Pierre Alechinsky
Travaux de l'année 2018
dont un ensemble de 12 peintures pour imager Astrologie poétique de Léon-Paul Fargue
22 novembre 2018 – 19 janvier 2019 au 38 avenue Matignon
Vernissage jeudi 22 novembre à partir de 18h

Galerie Lelong & Co.
13, rue de Téhéran, 75008 Paris
38, avenue Matignon 75008 Paris
info(at)galerie-lelong.com  / + 33 1 45 63 13 19  /  
www.galerie-lelong.com


L'année 2018 aura été une année riche en reconnaissance pour l'œuvre de Pierre Alechinsky. Elle a débuté, en janvier, par l'achèvement et l'entrée au Mobilier National de sa grande tapisserie Le Volturno, puis s'est poursuivie en octobre par la remise du Præmium Imperiale pour la peinture. Ce prix prestigieux, créé au Japon en 1989, souvent surnommé « le Nobel des Arts », rend hommage à la création contemporaine la plus exigeante et vient récompenser l'ensemble d'une œuvre.

Pierre Alechinsky Coup de foudre, 2018, encre de Chine  et acrylique sur papier marouflé, 165 x 217 cm

Pierre Alechinsky Coup de foudre, 2018, encre de Chine
et acrylique sur papier marouflé, 165 x 217 cm

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Marc Desgrandchamps
Latona
22 novembre 2018 – 19 janvier 2019
Vernissage jeudi 22 novembre à partir de 18h à la librairie

Galerie Lelong & Co.
13, rue de Téhéran, 75008 Paris
38, avenue Matignon 75008 Paris
info(at)galerie-lelong.com  / + 33 1 45 63 13 19  /  
www.galerie-lelong.com 

Marc Desgrandchamps vient de créer trois nouvelles lithographies pour Lelong Editions sur les presses de l'atelier de Michael Woolworth à Paris. Le titre de ces lithographies, Latona, se trouve discrètement glissé dans chacune d'elles. Un choix, loin d'être anodin puisque derrière ce nom, se mêlent souvenirs, culture populaire et artistique ; ce même mélange de références éparses que l'on retrouve souvent dans ses compositions picturales.
 
Latona est un thème de jazz enregistré en 1965 par l'organiste Big John Patton et qu'affectionne l'artiste. Sur la pochette de l'album (Let'em roll) on observe une silhouette de femme, presqu'une ombre, à la posture exagérément cambrée. Image qui n'est pas sans évoquer les figures qui traversent régulièrement son œuvre. Mais ce titre renvoie aussi au mythe de Latone : déesse persécutée par Junon, obligée d'errer à travers le monde et de se cacher entre ciel et terre pour donner naissance à Diane et Apollon. Un mythe d'errance qui semble traverser nombre des œuvres de l'artiste.

 Marc Desgrandchamps Latona 1, 2 et 3, 2018,  lithographie, 35 ex, 70 x 50 cm.

Marc Desgrandchamps Latona 1, 2 et 3, 2018,
lithographie, 35 ex, 70 x 50 cm. 

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Etel Adnan
Parler aux fleurs
22 novembre 2018 – 19 janvier 2019
Vernissage jeudi 22 novembre à partir de 18h au Salon

Galerie Lelong & Co.
13, rue de Téhéran, 75008 Paris
38, avenue Matignon 75008 Paris
info(at)galerie-lelong.com  / + 33 1 45 63 13 19  /  
www.galerie-lelong.com
Pour cette exposition, Etel Adnan a réalisé une douzaine de petits tableaux ronds, denses, vivants, à la touche souple et ample, très nouvelle, avec un seul sujet : des fleurs. Interrogée sur le pourquoi de ce thème, elle répond : « c'est venu ainsi ». La forme de ces fleurs rondes s'intègre facilement dans un cercle : un cercle dans un cercle. Pour compléter ce groupe de tondi, elle a ajouté quelques tableaux rectangulaires, en deux couleurs seulement, des sortes de dessins peints.
 
Pour accompagner l'exposition, la Galerie Lelong & Co. publie un petit livre qui associe aux peintures un choix de poèmes extraits du Cycle des tilleuls (2012).

Etel Adnan Jardins 3, 2018, huile sur toile, Ø 30 cm.

Etel Adnan Jardins 3, 2018, huile sur toile, Ø 30 cm.

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Fabienne Verdier
Ainsi la nuit
22 novembre 2018 – 19 janvier 2019
Vernissage jeudi 22 novembre à partir de 18h

Galerie Lelong & Co.
13, rue de Téhéran, 75008 Paris
38, avenue Matignon 75008 Paris
info(at)galerie-lelong.com  / + 33 1 45 63 13 19  /  
www.galerie-lelong.com
Pour sa première exposition de peintures à la Galerie Lelong & Co., Fabienne Verdier a choisi deux nouvelles séries de tableaux qu'elle présente ainsi :
 

« La première série Ainsi la nuit est inspirée du quatuor de Henri Dutilleux. J'avais travaillé en 2017 avec un jeune quatuor à la chapelle de la Visitation (Aix-en-Provence) que nous avions transformée en atelier laboratoire pendant plusieurs semaines. A l'écoute de cette pièce fascinante, les ondulations nocturnes, les pizzicati des cordes, ont déclenché dans mon esprit cette vision de scintillement, crépitement, glissando et lignes de contre-points. Cette série est le fruit de deux ans de travail au cours desquels les structures abstraites de la musique ont peu à peu nourri l'expérience picturale. La seconde série, Energie blanche, est une évocation des énergies cinétiques qui nous entourent. J'ai imaginé, sur des diptyques verticaux, un vagabondage dans la dynamique des fluides, les courants de l'air ou du vent, les ondes des océans, des fleuves. Turbulence et mouvements parfois tempétueux des forces de la nature. Une vision des manifestations atmosphériques de notre petite planète, et par là même, la prise de conscience de sa fragilité, de sa beauté unique dans notre galaxie ».

Fabienne Verdier Glissando, 2018, acrylique et technique mixte sur toile, 106 x 90 cm

Fabienne Verdier Glissando, 2018, acrylique et technique mixte sur toile, 106 x 90 cm

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Vernissage de l'exposition « La peinture de Jacqueline Pavlowsky»

le samedi 6 octobre à partir de 14:00
Galerie Hervé Courtaigne Moderne
53 Rue de Seine, 75006 Paris
Téléphone : 01 56 24 23 00
http://www.hervecourtaigne.com/ 


Jacqueline PAVLOWSKY (1921 - 1971)

Portrait de l'artiste

Née en 1921 à Vincennes de parents juifs russes et polonais émigrés en France, elle poursuit après guerre en parallèle ses études de chimie, tout en se consacrant à la peinture. Personnage entier, attachant, « Indépendante, provocante, festive, elle vit librement. Cheveu court, complet veston, cigarette, silhouette intimide. »

Jacqueline Pavlowsky Galerie Hervé Courtaigne
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Vernissage jeudi 11 octobre 2018 | 18h - 21h
Exposition | 12 octobre - 17 novembre 2018

Ne manquez pas la parution du livre Optical Graffiti
aux Éditions Lélia Mordoch

J'ai tout de suite aimé les oeuvres de L'Atlas pour la puissance de leur graphisme. Il n'est pas facile de trouver des artistes qui renouvèlent l'art géométrique. Du graffiti à l'art optique, L'Atlas refuse de se laisser enfermer dans un genre... il revendique un art sans frontière.

Il s'inspire des relevés topographiques des temples mais c'est la calligraphie, l'inscription du signe dans une forme structurée, qui l'amène à l'art cinétique.

La signature de L'Atlas est présente dans chacune de ses oeuvres même si parfois elle est bien cachée. Un labyrinthe dans lequel s'inscrit une signature voilà comment pourrait se définir la plupart de ses tableaux. Mais il faut aller plus loin dans l'univers des signes. Un tableau peut en cacher un autre. Jeux d'optique, phosphènes qui se révèlent à la lumière bleue, carré tournant il y a toujours dans ses oeuvres un mystère à décrypter. L'Atlas est un artiste dont l'érudition se révèle dans la jubilation de la création.
Il saisit l'esprit de la ville et y imprime sa marque en créant une archéologie contemporaine où le graphe sert de repère dans la jungle urbaine, où l'artiste déchiffre la ville de sa griffe. Le promeneur découvre des étoiles sur l'asphalte...et une boussole pour ne pas perdre le nord.
Au labyrinthe de la création contemporaine, cherchez L'Atlas et vous trouverez un grand artiste qui donne au Street Art une nouvelle dimension : Optical Graffiti.

Lélia Mordoch

L'ATLAS, Cascade #1, 2018 -  Laque et encre aérosol sur bois,  148 x 115 cm

L'ATLAS, Cascade #1, 2018 -
Laque et encre aérosol sur bois, 148 x 115 cm

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Jan Saudek, one of a kind, revolutionary, reckless.

He is one of the most important and renown Czech art photographers in the world.

Saudek has had over 400 solo exhibitions. His photographs are included to some of the world's most important art collections.

Born in Prague in 1983, his father was a Jew, so he and his family automatically became Nazi's target. Jan Saudek was still a child when his family suffered during the World War II. Little Jan together with his brother, was kept in Mischlinge, the concentration camp for children. Their father also was deported to the concentration camp. All of them survived the war.

The catastrophe of the war and the absence of a happy childhood are intensely shown in Saudek’s works. The artist often repeats his themes and styles, while he combines notions of eroticism and memories of a childhood, creating a surreal and dream-like result.

Saudek images are all about evocation, an evolution from child to adult, there are lots of nudity and semi-nudity in his work. And what's interesting is, he is not that type of photographer who tries to show you beauty, no, its opposite. In his images, he uses people who are overweight in absurd positions, old half nude ladies, young girls with cigarettes, midgets, and what interesting is that he loves posing himself nude as well!

Jan Saudek Photo courtesy of the Artist
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Les Russes à Paris 1925-1955
du 11 septembre - 3 novembre 2018
Vernissage le 11 septembre 2018 à partir de 18h
 
JEANNE BUCHER JAEGER SAINT-GERMAIN
53 rue de Seine
75006 Paris
T +33 1 42 72 60 42
Tuesday-Friday, 10am-6pm
Saturday, 10am-12:30am - 2:30pm-6pm
www.jeannebucherjaeger.com 


En écho à l’exposition dédiée à l’avant-garde russe à Vitebsk au Centre Pompidou et à l’occasion du Parcours des Mondes de la rentrée estivale, la galerie Jeanne Bucher Jaeger honore cet automne les artistes russes qu’elle a présentés en ses murs durant la période 1925-1955. 1925, année de création de la galerie Jeanne Bucher, 1955, disparition de Nicolas de Staël.
Cette exposition s’inscrit, dans le même quartier et au même moment, en dialogue avec l’exposition consacrée aux monochromes de Serge Charchoune par les galeries Le Minotaure et Alain Le Gaillard.

La plupart de ces artistes ont quitté leurs pays après la Révolution de 1917, transitant par l’Allemagne ou la Belgique, avant de s’installer en France à Paris, ville rêvée pour nombreux peintres russes de l’époque qui y voient le pays de la liberté et de la douceur de vivre. Car Paris fut bien cette « capitale des arts », creuset des avant-gardes qui se succédèrent depuis le Réalisme de Courbet jusqu’à la Figuration Narrative des années 70.

Nicolas de Staël  Eau de vie, 1948  Huile sur toile 101 x 81,3 cm

Nicolas de Staël
Eau de vie, 1948
Huile sur toile 101 x 81,3 cm

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