L'artiste surréaliste portugais Santiago Ribeiro expose à Paris parmi les grands artistes français et japonais. Il a été invité par l'artiste français Hugues Gillet. Du 2 au 23 septembre, la galerie JPHT à Paris présentera des œuvres de 14 artistes du Japon, de la France et... du Portugal. Santiago Ribeiro agit à nouveau en tant que pionnier étant le seul Portugais à être invité à ce groupe de grands artistes français et japonais. Les plus grandes expositions en France et au Japon seront présentes au programme de ce groupe. Liste des artistes: Bruno Baratier, Yo Coquelin, Francis Coffinet, Michel Dubré, Hugues Gillet, Marc Halingre, Yoshifumi Hayashi ???, Miyako Ito ?? ? ? ?, Jean-Pierre Monnot, Thierry Van Quickenborne, Santiago Ribeiro, Rik-Art, Roku Sasaki ? ? ? ? ?, Hiroya Yasukoshi ? ?? ? ?. Ouvert du mercredi au dimanche, de 13h00 à 20h00. Entrée gratuite |
Vente oeuvres de Gully
Utrillo solitude urbaine GALERIE ALEXIS PENTCHEFF
« Utrillo, solitude urbaine » La Galerie Alexis Pentcheff présentera la première rétrospective de l'oeuvre de Maurice Utrillo à Marseille, du 22 septembre au 04 novembre 2017. Aiguillon actif de la vie culturelle marseillaise depuis 2009, elle proposera de découvrir à cette occasion une rare sélection de trente-neuf oeuvres de cette figure majeure de la peinture du début du XXème siècle. Ces oeuvres, toutes présentées à la vente et issues de collections privées contribuent à jeter un regard réactualisé sur l'odyssée singulière de celui que l'on considère comme le chantre du paysage montmartrois. |
William Klein Galerie de La Béraudière
WILLIAM KLEIN galerie(at)delaberaudiere.com Un an à peine après l’ouverture de son incroyable espace bruxellois, la Galerie de la Béraudière est heureuse d’annoncer une première exposition dédiée à la photographie et consacrée à une figure vivante de ce médium : le New-Yorkais William Klein. Considéré comme l’un des photographes les plus importants de sa génération, William Klein a imposé son style à contre-courant des références de l’époque : révolutionnaire pour le choix de ses sujets, ses cadrages atypiques, ses flous volontaires,... l’artiste a considérablement fait évoluer le genre photographique. Il décrit son œuvre comme étant « un cours intensif de ce qu’il ne fallait pas faire dans la photographie » (a crash course in what was not to be done in photography). Début des années 50, il commence un travail de documentation sur sa ville natale et prend des photos de la vie bouillonnante des rues de New-York. De 55 à 65, Klein revisite la photo de mode et y apporte une influence décisive en photographiant les mannequins hors des studios aseptisés, sans le regard des directeurs artistiques des maisons de couture et en les confrontant aux paysages et à la vie urbaine. Des icônes telles que Audrey Hepburn, Sophia Loren, Serge Gainsbourg ou encore Anouk Aimée ont été immortalisées par l’artiste. Plusieurs générations de top-modèles sont également passées devant son objectif, des beautés anonyme des années 50 à Veruschka ou Kate Moss... images gravées dans la mémoire collective. |
William KLEIN, Anouk Aimee, Paris, 1961 (vertical) |
UPPER CONCEPT STORE expose Olivier Megaton
UPPER CONCEPT STORE Présente dans sa Galerie les oeuvres d’Olivier Megaton Réparti sur trois étages au cœur de l'Île Saint-Louis, Upper Concept Store est pensé pour les amoureux du beau et de l'utile, pour les amateurs d'art. C'est Jacqueline Huang qui a eu l'idée de ce concept store atypique qui renvoie à l'idée d'une ascension sans fin. Ambitieuse et passionnée par l'art, cette designer, architecte d'intérieur et créatrice française d'origine chinoise, est tombée sous le charme de ce lieu au cœur de l'Île Saint-Louis. Elle a ouvert les portes d'Upper Concept Store en septembre 2016. Elle s'occupe de l'architecture du lieu, de la boutique, des évènements et enfin la direction de la galerie. Ce lieu est devenu le repère incontournable des artistes, stylistes, designers ou encore cinéastes. Connu internationalement du grand public pour avoir réalisé Le Transporteur 3, Colombiana ou encore les deux derniers Taken, Olivier Megaton n’est pas seulement réalisateur mais aussi peintre. Entre pochoirs, bombes ou encore peintures; il exprime son art sous différentes formes. |
Photographic Surrealism 1920-1950 UBU GALLERY NEW-YORK
Les Mystères de la chambre noire: Photographic Surrealism 1920-1950 June 5 — July 28, 2017 Ubu Gallery is pleased to announce an exhibition of photographic images by thirty-three avant-garde artists who experimented with surrealist methods. Utilizing techniques including photomontage, multiple exposures, combined negatives, brülage, photograms and the disarming juxtaposition of disparate images, the artists created unsettling realities. The artists embraced photography as a new medium in the 20th century in part because of the credibility of photography; the idea that the camera does not lie, lent itself to challenging our assumptions about reality. |
Denise Bellon, Mannequin par André Masson Exposition Internationale du Surréalisme, Paris, January 17-February 24, 1938, Vintage gelatin silver print, 9 3/4 x 9 3/8 inches (24.8 x 23.8 cm), Stamped on verso |
Flatland Gallery presents Hendrik Kerstens & Ruud van Empel
PHOTO BASEL Focus Hendrik Kerstens Flatland Gallery is proud to present two very rare works of Hendrik Kerstens In the work of Dutch photographer Hendrik Kerstens (1956) everything breathes Dutchness. It is in the hemisphere of the radically realist paintings of Dutch masters that Kerstens explores the photograph as a surface, a platform to study contemporary ordinary objects in historical portrait tradition. In this, his daughter Paula is a continuous element in his photographs, wearing down-to-earth styles of headwear made of or consisting of simple materials or objects as aluminium foil, bubble wrap, wet towel, plastic bag, or paper roll. Kerstens appreciates how those common, sometimes, disposable objects can take a rich character, switching their ordinary and pure functional purpose to a permanent, frisky, vivid and sustainable impression. Taken out of their original context those, now, versatile objects become multifunctional and more valuable. |
Cosy, 2012, 62,5 x 50 cm, raw/color negative 4/5 inch - ultrachrome, edition of 5 + 2 AP, available AP 1 © Hendrik Kerstens |
Gérard Schlosser Galerie Laurent Strouk
Gérard SCHLOSSER
Les codes techniques du peintre sont toujours identiques et toujours recommencés. Une trame narrative supposée est plus ou moins suggérée par les titres incisifs, fragmentaires, au sens parfois équivoque : « Elle est belle », « Tu sais où il est », « C’est pas lui », « Fais pas le con », « C’est pas si mal », « Sur le mur »… Ils renforcent un flottement recherché qui suggère une histoire incertaine qui peut se prolonger hors du cadre. Ces petites voix qui se font entendre rappellent à chacun un moment de vie fugace, banal qui reste inscrit dans des souvenirs d’instants authentiquement vécus. Ces citations de vie, ces passages du temps ensevelis dans la mémoire revivent dans l’actualité de la peinture. Avec sa dernière série de 27 tableaux présentée à la galerie Laurent Strouk du 28 avril au 27 mai 2017, Gérard Schlosser semble s’exposer dans un multiple jeu de miroirs quand il propose des personnages de dos qui s’inscrivent dans des fragments de toiles de Fernand Léger. Devant les œuvres du créateur du Modernisme, ces figures s’interrogent, nous interrogent et proposent une mise en abîme de la peinture. |
Gérard Schlosser Une illusion 2016 |
Daniel Dezeuze Claude Viallat Galerie Catherine ISSERT
Daniel Dezeuze // Claude Viallat Cet été, les musées de la ville de Nice célèbrent ses « Ecoles de Nice » (les mouvements artistiques ayant animé la Côte d’Azur après la seconde guerre mondiale et jusqu’aux années quatre-vingt) : en écho à cette manifestation, la galerie Catherine Issert consacre une exposition à deux acteurs majeurs de cette période, Daniel Dezeuze et Claude Viallat. Ainsi, Catherine Issert rappelle le rôle important que sa galerie a joué dans l’émergence des artistes du mouvement Supports/Surfaces. En effet, l’ouverture en 1975 de la galerie se fit avec la complicité de Claude Viallat, alors âgé de 39 ans et entouré pour l’occasion de Bernard Pagès, Patrick Saytour, Toni Grand et Christian Jaccard ; suivie en 1976 par une exposition de Daniel Dezeuze, alors âgé de 34 ans. A cette époque, le mouvement Supports/Surfaces, fondé par Dezeuze, Saytour et Viallat, adopte une posture critique vis-à-vis du tableau et fait de l’analyse de ses constituants essentiels – le support et la surface – les éléments mêmes de sa réflexion plastique. Le groupe est à peine formé que déjà il se délite ; il n’aura existé que de 1968 à 1971, pourtant les questionnements fondamentaux qu’il aura engendrés influenceront longtemps, et peut-être aujourd’hui encore, la création contemporaine. En 1970, Daniel Dezeuze et Claude Viallat furent à l’initiative de l’exposition emblématique du groupe à l’ARC (Musée d’Art Moderne de la ville de Paris) ; quarante ans après, ces deux artistes font toujours preuve d’une énergie indéniable en prolongeant leur quête d’une peinture renouvelée et décloisonnée. |
Claude Viallat |
RAYK GOETZE GALERIE CHARRON - PARIS
RAYK GOETZE GALERIE CHARRON - PARIS La Galerie Charron, fondée en 2007 située rue Volta au cœur du Marais, se singularise dans le paysage artistique parisien par un fervent engagement à la création d'un pont artistique entre la France et l'Allemagne. Du 1er juin au 7 juillet 2017 la Galerie Charron invite Rayk Goetze, peintre allemand issu de la Nouvelle Ecole de Leipzig au travers d'une exposition intitulée Barbaric Splendour. L'oeuvre de Rayk Goetze porte sur l'appropriation d'un nouveau langage visuel dans un cadre historique et questionne ainsi l'identité d'une peinture contemporaine tout en dévoilant ses inspirations aux grands Maîtres de la Renaissance, du Maniérisme et du Baroque. En partenariat avec les Jeudis Arty, vernissage le 1er juin de 18h à 22h |
©Rayk Goetze, Traumfrau, Huile et acrylique sur toile 2017 |
KARINE BOULEAU Maison des Arts Châtillon
Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon Diplômée de l'Ecole des Beaux-Arts de Paris en 2012 (atelier Jean-Luc Vilmouth), Karine Bouleau mène un travail cohérent et délicat autour du jeu et des possibilités d'interactions sociales qu'il engendre. Elle extrait tout ornement d'objets ou de mobiliers sortis de l'enfance, mettant ainsi en exergue leur structure. Ils deviennent alors des modules que l'on peut recomposer à l'envi pour en faire ce que Karine Bouleau nomme « des lieux d'échanges et supports d'imaginaire ». Ses recherches prennent des aspects multiples : dessins, peintures, installations, sculptures ou encore vidéo, alliant savoir-faire technique et poétique de la fragilité. Pour cette première exposition personnelle, Karine Bouleau présente également des œuvres très récentes explorant la thématique du voyage. L'ensemble se lit alors comme les pièces d'un puzzle que l'on voudrait ne jamais achever. Le soir du vernissage une navette pour le retour au métro sera mise en place |