Flash Art International no.304 October 2015

We are pleased to announce that the October issue of Flash Art International  is out now.

Coinciding with the opening of “UH-OH,” Frances Stark’s midcareer retrospective at the Hammer Museum in Los Angeles, the new issue of Flash Art features a cover designed by the artist. Known since the start of her career for text-based work, Stark has increasingly employed typefaces to innovative and idiosyncratic effect, in pursuit of what has sometimes been identified as “writing in space.” The font Airsoft, developed together with her longtime collaborator Chris Svensson, appears here in a reworking of Robert Indiana’s iconic LOVE image of 1965, which itself made the leap from a MoMA Christmas card to a case of writing in space, rendered as sculpture at sites around the world.

In a featured essay Flash Art US Editor Eli Diner highlights the depictive qualities, the cleverness and invention of Stark’s processes of self-figuration and self-portrait: “She has set an ongoing narration of the process and the travails of making art and living as an artist and making a living as an artist in a perpetual present tense: depictions of what’s going on right now — personally, professionally and in the world as glimpsed from her studio or home.” — Eli Diner

Also, in this issue:

Flash Art International no.304 October 2015
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Marguerite par Fabrice Venturini

Ponctué de cinq chapitres, « Marguerite » est un film qui s’écoute autant qu’il se regarde ; un film à l’esthétique « naturaliste » où chaque portion de vie s’étoffe de mélodies intermédiaires : sentimentales, musicales, in fine, quasi transcendantales…

Une réussite donc, où le talent de Catherine Frot explose comme rarement.

Xavier Giannoli signe un film d’une grande justesse où âmes égarées, non-dits, bienveillance et mensonges mêlés composent le portrait d’une femme aimante, et paradoxalement préservée.

Il faut voir « Marguerite » pour cela : pour sa sublime cruauté feutrée autant que pour cette femme prête à tout pour être regardée.

Et dans cette partition, tout sonne juste, personne ne chante faux.

C’est à une véritable symphonie organique que Giannoli nous convie.

« Marguerite », de Xavier Giannoli, avec :
Catherine Frot
André Marcon
Michel Fau
Christa Théret
Denis Mpunga
Sylvain Dieuaide
Aubert Fenoy
Sophia Leboutte
Théo Cholbi

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L'ART CLOCHE
précurseur obscur et méconnu du street art


" Si l'on oublie une marche,
la chute n'est pas loin"
proverbe chinois

     Continuateurs de dada, héritiers de l'Internationale Situationniste,  les artistes squatteurs du groupe Art Cloche dont, Schurder, Starck, Pawlowsky, Lolochka...doivent aujourd.hui trouver  la place qu'ils méritent afin de consolider l'ensemble de l'édifice qui porte actuellement haut le street art.

     D'abord à Paris dans les années 80, rive gauche , rue d' Arcueil  puis rive droite rue d' Oran ensuite en banlieue dans l'Essonne au CAES de Ris Orangis ils passent le millénaire à coup de  mémorables symposiums , festivals, départs de croisières artistiques sillonnant toute la région,  les artistes d'art cloche  transformèrent les friches en musées transfigurèrent les squats  firent que les rues deviennent les lieux d'exposition...  tout au moins en posèrent ils  les prémisses...

    

Lolochka Boudha Technique mixte de 1989
dim. 130 x 97 cm Collection Privée Paris

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Le livre « La bouffonnerie de l’art contemporain » de Nicole Esterolle vient de paraître.
Vous pouvez le commander dans toutes les librairies, mais vous pouvez en faire immédiatement l’achat ici…

Ce livre de 240 pages, préfacé par Aude de Kerros, comprend une sélection des extraits les plus « percutants » de mes chroniques, enrichis et rassemblés en 13 chapitres correspondants aux intitulés suivants :

1 – De la dictature de la bouffonnerie en art contemporain
2 – Koons ou l’hilarant triomphe de l’esthétique pâtissière et de la culture
     vaseline
3 – Une critique d’art de nature consanguine
4 – À propos de l’épidémie de questionnite dans l’art contemporain
5 -  Des écoles d’endoctrinement à l’art contemporain
6 – Le génie d’État et l’art contemporain
7 – Les FRACs : un gros tas d’effets pervers
8 – Daniel Buren et Martial Raysse : deux calamités artistiques nationales  parfaitement complémentaires
9 – Les élus et l’art contemporain : une tartufferie aussi tragique que cocasse
10 –La Biennale d’Art Contemporain de Lyon : un Fukushima culturel
11 –Les têtes chercheuses de l’art contemporain
12 –De l’intrusion « in situ » de l’AC dans les châteaux, les églises et autres  lieux patrimoniaux
13 –L’art brut récupéré par l’art contemporain.

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À l’occasion de sa 68e édition (13-24 mai 2015), le Festival de Cannes rend hommage à Ingrid Bergman en la choisissant pour figurer sur son affiche, succédant à Marcello Mastroianni.

Icône moderne, femme libre, actrice audacieuse, Ingrid Bergman fut à la fois star hollywoodienne et figure du néoréalisme, changeant de rôles et de pays d’adoption au gré de ses passions, sans jamais perdre ce qu’elle avait de grâce et de simplicité.

Sur l’affiche, l’actrice d’Alfred Hitchcock, de Roberto Rossellini et d’Ingmar Bergman, qui a donné la réplique à Cary Grant, Humphrey Bogart ou encore Gregory Peck, se dévoile dans l’évidence de sa beauté, offrant un visage serein qui semble tourné vers un horizon de promesses.

Liberté, audace, modernité, autant de valeurs que revendique le Festival, année après année, à travers les artistes et les films qu’il choisit de mettre à l’honneur. Ingrid Bergman, qui fut Présidente du Jury en 1973, l’encourage dans cette voie…

« Ma famille et moi-même sommes très touchés que le Festival de Cannes ait choisi notre merveilleuse mère pour figurer sur l’affiche officielle, l’année du centenaire de sa naissance", déclare Isabella Rossellini. "Son exceptionnel parcours a couvert tant de pays, des petites productions artisanales européennes aux grandes machines hollywoodiennes. Maman adorait son métier d’actrice : pour elle, jouer la comédie n’était pas une profession mais une vocation. Elle disait : 'Je n’ai pas choisi de jouer, c’est le jeu qui m’a choisie.'»

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 © FDC / Lagency / Taste (Paris) / Ingrid Bergman © David Seymour 
Estate of David Seymour - Magnum Photos /
http://www.davidseymour.com

 

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Un cycle de conférences a eu lieu en 1998 au Musée du Louvre animé par Jean Galard et Matthias Waschek du service culturel du Musée. De ces conférences est né un livre qui réunit les différentes interventions et dont le thème commun était : Qu’est-ce qu’un chef-d’œuvre ?
Il nous faut remonter au fondement même de ce concept : j’ai trouvé intéressant de poser la question à Françoise Forgerit Agrégée d’histoire et passionnée d’art contemporain qui nous ouvre les portes en créant le lien entre le passé et le présent :

« Au Moyen Age, un chef d’œuvre est un objet réalisé comme témoin du talent et des aptitudes à exercer un métier.
Avec le renouveau des villes aux alentours de l’An 1000 , les artisans se regroupent par métiers pour défendre leur savoir-faire et leurs intérêts . Ainsi  ces associations appelées corps de métiers ou corporations réglementent la production et les prix, de même qu’elles hiérarchisent les membres d’un même métier entre maîtres, propriétaires de l’atelier, compagnons, salariés du maître, et apprentis, logés et nourris par le maître.

Les meilleurs compagnons disposant de quelques moyens financiers et désirant devenir maîtres réalisent un chef d’œuvre soumis au jury de leur corporation. La réussite du chef d’œuvre est la preuve de la qualité du compagnon et permet à celui-ci de passer du statut de compagnon à celui de maître par cooptation. Le compagnon est libre de choisir le type de chef d’œuvre qu’il veut proposer. Par exemple, dans le cadre de la corporation des ébénistes, le chef d’œuvre peut consister en une commode, un secrétaire ou une bergère de la taille d’un meuble de poupée, mais présentant toutes les difficultés et complexités d’exécution d’un meuble d’appartement.
A la fin du Moyen Âge, les chefs-d’œuvre deviennent, par leur coût, le fait des fils de maître. Ainsi, les corporations se ferment sous l’Ancien Régime. Elles sont finalement abolies en 1791 avec la Révolution française au nom de la liberté d’entreprendre. »
Francoise Forgerit

Michel PATRIX huile sur toile de 1954 Ancienne Collection Emmanuel David - Collection Patrick Reynolds

Michel PATRIX de 1954 huile sur toile 100 x 81 cm
Ancienne Collection Emmanuel David
Collection Patrick Reynolds

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 À propos de
« La tendance antisociale »*


Quel poète nous dira les douleurs de l’enfant, dont les lèvres sucent un sein amer et dont les sourires sont réprimés par le feu dévorant d’un regard sévère.
Honoré de Balzac, Le Lys dans la vallée

(l’amour) cela devrait être si soudain qu’une fleur, par exemple un parfum, vous voyez bien que l’on a tout eu, qu’on a tout, que l’on aspire tout, d’un seul trait, que cela vous fit faire ah ! Seulement un parfum si droit, si prompt que cela vous fit sourire seulement un petit peu ah ! Voilà que l’on est parti.
Paul Claudel,  Partage de midi

Les premiers principes doivent être hors de discussion.
Isidore Ducasse, Les Chants de Maldoror

* D.W.Winicott , De la pédiatrie à la psychanalyse, tr. fr. J. Kalmanovitch, Paris, Payot, p. 195.

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Patrick ReynoldsJe voudrais remercier tous ceux qui par leurs conseils judicieux me permettent de faire évoluer le site, notamment Françoise Forgerit agrégée d'Histoire, et Jean-Paul Gavard-Perret pour ses écrits talentueux sur Un collectionneur d'art contemporain construit au fil du temps son propre musée, c'est pourquoi le nom "Le musée privé" s'est imposé tout naturellement à moi, lors de la création de la société en 1994.
La révolution du net a permis d'ouvrir au grand public ce qui était réservé à une élite de collectionneurs et d'initiés. J'ai compris que internet allait engendrer des bouleversements majeurs dans l'information, la communication artistique et la vente d'art en ligne. Dans ce même esprit d'ouverture, j'ai souhaité rendre compte, dès 2008, de la création artistique par la publication d'un magazine d'art en ligne, fonctionnant avec la même exigence qu’une institution muséale, où musées, galeries, fondations d'art, experts, commissaires-priseurs, artistes et collectionneurs, tous acteurs multiples de la vie artistique, écrivent, jour après jour, une histoire de l'art vivante et en perpétuel mouvement.les artistes et son analyse pertinente de l'art contemporain.

Le magazine LE MUSEE PRIVE permet de publier de suite , dans ses différentes rubriques un évènement artistique, exposition Muséale, exposition de Galerie ou promotion d’un artiste, ou vente en ligne, etc... Internet a bouleversé en quelques années le marché de l’art, lorsque nous recherchons une information nous avons le réflexe d’aller la chercher sur un moteur de recherche :  le monde du partage et de l’information est né, il favorise la culture et l’échange, la réflexion sur de nouveaux concepts et l’ouverture intellectuelle au sein de la mondialisation.

Vous souhaitez développer un partenariat exclusif avec la Start-up  LE MUSEE PRIVE, à titre privé ou dans le cadre de votre entreprise pour en faire le 1er magazine d’art en ligne, rencontrons-nous pour en parler et voir ensemble comment nous pouvons développer une synergie créative et profitable : vous serez les premiers à participer à une grande aventure intellectuelle et à un grand projet de civilisation.

L’art contemporain est un enjeu majeur de notre civilisation, on peut juger de l’état d’un pays en regardant sa création artistique. Les Etats-Unis ont été les premiers dès 1946 à aider les artistes de leur pays qui voulaient s’installer en France libérée en créant un fonds spécial en liaison directe avec les instances gouvernementales (G.I. Bill Bourse d’Etude du gouvernement américain).

Le développement des foires d’art, des galeries, des maisons de ventes aux enchères des musées et fondations d’art dans le monde ont considérablement augmenté le désir d’acquisition d’oeuvres d’art auprès du public et la soif d'information. Comment acheter des oeuvres d'art, comment se former et découvrir de nouveaux artistes, former son oeil et sa connaissance de l'histoire de l'art pour se constituer une collection? Comment aborder la question de la financiarisation du marché de l'art?

LE MUSEE PRIVE vous aidera à répondre à toutes ces questions.

Patrick Reynolds

Cécile Hug : Le jardin des délices

« Cécile Hug » (éponyme), éditions Derrière la salle de bains, Rouen, 2014.

« Le corps orchestre »,  Manresa, Catalogne

Sur la rive d'un triangle intime Cécile Hug orchestre des jeux de patience. L'insecte devient une poussière d'aube, ruisselle sur l'entre-jambe. Il est en quelque sorte l'armoirie de l'amour. Il crée des courants ascendants : se découd une certaine étoile, se gomme l'éros trop voyant. Tout maraude dans une géométrie précise et précieuse. Le triangle devient oriflamme, l'insecte le remue tandis que la main rêve de caresser ses ailes au moment où il sème un grain pour récolter des lignes de vie.

Chaque dessin de Cécile Hug reste un processionnal. Il conduit en bordure d'un fantastique ravin. L'insecte crée la fable de la présence en fragments de l'essentiel. Le sexe féminin se fait syllabe et le coléoptère virgule blottie dans les mailles du désir. Il représente (comme la fourmi et même le spermatozoïde - ou ce qui lui ressemble) le symbole d'une jouissance buissonnière.

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Cécile Hug, L’entre jambe ©

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Depuis 2013, l'Ecole d'Art de Condé a lié un partenariat avec Fabrice Venturini, conférencier sur le cinéma, pour intervenir auprès des étudiants de Master 2 du cursus
" STRATEGIES DE COMMUNICATION PAR L'IMAGE "...

De l'image fixe à l'image animée, cinq nouvelles conférences seront ainsi proposées tous les vendredis après-midi, du 9 janvier au 6 février 2015.

Ecole de Condé, 7-9 rue de Cambronne, 75015 Paris


Celles-ci parcoureront de multiples esthétiques, de l'esprit de la Nouvelle Vague, jusqu'au cas très particulier de Peter Greenaway.

1) Intégrer une problématique esthétique : Lire la ville.

2) Ecriture des indépendances : John Cassavetes et Jean-Luc Godard

3) Entre peinture et philosophie: De Peter Greenaway à Eric Rohmer

4) Réminiscences du muet: Le cas Jacques Tati

5) L'Ecole réaliste et post néoréaliste : Marcel Carné et Fédérico Fellini.

CONFERENCE SUR INVITATION à demander par mail au conférencier :

Fabrice Venturini  : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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Conférence et extraits de films, par Fabrice Venturini,
spécialiste de l’image

Ville et cinéma ont toujours cohabité à l’écran. Des studios Lumière
jusqu’aux territoires périurbains, le cinéma a sans cesse eu à coeur
d’investir tous les possibles fictionnels des petites et grandes
agglomérations. Tantôt grave, tantôt humoristique, cette approche aura
connu tous les genres, du policier à la réflexion sociale.
Des films comme « Peur sur la ville » d’Henri Verneuil,
« Le Thé au harem d’Archimède » de Medhi Charef
ou « Une jeunesse dorée » de Zaïda Ghorab-Volta en attestent.

Samedi 20 décembre à 15h30

Médiathèque de Châtillon
2 Rue Lasègue
92320 Châtillon
01 46 54 15 56

 

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LE MUSEE PRIVE

Tél: (33) 09 75 80 13 23
Port.: 06 08 06 46 45

 
Patrick Reynolds
 

 Patrick Reynolds
Directeur de publication

 

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