l’École de New York, alors en pleine effervescence. |
Pascal Kober Musée de l'Ancien Évêché - Grenoble
Exposition photographique Pascal Kober Du 16 juin 2017 au 17 septembre 2017 Pour ceux qui aiment le jazz comme pour ceux qui pensent ... ne pas l'aimer ! Sous les feux des projecteurs ou dans l'intimité des coulisses, dans les locaux de répétition ou au cœur des grandes tournées internationales, les images de Pascal Kober révèlent le regard d'un photojournaliste, témoin, depuis plusieurs décennies pour la revue Jazz Hot, des évolutions de cette musique centenaire qu'est le jazz. Tendresse pour la note bleue, émotion et complicité marquent cette exposition photographique singulière et largement commentée, dont nombre d'images célèbrent le festival Jazz à Vienne. De A comme Afrique (et Amériques !) jusqu’à Z comme Zoom, cent vingt photographies en couleurs ou en noir et blanc forment un abécédaire tout en humanité. Place au plaisir de la rencontre en images et en musique avec une play-list de titres des grands standards du jazz diffusés dans les salles. Pour prolonger les découvertes, un documentaire, tourné avec la complicité de Pascal Kober, nous emmène dans ses pas, au plus près de son travail de photojournaliste. Au cœur de l’exposition, un piano à disposition du public offrira aux pianistes amateurs l’occasion de s’exercer à la note bleue… |
Matisse en ses murs Musée Matisse Nice
Matisse en ses murs 8 juillet – 13 octobre 2017 Vernissage > Vendredi 7 juillet 2017 à 18 heures Musée Matisse Du 8 juillet au 13 octobre 2017 au Musée Matisse, la Ville de Nice vous invite à découvrir l’exposition « Matisse en ses murs – un nouvel accrochage des collections ». Pour les cent ans de l’arrivée de Matisse à Nice, le musée présente un nouvel accrochage qui rend hommage au lien entre la ville et l’artiste. Ce nouveau parcours éclaire la richesse d’une collection, fruit des donations successives de l’artiste et de ses héritiers à la Ville de Nice, qui offre un accès privilégié et unique à l’intimité de sa création. La salle « Matisse et Nice » racontera l’ancrage de l’artiste dans sa ville d’élection, ses ateliers et lieux de vie successifs, de la Promenade des Anglais jusqu’au Régina, à Cimiez. Le nouvel accrochage s’attachera à révéler une œuvre constamment portée par le dialogue. La « salle invité », renouvelée tous les trois mois, s’ouvrira avec Georges Rouault, alors que la salle dédiée au fauvisme soulignera l’échange avec Henri Manguin. Dialogue avec les cultures aussi, puisque tout au long du cheminement le visiteur pourra découvrir les sources extra-occidentales d’une création profondément humaniste. |
Henri Matisse peignant, atelier du cours Saleya, |
FAHRELNISSA ZEID Tate Modern LONDON
FAHRELNISSA ZEID http://www.tate.org.uk/visit/tate-modern 13 June – 8 October 2017 For public information call +44(0)20 7887 8888, visit www.tate.org.uk Sponsored by Deutsche Bank. Supported by the Fahrelnissa Zeid Exhibition Supporters Group Be mesmerised by the kaleidoscopic paintings of the international female artist, Fahrelnissa Zeid Trained in both Paris and Istanbul, Fahrelnissa Zeid was an important figure in the Turkish avant-garde d group in the early 1940s and the École de Paris (School of Paris) in the 1950s. Her vibrant abstract paintings are a synthesis of Islamic, Byzantine, Arab and Persian influences fused with European approaches to abstraction. Many of her abstract works are monumental and demand attention. Zeid’s reputation as an artist was cemented in the 1950s when she was living between London and Paris and exhibiting extensively internationally. The artist also began experimenting with painting on turkey and chicken bones, which she later cast in polyester resin panels evocative of stained-glass windows. In the later years of her life she unexpectedly returned to figurative painting, creating stylised portraits of her friends and family. Indulge in Zeid’s obsession with line and dazzling colour in this exhibition. Rediscover one of the greatest female artists of the 20th century in this first major retrospective. |
Fahrelnissa Zeid Resolved Problems 1948 |
Guggenheim Bilbao Expressionnisme Abstrait
Expressionnisme Abstrait L'EXPOSITION À une époque trouble entre la Seconde Guerre Mondiale et les années free jazz bercées par la poésie de la génération beat, des artistes comme Pollock, Rothko et De Kooning mirent à mal les conventions en vigueur afin d’inaugurer une nouvelle étape de confiance vis à vis de la peinture. L’Expressionnisme Abstrait est le fruit de l’expérience commune d’une série d’artistes qui vivaient à New York en 1940 et, qui alors même qu’ils étaient amis et compagnons, avaient tous un style à part entière. Contrairement à ce qui s’était produit pour les précédents mouvements des Cubisme et Surréalisme, l’Expressionnisme Abstrait ne semblait pas adopter une formule figée. Cette diversité mit à l’honneur la liberté d’expression individuelle et artistique de chacun d’entre eux. L’Expressionnisme Abstrait marqua un moment clé dans l’évolution de l’art du XXe siècle. Étonnamment, aucune grande exposition n’a été consacrée en Europe à ce mouvement depuis 1959. Avec plus de 130 peintures, sculptures et photographies issues de collections publiques et privées du monde entier, cette exposition ambitieuse comprend les chefs d’œuvre des artistes nord-américains les plus talentueux rattachés à ce mouvement, comme Willem de Kooning, Arshile Gorky, Philip Guston, Franz Kline, Joan Mitchell, Robert Motherwell, Barnett Newman, Jackson Pollock, Mark Rothko, Aaron Siskind, David Smith et Clyfford Still, ainsi que d’autres figures moins connues mais tout aussi révélatrices. Cette sélection prétend réévaluer l’Expressionnisme Abstrait, et souligner que même s’il a été perçu comme un mouvement unifié, ce fut un phénomène extrêmement complexe, pluriel et polyédrique. C’est aussi l’occasion de mettre à mal l’idée selon laquelle l’Expressionnisme Abstrait avait uniquement rayonné dans la ville de New-York, ayant aussi inclus des artistes de la Côte Ouest comme Sam Francis, Mark Tobey et Minor White.
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Jackson Pollock |
DIANE ARBUS The San Francisco Museum of Modern Art SFMOMA
SFMOMA PRESENTS DIANE ARBUS: IN THE BEGINNING IN THE NEW PRITZKER San Francisco Museum of Modern Art SAN FRANCISCO, CA (October 27, 2016)—The San Francisco Museum of Modern Art (SFMOMA) will present the West Coast debut of the acclaimed exhibition diane arbus: in the beginning, on view January 21 through April 30, 2017. Organized by The Metropolitan Museum of Art, diane arbus: in the A lifelong New Yorker, Diane Arbus (1923–1971) found the city and its citizens an endlessly rich subject for her art. Working in Times Square, the Lower East Side and Coney Island, she made some of the most powerful portraits of the 20th century, training her lens on the pedestrians and performers she |
Diane Arbus, Stripper with bare breasts sitting in her dressing room, Atlantic City, N.J |
ALBERTO GIACOMETTI TATE MODERN LONDON
ALBERTO GIACOMETTI 10 May – 10 September 2017 Supported by the Alberto Giacometti Supporters Circle, Tate Patrons and Tate Americas Foundation Tate Modern, Eyal Ofer Galleries
Born in Switzerland in 1901, Giacometti moved to Paris in the 1920s where he became engaged with cubism and latterly joined the Surrealist Group in 1931. Celebrated works such as Woman with her Throat Cut 1932 will reveal Giacometti’s engagement with surrealism as well as his powerful explorations of brutality and sadism. A wide range of the artist’s large scale sculptures will also be showcased alongside his drawings and books. Other works like Untitled (mask) 1934 will demonstrate his engagement with the decorative arts, while Man (Apollo) 1929 and The Chariot 1950 will show his preoccupation with Egyptian and African art. The exhibition will reveal how Giacometti, perhaps more than any other artist of his day, fused the ancient and the modern and broke down barriers between the decorative and the fine arts. |
Alberto Giacometti Man Pointing 1947 |
Michel Macréau Buddy Di Rosa MAISON DES ARTS CHATILLON
Michel Macréau Buddy Di Rosa Exposition réalisée en collaboration avec Culturel et sauvage, élégant et effrayant, Macréau ne peut toutefois se laisser enfermer et nous souhaitons que cette exposition offre une nouvelle lecture, pour une meilleure compréhension, de la place qu’il occupe dans l’histoire de l’art. |
MIGUEL BRANCO MUSÉE DE LA CHASSE ET DE LA NATURE
MIGUEL BRANCO BLACK DEER La cour du musée de la Chasse et de la Nature accueille un cerf en bronze, assis sur le pavé, à la fois alerte et silencieux. C’est l’œuvre de l’artiste Miguel Branco, né au Portugal en 1963. Durant plus de 30 ans, grâce aux mediums de la peinture, du dessin, de la sculpture et de l’image digitale, son œuvre s’est centrée sur l’animal comme sujet principal. Ses figures sont silencieuses et mystérieuses, comme si elles étaient détachées de leur nature pour être vues sous un nouveau jour. |
Miguel Branco |
Exposition Picasso-Giacometti Musée Picasso Paris 2016
Du 4 octobre 2016 au 5 février 2017 Du mardi au vendredi : 10h30 – 18h Musée National Picasso Picasso-giacometti Du 4 octobre 2016 au 5 février 2017, le Musée Picasso présente la toute première exposition consacrée à l'oeuvre de deux des plus grands artistes du XXe siècle : Pablo Picasso (1881-1973) et Alberto Giacometti (1901-1966). Grâce à un prêt exceptionnel de la Fondation Giacometti, cette exposition inédite, qui occupera le rez-de-chaussée et le premier étage de l'hôtel Salé, réunit plus de 200 oeuvres des deux maîtres provenant des riches collections du Musée Picasso et de la Fondation Giacometti, ainsi que des prêts de collections françaises et étrangères. Un important travail de recherche, mené en commun dans les fonds d'archives du Musée Picasso et de la Fondation Giacometti, a permis de révéler des documents inédits, esquisses, carnets et annotations significatives. Ceux-ci éclairent les relations méconnues entre les deux artistes, relations à la fois amicales et formelles, et l'intérêt mutuel qu'ils se sont porté à des moments clefs de leurs carrières, en dépit de vingt ans de différence d'âge. Dotés de tempéraments différents, mais caractérisés tous deux par une grande liberté d'esprit et d'invention, Picasso et Giacometti partagent une fascination pour le lien entre Éros et Thanatos, comme pour le déplacement des limites de la représentation. De leur rencontre au début des années 1930 à leurs dialogues nourris dans l'après-guerre autour des querelles du retour au réalisme, les deux artistes n'ont cessé d'échanger sur leur création. Comme l'exposition le révèle, de nombreuses similitudes formelles et thématiques rapprochent leurs oeuvres de la période surréaliste. À partir de la fin des années 1930, tous deux vont transformer leur pratique et partager des questionnements sur l'art et sa relation au réel, auxquels le peintre-sculpteur et le sculpteur-peintre répondent par des solutions formelles différentes. |
Crédits photos de couverture Dora Maar, Portrait d'Alberto Giacometti, 1936 © Succession Giacometti (Fondation Giacometti + ADAGP) Paris, 2016. Dora Maar, Portrait de Picasso, Paris, studio du 29, rue d'Astorg |
Bernard Buffet Rétrospective Musée d’Art moderne de la Ville de Paris
Bernard Buffet Rétrospective Musée d’Art moderne de la Ville de Paris Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris organise une rétrospective de l’oeuvre de Bernard Buffet (1928 - 1999), considéré comme l’un des peintres français les plus célèbres du XXème siècle, mais également l’un des plus discutés. À travers une sélection d’une centaine de peintures, l’exposition propose une relecture d’une oeuvre qui a été en réalité très peu vue. Parce que le Musée d’Art moderne est le seul musée public possédant une collection importante d’oeuvres de l’artiste (entrée en 1953 par l’important legs Girardin et en 2012 par la donation Ida et Maurice Garnier), il était légitime de réaliser ce projet qui remonte aux premiers contacts pris avec son marchand historique Maurice Garnier (1920 - 2014), il y a près de dix ans, mais que la dimension restée longtemps polémique de l’oeuvre de Bernard Buffet avait retardé. Aujourd’hui, avec la distance du temps, de nombreux artistes, professionnels et amateurs, reconsidèrent l’oeuvre, ce qu’elle pouvait avoir de déroutant s’étant en partie atténué. En balayant l’ensemble de l’oeuvre dans un parcours rétrospectif, mais très sélectif en raison de la grande productivité de l’artiste, l’exposition montrera la qualité et la variété insoupçonnées de ce qui restera peut-être comme une des oeuvres picturales les plus fascinantes du siècle dernier et dont l’influence sera peut-être une des plus considérables. |
Bernard Buffet |
Bernard Lorjou rétrospective Château de Tours
BERNARD LORJOU 2 Décembre au 12 Février 2017 Sous ce titre bien expressif, la Ville de Tours organise, en collaboration avec l’Association Bernard Lorjou, une grande rétrospective de Bernard Lorjou dans son Château du 25, avenue André Malraux. Elle aura lieu du 2 décembre 2016 au 12 février 2017 en réunissant une cinquantaine de peintures, quinze dessins et douze portraits photographiques de l’artiste. Belle occasion de découvrir et redécouvrir l’œuvre de cet artiste qui fascine le public à la fois par ses thèmes et par son art haut en couleur. |
Bernard Lorjou |
Guggenheim Full Abstraction ING Art Center
ING corporate Guggenheim Full Abstraction Du 19 octobre 2016 au 12 février 2017, l’ING Art Center, à Bruxelles, présentera un impressionnant ensemble d’oeuvres d’art issues des collections Peggy Guggenheim à Venise et Solomon Guggenheim à New York. Parmi celles-ci, de nombreux chefs d’oeuvre représentatifs des courants de l’abstraction expressionniste d’après-guerre américain et européen, datant des années 1940 jusqu’aux années 1960, et surtout bon nombre d’oeuvres d’artistes rarement exposés en Belgique. L’exposition retrace l’évolution de la scène artistique des deux côtés de l’Atlantique pendant trois décennies, des années 1940 aux années 1960, à travers les musées de deux collectionneurs américains, Peggy Guggenheim et Solomon Guggenheim. Placé sous la direction de Luca Massimo Barbero, conservateur adjoint de la Collection Peggy Guggenheim de Venise, l’événement est co-organisé par l’ING Art Center et la Fondation Solomon R. Guggenheim de New York. Elle offrira aux visiteurs une occasion exceptionnelle de voir associées des pièces des musées de Solomon et de sa nièce Peggy, pour une vision transversale sur l’oeuvre de certaines des plus grandes figures de l’art du XXe siècle. |
Robert Motherwell Easter Day 1971 |
THE MUSEUM OF MODERN ART NEW YORK RETROSPECTIVE FRANCIS PICABIA
THE MUSEUM OF MODERN ART EXPLORES THE PROVOCATIVE AND PROLIFIC CAREER OF FRANCIS PICABIA WITH HIS FIRST U.S. RETROSPECTIVE IN NEARLY 50 YEARS
MoMA's First-Ever Monographic Exhibition of Picabia Brings Together Some 200 Works to Advance Understanding of the Artist’s Vital Place in 20th-Century Art
Francis Picabia: Our Heads Are Round so Our Thoughts Can Change Direction November 21, 2016–March 19, 2017 The Joan and Preston Robert Tisch Exhibition Gallery, sixth floor
NEW YORK, November 3, 2016—The Museum of Modern Art’s Francis Picabia: Our Heads Are Round so Our Thoughts Can Change Direction, on view November 21, 2016–March 19, 2017, is the first major exhibition of the artist’s work in the US in nearly half a century, and the first ever to chart the full range of Picabia’s audacious, irreverent, and profoundly influential career. “Our heads are round so our thoughts can change direction” is an aphorism coined by Picabia in 1922, and it aptly encapsulates the nonlinear, circular character of his artistic practice. This exhibition presents approximately 200 works in an array of mediums in order to advance understanding of Picabia’s unruly genius and its vital place within the history of modern art. Francis Picabia is organized by MoMA and the Kunsthaus Zürich. The curators are Anne Umland, The Blanchette Hooker Rockefeller Curator of Painting and Sculpture at MoMA; and Cathérine Hug, Curator at the Kunsthaus Zürich; with Talia Kwartler, Curatorial Assistant, MoMA. Prior to its presentation in New York, the exhibition was on view at the Kunsthaus Zürich. |
Francis Picabia. Aello. 1930. Oil on canvas, |
Abstract Expressionism Royal Academy of Arts London
Abstract Expressionism Main Galleries Royal Academy of Arts,
The selection aims to re-evaluate Abstract Expressionism, recognising that though the subject is often perceived to be unified, in reality it was a highly complex, fluid and many-sided phenomenon. Likewise, it revises the notion of Abstract Expressionism as based solely in New York City by addressing such figures on the West Coast as Sam Francis, Mark Tobey and Minor White. |
Clyfford Still, PH-950, 1950. Oil on canvas, 233.7 x 177.8 cm. Clyfford Still Museum, Denver © City and County of Denver / DACS 2016. Photo courtesy the Clyfford Still Museum, Denver, CO; |
LA FONDATION LOUIS VUITTON PRESENTE ICONES DE L'ART MODERNE LA COLLECTION CHTCHOUKINE
EXPOSITION 22 octobre 2016 – 20 février 2017 FONDATION LOUIS VUITTON 8, Avenue du Mahatma Gandhi I— Communiqué de presse La Fondation Louis Vuitton présente l’exposition « ICÔNES DE L’ART MODERNE. L’exposition rend hommage à l’un des plus grands mécènes du début du 20 ème siècle, C’est à partir de 1898 que Sergueï Chtchoukine, grand industriel moscovite, entre en contact avec les marchands Paul Durand-Ruel, Ambroise Vollard, Berthe Weill, puis Georges Bernheim et Daniel Henry-Kahnweiler. Les relations affinitaires qu’il entretient avec les artistes comme Matisse, influencent fortement la formation de sa collection exemplaire de l’art le plus radical de son temps. |
Paul Gauguin (1848-1903, France) |
René Magritte Centre Pompidou Paris
René Magritte 21 septembre 2016 - 23 janvier 2017 L’exposition Magritte. La trahison des images propose une approche à ce jour inédite de l’œuvre de l’artiste belge René Magritte. Rassemblant les œuvres emblématiques, comme d'autres peu connues de l’artiste, provenant des plus importantes collections publiques et privées, l’exposition offre une lecture renouvelée de l’une des figures magistrales de l’art moderne. Une centaine de tableaux, de dessins, et des documents d’archives, sont réunis pour offrir au public cette approche qui s’inscrit dans la ligne des monographies que le Centre Pompidou a consacré aux figures majeures de l‘art du 20e siècle : « Edward Munch. L’œil moderne », « Matisse. Paires et séries » et « Marcel Duchamp. La peinture, même ». L’exposition Magritte. La trahison des images explore un intérêt du peintre pour la philosophie, qui culmine, en 1973, avec Ceci n’est pas une pipe que publie Michel Foucault, fruit de ses échanges avec l’artiste. Dans une conférence qu’il donne en 1936, Magritte déclare que Les affinités électives, qu’il peint en 1932, marque un tournant dans son œuvre. Ce tableau signe son renoncement à l'automatisme, à l’arbitraire du premier surréalisme. L’œuvre, qui montre un œuf enfermé dans une cage, est la première de ses peintures vouée à la résolution de ce qu’il nomme : un « problème ». Au hasard ou à la « rencontre fortuite des machines à coudre et des parapluies », succède une méthode implacable et logique, une solution apportée aux « problèmes » de la femme, de la chaise, des souliers, de la pluie… Les recherches appliquées à ces « problèmes », qui marquent le tournant « raisonnant » de l’œuvre de Magritte, ouvrent l’exposition. L’exposition sera présentée dans un format restreint à la Schirn Kunsthalle Frankfurt, en Allemagne du 10 février au 5 juin 2017. Commissaire : Mnam/Cci, Didier Ottinger |
René Magritte (1898 - 1967) "Les vacances de Hegel", 1958 |
The Metropolitan Museum of Art New-York Max Beckmann
Max Beckmann in New York, Opening at The Met on Exhibition Dates: The Metropolitan Museum of Art Opening October 19, 2016, the exhibition Max Beckmann in New York at The Metropolitan Museum of Art will put a spotlight on the artist's special connection with New York City. It will feature 14 paintings that Beckmann created while living in New York from 1949 to 1950, as well as 25 works, dating from 1920 to 1948, from New York collections. The exhibition assembles several groups of iconic works, including self-portraits; mythical, expressionist interiors; robust, colorful portraits of women and performers; landscapes; and triptychs. The exhibition is made possible by The Isaacson-Draper Foundation. It is supported by an Indemnity from the Federal Council on the Arts and the Humanities. In late December 1950, Beckmann set out from his apartment on the Upper West Side of New York to see his Self-Portrait in Blue Jacket (1950), which was on view at The Metropolitan Museum of Art in the exhibition American Painting Today. However, on the corner of 69th Street and Central Park West, the 66-year-old artist suffered a fatal heart attack and never made it to the Museum. The poignant circumstance of the artist's death served as the inspiration for the exhibition. |
Max Beckmann (German, Leipzig 1884-1950 New York). Self-Portrait in Blue Jacket, 1950. Oil on canvas. Saint Louis Art Museum, Bequest of Morton D. May. SL.9.2016.24.1, © 2016 Artists Rights Society (ARS), New York / VG Bild-Kunst, Bonn |
Ernest Pignon-Ernest Bibliothèque Louis Nucéra Nice
Ernest Pignon-Ernest Bibliothèque Louis Nucéra Par une exposition rassemblant la série des 19 portraits de poètes dont les reproductions orneront le livre d’André Velter, Ceux de la poésie vécue, des ouvrages de bibliophilie ainsi que les livres de et sur l’artiste, en particulier ceux illustrant tous ses combats depuis les années 70 et dont Ernest Pignon-Ernest a composé la couverture. |
Kandinsky Marc & Der Blaue Reiter Fondation Beyeler
Kandinsky, Marc & Der Blaue Reiter Fondation Beyeler, Pour la première fois depuis 30 ans, la Suisse consacre une vaste exposition à l’un des chapitres les plus fascinants de l’art moderne, entré dans l’histoire sous l’appellation de Der Blaue Reiter, « Le Cavalier bleu ». L’exposition munichoise de 1911 et le mouvement d’artistes du même nom ont été à l’origine d’une expérience artistique d’une nouveauté révolutionnaire. À partir des oeuvres de Wassily Kandinsky appartenant à la Collection Beyeler, le public peut découvrir la création d’un groupe d’artistes d’avant-garde, marqué par des principes d’ouverture d’esprit et d’internationalité auxquels la Première Guerre mondiale est venue mettre un terme.
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Wassily Kandinsky und Franz Marc (Hrsg.) Almanach Der Blaue Reiter, Munich, 1914 29,5 x 23 x 2,5 cm ahlers collection © Thomas Ganzenmüller, Hannover |
Les Insoumis de l’Art Moderne MUSÉE MENDJISKY
MUSÉE MENDJISKY Présente Paris, les années 50 12 octobre - 31 décembre 2016 15 Square de Vergennes - Paris XV Contact presse Hermine Parmentier : 01 47 07 98 31 À travers une soixantaine d’oeuvres maîtresses, l’exposition présente des artistes tels que Bernard Buffet, Bernard Lorjou, André Minaux ou encore Paul Rebeyrolle qui ont réaffirmé une vision de l’art faite de chair et de terre et nous montrent combien la seconde partie du XXe siècle n’est pas celle du vide mais celle de la figure réinventée. Dans les années 50, ces jeunes peintres français, se sont battus tout comme Francis Bacon, Balthus, Lucian Freud, Edward Hopper ou Giorgio Morandi pour imposer une figuration que la modernité voulait à jamais dissoudre. |
Francis Bacon de Picasso à Vélasquez Musée Guggenheim Bilbao
Dates : du 30 septembre 2016 au 8 janvier 2017 Avenida Abandoibarra, 2 48009 Bilbao • Portraits, nus, paysages, tauromachie… l’exposition porte un regard neuf sur l’oeuvre de Bacon en l’abordant sous l’angle de l’influence des cultures française et espagnole sur son travail. • Bacon a créé un nouvel univers d’images à partir de la littérature, du cinéma, de l’art et de sa propre vie, en adoptant un langage absolument singulier qui reflète la vulnérabilité humaine avec une grande crudité. • Dans les nus de Bacon prédominent les personnages isolés saisis dans des postures quotidiennes, que le peintre transforme en déformant leur corps d’une façon presque animale, réinventant ainsi le portrait. • Transgresseur dans sa vie et dans son oeuvre, Bacon a franchi plusieurs frontières jusqu’alors difficiles à briser et situé l’être humain face à un miroir où il peut se contempler dans toute sa crudité et sa violence. Le Musée Guggenheim Bilbao présente Francis Bacon : de Picasso à Vélasquez, une exposition de près de 80 toiles qui réunit quelques-unes des peintures les plus marquantes et les moins connues de l’artiste britannique né en Irlande, en regard de l’oeuvre de grands maîtres français et |
Francis Bacon |
Fantaisies brésiliennes Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky Nice
Fantaisies brésiliennes Inauguration de cette exposition en présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l’art moderne et contemporain représentant Christian Estrosi, Président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Maire de Nice, En partenariat avec le Ministère de la Culture de Sao Paulo, la Ville de Nice accueille, du 10 juin au 3 octobre 2016, au Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky, « Fantaisies brésiliennes », une exposition témoignant de l’originalité de l’Art Naïf brésilien issu d’un savant mélange ethnique, d’un syncrétisme religieux, d’un besoin impérieux de braver la dureté de la vie et de lui substituer les couleurs de l’espoir. |
Légende et crédit de la photo |
Ernest Pignon-Ernest MAMAC Nice
VERNISSAGE de l'exposition En présence de l'artiste Vernissage de l'exposition à l'église Abbatiale de Saint-Pons le lundi 27 juin 2016 à 17h00 La Ville de Nice accueille cet été une grande exposition rétrospective d'Ernest Pignon-Ernest au MAMAC. L'artiste investira également l'église abbatiale de Saint-Pons avec la présentation des "Extases". Initiateur de l'art urbain en France, Ernest Pignon-Ernest est né à Nice en 1942. Du plateau d'Albion à Certaldo, de Charleville à Paris, de Naples à Alger, de Nice à Soweto, du Chili à la Palestine, depuis 1966, Ernest Pignon-Ernest change les rues du monde en oeuvre d'art éphémère. Il a ainsi préfiguré nombre d'expériences artistiques qui sollicitent l'espace public. Considéré comme le précurseur de l'art urbain, il est aujourd'hui une figure incontournable et populaire de la scène artistique. Unique par sa tenue éthique et esthétique, son parcours quelque soit les thèmes abordés, a réussi le rare prodige de concilier un engagement sans concession ni reniement avec une expression artistique d'une extrême exigence, au point que certaines de ses images, notamment les fusillés de la Commune, ou son Rimbaud vagabond reproduit à des milliers d'exemplaires, sont devenues de véritables icônes des temps modernes.
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Ernest Pignon-Ernest, Parcours Jean Genet, |
La Maison de la Photographie Robert Doisneau
MUSEE DU QUAI BRANLY JACQUES CHIRAC ou le dialogue des cultures
MUSEE DU QUAI BRANLY Du 21 juin au 9 octobre 2016 Galerie Est AVANT-PROPOS DE STÉPHANE MARTIN, PRÉSIDENT DU MUSEE DU QUAI BRANLY Imaginer "un lieu qui manifeste un autre regard sur le génie des peuples et des civilisations d’Afrique, d’Asie, d’Océanie et des Amériques 1" telle fut l’ambition de Jacques Chirac. Ce désir a germé il y a près de trente ans, à une époque où il paraissait inconcevable qu’en l’espace d’une décennie, plus de 15 millions de personnes viendraient admirer des oeuvres longtemps oubliées. Depuis maintenant 10 ans, le musée du quai Branly poursuit le rêve de son fondateur et propose de faire découvrir, à travers la richesse de ses collections et de sa programmation, l’infinie diversité des cultures. Termes employés par Jacques Chirac dans son discours prononcé lors de l’inauguration du musée du quai Branly le 20 juin 2006. |
Musée du quai Branly. Affiche de l'exposition "JACQUES CHIRAC ou le dialogues de cultures". Du 21 juin au 9 octobre 2016. |
Zao Wou-Ki Musée Cernuschi une donation exceptionnelle
ZAO WOU-KI MUSEE CERNUSCHI L’entrée dans la collection du musée Cernuschi de la donation de Madame Françoise Marquet-Zao est historique. Tout d’abord, elle rappelle que, dès 1946, les oeuvres de Zao Wou-ki avaient été présentées pour la première fois en France au Musée Cernuschi. Vadime Elisseeff, alors conservateur au musée, avait eu le discernement et l’audace de présenter au public parisien cet artiste à la fois jeune et inconnu ! La presse de l’époque avait tout de suite reconnu le talent de Zao Wou-ki. Deux ans plus tard, le jeune peintre chinois arrivait à Paris, une ville qui allait demeurer l’espace privilégié de sa création. Les oeuvres de la donation évoquent justement cette période clé au cours de laquelle Zao Wou-ki multiplie les expériences techniques et chemine de la figuration vers l’abstraction. Ainsi pour le seul travail sur papier, l’artiste pratique le fusain, l’aquarelle, la gouache et bien sûr l’encre. Il réalise quelques portraits d’un trait sûr aux accents matissiens, s’inspire aussi bien de modèles vivants nus que de gravures et d’estampages chinois antiques. Après quelques années de rupture, il retrouvera la voie de l’encre à partir des années 1970 et ne la quittera plus. La série de compositions abstraites datées des décennies 1970 à 2000, illustre avec précision les multiples facettes de cette recherche. |
Couverture © Petit Oeuvres de |
Jacques Henri LARTIGUE Théâtre de la Photographie et de l’Image Charles Nègre Nice
Jacques Henri LARTIGUE Vernissage > Jeudi 16 juin 2016 à 19 heures En présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l’Art moderne et contemporain THEATRE DE LA PHOTOGRAPHIE ET DE L'IMAGE Tous les jours sauf le lundi, le 1er janvier, Jacques Henri Lartigue est né à Courbevoie le 13 juin 1894. Il meurt à Nice le 12 septembre 1986. Peintre et photographe, il devient célèbre grâce à ses clichés évoquant sa vie familiale et la société mondaine de la Belle Epoque. Il est considéré au XXe siècle comme un génie du noir et blanc. Curieux, il essaie toutes les nouvelles techniques photographiques ; clichés de sujets en mouvement, ses images représentent aussi bien les membres de sa famille que les premiers temps de l’aviation, les manifestations sportives, les « belles dames » du bois de Boulogne, et les photographies de la Riviera où il fait de nombreux séjours de 1908 à 1986. |
Emile Savitry Musée Mendjisky
MUSÉE MENDJISKY ÉCOLES DE PARIS Présente 15 Square de Vergennes - Paris XV Contact presse : 01 47 07 98 31 info(at)fmep.fr www.fmep.fr ÉMILE SAVITRY Un photographe de Montparnasse 8 juin - 5 octobre 2016 Réunies pour la première fois dans un seul lieu, deux expositions de photographies d’Émile Savitry (1903-1967), l’une monographique, l’autre thématique sont présentées au Musée Mendjisky- Écoles de Paris du 8 juin au 5 octobre 2016. Elles dévoilent les différentes facettes de l’oeuvre de ce photographe au regard de peintre, proche des surréalistes, ami de Brassaï et de Prévert, amateur de jazz qui suivit toute sa vie une route buissonnière. |
Photo Emile Savitry Nu de l'Académie de la Grande Chaumière à Montparnasse, Paris, 1950-1951 Courtesy Sophie Malexis |
Le Vitra Design Museum ouvre le Schaudepot
Guggenheim Bilbao L’École de Paris 1900–1945
Le Musée Guggenheim Bilbao présente le 22 avril au 23 octobre 2016 Musée Guggenheim Bilbao • Première exposition d’oeuvres provenant de la Collection du Musée Guggenheim de New York depuis le renouvellement de l’Accord de Gestion du Musée Guggenheim Bilbao souscrit avec la Solomon R. Guggenheim Foundation en décembre 2014 • Commissaire : Lauren Hinkson, conservatrice adjointe des Collections du Solomon R. Guggenheim Museum de New York • L’accrochage approfondit la connaissance des principaux mouvements de l’art moderne, du Cubisme à l’Orphisme et au Surréalisme, ainsi que des artistes inscrits dans la mouvance appelée École de Paris. • C’est à Paris que Picasso et Braque ont bouleversé les conventions en peinture, que Delaunay a transposé ses visions en couleurs harmonieuses, que Kandinsky a ouvert de nouvelles voies à l’abstraction et que Brancusi a réinventé la façon de présenter la sculpture dans l’espace. • L’exposition présente quelques-unes des peintures et des sculptures les plus influentes du siècle dernier, oeuvres de créateurs comme Brancusi, Braque, Delaunay, Modigliani ou Picasso. |
Juan Gris |
Performance en direct de Miquel Barceló et Josef Nadj
Danse et argile – « Paso Doble », une performance en direct De son vivant, Jean Dubuffet a réalisé pour ses œuvres plastiques des notices consignant minutieusement les matériaux utilisés pour ses travaux. Au-delà des observations personnelles que contiennent ces « recettes », elles constituent une passionnante documentation sur les curieux ingrédients de ses œuvres, parmi lesquels du sable, de l'argile, de la cendre et de la terre glaise. Miquel Barceló a décrit en ces termes le rapport qu'il entretient avec Dubuffet : « Ces formules magiques qui se lisent comme si elles étaient composées pour la confection de plats bizarres, raffinés et brutaux, m'ont durablement influencé. » Une autre source d'inspiration que partagent Miquel Barceló et Jean Dubuffet est l'« Art brut », les créations d'artistes autodidactes. « Paso Doble » offre une illustration absolument remarquable des liens étroits qui unissent l'artiste français à l'artiste espagnol. |
Performance en direct de Miquel Barceló et Josef Nadj |
Petite main chez Henri Matisse Jacqueline Duhême
Exposition dossier : Musée Matisse A travers cet ouvrage, Jacqueline Duhême nous fait partager son expérience unique auprès de Matisse, avec qui elle a entretenu une grande complicité, et nous permet d’entrer dans l’intimité de la vie du Maître, en livrant des détails enrichissants sur sa pratique artistique et sa rigueur dans le travail. |
Couverture du livre Petite main chez Henri Matisse |
Alexander Calder & Fischli/Weiss Fondation Beyeler
Alexander Calder & Fischli/Weiss
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Alexander Calder, Apple Monster, 1938, Calder Foundation, New York donation d'Alexander S.C. Rower à la mémoire de Mary Calder Rower, 2015, © 2016 Calder Foundation, New York / ProLitteris, Zurich; Photo: Calder Foundation, New York / Art Resource, New York |
Jiménez-Balaguer Centre Cultural Metropolità Tecla Sala
L’Hospitalet recorda Jiménez-Balaguer INAUGURACIÓ: Dijous 10 de març de 2016, a les 19.30 h Centre Cultural Metropolità Tecla Sala Laurent Jiménez-Balaguer (L’Hospitalet 1928 - París 2015) va irrompre a l’escena artística catalana en la dècada dels anys cinquanta amb una pintura extraordinàriament vital pròxima a les tendències informalistes i avalat per la crítica més solvent del moment. Des de 1958 Jiménez-Balaguer va desenvolupar a París tota la seva carrera professional fins a la seva mort. El Centre d’Art Tecla Sala ret amb aquesta exposició pòstuma un merescut record a l’artista amb obres que abracen des de la dècada dels anys quaranta fins a 2014, provinents de la col•lecció de l’artista, del Museu d’Art Contemporani de Barcelona (MACBA), de la Fundació Vila Casas i del Museu de L’Hospitalet. Laurent Jiménez-Balaguer nascut al barri de la Torrassa de L’Hospitalet el 1928 va irrompre a l’escena artística catalana en la dècada dels anys cinquanta avalat per Josep Maria de Sucre i la crítica més solvent del moment, com la de Sebastià Gasch, Cesáreo Rodríguez Aguilera, Rafael Manzano González o Juan Eduardo Cirlot. Amb una pintura extraordinàriament vital va fer les primeres exposicions individuals a Barcelona, València i Madrid, amb una obra pròxima a les tendències informalistes que molt aviat va expandir-se per conformar un llenguatge plenament personal. Molt aviat es va instal•lar a París i es va vincular a projectes murals en l’àmbit de l’arquitectura pública fet que va afavorir que s’allunyés dels circuits artístics habituals, encara que sempre va seguir pintant. |
Jimenez-Balaguer Foto: ©Pedro Madueño |
Raoul Hausmann Musée départemental d’art contemporain de Rochechouart
Raoul Hausmann, Dadasophe Ce printemps, le musée départemental d’art contemporain de Rochechouart fête les 100 ans de Dada en présentant une exposition consacrée à l’artiste Raoul Hausmann. Il s’agit de la première exposition personnelle d’envergure qui lui est dédiée depuis la rétrospective de 1994. Cette manifestation s’appuie sur le fonds conservé par le musée, riche de plus de 700 productions et de milliers d’archives personnelles. Ces oeuvres et textes créés et conservés par Raoul Hausmann tout au long de son exil permettent de dresser un portrait inédit de celui qui se revendiquait « dadasophe », et de mettre en valeur la diversité de son art, en particulier l’héritage expérimental de Dada. |
Raoul HAUSMANN, Dada Raoul, 1951, papiers et photographies découpés, aquarelle et encre sur papier 37,5 x 30 cm, Collection musée départemental d'art contemporain de Rochechouart |
Raoul Hausmann naît à Vienne en 1886. Fils d'un peintre académique, il gagne Berlin en 1900. Après des débuts influencés par le cubisme, l'expressionnisme et le futurisme, il est en 1918 un des fondateurs à Berlin du mouvement Dada. Apparu deux ans plus tôt à Zürich en réaction à la 1ère guerre mondiale, Dada redéfinit profondément et avec iconoclasme la forme et les buts de l’art. A Berlin, Dada se fait davantage politique. Hausmann en est un des grands animateurs. Face au constat de l’échec des Beaux-arts traditionnels, notamment de la peinture, il invente le photomontage et devient un des initiateurs du poème phonétique, dont le fameux Fmsbw qui a une grande influence sur son ami Kurt Schwitters. |
Hélène Guenin nouvelle directrice du MAMAC de Nice
Communiqué de presse Musée d'Art Moderne et d'Art Contemporain de Nice (MAMAC) Prise de fonctions d'Hélène Guenin, la nouvelle directrice Le poste de directeur du MAMAC étant vacant à la suite du départ à la retraite de Gilbert Perlein, un appel à candidature a été lancé le 14 avril 2015. Suite à cet appel, 37 candidatures ont été déposées. Un jury s'est tenu, en présence de représentants de la Ville de Nice et du Ministère de la Culture, avec la participation de Jean-Jacques Aillagon, ancien ministre de la Culture, et a retenu la candidature d'Hélène Guenin qui a pris ses fonctions au musée le lundi 7 mars 2016. |
Hélène Guenin |
Roger Bensasson - Joël Besse - Charles Bézie Maison des Arts Chatillon
Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon MAISON DES ARTS Fruits de la superposition d’une grille horizontale et verticale et d’une autre diagonale, les signes créés par Bensasson se déclinent en propositions plastiques infinies. La réduction à un seul signe, opérée en 2008, et l’utilisation du carton plutôt que la toile orientent ses recherches vers d’autres perspectives. |
Exposition Bettina Rheims Maison Européenne de la Photographie
EXPOSITION BETTINA RHEIMS Bettina Rheims et la Maison Européenne de la Photographie entretiennent depuis toujours des liens intimes. Alors, quel meilleur endroit que celui dont elle a investi les espaces encore en friche, en 1990, pour exposer sa série Modern Lovers et où elle a semé le trouble en 2000 avec I.N.R.I., pour présenter aujourd’hui, pour la première fois à Paris, un itinéraire à travers quarante ans de photographie ? Des premières images aux travaux personnels les plus récents, l’exposition, pensée comme un cheminement, mêle les séries légendaires, les photographies iconiques de Bettina Rheims et certains travaux plus confidentiels ou qui n’ont encore jamais été montrés en France. |
Elizabeth Berkley in a coucou’s nest, |
Musée Masséna Nice Exposition Charlotte Salomon
Musée Guggenheim Bilbao Making Africa
Guggenheim Bilbao Museoa Making Africa–Un continent du design contemporain 30 octobre 2015 – 21 février 2016
L’exposition Making Africa–Un continent du design contemporain présente des travaux appartenant à un large éventail de domaines créatifs : design d’objets et de mobilier, arts graphiques, illustration, mode, architecture, urbanisme, art, artisanat, cinéma, photographie, sans compter l’approche numérique et analogique. Ces œuvres occupent, délibérément, cette zone grise existant entre les différentes disciplines et pourtant, elles nous fournissent des réponses concrètes à la question de ce que peut et doit apporter le design au XXIe siècle. Par exemple, ils découvrent de nouvelles possibilités dans l’usage des matériaux, mettent davantage l’accent sur le processus que sur le résultat et réalisent des déclarations audacieuses sur l’avenir. |
Pierre-Christophe Gam Omar Victor Diop Mame, 2014 |
Grand Palais Exposition Lucien Clergue
LUCIEN CLERGUE Lucien Clergue, les premiers albums |
Anonymats d'aujourd'hui MUSEE DE L'ELYSEE LAUSANNE
Anonymats d’aujourd’hui Quelle place la ville contemporaine donne-t-elle à l’individu ? Il est d’usage de dire que les métropoles actuelles sont anonymes, brassant des masses humaines dans lesquelles le citadin se noie. |
© Hans Wilschut, Network, de la série «Hermetic City», 2015 |
Werner Bischof MUSEE DE L'ELYSEE LAUSANNE
A l’occasion du centième anniversaire de la naissance du photographe suisse Werner Bischof (1916-1954), le Musée de l’Elysée présente une rétrospective de son travail intitulée Point de vue, produite par Magnum Photos (Paris). L’exposition propose près de 200 tirages originaux, parfois inédits, choisis dans la collection du Werner Bischof Estate (Zurich). L’exposition présentera également des planches-contacts, des livres, des magazines et des lettres personnelles. Une installation multimédia créée pour la circonstance permettra une approche contemporaine de son travail. L’exposition présentera l’ensemble de son œuvre en Suisse (1934-1944), en Europe (1945-1950), en Asie (1951-1952) et en Amérique du Nord et du Sud (1953-1954). |
Breast with grid, Zurich, Switzerland, 1941 © Werner Bischof / Magnum Photos / Courtesy Musée de l'Elysée |
Jacques Grinberg Maison des Arts Châtillon
Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon Exposition ouverte tous les jours sauf le lundi, de 14h à 18h jusqu'au 28 février 2016. Né en 1941 à Sofia (Bulgarie), Jacques Grinberg et sa famille s’installent en Israël en 1954. Scolarisé dans un kibboutz, il part, à 17 ans, étudier aux Beaux-Arts de Tel-Aviv. En 1961, il s’installe à Paris pour se confronter à la capitale des arts. Il fait alors partie des précurseurs de la Nouvelle Figuration mais s’en détache rapidement. Jacques Grinberg suit alors sa propre voie avec, en fil rouge, la volonté de dénoncer les oppressions : « Je veux peindre pour les autres ». |
Jacques Grinberg Huit (ou Autel) 1974 encre de chine, 50 x 65 cm |
Pour cette exposition, la Maison des Arts a sélectionné un ensemble d’oeuvres retraçant le parcours de l’artiste de 1960 à 2000 témoignant de ses principales sources d’inspiration (politiques, philosophiques, culturelles, spirituelles) et de la vigueur de leurs expressions.
En collaboration avec l'association "L'Homme bleu" |
Picasso Sculpture The Museum of Modern Art New York
Picasso Sculpture The Alfred H. Barr, Jr. Painting and Sculpture Galleries, fourth floor Picasso Sculpture offers a broad survey of Pablo Picasso’s work in three dimensions, spanning the years 1902 to 1964. The largest museum presentation of Picasso’s sculptures to take place in the United States in nearly half a century, the exhibition brings together approximately 140 sculptures from Picasso’s entire career via loans from major public and private collections in the U.S. and abroad, including 50 sculptures from the Musée national Picasso–Paris. With many works on view for the first time in the U.S., it provides an opportunity to explore a rarely seen aspect of Picasso’s long and prolific career. The installation occupies the entirety of MoMA’s fourth floor galleries, allowing sufficient space for the sculptures to be viewed fully in the round. Picasso Sculpture is presented by MoMA in collaboration with the Musée national Picasso–Paris, and is organized by Ann Temkin, The Marie-Josée and Henry Kravis Chief Curator of Painting and Sculpture, and Anne Umland, The Blanchette Hooker Rockefeller Curator of Painting and Sculpture, MoMA; with Virginie Perdrisot, Curator of Sculptures and Ceramics at the Musée national Picasso–Paris. |
Cover of Picasso Sculpture, published by The Museum of Modern Art, New York |
Charlotte Salomon Musée Masséna Nice
MUSEE DE L'ELYSEE LAUSANNE Mot de Tatyana Franck
Mot de Tatyana Franck 2015 fut une année riche en événements pour le Musée de l’Elysée. |
Tatyana Franck, Nuit des images 2015 © Gregory Collavini |
La Fondation Beyeler fête les 100 ans de la toile Carré noir de Kasimir Malevitch
Riehen/Bâle. Voici exactement un siècle que le 19 décembre 1915, la galeriste Nadejda Dobytchina inaugurait dans son appartement privé de Saint-Pétersbourg (alors, Petrograd) « La dernière exposition futuriste de tableaux 0,10 ». Cent ans plus tard, la Fondation Beyeler rend hommage à la naissance du Carré noir de Kasimir Malevitch, qui était au coeur de cette présentation. La « Joconde de l’art non figuratif » de Malevitch est encore présente jusqu’au 10 janvier à la Fondation Beyeler, où elle constitue le centre de la reconstitution critique « À la recherche de 0,10 », consacrée aux artistes de l’avant-garde russe. Le samedi 19 décembre 2015, le musée célèbrera entre 10 et 18 heures les cent ans de la présentation originelle de l’énigmatique tableau de Malevitch. Des visites guidées thématiques en plusieurs langues, un atelier de maquillage suprématiste, des lectures de poèmes futuristes russes, des romances musicales russes et un bar à vodka avec DJ font partie du programme festif du centenaire du Carré noir de Kasimir Malevitch. Cette date marque en effet l’inauguration de l’exposition de 1915 et la toute première présentation du Carré noir. |
Illustration : Photographie d’Olga Rozanova, Xénia Bogouslavskaïa et Kasimir Malevitch à l’exposition « 0,10 », Petrograd, 1915. Archives nationales russes de littérature et d’art, Moscou. |
MAMAC Nice Le précieux pouvoir des pierres
Le précieux pouvoir des pierres Marina Abramović, Michel Blazy, George Brecht, James Lee Byars, Pierre Laurent Cassière, Marion Catusse, Marine Class, Hubert Duprat, Jean Dupuy, Paul Armand Gette, Isabelle Giovacchini, Guillaume Gouerou, Laurent Grasso, Alicja Kwade, Didier Mahieu, Aurélien Mauplot, Éric Michel, Damián Ortega, Ève Pietruschi, Emmanuel Régent, Evariste Richer, Jean-Philippe Roubaud, Bettina Samson, Valentin Souquet. MAMAC Vernissage : Les minéraux suscitent la curiosité et l’émerveillement collectifs. Qui, petit ou grand, n’est pas parti à la chasse aux cailloux, collecter les spécimens les plus curieux pour les arranger en une constellation de petits trésors ? Cet attrait oscille entre la simple curiosité d’amateur et la contemplation esthétique, entre la croyance spirituelle ou magique et l’expérimentation scientifique. Si cette fascination en art s’inscrit dans une histoire qui reste encore à écrire, aujourd’hui force est de constater l’engouement des artistes actuels pour la minéralogie et plus spécifiquement pour le précieux pouvoir des pierres. Certains artistes les utilisent brutes tels des ready-mades re-sensibilisés, les collectent, les mettent en scène ou les représentent, quand d’autres les soumettent à des expérimentations, les transforment et produisent des simulacres.
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Légende et crédit photo : Alicja Kwade (1979, Katowice) Lucy, 2004-2006 Charbon noir pressé et agent adhésif 14 x 14 x 18 cm Courtesy KÖNIG GALERIE, Berlin © Alicja Kwade - Photo : Matthias Kolb |
Moussa Sarr Galerie de la Marine Nice
Exposition Moussa Sarr Corpus Delicti février - 3 avril 2016 Vernissage > Vendredi 5 février à 19 heures En présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l'art moderne et contemporain & de l'artiste Galerie de la Marine 59, quai des Etats-Unis – Nice - www.nice.fr Du 6 février au 3 avril 2016, la Ville de Nice invite le jeune vidéo-performeur Moussa Sarr, à présenter son exposition Corpus Delicti à la Galerie de la Marine : 6 vidéos, 9 photographies, une installation et une sculpture. Le vernissage de l'exposition aura lieu vendredi 5 février à 19 heures. Jeune artiste émergent, Moussa Sarr est un vidéo-performeur et photographe. Né à Ajaccio en 1984, d'origine sénégalaise, après son diplôme aux Beaux Arts de Toulon et au Fresnoy, ce jeune artiste doué connait une ascension rapide. Ses vidéos ont intégré en 2014 des collections prestigieuses telles que celles du Fonds National des Arts Plastiques à Paris, et Artemis / François Pinault. |
Légende et crédit photo : Moussa Sarr Corpus delicti, photographie, 153 x 125 cm, 2014 |
The Metropolitan Museum of Art Dramatic Indian Sculptural Masks
The Metropolitan Museum of Art | 1000 5th Ave at 82nd Street | New York | NY | 10028 Dramatic Indian Sculptural Masks to be Featured in Exhibition on Theme of Vishnu at Metropolitan Museum Exhibition dates: December 19, 2015–June 5, 2016 Five rare wooden sculptural masks made in India—recently acquired by The Metropolitan Museum of Art—will be the highlighted works in the special exhibition Encountering Vishnu: The Lion Avatar in Indian Temple Drama, opening at the Met on December 19. Worn by actors in dramatic plays that were presented during religious festivals in southern India, the masks represent a largely unrecorded category of late medieval devotional art from India. The appearances of Vishnu in many guises, known as avatars, are most famously celebrated in his Ten Avatars (Dasavatar). In this exhibition, Vishnu's Narasimha (man-lion) appearance will be celebrated with several dramatic sculptural depictions. They all explore the theme of Vishnu in his man-lion form, revealing himself at the court of an evil king in response to the king's attempts to slay his own son for his unwavering devotion (bhakti) to Vishnu. A frightful battle ensues in which Narasimha finally overcomes the protective magic that the evil King Hiranyanatakam surrounds himself with, and Narasimha disembowels the king. Order is thus restored to the universe. |
Narasimha, South India (Tamil Nadu), |
This narrative is dramatically represented in sculptures and painting, and when staged it is given heightened drama by the wearing of these powerfully expressive masks. This temple drama, known as Hiranyanatakam, is still performed in the Kaveri delta region of Tamil Nadu, in villages around Thanjavur in southern India. Along with the masks, the exhibition will present works in bronze, sandstone, and wood, as well as miniature paintings, lithographic devotional prints, and early photography, all of which illuminate the theme of Vishnu's divine appearances. Dating from the 6th to the 20th century, the 30 works will be drawn from the Met's collection, as well as private collections, and will include an extraordinary seated sandstone Narasimha from the sixth or seventh century. The exhibition is made possible by The Miriam and Ira D. Wallach Foundation Fund. The exhibition will be organized by John Guy, Florence and Herbert Irving Curator of the Arts of South and Southeast Asia. |
Gérard Fromanger CENTRE POMPIDOU
Gérard fromanger Le Centre Pompidou consacre une exposition à l’oeuvre de Gérard Fromanger. Entre 1964 et 2015, à travers un parcours thématique composé d’une cinquantaine de peintures, de deux sculptures, d’une dizaine de dessins et d’un film, dans les espaces réunis de la galerie du musée et de la galerie d’art graphique, cette rétrospective inédite invite le public à découvrir les différentes expressions d’une dualité au coeur de l’art de Gérard Fromanger : la passion picturale et le souci du monde. |
Le coeur fait ce qu’il veut, Peinture-Monde, |
Interview de E. Le Bail sur Emile Verhaeren
L’exposition, montée en co-commissariat avec Nicole Tamburini, historienne de l’art, illustre l’acuité de l’écriture et de l’oeil de Verhaeren, passeur d’art. Il fut l’ami fidèle de nombreux artistes de son temps, des écrivains bien sûr comme Stefan Zweig, Rainer Maria Rilke ou Romain Rolland mais aussi des peintres, sculpteurs ou graveurs qui inventèrent un art engagé et total. Ceux que l’on ne nomme pas encore postimpressionnistes, pointillistes et symbolistes mais qui impulsent un vent de contestation et de liberté sur l’art. Critique d’art mais aussi collectionneur, Verhaeren a soutenu passionnément, fiévreusement, les avant-gardes de son époque, contre les critiques virulentes et les railleries populaires. Sa poésie est empreinte d’un grand souffle et d’une énergie vitale, prônant la naissance d’une civilisation nouvelle basée sur la recherche d’une justice sociale qui interpelle le lecteur aujourd’hui encore, plus d’un siècle après sa création. |
MUSEES DE LA VILLE DE NICE PROGRAMMATION DES EXPOSITIONS ANNEE 2016
Emile Verhaeren Poète et passeur d'art
Émile Verhaeren (1855-1916) Du 15 octobre 2015 au 6 mars 2016, le musée des Avelines consacre une exposition à Émile Verhaeren (1855–1916) afin de redécouvrir, à l’approche du centenaire de sa mort, ce critique d’art, ami des artistes et poète flamand d’expression française qui vécut les seize dernières années de sa vie à Saint Cloud. L’ exposition a pour ambition de mettre en lumière cette personnalité qui fut l’un des acteurs les plus importants de la vie artistique au tournant des XIXe et XXe siècles. |
Émile Verhaeren en redingote rouge, Georges Tribout (1884-1962) |
PICASSO.MANIA
Picasso.mania 7 octobre 2015 - 29 février 2016 Grand Palais « Vous continuerez longtemps à peindre ? |
Picasso.mania affiche Grand Palais |
Leur présentation s’inspire des accrochages réalisés par l’artiste dans ses ateliers, et des expositions qu’il a lui-même supervisées (Galerie Georges Petit à Paris en 1932, Palais des Papes à Avignon en 1970 et 1973). Aux grandes phases stylistiques (cubisme, oeuvre tardif...), aux oeuvres emblématiques de Pablo Picasso (Les Demoiselles d’Avignon, Guernica) répondent des créations contemporaines présentées dans des salles monographiques (David Hockney, Jasper Johns, Roy Lichtenstein, Martin Kippenberger...) ou thématiques, regroupant des oeuvres mêlant techniques et supports les plus variés (vidéos, peintures, sculptures, arts graphiques, films, photographies, installations…). |
La Fondation Beyeler lance SPEED ART
Est-ce déjà Noël ? La Fondation Beyeler lance SPEED ART, un jeu de réaction palpitant consacré aux œuvres de sa collection permanente. Riehen/Bâle. Dans le cadre de son engagement artistique en faveur des enfants et des jeunes, la Fondation Beyeler lance SPEED ART, un jeu de cartes qui se joue à un rythme effréné. Ce jeu de réaction, conçu autour de l'art et des artistes de la Collection Beyeler, s'attache également à transmettre des informations intéressantes et invite les amateurs d'art, jeunes et moins jeunes, à observer attentivement les œuvres. Les joueurs sont invités à découvrir des points communs entre les œuvres d'artistes célèbres comme Van Gogh, Cézanne, Klee, Mondrian et bien d'autres encore. SPEED ART est disponible dès à présent à l'Art Shop de la Fondation Beyeler, au musée ou en ligne : un joli cadeau de Noël artistique et culturel pour toute la famille. Sa réalisation a été rendue possible grâce à l'engagement d'UBS, mécène de longue date et partenaire engagé de la Médiation artistique pour les familles et les jeunes de la Fondation Beyeler. |
L'art enrichit le quotidien et ouvre de nouvelles perspectives. Il rend visible ce que nous sentons, pensons, redoutons ou souhaitons. Il existe bien des manière de découvrir toute la diversité de l'art. Avec SPEED ART, l'accès ludique occupe évidemment le premier plan. Ce jeu propose une introduction simple et compréhensible aux célèbres œuvres de la collection de la Fondation Beyeler consacrée à l'art moderne et contemporain. Il s'agit de porter un regard neuf sur certains des chefs-d'œuvre les plus connus de la Collection Beyeler et de relever des similitudes, par ex. dans les œuvres de Van Gogh ou Cézanne ; il peut s'agir de motifs comparables, comme des nus ou des représentations d'animaux, ou d'un style, figuratif ou abstrait. SPEED ART invite à repérer immédiatement les différences et les points communs. En famille ou avec des amis, chez vous ou en voyage, attendez-vous à des discussions animées et de nombreux éclats de rire ! Quant à la question « Et ça, c'est abstrait ?! », vous pourrez continuer à en débattre devant d'autres œuvres lors de votre prochaine visite au musée. SPEED ART est le fruit d'une collaboration entre le célèbre éditeur de jeux Carlitt plus Ravensburger, des concepteurs de jeux et l'équipe de la Médiation artistique de la Fondation Beyeler. |
Alexander Calder: Performing Sculpture
Tate Modern
Bankside,
London SE1 9TG, United Kingdom
Call +44 (0)20 7887 8888
Tate London
11 November 2015 – 3 April 2016
Tate Modern, Level 3
Supported by Terra Foundation for American Art with additional support from the Performing Sculpture Supporters Circle
Open daily from 10.00 – 18.00 and until 22.00 on Friday and Saturday
For public information call +44 (0)20 7887 8888, visit tate.org.uk, follow @Tate #Calder
Tate Modern presents the UK’s largest ever exhibition of Alexander Calder (1898-1976). Calder was one of the truly ground-breaking artists of the 20th century and, as a pioneer of kinetic sculpture, played an essential role in shaping the history of modernism. Alexander Calder: Performing Sculpture brings together approximately 100 works to reveal how Calder turned sculpture from a static object into a continually changing work to be experienced in real time.
Alexander Calder initially trained as an engineer before attending painting courses at the Arts Students League in New York. He travelled to Paris in the 1920s where he developed his wire sculptures and by 1931 had invented the mobile, a term first coined by Marcel Duchamp to describe Calder’s motorised objects. The exhibition traces the evolution of his distinct vocabulary – from his initial years captivating the artistic bohemia of inter-war Paris, to his later life spent between the towns of Roxbury in Connecticut and Sachéin France.
Ben Musée Tinguely Bâle Suisse
La galerie Eva Vautier vous invite à l'exposition hors les murs de Ben Vautier Est-ce que tout est art ? Ben Vautier Galerie Eva vautier ist alles Kunst ? Le Musée Tinguely , Bâle - Suisse |
Ben ist alles Kunst ? Courtesy Galerie Eva Vautier |
ANNE ET PATRICK POIRIER MUSEE JEAN COCTEAU
ANNE ET PATRICK POIRIER LA CHAMBRE D’ORPHEE |
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La chambre d’Orphée est le titre choisi à dessein par Anne et Patrick Poirier, en écho aux liens subtils unissant leur oeuvre et celle de Jean Cocteau que l’exposition met en lumière. Ils sont tous trois fins connaisseurs des mythes qui n’ont cessé de nourrir leur imaginaire et passionnés par les méandres de la psyché. Leur créativité puise aussi bien dans leur histoire personnelle que dans celle du monde, en particulier méditerranéen. Heurtebise, Cégeste, Orphée, Eurydice, Gradiva, Norbert Hanold, Freud sont les figures tutélaires de leurs pérégrinations introspectives dont l’incarnation prend les formes les plus diverses : poésie, théâtre, cinéma et dessin pour Cocteau ; sculpture, installation, peinture, photographie, écriture, vidéo pour Anne et Patrick Poirier. |
Anne et Patrick Poirier, Valise, 1968, documents publicitaires touristiques de voyages méditerranéens /Italie, carton, papier, 30 x 40 cm (fermée). © A et P Poirier, courtesy Galerie Mitterrand, photo : Jean-Christophe Lett |
Valérie Belin Centre Pompidou
VALÉRIE BELIN D’où provient ce sentiment d’inquiétante étrangeté que produisent les photographies de Valérie Belin ? De la carnation vivante de ses mannequins de vitrine, de la fixité du visage de ces femmes rencontrées dans la rue ? De l’aspect organique de ces carcasses de voitures, du caractère sculptural de ces boeufs écorchés ? Est-ce un sosie ou une statue de cire ?
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Valérie Belin |
Par le traitement de la lumière, des contrastes, les proportions des tirages et autres paramètres savamment orchestrés, Valérie Belin joue de l’incertitude. Devant ses images, il est souvent difficile de dire si ce que l’on regarde est doué de vie ou inanimé, réel ou virtuel, naturel ou artificiel.
Des détails subtils qui interrompent la continuité quotidienne, ramenant au concept d’inquiétante étrangeté de Sigmund Freud qui la définissait justement comme « Le fait de douter qu’une créature apparemment vivante soit animée, et à l’inverse l’idée qu’une créature sans vie pourrait bien être animée, en se référant à l’impression produite par les mannequins de cire, les poupées ou les automates réalisés avec art » [ Sigmund Freud, « L’Inquiétante étrangeté », 1919 ]. C’est cela précisément qui confère aux oeuvres de Valérie Belin une singulière puissance et le choix des oeuvres ici réunies, « Michael Jackson », « Black Women I », « Lido », « Meats», «Engines», …, illustre cet aspect spécifique de son travail. |
Jean-Marc Barr Maison des Arts Chatillon
JEAN-MARC BARR, Photographies, du 20 mai au 21 juin 2015
Maison des Arts
11 rue de Bagneux - 92320 Châtillon
Tél. 01 40 84 97 11
http://maisondesarts-chatillon.fr /
Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon
Thierry Braconnier, Adjoint au Maire délégué à la Culture et à la Vie associative, Caroline Quaghebeur, Directrice de la Maison des Arts sont heureux de vous inviter à visiter cette exposition de qualité Exposition ouverte tous les jours sauf le lundi, de 14h à 18h jusqu'au 21 juin 2015. Accès: métro ligne 13 - arrêt "Châtillon/Montrouge" puis bus n°388 arrêt "Mairie de Châtillon" Une navette gratuite assure le trajet retour jusqu'à la station de métro le soir du vernissage. |
Jean-Marc Barr autoportrait |