Expositions personnelles
2011 Galerie BASF Schwarzheide, Allemagne (édition d'un catalogue). Galerie du Uniklinikum Carl Gustav Carus, Dresden, Allemagne. Kunstfoyer Volksbank Bautzen eG, Bautzen, Allemagne.
2010 Artnîm, Stande L'ArtVues, Nîmes. UNED, Sala de exposiciones, Calatayud, Espagne (édition d'un catalogue). Galerie La tête d'obsidienne (Fort Napoleon), la Seyne-sur-Mer (83) (édition d'un catalogue). Museu del Cantir, Argentona, Barcelona, Espagne. Galerie am Domhof, Zwickau, Allemagne. Galerie im FZ Rossendorf, Dresde, Allemagne.
2009 Galerie Finkbein, Dresde, Allemagne. Musée Eisenhüttenstadt, Galerie d'art au musée, Allemagne. Vattenfall, Gut Geisendorf, Neupetershain, Allemagne (édition d'un catalogue). Galerie La Capelleta, Céret (66). Espace d'art contemporain, Bédarieux (34). Galerie au Zahnärztehaus, Dresde, Allemagne.
2008 Museu de la Mediterrania, Can Quintana, Torroella de Montgri, Gerone, Espagne. Fondation Modest Cuixart, Barcelona, Espagne. Galerie design, Wrozlaw, Pologne. Musée Albert Marzelles, Marmande. La Mirondela dels Arts, Hôtel des Barons de Lacoste, Pézenas. Galerie Art-In, Meerane, Allemagne. Galerie à l'Institut de Leibniz, IFW, Dresde, Allemagne.
2007 Institut francais, Dresde, Allemagne. Galerie GRS, Munich, Allemagne. Musée d'art moderne et contemporain, Cordes sur Ciel. Maison des Arts, Bages (11). Espace taurin, Béziers (en collaboration avec le Musée du bitérois). Galerie GRS, Berlin.
2006 Chambre de médecins de Saxe, Dresde, Allemagne. Galerie la vielle forge, Saint Paul de Vence. Galeria Spiren, Strassen, Luxembourg (édition d'un catalogue). Turmgalerie im Schloss Augustusburg, Augustusburg, Allemagne. Galerie im Rheinischen Eisenkunstgussmuseum, Bendorf-Koblenz, Allemagne.
2005 Galerie Schön, Bonn-Bad Godesberg, Allemagne. Gehagforum, Berlin, Allemagne. Chambre d'avocats de Saxe, Dresde, Allemagne. Radebeuler Kunstverein, Stadtgalerie Radebeul, Allemagne. Galerie GRS, Cologne, Allemagne. Galerie Kurfürstliches Gärtnerhaus, Bonn, Allemagne.
2004 Galerie im Hexenturm, Kunstverein Jülich, Allemagne. Kunsthaus am Museum, Trêves, Allemagne (édition d'un catalogue). Galerie am blauen Wunder, Dresde, Allemagne. Galerie Schwingeler Hof, Wesseling (Cologne), Allemagne. Musée municipal Schramberg, Forêt Noir, Allemagne. Ökumenische Stiftung Kloster Frenswegen, Nordhorn, Allemagne.
2003 Galerie de Telekomfachhochschule, Leipzig, Allemagne. Galerie de Bundesfinanzakademie, Brühl, Allemagne. Galerie art&more, Aachen, Allemagne.
2002 Galerie des arches, Paris (édition d'un catalogue). Escuela de arte, Zaragoza, Espagne (édition d'un catalogue). Peña taurine bayonnaise, Bayonne. Galerie municipale, Arles.
2001 Galerie Element terre, Mont de Marsan. Hôtel Carlton, Bilbao, Espagne. Galerie municipale, Plaisance du Gers (32).
2000 Matra Marconi Space, Toulouse (édition d'un catalogue). Galerie municipale, Vic Fezensac (32). Galerie Scocco, Auch (32).
1999 Musée Goya, Castres (édition d'un catalogue). Galerie La tour de cardinaux, L'Isle sur la Sorgue. Centre d'art Raymond Farbos, Mont de Marsan.
1998 Villa Béatrix Enea, Anglet. Galerie Arti Creation, Agen. Galerie Bleu de Lectoure, Lectoure.
1996 Galerie Kalinka, Dresde, Allemagne. Galerie Blaue Fabrik, Dresde, Allemagne. Atelier Tempo, Bordeaux. Château de Fours, Cumont (82).
1995 Abbaye de Flaran (32). Centre Culturel Saint Jérôme, Toulouse.
1994 Château de Lavardens, Gers.
1993 Galerie Rahmen und Bild, Dresde, Allemagne.
1990 Galerie Kurz, Dresde, Allemagne.
1988 Galerie Club für Dich, Dresde, Allemagne.
Expositions collectives
2012
8th International Women Exhibition du 4 au 31 mars 2012 au Latino Art Museum, Pomona, Los Angeles, USA
2011 "KREUZ - Anstoss oder Ausrichtung", Exposition du Kunstdienst Dresden pour le 33. Deutschen Evangelischen Kirchentag, Dresden, Allemagne. "Room & style", Künstlerbund Dresden, Messe Dresden, Allemagne. "Postoffen", Rosswein, Allemagne. "20. Sommerausstellung", Galerie am blauen Wunder, Dresden, Allemagne. "100 Sächsische Grafiken", Galerie im Malzhaus, Plauen, Allemagne.
2010 International exhibition of contemporary art, Ostrale'010, Dresde, Allemagne (catalogue). "100 Sächsische Grafiken", Neue Sächsische Galerie, Chemnitz, Allemagne (catalogue). "Saint Leopolds Friedenspreis", Sala terrena - Galerie des Stiftes, Klosterneuburg, Autriche. "Anglet, art contemporain de la collection municipale", Centro Cultural Amaia, Irun, Espagne. "Têtes", Dresdner Künstlerbund und Neuer Sächsischer Kunstverein, Galerie Mitte, Dresden, Allemagne. Centre d'art contemporain Raymond Farbos, Mont de Marsan. La collection municipale, Maison des arts, Bages. Galerie Finkbein, Dresde, Allemagne.
2009 "Onades", Centre de arte experimental Vallgrassa, El Garraf, Barcelone, Espagne (catalogue). Villa Cent Regards, Montpellier, avec la Maison de la gravure. Art contemporain de la collection, Musée d'art moderne et contemporain, Cordes sur Ciel. "Fünf aus Dresden", Galerie im Elysée, Hambourg, Allemagne. Festtafel, Neuer Sächsischer Kunstverein, Dresde, Allemagne (catalogue). Festtafel, Kunstverein Wiligrath, Lübsdorf (Schwerin), Allemagne. Frauenmuseum, Bonn, Allemagne (catalogue).
2008 International exhibition of contemporary art in museums, Latin art museum, Pomona, Los Angeles, USA. Women in the arts, Museum of the Americas, Doral, Miami, USA. "Onades", Museu de la Mediterrania, Can Quintana, Torroella de Montgri, Gerone, Espagne (catalogue). Centre d'art contemporain Raymond Farbos, Mont de Marsan. Festtafel, Kreative Werkstatt, Dresde, Allemagne. Festtafel, Galerie Design, Wrozlaw, Pologne.
2007 Centre d'art contemporain Raymond Farbos, Mont de Marsan. Galerie IMP, Barcelona, Espagne. 100 Sächsische Grafiken, Sächsischer Landtag Dresden, Allemagne.
2006 100 Sächsische Grafiken, Neue Sächsische Galerie, Chemnitz, Allemagne (catalogue). Plaza de arte, arènes de Bayonne.
2005 Galerie Contrast, Barcelona, Espagne. Galerie Schön, Bonn-Bad Godesberg, Allemagne. Galerie artacademy (au cabinet), Dresde, Allemagne.
2004 Galerie Le Biblion, Toulouse. Galerie Schön, Bonn-Bad Godesberg, Allemagne.
2003 Positive Signale, Galerie Carlos Hulsch, Berlin. Galerie Inge Donath, Troisdorf, Allemagne.
2002 Semaine hispanique, Lycée Bossuet, Condom. Plaza de arte, arènes de Bayonne. Coincidence III 2002, IGNIS Kulturzentrum, Cologne, Allemagne.
2001 Galerie Galarza, Pau. Conseil General, Montauban. Galerie d'art municipale, Castelsarrasin. Plaza de arte, arènes de Bayonne. Invité d'honneur, Salon d'art, Saint Martin. Artistes de la galerie, Galerie le rire bleu, Figeac.
2000 Galerie Scocco, Auch. Galerie Galarza, Pau. Artistes de la galerie, Galerie le rire bleu, Figeac.
1999 La collection municipale, Villa Béatrix Enea, Anglet. Galerie Portal, Saint Jean de Luz. Artistes de la galerie, Galerie le rire bleu, Figeac. Galerie Scocco, Auch.
1998 Galerie Serge Garnier, Paris. Galerie de l'Ermitage, Paris. Trace, Biennale de gravures, Paris, (catalogue). Galerie le rire bleu, Figeac.
1996 Peintures de portrait d'aujourd'hui, Galerie Kalinka, Dresde, Allemagne. Salon de peintres de l'Europe Central, Maison de l'Europe, Paris. De briques et de pierres, Centre Culturel Saint Jérôme, Toulouse.
1994 Tafelmalerei des 21. Jahrhunderts, Galerie Club für Dich, Dresde, Allemagne. Galerie Königsstrasse, Dresde, Allemagne.
1992 Galerie am blauen wunder, Dresde, Allemagne. Malerei, Leonhardimuseum, Dresde, Allemagne (catalogue).
1991 Hommage à Pawel Filonow, Leonhardimuseum, Dresde, Allemagne.
De 1990 à 1994 participation au groupe d'artistes "Leipziger blauer Reiter". Expositions collectives à Leipzig, Hambourg, Mönchengladbach, Wasserburg (Bodenseekreis)(catalogue).
Prix d'art
1993 Bourse de 6 mois de la fondation Kulturfonds, Berlin. 1996 Premier prix d'art "De briques et de pierres", Toulouse. 2008 Premier prix - gravure, International exhibition of contemporary art in museums, Latin art Museum, Pomona, Los Angeles, USA.
2008 Mention d'honneur - gravure, Women in the arts, Museum of the Americas, Doral, Miami, USA.
2010 Nomination exposition du prix d'art "Saint Leopolds Friedenspreis, Stift Klosterneuburg, Klosterneuburg (Vienne), Autriche.
Collections publiques
Musée Goya Castres (81). Musée d'art moderne et contemporain, Cordes sur Ciel (81). Ville de Cérêt (66). Fonds d'art Maison des arts, Bages (11). Bibliotheque Nationale, Paris. Bibliotheque Nationale, Madrid, Espagne. Parlement de lande de Saxe (Sächsischer Landtag), Dresde, Allemagne. Musées de la ville de Zwickau, Allemagne. Helmholtz Zentrum Dresden-Rossendorf, Allemagne. Chambre de médicins de Saxe, Dresde, Allemagne. EADS Dresde, Allemagne. Institut de Leibniz, IFW, Dresden, Allemagne. GRS Cologne, Allemagne. GRS Garching - Munich, Allemagne. Telekomfachhochschule, Leipzig, Allemagne. Chambre d'avocats de Saxe, Dresde, Allemagne. Chambre de dentistes de Saxe, Dresde, Allemagne. Neue Städtische Galerie Dresde, Allemagne. Neue Sächsische Galerie Chemnitz, Allemagne. Neuer Sächsischer Kunstverein Dresde, Allemagne. Fonds d'art UNED, Calatayud, Aragon, Espagne. Musée Javier de la Rosa, Agaete, Gran Canaries, Espagne. Fonds d'art Aires, Cordoue, Espagne. Fonds d'art Stift Klosterneuburg, Vienne, Autriche. Museum of the Americas, Doral, Miami, USA. Latin Art Museum, Pomona, Los Angeles, USA.
Copyright by Elke Daemmrich
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TEXTES
Serge Airoldi Dax, 1999
Texte du catalogue Elke Daemmrich, "Los toros", exposition personnelle au Musée Goya, Castres, 1999
Dans l'oeil du toro
Le 8 avril 1997, Elke Daemmrich assistait à sa toute première corrida, du haut des tendidos de la Maestranza de Séville. Ce jour-là, un torero révolté -il avait fait une grève de la faim pour être présent au cartel- décida de défier son adversaire. Le maestro s'agenouilla face au toril, la cape en éventail devant son corps réduit à un tronc sans jambe. Le toro, pensionnaire de la ganaderia de Tomas Prieto de la Cal surgit comme une météorite préhistorique des ténèbres de son chiquero et emporta l'habit de lumière de Franco Cardeño. Le fauve le défigura, broya sa joue, creva son oeil.
Et Elke vit ce drame. Une de ces toile témoigne de cette tragédie. Elle s'intitule "L'accident de Franco Cardeño" et met en scène un toro solaire, un toro de feu, un toro de fuego. Un toro toujours brocho. Les cornes en demi-lune. L'animal sauvage regarde son monde avec un petit oeil noir de mauvais rat. C'est un toro qui tue et à l'évidence, un toro de crucifixion. Une croix partage d'ailleurs la toile entre quatre zones comme autant de querencias, ces lieux imaginaires de l'arène où d'instinct, le toro se sent en sécurité. Seulement voilà.
Dans le travail d'Elke, la sécurité est une illusion taillée dans le même drap que la cape du torero, ce leurre pour tromper l'animal fou. Dans les toiles d'Elke nous sommes soudain dans l'oeil du toro et pire encore, dangereusement exposés à sa course, tantôt rectiligne, tantôt circulaire. En tauromachie, le cercle est roi : dans l'arène, dans l'oeil facial de l'homme, autour du compas que forment ses jambes, dans l'oeil latéral de l'animal et dans l'art de s'envelopper autour du cournu. Dans la peinture d'Elke aussi, le rond hypnotise. Ses cercles, eux, sont annonciateurs de malheurs bien plus catastrophiques encore. Parce que dans l'oeil du fourbe noir comme dans celui d'Elke, si le monde tourne rond, c'est pour dire qu'il va mal.
Regardez donc son "Nimeño II". L'oeuvre rapporte bien sûr l'histoire insupportable du suicide de celui qui un jour tournoya dans les airs, au-dessus d'autres cornes meurtrières. Or, le coeur du tableau est cette roue du fauteuil dans lequel le sublime Christian Montcouquiol finit ses jours, paralysé. Cette roue tourne rond pour conduire un homme à la mort. Cette roue ressemble comme une soeur jumelle au symbole que les Gitans dessinent sur leur drapeau. Cette roue est le cercle clos de l'errance et du destin funeste. Le huis clos du coup de corne autour duquel la vie tourbillonne soudain comme un cyclone tropical où s'engloutissent les faibles comme les valeureux. Ainsi va donc le monde dans les méandres picturaux d'Elke.
Voyez encore ces yeux de fin des temps parmi les spectateurs de "L'Etudiant de Falces", un hommage au "Diestrisimo estudiante de Falces" peint par Goya. Voyez aussi ces deux grands yeux bleus de l'animal rageur perdu dans un océan de violence.
Voyez dans les "Scènes de Tauromachie", ces flots de sperme dont les gouttes giclent en rafale du sexe des bestiaux comme des larmes couleraient sur des joues d'homme. Regardez encore les broderies de l'habit du picador. Elles aussi annoncent avec une délicate rondeur une pique profonde, le diamant de la corne dans la chair du torero.
Observez enfin le ventre rond de cette femme renversée dans "Le torero". Ses seins et son abdomen fréquentent avec témérité les dards qui n'enfantent jamais. Cette femme est une victime expiatoire. Le vieux torero, le héros de cette toile, ne l'ingnore pas. Ses yeux comme des amandes sèches ont vu le monde entier. Il attend et il voit. Il voit à la fois ceux qui osent affronter son regard et ceux qui jettent un oeil sur la planète du haut du tableau. Avec son anneau, cette planète fait un clin d'oeil à l'astre Saturne, à Saturne dévorant ses enfants peint par Goya, aux Saturnales peut-être dont on sait que les Romains les fêtaient pour rappeler à eux l'Age d'Or. En vain bien sûr. Car les Saturnales n'étaient que désordre et licence, semblables en cela au rouge et jaune cadmium, au bleu outremer, au violet de cobalt et au vert chrome d'Elke.
Cette sarabande de couleurs de chef indien sur le sentier de la guerre exclut le blanc et le noir. Elke ne les appelle jamais au secours. Ces couleurs-là, c'est vrai, débutent et finissent quelque situation, colorent quelque sentiment. Elle sont comme un baptême ou un deuil. Elles n'existent que dans une certaine idée du rituel. Rien de tout cela dans la grande roue d'Elke. Pas de sentiment, pas de rituel, pas de hésitation.
Le bûcher flambe et les démons entrent dans la danse de Saint-Gui. Saturne, le dieu du temps règne sur cette panique universelle et sur ces tourments. Le temps passe à sa portée et Saturne le dévore. Sans appétit cependant. Simplement pour éprouver sa tentation carnassière. Ainsi, rien ne change jamais dans la ronde macabre des travaux et des jours. C'est ce que semble dire Goya dont une gravure d'Elke rend hommage à l'autoportrait du peintre réalisé vers 1800 et exposé à Castres. Goya fixe l'après-demain derrière ses lunettes rondes. La boucle tourne en boucle. Elke peint et accomplit aussi des gravures sur cuivre au burin ou à la pointe sèche. Pendant ce temps, une oeuvre naît au fond du Gers où vit l'artiste. Son travail naît à peine et pourtant, il est déjà vieux de mille ans dans sa façon d'explorer les secrets de l'Apocalypse, un thème qu'elle affectionne. C'est pour Elke une façon de faire dire à ses toros, à ses héros déchiquetés par les cornes, à ses spectateurs étêtés:
"Nous sommes l'Alpha et l'Oméga. Nous sommes des débuts et des fins sans jamais de commence- ments ni d'aboutissements possibles. Nous sommes des grains de sable qui crissons sous les sabots. Nous sommes des animaux furieux qui déboulons dans une bulle ouverte sous un ciel rond. Nous sommes des ahuris devant lequels un diable lumineux retire le voile." C'est la traduction du mot grec "apocaluptein". "Un diable retire le voile donc et soudain le monde se révèle à nos naseaux enragés...juste avant que l'on ne meure sous une épée."
Ainsi vont la tauromachie, les toiles et les gravures d'Elke. Ainsi le fer qui marque le cuir des toros de Tomas Prieto de la Cal traverse-t-il le temps. Ce fer représente un cercle que perce un "v" à l'envers, comme une épine crèverait soudain une bulle de savon, un oeil, une vie de torero. Ainsi va donc le monde. Toujours en rond. Toujours obnubilé par son centre, son pauvre diamètre et la limite de sa circonférence.
Elke aime dire: "Le rond, c'est la forme la moins intellectuelle. Le rond, c'est les tripes qu'il faut avoir pour continuer à vivre." Alors vivons donc! Et que nos épaules arrondies par le fardeau essaient au moins de s'habiller de lumière.
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