Museum Of Modern Art New-York Exhibition of TARSILA DO AMARAL
THE FIRST MAJOR U.S. MUSEUM EXHIBITION OF TARSILA DO AMARAL Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil With Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil, The Museum of Modern Art presents the first monographic exhibition in the United States exclusively devoted to the pioneering work of Tarsila do Amaral (Brazilian, 1886–1973), a founding figure of Brazilian modernism. On view February 11 through June 3, 2018, the exhibition focuses on the artist’s production from the 1920s, tracing the path of her |
Tarsila do Amaral. Abaporu, 1928. Oil on canvas. |
La programmation de la Fondation Beyeler pendant Art Basel 2018
Pendant Art Basel, la Fondation Beyeler présente sa grande exposition estivale «Bacon – Giacometti», qui propose une densité impressionnante de chefs-d'œuvre de ces deux artistes d'exception. La nouvelle présentation de la collection placée sous le thème «Nature + Abstraction» s'accompagne d'un important groupe d'œuvres de l'artiste américain Brice Marden issu de la Daros Collection. Certaines acquisitions d'artistes plus jeunes, comme par exemple un grand dessin sur tableau de Tacita Dean ou un ensemble d'œuvres de l'artiste brésilien Lucas Arruda, sont montrées au musée pour la première fois. Le parc de la Fondation Beyeler accueille quant à lui «This You» de Tino Sehgal, œuvre appartenant à la collection du musée. Vendredi 15 juin, Hans Ulrich Obrist parlera avec Ernesto Neto de son installation monumentale GaiaMotherTree, présentée du 30 juin au 29 juillet 2018 à la gare centrale de Zurich. Ce projet dans l'espace public organisé par la Fondation Beyeler est accompagné d'une programmation riche et variée pour adultes et pour enfants comprenant musique, ateliers, visites et conférences. Au musée, l'artiste montre une sélection d'œuvres des années 1980 et 1990 ainsi que la sculpture Altar for a Plant (2017), conçue spécialement pour le Pavillon de la Fondation Beyeler. Samedi 16 juin de 13h00 à 14h00, dans le cadre du lancement du livre «Psychoanalytikerin trifft Marina Abramović», l'auteur et psychanalyste Jeannette Fischer s'entretiendra avec Marina Abramović, figure clé du performance art. Cet événement est déjà complet. Le Young Art Club de la Fondation Beyeler propose un programme éclectique «Art Basel Special», avec des visites guidées exclusives des différentes foires annexes d'Art Basel et une participation à divers événements associés. Rencontrer des artistes, visiter des foires, faire des découvertes en matière d'art et de design: le Young Art Club de la Fondation Beyeler propose tout ce qui constitue une parfaite semaine Art Basel. Pour en savoir plus: www.fondationbeyeler.ch/blog/young-art-club |
La Fondation Beyeler annonce son projet d'extension Musée du nouveau parc
Le jeune PICASSO période bleue et rose Fondation Beyeler Suisse
Le jeune PICASSO – période bleue et rose Dans ce qui sera à ce jour sa plus prestigieuse exposition, la Fondation Beyeler se consacre au jeune Picasso et à ses peintures et sculptures des périodes bleue et rose de 1901 à 1907. Les chefs-d'œuvre les plus splendides et les plus précieux de ces deux phases majeures, qui débouchèrent sur le cubisme, n'avaient jamais encore été présentés ensemble en Europe, et il est fort probable qu'un événement d'une telle envergure ne sera pas amené à se répéter. |
Pablo Picasso, Acrobate et jeune arlequin, 1905, gouache sur carton, 105 x 76 cm, collection privée, © Succession Picasso / ProLitteris, Zürich 2018 |
Tate Modern London The EY Exhibition Picasso 1932
The EY Exhibition Picasso 1932 – Love, Fame, Tragedy In March 2018 Tate Modern will stage its first ever solo exhibition of Pablo Picasso’s work, one of the most significant shows the gallery has ever staged. The EY Exhibition: Picasso 1932 – Love, Fame, Tragedy will take visitors on a month-by-month journey through 1932, a time so pivotal in Picasso’s life and work that it has been called his ‘year of wonders’. More than 100 outstanding paintings, sculptures and works on paper will demonstrate his prolific and restlessly inventive character. They will strip away common myths to reveal the man and the artist in his full complexity and richness. 1932 was an extraordinary year for Picasso, even by his own standards. His paintings reached a new level of sensuality and he cemented his celebrity status as the most influential artist of the early 20th century. Over the course of this year he created some of his best loved works, including Nude Woman in a Red Armchair, an anchor point of Tate’s collection, confident colour-saturated portraits and Surrealist experiments, including thirteen seminal ink drawings of the Crucifixion. His virtuoso paintings also riffed on the voluptuous sculptures he had produced some months before at his new country estate. In his personal life, throughout 1932, Picasso kept a delicate balance between tending to his wife Olga Khokhlova and their 11-year-old son Paulo, and his passionate love affair with Marie-Thérèse Walter, 28 years his junior. The exhibition will bring these complex artistic and personal dynamics to life with an unprecedented range of loans from collections around the world, including many record-breaking works held in private hands. Highlights will include Girl before a Mirror, a signature painting that rarely leaves The Museum of Modern Art, and the legendary The Dream, a virtuoso masterpiece depicting the artist’s muse in dreamy abandon, which has never been exhibited in the UK before. |
Pablo Picasso The Dream (Le Rêve) 1932, |
Rétrospective consacrée au groupe Cobra au Musée de Pont-Aven
La Fondation Guillaume Corneille a le plaisir de vous informer de la prochaine grande rétrospective consacrée au groupe Cobra au Musée de Pont-Aven (France) Musée de Pont-Aven L'exposition, Cobra, la couleur spontanée, réunit la plupart des membres danois, néerlandais, belges, français, islandais, anglais et américains qui ont pris part aux activités du groupe Cobra qui fut une véritable explosion artistique et poétique au cœur du XXème siècle. |
MÂKHI XENAKIS Catharsis Maison des Arts Châtillon
Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon MÂKHI XENAKIS Catharsis le mercredi 16 mai 2018 de 19h à 21h Réalisées au crayon, au pastel, à l'aquarelle ou à l'encre, les œuvres de Mâkhi Xenakis laissent apparaître les étapes d'une vie faite de doutes et de prises de risque, oscillant entre peurs et apaisements. http://maisondesarts-chatillon.fr/ Exposition ouverte du mardi au dimanche, de 14h à 18h Accès: métro ligne 13 - arrêt "Châtillon/Montrouge" puis bus n°388 arrêt "Mairie de Châtillon" |
Mâkhi Xenakis, Les rencontres impossibles, 2018, ciment teinté, acier, 2m (détail). |
VIALLAT - HAAS - ERBELDING - COSKUN - SIGNES SENSIBLES
VIALLAT - HAAS - ERBELDING - COSKUN exposition SIGNES SENSIBLES Fascination contemporaine pour l'art pariétal vernissage de l'exposition sur invitation Visite commentée par , commissaire de l'exposition Laurence d'Ist Un catalogue est édité pour l'occasion
Renseignements : 01 70 56 52 60 culturel(at)mairie-gif.fr |
CÉSAR LA RÉTROSPECTIVE CENTRE POMPIDOU
CÉSAR LA RÉTROSPECTIVE 13 DÉCEMBRE 2017 – 26 MARS 2018 GALERIE 1, NIVEAU 6 La rétrospective de l’oeuvre de César présentée par le Centre Pompidou coïncide avec le vingtième anniversaire de la mort de l’artiste. Illustre dès l’âge de 25 ans, César a vécu plus de cinquante années de création. Il est la dernière figure majeure du Nouveau Réalisme dont l’oeuvre n’a pas encore fait l’objet d’une rétrospective au Centre Pompidou. À travers une centaine d’oeuvres présentées dans la plus vaste de ses galeries d’expositions, le Centre Pompidou propose de découvrir, dans toute son intégrité et sa richesse, le parcours de l’un des plus grands sculpteurs de son temps. Avec les oeuvres majeures les plus célèbres, comme à travers certains cycles plus méconnus, cette rétrospective présente un ensemble inédit à ce jour. Né à Marseille en 1921, César commence un apprentissage qui le conduit à Paris à l'École nationale supérieure des Beaux-arts. À Paris, il croise entre autres, Alberto Giacometti, Germaine Richier, Pablo Picasso et se mêle à la scène artistique d'alors, côtoyant les artistes de Saint-Germain-des-Prés et de Montparnasse. Très tôt, il se fait remarquer par une technique qui lui est propre et lui apporte la célébrité : ce sont les « Fers soudés », les figures humaines et autres « Vénus » ainsi que le bestiaire qu'il invente, peuplé d'insectes et d'animaux de toutes sortes qui l'amènent à sa première exposition personnelle, galerie Lucien Durand en 1954. Bientôt célèbre, son oeuvre est exposée de Londres à New York. |
CESAR Blu Francia 490, 1998 |
Tatiana Wolska Galerie de la Marine Nice
EXPOSITION Tatiana Wolska – Habitat potentiel pour une artiste 59, quai des Etats-Unis – Nice Tous les jours de 11h à 18h, sauf le lundi 04 93 91 92 91 ou 93
Tatiana Wolska développe depuis 10 ans des projets de sculpture en grand format, toujours liés aux lieux qui l’invitent. L’artiste fabrique de la sculpture en jouant avec toutes sortes de matériaux de récupération : chutes de bois, plastique thermoformé, métaux et objets abandonnés qu’elle découpe, décortique, réordonne et assemble à nouveau. L’exposition propose une expérience physique et cognitive d'une architecture spécifique, à la fois vivante, organique et relationnelle. En se penchant sur l’architecture temporaire qui peut revêtir plusieurs rôles (culturel, évènementiel, social), l’exposition recouvre une diversité de potentiels. Elle est autant l’expression d’une liberté que celle d’une nécessaire survie car bien souvent, le temporaire rime avec l’urgence. Elle pose aussi la question de l’inscription potentiellement durable de ces structures dans la fabrique de la ville. Tatiana Wolska est née en 1977 en Pologne. Elle est diplômée de l’ENSA de la Villa Arson en 2007. Elle vit et travaille à Bruxelles. Elle est représentée par les galeries Claudine Papillon, Paris, Catherine Issert, Saint-Paul de Vence et Irène Laub, Bruxelles. Elle est lauréate en 2014 du Grand Prix du 59e Salon de Montrouge consacré à la jeune création émergente. |
Tatiana Wolska Nomadisme, FRAC CORSE, 2016, |
Centre Pompidou Jim Dine exposition Paris Reconnaissance
Jim DINE - Paris : Reconnaissance Artiste et poète américain de renommée mondiale, Jim Dine, né en 1935, rejoint New York en 1958. Il délaisse alors le happening pour la peinture, ses sujets mêlant expressionnisme abstrait et pop, sans se réclamer du mouvement. À l’occasion de l’importante donation faite par l’artiste au Musée national d’art moderne, le Centre Pompidou consacre une exposition inédite à son œuvre. Jeudi 15 mars à 19h : House of Words, lecture performance par Jim Dine dans le cadre du cycle In Vivo (Cinéma 2) Commissaire : Mnam/Cci, Bernard Blistène, Annalisa Rimmaudo |
Jim DINE A Child in Winter Sings, 2011-2012 |
JAN VOSS - Remue-ménage Maison des Arts Châtillon
Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon sont heureux de vous inviter à visiter l'exposition Habité par un mouvement perpétuel, l'œuvre de Jan Voss, né en Allemagne en 1936 et installé en France depuis 1960, possède une hardiesse et une inventivité rare. Ainsi, avoue-t-il : Les lignes sont les mouvements d'un tableau, son activité. L'activité d'un tableau est souvent extrêmement déconcertante, on voudrait bien comprendre où elle veut en venir avec tous ces parcours, ses sauts et ses arrêts subits. Mais parfois les lignes, en perte de vitesse, languissent, il faut les secouer sérieusement pour qu'elles ne s'endorment pas. Surtout ne jamais concéder de repos à la ligne ! Les caractéristiques les plus reconnaissables des œuvres évoquées sont des signes proches du graffiti, des éléments biomorphes, des compositions en cases ou en bandes. Mais Jan Voss n'en reste pas là. Maître de son langage, il en décline la grammaire, y mêlant des collages ou autres assemblages complexes. L'opposition figuration / abstraction n'a pas de sens ici. Les formes, traits, couleurs et textures étant chargés de déclencher l'imagination, puis, pourquoi pas, la narration. L'exposition rassemble des œuvres sur toile et sur papier de ces dix dernières années ainsi que des sculptures des années 1980/1990 dans lesquels l'artiste explore - toujours très librement - le volume. Une plongée dans l'esprit Voss. Exposition organisée avec la collaboration de Galerie Lelong & Co, Paris Maison des Arts http://maisondesarts-chatillon.fr/ Exposition ouverte du mardi au dimanche, de 14h à 18h |
Jan Voss, Sur la bonne voie, 2010, |
Fondation Beyeler Paul Klee La dimension abstraite
Paul Klee – La dimension abstraite Du 1er octobre 2017 jusqu’au 21 janvier 2018, la Fondation Beyeler présentera une exposition complète sur l’artiste Paul Klee, l’un des peintres les plus importants du XXe siècle. Pour la première fois dans le cadre d’une exposition sera mise en lumière la relation de l’artiste à l’abstraction, exploit majeur de la peinture moderne. Comme bien d’autres artistes européens, Paul Klee releva le défi de l’abstraction. Sa riche production compte de magnifiques exemples de renoncement à la figuration jusqu’à l’élaboration d’univers iconographiques abstraits, aussi bien dans ses travaux de jeunesse que ses oeuvres tardives. Nature, architecture, musique et signes graphiques sont, chez lui, des thèmes majeurs et récurrents. À travers les 110 oeuvres issues de 12 pays, l’exposition se concentre sur cet aspect du travail de Klee, jusqu’alors ignoré. L’exposition rétrospective présente divers groupes d’oeuvres chronologiques à partir de 1912, permettant de suivre les étapes déterminantes du développement de l’artiste: l’exposition se déploie sur sept salles et s’ouvre sur les débuts de Klee en tant que peintre dans les années 1910 à Munich puis sur son célèbre voyage à Tunis en 1914, aborde ensuite le thème de la Première Guerre mondiale et s’intéresse à la décennie du Bauhaus de 1921 à 1931 avec ses célèbres compositions en damiers, aquarelles en couches ainsi que des oeuvres qui font référence à l’abstraction géométrique, thème dominant des années 1930. Les peintures réalisées suite aux voyages en Italie et en Égypte à la fin des années 1920 et au début des années 1930 préfigurent les signes picturaux présents dans les travaux tardifs du peintre ainsi que ses conceptions picturales qui mèneront à l’art de l’après-guerre. |
Paul Klee Park bei Lu, 1938, 129 Parc près de Lu Huile et peinture à la colle sur papier journal sur jute, 100 x 70 cm Centre Paul Klee, Berne, Courtesy Fondation Beyeler |
Collection de la Fondation Maeght
Exposition Antoni Clavé à la Bibliothèque Nationale de France
EXPOSITION LINO VENTURA MUSEE DES AVELINES
LINO VENTURA UNE GUEULE DE CINÉMA Commissaire d’exposition : Emmanuelle Le Bail, Directrice du musée des Avelines, du Patrimoine culturel et des Musée des Avelines - Musée d’Art et d’Histoire de Saint-Cloud QUELQUES MOTS D'INTRODUCTION... Le musée des Avelines, musée d'art et d'histoire de la ville de Saint-Cloud, est heureux d'annoncer l'exposition Lino Ventura - Une gueule de cinéma du 12 octobre 2017 au 21 janvier 2018. Le comédien, né le 14 juillet 1919 en Italie, a vécu près de trois décennies à Saint-Cloud et c'est dans cette ville qu'il est décédé le 22 octobre 1987 ; il était donc tout naturel que le musée des Avelines lui rende un hommage appuyé à l'occasion du trentième anniversaire de sa disparition. Affiches, photographies, documents d'archives, témoignages, musiques de films, objets, scénarios, projections d'extraits... composent le parcours de l'exposition évoquant la carrière de ce monstre sacré du cinéma français. Différentes salles du musée sont consacrées à ses amitiés avec des comédiens (Gabin notamment), et les réalisateurs avec lesquels il a tourné, de Becker à Verneuil, de Miller à Lelouch, de Pinoteau à Melville, de Malle à Lautner, de Deray à Hossein, ou encore de Sautet à La Patellière... passant ainsi du polar à la comédie pure, du film d'aventures au drame. Est ainsi retracée la carrière de Lino Ventura, acteur populaire et pudique, qui a joué dans plus de 70 films, dont nombre de chefs d'oeuvre et d'immenses succès publics. Photo prise sur le tournage d'Adieu poulet, 1975 Saint-Cloud, Musée des Avelines © Étienne George |
Le Louvre Abu Dhabi s'ouvre à vous
Abu Dhabi, 6 Septembre 2017 : Le Louvre Abu Dhabi ouvrira ses portes au public le 11 novembre 2017. Il s’agit du premier musée du monde arabe conçu comme un musée universel, ayant vocation à refléter l’histoire commune de l’humanité à travers différentes cultures et civilisations. Un programme de festivités publiques, comprenant des représentations de spectacles vivants, de danse, de concerts, projections, conférences et événements, donnés par des artistes contemporains et classiques de renom, accompagnera cet évènement. Situé à Abu Dhabi, la capitale des Émirats Arabes Unis (EAU), le bâtiment a été conçu par l’architecte français Jean Nouvel, lauréat du prix Pritzker, comme une ville-musée (médina) recouverte d’un vaste dôme argenté. Les visiteurs pourront déambuler dans les espaces de promenade surplombant la mer, et sous le dôme de 180 mètres de diamètre composé de près de 8 000 étoiles en métal entrelacées pour former un savant dessin géométrique. Les rayons du soleil traversant le dôme créent un effet saisissant de « pluie de lumière », inspiré des palmeraies des oasis des Emirats Arabes Unis. Le musée présentera sa riche collection d’œuvres d’art ainsi que des prêts des plus grands musées français. La collection couvre tous les pans de la création artistique des origines de l’art à nos jours, depuis la Préhistoire aux commandes faites à des artistes contemporains. Le musée offre une présentation muséographique inédite mettant en lumière les thèmes universels et les influences communes entre les civilisations. Cette approche distingue le musée de la plupart des institutions muséales dont le parcours propose un classement par styles ou civilisations. Le Louvre Abu Dhabi comprend, en plus des galeries permanentes, un espace d’exposition temporaire, un musée des enfants, un auditorium, un restaurant, une boutique et un café. |
Discours du Président de la République, Emmanuel Macron, lors de l'inauguration du Louvre Abu Dhabi, Émirats arabes unies
Altesse ; Majesté ; Messieurs les Présidents ; Mesdames et Messieurs les Ministres ; Mesdames et Messieurs. Au moment d'inaugurer le Louvre Abu Dhabi aux côtés de mon ami le Prince héritier Mohamed BIN ZAYED, que je remercie très chaleureusement pour son invitation, une phrase me revient qui semble définir ce qui nous unit aujourd'hui. Cette phrase n’est ni de votre culture ni tout à fait de la mienne, c'est la phrase prononcée par le personnage d'un roman russe, un personnage de Dostoïevski qui dit « la beauté sauvera le monde ». Et il serait naturel que je vous parle de culture, d'éducation, de civilisation mais un mot s'impose d'abord à nous ce soir qui sommes réunis, c'est précisément celui de beauté. Elle est le cœur et le fondement de la culture. Elle est la raison d'être de l'Education. Elle connaît plusieurs formes, plusieurs expressions, elle s'est parfois alliée au bon de manière indéfectible. Elle est une recherche permanente, une poursuite. Elle a ceci de commun que nous la reconnaissons quand nous la voyons. Elle nous frappe en plein cœur quand nous la croisons. Alors aujourd'hui ce qui nous réunit ici, ce qui, quelles que soient les vicissitudes du temps présent qui est le nôtre et quel que soit l'ampleur de nos défis, ce qui me rend optimiste, c'est que nous sommes au milieu de cette beauté qui sauvera le monde. Aujourd’hui en ces lieux, c'est elle qui nous accueille. D'abord parce que Jean NOUVEL et son équipe ont conçu ici un lieu qui va rayonner vers le monde entier. Cette ville-musée abritée par un dôme monumental qui multiplie les jeux de lumière, cette ville qui est aussi une île où l'eau miroite et se reflète, ce musée composé de petites maisons rappelant les villages émiriens ; tout cela, cet entrelacs du dedans et du dehors, du lieu clos et toujours ouvert ; tout cela constitue un ensemble où l'œil à chaque détour s'émerveille parce que cette complexité infinie, ce chef d'œuvre d'architecture réveillent des émotions profondes, parce qu'il y a là quelque chose qui rappelle les édifices sacrés du monde entier. Vous avez construit, cher Jean NOUVEL, un temple pour la beauté, ici. Ce lieu si sophistiqué et si simple à la fois accueille des œuvres d'exception. C'est le génie de l'humanité qui converge ici à travers ses plus grands artistes ; et pour un pays comme la France - je dois vous l'avouer - cher Prince héritier, cher ami, pour un pays comme la France se séparer - même sous forme de prêt - de quelques une de ses plus belles œuvres ne va pas de soi. C'est une forme de torture, et vous l'avez compris tout au long du périple que nous venons de partager, pour les conservateurs qui ont contribué à ce projet, pour les ministres, et je dois bien le dire aussi, pour le président. |
Photo du Président de la République Emmanuel Macron |
Le Louvre fidèle à lui-même et fidèle à la France
Edvard Munch: Between the Clock and the Bed The Met Fifth Avenue
Exhibition Dates: November 15, 2017–February 4, 2018 Although Norwegian artist Edvard Munch (1863–1944) attained notoriety early in his career for his haunting depictions of human anxiety and alienation that reflected modern experience, he believed that his artistic breakthrough occurred around 1913 at the age of 50.Throughout his career, Munch regularly revisited subjects from his earlier years, exploring them with renewed inspiration and intensity. Self Portrait: Between the Clock and the Bed (1940–43) was one of his final such works and it serves as a lens to reassess Munch's oeuvre. Opening November 15 at The Met Breuer, the exhibition Edvard Munch: Between the Clock and the Bed will feature 43 of the artist's compositions created over a span of six decades, including 16 self-portraits and works that have never before been seen in the United States. It is supported by an Indemnity from the Federal Council on the Arts and the Humanities. It is organized by The Metropolitan Museum of Art, New York; the San Francisco Museum of Modern Art; and The Munch Museum, Oslo. |
Edvard Munch. Self-Portrait between the Clock and the Bed (detail), 1940-43. |
Mark Rothko at the Museum of Fine Arts Boston
Immersive Display of 11 Mark Rothko Paintings on View at The Museum of Fine Arts Boston Major Loans from National Gallery of Art, Washington, Make New England Debut BOSTON (September 8, 2017)—In a career that spanned five decades, Mark Rothko (1903–1970) created some of the 20th century’s most evocative and iconic masterpieces. “A painting is not a picture of an experience,” he once remarked; “it is an experience.” This fall, 11 major works by the artist travel to the Museum of Fine Arts, Boston (MFA), from the National Gallery of Art, Washington, for an immersive exhibition that invites visitors to become enveloped by Rothko’s large-scale paintings and encounter them as he had originally intended—to experience something more intimate and awe-inspiring than simply viewing. Mark Rothko: Reflection, on view from September 24, 2017 through July 1, 2018, is the first focused display of the artist’s works at the MFA, showcasing the full sweep of his career—from early surrealist compositions; to the luminous, colorful canvases of his maturity; to the large, enigmatic “black paintings” made late in his life. Together, they trace the development of Rothko’s singular artistic vision and his quest to create works that produce emotional, even spiritual, responses. Additionally, the exhibition features a juxtaposition of Thru the Window (1938–39), an early Rothko painting on public view in the U.S. for the first time, and Artist in his Studio (about 1628), a masterpiece by Rembrandt Harmensz. van Rijn (1606–1669) from the MFA’s collection—both portraits of artists reflecting on the act of painting. Contrary to notions that Rothko’s works represented a dramatic break from the past, the side-by-side comparison underscores the modern artist’s view of his own paintings as part of a much longer tradition, rooted in his deep appreciation for the Old Masters. Mark Rothko: Reflection is on view in the John F. Cogan, Jr. and Mary L. Cornille Gallery. Presented with generous support from the Robert and Jane Burke Fund for Exhibitions. Additional support provided by an anonymous foundation and The Bruce and Laura Monrad Fund for Exhibitions. |
Mark Rothko, Untitled, 1955. Oil on canvas. National Gallery of Art, Washington, Collection of Mrs. Paul Mellon, in Honor of the 50th Anniversary of the National Gallery of Art. © 1998 Kate Rothko Prizel & Christopher Rothko/Artists Rights Society (ARS), New York. |
Exposition Bernard Damiano Union de Producteurs de Saint-Emilion
Bernard DAMIANO et Didier SALA s'exposent à l'UDP de Saint-Emilion Claude PÉRUSAT revient pour cette fin d’année nous proposer une très belle exposition de l’Artiste-peintre expressionniste Bernard DAMIANO. Déjà venu à l’UDP de Saint-Emilion, le marchand d’art et collectionneur libournais ne sera pas seul à exposer des œuvres: Didier SALA apportera sa touche de poésie en présentant ses bois flottés récupérés au fil des marées… Il faut savoir que pour cette magistrale exposition Bruno-Paul Barreau Marchand d'Art et Expert à Bordeaux ainsi que Claude Pérusat ont réussi à convaincre les collectionneurs de bien vouloir prêter les oeuvres de leur collection pour cette exposition. Comme le fait remarquer Patrick Reynolds, la région bordelaise terre du vin est devenue grâce au travail d'Alain Juppé une terre d'art et de culture. BERNARD DAMIANO, peintre-expressionniste italien Une exposition à découvrir jusqu’au 26 décembre. Didier SALA présentera lui-même son œuvre à l’occasion du vernissage qui se tiendra à la Galerie du Caveau, le JEUDI 9 NOVEMBRE à 18h30. L’héritage de Bernard DAMIANO sera, quant à lui, raconté par son grand ami, Claude PERUSAT. |
M.O.M.A. Making Space Women Artists and Postwar Abstraction
MOMA TO PRESENT MORE THAN 100 WORKS BY 50 WOMEN ARTISTS The Exhibition Features Nearly 40 Recent Acquisitions—Drawings, Paintings, Making Space: Women Artists and Postwar Abstraction April 15–August 13, 2017 Floor three, Exhibition Galleries NEW YORK, The Museum of Modern Art presents a major exhibition surveying the abstract practices of women artists between the end of World War II and the onset of the Feminist movement in the late 1960s. On view from April 15 through August 13, 2017, Making Space: Women Artists and Postwar Abstraction features approximately 100 works in a diverse range of mediums by more than 50 international artists. By bringing these works together, the exhibition spotlights the stunning achievements of women artists during a pivotal period in art history. Drawn entirely from the Museum’s collection, Making Space includes works that were acquired soon after they were made in the 1950s and 1960s, as well as many recent acquisitions—including a suite of photographs (c. 1950) by Gertrudes Altschul (Brazilian, born Germany. 1904–1962), an untitled sculpture (c.1955) by Ruth Asawa (American, 1926-2013), and an untitled work on paper (c.1968) by Alma Woodsey Thomas (American, 1891–1978)—that reflect the Museum’s ongoing efforts to improve its representation of women artists. Nearly half the works are on view at MoMA for the first time. Making Space is organized by Starr Figura, Curator, Department of Drawings and Prints, and Sarah Meister, Curator, Department of Photography, with Hillary Reder, Curatorial Assistant, Department of Drawings and Prints. |
EXPOSITION PILAR OVALLE AMBASSADE DU CHILI
Patrocinado por la Dirección de Asuntos Culturales del Ministerio de Relaciones Exteriores de Chile l’ambassadrice du Chili en France Madame Marcia Covarrubias a l’honneur de vous annoncer l'exposition «in-corpore» sculptures en bois de la sculptrice Pilar Ovalle du 10 octobre au 13 octobre 2017 - Cette exposition est réservée aux invités de l'ambassade : pour y assister merci de faire une demande auprès de : Assistante de l'Ambassadrice/Asistente de la Embajadora Ambassade du Chili / Embajada de Chile 2, avenue de la Motte-Picquet 75007 Paris Tél: +33 (0)1 44 18 59 39 - Fax: +33 (0)1 44 18 59 61 Mail: omartins(at)minrel.gob.cl Pilar Ovalle est née en 1970 à Santiago, textures, noeuds et formes naturelles travaille depuis plus de 25 ans le bois, à une géométrie et signifiants qui Le processus de l’oeuvre, qui m’est essentiel, est révélé à l’observateur moyennant une trame formelle qui se génère dans les assemblages et les unions et qui font partie essentielle de la grammaire de mon travail. Depuis mes débuts, je m’intéresse à la possibilité de recueillir et de rassembler différentes typologies dans un même matériau, le bois, de l’explorer et parcourir ses limites et de manoeuvrer face aux solutions créatives possibles pour pouvoir continuer à l’aborder d’une façon nouvelle, si possible chaque fois. C’est un jeu auto-imposé, un dialogue dans lequel la maîtrise fait face à la difficulté et à la curiosité pour pouvoir continuer à créer. Pendant les trois dernières années, j’ai incorporé, d’où le titre de l’exposition “in-corpore”, le corps humain comme conteneur d’information dans la sculpture pour représenter de manière explicite les exercices et les emboitages de transformation ainsi que le questionnement spirituel comme fondement de la quête d’individuation de l’être. |