EXPOSITION COLLECTIVE : L’ARTISTE EST-IL UN CHAMANE ? L’ASPIRATEUR | ESPACE D'ART CONTEMPORAIN | NARBONNE | FRANCE 24 septembre 2016 / 27 novembre 2016 > CONTACTS L'ASPIRATEUR ESPACE D'ART CONTEMPORAIN
|
MAËLLE GALERIE LE MONDE EST EN PANNE D'UNE PENSÉE POUR LE MONDE
LE MONDE EST EN PANNE D'UNE PENSÉE POUR LE MONDE |
Barthélémy Toguo, Roger délivrant Angélique I, |
Le monde est désenchanté. Il ne s'agit pas là d'adopter une position romantique et nostalgique d'un Âge d'or perdu, mais de lire ce monde à travers le prisme d'une histoire qui cumule les drames, les conflits, les guerres et qui semble aspirer notre civilisation dans le tourbillon du chaos. La violence du capitalisme économique est telle qu'on assiste à un repli des individus sur eux-mêmes qui ne sont ni portés par un projet de société, ni par un idéal ambitieux. Le monde est en panne d'une pensée pour le monde pour paraphraser le titre de l'exposition de la Maëlle Galerie. Les artistes, véritables vigies et oracles des temps modernes, sont là pour alerter et éveiller les consciences. « L'art n'est pas une réjouissance solitaire et l'artiste a un rôle à jouer dans la société » revendique Barthélémy Toguo. Il est là pour relayer « le grand cri des peuples qui souffrent » comme il l'illustre encore aujourd'hui dans cette exposition réunissant cinq artistes relatant des récits fragmentés où les valeurs humaines sont incompatibles avec une mondialisation qui broie allègrement sans critère de justice sociale. Et pourtant, cet ordre mondialisé tant souhaité par H. G. Wells dans son livre éponyme a de quoi séduire tel qu'exprimé par un George Bush à la tribune du Congrès le 11 septembre 1990, promettant « une nouvelle ère, moins menacée par la terreur, plus forte dans la recherche de justice et plus sûre dans la quête de la paix. » Mais voilà, ces mots ont pour seule ambition d'entretenir une illusion et de manipuler un peuple désorienté et dépolitisé, un jeu dans lequel les politiques brillent. Avec ironie et cynisme, Orlando Britto Jinorio condamne une telle mainmise dans sa série de photographies Being Horse, où il se met en scène en cheval, un mors dans la bouche. Une métaphore de la condition humaine. |
Gérard TRAQUANDI en regard de Hans HARTUNG Galerie Catherine ISSERT
À double détente : Gérard TRAQUANDI, en regard de Hans HARTUNG du 9 juillet 2016 au 3 septembre 2016 vernissage le samedi 9 juillet à 18:00 Galerie Catherine ISSERT 2 ROUTE DES SERRES 06570 SAINT-PAUL T 33(0)4 93 32 96 92 info(at)galerie-issert.com www.galerie-issert.com En 2008, la Fondation Maeght consacre une exposition à Hans Hartung. À cette occasion, Gérard Traquandi révèle à Catherine Issert les affinités existantes entre son oeuvre et celle de Hartung. De ce dialogue est née l’idée d’imaginer une exposition qui mettrait en regard leurs pratiques ; huit ans plus tard, la voici : l’exposition À double détente sera présentée à la galerie Catherine Issert du 9 juillet au 3 septembre 2016. Lorsque les tableaux de Hartung regardent les oeuvres de Traquandi, des connivences d’ateliers, des gestes, un certain regard sur la matérialité du monde émergent pour créer un dialogue artistique et esthétique fort. Les abstractions traversées de mouvements glissants de Traquandi croisent les gestes lyriques et dynamiques de Hartung ; leur rencontre génère des sensations faites de couleur et de rythme qui nous amène au coeur d’un monde naturel vibrant et profond. Tous deux sont des peintres du geste, du faire : leurs tableaux émergent d’une approche sensuelle et processuelle de la peinture. Si Hartung, fasciné |
Hans Hartung, T1989-E44, acrylique sur toile, 180 x 180 cm, 1989, Gérard Traquandi, Sans titre, huile sur toile, 190 x 140 cm, 2016, |
Trio Jannis Kounellis Arnulf Rainer Antoni Tàpies Galerie Lelong
Galerie Lelong Jannis Kounellis – Arnulf Rainer – Antoni Tàpies |
Supports Surfaces Galerie Eva Vautier
S U P P O R T S / S U R F A C E André Pierre Arnal – Vincent Bioulès – Louis Cane – Marc Devade – Daniel Dezeuze – Noël Dolla –Toni Grand – Bernard Pagès – Jean-Pierre Pincemin – Patrick Saytour – André Valensi – Claude Viallat |
Jean-Pierre Pincemin «Sans titre» |
Georges Hugnet Ubu Gallery New-York
Georges Hugnet Huit jours à Trébaumec UBU GALLERY Ubu Gallery is pleased to announce an in-depth exhibition exploring the richness of Georges Hugnet's Surrealist masterpiece, Huit jours à Trébaumec. Published in 1969 by Henri Mercher, the renowned bookbinder, the book appears as a Guide Rose Micheline, a clever parody of the popular Baedeker, Guide Michelin Rouge. In Hugnet's satire, it is not a Michelin man, but a Michelin woman serving as a tour guide leading us through the fictional "Trébaumec" or as Hugnet called it, "the little lost town in Brittany, paradise regained." In 1947, Hugnet (1906-1974) traveled along the coast of Brittany photographing his excursions and popular tourist attractions. |
Georges Hugnet, Sur les conseils de son docteur, circa 1933-36. |
Dado Galerie Jeanne Bucher Jaeger Paris
DADO signature du recueil d’entretiens de l’artiste, Peindre Debout, T. +33 (0)1 42 72 60 42 Cette exposition présente des peintures, collages, dessins et estampes de Dado des années 70. Miodrag Djuric, dit DADO (1933-2010), établi en France à partir de 1956, est très tôt repéré par Jean Dubuffet et Daniel Cordier, son premier marchand. Arrivé à la galerie grâce à François Mathey et aux amis collectionneurs Boulois, Dado est présenté à quatre reprises entre 1971 et 1975. |
Dado, Boukoko triptyque, 1975. Huile sur toile, 162 × 454 cm. |
Jean-Charles Blais Galerie Catherine Issert
Jean-Charles Blais Galerie Catherine Issert La galerie Catherine Issert est heureuse de présenter du 20 mai au 2 juillet 2016 une sélection d'oeuvres récentes et inédites de Jean Charles Blais. Représenté par la galerie Catherine Issert depuis 1983, cet artiste né en 1956 s'est fait connaître dans les années quatre-vingt pour ses peintures sur affiches arrachées. Investissant l'atelier comme un laboratoire, Jean Charles Blais conduit ses recherches en se laissant guider par les médiums et les procédés, avec au centre de ses préoccupations le corps et sa représentation, la fragmentation, le renversement, le positif et le négatif, l'absence. |
Masters Urban & Street Art Galerie Laurent Strouk
Les artistes d'Urban et de Street Art quittent la rue pour s'exposer à la Galerie Laurent Strouk du 1er juin au 15 juillet 2016. GALERIE LAURENT STROUK |
RAMMELLZEE - Tower of Panzerism - Spray marker on canvas |
La Galerie Albert Benamou et la Galerie Gradiva exposent Xooang Choi
La galerie Albert Benamou - Véronique Maxé GALERIE GRADIVA La galerie Albert Benamou-Véronique Maxé présente à Paris dans l’écrin précieux de la galerie Gradiva, au 9 Quai Voltaire, une série inédite de sculptures de l’artiste coréen Choi Xooang, Eolgul qui signifie visage dans sa langue natale. Ce jeune artiste nous fait basculer dans un espace onirique avec une poésie toute personnelle entre l’hyper-réalisme de sa facture et son univers teinté d’étrangeté. |
Whitney Hubbs MB Gallery Los Angeles
WHITNEY HUBBS MB GALLERY |
WHITNEY HUBBS Woman no. 2, 2016 © Whitney Hubbs, Courtesy M+B Gallery, Los Angeles |
Exposition Boguslaw Schaeffer Galerie Roi Doré
La Galerie Roi Doré , vous invite à l'exposition Boguslaw SCHAEFFER – Collages et « partitions » graphiques Exposition du 5 au 9 avril 2016 Compositeur, musicologue, pianiste, dramaturge et metteur en scène, Boguslaw SCHAEFFER (né en 1929) est un artiste visionnaire et une figure incontournable de la culture polonaise. Pionnier de la musique électronique et du théâtre instrumental en Pologne, il est l'auteur d'une quarantaine de pièces de théâtre, traduites en dix-sept langues ainsi que d'innombrables articles dédiés à la musique contemporaine et de nombreuses monographies. Il est également connu pour son travail de pédagogue : durant de longues années, il a enseigné entre autres à l'Académie de musique et à l'Université de Cracovie ou encore à la prestigieuse Hochschule für Music à Salzburg. Il est aujourd'hui professeur émérite au Mozarteum à Salzbourg. Il a reçu de nombreux prix de composition et de théâtre, ainsi que des distinctions officielles. |
Chamizo Galerie Seine 51
CHAMIZO Galerie Seine 51 Chamizo, père de l’Abstraction-Figuration lettrique et l’un des précurseurs du street art, est exposé à la Galerie Seine 51 à travers une sélection inédite de ses dernières oeuvres. L’occasion de constater la cohérence et la richesse de son univers artistique. La Galerie Seine 51 publie à l’occasion de cette exposition un catalogue présentant les oeuvres exposées et le parcours de Chamizo depuis presque un demi-siècle. |
Chamizo Samuraï n° 2 |
Exposition Jérôme Alquie chez Joao Gallery Paris
Force of Nature Valérie Bach Gallery Bruxelles
Force of Nature - curated by James Putman Opening hours List of exhibited artists / Liste des artistes exposés :
|
© Maddalena Ambrosio - Untitled, 2013-2015 - 76 x 60 x 83 cm, - wood and roots |
Antonio SEGUI Galerie Laurent STROUK
Antonio SEGUÍ « Vouloir peindre c'est d'abord vouloir inventer une image qui bouleversera les autres. » Après avoir étudié la peinture et la sculpture en Argentine, en France et en Espagne, il voyage en Europe et en Afrique. Sa première exposition individuelle a lieu en Argentine à la fin des années 50. Il parcourt ensuite l'Amérique du Sud et l'Amérique Centrale. |
Antonio SEGUÍ Quedarse Adentro - Acrylique sur toile - 81 x 100 cm - 2015 |
Deborah De Robertis Galerie Nivet-Carzon invite
Rim Battal Opening 31.03.16 > 18.00 h Galerie Nivet-Carzon |
|
Exposition Olivier Valsecchi OPIOM Gallery
EXPOSITION Drifting Du 5 février au 14 mars 2016 OPIOM Gallery présente Drifting, la dernière série du photographe français Olivier Valsecchi qui a un parcours exceptionnel comme vous pourrez le voir dans sa biographie. Sa série Dust qui a reçu le prix Hasselblad Masters l'a révélé en 2010 , il a depuis réalisé quatre séries AMAZON, DRIFTING, TIME OF WAR, KLECKSOGRAPHY selon une même même démarche créative. |
Olivier Valsecchi IRIS VANITAS, 2014 |
Exposition Chuang Che Galerie Hervé Courtaigne
EXPOSITION Sabine VAZIEUX et à la Galerie Hervé Courtaigne Du 24 mars au 30 avril 2016 Vernissage : Spécialisés dans la peinture abstraite de l'après-guerre, Sabine Vazieux et Hervé Courtaigne consacrent, pour la première fois en Europe, un solo show à l’artiste chinois : Chuang Che. Né en 1934, il est considéré comme l’un des pionniers de l’abstraction chinoise. À l’instar de Zao Wou ki et Chu Teh Chun, il découvre et s’inspire de l’abstraction occidentale dès les années 50. |
Chuang Che |
Galerie Caroline Tresca Robin GOLDRING et Sylvie FALCONNIER
La Galerie Caroline tresca présente "Le plus simple appareil" Robin GOLDRING IL n'y a plus rien, ou si peu, seulement quelques éclats sombres dont l'ensemble pourrait constituer une nuit sans lune. Un ciel noir a envahi l'espace de ces petites peintures sur bois. À moins que ces ténèbres imposent leur domination pour mieux révéler les lumières orphelines de quelques corps, puisque seuls et nus des corps subsistent. C'est un peu la bure du mendiant de Victor Hugo « ... Son vieux manteau tout mangé des vers, et jadis bleu, Étalé largement sur la chaude fournaise, Piqué de mille trous par la lueur de braise, Couvrait l'âtre, et semblait un ciel noir étoilé... » |
Peter Lindbergh Gagosian Gallery Athens
Gagosian Gallery Athens 4 Février au 3 avril 2016 Lindbergh’s now-iconic photographs of women derive inspiration from early narrative cinema and street photography, in their fleeting observations and compositional elegance. His Eastern European heritage can be traced in the stark and guileless realism that frames the feminine beauty of his subjects. |
Peter Lindbergh Gagosian Gallery Athens |
Jessica Yatrofsky Galerie Christian Berst
Signature par Jessica Yatrofsky The subjects of I Heart Girl do not exhibit the expected stereotypes of women in mass media today. Each face and each body is presented by Jessica Yatrofsky through study and repetition, examining feminity with irreverence and countering the widely accepted female image of past generations. Purposely capturing young subjects with varying degrees of "masculine" and "feminine" traits, Yatrofsky further ignores the clichés of conventional gender identifiers. Some subjects are adorned by tattoos, symbolic of their placement in history, others with hints of counter-culture peeking through extra pierced holes and candy-colored wisps of hair. The poses are earnest and the light is revelatory. Through features once perceived as diametrically opposed; the subjects becoming representative of a facet in the current cultural landscape. It is a landscape whose breadth has extended and evolved further than ever before, but still one that is often at odds with itself. Jessica Yatrofsky is a New York brooklyn-based photographer and filmmaker. Focusing on body politics, beauty and gender, Yatrofsky's work spans across fine art and fashion photography as well as experimental and documentary film. Her photographic work has been exhibited internationally and is part of the permanent collection with the Leslie Lohman Museum in New York City. |
Exposition Philippe Hiquily Galerie Laurent Strouk
Philippe HIQUILY Galerie Laurent STROUK HIQUILY intègre l’Ecole nationale supérieure des Beaux Arts de Paris en 1953. |
Il fréquente rapidement l’atelier de CESAR mais développe une approche personnelle de la sculpture : il utilise la tôle, moins chère que le bronze, et la soude par la technique du métal direct. Sa rencontre avec l’artiste Germaine RICHIER est déterminante : elle le conseille, l’encourage et lui commande même des socles et des sellettes pour ses propres sculptures. HIQUILY fait rapidement partie des jeunes artistes qui font les beaux jours de Saint germain des Prés et après deux expositions dans les galerie Palmes et galerie du Dragon, il est contacté par la galerie newyorkaise The Contemporaries. L’exposition, organisée en 1959, est un succès. Toutes les œuvres sont vendues et l’une d’entre elles est acquise par le musée Guggenheim. Son succès a des échos en France et, la même année, sa sculpture « Jérémie » obtient le prix de la critique lors de la première biennale de Paris. Au début des années 60 il est repéré par le décorateur Henri SAMUEL et devient rapidement une référence incontournable du milieu de la décoration. Cette activité lucrative lui permet de continuer à faire des sculptures. |
Galerie Malaquais Exposition Georges Dorignac
Georges Dorignac (1879-1925) Dessins rouges et noirs Du 31 mars au 21 mai 2016 Galerie Malaquais, Paris VIIIe Selon Rodin, « Dorignac sculpte ses dessins (…) ». Pourtant Georges Dorignac (Bordeaux, 1879 – Paris, 1925) ne pratique pas la sculpture. Il modèle sur la surface plane du papier. Avant tout dessinateur, il travaille en toute indépendance alors que les avant-gardes battent leur plein. Il crée des formes puissantes et ramassées dans une matière dense, sur un papier épais ou texturé. Ses formes expressives remplissent l’espace limité de la feuille, et les contrastes s’avèrent forts dans ses oeuvres le plus souvent monochromes. La Galerie Malaquais, spécialisée en sculpture et dessin, présente un ensemble exceptionnel de 43 dessins et 4 peintures de Georges Dorignac, parmi lesquels 35 oeuvres sur papier datant de 1912 à 1914. De cette exposition à la Galerie Malaquais, plusieurs dessins seront exposés au cabinet d'expertise d’Alexandre Lacroix. L’occasion de découvrir, pour la première fois, un accrochage aussi important de cet artiste, avant que plusieurs musées, les Musées de Sens, la Piscine - Roubaix - puis le musée des Beaux-Arts de Bordeaux, ne le mettent en lumière, dès 2016. Une monographie paraîtra, par ailleurs, aux éditions Le Passage en 2016. Des institutions, dont le Musée national d’Art Moderne – Centre Pompidou, le musée des Beaux-Arts de Bordeaux et le Musée de Grenoble, conservent des pièces de l’artiste qui ont aussi trouvé place dans de nombreuses collections privées. |
Femme accroupie, penchée en avant, 1913 |