EXPOSITION BETTINA RHEIMS Bettina Rheims et la Maison Européenne de la Photographie entretiennent depuis toujours des liens intimes. Alors, quel meilleur endroit que celui dont elle a investi les espaces encore en friche, en 1990, pour exposer sa série Modern Lovers et où elle a semé le trouble en 2000 avec I.N.R.I., pour présenter aujourd’hui, pour la première fois à Paris, un itinéraire à travers quarante ans de photographie ? Des premières images aux travaux personnels les plus récents, l’exposition, pensée comme un cheminement, mêle les séries légendaires, les photographies iconiques de Bettina Rheims et certains travaux plus confidentiels ou qui n’ont encore jamais été montrés en France. |
Elizabeth Berkley in a coucou’s nest, |
Musée Masséna Nice Exposition Charlotte Salomon
Musée Guggenheim Bilbao Making Africa
Guggenheim Bilbao Museoa Making Africa–Un continent du design contemporain 30 octobre 2015 – 21 février 2016
L’exposition Making Africa–Un continent du design contemporain présente des travaux appartenant à un large éventail de domaines créatifs : design d’objets et de mobilier, arts graphiques, illustration, mode, architecture, urbanisme, art, artisanat, cinéma, photographie, sans compter l’approche numérique et analogique. Ces œuvres occupent, délibérément, cette zone grise existant entre les différentes disciplines et pourtant, elles nous fournissent des réponses concrètes à la question de ce que peut et doit apporter le design au XXIe siècle. Par exemple, ils découvrent de nouvelles possibilités dans l’usage des matériaux, mettent davantage l’accent sur le processus que sur le résultat et réalisent des déclarations audacieuses sur l’avenir. |
Pierre-Christophe Gam Omar Victor Diop Mame, 2014 |
Grand Palais Exposition Lucien Clergue
LUCIEN CLERGUE Lucien Clergue, les premiers albums |
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Anonymats d'aujourd'hui MUSEE DE L'ELYSEE LAUSANNE
Anonymats d’aujourd’hui Quelle place la ville contemporaine donne-t-elle à l’individu ? Il est d’usage de dire que les métropoles actuelles sont anonymes, brassant des masses humaines dans lesquelles le citadin se noie. |
© Hans Wilschut, Network, de la série «Hermetic City», 2015 |
Werner Bischof MUSEE DE L'ELYSEE LAUSANNE
A l’occasion du centième anniversaire de la naissance du photographe suisse Werner Bischof (1916-1954), le Musée de l’Elysée présente une rétrospective de son travail intitulée Point de vue, produite par Magnum Photos (Paris). L’exposition propose près de 200 tirages originaux, parfois inédits, choisis dans la collection du Werner Bischof Estate (Zurich). L’exposition présentera également des planches-contacts, des livres, des magazines et des lettres personnelles. Une installation multimédia créée pour la circonstance permettra une approche contemporaine de son travail. L’exposition présentera l’ensemble de son œuvre en Suisse (1934-1944), en Europe (1945-1950), en Asie (1951-1952) et en Amérique du Nord et du Sud (1953-1954). |
Breast with grid, Zurich, Switzerland, 1941 © Werner Bischof / Magnum Photos / Courtesy Musée de l'Elysée |
Jacques Grinberg Maison des Arts Châtillon
Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon Exposition ouverte tous les jours sauf le lundi, de 14h à 18h jusqu'au 28 février 2016. Né en 1941 à Sofia (Bulgarie), Jacques Grinberg et sa famille s’installent en Israël en 1954. Scolarisé dans un kibboutz, il part, à 17 ans, étudier aux Beaux-Arts de Tel-Aviv. En 1961, il s’installe à Paris pour se confronter à la capitale des arts. Il fait alors partie des précurseurs de la Nouvelle Figuration mais s’en détache rapidement. Jacques Grinberg suit alors sa propre voie avec, en fil rouge, la volonté de dénoncer les oppressions : « Je veux peindre pour les autres ». |
Jacques Grinberg Huit (ou Autel) 1974 encre de chine, 50 x 65 cm |
Pour cette exposition, la Maison des Arts a sélectionné un ensemble d’oeuvres retraçant le parcours de l’artiste de 1960 à 2000 témoignant de ses principales sources d’inspiration (politiques, philosophiques, culturelles, spirituelles) et de la vigueur de leurs expressions.
En collaboration avec l'association "L'Homme bleu" |
Picasso Sculpture The Museum of Modern Art New York
Picasso Sculpture The Alfred H. Barr, Jr. Painting and Sculpture Galleries, fourth floor Picasso Sculpture offers a broad survey of Pablo Picasso’s work in three dimensions, spanning the years 1902 to 1964. The largest museum presentation of Picasso’s sculptures to take place in the United States in nearly half a century, the exhibition brings together approximately 140 sculptures from Picasso’s entire career via loans from major public and private collections in the U.S. and abroad, including 50 sculptures from the Musée national Picasso–Paris. With many works on view for the first time in the U.S., it provides an opportunity to explore a rarely seen aspect of Picasso’s long and prolific career. The installation occupies the entirety of MoMA’s fourth floor galleries, allowing sufficient space for the sculptures to be viewed fully in the round. Picasso Sculpture is presented by MoMA in collaboration with the Musée national Picasso–Paris, and is organized by Ann Temkin, The Marie-Josée and Henry Kravis Chief Curator of Painting and Sculpture, and Anne Umland, The Blanchette Hooker Rockefeller Curator of Painting and Sculpture, MoMA; with Virginie Perdrisot, Curator of Sculptures and Ceramics at the Musée national Picasso–Paris. |
Cover of Picasso Sculpture, published by The Museum of Modern Art, New York |
Charlotte Salomon Musée Masséna Nice
MUSEE DE L'ELYSEE LAUSANNE Mot de Tatyana Franck
Mot de Tatyana Franck 2015 fut une année riche en événements pour le Musée de l’Elysée. |
Tatyana Franck, Nuit des images 2015 © Gregory Collavini |
La Fondation Beyeler fête les 100 ans de la toile Carré noir de Kasimir Malevitch
Riehen/Bâle. Voici exactement un siècle que le 19 décembre 1915, la galeriste Nadejda Dobytchina inaugurait dans son appartement privé de Saint-Pétersbourg (alors, Petrograd) « La dernière exposition futuriste de tableaux 0,10 ». Cent ans plus tard, la Fondation Beyeler rend hommage à la naissance du Carré noir de Kasimir Malevitch, qui était au coeur de cette présentation. La « Joconde de l’art non figuratif » de Malevitch est encore présente jusqu’au 10 janvier à la Fondation Beyeler, où elle constitue le centre de la reconstitution critique « À la recherche de 0,10 », consacrée aux artistes de l’avant-garde russe. Le samedi 19 décembre 2015, le musée célèbrera entre 10 et 18 heures les cent ans de la présentation originelle de l’énigmatique tableau de Malevitch. Des visites guidées thématiques en plusieurs langues, un atelier de maquillage suprématiste, des lectures de poèmes futuristes russes, des romances musicales russes et un bar à vodka avec DJ font partie du programme festif du centenaire du Carré noir de Kasimir Malevitch. Cette date marque en effet l’inauguration de l’exposition de 1915 et la toute première présentation du Carré noir. |
Illustration : Photographie d’Olga Rozanova, Xénia Bogouslavskaïa et Kasimir Malevitch à l’exposition « 0,10 », Petrograd, 1915. Archives nationales russes de littérature et d’art, Moscou. |
MAMAC Nice Le précieux pouvoir des pierres
Le précieux pouvoir des pierres Marina Abramović, Michel Blazy, George Brecht, James Lee Byars, Pierre Laurent Cassière, Marion Catusse, Marine Class, Hubert Duprat, Jean Dupuy, Paul Armand Gette, Isabelle Giovacchini, Guillaume Gouerou, Laurent Grasso, Alicja Kwade, Didier Mahieu, Aurélien Mauplot, Éric Michel, Damián Ortega, Ève Pietruschi, Emmanuel Régent, Evariste Richer, Jean-Philippe Roubaud, Bettina Samson, Valentin Souquet. MAMAC Vernissage : Les minéraux suscitent la curiosité et l’émerveillement collectifs. Qui, petit ou grand, n’est pas parti à la chasse aux cailloux, collecter les spécimens les plus curieux pour les arranger en une constellation de petits trésors ? Cet attrait oscille entre la simple curiosité d’amateur et la contemplation esthétique, entre la croyance spirituelle ou magique et l’expérimentation scientifique. Si cette fascination en art s’inscrit dans une histoire qui reste encore à écrire, aujourd’hui force est de constater l’engouement des artistes actuels pour la minéralogie et plus spécifiquement pour le précieux pouvoir des pierres. Certains artistes les utilisent brutes tels des ready-mades re-sensibilisés, les collectent, les mettent en scène ou les représentent, quand d’autres les soumettent à des expérimentations, les transforment et produisent des simulacres.
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Légende et crédit photo : Alicja Kwade (1979, Katowice) Lucy, 2004-2006 Charbon noir pressé et agent adhésif 14 x 14 x 18 cm Courtesy KÖNIG GALERIE, Berlin © Alicja Kwade - Photo : Matthias Kolb |
Moussa Sarr Galerie de la Marine Nice
Exposition Moussa Sarr Corpus Delicti février - 3 avril 2016 Vernissage > Vendredi 5 février à 19 heures En présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l'art moderne et contemporain & de l'artiste Galerie de la Marine 59, quai des Etats-Unis – Nice - www.nice.fr Du 6 février au 3 avril 2016, la Ville de Nice invite le jeune vidéo-performeur Moussa Sarr, à présenter son exposition Corpus Delicti à la Galerie de la Marine : 6 vidéos, 9 photographies, une installation et une sculpture. Le vernissage de l'exposition aura lieu vendredi 5 février à 19 heures. Jeune artiste émergent, Moussa Sarr est un vidéo-performeur et photographe. Né à Ajaccio en 1984, d'origine sénégalaise, après son diplôme aux Beaux Arts de Toulon et au Fresnoy, ce jeune artiste doué connait une ascension rapide. Ses vidéos ont intégré en 2014 des collections prestigieuses telles que celles du Fonds National des Arts Plastiques à Paris, et Artemis / François Pinault. |
Légende et crédit photo : Moussa Sarr Corpus delicti, photographie, 153 x 125 cm, 2014 |
The Metropolitan Museum of Art Dramatic Indian Sculptural Masks
The Metropolitan Museum of Art | 1000 5th Ave at 82nd Street | New York | NY | 10028 Dramatic Indian Sculptural Masks to be Featured in Exhibition on Theme of Vishnu at Metropolitan Museum Exhibition dates: December 19, 2015–June 5, 2016 Five rare wooden sculptural masks made in India—recently acquired by The Metropolitan Museum of Art—will be the highlighted works in the special exhibition Encountering Vishnu: The Lion Avatar in Indian Temple Drama, opening at the Met on December 19. Worn by actors in dramatic plays that were presented during religious festivals in southern India, the masks represent a largely unrecorded category of late medieval devotional art from India. The appearances of Vishnu in many guises, known as avatars, are most famously celebrated in his Ten Avatars (Dasavatar). In this exhibition, Vishnu's Narasimha (man-lion) appearance will be celebrated with several dramatic sculptural depictions. They all explore the theme of Vishnu in his man-lion form, revealing himself at the court of an evil king in response to the king's attempts to slay his own son for his unwavering devotion (bhakti) to Vishnu. A frightful battle ensues in which Narasimha finally overcomes the protective magic that the evil King Hiranyanatakam surrounds himself with, and Narasimha disembowels the king. Order is thus restored to the universe. |
Narasimha, South India (Tamil Nadu), |
This narrative is dramatically represented in sculptures and painting, and when staged it is given heightened drama by the wearing of these powerfully expressive masks. This temple drama, known as Hiranyanatakam, is still performed in the Kaveri delta region of Tamil Nadu, in villages around Thanjavur in southern India. Along with the masks, the exhibition will present works in bronze, sandstone, and wood, as well as miniature paintings, lithographic devotional prints, and early photography, all of which illuminate the theme of Vishnu's divine appearances. Dating from the 6th to the 20th century, the 30 works will be drawn from the Met's collection, as well as private collections, and will include an extraordinary seated sandstone Narasimha from the sixth or seventh century. The exhibition is made possible by The Miriam and Ira D. Wallach Foundation Fund. The exhibition will be organized by John Guy, Florence and Herbert Irving Curator of the Arts of South and Southeast Asia. |
Gérard Fromanger CENTRE POMPIDOU
Gérard fromanger Le Centre Pompidou consacre une exposition à l’oeuvre de Gérard Fromanger. Entre 1964 et 2015, à travers un parcours thématique composé d’une cinquantaine de peintures, de deux sculptures, d’une dizaine de dessins et d’un film, dans les espaces réunis de la galerie du musée et de la galerie d’art graphique, cette rétrospective inédite invite le public à découvrir les différentes expressions d’une dualité au coeur de l’art de Gérard Fromanger : la passion picturale et le souci du monde. |
Le coeur fait ce qu’il veut, Peinture-Monde, |
Interview de E. Le Bail sur Emile Verhaeren
L’exposition, montée en co-commissariat avec Nicole Tamburini, historienne de l’art, illustre l’acuité de l’écriture et de l’oeil de Verhaeren, passeur d’art. Il fut l’ami fidèle de nombreux artistes de son temps, des écrivains bien sûr comme Stefan Zweig, Rainer Maria Rilke ou Romain Rolland mais aussi des peintres, sculpteurs ou graveurs qui inventèrent un art engagé et total. Ceux que l’on ne nomme pas encore postimpressionnistes, pointillistes et symbolistes mais qui impulsent un vent de contestation et de liberté sur l’art. Critique d’art mais aussi collectionneur, Verhaeren a soutenu passionnément, fiévreusement, les avant-gardes de son époque, contre les critiques virulentes et les railleries populaires. Sa poésie est empreinte d’un grand souffle et d’une énergie vitale, prônant la naissance d’une civilisation nouvelle basée sur la recherche d’une justice sociale qui interpelle le lecteur aujourd’hui encore, plus d’un siècle après sa création. |
MUSEES DE LA VILLE DE NICE PROGRAMMATION DES EXPOSITIONS ANNEE 2016
Emile Verhaeren Poète et passeur d'art
Émile Verhaeren (1855-1916) Du 15 octobre 2015 au 6 mars 2016, le musée des Avelines consacre une exposition à Émile Verhaeren (1855–1916) afin de redécouvrir, à l’approche du centenaire de sa mort, ce critique d’art, ami des artistes et poète flamand d’expression française qui vécut les seize dernières années de sa vie à Saint Cloud. L’ exposition a pour ambition de mettre en lumière cette personnalité qui fut l’un des acteurs les plus importants de la vie artistique au tournant des XIXe et XXe siècles. |
Émile Verhaeren en redingote rouge, Georges Tribout (1884-1962) |
PICASSO.MANIA
Picasso.mania 7 octobre 2015 - 29 février 2016 Grand Palais « Vous continuerez longtemps à peindre ? |
Picasso.mania affiche Grand Palais |
Leur présentation s’inspire des accrochages réalisés par l’artiste dans ses ateliers, et des expositions qu’il a lui-même supervisées (Galerie Georges Petit à Paris en 1932, Palais des Papes à Avignon en 1970 et 1973). Aux grandes phases stylistiques (cubisme, oeuvre tardif...), aux oeuvres emblématiques de Pablo Picasso (Les Demoiselles d’Avignon, Guernica) répondent des créations contemporaines présentées dans des salles monographiques (David Hockney, Jasper Johns, Roy Lichtenstein, Martin Kippenberger...) ou thématiques, regroupant des oeuvres mêlant techniques et supports les plus variés (vidéos, peintures, sculptures, arts graphiques, films, photographies, installations…). |
La Fondation Beyeler lance SPEED ART
Est-ce déjà Noël ? La Fondation Beyeler lance SPEED ART, un jeu de réaction palpitant consacré aux œuvres de sa collection permanente. Riehen/Bâle. Dans le cadre de son engagement artistique en faveur des enfants et des jeunes, la Fondation Beyeler lance SPEED ART, un jeu de cartes qui se joue à un rythme effréné. Ce jeu de réaction, conçu autour de l'art et des artistes de la Collection Beyeler, s'attache également à transmettre des informations intéressantes et invite les amateurs d'art, jeunes et moins jeunes, à observer attentivement les œuvres. Les joueurs sont invités à découvrir des points communs entre les œuvres d'artistes célèbres comme Van Gogh, Cézanne, Klee, Mondrian et bien d'autres encore. SPEED ART est disponible dès à présent à l'Art Shop de la Fondation Beyeler, au musée ou en ligne : un joli cadeau de Noël artistique et culturel pour toute la famille. Sa réalisation a été rendue possible grâce à l'engagement d'UBS, mécène de longue date et partenaire engagé de la Médiation artistique pour les familles et les jeunes de la Fondation Beyeler. |
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L'art enrichit le quotidien et ouvre de nouvelles perspectives. Il rend visible ce que nous sentons, pensons, redoutons ou souhaitons. Il existe bien des manière de découvrir toute la diversité de l'art. Avec SPEED ART, l'accès ludique occupe évidemment le premier plan. Ce jeu propose une introduction simple et compréhensible aux célèbres œuvres de la collection de la Fondation Beyeler consacrée à l'art moderne et contemporain. Il s'agit de porter un regard neuf sur certains des chefs-d'œuvre les plus connus de la Collection Beyeler et de relever des similitudes, par ex. dans les œuvres de Van Gogh ou Cézanne ; il peut s'agir de motifs comparables, comme des nus ou des représentations d'animaux, ou d'un style, figuratif ou abstrait. SPEED ART invite à repérer immédiatement les différences et les points communs. En famille ou avec des amis, chez vous ou en voyage, attendez-vous à des discussions animées et de nombreux éclats de rire ! Quant à la question « Et ça, c'est abstrait ?! », vous pourrez continuer à en débattre devant d'autres œuvres lors de votre prochaine visite au musée. SPEED ART est le fruit d'une collaboration entre le célèbre éditeur de jeux Carlitt plus Ravensburger, des concepteurs de jeux et l'équipe de la Médiation artistique de la Fondation Beyeler. |
Alexander Calder: Performing Sculpture
Tate Modern
Bankside,
London SE1 9TG, United Kingdom
Call +44 (0)20 7887 8888
Tate London
11 November 2015 – 3 April 2016
Tate Modern, Level 3
Supported by Terra Foundation for American Art with additional support from the Performing Sculpture Supporters Circle
Open daily from 10.00 – 18.00 and until 22.00 on Friday and Saturday
For public information call +44 (0)20 7887 8888, visit tate.org.uk, follow @Tate #Calder
Tate Modern presents the UK’s largest ever exhibition of Alexander Calder (1898-1976). Calder was one of the truly ground-breaking artists of the 20th century and, as a pioneer of kinetic sculpture, played an essential role in shaping the history of modernism. Alexander Calder: Performing Sculpture brings together approximately 100 works to reveal how Calder turned sculpture from a static object into a continually changing work to be experienced in real time.
Alexander Calder initially trained as an engineer before attending painting courses at the Arts Students League in New York. He travelled to Paris in the 1920s where he developed his wire sculptures and by 1931 had invented the mobile, a term first coined by Marcel Duchamp to describe Calder’s motorised objects. The exhibition traces the evolution of his distinct vocabulary – from his initial years captivating the artistic bohemia of inter-war Paris, to his later life spent between the towns of Roxbury in Connecticut and Sachéin France.
Ben Musée Tinguely Bâle Suisse
La galerie Eva Vautier vous invite à l'exposition hors les murs de Ben Vautier Est-ce que tout est art ? Ben Vautier Galerie Eva vautier ist alles Kunst ? Le Musée Tinguely , Bâle - Suisse |
Ben ist alles Kunst ? Courtesy Galerie Eva Vautier |
ANNE ET PATRICK POIRIER MUSEE JEAN COCTEAU
ANNE ET PATRICK POIRIER LA CHAMBRE D’ORPHEE |
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La chambre d’Orphée est le titre choisi à dessein par Anne et Patrick Poirier, en écho aux liens subtils unissant leur oeuvre et celle de Jean Cocteau que l’exposition met en lumière. Ils sont tous trois fins connaisseurs des mythes qui n’ont cessé de nourrir leur imaginaire et passionnés par les méandres de la psyché. Leur créativité puise aussi bien dans leur histoire personnelle que dans celle du monde, en particulier méditerranéen. Heurtebise, Cégeste, Orphée, Eurydice, Gradiva, Norbert Hanold, Freud sont les figures tutélaires de leurs pérégrinations introspectives dont l’incarnation prend les formes les plus diverses : poésie, théâtre, cinéma et dessin pour Cocteau ; sculpture, installation, peinture, photographie, écriture, vidéo pour Anne et Patrick Poirier. |
Anne et Patrick Poirier, Valise, 1968, documents publicitaires touristiques de voyages méditerranéens /Italie, carton, papier, 30 x 40 cm (fermée). © A et P Poirier, courtesy Galerie Mitterrand, photo : Jean-Christophe Lett |
Valérie Belin Centre Pompidou
VALÉRIE BELIN D’où provient ce sentiment d’inquiétante étrangeté que produisent les photographies de Valérie Belin ? De la carnation vivante de ses mannequins de vitrine, de la fixité du visage de ces femmes rencontrées dans la rue ? De l’aspect organique de ces carcasses de voitures, du caractère sculptural de ces boeufs écorchés ? Est-ce un sosie ou une statue de cire ?
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Valérie Belin |
Par le traitement de la lumière, des contrastes, les proportions des tirages et autres paramètres savamment orchestrés, Valérie Belin joue de l’incertitude. Devant ses images, il est souvent difficile de dire si ce que l’on regarde est doué de vie ou inanimé, réel ou virtuel, naturel ou artificiel.
Des détails subtils qui interrompent la continuité quotidienne, ramenant au concept d’inquiétante étrangeté de Sigmund Freud qui la définissait justement comme « Le fait de douter qu’une créature apparemment vivante soit animée, et à l’inverse l’idée qu’une créature sans vie pourrait bien être animée, en se référant à l’impression produite par les mannequins de cire, les poupées ou les automates réalisés avec art » [ Sigmund Freud, « L’Inquiétante étrangeté », 1919 ]. C’est cela précisément qui confère aux oeuvres de Valérie Belin une singulière puissance et le choix des oeuvres ici réunies, « Michael Jackson », « Black Women I », « Lido », « Meats», «Engines», …, illustre cet aspect spécifique de son travail. |