Samuel Richardot Int'ubagu Musée d'art contemporain de la Haute-Vienne

DU 3 octobre au 14 décembre 2020
Musée d'art contemporain de la
Haute-Vienne - Château de Rochechouart
Place du Château
87600 Rochechouart, France
Tél. : 05 55 03 77 77

https://www.musee-rochechouart.com/index.php/fr/

Pour envisager l’œuvre de Samuel Richardot, il faut penser celle-ci comme une traversée, un voyage initiatique, qui prend pour cadre des espaces picturaux où se rejoue le théâtre du monde.

Cela commence par un blanc. Surface rectangulaire où la couleur fait front. Un jeu de cache-cache s’opère sur la toile, un théâtre des opérations dispose les obliques, barrant les plus petits rectangles, vert sur rouge ou rouge sur vert. L’œil soutient difficilement la brillance des teintes, pourtant nettes, dont l’équivalence annule presque la différence à la frontière de la partition de leurs espaces respectifs. Le vibrato coloré, valeur d’ondes lumineuses que la couleur incarne, agit littéralement sur la surface blanche de la toile apprêtée. Une autre ligne, hasardeuse et floue, formée d’une multitude de points, passée sans doute à la bombe, crée un contre-point qui est une sinusoïde. Celle-ci renforce le bord cadre du rectangle dessus et dessous les deux triangles colorés. Plus qu’un flou, la trace crée une ombre arrêtée. Un arrêt sur image, le noir arrête l’image. Et ce faisant, le noir invente des horizons multiples et contrariés sur la surface plus large de la toile. Que dire du jaune latéral, lui aussi ombré par un noir flouté sur les bords ?

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mondrian beyeler

Communiqué de presse 23 septembre 2020
Le Piet Mondrian Conservation Project (2019–2021)

Une initiative de la Fondation Beyeler, avec le soutien de La Prairie

Dans le cadre d’un projet de conservation d’envergure d’une durée de trois ans (2019–2021), la Fondation Beyeler se penche sur sept tableaux de Piet Mondrian (1872–1944). Le projet porte sur l’étude et la conservation de ces oeuvres appartenant à la Collection Beyeler, trois d’entre elles datant des débuts de l’artiste et quatre de réalisation plus tardive. Avec le soutien de La Prairie, dans les mois à venir les quatre oeuvres tardives emblématiques de l’artiste seront étudiées et analysées de manière approfondie. Jusque fin 2021, les visiteurs·ses intéressé·e·s peuvent observer le travail des restaurateurs·rices d’art. La Fondation Beyeler prévoit une importante exposition Piet Mondrian en 2022.

La Fondation Beyeler possède l’une des plus importantes collections de tableaux de Piet Mondrian de Suisse, allant d’oeuvres majeures des débuts de l’artiste néerlandais à des classiques plus tardifs. Ces sept chefs-d’oeuvre de Mondrian ont donné l’impulsion pour le lancement d’un projet de recherche et de conservation d’une durée de trois ans (2019–2021). Si chaque tableau est pris en compte à titre individuel et indépendant, l’objectif est de considérer les sept oeuvres de Mondrian de la Collection Beyeler comme un groupe cohérent en termes de composition et de présentation. Le Piet Mondrian Conservation Project comporte trois axes de recherche principaux qui sont brièvement présentés dans ce qui suit.

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© Ben Vautier, être libre – droits réservés
© Ben Vautier, être libre – droits réservés

galerie eva vautier
Hors les murs

Être libre BEN
Domaine Départemental de Chamarande
Derniers jours
Exposition jusqu'au 11 octobre 2020

Commissariat de l'exposition Eva Vautier

Pour le Domaine départemental de Chamarande, Ben rassemble plus de 400 œuvres, issues pour la plupart de sa collection personnelle, mais aussi de collections particulières.
L'exposition « Être libre » révèle les multiples facettes d'un artiste iconoclaste et provocateur qui récuse la pensée unique depuis plus de 50 ans. Elle permet de découvrir son œuvre dans toute sa complexité et ses contradictions, son ampleur joyeuse et son foisonnement, qui traversent tous les champs de l'art et de la vie.
Une partie historique présente une sélection d'œuvres significatives des années 1958 à 1978.

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Don Mccullin, fishermen playing during their lunch break, Scarborough, Yorkshire 1967 © Don Mccullin
Don Mccullin, fishermen playing during their lunch break, Scarborough, Yorkshire 1967 © Don Mccullin

16 September 2020 – 9 May 2021

TATE LIVERPOOL
Albert Dock, Liverpool L3 4BB, Royaume-Uni
Téléphone : +44 151 702 7400
https://www.tate.org.uk/

This one-way route guides you from the Main entrance and through to the exhibition. There will be access to toilets, our shop and an opportunity to buy food and drink during your visit.

Discover the work of legendary British photographer Don McCullin (b. 1935). See more than 200 iconic photographs captured over the last 60 years. The exhibition includes poignant images of international conflict. These will be shown alongside photographs of the UK, which depict scenes of working-class life in the industrial north and London’s East End. On display will be some of McCullin’s most recent landscape photography taken in the artist’s home county of Somerset.

In addition to the images shown at Tate Britain, there will be a special selection of photographs depicting life and industrial scenes of Liverpool and other northern towns and cities during the 1960s and 70s.

Alongside these photographs, all printed by McCullin himself in his own darkroom, you’ll have the opportunity to see his magazine spreads, contact sheets, helmet and the Nikon camera which took a bullet for him in Cambodia.

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Lee Krasner Combat, 1965 Oil on canvas 179 × 410.4 cm National Gallery of Victoria, Melbourne, Felton Bequest, 1992 (IC1-1992) © The Pollock-Krasner Foundation
Lee Krasner Combat, 1965 Oil on canvas 179 × 410.4 cm
National Gallery of Victoria, Melbourne, Felton Bequest, 1992 (IC1-1992)
© The Pollock-Krasner Foundation

September 18, 2020 - January 10, 2021

Museo Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2
48009 Bilbao
https://www.guggenheim-bilbao.eus
Contact us:
contacto(at)guggenheim-bilbao.eus
Telephone:
+34 944 35 90 00
+34 944 35 90 80

Lee Krasner (b. 1908; d. 1984) was a pioneer of Abstract Expressionism, the movement that made New York a thriving center for modern art in the postwar period. Born in Brooklyn, in an Orthodox Jewish, Russian émigré family, she decided to become an artist at 14. She applied to the only school in New York that offered an art course for girls and would later study at the Cooper Union, the National Academy of Design, and the Hans Hofmann School of Fine Arts.

Krasner was one of the first artists in New York to adopt an entirely abstract approach, and in 1942 she was included in the exhibition American and French Paintings at the McMillen Inc., alongside her friends Willem de Kooning and Stuart Davis. The one fellow exhibitor that she had not met before was Jackson Pollock, so she decided to visit his studio. In 1945 they married and moved to Springs, Long Island.

Unlike many of her contemporaries, Krasner refused to develop a 'signature image,' which she considered to be too rigid. Working in cycles, she sought out new means for authentic expression, even during the most tumultuous of times, including Pollock's sudden death in a car crash in 1956. Krasner's formidable spirit is felt throughout the body of work that she created over more than fifty years in the studio.

Lee Krasner Icarus, 1964 Oil on canvas 116.8 x 175.3 cm Thomson Family Collection, New York © The Pollock-Krasner Foundation. Courtesy Kasmin Gallery, New York Photograph by Diego Flores.

Lee Krasner Icarus, 1964 Oil on canvas 116.8 x 175.3 cm
Thomson Family Collection, New York © The Pollock-Krasner Foundation.
Courtesy Kasmin Gallery, New York - Photograph by Diego Flores.

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Journées européennes du Patrimoine

A l'occasion des Journées européennes du Patrimoine, les 19 et 20 septembre 2020, les Archives départementales du Haut-Rhin vous proposent 5 expositions virtuelles sur la thématique "Patrimoine et éducation : Apprendre pour la vie !".

(Re) découvrez des personnalités sous des angles attendus ou surprenants.

Laissez-vous guider par votre curiosité. Picorez, survolez, approfondissez…

Faites-vous plaisir et laissez-vous emporter à travers un voyage temporel plein de surprises et… sans virus ! encore que…

[nb : le encore que s’explique par quelques interviews qui ont eu lieu pendant le confinement ou le sketch de Catherine et Liliane sur la « Maladie X »…]

http://www.archives.haut-rhin.fr/Education/p167/Journees-europeennes-du-patrimoine-2020

Le 17/09/2020 par départementales Archives

Edward Hopper, The Lee Shore, 1941, huile sur toile, 71,7 x 109,2 cm, The Middleton Family Collection; © Heirs of Josephine Hopper / 2019, ProLitteris, Zurich; Photo: © 2019. Photo Art Resource/Scala, Florence
Edward Hopper, The Lee Shore, 1941, huile sur toile, 71,7 x 109,2 cm, The Middleton Family Collection;
© Heirs of Josephine Hopper / 2019, ProLitteris, Zurich; Photo: © 2019. Photo Art Resource/Scala, Florence

Plus que quelques jours: l'exposition «Edward Hopper» à la Fondation Beyeler prend fin le 20 septembre 2020

L'exposition «Edward Hopper», grand succès public à la Fondation Beyeler à Riehen/Bâle, touche à sa fin. Plus de 200'000 visiteurs·ses ont pu voir les œuvres de cet artiste américain majeur, auquel la crise du coronavirus a conféré une actualité inattendue – dans la presse et sur les réseaux sociaux, Hopper s'est vu qualifié fréquemment de «peintre du moment». Ses paysages emblématiques des années 1909 à 1965 sont à voir à la Fondation Beyeler jusqu'au 20 septembre 2020. Pour la dernière soirée de cette exposition plébiscitée par le public, la Fondation Beyeler prévoit dimanche 20 septembre un horaire d'ouverture étendu à 21h, un bar à boissons et de la musique live dans le Pavillon du Berower Park.

Edward Hopper (1882–1967) compte parmi les artistes majeurs du 20ème siècle. Connu en Europe principalement pour ses peintures à l'huile de scènes de la vie urbaine, dont certaines ont acquis une popularité exceptionnelle, jusqu'à présent ses paysages avaient reçu moins d'attention. Étonnamment, aucune exposition importante n'avait encore été consacrée au regard porté par Hopper sur le paysage américain. C'est par ailleurs la première fois qu'une exposition est consacrée à Edward Hopper en Suisse alémanique. Initialement programmée jusqu'au 17 mai et prolongée jusqu'au 20 septembre, la vaste exposition de la Fondation Beyeler présente des peintures de paysage emblématiques de Hopper ainsi qu'une sélection d'aquarelles et de dessins.

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red cross museum2020
Imagine Réflexions sur la paix Reflections on peace 16.9.2020 photo © Gary Knight /
À quoi ressemble la paix, au-delà des images qu’on s’en fait ?

Nous sommes très heureux de vous présenter notre nouvelle exposition temporaire «Imagine. Réflexions sur la paix», qui ouvrira ses portes le mardi 15 septembre 2020.
Conçue en collaboration avec la VII Foundation, l’exposition invite à imaginer l’idéal de paix au-delà des images qui font l’actualité : quelle (s) forme (s) revêt-elle au quotidien dans des pays qui ont déposé les armes, après bien des années de conflits ?

Des grands noms de la photographie retournent sur les lieux où ils ont réalisé, pour certains d’entre eux, leurs premiers reportages, il y a plus de 20 ans, afin d’examiner les conditions et conséquences des processus de paix au Liban, en Irlande du Nord, en Bosnie-Herzégovine, au Rwanda, au Cambodge et en Colombie, pays qui ont connu des conflits de longue durée.

Sorties pour la plupart du contexte brûlant qui les a fait naître et présentées en tableaux parfois denses, ces 160 photographies rendent compte d’un processus fragile, d’une réalité complexe faite de succès, d’échecs, d’espoir et d’hésitations.

Liste des photographes : Stephen Ferry, Ron Haviv, Gary Knight, Don McCullin, Roland Neveu, Gilles Peress, Jack Picone et Nichole Sobecki.

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Vue de l'exposition Kehinde Wiley, Peintre de l'épopée, Centre d'art La Malmaison, à Cannes © Olivier Clavel
Vue de l'exposition Kehinde Wiley, Peintre de l'épopée, Centre d'art La Malmaison, à Cannes © Olivier Clavel

KEHINDE WILEY,
PEINTRE DE L’ÉPOPÉE

10 juillet > 1er novembre 2020

Centre d'Art de la Malmaison, Cannes
47 boulevard de la Croisette
06400 Cannes
Tél : 04 97 06 45 21
E-mail : centredartlamalmaison(at)ville-cannes.fr
http://www.cannes.com/fr/culture/centre-d-art-la-malmaison.html

Du 10 juillet au 1er novembre, le Centre d'Art de la Malmaison sur la Croisette, accueille l’une des stars internationales les plus recherchées d'aujourd'hui, l'américain Kehinde Wiley. À travers plus d’une vingtaine d'œuvres, le Centre d'art la Malmaison dévoile le dessein épique qui anime le travail de l’artiste depuis plus d’une décennie.

Puisant son inspiration dans la peinture classique, du Titien à Gainsborough en passant par Van Dyck ou Ingres, Kehinde Wiley propose une perspective unique, politique et esthétique. En choisissant de rendre visible les invisibles de l’histoire, il interroge les spectateurs sur les questions de perception, de pouvoir et d’origine.

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MACM Musée d'Art Classique de Mougins
Situé dans une ancienne maison du village médiévale de Mougins, le Musée d'Art Classique de Mougins a été fondé en 2011 par Christian Levett, un gestionnaire d'investissement britannique, qui souhaite partager sa passion de l'histoire et de l'art avec le public, en exposant sa collection d'antiquités et d'art classique.
Sur 4 étages, découvrez une collection d’antiquités unique regroupant sculptures, vases, bijoux, et pièces de monnaie, d’origines romaine, grecque et égyptienne, et la plus grande collection privée d’armes et armures gréco-romaines au monde...
Visite avec Leisa Paoli. : Musée d'Art Classique de Mougins 5 rue des muriers Mougins 06250 France Téléphone : 04 93 75 18 22 https://www.mouginsmusee.com/

JEAN COCTEAU & SA MYTHOLOGIE MUSEE D'ART CLASSIQUE DE MOUGINS
Musée d'Art Classique de Mougins
5 rue des Muriers
06250 MOUGINS - France

11 septembre 2020 - 24 janvier 2021
Une exposition MACM en collaboration avec le Musée Jean Cocteau collection Séverin Wunderman de Menton

JEAN COCTEAU & SA MYTHOLOGIE
11th September 2020 - 24th January 2021
An MACM exhibition in collaboration with the
Musée Jean Cocteau collection Séverin Wunderman, Menton
Le MACM invite en ses murs celui qui fut connu comme un esthète, un dandy, une des figures à la mode du Tout-Paris et surtout un immense artiste aux multiples talents: peintre, dessinateur, cinéaste, chorégraphe, auteur dramatique, poète... c'est, bien sûr, de Jean Cocteau qu'il s'agit.

The Musée d'Art Classique de Mougins welcomes within its walls the man who was once known as one of the most fashionable figures in Paris, an aesthete, a Dandy & above all a great artist with multiple talents: a painter, a draftsman, a filmmaker, a choreographer, a playwright, a poet... Jean Cocteau !

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12.09.2020 — 03.01.2021
Gérard Fromanger
Annoncez la couleur !
Musée des Beaux Arts, Caen, France

Le Château
14000 Caen — France
T +2 31 30 47 70

www.mba.caen.fr

Particulièrement attaché à la Normandie où il a grandi, Gérard Fromanger est l’un des plus grands représentants du courant de la Figuration narrative. Depuis les événements de mai 68 auxquels il prend une large part en co-fondant notamment l’Atelier populaire des Beaux-Arts de Paris, il s’affirme comme un artiste engagé, ancré « dans le monde ». « Comme tous les artistes, j’étais sorti de mon atelier et le souffle, la beauté de la rue m’ont saisi. Tout à coup j’ai compris le pouvoir de la rue. Elle peut changer le monde. La rue et les gens sont devenus mes thèmes, ils sont entrés dans mes tableaux. » Depuis un demi-siècle Gérard Fromanger décline une stratégie de la couleur fondée sur la quadrichromie en conjuguant les composants de la photographie avec l’impérieuse nécessité de s’impliquer dans son époque. Il revisite à travers ses séries les grands genres de la peinture – scènes d’histoire, paysages, portraits. L’exposition du musée des Beaux-Arts révèle, à travers une soixantaine d’œuvres créées de 1966 à 2018, à quel point ce peintre de la rue et des passions joyeuses, résolument libre, a su développer un art toujours novateur, à l’écart de tout formalisme.

L’exposition bénéficie du commissariat de Claude Guibert, cinéaste et critique d’art.

Gérard Fromanger Annoncez la couleur ! Musée des Beaux Arts, Caen, France

Pablo Picasso (1881-1973). Susanna and the Elders. Nice, summer 1955. Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte, Madrid. On temporary loan to the Museo Picasso Málaga © FABA photo: Hugard & Vanoverschelde Photography © Sucesión Pablo Picasso, VEGAP, Madrid, 2020
Pablo Picasso (1881-1973). Susanna and the Elders. Nice, summer 1955. Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte,
Madrid. On temporary loan to the Museo Picasso Málaga © FABA photo: Hugard & Vanoverschelde Photography
© Sucesión Pablo Picasso, VEGAP, Madrid, 2020
 

MUSEO PICASSO MÁLAGA
Palacio de Buenavista C/ San Agustín, 8
29015 Málaga, Spain

https://www.museopicassomalaga.org/en

By periodically refreshing, and thus revising, its permanent collection, Museo Picasso Málaga is in a way following in the footsteps of Picasso himself, who innovated constantly with his art throughout his life. With its thematic and chronological layout, this new exhibition narrative in the Palacio de Buenavista will enable visitors to acquire a deeper knowledge of Pablo Picasso’s artistic career by grouping his works together in a way that helps them to understand his artistic processes. This is the sixth transformation of the exhibition rooms of the Palacio de Buenavista since the museum first opened in 2003, thanks to the negotiations that took place to ratify the agreement between the Consejería de Cultura y Patrimonio de la Junta de Andalucía and Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte (FABA), which has been renewed for three more years, during which time a total of 162 works by Picasso will be added to the 233 works MPM holds in its own collection.

The new layout of the exhibition rooms owes its unique features to an innovative scenographic layout in the museum spaces. There are 44 paintings, 49 drawings, 40 graphic works, 10 sculptures, 17 ceramics, 1 tapestry and 1 linocut plate. With the 233 works belonging to Museo Picasso Málaga and these 162 from Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte (FABA), the collection will hold almost four hundred works by Pablo Picasso, dating from between 1894 and 1972, of which 120 will be on display in the Palacio de Buenavista. These works build a story that begins with Picasso’s formative years and continues through the most representative periods of the artist’s career.

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Sophie Taeuber-Arp. Composition of Circles and Overlapping Angles. 1930. Oil on canvas. 19 ½ x 25 ¾” (49.5 x 64.1 cm). The Museum of Modern Art, New York. The Riklis Collection of McCrory Corporation. Photo: The Museum of Modern Art, Department of Imaging and Visual Resources. © 2019 Artists Rights Society (ARS), New York / VG Bild-Kunst, Bonn
Sophie Taeuber-Arp. Composition of Circles and Overlapping Angles. 1930. Oil on canvas. 19 ½ x 25 ¾” (49.5 x 64.1 cm).
The Museum of Modern Art, New York. The Riklis Collection of McCrory Corporation. Photo: The Museum of Modern Art,
Department of Imaging and Visual Resources. © 2019 Artists Rights Society (ARS), New York / VG Bild-Kunst, Bonn

Bringing Together Some 400 Works, the Exhibition Will Open at The Museum of Modern Art, New York, with Subsequent Presentations by Kunstmuseum Basel and Tate Modern, London

NEW YORK, The Museum of Modern Art announces Sophie Taeuber- Arp: Living Abstraction, the first major US exhibition in nearly 40 years to survey this multifaceted abstract artist’s
innovative and wide-ranging body of work. On view November 1, 2020, to February 14, 2021, the exhibition will explore the artist’s interdisciplinary approach to abstraction through some 400 works assembled from over 80 public and private collections in Europe and the US, including textiles, beadwork, polychrome marionettes, architectural and interior designs, stained glass windows, works on paper, paintings, and relief sculptures. Sophie Taeuber-Arp: Living Abstraction is organized by The Museum of Modern Art, Kunstmuseum Basel, and Tate Modern, by Anne Umland, the Blanchette Hooker Rockefeller Senior Curator of Painting and Sculpture, MoMA; Walburga Krupp, independent curator; Eva Reifert, Curator of Nineteenth-Century and Modern Art, Kunstmuseum Basel; and Natalia Sidlina, Curator, International Art, Tate Modern; with Laura Braverman, Curatorial Assistant, Department of Painting and Sculpture, MoMA. Following its presentation at MoMA, the exhibition will be shown at the Kunstmuseum Basel (March 19–June 20, 2021) in Taeuber-Arp’s native Switzerland, and at Tate Modern in London (July 13–October 17, 2021), where it will be the first-ever retrospective of the artist in the United Kingdom.

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Ben Vautier Fondation Linda et Guy Pieters Saint Tropez

 

L'ART EST UN VIRUS - Exposition Ben Vautier du 4 juin - 11 octobre 2020

Fondation Linda et Guy Pieters
28 Boulevard Vasserot
(Places des Lices)
83990 Saint-Tropez
+32 484 133 468
https://www.fondationlgp.com/fr
info(at)fondationlgp.com

Ben, de son vrai nom Benjamin Vautier, est un artiste français d’origine suisse, né le 18 juillet 1935, à Naples (Italie), de mère irlandaise et occitane, et de père suisse francophone. Il est le petit-fils de Marc Louis Benjamin Vautier, peintre suisse du XIXe siècle. Il vit ses cinq premières années à Naples. Après la déclaration de guerre, en 1939, Ben et sa mère vont multiplier les voyages : Suisse, Turquie, Égypte, Italie…, pour enfin s’installer à Nice en 1949. Il étudie à l’école du Parc-Impérial et à la pension du collège Stanislas. Sa mère lui trouve un travail à la librairie Le Nain bleu en tant que garçon de course, puis lui achète une librairie-papeterie.

À la fin des années 1950, il la vend pour ouvrir une petite boutique, dont il transforme la façade en accumulant quantité d’objets et dans laquelle il vend des disques d’occasion. Rapidement, sa boutique devient un lieu de rencontres et d’expositions où se retrouvent les principaux membres de ce qui deviendra l’école de Nice : César, Arman, Martial Raysse, etc. Proche d’Yves Klein et séduit par le Nouveau Réalisme, il est convaincu que « l’art doit être nouveau et apporter un choc ».

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Kandinsky
November 20, 2020 - May 23, 2021 (Dates pending)

Museo Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2
48009 Bilbao
https://www.guggenheim-bilbao.eus
Contact us:
contacto(at)guggenheim-bilbao.eus
Telephone:
+34 944 35 90 00
+34 944 35 90 80

As a pioneer of abstraction and a renowned aesthetic theorist, Vasily Kandinsky (b. 1866, Moscow; d. 1944, Neuilly-sur-Seine, France) is among the foremost artistic innovators of the early twentieth century. He endeavored to free painting from its ties to the natural world, and in so doing he discovered a new subject matter based solely on the artist’s “inner necessity” that would occupy him throughout his life. Drawn primarily from the Solomon R. Guggenheim Foundation’s rich holdings, this comprehensive exhibition of paintings and works on paper traces Kandinsky’s aesthetic evolution and spans his entire oeuvre.

After settling in Bavaria in 1908, Kandinsky helped found the Munich-based group Der Blaue Reiter (The Blue Rider), a loose association of artists united around a common interest in the expressive potential of color and the symbolic—often spiritual—resonance of forms. Following a period of great productivity, Kandinsky was forced to leave Germany with the outbreak of World War I and ultimately returned to his native Moscow. There, his pictorial vocabulary began to reflect the utopian experiments of the Russian avant-garde, including emphasizing geometric shapes in an effort to establish a universal aesthetic language. After the war, Kandinsky began teaching at the Bauhaus, a German school of art and applied design that shared his belief in art’s ability to transform self and society. Kandinsky was nonetheless forced to abandon Germany a second time when the Bauhaus was closed under pressure from the Nazis in 1933. He and his wife, Nina, settled in a suburb of Paris, where Kandinsky increasingly experimented with materials, creating imaginative works in which he combined sand with pigment. His compositions from this last chapter resemble miniscule worlds of living organisms, clearly informed by his contact with Surrealism, and an interest in natural sciences, particularly botany, embryology, and zoology.

Vasily Kandinsky Black Lines (Schwarze Linien), December 1913 Oil on canvas 129.4 x 131.1 cm Solomon R. Guggenheim Museum, New York Solomon R. Guggenheim Foundation Collection, By gift © Vasily Kandinsky, VEGAP, Bilbao 2020

Vasily Kandinsky Black Lines (Schwarze Linien), December 1913
Oil on canvas 129.4 x 131.1 cm
Solomon R. Guggenheim Museum, New York
Solomon R. Guggenheim Foundation Collection, By gift
© Vasily Kandinsky, VEGAP, Bilbao 2020
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La Fondation Beyeler rouvre ses portes le lundi 11 mai 2020.

Les expositions «Edward Hopper» et «Voir le silence – Images de quiétude» sont prolongées jusqu'au 26 juillet, l'exposition «Goya» est reportée.

À partir du lundi 11 mai, la Fondation Beyeler sera à nouveau ouverte tous les jours. Les visiteurs pourront y retrouver l'exposition consacrée au grand artiste américain Edward Hopper ainsi que la présentation de la collection «Voir le silence – Images de quiétude». Avec la crise du coronavirus, les deux expositions ont soudainement et dramatiquement gagné en actualité. En raison de l'intérêt du public, elles sont prolongées jusqu'au 26 juillet 2020. Les billets peuvent être réservés en ligne à partir du jeudi 7 mai sur www.fondationbeyeler.ch . La Fondation Beyeler a élaboré un plan de protection complet pour ses visiteurs et ses collaborateurs afin de mettre en œuvre de manière optimale les mesures de l'ordonnance COVID-19 de la Confédération. Ainsi, le nombre de visiteurs sera limité au moyen de billets en ligne à créneau horaire déterminé et la circulation des visiteurs dans le parc et dans le musée est réaménagée, avec des points distincts d'entrée et de sortie. Tous les événements sont annulés jusqu'à nouvel ordre, Les visites guidées se tiendront sous forme réduite en dehors des horaires d'ouverture. La grande exposition «Goya», dont l'ouverture était prévue le 15 mai, est reportée. Une nouvelle date sera communiquée en juin.

 

Edward Hopper, Cape Cod Morning, 1950, huile sur toile, 86,7 x 102,3 cm, Smithsonian American Art Museum, Gift of the Sara Roby Foundation; © Heirs of Josephine Hopper / 2019, ProLitteris, Zurich; Photo: Smithsonian American Art Museum, Gene Young

Edward Hopper, Cape Cod Morning, 1950,
huile sur toile, 86,7 x 102,3 cm,
Smithsonian American Art Museum,
Gift of the Sara Roby Foundation;
© Heirs of Josephine Hopper / 2019, ProLitteris, Zurich;
Photo: Smithsonian American Art Museum, Gene Young
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Cet été à la Fondation Manuel Rivera-Ortiz, nous vous invitons à faire un pas de côté, à changer de point de vue. Nous vous invitons à vous poser la question avec nous : s'il n'y a plus de Terra Incognita ni de « grands explorateurs » ... qui sont les réels Pionniers aujourd'hui ?

Les êtres humains ont parcellisé, surveillé, exploité les espaces terrestres, aériens, maritimes. Exit les Terra Incognita, les cartes sont pleines... il est temps de les rebattre ! Nous voulons donner la voix à des hommes et des femmes assez lucides pour penser en dehors des limites que nos sociétés ont globalement établies sur des considérations anthropocentriques, anthropométriques, mécaniques, puis numériques.

Nous voulons faire entrer en résonance des photographes, vidéastes, designers sonores, des activistes, des individus, des citoyens qui s'engagent pour améliorer nos vies et notre rapport à notre environnement par l'augmentation de notre savoir et l'élargissement de nos univers individuels.

« Ce qui m'intéresse ce n'est pas le bonheur de tous les hommes, c'est celui de chacun. » – Boris Vian

Les 11 expositions que nous vous présentons invitent à questionner nos limites tant physiques que mentales ou spirituelles à travers les travaux de Mathias Benguigui et Agathe Kalfas, Yves Billon, Aline Deschamps, Alberto Giuliani, Yao Jui-Chung et Sandy Lo, Sylvie Léget, Andréa Mantovani, Pablo Ernesto Piovano, Ernest Randriarimalala et Saraya Cortaville, Niina Vatanen et les archives de Boris Vian.

 

Fondation Manuel Rivera-Ortiz
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THE MENIL COLLECTION PRESENTS PHOTOGRAPHY AND THE SURREAL IMAGINATION
ON VIEW NOW THROUGH JUNE 14 - 2020

Events During Houston’s FotoFest Biennial 2020 Include Talks by Artist Allison Janae
Hamilton and Curator Natalie Dupêcher, a Lecture by Author David Campany, and a Special Musical Performance

HOUSTON, TEXAS, February 24, 2020 – Drawn from the Menil Collection’s renowned holdings of Surrealist art and from extraordinary loans from Houston collections, the exhibition Photography and the Surreal Imagination is on view at the Menil Collection now through June 14, 2020.
Presenting 62 works that span the years from Surrealism’s eruption in the 1920s to the present day, the exhibition reveals how photographers during and after the Surrealist movement have explored and distorted the human form, manipulated the photographic surface, and used the camera to transform the familiar into the uncanny. Photography’s inherent tension between documentation and invention emerges in the exhibition as the generative force that has made this medium so productive for artists working in the wake of Surrealism.

Tirée des collections renommées d’art surréaliste de la collection Menil et des prêts extraordinaires des collections de Houston, l’exposition Photography and the Surreal Imagination est à l’affiche à la collection Menil jusqu’au 14 juin 2020. Présentant 62 œuvres qui couvrent les années de l’éruption du surréalisme dans des années 1920 à nos jours, l’exposition révèle comment les photographes pendant et après le mouvement surréaliste ont exploré et déformé la forme humaine, manipulé la surface photographique et utilisé l’appareil photo pour transformer le familier en inquiétant. La tension inhérente à la photographie entre documentation et invention émerge dans l’exposition comme la force génératrice qui a rendu ce médium si productif pour les artistes travaillant dans le sillage du surréalisme.

George Platt Lynes, Untitled, 1941. Gelatin silver print, 9 9/16 × 7 5/8 in. (24.3 × 19.4 cm). The Museum of Fine Arts, Houston, The Allan Chasanoff Photographic Collection, 91.849. © George Platt Lynes Estate

George Platt Lynes, Untitled, 1941. Gelatin silver print,
9 9/16 × 7 5/8 in. (24.3 × 19.4 cm).
The Museum of Fine Arts, Houston,
The Allan Chasanoff Photographic Collection, 91.849.
© George Platt Lynes Estate

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Robert Doisneau27

ROBERT DOISNEAU

La street photography dell’artista parigino dal 27 agosto al 20 settembre 2020 a Bologna

Palazzo Pallavicini è lieto di annunciare un'ulteriore proroga della mostra ROBERT DOISNEAU che resterà aperta fino al 20 settembre 2020. Dopo la pausa estiva dal 10 al 26 agosto, ritorneranno i consueti appuntamenti con Palazzo Pallavicini a orario continuato dalle 11.00 alle 20.00, dal giovedì alla domenica: un'occasione da non perdere per tutti gli appassionati e i curiosi che non hanno avuto l'occasione di scoprire gli scatti del padre della fotografia umanista e per tutti i visitatori che desiderano ripetere l’esperienza.

LA MOSTRA -

L’esposizione dedicata al grande fotografo parigino Robert Doisneau celebre per il suo approccio poetico alla street photography autore di Le baiser de l'hôtel de ville, una delle immagini più famose della storia della fotografia del secondo dopoguerra, è curata dall’Atelier Robert Doisneau (Montrouge, Fr) ed è organizzata da Pallavicini s.r.l. di Chiara Campagnoli, Deborah Petroni e Rubens Fogacci in collaborazione con diChroma photography.

L’ampia retrospettiva è il risultato di un ambizioso progetto del 1986 di Francine Deroudille e della sorella Annette Doisneau che hanno selezionato, da 450mila negativi prodotti in oltre 60 anni di attività del padre, le 143 immagini della mostra che ci raccontano l’appassionante storia autobiografica dell’artista.

I sobborghi grigi delle periferie parigine, le fabbriche, i piccoli negozi, i bambini solitari o ribelli, la guerra dalla parte della Resistenza, il popolo parigino al lavoro o in festa, gli scorci nella campagna francese, gli incontri con artisti e le celebrità dell’epoca, il mondo della moda e i personaggi eccentrici incontrati nei caffè parigini, sono i protagonisti del racconto fotografico di un mondo che “non ha nulla a che fare con la realtà, ma è infinitamente più interessante”. Doisneau non cattura la vita così come si presenta, ma come vuole che sia. Di natura ribelle, il suo lavoro è intriso di momenti di disobbedienza e di rifiuto per le regole stabilite, di immagini giocose e ironiche giustapposizioni di elementi tradizionali e anticonformisti.

Influenzato dall'opera di André Kertész, Eugène Atget e Henri Cartier-Bresson, Doisneau conferisce importanza e dignità alla cultura di strada, con una particolare attenzione per i bambini, di cui     coglie momenti di libertà e di gioco fuori dal controllo dei genitori, trasmettendoci una visione affascinante della fragilità umana.

Le meraviglie della vita quotidiana sono così eccitanti;

nessun regista può ricreare l'inaspettato che trovi per strada.

 Robert Doisneau.

L'EXPOSITION -
L'exposition ROBERT DOISNEAU est organisée par l'Atelier Robert Doisneau (Montrouge, Fr), créé par Francine Deroudille et Annette Doisneau pour préserver et représenter les œuvres du photographe, et est organisé par Pallavicini s.r.l. par Chiara Campagnoli, Deborah Petroni et Rubens Fogacci en collaboration avec diChroma photography.

143 œuvres sont exposées dans les prestigieuses salles de la Via San Felice, toutes de l'Atelier. L'exposition est le résultat d'un ambitieux projet de 1986 de Francine Deroudille et de sa sœur Annette - les filles de Robert Doisneau - qui ont sélectionné parmi 450 000 négatifs produits en plus de 60 ans d'activité de l'artiste, les images de l'exposition qui raconter l'histoire autobiographique passionnante de l'artiste.

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À Marseille, le Mucem s’affirme comme le grand musée consacré à la Méditerranée.

La singularité du Mucem est de retracer, d’analyser et d’éclairer, dans un même élan et un même lieu, les antiques fondations de ce bassin de civilisation, et les tensions qui le traversent jusqu’à l’époque contemporaine. D’être un lieu d’échange autour des enjeux méditerranéens.

Dans ses expositions comme dans sa programmation culturelle, il propose une vision pluridisciplinaire où se conjuguent anthropologie, histoire, archéologie, histoire de l’art et art contemporain, afin de montrer au public les diverses facettes du monde méditerranéen et de son dialogue permanent avec l’Europe.

Ses racines

Premier musée consacré aux cultures de la Méditerranée, le Mucem est un musée inédit. Né de la métamorphose d’un grand musée de société - le Musée des arts et traditions populaires créé en 1937 à Paris, il représente le premier véritable transfert d’un musée national en région. Ouvert à Marseille en juin 2013, le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (Mucem) est entré dès l’année suivante dans le cercle des 50 musées les plus visités du monde.
Un musée, trois sites

Le Mucem se déploie sur trois sites. Côté mer, à l’entrée du Vieux-Port, le bâtiment J4 (l’emblématique geste architectural de Rudy Ricciotti et Roland Carta), et le fort Saint-Jean (monument historique entièrement restauré) incarnent parfaitement, avec leurs deux passerelles, le projet d’établir un trait d’union entre les deux rives de la Méditerranée. Ils accueillent les grandes expositions et les rendez-vous de la programmation artistique et culturelle. Côté ville, dans le quartier de la Belle de Mai, le Centre de conservation et de ressources (CCR) abrite les collections du musée. Cet ensemble unique permet au Mucem de démultiplier ses propositions culturelles.

2 Mucem 2019 © Photo Cyrille Weiner Mucem

Mucem 2019 © Photo Cyrille Weiner Mucem

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Exhibition Spanning Gerhard Richter’s Prolific Six Decade Career to Open at The Met Breuer
Gerhard Richter

Exhibition Dates: March 4–July 5, 2020
Exhibition Location: The Met Breuer, Floors 3 & 4

The Met Breuer
945 Madison Avenue
New York, NY 10021
Phone: 212-731-1675 web site : https://www.metmuseum.org/

The Met will present a major loan exhibition devoted to the work of one of the most renowned artists of our time: Gerhard Richter (German, born Dresden 1932). On view at The Met Breuer from March 4 through July 5, 2020, Gerhard Richter: Painting After All will consider the entire span of the artist’s career through some 100 works including paintings, glass sculptures, prints, and photographs. Conceived in close collaboration with the artist, the exhibition will reveal Richter’s six decade-long preoccupation with the dual means of representation and abstraction, and his continual exploration of the material, conceptual, and historical implications of painting. This will be the first major U.S. survey on the artist in nearly 20 years.

The exhibition is made possible by the Barrie A. and Deedee Wigmore Foundation.

Corporate sponsorship is provided by Morgan Stanley.

Major support is provided by David S. Winter and the Modern and
Contemporary Art Visiting Committee.

Additional funding is provided by Angela A. Chao and Jim Breyer,
Jane C. Carroll, the Horace W. Goldsmith Foundation, Kenneth and Rosalind Landis, and the Peterson Family Foundation.

Gerhard Richter (German, b. 1932), Birkenau, 2014. Oil on canvas, 260 x 200 cm, Gerhard Richter Archiv, Staatliche Kunstsammlungen Dresden, Dresden, Germany. © Gerhard Richter 2020 
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Watch a video preview of Gerhard Richter: Painting After All, on view at The Met Breuer from March 4 through July 5, 2020. The exhibition, which considers Richter's six-decade-long preoccupation with the dual means of representation and abstraction to explore the material, conceptual and historical implications of painting, spans the entirety of Richter's prolific and innovative career, and presents over one hundred works that focus on his specific commitment to the medium, as well as his related interests in photography, digital reproduction, and sculpture

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Christo et Jeanne-Claude Paris ! - 01 Juillet - 19 Octobre 2020

The Centre Pompidou
75191 Paris cedex 04 / T. 00 33 (0)1 44 78 12 33
Metro: Hôtel de Ville, Rambuteau / RER: Châtelet-Les-Halles

Gallery 2, Level 6

Christo & Jeanne-Claude, Paris!, a major exhibition from March 18 to June 15, 2020 in Gallery 2 of the Centre Pompidou, retraces artists Christo and Jeanne-Claude’s years in Paris together, from 1958 to 1964, and the story of The Pont-Neuf Wrapped, Paris, 1975-1985. This exhibition will also be a prelude to L’Arc de Triomphe, Wrapped (Project for Paris, Place de l’Étoile – Charles de Gaulle) which will be on view from September 19 to October 4, 2020 (see page 5).

The seven years Christo lived in Paris were essential to the development of his work as an artist. Christo broke free from the boundaries of the painting, as he began wrapping everyday objects and creating temporary artworks in public spaces. He also began conceiving works of art in monumental dimension, envisioning numerous temporary projects for the city.

Mur provisoire de tonneaux métalliques –  Le Rideau de fer, rue Visconti, Paris, 27 juin 1962  [Temporary Wall of Oil Barrels – The Iron Curtain,  Rue Visconti, Paris, 27 June 1962] © Christo 1962 Photo © Jean-Dominique Lajoux

Mur provisoire de tonneaux métalliques –
Le Rideau de fer, rue Visconti, Paris, 27 juin 1962
[Temporary Wall of Oil Barrels – The Iron Curtain,
Rue Visconti, Paris, 27 June 1962]
© Christo 1962 Photo © Jean-Dominique Lajoux

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Lygia Clark: Painting as an Experimental Field, 1948–1958
March 6, 2020 - May 24, 2020

Museo Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2
48009 Bilbao
https://www.guggenheim-bilbao.eus/en
Telephone: +34 944 35 90 00 & +34 944 35 90 80

A pioneer in abstraction, Lygia Clark (b. 1920, Belo Horizonte, Brazil; d. 1988, Rio de Janeiro, Brazil) was a major artist of the second half of the twentieth century. Lygia Clark: Painting as an Experimental Field, 1948–1958 presents a reexamination of Clark’s crucial formative years from 1948 to 1958, when she was experimenting between figuration and abstraction to articulate the compelling visual language that defined her mature production. Along with a pertinent representation of her early figurative work, this exhibition assembles paintings from major series created during this early period to provide a fundamental overview of the first decade of Clark’s artistic career.

Viewing painting as an “experimental field,” a phrase from a keynote lecture given by the artist in 1956, Clark sought to redefine the medium by pushing the boundaries of traditional painting. Dedicating herself to art without formal training, she embedded herself within the artistic milieu of Rio de Janeiro in the late 1940s and participated in seminal artistic movements, such as Concrete art and geometric abstraction, throughout the 1950s. This focused exhibition traces Clark’s artistic evolution in three structured historical sections: “The Early Years, 1948–1952;” “Geometric Abstraction, 1953–1956;” and “Variation of Form: Modulating Space, 1957–1958.” Each chapter addresses Clark’s most significant ideas and provides an in-depth representation of her artistic development through a concise selection of works.

This presentation of Lygia Clark’s early practice debuts on the centenary anniversary of the artist’s birth, bringing a renewed attention at an international level to a significant postwar Latin American female artist. The museum is thankful to the Lygia Clark Cultural Association, Rio de Janeiro, and the artist’s heirs for their tremendous support of the exhibition.

Curator: Geaninne Gutiérrez-Guimarães

Lygia Clark The Violoncellist (O Violoncelista), 1951 Oil on canvas 105.5 x 81 x 2.7 cm Private collection © Courtesy of “The World of Lygia Clark” Cultural Association X.2017.23

Lygia Clark
The Violoncellist (O Violoncelista), 1951

Oil on canvas 105.5 x 81 x 2.7 cm
Private collection
© Courtesy of “The World of Lygia Clark” Cultural Association
X.2017.23

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Dates: 29 February – 10 May, 2020
Curators: Germano Celant and Manuel Cirauqui, curator of the Guggenheim Museum Bilbao

Museo Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2
48009 Bilbao
https://www.guggenheim-bilbao.eus/en 
contacto(at)guggenheim-bilbao.eus
informacion(at)guggenheim-bilbao.eus
Telephon
+34 944 35 90 00
+34 944 35 90 80

Halfway between painting and sculpture, Artschwager develops a unique language using the new domestic materials of his time, always working toward the fusion of figuration and abstraction, artistic innovation and design, and ironically seeks to combine the functional and the useless.

Designed as an open labyrinth, the exhibition features a comprehensive selection of paintings and sculptures dating from the early 1960s to the first decade of this century.

Artschwager represents places, scenes from everyday life, and common objects such as tables, chairs, and dressers, interpreting them in ordinary, standardized industrial materials such as Formica, Celotex, acrylic paint, and rubberized horsehair.

Artschwager’s work continually questions appearance and essence, offering us a delicate and realistic, humorous yet monumental interpretation of the world.

Richard Artschwager  Door } , 1983-84  Acrylic on wood, glass 207.6 x 165.1 x 24.8 cm  Collection Kerstin Hiller and Helmut Schmelzer,  on loan to Neues Museum Nürnberg  © Estate of Richard Artschwager, VEGAP, Bilbao, 2020  Photo: Annette Kradisch

Richard Artschwager Door } , 1983-84
Acrylic on wood, glass 207.6 x 165.1 x 24.8 cm
Collection Kerstin Hiller and Helmut Schmelzer,
on loan to Neues Museum Nürnberg
© Estate of Richard Artschwager, VEGAP, Bilbao, 2020
Photo: Annette Kradisch 

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La Fondation Marguerite et Aimé Maeght rouvre au public le 1er juillet 2020. Les conditions nécessaires pour recevoir les visiteurs en toute sécurité seront mises en place.

L’exposition consacrée à Jacques Monory, initialement prévue du 28 mars au 14 juin, sera présentée au public durant l’été et jusqu’au 22 novembre 2020. La Fondation Maeght a choisi de repenser sa programmation, en présentant cette exposition qui devait ouvrir ses portes au printemps. Cette exposition sera accompagnée d’un choix d’œuvres de la collection de la Fondation Maeght. L’exposition Les Giacometti : une famille de créateurs est reportée à l’été 2021.

Première exposition monographique de Jacques Monory depuis sa disparition en 2018, l’exposition proposée par la Fondation Maeght retrace soixante ans de carrière et revisite l’œuvre d’un artiste majeur de la Figuration Narrative constamment tendu par la modernité et la singularité de ce bleu qui l’a rendu célèbre. Cette exposition propose un parcours non chronologique tentant de faire jouer à plein, d’une salle à une autre, les échos et les écarts de cette œuvre singulière.

Forte d’une collection de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght propose également cet été une sélection de quelques œuvres majeures de sa collection pour permettre au public de retrouver les artistes tels que Joan Miró, Alberto Giacometti, Alexander Calder, Marc Chagall, Pierre Bonnard, Fernand Léger, …

JACQUES MONORY
Fondation Maeght (Saint-Paul de Vence)
Guest curator: Laurence d’Ist, art historian, author and exhibition curator.

Commissaire invitée : Laurence d’Ist, historienne de l’art, auteure et commissaire d’expositions.

Simply entitled “Jacques Monory”, the exhibition presents sixty years of his career and revisits the work of this major Figuration Narrative artist, in constant tension between modernity and the singularity of the blue that made him famous.

Intitulée simplement « Jacques Monory », l’exposition présente soixante ans de carrière et revisite l’oeuvre de cette figure majeure de la Figuration narrative, constamment tendu par la modernité et par la singularité de ce bleu qui l’a rendu célèbre.

Out of all the Figuration Narrative painters, Monory was no doubt the only one to be fully narrative. Sometimes hyperrealist, the enigmatic scenes that he painted and juxtaposed to form a sort of haunted diary of a painter who questioned the world’s reality every day. The blue that made him famous, whether monochrome or with other colors
in the spectrum, is the color of this doubt. It acts as a dreamlike veil and establishes a certain distance.

De tous les peintres dits de la Figuration narrative, Monory aura sans doute été le seul à être pleinement narratif. Parfois hyperréalistes, les scènes énigmatiques qu’il peint et qu’il juxtapose forment comme le journal de bord hanté d’un peintre qui chaque jour s’interroge sur la réalité du monde. Le bleu qui l’a rendu célèbre, qu’il soit monochrome,
ou qu’il accueille d’autres couleurs du spectre, est la couleur de ce doute. Il agit comme un voile onirique et comme une mise à distance.

Portrait de Jacques Monory © Photo Jean Larivière.

Portrait de Jacques Monory
© Photo Jean Larivière.

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Fondation Beyeler, Beyeler Museum AG, Baselstrasse 77, CH-4125 Riehen
Horaires d'ouverture de la Fondation Beyeler: tous les jours 10h00–18h00, le mercredi jusqu'à 20h00

www.fondationbeyeler.ch

Du 13 février au 19 avril 2020

La modernité en tant qu'ère du progrès technique se caractérise surtout par le mouvement et la vitesse, qui ont aussi trouvé des manifestations multiples dans le domaine de l'art. En parallèle s'est développé un désir croissant de décélération, qui s'exprime dans des images toujours nouvelles de calme et de quiétude. Par les temps d'accélération toujours plus poussée comme les nôtres, le besoin d'apaisement et de détente semble particulièrement fort.

L'actuelle présentation de la collection de la Fondation Beyeler se concentre ainsi sur des œuvres d'art moderne et contemporain qui ont pour thème le calme et la quiétude. Il est frappant de constater à quel point ces œuvres diffèrent de par leur esthétique, leur contenu, leur forme, leur choix de médium et de matériau. Le musée lui-même apparaît en tant que lieu potentiel de silence et de réflexion. Chaque salle de l'exposition est consacrée à un aspect spécifique de la notion de calme et de quiétude, invitant le spectateur à une contemplation silencieuse: le calme statique et physique, le calme idyllique de la nature, le calme céleste et le calme avant la tempête, le silence et le vide, l'équilibre de la composition, la nature morte, le calme intérieur, se taire, la solitude et la méditation, et enfin le sommeil et le repos éternel sont les motifs autour desquels s'articulent les différents chapitres de l'exposition. Ensemble, les œuvres exposées déploient toute la richesse de la thématique, principalement dans les médias de la peinture et de la sculpture. Il s'y reflète par ailleurs une caractéristique essentielle des œuvres d'Edward Hopper, auquel la Fondation Beyeler consacre au même moment une grande exposition.

Mark Rothko, Untitled (Red-Brown, Black, Green, Red), 1962, huile sur toile, 206,0 x 193,5 cm, Fondation Beyeler, Riehen/Bâle, Collection Beyeler: © 1998 Kate Rothko Prizel & Christopher Rothko / 2019, ProLitteris, Zurich; Photo: Peter Schibli

Mark Rothko, Untitled (Red-Brown, Black, Green, Red), 1962,
huile sur toile, 206,0 x 193,5 cm,
Fondation Beyeler, Riehen/Bâle, Collection Beyeler:
© 1998 Kate Rothko Prizel & Christopher Rothko / 2019,
ProLitteris, Zurich; Photo: Peter Schibli

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Fondation Louis Vuitton
8 Avenue du Mahatma Gandhi,
75116 Paris
https://www.fondationlouisvuitton.fr/fr.html

I. Une rétrospective (1975 – 2020)
II. Crossing views, regards sur un nouveau choix d’oeuvres de La Collection

1er avril – 31 août 2020

I. Une rétrospective (1975– 2020)

Du 1er avril au 31 août 2020, la Fondation présente, sur plus de 1500 m2, la première exposition de Cindy Sherman en France depuis 14 ans : 170 oeuvres - de 1975 à 2020 - soit plus de 300 images articulées par séries parmi lesquelles, Untitled film stills, Rear Screen Projections, Fashion, History Portraits, Disasters, Headshots, Clowns, Society Portraits, Murals, Flappers et une nouvelle série présentant des figures masculines et des couples. Dans une scénographie conçue en étroite collaboration avec Cindy Sherman, cette présentation embrasse l’ensemble de sa carrière, tout en mettant l’accent sur ses travaux réalisés depuis le début des années 2010 jusqu’à un ensemble d’oeuvres très récentes et inédites. La dernière exposition de Cindy Sherman en Europe a eu lieu à la National Portrait Gallery à Londres de juin à septembre 2019.

Cindy Sherman, Untitled #582, 2016 Impression par sublimation thermique sur métal, 137.2 x 178.4 cm Courtesy de l'artiste et Metro Pictures, New York © 2019 Cindy Sherman
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Bernard SABRI expose dans ART CAPITAL au Grand Palais

Bernard Sabri exposera au Grand Palais, Salon des Indépendants, dans le cadre d'ART CAPITAL, sous le parrainage du ministère de la Culture :
Vernissage le 11 février / Exposition du 12 au 16 février 2020.

Bernard est un artiste de la photographie numérique. Il explore la photographie par des techniques modernes afin de faire partager ses émotions de l'univers de l'art numérique, où le virtuel et le réel fusionnent, à travers d'œuvres exprimant sa profonde sensibilité à cette récente forme de l’art contemporain.

À travers 4 de ses photocompositions, Bernard s'est engagé dans la lutte contre le réchauffement climatique et œuvre, à sa manière, pour une transition vers une société bas-carbone. Il est persuadé que malgré les promesses des États lors de la COP21, qui a marqué le début d'une nouvelle ère, c’est l’engagement de la société civile, des citoyens, des collectivités et des entreprises qui jouera un rôle majeur qui permettra ainsi d’enclencher le «virage climatique».

La finalité de son travail est de « vous » faire partager, par ses œuvres, ses émotions de l'univers de l'art numérique.

Voir LE MUSEE PRIVE BERNARD SABRI

Gérard Garouste posant devant l'un de ses tableaux

20.01.2020
Rétrospective Gérard Garouste à New Delhi soutenue par la Galerie Templon

Gérard Garouste exposera à la National Gallery of Modern Art (NGMA) de New Delhi en Inde du 28 janvier au 29 mars 2020.

Cette rétrospective réunira une soixantaine de tableaux couvrant 40 ans de création de 1980 à 2019. On y retrouvera toutes les différentes séries développées depuis le début : le Classique et l’Indien, les Indiennes, Dante (la Divine Comédie), Rabelais (la Dive Bacbuc), Cervantès (Don Quixotte), les Portraits, Goethe (Faust), Diane et Actéon, la Bible, le Talmud.

Sous le patronage du Ministère de la Culture, de l’Institut français et avec le soutien de mécènes privés, cette exposition permettra au public indien de découvrir une œuvre complexe où se mêlent cultures chrétienne et hébraïque, mythes et légendes.Jean-Jacques Aillagon, qui fut successivement Président du Centre Pompidou, Ministre de la Culture et Président de Versailles sera le commissaire de cette importante manifestation.

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Sylvie Blum : Naked Beauty (1st time in Asia) Jan. 25 – 25 Mar. 2020 at MOCA BANGKOK

From Muse to Master into the Museum

MOCA Museum of Contemporary Art
499 Kamphaengphet 6 Road, Ladyao, Chatuchak, Bangkok 10900 Thailand
(+66) 2 016-5666-7
(+66) 2 016-5670
info(at)mocabangkok.com
https://mocabangkok.com/

The Museum of Contemporary Art (MOCABANGKOK) will be showing Sylvie Blum’s work titled “Naked Beauty” with a grand opening on January 25th, 2020. Public viewing is open until March 2020.

Sylvie Blum’s Photography exhibition is the very first of it’s kind in Thailand.
This unique 10,000 sqft exhibition at MOCA displays 300 images including 100 original prints from her Naked Beauty Series, her world famous “Big Cat Series” and her “Animal Series” as well as 200 Polaroid images showing her very own diary over the past 20 Years from 1999 – 2019. Sylvie Blum’s iconic images remain in the permanent collection of MOCA BANGKOK.

Austrian-born Sylvie Blum started her career as a model prior to taking the helm as a photographer. Sylvie has worked for 16 years in front of the camera with photographers such as Helmut Newton, Jeanloup Sieff and many more. She has published five books. Her 5th book “Naked Beauty” by TeNeues was followed by a joint exhibition with Herb Ritts at the Fahey Klein Gallery in Los Angeles. Since 2005 Sylvie Blum works and lives in Los Angeles.

Sylvie Blum is an exceptional photographer driven by passion and the love for photography. Sylvie Blum is at the forefront of the female force. She is the Ansel Adams of the female form.

Sylvie Blum daily walk 2 - 2008 © Sylvie Blum

Sylvie Blum daily walk 2 - 2008 © Sylvie Blum

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FEMMES ANNÉES 50
AU FIL DE L’ABSTRACTION, PEINTURE ET SCULPTURE.
MUSÉE SOULAGES
Jardin du Foirail, Avenue Victor Hugo, 12000 Rodez
https://musee-soulages-rodez.fr/
14 DÉCEMBRE - 10 MAI 2020

Du 14 décembre au 10 mai 2020, le musée Soulages consacrera une exposition à la création abstraite des femmes dans les années 50 à Paris : Femmes années 50. Au fil de l’abstraction, peinture et sculpture.

Déjà aux Etats-Unis se tenait en 1951 l’exposition fondatrice « Ninth Street Show », une manifestation d’avant-garde dans laquelle figurait 4 femmes : Joan Mitchell, Grace Hartigan, Elaine de Kooning et Helen Frankenthaler. Dans L’autre moitié de l’avant-garde 1910/1940, éditions des femmes, publication doublée d’une exposition en 1980 en Italie, Lea Vergine parle de découvrir la « moitié suicidée du génie créateur de ce siècle ». En 2009, le Centre Pompidou offrait une importante exposition d’artistes femmes, «Elles» qui réunissait plus de 3 millions de visiteurs.

Genevieve Claisse - Slalom 1960 162x130 cm (Courtesy Galerie Denise René)

Genevieve Claisse - Slalom 1960 162x130 cm
(Courtesy Galerie Denise René)

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Charlotte Pringuey-Cessac. Bruit originaire
6 décembre 2019 - 17 mai 2020
MAMAC
Place Yves Klein
06364 Nice cedex 4
Tous les jours sauf le lundi de 11h à 18h
http://www.mamac-nice.org/

Bruit originaire est une invitation à un voyage dans le temps, des premières traces d’occupation humaine à Nice il y a 400 000 ans et du témoignage des pierres taillées laissées par cette communauté, aux expériences menées aujourd’hui par l’artiste Charlotte Pringuey-Cessac pour convoquer la mémoire vibrante de ces vies passées.

La préhistoire, les outils et méthodologies de l’archéologie constituent une source pour son travail, une matière à partir de laquelle elle tisse des expériences et des récits, s’autorisant des vagabondages entre la science et la licence poétique, la trace laissée par l’histoire et sa réinvention contemporaine.

Pensée comme un parcours, son exposition à Nice se déploie du musée de Préhistoire de Terra Amata, épicentre de l’activité de ces premiers hommes, au MAMAC, en passant par la colline du château où, en 2013, fut découverte une sépulture peuplée de restes funéraires datant des XIIe et XIIIe siècles.

Charlotte Pringuey-Cessac, Ligne, 2019 Dessin mural in situ au charbon de bois Dimensions variables © Photo simone Simon/Charlotte Pringuey-Cessac
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Catalogue officiel de l'exposition Léonard de Vinci au musée du Louvre du 24 octobre 2019 au 24 février 2020.

L'année 2019, cinquième centenaire de la mort de Léonard de Vinci en France, revêt une signification particulière pour le Louvre qui possède la plus importante collection au monde de peintures de Léonard ainsi que 22 dessins.

Cette rétrospective inédite de la carrière de peintre de Léonard permet de montrer combien il a mis la peinture au-dessus de tout et comment son enquête sur le monde, qu'il appelait « la science de la peinture », fut l'instrument de son art, dont l'ambition n'était rien moins que d'apporter la vie à ses tableaux.

Aboutissement de plus de dix années de travail, qui ont vu notamment l'examen scientifique renouvelé des tableaux du Louvre et la restauration de trois d'entre eux, permettant de mieux comprendre sa pratique artistique et sa technique picturale, l'exposition clarifie également la biographie de Léonard en reprenant tous les documents d'archives. Elle dresse le portrait d'un homme et d'un artiste d'une extraordinaire liberté.

Français
480 pages / 380 illustrations

Coédition Hazan / Louvre éditions
Fermer
35 €

COMMANDER DIRECTEMENT AU LOUVRE

catalogue Exposition Leonard de Vinci

Du 11 octobre 2019 au 01 mars 2020, le Musée d’Art Moderne présente à l’occasion de sa réouverture, une rétrospective du peintre Hans Hartung (1904-1989).
L’exposition porte un nouveau regard sur l’ensemble de l’oeuvre de cet artiste majeur du XXe siècle et sur son rôle essentiel dans l’histoire de l’art. Hans Hartung fut un précurseur de l’une des inventions artistiques les plus marquantes de son temps : l’abstraction.

Hans Hartung
La Fabrique du geste
11 octobre 2019 - 01 mars 2020
Au Musée d’Art Moderne de Paris
12-14 avenue de New York 75116 Paris
http://www.mam.paris.fr/
+ d’infos : http://bit.ly/2pljzt9
Billets coupe-file : https://bit.ly/2lY4Oul

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A 97 ans, Pierre Soulages, qui peint toujours, s’impose comme une légende vivante de l’art contemporain. Retour sensible sur le parcours et l’oeuvre, vibrante de lumière, du maître de "l’outrenoir".

Vers 4 ou 5 ans, alors qu’il traçait allègrement des traits noirs sur une feuille blanche, le petit Pierre Soulages expliquait : "Je fais de la neige." Une anecdote entrée dans les annales familiales de ce géant – 1,90 mètre – de l’art abstrait qui, l’esprit alerte et la mémoire fraîche, peint toujours. Né le 24 décembre 1919 à Rodez, Soulages grandit entouré de femmes aimantes – une mère et une sœur aînée –, et arpente avec la même curiosité éblouie les forêts aveyronnaises et les ateliers d’artisans de sa cité, qui lui inspireront sa fameuse technique au brou de noix. À l’adolescence, la découverte de l’abbatiale Sainte-Foy de Conques, chef-d’œuvre de l’art roman, qu’il éclairera des décennies plus tard de ses merveilleux vitraux aux couleurs vacillantes, fonde sa vocation avant qu’il ne s’impose, par sa fulgurante modernité, dès les années 1950, comme l’une des figures majeures de l’art contemporain, de Paris à New York. Toujours accompagné de son épouse Colette, rencontrée sur les bancs des Beaux-Arts de Montpellier, cet inlassable explorateur de "l’outrenoir" et de ses lumières avoue pourtant "attendre d’oser" lorsqu’il peint, en quête, comme au premier jour, d’"inattendu".

Énergie hypnotique
Portrait sensible de l’artiste à l’impressionnante allure, le documentaire pénètre au cœur de son œuvre au noir, dont la lumière et la matière, filmées en gros plan, vibrent ici d’une énergie hypnotique. Délicatement, Stéphane Berthomieux lève le voile sur les mystères d’un artiste mythique, qui a accepté qu'on lui consacre un musée à Rodez à la seule condition qu’il s’agisse d’un "lieu vivant, ouvert aux autres, et non d’un mausolée". Guidée par la voix de Dominique Blanc, la déambulation, poétique et savante, croise aussi la parole d’amateurs, de Jean-Michel Jarre au philosophe Alain Badiou, conquis par son "invention radicale", en passant par Jean-Luc Barrié, le recteur de la cathédrale de Rodez, profondément touché par les imperfections assumées du peintre.

Pierre Soulages
Documentaire de Stéphane Berthomieux (France, 2017, 53mn)

#Soulages #Artiste #ARTE

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RA’ANAN LEVY

L’épreuve du miroir
7 décembre 2019 – 8 mars 2020

Fondation Maeght, 623 Chemin des Gardettes, 06570 Saint-Paul-de-Vence
Adresse : Fondation Maeght, 623 Chemin des Gardettes, 06570 Saint-Paul-de-Vence
Téléphone : 04 93 32 81 63
https://www.fondation-maeght.com/

Commissaire invité : Hervé Lancelin, président de la Pinacothèque au
Luxembourg.

La Fondation Maeght présente du 7 décembre 2019 au 8 mars 2020 « L’épreuve du miroir », exposition consacrée au monde pictural de Ra’anan Levy dont le commissaire Hervé Lancelin, à la fois proche de l’artiste et familier de sa création, rassemble une trentaine d’oeuvres et un ensemble de gravures qui seront mises en regard avec les collections de la Fondation Maeght.

L’artiste franco-israélien n’a cessé de figurer des portions de la réalité ordinaire, singulièrement choisies, affirmant son style propre tout en approfondissant ses thèmes de prédilection : la configuration de l’espace, la fuite du temps, l’absence des personnes, la présence des objets, l’habité et l’inhabité, les jeux de perception visuelle et d’imagination transformant le quotidien en étrangeté.

RA’ANAN LEVY L'EPREUVE DU MIROIR - FONDATION MAEGHT
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La Fondation Marguerite et Aimé Maeght compte aujourd’hui parmi les grandes institutions culturelles internationales. Inaugurée le 28 juillet 1964 par André Malraux, la fondation est née de l'amitié d’Aimé Maeght et de son épouse Marguerite, principaux éditeurs et marchands d’art de l’Europe d’après-guerre, avec certains des artistes les plus importants du XXe siècle comme Joan Miró, Alexander Calder, Fernand Léger, Georges Braque, Alberto Giacometti, Marc Chagall et bien d’autres. Couple visionnaire, ils ont organisé des expositions légendaires telles que la première exposition surréaliste en 1947 autour d’André Breton et Marcel Duchamp dans leur galerie parisienne. Première fondation privée dédiée à l’art en France, la Fondation Maeght est inspirée de modèles américains, comme la fondation Guggenheim ou les collections Barnes et Phillips, découverts par les Maeght lors de leurs voyages aux États-Unis dans les années 1950.

Située à proximité du célèbre village de Saint-Paul de Vence à 25 km de Nice, la Fondation Maeght accueille chaque année plus de 100 000 visiteurs dans un ensemble architectural unique, conçu par Josep Lluís Sert, pour présenter l'art moderne et contemporain sous toutes ses formes. Peintres et sculpteurs ont collaboré avec l'architecte catalan en créant des œuvres intégrées au bâtiment et à la nature : la cour Giacometti, le labyrinthe Miró peuplé de sculptures et de céramiques, les mosaïques murales de Chagall et de Tal Coat, le bassin et le vitrail de Braque, la fontaine de Bury. L'ensemble mêle espaces intérieurs et extérieurs avec le jardin de sculptures, les cours, terrasses et patios, les salles d'exposition, la chapelle, la bibliothèque et la librairie.

Fondation Maeght
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Pierre Soulages, « peintre du noir et de la lumière » est une figure majeure de la peinture non figurative, reconnue comme telle depuis ses débuts, au lendemain de la seconde guerre mondiale.
Né le 24 décembre 1919 à Rodez (Aveyron), Pierre Soulages, qui continue de peindre aujourd’hui à un rythme soutenu, fêtera son centième anniversaire en décembre prochain. À cette occasion, le musée du Louvre lui consacre une exposition exceptionnelle dans le prestigieux Salon Carré, situé entre la galerie d’Apollon et la Grande Galerie et qui abritait jadis le Salon des Académies.
Cette exposition – hommage prend le parti de rendre compte du parcours chronologique de l’oeuvre de 1946 à aujourd’hui, en représentant par un choix resserré, les huit décennies pendant lesquelles Soulages a développé ses recherches. La rare longévité de la carrière de l’artiste est ainsi illustrée par un choix d’oeuvres majeures provenant principalement des plus grands musées français et étrangers. Ne négligeant aucune période et mettant l’accent sur les polyptyques outrenoir, l’exposition permettra également de découvrir de très grandes peintures réalisées ces derniers mois, signe de la vitalité remarquable de ce peintre qui poursuit ses recherches sans discontinuer.

Pierre Soulages. Portrait de l’artiste, 2 octobre 2017_Collection Raphaël Gaillarde © Collection Raphaël Gaillarde, dist. RMN-Grand Palais/Raphaël Gaillarde © RMN-Grand Palais - Gestion droit d'auteur pour Raphaël Gaillarde © ADAGP, Paris 2019 pour Pierre Soulages

Pierre Soulages. Portrait de l’artiste, 2 octobre 2017_Collection Raphaël Gaillarde © Collection Raphaël Gaillarde, dist. RMN-Grand Palais/Raphaël Gaillarde © RMN-Grand Palais - Gestion droit d'auteur pour Raphaël Gaillarde © ADAGP, Paris 2019 pour Pierre Soulages

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Dora Maar
Tate Modern
Bankside
London SE1 9TG
https://www.tate.org.uk/
20 November 2019 – 15 March 2020
Open daily 10.00 – 18.00 and until 22.00 on Friday and Saturday
For public information call +44(0)20 7887 8888, visit tate.org.uk or follow @Tate #DoraMaar

Tate Modern presents the first UK retrospective of the work of Dora Maar (1907–97) whose provocative photographs and photomontages became celebrated icons of surrealism. Featuring over 200 works from a career spanning more than six decades, this exhibition shows how Maar’s eye for the unusual also translated to her commercial commissions, social documentary photographs, and paintings – key aspects of her practice which have, until now, remained little known.

Born Henriette Théodora Markovitch, Dora Maar grew up between Argentina and Paris and studied decorative arts and painting before switching her focus to photography. In doing so, Maar became part of a generation of women who seized the new professional opportunities offered by advertising and the illustrated press. Tate Modern’s exhibition opens with the most important examples of these commissioned works. Around 1931, Maar set up a studio with film set designer Pierre Kéfer specialising in portraiture, fashion photography and advertising. Works such as The years lie in wait for you c.1935 – believed to be an advertising project for face cream that Maar made by overlaying two negatives – reveal Maar’s innovative approach to constructing images through staging, photomontage and collage. Striking nude studies such as that of famed model Assia Granatouroff also reveal how women photographers like Maar were beginning to infiltrate relatively taboo genres such as erotica and nude photography.

Dora Maar, 1907-1997 The years lie in wait for you c. 1935 Photograph, gelatin silver print on paper 355 × 254 mm The William Talbott Hillman Collection© ADAGP, Paris and DACS, London 2019

Dora Maar, 1907-1997
The years lie in wait for you c. 1935
Photograph, gelatin silver print on paper 355 × 254 mm
The William Talbott Hillman Collection
© ADAGP, Paris and DACS, London 2019

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First major museum exhibition to focus on Édouard Manet’s late work, featuring more than 90
paintings and drawings, including Jeanne (Spring), 1882

At the Getty Museum, Getty Center
October 8, 2019 through January 12, 2020

LOS ANGELES—Édouard Manet (1832-1883) is best known today for provocative, large-scale paintings that challenged the old masters and academic tradition and sent shockwaves through the French art world in the early 1860s. In the late 1870s and early 1880s, he shifted his focus and produced a different, though no less radical, body of work: stylish portraits, luscious still lifes, delicate pastels, intimate watercolors, and freely brushed scenes of suburban gardens and Parisian cafes.

On view at the J. Paul Getty Museum October 8, 2019 through January 12, 2020, Manet and Modern Beauty explores for the first time in a major museum exhibition the artist’s last years, after his rise to notoriety in the 1860s and the formal launch of the Impressionist movement in the early 1870s. The exhibition will feature more than 90 works of art, including an impressive array of genre scenes, still lifes, pastels, and portraits of favorite actresses and models, bourgeois women of his acquaintance, his wife, and his male friends.
“Manet is a titan of modern art, but most art historical narratives about his achievement focus on his early and mid-career work,” says Timothy Potts, director of the J. Paul Getty Museum. “Many of his later paintings are of extraordinary beauty, executed at the height of his artistic prowess—despite the fact that he was already afflicted with the illness that would lead to his early death. These works sparkle with an insistent – perhaps even defiant – sense of life. Presenting many iconic paintings, including our recently acquired Jeanne (Spring), alongside pastels and intimate watercolors, Manet and Modern Beauty takes a fresh look at this justly renowned and ever-popular artist.”

Jeanne (Spring), 1881. Édouard Manet (French,  1832 - 1883). Oil on canvas. Unframed: 74 × 51.5  cm (29 1/8 × 20 1/4 in.) Framed: 98.7 × 75.9 ×  9.2 cm (38 7/8 × 29 7/8 × 3 5/8 in.) The J. Paul  Getty Museum, Los Angeles. Accession No.  2014.62.
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Dates: October 18, 2019–February 9, 2020
Curator: Manuel Cirauqui, Guggenheim Museum Bilbao

All the information on the Guggenheim Museum Bilbao is available at www.guggenheim-bilbao.eus

- The idea of a “fourth dimension” is materialized in Soto’s dynamic and abstract works, especially in his large-scale participatory sculptures, the iconic Penetrables .

- In addition to a large number of mural pieces, the exhibition includes characteristic examples from other series, such as Virtual Volumes , Extensions , and Progressions .

- According to the artist, “In the Penetrables , the spectator walks through vertical threads or bars that fill the entire available space and make up the work. From that moment on, spectator and artwork are physically and inextricably entwined.”

- The exhibition includes Soto’s celebrated Sphère Lutétia (1996), installed by the Museum’s pond for the four months of the exhibition.

The Guggenheim Museum Bilbao presents Soto. The Fourth Dimension, a retrospective exhibition of the works of Jesús Rafael Soto (b. 1923, Ciudad Bolívar, Venezuela; d. 2005, Paris). Organized by the Guggenheim Museum Bilbao in collaboration with the Atelier Soto in Paris, the show brings together over 60 works, including several of Soto’s large-scale participatory sculptures called Penetrables , some of his most iconic and important contributions to the recent history of art. In addition, the show includes a large number of historic paintings and mural works, which help to understand the fundamental role Soto played in the development of Kinetic Art from the early 1950s to the end of the 1960s, and to appreciate the development of his artistic practice up to the first decade of the 21st century.

 

Jesús Rafael Soto Sans titre (Composition dynamique), [Untitled (Dynamic Composition)], 1950 Oil on canvas 73 x 92 x 2 cm Private collection © Jesús Rafael Soto, ADAGP, Paris / VEGAP, Bilbao, 2019

Jesús Rafael Soto
Sans titre (Composition dynamique), [Untitled (Dynamic Composition)], 1950
Oil on canvas 73 x 92 x 2 cm Private collection
© Jesús Rafael Soto, ADAGP, Paris / VEGAP, Bilbao, 2019

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Costume Institute's Spring 2020 Exhibition to
Present a Disruptive Timeline of Fashion History

Costume Institute Benefit on May 4 with Co-Chairs
Nicolas Ghesquière, Lin-Manuel Miranda, Emma Stone,
Meryl Streep, and Anna Wintour

(New York, November 7, 2019)  The Metropolitan Museum of Art announced today that The Costume Institute's spring 2020 exhibition will be About Time: Fashion and Duration, on view from May 7 through September 7, 2020 (preceded on May 4 by The Costume Institute Benefit). Presented in The Met Fifth Avenue's Iris and B. Gerald Cantor Exhibition Hall, it will trace more than a century and a half of fashion, from 1870 to the present, along a disruptive timeline, as part of the Museum's 150th anniversary celebration. Employing philosopher Henri Bergson's concept of la durée—time that flows, accumulates, and is indivisible—the exhibition will explore how clothes generate temporal associations that conflate the past, present, and future. The concept will also be examined through the writings of Virginia Woolf, who will serve as the "ghost narrator" of the exhibition. Michael Cunningham, who won the Pulitzer Prize for Fiction for his novel The Hours, which was inspired by Woolf's Mrs. Dalloway, will write a new short story for the exhibition catalogue that reflects on the concept of duration.

The exhibition is made possible by Louis Vuitton.
Additional support is provided by Condé Nast.

"This exhibition will consider the ephemeral nature of fashion, employing flashbacks and fast-forwards to reveal how it can be both linear and cyclical," said Max Hollein, Director of The Met. "As such, the show will present a nuanced continuum of fashion over the Museum's 150-year history."

Andrew Bolton, Wendy Yu Curator in Charge of The Costume Institute, said: "Fashion is indelibly connected to time. It not only reflects and represents the spirit of the times, but it also changes and develops with the times, serving as an especially sensitive and accurate timepiece. Through a series of chronologies, the exhibition will use the concept of duration to analyze the temporal twists and turns of fashion history."

In celebration of the opening, The Costume Institute Benefit, also known as The Met Gala, will take place on Monday, May 4, 2020. The evening's co-chairs will be Nicolas Ghesquière, Lin-Manuel Miranda, Emma Stone, Meryl Streep, and Anna Wintour. The event is The Costume Institute's main source of annual funding for exhibitions, publications, acquisitions, and capital improvements.

Surreal, David Bailey (British, born 1938), 1980; Photo © David Bailey

Surreal, David Bailey (British, born 1938),
1980; Photo © David Bailey

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24 octobre 2019 - 24 février 2020
Léonard de Vinci
https://www.louvre.fr/
À l’occasion des 500 ans de la mort de Léonard de Vinci en France, le musée du Louvre conçoit et organise une grande rétrospective consacrée à l’ensemble de sa carrière de peintre.
L’exposition entend montrer combien Léonard a placé la peinture au-dessus de toute activité, et la manière dont son enquête sur le monde – il l’appelait « science de la peinture », fut l’instrument d’un art, dont l’ambition n’était autre que de donner la vie à ses tableaux.
Autour de sa propre collection de 5 tableaux, la plus importante au monde – la Joconde restera toutefois exposée dans le parcours des collections permanentes – et de ses 22 dessins, le Louvre rassemblera près de 140 oeuvres (peintures, dessins, manuscrits, sculptures, objets d’art) issues des plus prestigieuses institutions européennes et américaines : la Royal Collection, le British Museum, la National Gallery de Londres, la Pinacothèque vaticane, la Bibliothèque Ambrosienne de Milan, la Galleria Nazionale de Parme, les Gallerie dell’Accademia de Venise, le Metropolitan Museum de New York, l’Institut de France, …

La célébrité extraordinaire de cet infatigable curieux, perçu très tôt comme l’incarnation du génie et du savoir universels, l’aura presque surréaliste de la Joconde et la littérature considérable qui s’est accumulée de son époque à nos jours offrent une image confuse et fragmentaire du rapport de Léonard à la peinture.
Aboutissement de plus de dix années d’un travail ayant vu notamment l’examen scientifique renouvelé des tableaux du Louvre et la restauration de trois d’entre eux (la Sainte Anne, la Belle Ferronnière et le Saint Jean Baptiste), permettant de mieux comprendre sa pratique artistique et sa technique picturale, l’exposition s’efforce également de clarifier la biographie de Léonard sur la base d’une reprise de l’ensemble de la documentation historique. Elle rompt avec l’approche canonique de la vie du maître florentin selon six périodes chronologiques rythmées par ses déplacements géographiques, en faveur de quelques clés qui en ouvrent l’univers.
Émerge ainsi le portrait d’un homme et d’un artiste d’une extraordinaire liberté.

Leonard de Vinci exposition Musée du Louvre
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Exposition
Guy Bourdin
Zoom
18 octobre 2019 – 26 janvier 2020

Vernissage > Jeudi 17 octobre 2019 à 19 heures

En présence de Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice délégué aux Musées, à l’Art moderne et contemporain, au Développement du mécénat et financements culturels, représentant Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur, Président délégué de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur & de Samuel Bourdin, fils de Guy Bourdin

Musée de la Photographie Charles Nègre
1, Place Pierre Gautier – Nice

Du 18 octobre 2019 au 26 janvier 2020, la Ville de Nice vous invite à découvrir l’exposition « Guy Bourdin. Zoom » au Musée de la Photographie Charles Nègre. Le vernissage de l’exposition se tiendra le jeudi 17 octobre 2019 à 19 heures.

Guy Bourdin (1928-1991) est un photographe de mode et de publicité français. Cet autodidacte est né et a vécu à Paris où il a exercé son art des années 1950 à la fin des années 1980. Pendant plus de trente ans, il a repoussé les frontières de la photographie de mode contemporaine et son œuvre est toujours une source d’inspiration et de fascination. Il a consacré sa vie à une quête artistique qui s’est également exprimée à travers la peinture, les films et l’écriture. Créateur avant-gardiste, il fut sans aucun doute l’un des photographes de mode les plus influents du vingtième siècle. Fascinante et révolutionnaire, son œuvre continue d’inspirer ses contemporains et fait l’objet d’un véritable culte.

Guy Bourdin Vogue Paris, Mai 1970 © The Guy Bourdin Estate 2019 Courtesy Art and Commerce
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Au-delà de la peinture

29 June – 17 November 2019

https://www.fondation-maeght.com/ 

Du 29 juin au 17 novembre 2019, dans la lignée de l’héritage de Marguerite et Aimé Maeght et de leur fils Adrien, éditeurs d’art et imprimeurs, la Fondation Maeght propose, pour sa grande exposition estivale, un hommage au génie créateur de Joan Miró.
L’exposition Joan Miró. Au-delà de la peinture, dont le commissariat est assuré par Rosa Maria Malet, directrice historique de la Fundació Joan Miró, à Barcelone, offre au public de découvrir une partie essentielle de l’oeuvre de l’artiste : son exceptionnel oeuvre graphique. Cette exposition fait également écho à la rétrospective présentée cet hiver au Grand Palais, à Paris.

Le 12 juin 1925, le Tout-Paris assiste au vernissage de la première exposition personnelle de Joan Miró à la Galerie Pierre, récemment ouverte par le marchand d’art Pierre Loeb. Le lendemain, alors que la galerie est vide, Raymond Roussel va voir l’exposition avec Michel Leiris. Sachant combien Roussel était soucieux de préserver son intimité, Miró s’abstint de les accompagner, mais il fut extrêmement flatté lorsque son ami Leiris lui rapporta la réaction de l’auteur d’Impressions d’Afrique devant ses tableaux. « Ça va au-delà de la peinture », s’était exclamé le grand écrivain devant l’oeuvre difficilement classable de Miró1

1/ « Leiris m’a expliqué la réaction de Roussel. Il a dit à Leiris : “Ça va au-delà de la peinture.” J’ai beaucoup apprécié ce jugement. Il était très difficile de savoir ce que pensait Roussel », dans Joan Miró, Ceci est la couleur de mes rêves. Entretiens avec Georges Raillard, Paris, Seuil, 1977, p. 23.

Le Grand triptyque noir, 1969. © Successió Miró, Adagp Paris 2019. Photo Claude Germain / Archives Fondation Maeght. 
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Lucio Fontana
Sur le seuil

Dates : du 17 mai au 29 septembre 2019
Commissaires : Iria Candela, “Estrellita B. Brodsky” Curator of Latin American
Art, The Metropolitan Museum of Art, New York, avec Manuel Cirauqui,
Curateur, Musée Guggenheim Bilbao.
Musée Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2 - 48009 Bilbao, Espagne
https://www.guggenheim-bilbao.eus/

- Les premières oeuvres de Fontana des années 1930 et 1940 illustrent une trajectoire évoluant vers l’abstraction mais perméable aux courants esthétiques qui marquaient ces années complexes. En même temps, elles annoncent déjà la volonté de transgression des toiles lacérées qui domineront sa production ultérieure.

 - L’exposition présente une sélection extraordinaire d’oeuvres de la série iconique des Entailles (Tagli), ainsi que les tous premiers Trous (Buchi ), pièces que leur radicalité situe à la frontière entre peinture, sculpture et action artistique.

 - Avec ses Environnements spatiaux (Ambienti spaziali ) et ses expérimentations avec la lumière et l’espace, en recourant parfois aux tubes de néon, Fontana jette les bases du développement futur de l’art de l’installation et de l’oeuvre d’art immersive.

 

Lucio Fontana (1899–1968) Spatial Concept, Expectations (Concetto Spaziale, Attese), 1959 Oil on canvas with slashes 90.8 × 90.8 cm Olnick Spanu Collection, New York © Fondazione Lucio Fontana, Bilbao, 2019
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SPILLING OVER: PAINTING COLOR IN THE 1960S TO OPEN AT THE WHITNEY MARCH 29
NEW YORK, Opening at the Whitney on March 29,
Spilling Over: Painting Color in the 1960s

Whitney Museum of American Art
99 Gansevoort Street
New York, NY 10014
(212) 570-3600
https://whitney.org/ 
Drawn entirely from the Whitney’s collection, Spilling Overincludes important recent acquisitions by Emma Amos and Kay WalkingStick, as well as works by Helen Frankenthaler, Sam Gilliam, Ellsworth Kelly, Morris Louis, Alvin Loving, Miriam Schapiro, Frank Stella, and others. Half of the included paintings have not been shown atthe Whitney for over twenty-five years.
“Color as a formal, social, and political matter feels particularly urgent today, but the artists in Spilling Over already saw it as a means to bridge the seen and the felt, the conscious and unconscious, the political and the environmental. We’re thrilled to bring together such an incredible group of artists and their works, some acquired nearly at the time of their making and some very new to the Whitney’s collection,” said David Breslin, the exhibition curator and DeMartini Family Curator and Director of the Collection.
Scott Rothkopf, Senior Deputy Director and Nancy and Steve Crown Family Chief Curator, remarked, “We are particularly honored to be unveiling the first paintings to enter our collection by Kay WalkingStick and Emma Amos, the latter of which has been acquired jointly with The Studio Museum in Harlem—a fitting symbol of the long friendship between these two museums and the many artists we both hold dear.”

Frank Stella  Gran Cairo, 1962  Alkyd on canvas  85 9/16 × 85 9/16 in. (217.3 × 217.3 cm)  Purchase, with funds from the Friends of the Whitney  Museum of American Art  63.34
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Grand succès de l'exposition
«Le jeune PICASSO – Périodes bleue et rose»
Prolongation jusqu'au 16 juin 2019

L'exposition «Le jeune PICASSO – Périodes bleue et rose» a réuni presque 250'000 passionnés d'art autour des impressionnantes œuvres de jeunesse de Pablo Picasso. L'intérêt du public est tel que l'exposition est prolongée, les chefs-d'œuvre restant visibles jusqu'au 16 juin inclus dans un agencement légèrement modifié.

«L'exposition de tous les superlatifs» (Tages Anzeiger), «Du jamais vu» (F.A.Z.), «Remarquable» (BaZ), «Une exposition sensationnelle» (Die ZEIT), «Une densité inégalable» (Südkurier), «On n'a jamais vu ça en Europe» (Le Matin Dimanche), «Les œuvres de jeunesse de Picasso, événement de l'année à Bâle» (Le Temps), «La Fondation Beyeler présente une exposition qui restera probablement sans pareil en Europe» (Forbes Exceptional) – voici seulement quelques-uns des échos quasiment unanimes des médias quant à la qualité de l'exposition. Les visiteurs semblent partager cet avis: depuis l'ouverture de l'exposition en février, ce sont chaque semaine des milliers d'amateurs d'art qui se pressent à la Fondation Beyeler.

Exposition «Le jeune PICASSO – Périodes bleue et rose» à la Fondation Beyeler, Riehen/Bâle, 2019; Photo: Mathias Mangold
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Exposition Hippolyte Hentgen
Le bikini invisible
17 mai – 10 novembre 2019
Galerie contemporaine du MAMAC
Place Yves Klein – Nice
http://www.mamac-nice.org/ 


Du 17 mai au 10 novembre 2019, la Ville de Nice vous invite à découvrir l’exposition « Le bikini invisible » de Lina Hentgen et Gaëlle Hippolyte à la galerie contemporaine du MAMAC, une proposition ponctuée de grandes toiles, films, sculptures et installations. Entre esprit fantasmatique et résurgence pop, cet univers évoque un décor de fiction, en attente de son activation.

Le bikini invisible… Le titre sonne comme l’amorce d’une improbable enquête qui nous mènerait sur les traces d’un bikini égaré en des lieux exotiques. A moins qu’il ne s’agisse d’une affaire d’attentat à la pudeur dans une cité balnéaire écrasée sous le soleil d’été ou d’un superpouvoir accordé à un banal accessoire. L’intrigue qui s’esquisse là semble jouer des réminiscences du polar de gare, autant que des bandes dessinées qui bercent l’enfance ou des comics underground. Disséminées dans l’espace, les créations d’Hippolyte Hentgen surgissent comme autant d’indices et d’amorces narratives qui alimentent le mystère. Des mains, jambes et pieds démesurés, désincarnés de tout corps ou personnage, flottent dans l’espace, se déploient au sol ou pendent, flapis, sous leur propre poids. Leurs couleurs outrées, les ongles nacrés et la préciosité de leur présentation sur des portants cuivrés, désamorcent l’inquiétude possible de ces corps-ilots flottants. Le fantasque et le burlesque l’emportent. Ces membres à l’existence autonome, grotesques par leurs formes et leur abandon mou, précieux par le soin des coutures et des détails, semblent en effet tout droits sortis de cartoons, comme échappés des personnages aplatis, étirés et pulvérisés avec jubilation par Tex Avery. Ces formes fondues, émancipées du destin bidimensionnel que leurs réservent dessins d’animations et bandes dessinées, jouent également de réminiscences pop. Comment ne pas penser aux sculptures molles de Claes Oldenburg ou aux silhouettes de vinyle de ses contemporaines Teresa Burga ou Kiki Kogelnik, face à cette parade de corps informes et d’objets triviaux (cigarettes, journaux). Cette évocation pop est renforcée par la présence de tentures mêlant Pin-up plantureuse et onomatopées.

Au centre de l’espace et au cœur de l’intrigue, une grande baigneuse allongée dévoile son corps sans visage. Vêtue du fameux bikini et bottée, cette créature évoque les jambes démesurées des héroïnes sexy des comics des années 1960-70, notamment les amazones de Trina Robbins. Contrariant cette planéité, des mains potelées, voire hypertrophiées dansent dans l’espace, animant des écrans de leurs ballet de doigts. Ces mains pataudes de Mickey miment une icône de la danse contemporaine : le Hand Movie de la chorégraphe Yvonne Rainer, filmé en 1966 par William Davis.

Hippolyte Hentgen joue de ce métissage de langages, de cette hybridation d’univers non destinés à se côtoyer. Dans son musée imaginaire, les productions de l’avant-garde, la bande dessinée, le dessin d’animation, l’illustration populaire ou le dessin de presse se mêlent sans complexes, faisant surgir un univers fantasque et jubilatoire affranchi des scories des hiérarchies de genres. L’artiste Arnaud Labelle-Rojoux parle à cet égard de phénomène de « pollinisation » à partir de ce qui constitue notre culture visuelle. Dans cet univers fécond où se métissent le grotesque et le raffinement, l'organique et l'inorganique, le dessin se déploie dans tous ses états.

Ce bikini invisible composé au MAMAC est bien sûr un clin d’œil acidulé et débridé à la Riviera, à ses corps alanguis et à ses stéréotypes ; un prélude à une fiction que le visiteur est libre de construire. C’est aussi une actualisation polissonne, effrontée, follement pop et délibérément malicieuse des œuvres des grandes figures qui ponctuent les collections du MAMAC.

Hippolyte Hentgen, B-R-E-E-K, 2018 Assemblage de tissus cousus et imprimés 250 x 238 cm © A. Mole Courtesy Semiose, Paris.
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JOAN MIRÓ.
AU-DELÀ DE LA PEINTURE.
29 juin – 17 novembre 2019 Fondation Maeght

Du 29 juin au 17 novembre 2019, la Fondation Maeght célèbre Joan Miró, acteur majeur de la création de la Fondation aux côtés de Marguerite et Aimé Maeght et de leur ami architecte Josep Lluís Sert. L’exposition « Joan Miró. Au-delà de la peinture. », dont le commissariat est assuré par Rosa Maria Malet, directrice historique de la Fundació Joan Miró de Barcelone, offre au public de découvrir une partie essentielle de l’oeuvre de l’artiste : l’exceptionnel oeuvre graphique. L’exposition est axée sur le processus de travail de l’artiste qui réalisa l’un des plus remarquables oeuvres gravés de l’histoire de l’art. Issues en très grande partie d’une exceptionnelle donation faite par Adrien Maeght, qui travailla avec Miró dans ses ateliers de l’imprimerie ARTE, plus de 200 oeuvres, dont un ensemble de gouaches inédites, sont présentées. Maquettes, affiches, gravures, lithographies originales, plaques de tirage, bons à tirer et ouvrages de bibliophilie, complètent l’exposition pour mettre en lumière cette prodigieuse création.

Dans la lignée de l’héritage de Marguerite et Aimé Maeght et de leur fils Adrien, éditeurs d’art et imprimeurs, la Fondation Maeght propose, pour sa grande exposition estivale, un hommage au génie créateur de Joan Miró, dix ans après la dernière exposition que la Fondation lui a consacré « Miró en son jardin ».
Cette exposition fait également écho à la rétrospective présentée cet hiver au Grand Palais à Paris. Né en 1893 à Barcelone et mort en 1983 à Palma de Majorque, Joan Miró est l’un des artistes majeurs du XXe siècle qui ont révolutionné les codes de l’art moderne. Durant toute sa vie, l’artiste invente un monde onirique au service d’un vocabulaire de formes appliqué à toutes les techniques avec lesquelles il travaille. « Il me faut un point de départ, expliquait Miró, ne serait-ce qu’un grain de poussière ou un éclat de lumière. Cette forme me procure une série de choses, une chose faisant naître une autre chose. Ainsi un bout de fil peut-il me déclencher un monde. »

Frappeuse de silex, 1973.  Gravure originale en Aquatinte, Carborundum et Eau-forte sur Vélin d'Arches.  © Successió Miró, Adagp Paris 2019  Photo Claude Germain / Archives Fondation Maeght.
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Jane Evelyn Atwood Histoires de prostitution Paris 1976-1979

EXPOSITION PRÉSENTÉE DU 25 JANVIER AU 21 AVRIL 2019
Maison de la Photographie Robert Doisneau
1, rue de la Division du Général Leclerc
94250 Gentilly, France
www.maisondoisneau.agglo-valdebievre.fr 

EXPOSITION CONÇUE À PARTIR DE LA SÉRIE RUE DES LOMBARDS
RÉALISÉE ENTRE 1976 ET 1977 ET LA SÉRIE PIGALLE PEOPLE
RÉALISÉE ENTRE 1978 ET 1979.
L’EXPOSITION PIGALLE PEOPLE A ÉTÉ PRÉSENTÉE UNE PREMIÈRE
FOIS À ARLES EN 2018 ET A ÉTÉ PRODUITE DANS LE CADRE DE
L’ÉDITION 2018 DES RENCONTRES DE LA PHOTOGRAPHIE, ARLES, FRANCE.
VERNISSAGE JEUDI 24 JANVIER 2019 À 18H

Cela a commencé comme cela, en 1976, sans expérience et sans idées préconçues. Il y avait là sous ses yeux un monde inconnu et pourtant familier. Elle a eu envie de savoir et de connaître de près ces hommes, ces femmes ou ces transgenres qui vendaient leurs corps sur les trottoirs de la capitale.
En 1976, Jane Evelyn Atwood, pas encore photographe, habite depuis cinq années à Paris. Elle achète un premier «vrai appareil et rencontre Blondine ainsi que les autres prostituées de la rue des Lombards, dans le quartier du futur Beaubourg.

JANE EVELYN ATWOOD EXPOSITION A LA MAISON DE LA PHOTOGRAPHIE ROBERT DOISNEAU GENTILLY
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Lucio Fontana On the Threshold

Exhibition Dates:
January 23–April 14, 2019
Exhibition Location:
The Met Breuer, Floor 3, Floor 5 and The Met Fifth Avenue Gallery 913
https://www.metmuseum.org/ 

Lucio Fontana: On the Threshold—the first retrospective of the artist in the United States in more than four decades—will reassess the legacy of this key postwar figure through a selection of exquisite sculptures, ceramics, paintings, drawings, and environments made between 1931 and 1968. The founder of Spatialism and one of the most innovative artists of the 20th century, Lucio Fontana (1899–1968) is widely known for a series of slashed paintings from 1958 known as the Cuts (Tagli) that became symbols of the postwar era. The exhibition at The Met Breuer will present extraordinary examples of this iconic series, and will also explore Fontana’s beginnings as a sculptor and his pioneering work with environments, contextualizing the radical nature of the Cuts within his broader practice.

The exhibition is made possible by The International Council of The Metropolitan Museum of Art.

Additional support is provided by the Jane and Robert Carroll Fund and the Aaron I. Fleischman and Lin Lougheed Fund.

It is organized by The Metropolitan Museum of Art in collaboration with the Fondazione Lucio Fontana.

Lucio Fontana (Italian, 1899-1968). Spatial Concept, Expectations, 1959. Oil on canvas. Olnick Spanu Collection © 2018 Fondazione Lucio Fontana/Artists Rights Society (ARS), New York/SIAE, Rome

Lucio Fontana (Italian, 1899-1968). Spatial Concept, Expectations, 1959. Oil on canvas. Olnick Spanu Collection © 2018 Fondazione Lucio Fontana/Artists Rights Society (ARS), New York/SIAE, Rome

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Cette exposition est organisée par la Réunion des musées nationaux-Grand Palais.
3 octobre 2018 - 4 février 2019
Grand Palais 
Galeries nationales
entrée Square Jean Perrin
Dans cette rétrospective dédiée au grand maître catalan Joan Miró (1893-1983), près de 150 oeuvres essentielles sont réunies afin de donner à cette oeuvre unique et majeur toute la place qui lui revient dans la modernité. Cette exposition intervient quarante-quatre ans après celle qu’avait organisée Jean Leymarie et Jacques Dupin dans ce même lieu en 1974. Des prêts exceptionnels, provenant de grands musées internationaux, européens et américains, ainsi que de grandes collections particulières mettent l’accent sur les périodes charnières de Miró qui déclarait : « Les gens comprendront de mieux en mieux que j’ouvrais des portes sur un autre avenir, contre toutes les idées fausses, tous les fanatismes ». La création de cet artiste d’exception irrigue l’art de tout le XXe siècle, irradiant de sa puissance et de sa poésie près de sept décennies avec une générosité et une originalité inégalées.

This retrospective on the great Catalan master Joan Miró (1893-1983) brings together nearly 150 key pieces to give this unique and important body of work its rightful place in modernity. This exhibition takes place forty-four years after the one organised by Jean Leymarie and Jacques Dupin at the same venue in 1974. Exceptional loans from some of the most important museums in Europe, America and across the globe, as well as major private collections, place the emphasis on the pivotal periods for Miró, who once declared: “People will understand more and more that I opened the doors to another future, that runs against all falsehood, all fanaticism.” The work of this exceptional artist shaped art throughout the 20th century, radiating its power and poetry for almost seven decades with unrivalled generosity and originality.

Affiche de l'exposition MIRO Succession Miro/Adagp, Paris 2018 Photo Calder Foundation, New York/ Art Resource, NY Design c-album/adaptation Alain Bourdon
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Solomon R. Guggenheim Museum
1071 Fifth Avenue
New York, NY 10128-0173
212 423 3500
https://www.guggenheim.org 

(NEW YORK, NY— November 20, 2018)—The Solomon R. Guggenheim Museum will extend its hours until 8 pm during the holiday season, providing an additional opportunity for audiences to experience exhibitions on view, such as the groundbreaking Hilma af Klint: Paintings for the Future. From December 26, 2018, to January 6, 2019, the museum will be open every day from 10 am to 8 pm, with the exception of New Year’s Day, Tuesday, January 1, when the museum will open at 11 am. On Christmas Eve, Monday, December 24, museum hours will be from 10 am to 4 pm, and the museum will be closed on Christmas Day, Tuesday, December 25. The Guggenheim Store will be open for an additional half hour before and after museum hours. From December 26, 2018, to January 6, 2019, The Wright restaurant will be open from 11 am to 3:30 pm and will open at 11:30 am on Christmas Eve and New Year’s Day. For more information, visit guggenheim.org/plan-your-visit.

Visitors to the Guggenheim may also view new paintings by contemporary artist R. H. Quaytman in the exhibition R. H. Quaytman: + x, Chapter 34, presented in conjunction with Hilma af Klint: Paintings for the Future, as well as modern masterpieces from the Guggenheim’s collection in the Thannhauser Collection galleries, and sculptures by Constantin Brancusi on Tower Level 2.

Installation view: Hilma af Klint: Paintings for the Future, Solomon R. Guggenheim Museum, New York, October 12, 2018–February 3, 2019. Photo: David Heald
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Du mercredi 17 octobre 2018 au lundi 25 février 2019
Centre Georges-Pompidou
Place Georges-Pompidou 75004 Paris 4e
Métro : Rambuteau (11)
RER : Chatelet - Les Halles (A/B/D)
Réservation : 01.44.78.12.33
Site web : www.centrepompidou.fr

Le Centre Pompidou propose une traversée inédite et un panorama complet de l’un des mouvements fondateurs de l’histoire de l’art moderne : le cubisme (1907-1917).
Première exposition consacrée au cubisme en France depuis 1953, le projet trouve son originalité dans la volonté de renouveler et d’élargir à d’autres artistes la vision traditionnellement concentrée sur ses deux inventeurs, Georges Braque et Pablo Picasso. Ces pionniers, bientôt suivis par Fernand Léger et Juan Gris, réservaient leurs créations expérimentales et novatrices à la très confidentielle galerie d’un jeune marchand alors inconnu, Daniel-Henry Kahnweiler, quand des artistes tels Albert Gleizes, Jean Metzinger, Francis Picabia, Marcel Duchamp, Robert et Sonia Delaunay assuraient à l’époque la diffusion du mouvement auprès de la critique et du public en participant aux Salons parisiens. L’exposition met ainsi en valeur la richesse, l’inventivité et le foisonnement de ce mouvement qui ne se limite pas uniquement à la géométrisation des formes et au rejet de la représentation classique mais dont les recherches radicales et l’énergie créatrice de ses membres sont aux sources de l’art moderne.

Riche de 300 oeuvres et de documents significatifs du rayonnement du cubisme, l'exposition est articulée chronologiquement en quatorze chapitres. S'en détachent des chefs-d’oeuvre, comme le Portrait de Gertrude Stein (1906) ou ceux d'Ambroise Vollard (1909) et Daniel-Henry Kahnweiler (1910) par Picasso ainsi que des ensembles de peintures et de sculptures jamais réunies. Le parcours de l'exposition vise à mettre en valeur l’évolution à rebondissements du cubisme en remontant aux sources primitivistes et à la fascination des cubistes pour Gauguin et Cézanne. Il reflète la progression formelle du mouvement, d’une première étape cézannienne - illustrée par la présence de l’exceptionnelle nature morte de Picasso Pains et compotier sur une table (1909) - vers une transcription analytique hermétique (1910-1912) puis transformée en version plus synthétique (1913-1917), qui marque ainsi le retour de la représentation et de la couleur.

Juan Gris Le Petit Déjeuner, octobre 1915 Huile et fusain sur toile, 92 x 73 cm Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris © Centre Pompidou, MNAM-CCI/ Philippe Migeat/Dist. RMN-GP
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La Vie, le chef-d’œuvre iconique de la période bleue de Picasso, sera exposé à la Fondation Beyeler à partir de février 2019

Bâle accueillera bientôt La Vie (1903), chef-d'œuvre grandiose de la période bleue de Pablo Picasso prêtée par le Cleveland Museum of Art, Ohio. A partir du 3 février, la Fondation Beyeler, le musée d'art le plus visité de Suisse, présentera le tableau dans ses espaces baignés de lumière dans le cadre de sa grande exposition de printemps « Le jeune PICASSO – Périodes bleue et rose ». Les abonnés de la Newsletter Picasso ont la possibilité de remporter deux billets d'entrée pour le prix d'un.

Raphaël Bouvier, commissaire de l'exposition, est particulièrement heureux de ce prêt accordé par le Cleveland Museum of Art: « Avec La Vie de Picasso, c'est une œuvre clé de l'art du 20ème siècle et l'un des tableaux les plus saisissants de l'art moderne qui sera présentée à la Fondation Beyeler. Il s'agit probablement du premier grand chef-d'œuvre de Picasso. C'est pour nous une joie immense de pouvoir inclure dans notre exposition cette toile si importante et si rarement prêtée. »

La Vie est une véritable icône de l'art moderne et marque le point culminant de la fameuse période bleue de Picasso, qui couvre les années 1901 à 1904. Dans les tableaux profondément émouvants de cette période, caractérisés par leurs tonalités bleutées, Picasso se consacre aux questions universelles de l'existence humaine.

Pablo Picasso, La Vie, 1903, Huile sur toile, 197 x 127,3 cm, The Cleveland Museum of Art, Donation Hanna Fund 1945.24, © Succession Picasso / ProLitteris, Zurich 2018, © The Cleveland Museum of Art
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Rétrospective du 19 octobre 2018 au 24 février 2019
Musée Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2
48009 Bilbao
Téléphone :   +34 944 35 90 00  (horaire bureaux)   
+34 944 35 90 80  (horaire d’ouverture Musée)  
http://www.guggenheim-bilbao.es/ 
https://www.guggenheim-bilbao.eus/fr/  en français
Email: informacion(at)guggenheim-bilbao.es  

Apporter le soutien d’IBERDROLA à l’exceptionnelle exposition Alberto Giacometti. Rétrospective que le Musée Guggenheim Bilbao consacre à l’un des plus grands sculpteurs de l’histoire et un des artistes majeurs du XXe siècle est pour nous l’objet d’une très grande fierté.

Nous invitons donc le public à venir découvrir dans les salles du Musée un parcours illustrant 40 ans de la carrière de l’artiste au travers d’une sélection de 200 pièces —sculptures, peintures et oeuvres sur papier—, lesquelles viennent rendre hommage à l’esprit créateur de Giacometti et à témoigner de son inextinguible quête de vérité.

Cette rétrospective rend fidèlement compte des évolutions constantes de l’artiste, depuis ses premiers travaux influencés par le cubisme et le surréalisme – au fort contenu symbolique et d’une facture très abstraite – jusqu’à ses célèbres figures stylisées qui se distinguent par leur matière brute et leurs échelles multiples.

Alberto Giacometti s’est toujours démarqué par la profondeur de sa démarche et de sa réflexion. Il a cultivé l’amitié de nombreux intellectuels et écrivains comme Simone de Beauvoir — dont l’effigie est ici présente à travers deux bustes —, Jean Genet — dont on retrouve un portrait à l’huile dans l’exposition — ou encore Jean-Paul Sartre – qui définissait Giacometti comme l’artiste “existentialiste” par excellence –.

Alberto Giacometti Homme qui marche I, 1960 Bronze 180,5 x 27,0 x 97,0 cm Fondation Giacometti, Paris © Succession Alberto Giacometti ,VEGAP, Bilbao, 2018

Alberto Giacometti
Homme qui marche I, 1960
Bronze
180,5 x 27,0 x 97,0 cm
Fondation Giacometti, Paris
© Succession Alberto Giacometti ,VEGAP, Bilbao, 2018

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Exposition Balthus
2 septembre 2018 – 1er janvier 2019

FONDATION BEYELER
Baselstrasse 101
CH-4125 Riehen/Basel
Tél. +41 61 645 97 00
Fax +41 61 645 97 19
https://www.fondationbeyeler.ch/fr/ 
E-Mail: info(at)fondationbeyeler.ch

Avec l’exposition Balthus, la Fondation Beyeler présente l’un des derniers grands maîtres de l’art du 20ème siècle, également l’un des artistes les plus singuliers et les plus controversés de l’art moderne.
Cette présentation d’envergure, dont la planification a débuté en milieu d’année 2016, prend pour point de départ l’oeuvre majeure Passage du Commerce-Saint-André (1952–1954), qui se trouve à la Fondation Beyeler depuis de nombreuses années en tant que prêt permanent d’une importante collection privée Suisse.

Dans son travail aux facettes et aux lectures multiples, vénéré par certains et rejeté par d’autres, Balthus, de son vrai nom Balthasar Klossowski de Rola (1908–2001), trace une voie artistique alternative, voire opposée aux courants des avant-gardes modernes et des représentations que l’on peut s’en faire. Dans cette voie solitaire, le peintre excentrique se réfère à un large éventail de prédécesseurs et de traditions artistiques allant de Piero della Francesca à Poussin, Füssli, Courbet et Cézanne. Mais un examen plus attentif révèle aussi les impulsions de certains courants artistiques modernes, notamment la Nouvelle Objectivité ou le Surréalisme, qui offrent un contexte aux stratégies parfois provocatrices de mise en scène picturale de Balthus et aux dimensions abyssales et insondables de son art. Sa distanciation fondamentale du modernisme, démarche que l’on peut presque qualifier de postmoderne, mène pourtant Balthus à développer une forme toute personnelle d’avant-garde, qui apparaît d’autant plus pertinente aujourd’hui.
Balthus s’affirme en effet comme l’artiste de la contradiction et du trouble, dont les oeuvres à la fois sereines et fébriles font se rencontrer des contraires qui mêlent de manière unique la réalité et le rêve, l’érotisme et la candeur, l’objectivité et le mystère, le familier et l’étrange. Dans ce jeu de contrastes, Balthus combine des motifs de la tradition artistique à des éléments empruntés aux illustrations populaires de livres pour enfants du 19ème siècle. Ses tableaux sont empreints d’ironie tant implicite qu’explicite, réfléchissant et s’interrogeant par là sur les possibilités et les impossibilités figuratives et esthétiques de l’art du 20ème siècle et au-delà. Les paradoxes s’étendent aussi à la personne de Balthus, qui dans un geste de modestie tenait à être considéré comme un « artisan » tout en adoptant la posture et le statut de l’aristocrate intellectuel cultivant des liens étroits avec de grands philosophes, écrivains, gens de théâtre et cinéastes de son temps. Sa longue vie, qui a coïncidé avec la quasi-totalité du 20ème siècle, a ainsi oscillé constamment entre ascèse et mondanité.

BALTHUS, THÉRÈSE, 1938  Huile sur carton sur bois, 100.3 x 81.3 cm The Metropolitan Museum of Art, New York, Légué par Mr. et Mrs. Allan D. Emil, en l’honneur de William S. Lieberman, 1987 © Balthus, Photo: The Metropolitan Museum of Art/Art Resource/Scala, Florence

BALTHUS, THÉRÈSE, 1938
Huile sur carton sur bois, 100.3 x 81.3 cm
The Metropolitan Museum of Art, New York, Légué par Mr. et Mrs. Allan D. Emil, en l’honneur de William S. Lieberman, 1987
© Balthus, Photo: The Metropolitan Museum of Art/Art Resource/Scala, Florence 

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DECONSTRUCTING MARCUS JANSEN
November 16. 2018 - September 15. 2019
Kemper Museum of Contemporary Art
4420 Warwick Boulevard
Kansas City, Missouri MO 64111
Tel 816.753.5784
https://www.kemperart.org/ 
Kemper Museum of Contemporary Art presents 8–12 exhibitions per year in the Charlotte Crosby Kemper Gallery, the Barbara & Paul Uhlmann Gallery, and the Kemper East Gallery. The Museum curates exhibitions from its Permanent Collection and of the work of emerging, midcareer, and established artists.

Marcus Jansen (American, b. 1968) finds inspiration in the world around him. Regarded as a pioneer of "urban landscape painting," Jansen uses his upbringing in both the United States and Germany, and places he was stationed during his time in the army, as influence for his paintings. Drawing inspiration from New York Abstract Expressionism as well as graffiti, Pop art, and Surrealism, Jansen employs practices from these art forms to create paintings that make social commentary. This exhibition places the techniques and themes in Jansen's work in dialogue with other paintings, photographs, and prints from the Kemper Museum Permanent Collection.

Marcus Jansen, Streets, 2008, oil, enamel, collage on canvas, 36 x 48 inches. Kemper Museum of Contemporary Art, Kansas City, Missouri, Bebe and Crosby Kemper Collection, Gift of the R. C. Kemper Charitable Trust, 2009.27. © 2018 Marcus A. Jansen/Artists Rights Society (ARS), New York/VG Bild-Kunst, Bonn. Photo: UNIT A Studio and Residency, Expressive Culture LLC.
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Exposition Berenice ABBOTT - Topographies
19 octobre 2018 – 27 janvier 2019

Vernissage > Jeudi 18 octobre 2018 à 19 heures

En présence de Robert Roux, Conseiller municipal délégué au Cinéma, aux Arts dans l’Espace Public, au Pôle de Culture Contemporaine « Le 109 », Subdélégué aux Musées et aux Musiques Actuelles, représentant Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur, Président délégué de la Région SUD-Provence-Alpes-Côte d’Azur

Musée de la Photographie Charles Nègre
1, Place Pierre Gautier – Nice
Du 19 octobre 2018 au 27 janvier 2019, la Ville de Nice vous invite à découvrir l’exposition « Berenice ABBOTT – Topographies » au Musée de la Photographie Charles Nègre. Le vernissage de l’exposition se tiendra le jeudi 18 octobre à 19heures.

L’œuvre de Berenice Abbott (Springfield, USA, 1898 - Monson, USA, 1991) a été décisive et déterminante dans l’Histoire de la Photographie puisqu’elle contribuera à définir une nouvelle conception de ce langage. Autonome parce que délestée de toute référence à la peinture, elle existe alors strictement de et par ses propres spécificités intrinsèques.

Venue à Paris au début des années 1920, formée par Man Ray (Philadelphie, USA, 1890 - Paris, 1976) avant d’ouvrir son propre studio, Berenice Abbott entame avec succès une carrière de portraitiste. Connue, dans les cénacles de l’avant-garde de Paris et New York, des années 20 et 30, pour être une fervente militante en faveur de la reconnaissance de la photographie documentaire comme un art, elle n’aura de cesse de questionner dans son travail, les aspects de réalisme et modernisme. Son œuvre phare et manifeste, représentative de ces préceptes et engagements sera Changing New York (1935 – 1939), vaste entreprise « d’interprétation documentaire » des mutations architecturales auxquelles sera soumise New York dans les années 1930.

Par ailleurs, la figure de Berenice Abbott apparaît à nouveau dans l’Histoire de la Photographie indissociable, et réciproquement d’ailleurs, de celle d’Eugène Atget (Libourne, France, 1857 – Paris, 1927) dont elle aura activement contribué à la reconnaissance de l’œuvre en Europe et aux États-Unis.

Atget, photographe français, rendra compte dès 1890 d’un Paris qui disparaît après la mise en place des grands chantiers Haussmanniens dès la deuxième moitié du XIXe siècle, visant à faire de Paris une ville moderne à l’image de Londres. Atget restera une figure emblématique et de référence pour Berenice Abbott. Son œuvre, qui la précède en est l’amorce, celle d’Abbott, sa résonance.

Dans son ensemble et de manière panoramique, l’œuvre de Berenice Abbott revêt des aspects protéiformes. Il n’en demeure pas moins que les déplacements de ses problématiques et intérêts tout au long de sa carrière depuis la photographie de portrait, puis d’architecture et enfin scientifique, s’effectuent avec logique et cohésion. Elle s’attachera à examiner le langage photographique à travers un prisme, lui donnant une autre dimension et profondeur.

Avec une présentation d’une centaine de photographies et documents, le Musée de la Photographie Charles Nègre offre aux visiteurs un aperçu de l'œuvre de cette artiste majeure.
Cette exposition est réalisée en collaboration avec diChroma Photography, Madrid 

Flatiron Building, Madison Square, New York, 1938 ©Berenice Abbott/ Getty Images Courtesy of Howard Greenberg Gallery New York

Flatiron Building, Madison Square, New York, 1938
©Berenice Abbott/ Getty Images.
Courtesy of Howard Greenberg Gallery, New York

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lvmh rome
 

ROME BY MILES HYMAN

Hyman spent his days in the city with eyes turned towards the Roman sky, focused on an architectural detail, on a face, a door in Trastevere or on the dome of a church in Piazza Navona, with the aim of depicting Rome for the Louis Vuitton Travel Book: Rome by Miles Hyman. The result is an invitation towards the real and virtual journey, enriched by intellectual stimulations and intense moments, which gives the readers an unprecedented image of the city.
Rome responds to Hyman’s approach by offering its own beauty without filters, becoming lively and vibrant, charged with ephemeral beauty, joyful, full of poetic elements in its everyday life.
“The Roman palette inspires me a great deal!” states Miles Hyman. “Its light, in the first place, but also its special colours, have set a gradual spell upon me: the facades, with their shades of ochre, golden yellow, blue and turquoise, not to mention the wide range of reds, each richer than the next”. Bright and deep colours that influence the artist in an unmistakable way. “Rome is part of those cities that you have to live with for a while before you can understand its charm. But beware, once you start to love, understand and finally capture the unique spirit of these cities, you’re already in love, and you will love them passionately forever”. Rome as depicted by Hyman has the features of a woman, elusive and mysterious, that you can meet on the corner of a street, in the shade of a terrace or on a balcony. Look away for a moment and you lose sight of her. This is Rome. The city’s inhabitants prevail over the monuments “I realise that this work about Rome could have been called Travel Book of the Romans. I absolutely wanted to capture the daily life of the inhabitants of this enchanting city with honesty and admiration — I am tempted to say ‘tenderness’.
Why did I want to stress the human element of the city? Because, for me, the key to the city is the striking contrast between its ephemeral life and the eternal”. The Istituto Centrale per la Grafica hosted the exhibition inside its Palazzo Poli, an iconic place in Rome, because the Trevi Fountain is its façade. The Institute promotes contemporary graphics in all its expressions, from Graphic Design of great masters to experimental experiences, from Graphic Novel to design, in the founding spirit of the unification of antique drawing and printing collections (Gabinetto Nazionale delle Stampe), to the activity, uninterruptedly in progress since the first decades of the 19th century, of the National Calcography and its Stamperia.
LOUIS VUITTON PAYS TRIBUTE TO ROME WITH AN EXHIBITION RECOUNTING, THROUGH THE FASCINATING ILLUSTRATIONS OF ARTIST MILES HYMAN CREATED FOR THE LOUIS VUITTON TRAVEL BOOK COLLECTION, THE MONUMENTS, THE ATMOSPHERE AND THE DAILY LIFE OF THE ETERNAL CITY. FROM OCTOBER 5TH TO NOVEMBER 11TH, THE ISTITUTO CENTRALE PER LA GRAFICA WILL HOST OVER 100 ORIGINAL DRAWINGS BY THE AMERICAN ARTIST, COMMISSIONED BY LOUIS VUITTON, AND SOME ESPECIALLY MADE FOR THE EXHIBITION IN ROME.

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GIACOMETTI-CHADWICK, FACING FEAR
22 septembre 2018 - 6 janvier 2019
Museum de Fundatie, Zwolle

Du 22 septembre 2018 au 6 janvier 2019, le musée néerlandais Museum De Fundatie organise l’exposition Giacometti-Chadwick, Facing Fear. Les sculptures d’Alberto Giacometti (1901-1966) et de Lynn Chadwick (1914-2003) incarnent la désillusion et l’angoisse qui ont profondément marqué l’Europe pendant la période de la Guerre Froide.
Grâce à ces deux artistes, l’art de la sculpture européenne s’est définitivement détourné du romantisme et de l’esthétique d’avant-guerre pour atterrir de plain-pied dans la réalité crue. Alors que Giacometti réduisait l’homme à son apparition la plus lapidaire et dépouillée, Chadwick créait ses représentations primitives et puissantes de l’Homme et de l’Animal. L’exposition au Museum de Fundatie comprend plus de 150 oeuvres et offre pour la première fois une occasion unique de comparer l’art de Giacometti à celui de Chadwick.

GIACOMETTI-CHADWICK, FACING FEAR
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The Foundation Guillaume Corneille is pleased to announce the retrospective exhibition devoted to Corneille
Schiedam Museum
September 23rd 2018 until February 3rd 2019

CORNEILLE, HIS WORLD

Seventy years after CoBrA was created, the Stedelijk Museum Schiedam honours one of the prominent founders of this international art movement: Corneille Guillaume Beverloo, best known by his first name. This extensive retrospective shows the colourful work that gained Corneille (1922–2010) international recognition, together with his sources of inspiration, the way he was influenced by other artists, his passion for long journeys and his love of African ethnographics. In short, this presentation takes you on a journey into his world, the universe of this important post-war artist.  

Compelling

During his CoBrA period Corneille made expressive and spontaneous drawings and paintings, which betray a strong joie de vivre and desire for freedom. After 1953 this style gave way to more abstracted landscapes. In his late, more figurative work paradisaical scenes and the relationship between man and nature are central. Women are surrounded by birds amidst colourful vegetation. Corneille, his world comprises almost 60 paintings, some 15 gouaches / water colours and about 25 ethnographic objects, and demonstrates that his work has remained fresh and compelling to this very day.    

Bird

To Corneille, the bird was the symbol of freedom par excellence. He said: "The bird – and the same is true of me – is the one who is always on a quest, who has to find 'food' and fly constantly, destined to keep moving." Coincidence or not, but the literal meaning of the name Corneille is 'crow'.

Le Musée Privé Contemporary Art Magazine particularly appreciates this quality artist who has marked the history of art

Corneille Schiedam Museum  September 23rd 2018 until February 3rd 2019
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Picasso - Chefs-d'Oeuvre
du 04 sept. au 13 jan. 2019

Musée Picasso
5 rue de Thorigny
75003 Paris
www.museepicassoparis.fr 

Quel sens a la notion de chef-d’œuvre pour Pablo Picasso ? L’exposition « Picasso. Chefs-d’œuvre ! » répond à cette question en réunissant des œuvres maîtresses, pour certaines présentées à Paris pour la première fois. Grâce à des prêts exceptionnels, des chefs-d’œuvre du monde entier dialogueront avec ceux du Musée national Picasso-Paris.
L’ensemble réuni propose une nouvelle lecture de la création picassienne, grâce à une attention particulière portée à la réception critique. Le parcours revient ainsi sur les expositions, les revues et les ouvrages qui ont accompagné chaque œuvre et qui ont contribué, au fil des années, à forger leur statut de chefs-d’œuvre. Les archives du Musée national Picasso-Paris occupent une place essentielle dans ce récit.


HALL
À la suite de l’exposition « Guernica », le Musée national Picasso-Paris consacre l’année 2018 à la célébration de chefs-d’œuvre de Pablo Picasso. L’exposition « Picasso. Chefs-d’œuvre ! » réunit des icônes venues du monde entier, dont certaines sont présentées à Paris pour la première fois. Collaborations exceptionnelles, campagnes de restauration inédites ou prêts d’institutions amies : les chefsd’œuvre exposés font écho aux événements et aux partenariats qui rythment la vie du Musée national Picasso-Paris.

1. LE CHEF-D'OE UVRE INCONNU
Atteindre la beauté idéale, le chef-d'oeuvre absolu : voici le rêve que le peintre Frenhofer, héros du Chef-d'oeuvre inconnu d'Honoré de Balzac, poursuit en vain. Publié pour la première fois en 1831, l'ouvrage est illustré un siècle plus tard par Pablo Picasso, à la demande du marchand Ambroise Vollard. Le thème du peintre et son modèle auquel l'artiste se consacre alors illustre la quête d'un idéal qui mènera Frenhofer à la mort : faire du portrait l'expression d'une âme, accéder à la perfection à travers l'oeuvre d'art. La mise en scène de l'artiste au travail traverse tout l'oeuvre de Picasso. Ses nombreux autoportraits, seul ou en compagnie du modèle, constituent autant de réflexions sur la création. Artiste parmi les plus prolifiques du XXe siècle, toujours à la recherche de nouveaux modes d'expression, Picasso consacre sa vie à une quête proche de celle de Frenhofer. À travers une sélection d'oeuvres essentielles, jalons de la création picassienne, l'exposition « Picasso. Chefs-d'oeuvre ! » revient sur cette histoire. Des conditions de la création jusqu'à l'influence de la réception critique, le parcours met en lumière les événements qui ont contribué à ériger chaque oeuvre au rang d'icône. Tout au long du XXe siècle, de la tradition académique aux révolutions modernes, les quêtes obstinées de l'artiste espagnol ont radicalement redéfini les contours de la notion de chef-d'oeuvre.

Affiche icasso chefs doeuvre © Musée national Picasso-Paris
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Bacon – Giacometti

29 avril – 2 septembre 2018
Fondation BEYELER
Baselstrasse 101
4125 Basel
Suisse
https://www.fondationbeyeler.ch/fr/ 

Avec Alberto Giacometti et Francis Bacon, la Fondation Beyeler présente à partir du 29 avril 2018 deux protagonistes d’exception de l’art moderne, tant amis que rivaux, dont la vision a fortement influencé l’art de la deuxième moitié du 20ème siècle à aujourd’hui. C’est la toute première fois qu’un musée consacre une exposition conjointe à ces deux artistes, éclairant leurs rapports et leurs relations. Aussi différentes que leurs oeuvres puissent sembler à première vue, ce face-à-face inattendu fait apparaître des correspondances surprenantes. L’exposition comprend des oeuvres célèbres des deux artistes, complétées par des oeuvres rarement exposées. A noter plus particulièrement, une série de plâtres originaux en provenance de la succession de Giacometti jamais encore dévoilés au grand public, ainsi que quatre grands triptyques de Bacon. Une salle multimédia propose des aperçus spectaculaires des ateliers des deux artistes. L’exposition est organisée par la Fondation Beyeler en collaboration avec la Fondation Giacometti, Paris.

Le peintre britannique et le sculpteur suisse se sont rencontrés au début des années 1960 au travers d’une amie commune, l’artiste Isabel Rawsthorne. En 1965, leur relation était déjà telle que Bacon avait rendu visite à Giacometti à la Tate Gallery à Londres lorsque ce dernier y installait son exposition. Une série de clichés du photographe anglais Graham Keen documente cette rencontre, montrant les deux artistes en intense conversation. Plus d’un demi-siècle plus tard, les deux artistes sont réunis à la Fondation Beyeler et ce double portrait photographique ouvre l’exposition.

Alberto Giacometti und Francis Bacon, 1965 Tirage gélatino-argentique © Graham Keen

Alberto Giacometti und Francis Bacon, 1965 Tirage gélatino-argentique © Graham Keen

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Le Pinceau ivre Lassaâd Metoui
11 avril - 30 septembre 2018
Institut du monde arabe
1, rue des Fossés-Saint-Bernard
Place Mohammed V
75236 Paris Cedex 05
www.imarabe.org 

Du 11 avril au 30 septembre prochain, l’Institut du monde arabe donne carte blanche à l’artiste franco-tunisien, Lassaâd Metoui. Formé très jeune à la calligraphie, Lassaâd Metoui est devenu dans cette discipline traditionnelle un artiste majeur, tout en faisant évoluer son art de plasticien vers une modernité qui transcende les cultures. Il s’inspire tout autant de la peinture occidentale (de Matisse à Paul Klee ou à Soulages) que de l’art d’Extrême-Orient, notamment japonais.

Riche de 135 oeuvres, l’exposition « Le Pinceau ivre » proposée par l’Institut du monde arabeoffre au visiteur un magnifique parcours dans l’oeuvre actuelle de Lassaâd Metoui. Ce beau panorama distribué en 4 séquences (« L’oeil écoute », « La Genese des formes », « La Passion de l’esthétisme », « L’Aventure du geste »), est significatif d’un art toujours empli d’allégresse, animé d’une sorte d’« ivresse poétique », curieux et admiratif des maîtres tant occidentaux qu’arabo-musulmans et tant d’hier que d’aujourd’hui.

Le travail de Lassaâd Metoui a une place légitime dans les espaces du musée, à la fois par la pratique que l’artiste a d’une calligraphie sans cesse repensée, et par le lien qu’il entretient avec le langage, grâce à sa complicité avec le linguiste et lexicographe Alain Rey.

Lassaâd Metoui, Accessible, 2014, Papier kozo, encre  japonaise, pigments naturels, 140x74 cm © Emmanuel Denort

Lassaâd Metoui, Accessible, 2014, Papier kozo, encre
japonaise, pigments naturels, 140x74 cm © Emmanuel Denort

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Exhibition Dates:
September 18, 2018–January 6, 2019
Exhibition Location: The Met Breuer, Floor 4


For the last 50 years, artists have explored the hidden operations of power and the symbiotic suspicion between the government and its citizens. Opening at The Met Breuer on September 18, Everything Is Connected: Art and Conspiracy will be the first major exhibition to tackle this perennially provocative topic. Covering the period from 1969 to 2016 and featuring 70 works by 30 artists working in a range of media—from painting and sculpture to photography, video, and installation art—Everything Is Connected will present an alternate history of postwar and contemporary art that is also an archaeology of our troubled times.

The exhibition is made possible by Andrea Krantz and Harvey Sawikin.

Additional support is provided by James and Vivian Zelter.

There are incontrovertible aspects of the postwar period that created a fertile ground for the figure of conspiracy to loom so large. Foremost among these is the dramatic expansion in size and complexity of Western democracies and their attendant bureaucracies. Accordingly, the exhibition will focus on conspiracy in the West and stops short of the 2016 U.S. presidential election.

Tracing the simultaneous development of two kinds of art about conspiracy that form two sides of the same coin, the exhibition will be divided into two parts. The first is comprised of works by artists who hew strictly to the public record, uncovering hidden webs of deceit—from the shell corporations of New York’s then largest private landlord to the vast, interconnected networks encompassing politicians, businessmen, and arms dealers. The second part will feature artists who dive headlong into the fever dreams of the disaffected, creating fantastical works that nevertheless uncover uncomfortable truths in an age of information overload and weakened trust in institutions.

Lutz Bacher. The Lee Harvey Oswald Interview (detail), 1976. Collage in 18 parts. The Metropolitan Museum of Art, New York, Purchase, The Horace W. Goldsmith Foundation Gift, through Joyce and Robert Menschel and Anonymous Gift, 1999. Courtesy of the artist and Greene Naftali, New York
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THE FIRST MAJOR U.S. MUSEUM EXHIBITION OF TARSILA DO AMARAL
CELEBRATES THE ARTIST’S PIONEERING WORK AND LASTING INFLUENCE

Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil
February 11–June 3, 2018
Floor 2, The Paul J. Sachs Galleries
The Museum of Modern Art
11 West 53 Street,
New York, NY 10019

With Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil, The Museum of Modern Art presents the first monographic exhibition in the United States exclusively devoted to the pioneering work of Tarsila do Amaral (Brazilian, 1886–1973), a founding figure of Brazilian modernism. On view February 11 through June 3, 2018, the exhibition focuses on the artist’s production from the 1920s, tracing the path of her
groundbreaking contributions through approximately 120 works, including paintings, drawings, sketchbooks, and photographs drawn from collections across the US, Latin America, and Europe. Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil is organized by The Museum of Modern Art and the Art Institute of Chicago, by Luis Pérez-Oramas, former Estrellita Brodsky Curator of Latin American Art, The Museum of Modern Art, and Stephanie D’Alessandro, former Gary C. and Frances Comer Curator of International Modern Art, the Art Institute of Chicago; with Karen Grimson, Curatorial Assistant, Department of Drawings and Prints, The Museum of Modern Art. Prior to its presentation in New York, the exhibition was on view at the Art Institute of Chicago from October 8, 2017, through January 7, 2018.
Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil explores the radical vision of an artist who profoundly shaped modernist practice in Brazil, and was a key figure for subsequent generations of Brazilian artists working across media, from literature and theater to fashion and music. A long-overdue introduction to this major Brazilian modernist for North American audiences, the exhibition will survey Tarsila’s career from her earliest Parisian works to the emblematic modernist paintings produced upon her return to Brazil, ending with her large-scale, socially driven works of the early 1930s. Central to the exhibition is the reunion of three landmark paintings: The Black Woman (1923), Abaporu (1928), and Anthropophagy (1929), a transformational series of works that were last exhibited jointly in North America as part of the MoMA exhibition Latin American Artists of the Twentieth Century in 1993.

Tarsila do Amaral. Abaporu, 1928. Oil on canvas.  33 7/16 x 28 3/4 in. (85 x 73 cm). Collection MALBA,  Museo de Arte Latinoamericano de Buenos Aires.  © Tarsila do Amaral Licenciamentos.

Tarsila do Amaral. Abaporu, 1928. Oil on canvas.
33 7/16 x 28 3/4 in. (85 x 73 cm). Collection MALBA,
Museo de Arte Latinoamericano de Buenos Aires.
© Tarsila do Amaral Licenciamentos.

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Pendant Art Basel, la Fondation Beyeler présente sa grande exposition estivale «Bacon – Giacometti», qui propose une densité impressionnante de chefs-d'œuvre de ces deux artistes d'exception. La nouvelle présentation de la collection placée sous le thème «Nature + Abstraction» s'accompagne d'un important groupe d'œuvres de l'artiste américain Brice Marden issu de la Daros Collection. Certaines acquisitions d'artistes plus jeunes, comme par exemple un grand dessin sur tableau de Tacita Dean ou un ensemble d'œuvres de l'artiste brésilien Lucas Arruda, sont montrées au musée pour la première fois. Le parc de la Fondation Beyeler accueille quant à lui «This You» de Tino Sehgal, œuvre appartenant à la collection du musée.

Vendredi 15 juin, Hans Ulrich Obrist parlera avec Ernesto Neto de son installation monumentale GaiaMotherTree, présentée du 30 juin au 29 juillet 2018 à la gare centrale de Zurich. Ce projet dans l'espace public organisé par la Fondation Beyeler est accompagné d'une programmation riche et variée pour adultes et pour enfants comprenant musique, ateliers, visites et conférences. Au musée, l'artiste montre une sélection d'œuvres des années 1980 et 1990 ainsi que la sculpture Altar for a Plant (2017), conçue spécialement pour le Pavillon de la Fondation Beyeler.

Samedi 16 juin de 13h00 à 14h00, dans le cadre du lancement du livre «Psychoanalytikerin trifft Marina Abramović», l'auteur et psychanalyste Jeannette Fischer s'entretiendra avec Marina Abramović, figure clé du performance art. Cet événement est déjà complet.

Le Young Art Club de la Fondation Beyeler propose un programme éclectique «Art Basel Special», avec des visites guidées exclusives des différentes foires annexes d'Art Basel et une participation à divers événements associés. Rencontrer des artistes, visiter des foires, faire des découvertes en matière d'art et de design: le Young Art Club de la Fondation Beyeler propose tout ce qui constitue une parfaite semaine Art Basel. Pour en savoir plus: www.fondationbeyeler.ch/blog/young-art-club 

Vue d'installation «Bacon – Giacometti», Fondation Beyeler, Riehen/Bâle, 2018; © The Estate of Francis Bacon. Tous droits réservés / Succession Alberto Giacometti / 2018, ProLitteris, Zurich Photo Mark Niedermann
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La Fondation Beyeler a déposé le projet de construction pour son projet d'extension «Musée du nouveau parc» auprès de l'Inspection des constructions et de la restauration du canton de Bâle-Ville. L'extension conçue par l'Atelier Peter Zumthor comprend trois bâtiments dont la construction est prévue dans la partie sud du site: la Maison de l'art, un bâtiment abritant l'administration et les services, et un pavillon destiné à accueillir les manifestations. Avec le dépôt du projet de construction, c'est encore une étape qui est franchie dans la réalisation du projet d'extension. Cette extension fera voir le jour à un ensemble exceptionnel de bâtiments de musée et la surface de parc ouverte au public sera presque multipliée par deux. Musée d'art le plus visité de Suisse, la Fondation Beyeler souhaite continuer à l'avenir à répondre aux attentes des visiteurs et des habitants de la région envers un musée du 21ème siècle.

Le projet de construction a été remis à la commune de Riehen fin avril et le Conseil municipal l'a approuvé. La publication et la mise à disposition des plans s'effectueront à l'Inspection des constructions et de la restauration du canton de Bâle-Ville à partir du 30 mai 2018. La demande de construction en droit de superficie doit être transmise du Conseil municipal au Parlement communal de Riehen d'ici la fin de l'année 2018. Dans les meilleurs délais, la demande de permis de construire pourrait être déposée au plus tôt en 2019.

Le projet conçu par le célèbre architecte suisse Peter Zumthor s'adapte au caractère villageois de Riehen et s'intègre harmonieusement dans la nature environnante. Le parc Iselin-Weber, jusqu'alors privé, se transforme en nouveau parc public au cœur de Riehen. Cet écrin idyllique hébergera la nouvelle Maison de l'art, le bâtiment de musée à proprement parler. De vastes fenêtres panoramiques ouvrent la perspective sur les deux parcs, en direction Wiesenaue et vers le bâtiment de Renzo Piano. Le bâtiment de services, de dimensions plus modestes et destiné à l'administration et aux livraisons, se situe au début du Bachtelenweg et sera relié à la maison de l'art par un souterrain. Situé dans le parc Berower, au centre de l'ensemble, le pavillon de plain-pied dédié aux manifestations fait figure de pivot entre la nouvelle Maison de l'art, les bâtiments historiques du domaine Berower et le musée de Renzo Piano. Baigné de lumière, de jour il invite les visiteurs à un moment de détente, tandis que le soir il offre des conditions idéales pour des entretiens d'artistes, des concerts, des conférences, des projections de film et autres. Le projet d'extension comprend également une petite remise destinée aux bennes d'enlèvement et de recyclage des déchets, qui se situera à l'arrière des actuels bâtiments d'atelier. Parallèlement aux activités générales d'exposition, les manifestations culturelles et la médiation artistique font aujourd'hui partie des missions essentielles d'un musée attentif à ses visiteurs. Dans son projet, Peter Zumthor a mis en œuvre de manière idéale ces désirs et ces exigences de la maîtrise d'ouvrage. Dès le début, son projet a convaincu le public et les experts. Au cours de l'année passée, le projet a été approfondi et affiné.

Sam Keller, directeur de la Fondation Beyeler, commente: «Le projet a été accueilli par le public avec enthousiasme. Au terme de plus d'une année de révision avec la commune de Riehen et les autres autorités compétentes, et après avoir activement cherché le dialogue avec les riverains immédiats, nous espérons obtenir le feu vert pour la réalisation du projet d'extension, qui représentera un atout majeur pour la population de Riehen et toute la région de Bâle.»

Peter Zumthor

Projet Fondation Beyeler
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Le jeune PICASSO – période bleue et rose
Février à juin 2019

Dans ce qui sera à ce jour sa plus prestigieuse exposition, la Fondation Beyeler se consacre au jeune Picasso et à ses peintures et sculptures des périodes bleue et rose de 1901 à 1907. Les chefs-d'œuvre les plus splendides et les plus précieux de ces deux phases majeures, qui débouchèrent sur le cubisme, n'avaient jamais encore été présentés ensemble en Europe, et il est fort probable qu'un événement d'une telle envergure ne sera pas amené à se répéter.
 
Depuis des décennies, d'innombrables expositions sondent et mettent en lumière la vie et l'œuvre de Pablo Picasso. Il est incontestablement considéré comme l'un des artistes les plus fascinants du 20ème siècle. Ses compositions cubistes l'ont rendu immortel. Mais quel fut son cheminement artistique avant le cubisme? Qu'est-ce qui l'animait, qu'est-ce qui le marquait?
 
Fruit de nombreuses années de préparation, il s'agit à ce jour du projet d'exposition le plus complexe et le plus coûteux de l'histoire de la Fondation Beyeler et de l'un des points forts culturels de l'année 2019 en Europe. L'exposition est réalisée en coopération avec le Musée national Picasso et le Musée d'Orsay à Paris. La billetterie ouvrira en novembre 2018.
 
Sam Keller, directeur de la Fondation Beyeler, et Raphaël Bouvier, commissaire d'exposition à la Fondation Beyeler, vous invitent à en apprendre davantage sur l'exposition à venir et sur le jeune Picasso, grand artiste en devenir. Invitée d'honneur, Diana Widmaier Picasso, petite-fille de l'artiste, évoquera des souvenirs personnels de la vie de son grand-père, esquissant ainsi un portrait authentique et vivant de cette période précoce.
Première conférence de presse en compagnie de la petite-fille de l'artiste, Diana Widmaier Picasso.

Pablo Picasso, Acrobate et jeune arlequin, 1905, gouache sur carton, 105 x 76 cm, collection privée, © Succession Picasso / ProLitteris, Zürich 2018

Pablo Picasso, Acrobate et jeune arlequin, 1905, gouache sur carton, 105 x 76 cm, collection privée, © Succession Picasso / ProLitteris, Zürich 2018

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The EY Exhibition Picasso 1932 – Love, Fame, Tragedy
8 March – 9 September 2018
TATE MODERN
Bankside, London SE1 9TG, Royaume-Uni

http://www.tate.org.uk/

In March 2018 Tate Modern will stage its first ever solo exhibition of Pablo Picasso’s work, one of the most significant shows the gallery has ever staged. The EY Exhibition: Picasso 1932 – Love, Fame, Tragedy will take visitors on a month-by-month journey through 1932, a time so pivotal in Picasso’s life and work that it has been called his ‘year of wonders’. More than 100 outstanding paintings, sculptures and works on paper will demonstrate his prolific and restlessly inventive character. They will strip away common myths to reveal the man and the artist in his full complexity and richness.

1932 was an extraordinary year for Picasso, even by his own standards. His paintings reached a new level of sensuality and he cemented his celebrity status as the most influential artist of the early 20th century. Over the course of this year he created some of his best loved works, including Nude Woman in a Red Armchair, an anchor point of Tate’s collection, confident colour-saturated portraits and Surrealist experiments, including thirteen seminal ink drawings of the Crucifixion. His virtuoso paintings also riffed on the voluptuous sculptures he had produced some months before at his new country estate.

In his personal life, throughout 1932, Picasso kept a delicate balance between tending to his wife Olga Khokhlova and their 11-year-old son Paulo, and his passionate love affair with Marie-Thérèse Walter, 28 years his junior. The exhibition will bring these complex artistic and personal dynamics to life with an unprecedented range of loans from collections around the world, including many record-breaking works held in private hands. Highlights will include Girl before a Mirror, a signature painting that rarely leaves The Museum of Modern Art, and the legendary The Dream, a virtuoso masterpiece depicting the artist’s muse in dreamy abandon, which has never been exhibited in the UK before.

Pablo Picasso The Dream (Le Rêve) 1932,  Private Collection © Succession Picasso/DACS, London 2018

Pablo Picasso The Dream (Le Rêve) 1932,
Private Collection
© Succession Picasso/DACS, London 2018

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La Fondation Guillaume Corneille

a le plaisir de vous informer de la prochaine grande rétrospective consacrée au groupe Cobra au Musée de Pont-Aven (France)
du 10 mars 2018 au 10 juin 2018
Cobra, la couleur spontanée

Musée de Pont-Aven
Place Julia
29930 Pont-Aven
Tél : 02.98.06.14.43
museepontaven(at)cca.bzh
www.museepontaven.fr 
www.facebook.com/museedepontaven 
Twitter : @museepontaven

L'exposition, Cobra, la couleur spontanée, réunit la plupart des membres danois, néerlandais, belges, français, islandais, anglais et américains qui ont pris part aux activités du groupe Cobra qui fut une véritable explosion artistique et poétique au cœur du XXème siècle.
 
À Pont-Aven, le cri de couleur et de liberté de Cobra entre en résonance avec l'héritage de Paul Gauguin. En déclarant qu'il fallait tout oser et qu'il était à la fois « un enfant et un sauvage », Paul Gauguin apparaît pour certains des jeunes peintres de Cobra comme un véritable modèle à l'instar de Corneille et Theo Wolvecamp se rendent en 1950 à Pont-Aven et à Concarneau. Les formes simples et les aplats de tons purs des œuvres de Paul Gauguin ouvrent ainsi la voie aux couleurs libres et spontanées des peintres de Cobra.

Rétrospective Cobra Musée de Pont Aven
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Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon
Thierry Braconnier, Adjoint au Maire délégué à la Culture et à la Vie associative
Caroline Quaghebeur, Directrice de la Maison des Arts sont heureux de vous inviter au vernissage de l'exposition

MÂKHI XENAKIS Catharsis

le mercredi 16 mai 2018 de 19h à 21h

Réalisées au crayon, au pastel, à l'aquarelle ou à l'encre, les œuvres de Mâkhi Xenakis laissent apparaître les étapes d'une vie faite de doutes et de prises de risque, oscillant entre peurs et apaisements.
Des Petites bonnes femmes de 1987 marquant la renaissance d'une jeune artiste en quête d'elle-même, nous cheminons dans un monde en constante métamorphose. Les arachnées succédant aux gouffres avant de glisser vers un univers marin. Ces passages suivent un mécanisme interne, personnel et, au moment de leur création, inconscient.
L'écrivain Mâkhi Xenakis s'intéresse depuis longtemps au processus créatif. Publiés chez Actes Sud, les livres qu'elle consacre à son père, le compositeur, architecte et mathématicien Iannis Xenakis, ainsi qu'à l'artiste franco-américaine Louise Bourgeois, en traitent des multiples facettes.
A travers les recherches et réflexions menées autour de ces deux figures tutélaires, c'est également son propre parcours d'artiste que révèlent ses écrits et dont témoigne, pour la première fois ici, la réunion d'une trentaine d'œuvres graphiques mais aussi de sculptures.
Avec cette conviction que l'art sauve de la folie, Mâkhi Xenakis nous entraîne dans son histoire, côtoyant sans cesse les grandes figures mythiques qui ont nourri son enfance. Jamais néanmoins ce travail ne l'isole de l'autre, dont elle se fait la voix lorsqu'elle en ressent la nécessité, se faisant alors miroir d'autres histoires.
Ce projet a été sélectionné par la commission mécénat de la Fondation Nationale des Arts Graphiques et Plastiques qui lui a apporté son soutien.

Maison des Arts
11 rue de Bagneux - 92320 Châtillon
01 40 84 97 11

http://maisondesarts-chatillon.fr/

Exposition ouverte du mardi au dimanche, de 14h à 18h
jusqu'au 24 juin 2018
Entrée libre

Accès: métro ligne 13 - arrêt "Châtillon/Montrouge" puis bus n°388 arrêt "Mairie de Châtillon"

Mâkhi Xenakis, Les rencontres impossibles, 2018, ciment teinté, acier, 2m (détail).

Mâkhi Xenakis, Les rencontres impossibles, 2018, ciment teinté, acier, 2m (détail).

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VIALLAT - HAAS - ERBELDING - COSKUN exposition SIGNES SENSIBLES

Fascination contemporaine pour l'art pariétal
au Château du Val Fleury

vernissage de l'exposition sur invitation
SIGNES SENSIBLES
le jeudi 17 mai 2018 à 19h
en présence des artistes
Claude Viallat - Michel Haas - Patricia Erbelding - Coskun

Visite commentée par , commissaire de l'exposition Laurence d'Ist Un catalogue est édité pour l'occasion
Exposition du 15 mai au 8 juillet 2018
Du mardi au samedi de 14h à 18h
Dimanche de 14h à 18h30
Ouverture le dimanche 20 mai 2018
Entrée libre


Château du Val Fleury
Allée du Val FLeury
91190 Gif-sur-Yvette (Essonne)

Renseignements : 01 70 56 52 60 culturel(at)mairie-gif.fr
Programme détaillé : www.ville-gif.fr

VIALLAT - HAAS - ERBELDING - COSKUN - SIGNES SENSIBLES
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CÉSAR LA RÉTROSPECTIVE 13 DÉCEMBRE 2017 – 26 MARS 2018 GALERIE 1, NIVEAU 6

La rétrospective de l’oeuvre de César présentée par le Centre Pompidou coïncide avec le vingtième anniversaire de la mort de l’artiste. Illustre dès l’âge de 25 ans, César a vécu plus de cinquante années de création. Il est la dernière figure majeure du Nouveau Réalisme dont l’oeuvre n’a pas encore fait l’objet d’une rétrospective au Centre Pompidou. À travers une centaine d’oeuvres présentées dans la plus vaste de ses galeries d’expositions, le Centre Pompidou propose de découvrir, dans toute son intégrité et sa richesse, le parcours de l’un des plus grands sculpteurs de son temps. Avec les oeuvres majeures les plus célèbres, comme à travers certains cycles plus méconnus, cette rétrospective présente un ensemble inédit à ce jour.

Né à Marseille en 1921, César commence un apprentissage qui le conduit à Paris à l'École nationale supérieure des Beaux-arts. À Paris, il croise entre autres, Alberto Giacometti, Germaine Richier, Pablo Picasso et se mêle à la scène artistique d'alors, côtoyant les artistes de Saint-Germain-des-Prés et de Montparnasse. Très tôt, il se fait remarquer par une technique qui lui est propre et lui apporte la célébrité : ce sont les « Fers soudés », les figures humaines et autres « Vénus » ainsi que le bestiaire qu'il invente, peuplé d'insectes et d'animaux de toutes sortes qui l'amènent à sa première exposition personnelle, galerie Lucien Durand en 1954. Bientôt célèbre, son oeuvre est exposée de Londres à New York.

CESAR Blu Francia 490 1998 Compression d’automobile, tôle peinte 170 × 84 × 80 cm Collection particulière © SBJ / Adagp, Paris 2017 Photo © ASP Alex Soto Photo

CESAR Blu Francia 490, 1998
Compression d’automobile, tôle peinte
170 × 84 × 80 cm
Collection particulière
© SBJ / Adagp, Paris 2017
Photo © ASP Alex Soto Photo

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