A l’occasion du centième anniversaire de la naissance du photographe suisse Werner Bischof (1916-1954), le Musée de l’Elysée présente une rétrospective de son travail intitulée Point de vue, produite par Magnum Photos (Paris). L’exposition propose près de 200 tirages originaux, parfois inédits, choisis dans la collection du Werner Bischof Estate (Zurich). L’exposition présentera également des planches-contacts, des livres, des magazines et des lettres personnelles. Une installation multimédia créée pour la circonstance permettra une approche contemporaine de son travail. L’exposition présentera l’ensemble de son œuvre en Suisse (1934-1944), en Europe (1945-1950), en Asie (1951-1952) et en Amérique du Nord et du Sud (1953-1954). |
Breast with grid, Zurich, Switzerland, 1941 © Werner Bischof / Magnum Photos / Courtesy Musée de l'Elysée |
Ecrits sur l'art
Jacques Grinberg Maison des Arts Châtillon
Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon Exposition ouverte tous les jours sauf le lundi, de 14h à 18h jusqu'au 28 février 2016. Né en 1941 à Sofia (Bulgarie), Jacques Grinberg et sa famille s’installent en Israël en 1954. Scolarisé dans un kibboutz, il part, à 17 ans, étudier aux Beaux-Arts de Tel-Aviv. En 1961, il s’installe à Paris pour se confronter à la capitale des arts. Il fait alors partie des précurseurs de la Nouvelle Figuration mais s’en détache rapidement. Jacques Grinberg suit alors sa propre voie avec, en fil rouge, la volonté de dénoncer les oppressions : « Je veux peindre pour les autres ». |
Jacques Grinberg Huit (ou Autel) 1974 encre de chine, 50 x 65 cm |
Pour cette exposition, la Maison des Arts a sélectionné un ensemble d’oeuvres retraçant le parcours de l’artiste de 1960 à 2000 témoignant de ses principales sources d’inspiration (politiques, philosophiques, culturelles, spirituelles) et de la vigueur de leurs expressions.
En collaboration avec l'association "L'Homme bleu" |
Picasso Sculpture The Museum of Modern Art New York
Picasso Sculpture The Alfred H. Barr, Jr. Painting and Sculpture Galleries, fourth floor Picasso Sculpture offers a broad survey of Pablo Picasso’s work in three dimensions, spanning the years 1902 to 1964. The largest museum presentation of Picasso’s sculptures to take place in the United States in nearly half a century, the exhibition brings together approximately 140 sculptures from Picasso’s entire career via loans from major public and private collections in the U.S. and abroad, including 50 sculptures from the Musée national Picasso–Paris. With many works on view for the first time in the U.S., it provides an opportunity to explore a rarely seen aspect of Picasso’s long and prolific career. The installation occupies the entirety of MoMA’s fourth floor galleries, allowing sufficient space for the sculptures to be viewed fully in the round. Picasso Sculpture is presented by MoMA in collaboration with the Musée national Picasso–Paris, and is organized by Ann Temkin, The Marie-Josée and Henry Kravis Chief Curator of Painting and Sculpture, and Anne Umland, The Blanchette Hooker Rockefeller Curator of Painting and Sculpture, MoMA; with Virginie Perdrisot, Curator of Sculptures and Ceramics at the Musée national Picasso–Paris. |
Cover of Picasso Sculpture, published by The Museum of Modern Art, New York |
Charlotte Salomon Musée Masséna Nice
MUSEE DE L'ELYSEE LAUSANNE Mot de Tatyana Franck
Mot de Tatyana Franck 2015 fut une année riche en événements pour le Musée de l’Elysée. |
Tatyana Franck, Nuit des images 2015 © Gregory Collavini |
La Fondation Beyeler fête les 100 ans de la toile Carré noir de Kasimir Malevitch
Riehen/Bâle. Voici exactement un siècle que le 19 décembre 1915, la galeriste Nadejda Dobytchina inaugurait dans son appartement privé de Saint-Pétersbourg (alors, Petrograd) « La dernière exposition futuriste de tableaux 0,10 ». Cent ans plus tard, la Fondation Beyeler rend hommage à la naissance du Carré noir de Kasimir Malevitch, qui était au coeur de cette présentation. La « Joconde de l’art non figuratif » de Malevitch est encore présente jusqu’au 10 janvier à la Fondation Beyeler, où elle constitue le centre de la reconstitution critique « À la recherche de 0,10 », consacrée aux artistes de l’avant-garde russe. Le samedi 19 décembre 2015, le musée célèbrera entre 10 et 18 heures les cent ans de la présentation originelle de l’énigmatique tableau de Malevitch. Des visites guidées thématiques en plusieurs langues, un atelier de maquillage suprématiste, des lectures de poèmes futuristes russes, des romances musicales russes et un bar à vodka avec DJ font partie du programme festif du centenaire du Carré noir de Kasimir Malevitch. Cette date marque en effet l’inauguration de l’exposition de 1915 et la toute première présentation du Carré noir. |
Illustration : Photographie d’Olga Rozanova, Xénia Bogouslavskaïa et Kasimir Malevitch à l’exposition « 0,10 », Petrograd, 1915. Archives nationales russes de littérature et d’art, Moscou. |
MAMAC Nice Le précieux pouvoir des pierres
Le précieux pouvoir des pierres Marina Abramović, Michel Blazy, George Brecht, James Lee Byars, Pierre Laurent Cassière, Marion Catusse, Marine Class, Hubert Duprat, Jean Dupuy, Paul Armand Gette, Isabelle Giovacchini, Guillaume Gouerou, Laurent Grasso, Alicja Kwade, Didier Mahieu, Aurélien Mauplot, Éric Michel, Damián Ortega, Ève Pietruschi, Emmanuel Régent, Evariste Richer, Jean-Philippe Roubaud, Bettina Samson, Valentin Souquet. MAMAC Vernissage : Les minéraux suscitent la curiosité et l’émerveillement collectifs. Qui, petit ou grand, n’est pas parti à la chasse aux cailloux, collecter les spécimens les plus curieux pour les arranger en une constellation de petits trésors ? Cet attrait oscille entre la simple curiosité d’amateur et la contemplation esthétique, entre la croyance spirituelle ou magique et l’expérimentation scientifique. Si cette fascination en art s’inscrit dans une histoire qui reste encore à écrire, aujourd’hui force est de constater l’engouement des artistes actuels pour la minéralogie et plus spécifiquement pour le précieux pouvoir des pierres. Certains artistes les utilisent brutes tels des ready-mades re-sensibilisés, les collectent, les mettent en scène ou les représentent, quand d’autres les soumettent à des expérimentations, les transforment et produisent des simulacres.
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Légende et crédit photo : Alicja Kwade (1979, Katowice) Lucy, 2004-2006 Charbon noir pressé et agent adhésif 14 x 14 x 18 cm Courtesy KÖNIG GALERIE, Berlin © Alicja Kwade - Photo : Matthias Kolb |
Moussa Sarr Galerie de la Marine Nice
Exposition Moussa Sarr Corpus Delicti février - 3 avril 2016 Vernissage > Vendredi 5 février à 19 heures En présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l'art moderne et contemporain & de l'artiste Galerie de la Marine 59, quai des Etats-Unis – Nice - www.nice.fr Du 6 février au 3 avril 2016, la Ville de Nice invite le jeune vidéo-performeur Moussa Sarr, à présenter son exposition Corpus Delicti à la Galerie de la Marine : 6 vidéos, 9 photographies, une installation et une sculpture. Le vernissage de l'exposition aura lieu vendredi 5 février à 19 heures. Jeune artiste émergent, Moussa Sarr est un vidéo-performeur et photographe. Né à Ajaccio en 1984, d'origine sénégalaise, après son diplôme aux Beaux Arts de Toulon et au Fresnoy, ce jeune artiste doué connait une ascension rapide. Ses vidéos ont intégré en 2014 des collections prestigieuses telles que celles du Fonds National des Arts Plastiques à Paris, et Artemis / François Pinault. |
Légende et crédit photo : Moussa Sarr Corpus delicti, photographie, 153 x 125 cm, 2014 |
The Metropolitan Museum of Art Dramatic Indian Sculptural Masks
The Metropolitan Museum of Art | 1000 5th Ave at 82nd Street | New York | NY | 10028 Dramatic Indian Sculptural Masks to be Featured in Exhibition on Theme of Vishnu at Metropolitan Museum Exhibition dates: December 19, 2015–June 5, 2016 Five rare wooden sculptural masks made in India—recently acquired by The Metropolitan Museum of Art—will be the highlighted works in the special exhibition Encountering Vishnu: The Lion Avatar in Indian Temple Drama, opening at the Met on December 19. Worn by actors in dramatic plays that were presented during religious festivals in southern India, the masks represent a largely unrecorded category of late medieval devotional art from India. The appearances of Vishnu in many guises, known as avatars, are most famously celebrated in his Ten Avatars (Dasavatar). In this exhibition, Vishnu's Narasimha (man-lion) appearance will be celebrated with several dramatic sculptural depictions. They all explore the theme of Vishnu in his man-lion form, revealing himself at the court of an evil king in response to the king's attempts to slay his own son for his unwavering devotion (bhakti) to Vishnu. A frightful battle ensues in which Narasimha finally overcomes the protective magic that the evil King Hiranyanatakam surrounds himself with, and Narasimha disembowels the king. Order is thus restored to the universe. |
Narasimha, South India (Tamil Nadu), |
This narrative is dramatically represented in sculptures and painting, and when staged it is given heightened drama by the wearing of these powerfully expressive masks. This temple drama, known as Hiranyanatakam, is still performed in the Kaveri delta region of Tamil Nadu, in villages around Thanjavur in southern India. Along with the masks, the exhibition will present works in bronze, sandstone, and wood, as well as miniature paintings, lithographic devotional prints, and early photography, all of which illuminate the theme of Vishnu's divine appearances. Dating from the 6th to the 20th century, the 30 works will be drawn from the Met's collection, as well as private collections, and will include an extraordinary seated sandstone Narasimha from the sixth or seventh century. The exhibition is made possible by The Miriam and Ira D. Wallach Foundation Fund. The exhibition will be organized by John Guy, Florence and Herbert Irving Curator of the Arts of South and Southeast Asia. |
Gérard Fromanger CENTRE POMPIDOU
Gérard fromanger Le Centre Pompidou consacre une exposition à l’oeuvre de Gérard Fromanger. Entre 1964 et 2015, à travers un parcours thématique composé d’une cinquantaine de peintures, de deux sculptures, d’une dizaine de dessins et d’un film, dans les espaces réunis de la galerie du musée et de la galerie d’art graphique, cette rétrospective inédite invite le public à découvrir les différentes expressions d’une dualité au coeur de l’art de Gérard Fromanger : la passion picturale et le souci du monde. |
Le coeur fait ce qu’il veut, Peinture-Monde, |